Les usages sociosexuels d'internet de la population homo et bisexuelle française au risque du VIH.sida

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1 Léobon Signature numérique de Léobon DN : cn=léobon, c=fr, o=cnrs, ou=recherche, =alain.leobon@mac.com Motif : Je suis l'auteur de ce document Lieu : Montreal (Canada) - Nantes (France) Date : :39:26-04'00' Les usages sociosexuels d'internet de la population homo et bisexuelle française au risque du VIH.sida Résultats de l enquête «Net Gai baromètre 2004» Auteur principal : Léobon A.(1) Participation : Frigault, L.-R., (2) (1) UMR ESO, Espaces géographiques & Sociétés, CNRS (2) Département de sexologie, Université du Québec à Montréal Recherche subventionnée par l Agence nationale de recherche sur le Sida

2 Un des objectifs de ce programme de recherche est de «mesurer» le relâchement préventif chez les internautes gais et s intéresse donc à la réalité des communautés en ligne qui habitent le cyberespace. En explorer le contenu et visiter le discours qui est y maintenu est nécessaire pour mesurer l écart entre cette dimension discursive, la réalité du vécu de l internaute et les données ramenées par l enquête. Communautés en lignes Analyse de Contenu ( 5 sites expertisés) Entretiens Auprès d usagers (46 entretiens) Enquêtes Quantitatives (Cruise et Net Baromètre) Recherche - action

3 Objectifs de la présentation Envisage le rôle du cyberespace et des rencontres en réseau comme une alternative, un lieu favorisant l expression de nouvelles sociabilités facilitant la réalisation de projets ou la visibilité de sous-cultures homosexuelles marginalisées telle les cultures BDSM ou Bareback. Présenter une synthèse rapide des résultats de l enquête en ligne «Net Gay Baromètre» placée sur deux sites «adultes et spécialisés» et des sites gays de rencontres généralistes pour mieux comprendre la portée réelle du discours soutenu sur la toile, en ne proposant ses résultats que sous l angle des usages généraux et des prises de risque. Suggérer que, si réseau ne semble pas se construire «en dehors» des espaces traditionnels de rencontres dans lesquels les actions de prévention sont habituelles, Internet peut être un terrain favorable pour atteindre des populations spécifiques, souvent invisibilisées ou stigmatisées dans la «communauté». DOCUMENT DISPONIBLE EN LIGNE à l adresse Financement ANRS - Programme Méthodologie de la recherche en cour Constitution et analyse statistique de bases de données en ligne (requêtes par variables significatives et l exportation des résultats dans des logiciels de type SPSS), analyse quantitative de l enquête Gay Net Baromètre 2004 (SPSS), géocodage et mise en œuvre des cartographies thématiques dans les univers logiciels ArcGIS et MapInfo, Entretiens qualitatif (Atlas). Mots clefs : homosexualité cyberespace visibilité marginalité sexualité risque

4 Le Cyberespace un espace supplémentaire, lieu de «recomposition» de la visibilité LGBT Si l univers communautaire traditionnel produit plus de la moitié des ressources en ligne, celles qui sont essentiellement consultées (citées) se maintiennent dans l univers «cruising hard ou rencontres conviviales» Univers des ressources en ligne gaies et lesbiennes en France (+750) associatif services services culture/événementiel lesbiennes rencontres crusing/hard pornographie informations santé/vih communautaire/soutien associatif communautaire/soutien culture/événementiel santé/vih lesbiennes informations rencontres pornographie crusing/hard

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6 Enquête Net Gai Baromètre, mise en ligne sur 9 sites français ais Les données présentées dans l enquête représentent près de 300 questions organisées en 40 écrans

7 L enquête Net Gai Baromètre 2004 (4613 répondants) r L enquête en ligne le «Net Gay Baromètre 2004» a été postée sur neuf sites durant plusieurs moins utilisant des bannières publicitaire ou des mailing groupés envoyé à leurs membres. Nous avons retenu 4613 questionnaires entièrement complétés. Ces sites ont été regroupé selon trois catégories (la question des prises de risque étant centrale) : les sites de rencontre généralistes, les site à intérêt particulier l un «bdsm» l autre «bareback» du sexe à risque.

8 Compte rendu de l enquête NGB Présentation des résultats Les résultats présentés d organisent autour des thèmes suivants : La variation des profils sociodémographiques selon le site de recrutement ; Les motivations d usage du réseau en matière de sexualité ou de sociabilité et les impacts des usages de la toile dans ses habitus de rencontre ; La façon d organiser en ligne sa vie sexuelle face à l univers traditionnel des rencontres entre hommes ; Les variations de la position face au «sexe sûr» et du rapport au risque (en matière de contamination au sida ou aux IST) selon la communauté en ligne d appartenance. Les résultats de Net baromètre montrent tout d abord des différences significatives entre les répondants selon le site de recrutement et des portraits distincts quant à leurs motivations liées à l utilisation d Internet. Revenons rapidement sur ses principaux résultats.

9 Distribution des âges L âge moyen des répondants selon les lieux de recrutement est de: 36,34 ans (ET = 9,66) pour le site BDSM 35,74 ans (ET = 7,44), pour le site bareback 33,19 ans (ET = 10,04) pour les répondants recrutés à travers les sites généralistes. 30 Les sites les plus généralistes ont une population nettement plus jeune que les sites orientés sur des sexualités hard ou ou minoritaires et plus BDSM BAREBACK GÉNÉRALISTES

10 revenus et d éducation Les niveaux de de revenus et et d éducation des internautes sont élevés, en en particulier pour les sites à caractère sexuel particulier Pas de diplôme Le niveau d étude selon le site de recrutement Brevet des collèges Le niveau de revenu mensuel selon le site de recrutement Moins de 600 De 600 à 900 CAP, BEP BAC BAC + 2 Supérieur à BAC + 2 BDSM Bareback Généraliste De 1000 à 1599 De 1600 à 2999 BDSM Bareback Généraliste Plus de 3000

11 Orientation et résidence L orientation sexuelle Notons que la majorité des répondants ont conscience d être gai, même si nous retrouvons encore des variations significatives selon les sites. En effet, si 94,4% des répondants du site bareback se déclarent «homosexuels ou gays», seuls 78,6% des répondants des sites généralistes suivent cette affirmation. Cette déclaration tombe, pour le club BDSM à 77,7. Le site bareback est donc le plus ancré dans la culture gaie et le site BDSM est le plus bisexuel. Où résident les répondants? Les membres du site bareback (60%) et Bdsm (34,1%) vivent davantage en région parisienne que ceux des sites généralistes qui vivent plus en région (χ 2 = 159,16, d.l. = 8, p < 0,001). Le lieu de résidence des répondants Le Le site le le plus identitaire est le le site bareback, le le plus bisexuel, le le site bdsm Les usagers des sites généralistes résident plus en en région, alors que le le site bareback reste «très parisien» Paris ou banlieue Grande agglomération Petite agglomération À la campagne BDSM BAREBACK GÉNÉRALISTES

12 Géocodage et répartition r des Internautes selon les régions r Nous devons cependant souligner que ces sites sites étant en forte expansion et que nous assistons, depuis un an, à un lissage entre Paris et les régions, en particulier pour les sites à intérêt particulier.

13 Statut sérologique La sexualité bareback, attestée par la fréquentation d un site dédié à cette pratique, concerne donc majoritairement des hommes séropositifs et, plus généralement, des hommes gais informés sur leur statut sérologique La La plupart des membres des sites Bdsm ou ou généralistes (autour de de 70%) se se déclarent séronégatifs alors que les répondants provenant du du site bareback sont 62,1% à déclarer leur séropositivité Séronégatif Séropositif Ne sait pas BDSM BAREBACK GÉNÉRALISTES

14 Les usages et les motivations Contextes, motivations et formes d usage d Internet Les questions qui suivent cherchent à rendre compte de la plus ou moins grande familiarité du répondant avec l outil informatique et les logiciels de communication mis à disposition pas les éditeurs. Elles questionnent ses contextes d usage et les motivations associées, tant sur un plan général que sur celui des rencontres.

15 Ancienneté d usage Internautes depuis plus de 4 ans, connectés en haut débit, avec plus de 25 heures d usage par semaine Familiarité et contexte d usage Ancienneté dans l usage du réseau Les répondants des sites généralistes sont 64% à utiliser Internet depuis plus de 4 ans Contre 70,5% provenant du site BDSM et 75,5% pour le site bareback) Quant aux heures d utilisation par semaine, il n existe pas de différence statistiquement significative selon le site de recrutement des répondants, les répondants du site BDSM l utilisant en moyenne 27 heures par semaine, ceux du site bareback 26,9 heures par semaine et ceux des sites généralistes 25,7 heures par semaine. Lieu d utilisation et vitesse de connexion Enfin, concernant le mode de connexion, la très grande majorité des répondants rapporte disposer d une connexion haute vitesse pour accéder à Internet. Ce sont toutefois les répondants du site bareback qui présente le plus fort pourcentage (91,6%) devant les répondants du site BDSM (87%) et ceux recrutés par l entremise des sites généralistes (85,9%). Les zones géographiques de résidence permettent de comprendre cette situation. Le domicile, puis le lieu de travail sont privilégiés pour son utilisation.

16 Motivation d usages Les Les motivations sociales et et sentimentales ou ou celles associées à l environnement de de travail dominent chez les les utilisateurs des des sites généralistes. La La sexualité est est le le principal marqueur dans l utilisation des des deux sites «adultes». La La recherche d un partenaire stable est est affiliée aux aux sites généralistes. Le Le rapport au au cybersexe n est pas pas très très populaire, même pour les les sites BDSM ou ou bareback dont les les usagers sont motivés par par des des rencontres sexuelles. Plus de détails dans les motivations dans un usage générales pour un travail en relation avec la communauté gaie pour accéder à d'autres informations sur la sexualité pour accéder à de l'information au sujet du VIH/sida, des ITS ou sur la santé pour réaliser des rencontres sexuelles pour avoir du cybersexe pour m'exciter sexuellement pour m'informer au sujet de la communauté gaie pour être avec des partenaires qui ont des intérêts similaires aux miens pour obtenir du soutien Les motivations dans un usage général d Internet Sentimentales Finances et achats Sociales Travail ou études Loisirs Informatives Sexuelles pour rester en contact avec mes amis ou mes proches pour socialiser pour trouver un partenaire stable pour trouver quelqu'un avec qui sortir pour me distraire ou me divertir BDSM Bareback Généraliste BDSM Bareback Généraliste

17 Déplacement / drague Où faites-vous des rencontres? Par l'entremise d'amis À l'école Si Si l usage de de la la toile est est préféré pour rentrer en en contact avec des partenaires, il il n est pas détaché de de l univers de de drague traditionnel. Par exemple les les usagers du du site bareback rencontrent davantage dans des backrooms des sexe-clubs, au au sauna, et et dans des parties privées. Par ailleurs les les internautes rencontrent des partenaires proches de de leur lieu de de résidence Au travail Dans un sexe-club ou un bar Au sauna Dans un party privé Au gym Par des petites annonces sur Internet Service de rencontre téléphonique Dans un groupe communautaire Lors d'un événement socioculturel gai Dans un espace de drague en plein air 5 Dans une toilette publique 4 Dans une backroom Par Internet Dans et à proximité de votre ville Dans votre région ou une région avoisinante Dans la métropole la plus proche de votre région Dans la communauté européenne Dans un autre pays BDSM Bareback Généraliste BDSM Bareback Généraliste

18 Nombre de partenaires les variations du statut relationnel selon les sites de recrutement Les Les internautes sont d une courte majorité dans des des situations de de célibat. Les Les répondants des des sites Bdsm sont les les plus plus nombreux à vivre avec une une femme Célibataire Couple homo Couple hétéro Couple mixte Autre BDSM BBACKZONE GÉNÉRALISTES Les rencontres en ligne et les sexualités développées Les rencontres en lignes sont motivées et aboutissent à des rencontres réelles en face à face. Le nombre de partenaires est conséquent et varie significativement selon des cultures de sexe et le statut sérologique, le site bareback étant le plus consumériste. Concernant le nombre d internautes rencontrés en face-à-face au cours des 6 derniers mois : Les répondants du site bareback rapportent le plus grand nombre, soit 19,75. Ils sont suivis des répondants recrutés à travers le site BDSM (M = 11,25) Ceux des sites généralistes rencontrent le moins (M = 8,73). Le nombre varie significativement en fonction la position face au sexe sûr de l internaute

19 Sexualité et prises de risque Du terme bareback à la réalité des prises de risque Globalement, les analyses confirment que les prises de risques sont réelles pour des relations finalisées «en face à face» que nous savons nombreuses, en particulier sur le site bareback : près de 20 partenaires aux six mois en moyenne (sans compter d éventuelles autres relations recrutées en dehors du réseau Internet). Cependant, si nous devions retenir quelques chiffres rappelons que, si près de 90% des répondants du site bareback déclarent avoir des pratiques «bareback», ce chiffre tombe à moins de 25 % pour le site Bdsm et à moins de 10 % pour les sites généralistes. Ces données laissent entendre que le terme bareback est «compris» comme «avoir mis en œuvre des rapports non protégés», suggérant d une part le glissement sémantique entre «relapse» et «bareback» et la complexité du phénomène.

20 Sur la question bareback On voit dans l enquête que le terme bareback est «compris» comme «avoir parfois des rapports non protégés». Cependant les répondants du site BDSM et des sites généralistes déclarent majoritairement des pratiques généralement protégées. Pour traiter la question du risque objectif, nous avons recodé l enquête en tenant compte des pratiques effectives des répondants, soit de la présence de relations anales actives ou passives au cours des 6 derniers mois ramenées à la fréquence rapportée d utilisation du préservatif au cours de cette même période Avoir eu des pratiques bareback Oui Non Ne sais pas/ne s'applique pas BDSM Bareback Généraliste Utilisation du préservatif lors des relations anales actives ou passives selon des catégories de sites Jamais Rarement Parfois Souvent Toujours BDSM (N = 956) Bareback (N = 322) Généraliste (N = 2203)

21 Les relations entre le statut sérologique s la position sécuritaires Les données ci-dessous montrent que les internautes ne se protégeant pas ou les négociants sont essentiellement séropositifs sur le site bareback, tendance nettement moins affirmée pour les autres sites ou le sexe à risque concerne des hommes séronégatifs. On voit aussi que les séropositifs ont plus tendance, sur les sites «adultes», à être négociants ou barebackers Séropositif Séronégatif Pas testé Sécuritaires Négociants Barebackers Séropositif Séronégatif Pas testé Sécuritaires Négociants Barebackers Séropositif Séronégatif Pas testé Sécuritaires Négociants Barebackers

22 Impacts de la négociation du préservatif sur le nombre de rencontres et de partenaires Nombre de personnes rencontrées en face-à-face Nombre de personnes avec qui ils ont eu des rapports sexuels Sécuritaires Négociants Barebackers Nombre de personnes rencontrées en face-à-face Nombre de personnes avec qui ils ont eu des rapports sexuels Sécuritaires Négociants Barebackers Nous voyons qu en fonction du statut sécuritaire le nombre de partenaire est soumis à d importantes variations. Sur le site BDSM on voit que les négociants et les barebackers cherchent et rencontrent plus d internautes les barebackers étant moins sélectifs. Il est surprenant de voir que ce sont les négociants qui rencontrent le plus sur les sites généralistes.

23 Prises de risque occasionnelles Les données montrent que selon la culture de sexe des répondants la prise de risque déclarée varient fortement ( entre 24 et 88 % du corpus). De plus selon le statut sérologique le phénomène se renforce : la prise de risque déclarée variant de 42,8 % à 98,8 % selon la culture de sexe. Le relâchement préventif des homme séropositifs n est pas nouveau mais peu d études avaient interrogées ces hommes selon leur cultures de sexe. Questionner ces cultures et les comprendre semble donc essentiel. Ainsi, pour les les répondants du du site site Bdsm, la la prise de de risque varie significativement selon le le statut sérologique en en faveur des des séropositifs (proche de de deux fois fois plus). Pour le le site site bareback on on voit voit que que la la quasi-totalité des des usagers séropositifs prend parfois des des risques, alors que, que, pour les les sites généralistes, les les séropositifs sont moins nombreux que que les les séronégatifs à déclarer prendre des des risques. Pratique anale active ou passive Pour les répondants du site Bdsm 2 Pour les répondants du site bareback 3 Pour les répondants des sites généralistes 4 Prise de risque lors des relations anales selon les divers échantillons Ensemble HIV HIV + Ne connaissent pas leur statut 29,0 % 25,0 % 57,7 % 20,9 % (278/957) (170/681) (79/137) (29/139 88,5 % (285/322) 24,3 % (535/2203) 68,8 % (64/93 23,3 % (373/1598) 98,6 % (209/212) 42,8 % (65/152) 70,6 % (12/17) 21,4 % (97/453)

24 Les impacts d Internet sur la sexualité L impact d Internet est majeur en matière de sexualité et vécu positivement, en particulier pour le site BDSM Négatifs Négatifs et positifs BDSM Bareback Positifs Généraliste Aucun effet

25 Les pratiques découvertes selon des sites de recrutement Les répondants des sites «adultes» sont, par ailleurs, conduits à découvrir la pratique caractéristique du site à partir duquel ils font des rencontres grâce à Internet. Ainsi, les usagers du site bareback découvrent le barebacking en ligne de même que les usagers du site Bdsm découvrent les jeux sadomasochistes, des relations de domination et de soumission sur la toile. Le sexe en groupe, le fist-fucking ou des pratiques même très marginales telle la zoophilie sont également découvertes en ligne par les usagers des sites Bdsm ou bareback. Voyeuris m e Exhibitionnisme Bisexualité Masturbation Sexe oral Sexe anal Barebacking Fist fucking. Échangisme Parler cru Jeux de rôle S & M Domination Soumission Zoophilie Trips uro (urine) Anulingus Fétichisme Scatophilie (excréments) Orgies Ménages à trois Sexe en public Douleur Gang bang (abattage) Jouets sexuels Bondage Je n'ai pas découvert de nouvelles pratiques BDSM Bareback Généraliste

26 Les relations développées en FACE A FACE avec des partenaires rencontrés suite à un contact en ligne selon l enquête Vous avez du sexe en groupe En effet, 90% des répondants du site bareback ont eu des rapports sexuels avec d autres internautes alors que c est le cas de 85% des répondants recrutés sur le site BDSM et seulement 70% de ceux recrutés sur les sites généralistes On note surtout que c est sur la pratique du sexe en groupe que les internautes barebackers se distinguent Vous avez des relations sexuelles Vous avez des relations sentimentales Vous créez ou maintenez des amités Vous socialisez Lorsque les les internautes rencontrent en en face-àface des des personnes connues sur sur le le réseau, une une forte proportion rapporte avoir avec ces ces personnes des des face rapports sexuels et, et, pour le le site site bareback du du sexe en en groupe. Vous trouvez du soutien émotif Vous partagez de l'information BDSM Bareback Généralistes

27 Jeux sexuels pratiqués et mis en œuvre selon l enquête en ligne Sexe en groupe Jouets sexuels Barebacking Zoophilie Les Les rencontres sexuelles mises en en œuvre avec des des hommes rencontrés en en face face à face, suite à des des contacts en en ligne, sont nombreuses et et suivent bien bien des des registres différents selon le le site site de de recrutement tout tout en en signant des des cultures de de sexes distinctives. Bondage Pratiques SM Scatophilie Urophilie Fist fucking Vous faire pénétrer (sodomie passive) Pénétration (sodomie active) Lécher l'anus ou vous faire lécher Fellation reçue Fellation donnée Masturbation réciproque BDSM Bareback Généraliste

28 Espaces de rencontre privilégiés selon l enquête Où faites-vous des rencontres? Par l'entremise d'amis À l'école Au travail Dans un sexe-club ou un bar Au sauna Dans un party privé Au gym Par des petites annonces sur Internet Service de rencontre téléphonique Dans un groupe communautaire Lors d'un événement socioculturel gai Dans un espace de drague en plein air Dans une toilette publique Dans une backroom Par Internet BDSM Bareback Généraliste L enquête nous confirme que les répondants du site bareback rencontrent davantage que les autres dans des backrooms, les sexeclubs ou des bars de sexe, au sauna et dans des parties privés. Les espaces de drague sont eux aussi privilégiés, le réseau Internet arrivant en tête.

29 Si nous devions donner une définition de la culture de sexe bareback?. L analyse de contenu des sites et les résultats du Net Baromètre permet de définir la pratique bareback comme une culture de sexe dynamique en phase d appropriation. Le barebacking s'inscrit donc, comme culture de sexe, dans une «composition» de pratiques et d'espaces : Rapport de pénétrations anales non protégées plus passives qu'actives(pour les plus associés à l univers Bdsm) dans des contexte favorisant le sexe en groupe ; Les échanges de liquide sexuels et de solides, des pratiques de soumission de type «abattage», la pratique du fist-fucking ; La fréquentation d espaces communautaires favorisant le sexe en groupe et les rapports impersonnels. Le phénomène est inégal selon les régions mais prend sa place en province et suit la logique des grandes métropoles où, pour la population homosexuelle et les services, dédiés au sexe en groupe (sexe-club) sont les plus nombreux. Le pourcentage des adeptes s affichant séronégatifs est plus important en région et chez les jeunes ce qui souligne un risque majeur. Le statut sérologique est la principale variable amenant à la négociation ou à l abandon du préservatif. Ces observations soulignent bien que nos résultats dressent le portrait d'une culture de sexe en émergence, favorisée par l'anonymat et double jeu que facilitent les rencontres en ligne.

30 Les demandes en matière de «ressources en santé en ligne» selon l enquête (1 - entièrement en désaccord à 5 Entièrement d'accord) la prévention des risques liées au VIH/sida et aux ITS des informations générales sur la sexualité la communauté et ses ressources le coming out l'estime de soi les traitements les pratiques sexuelles gaies les pratiques sexuelles marginales ou extrêmes des forums de discussion et de débat des questions-réponses organisées par sujet des permanences avec des intervenants en ligne la possibilité de poser vos questions de manière anonyme des messages d'information sur les pratiques bareback des messages de réduction des risques sur les pratiques bareback On note que l ensemble des répondants sont généralement favorables aux thèmes proposés et et considèrent qu ils devraient être abordés sur les portails de de santé gaie. Cependant les internautes provenant des sites généralistes le le sont moins franchement. Il Il existe toutefois des différences significatives dans le le degré d accord sur les différents items selon le le lieu de de recrutement des participants BDSM Bareback Généralistes

31 Conclusion du Net Baromètre Les résultats de Net baromètre montrent tout d abord des différences significatives entre les répondants selon le site de recrutement et des portraits distincts tant sur le plan des pratiques, des relations recherchées que sur celui des prises de risque sexuel Les caractéristiques sociodémographiques des usagers divergent mais ils restent éduqués et de jeune adultes, les plus jeunes étant ceux qui fréquentent les sites de rencontres généralistes, ces derniers vivant plus dans les régions. Les motivations des usagers des sites généralistes sont davantage tournées vers la recherche de rencontres amicales, sentimentales et de loisirs que ne le sont celles des utilisateurs des autres sites, les motivations d ordre sexuel restant cependant importantes L impact d Internet est vécu positivement. Le réseau est donc une source d informations en matière de nouvelles sexualités et permet d affirmer sa sexualité et de trouver des partenaires nombreux pour des pratiques marginales, de découvrir aussi ces nouvelles pratiques Globalement, les analyses confirment que les prises de risques sont réelles pour des relations finalisées «en face à face» que nous savons nombreuses, en particulier sur le site bareback : près de 20 partenaires aux six mois en moyenne. Ces prises de risques varient selon la culture de sexe et selon le statut sérologique de l internaute. Ces données laissent entendre que le terme bareback est «compris» comme «avoir mis en œuvre des rapports non protégés», suggérant d une part le glissement sémantique entre «relapse» et «bareback» et la complexité du phénomène que nous présentons demain dans une autre conférence à partir des données de cette enquête. Internet est donc devenu pour la communauté gaie un nouvel espace de socialisation et de sexualité où le cybersexe a une part très mineure face à son potentiel à favoriser des rencontres réelles et nombreuses. Beaucoup de questions se posent donc en termes de recommandations en particulier sous l angle d une recherche-action et des messages de prévention.

32 Discussion : vers quelle politique d intervention? L enquête et ces quelques résultats annexes montrent bien que la dualité «risque-plaisir» est au cœur des pratiques en lignes et de la sexualité gaie. Au-delà de la séroprévalence, constatée dans les résultats de l enquête et pouvant induire une nouvelle négociation du risque par un relâchement préventif délibéré, nous nous ne pouvons que constater l importance des cultures de sexe dans leur propension à conduire à des prises de risques répétées et donc à une conversion sérologique : toute réduction des risques ne peut que passer sur la mise en perspectives des conséquences de ces actes délibérés qui ne relève plus du relapse. Face à ces réflexions, nous pouvons ouvrir la discussion sur les enjeux d une politique de réduction des risques, qu il faut envisager au-delà de la simple question du sérotriage ou des IST. Quelles seraient les conditions nécessaires à sa médiatisation pour éviter son instrumentalisation au profit de nouvelles protections imaginaires qui remettraient plus radicalement en cause l'usage du préservatif dans un groupe qui, d'après notre étude, ne l'a pas totalement abandonné?

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