République Islamique de Mauritanie Ministère de l Economie et des Finances Office National de la Statistique
|
|
- Arnaud Primeau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 République Islamique de Mauritanie Ministère de l Economie et des Finances Office National de la Statistique Direction des statistiques économiques et des comptes nationaux Service des comptes nationaux et de la prévision Note sur les comptes nationaux provisoires de 2015 Novembre
2 L économie nationale enregistre un ralentissement dans son rythme de croissance passant de 5,6 % en 2014 à 3,1 % en Cette situation résulterait de la baisse des cours mondiaux de principaux produits d exportation qui ont affecté les activités extractives. Du côté de la demande, la croissance du PIB est tirée par la formation brute de capital fixe et dans une moindre mesure par la consommation finale des ménages. 1- Contexte international : repli de la croissance mondiale L'économie mondiale est caractérisée par un ralentissement du rythme de croissance passant de 3,4% en 2014 à 3,1% en 2015, dans un contexte marqué par la poursuite du recul des cours des matières premières et d'appréciation du dollar par rapport aux principales monnaies. Ainsi, l inflation connait une baisse dans les pays développés se situant à 0,3% en 2015 contre 1,4% en 2014 et une stagnation à 4,7% dans les pays émergents et en développement. Les cours des principaux produits d exportations de la Mauritanie enregistrent des baisses continues plus ou moins importantes comme suit: le pétrole brut: -9 % en 2014 et 47 % en 2015 ; le fer: -28,5 % en 2014 et -43 % en 2015 ; l or : -10,3 % en 2014 et -8,4 % en 2015 ; le cuivre : -6,8 % en 2014 et -20,4 % en Situation économique nationale Au niveau de l offre, les activités extractives plombent la croissance économique En 2015, l économie est marquée par un ralentissement du rythme de croissance qui se situe à 3,1 % contre 5,6 % en Toutefois ; le PIB réel, hors activités extractives, est en hausse de 4,2 % contre 5,8 % en Graphique 1: Evolution récente de l'économie 12 Secteur primaire Secteur secondaire Secteur tertiaire P.I.B. réel PIB réel hors activités extractives * 2
3 Le secteur primaire Le secteur primaire est le moteur de la croissance en 2015 avec une hausse de 5,9 % contre 2,2 % en Sa contribution à la croissance réelle du PIB est de 1,6 point contre 0,6 point l année précédente. Cette évolution est soutenue par les investissements publics réalisés au niveau des aménagements hydro agricoles, ce qui a entrainé une hausse de superficies emblavées de 26%. Cette situation combinée à une bonne pluviométrie a favorisé une augmentation de la valeur ajoutée agricole de 22,1 % après 14,4 % en L élevage, l un des piliers de l économie, enregistre une progression de 1,9 % contre 0,2 % l année dernière. Parallèlement, la pêche renoue avec la croissance à 6 % après deux années consécutives de baisses respectivement de 9 % et 3,4 % en 2013 et Cette reprise résulte du dynamisme de la capture de la pêche artisanale et de la réorganisation de l activité. Le secteur secondaire Le secteur secondaire enregistre une croissance négative de 1% en 2015 contre une hausse de 6% en Il contribue négativement de 0,3 point à la croissance du PIB contre 1,8 point en Cette situation est liée à la baisse des cours mondiaux des produits de l activité extractive qui contribue fortement au recul de la valeur ajoutée de l extraction du fer de 11,1 % contre une hausse de 15,4 % en Ceci est également imputable à la baisse de l extraction du pétrole. Cependant, l or et le cuivre enregistrent une hausse de 8,8 % en 2015 contre une baisse de 1,2 % l année précédente. Les activités manufacturières hors Eau-Electricité enregistrent une croissance négative de 0,5 % après -8,5 % en Les activités de bâtiments et travaux publics (BTP) connaissent un fort ralentissement dans leur rythme de croissance pour se situer à 3,5 % en 2015 contre 18,5 % en Le secteur tertiaire Le secteur tertiaire enregistre un ralentissement de sa croissance qui se situe à 3,3 % contre 10% en Sa contribution à la croissance réelle est de 1,2 point contre 3,5 points l année précédente. Cette évolution est imputable à la contreperformance de toutes les activités du secteur à l exception des services fournis par les administrations publiques. L activité des transports et télécommunications affiche une croissance moins importante de 5,8 % après 28,5 % en 2014 attribuable à une faible hausse du volume des communications. De son côté, le commerce enregistre un repli de son activité avec une croissance de 4,5 % contre 10 % en Ce ralentissement concerne également le secteur des «autres services marchands», en dépit du dynamisme du secteur financier avec la création de nouvelles institutions bancaires et d assurance en Seule l activité des administrations publiques a connu une progression du rythme de croissance à 2,5 % après 1,9 % en
4 Figure 2 : Contribution des différents secteurs à la croissance du PIB (point de %) Secteur primaire Secteur secondaire Secteur tertiaire 3,5 3,0 3,5 2,5 1,5 1,2 1,8 1,6 1,2 0,5-0,5 0,6-0,3-0,3 2,013 2, * Au niveau de la demande, l investissement tire la croissance En 2015, la croissance du PIB est tirée par la consommation finale des ménages et la formation brute de capitale fixe. 15,0 Contribution des emplois du PIB à la croissance réelle (point de %) 10,0 5,0 0,0-5,0-10, Consommation finale des Administrations Publiques Consommation Finale des Ménages Formation Brute de Capital Fixe Variation de Stocks Exportations nettes -15,0 Consommation finale des ménages La consommation finale des ménages continue à progresser de 3,7 % après 3,1 % en 2014 avec une contribution à la croissance du PIB en volume de 2,2 points contre 1,9 point en Cette 4
5 évolution s explique principalement par la bonne tenue de la consommation en produits agricoles, de la pêche et des services de transports et télécommunications. L indice de prix à la consommation finale des ménages s est établi à 0,5 % en 2015 après 3,5 % en 2014, contribuant ainsi à une amélioration du pouvoir d achat des ménages. Consommation finale des administrations publiques La consommation finale des administrations publiques s accroit de 0,3 % après 4% en 2014, contribuant ainsi à la croissance du PIB de 0,1 point contre 0,9 point en Cette situation s explique par la rationalisation des dépenses publiques. Formation brute du capital fixe FBCF La formation brute du capital fixe enregistre une hausse de 3,8% après une baisse de 8,8 % en Sa contribution à la croissance du PIB est de 2,5 points contre une contribution négative de 6,7 points en Cette évolution s explique en grande partie par la hausse des dépenses d investissements publiques de 15% et par les acquisitions des machines et équipements pour les activités extractives et le BTP. Les exportations nettes Les exportations de biens et services sont en hausse de 11,2 % après 2,7 % en 2014, engendrant une contribution à la croissance du PIB de 3 points contre 0,7 point en Cette situation est essentiellement imputable aux exportations des minerais de l or et de cuivre qui augmentent en volume respectivement de 9% et 36%. Les importations de biens et services augmentent de 3,8% après une baisse de 15 % en 2014, contribuant négativement à 2,5 points à la croissance du PIB après une contribution positive de 12,5 points. Cette évolution est principalement liée à l augmentation des importations des produits des industries agroalimentaires de16% et des autres services marchands de 10% et, dans une moindre mesure, des produits agricoles. 5
6 ANNEXE Tableau 1: PIB par branche d'activités à prix courant Unités : millions d'ouguiya * 1. Agriculture, pêche, exploitation forestière Agriculture, Sylviculture et Exploit. Forestière Elevage Pêche Activités extractives Extraction de produits pétroliers Extraction des minerais métalliques Fer Or et Cuivre Autres activités extractives Activités manufacturières Activités manufacturières hors Eau-Electricité Production et distribution d'eau et d'électricité Bâtiment et travaux-publics Transports et télécommunications Commerce Autres services Correction SIFIM Administrations publiques P.I.B. AU COUT DES FACTEURS Taxes nettes sur les produits P.I.B. AUX PRIX DU MARCHE PIB hors pétrole
7 Tableau 2: PIB par branche d'activité à prix constant Unités : millions d'ouguiya * 1. Agriculture, pêche, exploitation forestière Agriculture, Sylviculture et Exploit. Forestière Elevage Pêche Activités extractives Extraction de produits pétroliers Extraction des minerais métalliques Fer Or et Cuivre Autres activités extractives Activités manufacturières Activités manufacturières hors Eau-Electricité Production et distribution d'eau et d'électricité Bâtiment et travaux-publics Transports et télécommunications Commerce Autres services Correction SIFIM Administrations publiques P.I.B. AU COUT DES FACTEURS Ajustement pour correction chaînage PIB aux coûts des facteurs Taxes nettes sur les produits P.I.B. AUX PRIX DU MARCHE PIB hors pétrole
8 Tableau 3: Croissance réel du PIB par branche d'activité Unités : % * Secteur primaire -1,0 2,2 5,9 1. Agriculture, pêche, exploitation forestière -1,0 2,2 5, Agriculture, Sylviculture et Exploit. Forestière -10,4 14,4 22, Elevage 2,3 0,2 1, Pêche -9,0-3,4 6,0 Secteur secondaire 11,0 6,3-1,0 2. Activités extractives 15,1 4,2-4, Extraction de produits pétroliers 25,6-9,9-6, Extraction des minerais métalliques 11,3 9,0-4,1 Fer 10,3 15,4-11,1 Or et Cuivre 12,9-1,2 8, Autres activités extractives 20,5 20,2 4,1 3. Activités manufacturières -2,5-4,2-0, Activités manufacturières hors Eau-Electricité 2,4-8,5-0, Production et distribution d'eau et d'électricité -230,8-160,0 9,0 4. Bâtiment et travaux-publics 18,0 18,5 3,5 Secteur tertiaire 3,4 10,0 3,3 5. Transports et télécommunications 4,0 28,4 5,8 6. Commerce -1,0 10,4 4,5 7. Autres services 7,3 1,9 0,8 Correction SIFIM -12,3 25,2-6,4 8. Administrations publiques 0,5 1,9 2,5 P.I.B. AU COUT DES FACTEURS 4,7 5,9 3,0 Ajustement pour correction chaînage PIB aux coûts des facteurs 6,4 Taxes nettes sur les produits 3,5 7,9 3,8 P.I.B. AUX PRIX DU MARCHE 6,1 5,6 3,1 PIB hors pétrole 5,7 5,9 3,4 PIB hors activités extractives 4,8 5,8 4,2 8
9 Tableau 4: Evolution de la contribution sectorielle à la croissance du PIB Unité : Point * Secteur primaire -0,31 0,61 1,61 1. Agriculture, pêche, exploitation forestière -0,31 0,61 1, Agriculture, Sylviculture et Exploit. Forestière -0,56 0,65 1, Elevage 0,51 0,04 0, Pêche -0,26-0,08 0,13 Secteur secondaire 3,00 1,79-0,28 2. Activités extractives 1,86 0,56-0, Extraction de produits pétroliers 0,78-0,36-0, Extraction des minerais métalliques 1,01 0,84-0,40 Fer 0,57 0,88-0,69 Or et Cuivre 0,44-0,04 0, Autres activités extractives 0,07 0,08 0,02 3. Activités manufacturières -0,19-0,29-0, Activités manufacturières hors Eau-Electricité 0,18-0,61-0, Production et distribution d'eau et d'électricité -0,37 0,31 0,01 4. Bâtiment et travaux-publics 1,33 1,52 0,32 Secteur tertiaire 1,19 3,46 1,18 5. Transports et télécommunications 0,34 2,34 0,58 6. Commerce -0,07 0,76 0,34 7. Autres services 0,90 0,24 0,10 Correction SIFIM 0,35-0,60 0,18 8. Administrations publiques 0,03 0,12 0,15 P.I.B. AU COUT DES FACTEURS 4,24 4,74 2,69 Ajustement pour correction chaînage PIB aux coûts des facteurs 1,47 Taxes nettes sur les produits 0,38 0,84 0,41 P.I.B. AUX PRIX DU MARCHE 6,09 5,58 3,10 Tableau 5: Les emplois du PIB aux prix courants en millions d'um * TOTAL RESSOURCES P.I.B au prix du marché Importation de Biens et Services TOTAL EMPLOIS Consommation finale des Administrations Publiques Consommation Finale des Ménages Formation Brute de Capital Fixe Variation de Stocks Demande intérieure Exportation de Biens et Services
10 Tableau 6: Les emplois du PIB aux prix constants de 2004 en millions d'um * TOTAL RESSOURCES P.I.B au prix du marché Importation de Biens et Services TOTAL EMPLOIS Consommation finale des Administrations Publiques Consommation Finale des Ménages Consommation finale Formation Brute de Capital Fixe Variation de Stocks Demande intérieure Exportation de Biens et Services Tableau 7: Evolution des emplois du PIB aux prix constants de 2004 en % * TOTAL RESSOURCES 1,0-3,8 3,4 P.I.B au prix du marché 6,1 5,6 3,1 Importation de Biens et Services -4,6-15,0 3,8 TOTAL EMPLOIS 1,0-3,8 3,4 Consommation finale des Administrations Publiques 2,3 4,0 0,3 Consommation Finale des Ménages 2,4 3,1 3,7 Consommation finale 2,4 3,3 2,8 Formation Brute de Capital Fixe 14,8-8,8 3,8 Variation de Stocks -226,7 65,0 23,3 Demande intérieure 0,9-4,9 1,9 Exportation de Biens et Services 1,2 2,7 11, * RESSOURCES P.I.B au prix du marché 6,09 5,58 3,10 Importation de Biens et Services -4,25-12,48 2,54 EMPLOIS Consommation finale des Administrations Publiques 0,55 0,93 0,06 Consommation Finale des Ménages 1,54 1,90 2,23 Consommation finale 2,09 2,83 2,29 Formation Brute de Capital Fixe 10,44-6,70 2,48 Variation de Stocks -11,03-3,78-2,12 Demande intérieure 1,50-7,64 2,66 Exportation de Biens et Services 0,34 0,74 2,98 10
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailPlan National de Développement CONGO 2012-2016
REPUBLIQUE DU CONGO Unité * Travail * Progrès --------------- MINISTERE DE L ECONOMIE, DU PLAN, DE L AMMENAGEMENT DU TERRITOIRE ET DE L INTEGRATION MINISTERE DES FINANCES, DU BUDGET ET DU PORTEFEUILLE
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailL offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal
L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal Plan Quelques faits stylisés caractéristiques de la France, de l
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailSTATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR
STATISTIQUE DU COMM- DU COMMERCE MERCE EXTERIEUR E X T E R I E U R Statistique du Commerce Extérieur S E R I E Statistiques du commerce extérieur I - Introduction Les statistiques des échanges commerciaux
Plus en détailDIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :
Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg
Plus en détailCHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU
CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu
Plus en détailImpact économique du secteur des coopératives. George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University
Impact économique du secteur des coopératives George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University Tendances Les coopératives au Canada 350 300 250 200 150 100 50 0 Les coopératives en Nouvelle- Écosse
Plus en détailEn 2011, l investissement corporel brut
4.1 Investissement En 211, l investissement corporel brut hors apport des entreprises des secteurs principalement marchands non financiers et non agricoles s élève à 196 milliards d euros. Il s est redressé
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLES INDUSTRIES EXTRACTIVES
LES INDUSTRIES EXTRACTIVES 1. Les mesures pratiques qui ont été prises et les progrès réalisés dans leur mise en œuvre Depuis son accession à l indépendance, le Mali, à travers ses différents plans de
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailLes critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailTEXTES REGLEMENTAIRES EN MATIERE D IMPORT-EXPORT AU BENIN
TEXTES REGLEMENTAIRES EN MATIERE D IMPORT-EXPORT AU BENIN REGLEMENTATIONS INTERNATIONALES L Organisation Mondiale du Commerce La Convention Afrique Caraïbes Pacifique (ACP) et Union Européenne (UE) Regroupements
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détailAk k a Ai t El Mekki. E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s
Les Monographies du CIHEAM Edition 2008 L agriculture, l agro-alimentaire, la pêche et le développement rural Ak k a Ai t El Mekki E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s Cette
Plus en détailAPPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES
4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION
Plus en détailLe modèle de croissance marocain : opportunités et vulnérabilités
Juin 214 / N o 14 Macroéconomie & développement Introduction Depuis la crise financière internationale de 28, les pays de la région du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord (Middle East and North Africa,
Plus en détailAnalyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain
Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Analyse et exploitation des données du rapport du PNUD sur le développement humain Novembre 1995 Document de travail n 02 Analyse et
Plus en détailImpact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy
MPRA Munich Personal RePEc Archive Impact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy Jean Blaise Nlemfu Mukoko Departement d économie, Université de kinshasa, Groupe de
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailL assurance française : le bilan de l année 2012
L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance
Plus en détailLES AUTO-ENTREPRENEURS EN 2013 : LEUR NOMBRE CONTINUE DE PROGRESSER MAIS LEUR CHIFFRE D AFFAIRES MOYEN DIMINUE
Fin, on dénombre 911 000 autoentrepreneurs (AE). Ils représentent 51 % de l ensemble des travailleurs indépendants (hors secteur agricole) immatriculés depuis la création du dispositif le 1 er janvier
Plus en détailDÉPENSES PERSONELLES. S M L W Structure
Révisé: le 2 novembre, 2005 TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU LE MOINS ÉLEVÉ (S) (basé sur FND013.TTL) TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU MOYEN (M) (basé sur FND037.TTL) Titre et code séquentiel au niveau
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailREPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE OFFICE NATIONAL DES STATISTIQUES
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE OFFICE NATIONAL DES STATISTIQUES QUATRIEME RECENSEMENT GENERAL DE LA POPULATION ET DE L HABITAT CODE DES DIPLOMES JUILLET 1998 Introduction: Le présent document
Plus en détailQu est ce que l Economie Sociale?
Fiche n 2 Les entreprises : Qu est ce que l Economie Sociale? Les de toutes natures (salariés, usagers, ), les mutuelles (assurance ou prévoyance santé), les associations et les fondations constituent
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailLes relations commerciales entre les pays méditerranéens
Les relations commerciales entre les pays méditerranéens Giorgia Giovannetti Directrice du volet «Développement» du Programme de gouvernance mondiale Centre d études Robert Schuman Institut universitaire
Plus en détailElaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008
AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la
Plus en détailLES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION
1 LES OMD EN CHIFFRES Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION Faisant suite à la Déclaration du Millénaire, le bureau du PNUD en Haïti s est attelé à faire la promotion des Objectifs du Millénaire pour
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailEvolution de la fiscalité des carburants
Evolution de la fiscalité des carburants Comité pour la fiscalité écologique 16 mai 2013 Scénarios étudiés Scénario 1 : alignement complet de la TICPE gazole sur le super (18 c /l) sur 9 ans (2 c /l/an),
Plus en détailCompétitivité des entreprises et maîtrise des consommations d énergie sont-elles conciliables?
Fiches extraites du dossier du participant remis à l'occasion du Débat national sur les énergies lors de la rencontre de Nice, le 15 avril 2003. Le thème de cette rencontre était " Énergie, entreprises
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l énergie et des Mines Direction des systèmes d information, des analyses économiques et de la documentation Résultat du Secteur de l Energie
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailTable des matières. Chiffres clés en Champagne-Ardenne... 1 Point démographique... 2 A. Économie... 5
N 9 Juin 214 Ce tableau de bord rassemble un certain nombre d indicateurs régionaux phares relatifs à l économie et à l emploi, dans une vision volontairement large. Il est un outil d aide à l élaboration
Plus en détail2014-2015 DS n 3 Chap 1-2h. Épreuve composée
Épreuve composée Pour la partie 3 (Raisonnement s appuyant sur un dossier documentaire), il est demandé au candidat de traiter le sujet : en développant un raisonnement ; en exploitant les documents du
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE
Plus en détailInventaires des méthodes d estimation du PIB suisse
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS Economie 04 Comptes nationaux Mars 2013 Inventaires des méthodes d estimation du PIB suisse Renseignements: Fabrice Jacolet,
Plus en détailPERSPECTIVES SECTORIELLES 2013-2015 BAS-SAINT-LAURENT
PERSPECTIVES SECTORIELLES 2013-2015 BAS-SAINT-LAURENT Automne 2013 P a g e 1 Auteur Sylvain Labbé, économiste Service Canada Région du Bas-Saint-Laurent Téléphone : 877-844-3331, poste 224 Courriel : sylvain.labbe@servicecanada.gc.ca
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE Juin 2014 1 TABLE DES MATIERES Résumé... 5 INTRODUCTION...
Plus en détailUn essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013
Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 L objectif de cette note est de présenter une mesure de la ponction actionnariale. Son point de départ est un double
Plus en détailNotes méthodologiques
Notes méthodologiques SUPERFICIE Service Public Fédéral Economie, PME, Classes moyennes et Energie, Direction générale Statistique et Information économique (SPF Economie / DGSIE), Statistiques Utilisation
Plus en détailChapitre X : Monnaie et financement de l'économie
Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie I. Le financement de l'économie Financement = fait d'apporter des fonds à un individu, une entreprise, ou à soi-même. A) Les différents types de financement
Plus en détailBurkina Faso Profil pays EPT 2014
Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailDépartement des affaires économiques et sociales. études méthodologiques Série F, n 85 Manuel de comptabilité nationale
ST/ESA/STAT/SER.F/85 Département des affaires économiques et sociales Division de statistique études méthodologiques Série F, n 85 Manuel de comptabilité nationale Comptabilité nationale : introduction
Plus en détailPERSPECTIVES SECTORIELLES 2013-2015 CAPITALE-NATIONALE
PERSPECTIVES SECTORIELLES 2013-2015 CAPITALE-NATIONALE Automne 2013 P a g e 1 Auteur Daniel Marois, économiste Service Canada Région de la Capitale-Nationale Téléphone : 418-681-2599, poste 2120; 1-866-299-5650
Plus en détailLE CADRE LEGAL DES SECTEURS MINIER ET PETROLIER. Présenté par : Thiam Zakaria Conseiller chargé des Affaires Juridiques - MPEM
LE CADRE LEGAL DES SECTEURS MINIER ET PETROLIER Présenté par : Thiam Zakaria Conseiller chargé des Affaires Juridiques - MPEM SOMMAIRE I- LE CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE MINIER EN MAURITANIE I-A. ÉLÉMENTS
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailDépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3
Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs
Plus en détailSynthèse des programmes de travail
Synthèse des programmes de travail Les projets pour 2013 CRIESR - Assemblée générale 2012 Les services d études et observatoires ayant répondu 2 Agile Cellule Europe Réunion Agorah agence pour l observation
Plus en détailLa région Nord-Pas-de-Calais
La région Nord-Pas-de-Calais A Quelle est l identité de ma région? Quelles sont ses activités? 1 La région Nord-Pas-de-Calais en France 1 2 Les chiffres-clés de la région Nord-Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailSeule adresse Le Service Information et Etudes Economiques de la CCD
une Seule adresse Le Service Information et Etudes Economiques de la CCD BP 84 - Tél : 21 35 10 70 Fax : 21 35 00 96 - E-mail : ccd@intnet.dj - d'une opportunité à saisir, - d un partenariat à nouer, -
Plus en détailTABLEAUX STATISTIQUES
Continentalisation Cahier de recherche 9-9 Décembre 199 ----------------------------- COMMERCE, CROISSANCE ET EMPLOI : LE CAS DU MEXIQUE TABLEAUX STATISTIQUES Afef Benessaieh et Christian Deblock Groupe
Plus en détailChiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008
Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-
Plus en détailAutomne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC
Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailEVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS
EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur
Plus en détailLa confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai
25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de
Plus en détailCDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France
CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailLes opérations et autres flux
Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1
Plus en détailCHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS
CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,
Plus en détail12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,
Plus en détailBas Saint-Laurent. Fiche régionale. Portrait régional de l emploi
Portrait régional de l emploi (*) (*) (en milliers) Bas Saint-Laurent 200 756 habitants % du Québec 2,6 % Agriculture 3,1 Services publics 0,0 Construction 4,9 Emploi par groupe d âge (*) Bas Saint-Laurent
Plus en détailPrésentation du 09 Octobre 2013
Présentation du 09 Octobre 2013 1 / 35 Sommaire 10h-11h15 : présentation du groupe TOTAL /Raffinerie de Grandpuits et les différents métiers 11h15-11h30 : parcours individuel 11h30-12h30 : présentation
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailPLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE
Plus en détailPRODUITS D EXPLOITATION
RESULTATS FINANCIERS Les principaux résultats financiers de l exercice 2012 ont enregistré une nette augmentation par rapport à l année 2011 due essentiellement à la hausse du prix de vente moyen du brut
Plus en détailClimat des investissement et développement des entreprises pour l Emergence
Climat des investissement et développement des entreprises pour l Emergence Mamadou Lamine BA, Directeur Environnement des Affaires APIX Promoteur African Investment Academy 3 ème Salon international des
Plus en détailRéduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009?
Note expresse N 61 juin 2009 Réduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009? Moteur essentiel du dynamisme économique réunionnais, la commande publique a contribué
Plus en détailStratégie du Développement du Gouvernorat de Béja
et de la Planification Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja Entrer 1 Sommaire I - Ressources II - Opportunités III - Filières Economiques 2 I - Ressources oressources naturelles: Des terres
Plus en détailGABON. Caractéristiques géographiques et humaines. Économie (2010) Indicateurs de développement. Accords internationaux
GABON Caractéristiques géographiques et humaines Superficie : 267 667 km 2 Population : 1,5 million d habitants. Densité : 6 habitants/km 2. Part de la population urbaine : 85,5 %. Taux de croissance démographique
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailEnquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle
Enquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle Vous pouvez répondre à ce questionnaire en vous connectant sur Internet avec le code ci-contre : http://enquetes.u-bordeaux.fr/orpea/lp2012/questionnaire.htm
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détail