Exploiter l'information pour réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD)
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- Marie-Noëlle Bordeleau
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1 Commission économique pour l Afrique Division du développement économique et du NEPAD AIDE-MÉMOIRE Exploiter l'information pour réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) Réunion organisée par la Commission économique pour l Afrique (CEA) 3 et 5 novembre 2010
2 Exploiter l'information pour réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) Contexte La Commission économique pour l Afrique (CEA) organise, par le biais de la Section des OMD et des PMA de la Division du développement économique et du NEPAD, une réunion de groupe d experts sur le thème: «Exploiter l'information pour réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) en Afrique». La réunion, qui se tiendra les 4 et 5 août 2010, se propose d étudier comment les pays africains peuvent exploiter au mieux l information afin de favoriser le développement en général et de réaliser les cibles des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). La croissance économique a été positive et relativement élevée pendant la plus grande partie des dix dernières années. En dépit du ralentissement de la croissance enregistré en 2009, imputable en grande partie aux effets combinés de la crise sur les prix des aliments et du carburant ainsi que de la crise économique et financière, cette expansion économique a renforcé la capacité des gouvernements d améliorer le bien-être de leurs populations, notamment par la réduction de la pauvreté et l amélioration des résultats de santé. Cependant, malgré cette évolution encourageante, il est peu probable que le continent réalise l'intégralité des cibles des OMD à la date butoir. La variable essentielle qui fait défaut en matière de croissance et de développement en Afrique est l application cohérente et organisée des connaissances dont l acquisition, selon les modèles économiques néo-classiques, est le principal moteur de la croissance économique à long terme plutôt que l accumulation des facteurs primaires de production. Comme l a relevé Stigliz (1998) 1, l une des distinctions majeures entre les pays les moins avancés, d une part, et les pays industrialisés et nouvellement industrialisés, d autre part, réside dans leur niveau de connaissances. «Un développement réussi exige non seulement de supprimer les déficits dans le capital physique voire humain, mais également de réduire les déficits de connaissances.» La réduction des déficits de connaissances est un enjeu crucial pour le développement de l Afrique dans la mesure où l information est vitale, non seulement pour accroître la capacité des pays africains à améliorer le bien-être de leurs populations à long terme, mais également à garantir le maintien des progrès déjà réalisés, en particulier en ce qui concerne les Objectifs du Millénaire pour le développement. De nombreux documents théoriques et empiriques existent sur le rôle de l information dans le processus de développement. Compte tenu de l importance capitale des connaissances acquises en tant que «facteur de production», bon nombre de pays les moins avancés étudient la possibilité d'exploiter l'information et d en renforcer le rôle et la contribution dans le développement. L Inde, par exemple, a mis en place une Commission de l information pour formuler des conseils au Gouvernement sur l information et le processus de développement. 1 Stiglitz, J Knowledge for Development: Economic Science, Economic Policy, and Economic Advice (L'information au service du développement: Science économique, politique économique et conseils économiques) Banque mondiale ABCDE
3 Si les faits sont établis, très peu de débats sont engagés sur le rôle de l information dans le développement de l Afrique. Les plans nationaux de développement et les stratégies de lutte contre la pauvreté mis en œuvre dans la plupart des pays africains comportent rarement un volet consacré à l information. Le débat sur les OMD et les progrès vers les cibles porte essentiellement sur les données chiffrées et les résultats scolarisation, santé, pauvreté au détriment du rôle crucial des supports de l information en tant que piliers de la réussite. Étant donné que les OMD font une large place au secteur social, ils contournent involontairement le défi du développement en Afrique qui est d accroître les possibilités d améliorer le bien-être des populations. Pour y parvenir, il importe d exploiter l information en tant qu élément supplémentaire contribuant au développement de l Afrique et à la réalisation des OMD. Objectifs de la réunion L objectif de la réunion du groupe d experts est de fournir un forum pour l analyse des possibilités d exploiter l information en vue de la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement en Afrique. Les travaux de la réunion porteront notamment sur les thèmes centraux suivants: Systèmes d information et d innovation en Afrique: De nombreux pays africains ont renforcé le secteur de l enseignement supérieur au cours des vingt dernières années. L'Éthiopie, notamment, construit actuellement treize nouvelles universités. Le Nigeria compte plus de 72 universités, dont 32 établissements privés. Outre les universités, les pays ont établi un système d instituts de recherche sectoriels dédiés. Des instituts étrangers de recherche opèrent également dans plusieurs pays africains en particulier l Institut international de recherche sur le bétail (ILRI) et l Institut international d agriculture tropicale (IITA). Ces initiatives s inscrivent dans la droite ligne des mesures résolues prises pour mettre en place des systèmes d information et d innovation à l échelon national. Les faits observés dans les pays développés indiquent que les liens et les interactions entre ces systèmes peuvent être aussi importants, si ce n est plus, que l'investissement dans la recherche et le développement, d autant qu ils s'avèrent essentiels pour la création et la diffusion de l information dans la société. La maîtrise des systèmes d information et d innovation en Afrique peut aider les décideurs à formuler des stratégies propres à renforcer la contribution des savoirs au développement de l Afrique. Information et structure de la production locale: Au fur et à mesure que les économies africaines évolueront vers des économies basées sur l information et l'acquisition de connaissances, le seul recours à l accumulation des facteurs primaires de production s atténuera. Cependant, tout dépendra de la nature et de la structure de la production interne. La structure de propriété des entreprises et des industries locales est importante. Les entreprises locales appartenant à des étrangers risquent moins d investir dans la production de connaissances locales que les compagnies étrangères. Des preuves empiriques le démontrent; par exemple, l expansion de l économie chinoise a entraîné une augmentation sensible du nombre de brevets octroyés à des Chinois. 2
4 Savoirs autochtones: D aucuns disent que les savoirs autochtones en Afrique sont une ressource inexploitée. Par exemple, l exploitation des connaissances traditionnelles sur les variétés de cultures locales peut concourir à l accroissement de la production agricole. De même, une exploitation diligente et stratégique des savoirs autochtones peut permettre d améliorer les résultats de santé. Toutefois, de nombreux pays ne disposent pas des capacités nécessaires pour mettre à profit leurs systèmes de savoirs locaux et autochtones. Commerce international: Le rôle du commerce international dans la promotion de l application et la diffusion de l information est bien documenté. L investissement direct étranger est un canal important de transferts de technologies et de diffusion de l information. Pour être compétitifs sur le marché international, les pays africains doivent satisfaire à des normes minimales de qualité. L information est à cet égard d une importance cruciale. En outre, les barrières techniques au commerce ainsi que les obstacles sanitaires et phytosanitaires aux exportations africaines peuvent être surmontés grâce à l utilisation accrue des informations. Toutefois, le commerce international peut également se révéler une contrainte par la division du travail induite selon les avantages comparatifs des pays. Par ailleurs, les pays africains sont tenus de respecter le principe de l application, à l échelle mondiale, des normes minimales de propriété intellectuelle conformément à l Accord de l Organisation mondiale du commerce (OMC) sur les Aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC) et d autres accords. Cependant, l information figure rarement dans les politiques commerciales des pays africains. Transfert et diffusion des technologies et des connaissances au plan international: Le débat sur le transfert international des technologies s'est tari. Les lois sur les brevets et les droits de reproduction demeurent une contrainte en ce qui concerne les initiatives d imitation et d adaptation en Afrique, ce qui limite le rôle et la contribution des connaissances dans le développement de l Afrique. Par exemple, au titre de l ADPIC, la capacité des pays à produire des médicaments génériques est limitée. L OMD 8, cible 18 préconise la coopération entre les secteurs public et privé dans le cadre d accords de partenariats internationaux afin de permettre aux pays pauvres de tirer parti des avantages que procurent les nouvelles technologies, notamment les technologies de l information et de la communication. Un examen minutieux des accords de transferts de technologies entre les gouvernements africains et leurs principaux fournisseurs peut aider les décideurs à concevoir comment exploiter l information afin d atteindre les OMD à court terme et encourager le développement de l Afrique à long terme. Expérience internationale: Un débat sur l expérience des réseaux d information et de communication dans d autres régions en développement, telles que la Chine et l Inde, permettra de recenser les enseignements tirés et des stratégies efficaces d exploitation de l information. 3
5 Participants Le rôle de l État, des marchés et des institutions dans l exploitation de l information pour faire avancer le programme de développement de l Afrique: L'État est un acteur majeur dans l exploitation stratégique de l information en faveur du développement. Il définit les politiques, crée les incitations, établit le cadre réglementaire et fournit le financement. En un mot, le degré d exploitation stratégique de l information en vue d atteindre les OMD dans un pays dépend de la politique de l État. Les marchés et les institutions jouent également un rôle majeur dans ce domaine. Il importe donc de comprendre le rôle actuel des politiques, des marchés et des institutions dans la prise en compte des réseaux de l'information et des connaissances acquises. Il faudrait identifier les contraintes de coordination et les obstacles à l échange d information, une initiative qui pourrait s avérer très utile pour les décideurs dans la formulation et la conception des mesures visant à faciliter l exploitation de l information d'un point de vue stratégique et partant d atteindre les OMD et réaliser un développement à long terme. Les participants seront les représentants des universités, des gouvernements africains, des partenaires internationaux au développement et des organisations de la société civile. Date et lieu de la réunion Programme La réunion se tiendra les 3 et 5 novembre À confirmer. Langues de travail La réunion se tiendra en anglais, avec une interprétation simultanée vers le français. 4
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