L AIDE SOCIALE ET L ACTION SOCIALE
|
|
- Jean-Marie Lambert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L AIDE SOCIALE ET L ACTION SOCIALE Au début système d assistance et de protecton assurée par essentellement l église et la seigneurie qui y consacre une parte de ses revenus, mais aussi par : - Les confréries - Les corps de méters - Les fondatons caritatves créées spécifquement - Les municipalités Saint Vincent de Paul est un fondateur de l acton sociale, il mène des actons ne faveur des déshérités, des paysans ruinés par la guerre, des enfants trouvés, il est basé sur la charité. A l époque moderne, créaton de nouveaux établissements, mise en place des politques pour empêcher la famine. A la révoluton, l assistance devient un droit : - Créaton de la loi chapelier «c est l ofce de la naton de fournir du travail aux invalides et du secours aux infrmes». - Décret du 8 juin 973 : principe d une aide aux pères et mères de famille nombreuse - Décret du 28 juin 793 : insttuton d une agence de secours qui organise des secours et accorde chaque année aux enfants, vieillards, indigents - Sous la directoire : créaton des bureaux de bienfaisance dans chaque commune - Loi du 30 juin 838 : sur les handicapés A partr du 9 ème siècle apparaît des systèmes d assistance : - Certains fonctonnaires reçurent une prime quotdienne par enfant - Certains patrons chrétens créèrent des suppléments familiaux indépendants du salaire pour leurs personnels chargés de famille - En 989 le congrès internatonal de l assistance publique énonce la politque d acton sociale et trois textes fondamentaux en découlent : Loi du 5 juillet 893 sur l assistance médicale gratuite Loi du 27 et 30 juin 904 sur l assistance de l enfance Loi du 4 juillet 905 sur les prestatons familiales - Créaton des mutuelles et des régimes spéciaux d assurance sociales De 946 à 986 mises en place d un véritable droit social pour intervenir en cas d urgence ou dans des situatons de détresse. Donc de nouvelles insttutons sociales se créent pour : Faire face à la pauvreté Combatre la dépendance des femmes Résister à l extension de toutes sortes de conduites addictves, déviantes, Appariton de la noton d acton sociale à la fn de la seconde guerre mondiale. - Décret du 3 janvier 946 qui créé un conseil du plan de modernisaton et d équipement. Actuellement : - Le commissariat général du plan est remplacé par le centre d analyse stratégique depuis Le conseil économique, devenu conseil économique et social en 958 et devenu en 2008 le conseil économique, social et environnementale En 953 code de la famille et de l aide sociale, ainsi que l éradicaton des bureaux d assistance et de bienfaisance an bureau d aide sociale. Décret du code de la famille et de l aide sociale : - Décret du 20 décembre 954 qui distngue 4 catégories de nécessiteux : les femmes abandonnées, les vagabonds, les ex-détenus, les indigents sans emploi sortant des hôpitaux.
2 - Décret du 2 janvier 956 qui explique les diférentes compétences des bureaux d aides sociales : Aide sociale aux familles, personnes âgées et infrmes Aide médicale aux nécessiteux Mesure de réadaptaton sociale grâce à l aide à l hébergement La sécurité sociale à été créée en 945 par Pierre Laroque, mise en place d une nouvelle forme de solidarité qui a permis la suppression de nombreux besoins qui présentaient jusqu à cete période un caractère grave. Développement des services d acton sociale, cete aide natonale est assurée par l impôt «l aide sociale» qui donna des droits à tous les français nécessiteux comme l accès gratuit aux dispensaires, crèche, services sociaux, En 965, Jacques Delors est chargé de mission au commissariat général du plan qui créa par la suite une directon des afaires sociales. Autour des années 970, égalité des chances pour tous, lancement des projets avec des modifcatons de structure au ministère de la santé publique et de la sécurité sociale. - 8 juillet 969 : créaton d un secrétariat d état à l acton sociale et à la réadaptaton - 3 novembre 970 : réorganisaton de l administraton centrale avec deux nouvelles directons du ministère, directon de l acton sociale et celle de la sécurité sociale Créaton de la ère commission d acton sociale, pour qu elle devienne une politque, qu elle vise la réintégraton des inadaptés et qu elle soit un facteur de développement économique. La préparaton du 5 ème plan du développement économique et social (97-975) pour imaginer de nouvelles formes d actons, les principes énoncés sont : - L acton sociale doit devenir une politque Ensemble cohérent, dynamique, Connaissances préalable des indicateurs sociaux Mesures axées sur la préventon des problèmes sociaux Evaluaton des coûts fnanciers des actons et mesures - L acton sociale doit viser la réintégraton des inadaptés Etudier les inadaptatons sociales dans leur contexte Permetre aux personnes d exercer leurs capacités économiques et sociales - L acton sociale doit être un facteur de développement économique Objectf est de préserver ou de rétablir l autonomie des individus et des groupes sociaux. Maintenir l individu dans son milieu naturel. Pour cela il y a eu un développement des services d acton sociale en faveur de 5 catégories de populaton : les familles, les jeunes, les handicapés, les personnes âgées et les immigrés.. la famille - Assurer une réelle autonomie de la femme - Elargir les actons de la PMI - Augmenter le nombre de travailleuses sociales - Doubler le nombre de centre sociaux - Prendre des mesures urgentes en faveur de l éducaton permanente 2. L enfance et les jeunes - Multplier les clubs de préventon (délinquance) - Renforcer le rôle socio-éducatf des associatons de contrôle judiciaire 3. Les personnes handicapées adultes - Servir une allocaton garantssant un minimum de ressources - Etendre le bénéfce à l assurance maladie
3 Améliorer la vie sociale, l éducaton des mineurs et favoriser les actons d inserton dans la vie professionnelle. 4. Les personnes âgées - Assurer des ressources décentes - Développer des services permetant leur mainten à domicile - Construire des foyers logements - Le droit au travail des personnes âgées doit être respecté - Assouplissement des conditons du passage da l actvité à la retraite 5. Les travailleurs migrants - Persistance du fond d acton sociale pour fnancer : La société natonale de constructon pour les travailleurs La commission d aide aux nord africains Le service social familial nord africain - Une commission en leur faveur 6. Autres - L accueil immédiat dans les gares - L alphabétsaton et la préformaton professionnelle - Atribuer des bourses publiques d études aux enfants des travailleurs étrangers Dans les années 70, pour assurer la réalisaton des programmes d actons, il fallait se doter : - Des moyens fnanciers - De travailleurs sociaux qualifés, avec une réforme pour : Augmenter leurs efectfs Accroître leur niveau de compétences Favoriser le travail en équipe Spécialiser la formaton initale et développer la formaton en cours d emploi Permetre aux travailleurs sociaux de consttuer un véritable service public En 972, - Mise en place au sein de la directon de l acton sociale du ministère de la santé - Mise en place des insttuts régionaux de formaton des travailleurs sociaux - Evoluton de l appellaton du terme d assistance qui prend une connotaton positve - Avec le 6 ème plan l acton sociale devient globale et prend ses distances avec l Etat-Providence qui reposait sur 2 axes : Le développement de la protecton sociale L amélioraton des services d aide et d assistance sociale Période : 7 ème plan Objectf : permetre une large concertaton pour rénover les méthodes de planifcaton Ne plus subordonner le social à l économique Défnir explicitement les objectfs sociaux et évaluer les coûts pour arrêter les mesures d accompagnement économique Accorder au social le même caractère de priorité ou d urgence qu à la politque économique En fnir avec les mesures sectorielles prise par le 5 ème plan en faveur des 5 catégories de pop. Prendre en compte les dimensions sociologiques et culturelles des problèmes Ne pas se contenter de juste construire des équipements Couvrir aussi des besoins immatériels, la culture, la recherche de liberté, Consolider les mailles du tssu social et éviter la stgmatsaton des publics Partciper au développement du pays
4 Les diférents axes du programme d actons prioritaires : - er axe : habitat et vie sociale Après la seconde guerre mondiale il faut reconstruire les villes ; à partr des années 50 grand programme de reconstructon pour pallier à la crise du logement ; en 976 créaton d un groupe interministériel «habitat et vie sociale» pour corriger les erreurs commises par une urbanisaton accélérée. Pour répondre à l objectf mieux vivre en ville des actons ont été mise en place : Réhabilitaton des banlieues dégradées Créaton des espaces verts Développement de transport et de zones piétonnières Installaton de grandes surfaces et de petts commerces Constructon de foyers-logements pour les personnes du 3 ème âge et les handicapés - 2 ème axe : une nouvelle politque familiale L objectf est de rendre la société plus accueillante pour la mère et pour l enfant et favoriser pour les familles qui le souhaitent un plus grand nombre d enfant. Ceci grâce à diférentes actons : Construire des logements pour familles nombreuses Metre en place un service unifé pour l enfance dans chaque département Metre à dispositon des parents des places de garde plus nombreuses Instaurer un congé de 8 semaines pour les mères en cas d adopton Recruter et former travailleuses familiales - 3 ème axe : un programme amplifé pour les personnes âgées L objectf est le mainten à domicile en : Metant à la dispositon des PA des services de proximité, donc éviter un placement en établissement Apportant un souten fnancier aux collectvités Favorisant la créaton de services : préparaton à la retraite, développement des aides ménagères, amélioraton des services de soins à domicile, multplicaton des centres de jour, - 4 ème axes : la préventon des inadaptatons L objectf est d empêcher l appariton de la délinquance et toutes les formes d inadaptatons sociales de part : Service social pour dépister des mineurs en danger d inadaptaton ou déjà perturbés Créaton de nouveaux foyers jeunes travailleurs et réhabilitaton des anciens ainsi qu une augmentaton de la partcipaton fnancière pour le fonctonnement Développement d actvités sportves, de jeux éducatfs Créaton de clubs et des équipes de préventon pour luter contre la délinquance Développement de la vie associatve Créaton de services d accueil, d informaton et d orientaton pour une meilleure inserton Faire une place aux immigrés dans la geston de la vie collectve 980 : 8 ème plan pour traiter toutes les composantes du système de protecton sociale (santé, vieillesse, famille, acton sociale, chômage), d où l objectf : - Rendre plus performant l existant avec le contrôle budgétaire renforcé (maîtriser les dépenses sociales) car les travailleurs sociaux coûtent chers et ne rapportent rien. Les préconisatons de la commission : - Assurer une meilleure geston du système de santé - Maintenir un efort soutenu en faveur des familles Augmenter fortement les allocatons familiales à parte du 3 ème enfant Consolider le statut de la mère de famille Développer les modes de gardes et apporter un système d aides fnancières Favoriser la réalisaton de projets familiaux (aménagement du temps de travail)
5 - Coordonner des actons sanitaires et sociales pour les personnes âgées Mise en place de service PACTE pour le mainten à domicile Médicalisaton des maisons de retraite - Soutenir les associatons, mise en place de moyens : Rechercher la formaton des bénévoles Augmenter le nombre de professionnels de l animaton Lever les obstacles pour permetre l utlisaton des locaux scolaires et des équipements le mot clé est DIALOGUE Mais ce plan n a jamais servit, mais il y a eu la mise en place d un plan intermédiaire. 98 : le plan intermédiaire, commission regroupant : - Les partcipants habituels (sociaux, économiques, ) - Les mutuelles - Les coopératves - Le secteur bancaire - Le monde associatf et culturel Le ministre de : - Donne au travail social un nouveau contenu Connotaton sociologique (le collectf) S oppose au travail individuel - Le travail social devient synonyme d acton sociale et implique Un travail en équipes pluridisciplinaires D être l afaire de tous Apporter des réponses aux défs posés par la société dont l objectf est l inserton Changement vers un bien-être social, économique, La loi du 29 juillet 982 réforme la planifcaton est fait l objet de 2 lois ; - Défnir les choix stratégiques pour 5 ans - Programmer la réglementaire, les moyens économiques, les mesures administratves pour réaliser les actons Les actons sont : - Améliorer l enseignement technique - Formaton des jeunes de 6 à 8 ans sans qualifcaton - Inserton professionnelle des 6-2 ans - Réforme de la formaton professionnelle contnue - Maîtrise par les citoyens de leur vie quotdienne - Poursuite de la réalisaton de villes nouvelles La décentralisaton de Stmuler les citoyens et les usagers à partciper à la vie locale et à la mise en œuvre de la protecton sociale - Chaque département devient responsable d une part de l aide sociale et d autre part de l acton sociale globale - Le CCAS : le 9 ème plan Préparé par un groupe de travail appelé «avenir de la protecton sociale» Une queston : les mentalités françaises parviendraient-elles à changer sufsamment pour s ouvrir à la solidarité du voisinage, à la convivialité dans le cadre des quarters? (recherche d une bonne qualité relatonnelle) Ce plan comporte 9 programmes prioritaires d exécuton : - Lever les obstacles au renoncement d enfants
6 - Ne plus se conformer au modèle familiale (réaliser librement ses projets familiaux) - Permetre aux femmes d exercer une actvité prof au même ttre que les hommes - Améliorer la vie des français par le réaménagement des services sociaux Les principales mesures : - L allocaton du jeune enfant - Abatement fscal sur les frais de garde - Aménagement du congé parental - Congé éducaton rémunéré - Développer les crèches familiales - Former les assistantes maternelles - Créer un insttut de la famille et de l enfance - Metre en place des services d urgence - Diversifer les actvités de loisirs en faveur des enfants - Associer la CAF à la plupart de ces actons (structure de sécurité sociale) + voir les fches d évoluton La décentralisaton 30 ans après : Le département a plus de compétences qu auparavant
Les coulisses de l accueil des jeunes enfants Les professionnels témoignent et osent dire ce qui ne se voit pas toujours
Les coulisses de l accueil des jeunes enfants Les professionnels témoignent et osent dire ce qui ne se voit pas toujours En 2008, Madame Tabarot, Députée Maire dans les Alpes Maritmes présentait un rapport
Plus en détailConditions générales de vente SMS
Conditions générales de vente SMS Version en date du 01/10/2011 Définitions Client : Personne physique ou morale, signataire des conditons contractuelles générales et partculières de Decanet pour tout
Plus en détailDéclaration liminaire SNPREES-FO
Syndicat National F.O. des Personnels de Recherche et Établissements d'enseignement Supérieur Confédération Générale du Travail FORCE OUVRIERE Université de Rennes 1 Comité Technique du mardi 22 janvier
Plus en détailL'AGRICULTURE URBAINE A BRUXELLES
ATELIER L'AGRICULTURE URBAINE A BRUXELLES 31 MARS 2012 CENTRE D'ÉCOLOGIE URBAINE INTRODUCTION : Le Centre d'écologie urbaine a organisé son premier atelier le 31 mars 2012. L'objectf est de donner à voir
Plus en détailBerne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale
1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle
Plus en détailCONDITIONS GENERALES D UTILISATION CARTAVENUE
CONDITIONS GENERALES D UTILISATION CARTAVENUE 1. Autorisaton et comment nous contacter? Ces conditons (les «Conditons») régissent l utlisaton de votre carte. Une annexe consttuée de termes supplémentaires
Plus en détailau service de chacun!
Les associations sanitaires et sociales : au service de chacun! Petite enfance Handicap Jeunes en danger Santé Personnes âgées Pauvreté, Exclusion * «L association est la convention par laquelle deux ou
Plus en détailDELIBERATION N 2015-35 DU 25 MARS 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DU
DELIBERATION N 2015-35 DU 25 MARS 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DU TRAITEMENT AUTOMATISE D INFORMATIONS NOMINATIVES AYANT POUR
Plus en détailPRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN
PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN 1 1 L ACTION SOCIALE NOS VALEURS SOLIDARITÉ Valeur centrale, elle s exprime par la mise en œuvre d interventions au profit de tous ses clients : entreprises,
Plus en détailPour des parents bien dans leur job. Livret à destination des salariées et salariés du groupe Casino
Pour des parents bien dans leur job Livret à destination des salariées et salariés du groupe Casino innovation édito Chère collaboratrice, cher collaborateur, Nous avons le plaisir de vous adresser le
Plus en détailNom de l agent : Fonctions : FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE SOCIALE
DE FRANCE A Nom de l agent : Fonctions : FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE SOCIALE 1- Objet de la demande : O Allocation de solidarité O Allocation à durée déterminée O Allocation adulte ou enfant handicapé
Plus en détailJAPON. Nomenclature. nationale (prestations de maladie) Pension nationale Assurance pension des salariés. Assurance maladie gérée par des sociétés
JAPON Nomenclature CHIHO-KOMUIN-KYOSAI CHIHO-KOMUIN-ONKYU CHIHO-KOMUIN-SAIGAI HOSYO CHIHO-KOKUMINN-KYOSAI- KYUGYO-KYUFU-TO IZOKU-NENKIN JIDEO-TEATE JIDO-FUYO-TEATE KOKKA-KOMUIN-KYOSAI KOKKA-KOMUIN-ONKYU
Plus en détailLutter contre les exclusions
D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du date Ville
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du date Ville 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national : début de reprise économique, mais chômage encore trop fort Dans notre région, une problématique
Plus en détailLes prévisions budgétaires en matère d assurance maladie.
www.inami.be www.coopami.org Les prévisions budgétaires en matère d assurance maladie. Atelier Rabat 25 mars 2011 Michel Vigneul /Conseiller Actuaire CelluleExperTse&COOPAMI PLAN de l atelier Contexte
Plus en détailInégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF
Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités
Plus en détailFormulaire de demande(s) auprès de la MDPH
Tampon dateur de la MDPH Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH N 13788*01 A - Identification de l enfant ou de l adulte concerné par la demande Nom de naissance : Nom d épouse ou nom d usage : Prénom(s)
Plus en détailNouvelle aide à l apprentissage pour les entreprises de moins de onze salariés
les infos DAS - n 081 16 juillet 2015 Nouvelle aide à l apprentissage pour les entreprises de moins de onze salariés Conformément au décret n 2015-773 du 29 juin 2015, est créée une aide en faveur des
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailLa protection sociale en France
18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailLe Parlement Jeunesse du Québec
Le Parlement Jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 56 E LÉGISLATURE Projet de loi n 3 Loi sur le revenu de citoyenneté Présenté par M. Guillaume Rivest Ministre de l Emploi et de la Solidarité
Plus en détailMon calendrier budgétaire
LES FICHES PRATIQUES DE FINANCES & PÉDAGOGIE Mon calendrier budgétaire Sommaire Tableau des recettes-dépenses mensuelles...2-4 Calendrier Mode d emploi...5-6 Janvier Février revenus revenus Juillet Août
Plus en détailPart des salaires dans la valeur ajoutée
NOTE CGT SUR LES SALAIRES ET LE POUVOIR D ACHAT Augmenter les salaires pour renouer avec la croissance Montreuil, le 18 juin 2013 On ne peut pas parler salaires sans parler coût du capital. Dans une économie
Plus en détailL offre d accueil collectif des enfants de moins de six ans
Mois AAAA En bref L objectif de cette fiche est de donner une vision chiffrée du nombre d établissements collectifs d accueil de jeunes enfants (les structures monoaccueil et multi-accueil) et de montrer
Plus en détailCANADA. Les dépenses sociales sont exprimées en millions de dollars canadiens (CAD).
CANADA Nomenclature AC Assurance chômage AE Assurance emploi (remplace l AC depuis le 1 er juillet 1996) RAPC Régime d'assistance publique du Canada RPC et RRQ Régime de pensions du Canada et Régime de
Plus en détailvous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale,
Vous êtes un professionnel du corps médical ou des services sociaux, vous travaillez au sein d un établissement spécialisé, vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailService Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire
Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire Pour adultes handicapés mentaux de la Meuse serésienne rue Hainchamps 77 siège social: a.s.b.l. Cesahm 4100 Seraing rue du Sewage 9 à 4100
Plus en détailPlateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010. Axe Emploi et Solidarité. PME - Indépendants
Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010 Axe Emploi et Solidarité PME - Indépendants Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010 PME - Indépendants Etat des lieux
Plus en détailDirection de la sécurité sociale. Personne chargée du dossier : Huguette Hatil. La ministre des solidarités et de la cohésion sociale
MINISTERE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTE MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA REFORME DE L ETAT MINISTERE DES SOLIDARITES ET DE LA COHESION SOCIALE Direction de la sécurité sociale
Plus en détailPièces à joindre RENTREE 2015-2016. Qui peut bénéficier de la bourse de lycée?
INFORMATIONS PRATIQUES A DESTINATION DES FAMILLES Ouverture de la campagne de bourse de lycée RENTREE 2015-2016 Pièces à joindre Qui peut bénéficier de la bourse de lycée? Où peut- on retirer un formulaire
Plus en détailDép. 75 «Enfant présent»
Dép. 75 «Enfant présent» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Créée en 1987, l association Enfant Présent, dispositif multi-accueil à caractère préventif, dispose de plusieurs
Plus en détailLe projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement
Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement DOSSIER PRESSE Mars 2015 Contact : cab-fpa-presse@sante.gouv.fr www.social-sante.gouv.fr Introduction Le projet de loi relatif à
Plus en détailLIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap
LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailDOSSIER D ADMISSION FICHE ADMINISTRATIVE VOUS
Accueil et soins résidentiels «LA ROBERTSAU» Appartements Thérapeutiques Relais 1, Chemin de l Anguille 67000 STRASBOURG 03 88 31 33 45 Fax : 03 88 31 44 48 DOSSIER D ADMISSION FICHE ADMINISTRATIVE Adresse
Plus en détailIntroduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.
le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une
Plus en détailIV. Les nécessités d une grande réforme : propositions pour une assurance générale de revenu. Ruth Gurny, Denknetz Traduction : Sabine Dormond
IV. Les nécessités d une grande réforme : propositions pour une assurance générale de revenu Ruth Gurny, Denknetz Traduction : Sabine Dormond Pour une protection solidaire et équitable : l assurance générale
Plus en détailAction Sociale, chômage, couverture maladie universelle...
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 15 novembre 2014 à 18:17 Action Sociale, chômage, couverture maladie universelle... Introduction : historique La politique publique visant à apporter secours aux
Plus en détailCONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,
Plus en détailPopulation active et pauvreté en région Centre
Population active et pauvreté en région Centre Conseil Economique et Social Régional du Centre Janvier 2010 Partie I. Périmètre de l étude quatre ménages touchant le SMIC ou le RSA Nombre potentiel de
Plus en détailPROTECTION SOCIALE EN FRANCE
Qu est-ce que la protection sociale? PROTECTION SOCIALE EN FRANCE La protection sociale désigne tous les mécanismes de prévoyance collective, permettant aux individus de faire face aux conséquences financières
Plus en détailGuide pour la création d une MAM
LES MAISONS D ASSISTANTS MATERNELS Guide pour la création d une MAM Commission Départementale d Accueil du Jeune Enfant Le cadre législatif La loi n 2010-625 du 9 juin 2010 relative à la création des maisons
Plus en détailSanté publique - Protection sociale -
26-1-05 1 Santé publique - Protection sociale - Système très complexe qui couvre : - des risques déterminés - des catégories particulières de population Protection sociale SS protection de base obligatoire
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 17/06/2014 Angoulême
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 17/06/2014 Angoulême 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national: la reprise économique se dessine, mais le chômage frappe encore trop fort notre pays.
Plus en détailPermanences accueil, écoute, orientation, revues de presse, consultations Du lundi au vendredi de 9h à 12h et 13h à 17h30.
Bulletin bibliographique du Janvier 2014 n 46 Le de l'udaf de l'isère vous propose son bulletin bibliographique. Les articles sélectionnés sont consultables à l'udaf ou envoyés selon la demande. N'hésitez
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailVotre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française
Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?
Plus en détailRéformes socio-économiques
Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE Saint-Denis, le 4 mars 2014
COMMUNIQUE DE PRESSE Saint-Denis, le 4 mars 2014 Aider les plus démunis à rester connectés Connexions Solidaires ouvre à Saint-Denis Grâce au soutien de la Mairie, du Centre Communal d Action Sociale (CCAS)
Plus en détailLa protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille!
La protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille! La protection sociale est un terme générique qui recouvre, la Sécurité Sociale (régime général obligatoire solidaire, géré
Plus en détailDemande de logement social
Ministère chargé du logement Cadre réservé au service Demande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation Numéro de dossier : N 14069*02 Avez-vous déjà déposé une
Plus en détailFédération des Mouvements Personne D Abord du Québec
Fédération des Mouvements Personne D Abord du Québec VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET ÉQUITABLE Bonjour, je me présente, Louise Bourgeois, présidente de la Fédération des Mouvements Personne
Plus en détailLE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES
LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES Sommaire : Les missions page 2 Les secteurs d interventions page 2 Les contacts privilégiés page 3 Les cibles : A La restauration collective 1. Objectifs
Plus en détailCOMMENTAIRE DU FORMULAIRE DE DEMANDE 2015
COMMENTAIRE DU FORMULAIRE DE DEMANDE 2015 Après avoir lu la circulaire, nous vous invitons à suivre le présent guide pour vous aider à remplir les différentes rubriques de votre (vos) formulaire(s) de
Plus en détailCDAJE 16 mai 2014 COMMISSION DÉPARTEMENTALE D ACCUEIL DES JEUNES ENFANTS. MICRO CRECHE - CDAJE 16 mai 2014
CADRE DÉPARTEMENTAL DE RÉFÉRENCE CDAJE À l intention des élus municipaux et leurs représentants, des institutions, de l ensemble des acteurs de la petite enfance et des porteurs de projet. CDAJE 16 mai
Plus en détailRapport sur le budget du Québec
le 21 avril 2005 Rapport sur le budget du Québec Faits saillants Introduction Taux d imposition d une société est augmenté Instauration d un taux d imposition pour la petite entreprise Les taux de la taxe
Plus en détail«seul le prononcé fait foi»
«seul le prononcé fait foi» Discours à l occasion de la réunion du Pacte de Responsabilité et de Solidarité Lundi 26 mai 2014 Lesparre-Médoc Mesdames et Messieurs les Parlementaires Mesdames et Messieurs
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailBELGIQUE. 1. Principes généraux.
BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 6 juin 2014 AGEN 5 années de croissance perdues 1 850 Volume de la production nationale en milliard d'euros constants (valeur 2005) 1 800 1 750 1 700
Plus en détailNotre système de retraite par répartition est au cœur du pacte républicain qui lie les différentes générations.
27 août 2013 Notre système de retraite par répartition est au cœur du pacte républicain qui lie les différentes générations. Il est aujourd hui confronté à la fois au départ en retraite des générations
Plus en détailFormulaire de demande(s) auprès de la MDPH Enfants/Jeunes (0-20 ans)
Tampon dateur de la Formulaire de demande(s) auprès de la Enfants/Jeunes (0-20 ans) Vous formulez une demande auprès de la pour votre enfant Nom de naissance : I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I
Plus en détailRÉGIME DE PRÉVOYANCE OBLIGATOIRE
CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES BUREAUX D ÉTUDES TECHNIQUES CABINETS D INGÉNIEURS CONSEILS SOCIÉTÉS DE CONSEILS RÉGIME DE PRÉVOYANCE OBLIGATOIRE DES SALARIÉS MALAKOFF MÉDÉRIC, VOTRE PARTENAIRE POUR
Plus en détailPACTE DE RESPONSABILITÉ
PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ Loi de finances rectificative pour 2014 Loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 10 septembre 2014 1 LES PRINCIPALES MESURES SOCIALES DU
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier 1 2 INTERVENTION DE MONSIEUR MICHEL JOUVENOT DIRECTEUR DE LA BANQUE
Plus en détailCompte rendu du conseil de perfectionnement du master SAFIR du jeudi 19 décembre 2013.
Compte rendu du conseil de perfectionnement du master SAFIR du jeudi 19 décembre 2013. Le conseil de perfectonnement du master SAFIR s'est réuni pour la première fois le 19/12/2013, la compositon de celui-ci
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détailDossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015
Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)
Plus en détailFORMATION CAP Petite Enfance
FORMATION CAP Petite Enfance Du 5 OCTOBRE 2015 au 3 JUIN 2016 FORMATION A TEMPS PLEIN L'ensemble de la formation en centre se réalisera dans Paris intramuros OBJECTIF DE FORMATION Former des professionnels
Plus en détailEVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI)
EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) Note méthodologique relative à l outil de suivi en continu du projet de formation et du projet professionnel La direction
Plus en détailDemande d agrément d assistant(e) maternel(le)
N 13394*03 Demande d agrément d assistant(e) maternel(le) Notice Vous allez faire une demande d agrément ou de renouvellement d agrément pour exercer la profession d assistant(e) maternel(le); ce métier
Plus en détailLE PROJET POUR L ENFANT
Groupe d appui pour accompagner la réforme de la protection de l enfance LE PROJET POUR L ENFANT Fiche technique Mars 2010 Pour accompagner la mise en œuvre de la loi réformant la protection de l enfance
Plus en détailconseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat.
conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. Les enfants des écoles vont régulièrement rencontrer les résidents des logements-foyers. PoitiersMag page
Plus en détailL Economie Sociale et Solidaire
1 L Economie Sociale et Solidaire L ESS EST UNE ÉCONOMIE QUI SE VEUT ÊTRE DIFFÉRENTE DE L ÉCONOMIE CLASSIQUE. DES PRINCIPES FONDAMENTAUX ONT ÉTÉ DÉFINIS ET CONSTITUENT LES PILIERS DE CE SECTEUR. 2 LES
Plus en détailDroits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre.
Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. 1 Qu est-ce qu un aidant familial Une personne qui vient en aide, à titre non professionnel
Plus en détailRENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE
RENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE La CFTC demande l organisation d un marathon social. Il s agira d élaborer une liste lors de cette réunion du 18
Plus en détailEOVI MANAGER À CHACUN SA PARTITION À CHACUN SES SOLUTIONS
EOVI MANAGER À CHACUN SA PARTITION À CHACUN SES SOLUTIONS SANTÉ PRÉVOYANCE ÉPARGNE RETRAITE la qui renouvelle la mutuelle Dirigeants et salariés de petites structures... Vous êtes déjà nombreux à nous
Plus en détailModule 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé
Module 1 Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Partie 1 - La sécurité sociale en Belgique et les mutualités. Plan 1- INTRODUCTION 2- GRANDS PRINCIPES DE LA SÉCURITÉ
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailEnsemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux.
R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES DÉFINITION : Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.
Plus en détailVIIème Congrès international FATO Yamoussoukro 2013
VIIème Congrès international FATO Yamoussoukro 2013 Thème: Accessibilité et financement des services de santé en Afrique Subsaharienne: le cas de la Côte d Ivoire Proposé par FOFANA MEMON, Doctorant en
Plus en détailLe plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal»
Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal» Ce qu il faut retenir Article 74 de la loi de finances pour 2006 Dans la situation actuelle, il peut arriver que le montant total
Plus en détailQui sont les migrants? Question 1. Qui sont les migrants?
Question 1 Qu est-ce qu un immigré? Qu est-ce qu un réfugié? Question 3 Quel est le nombre de personnes qui quittent leur pays pour des raisons climatiques? -30 millions -1 million -250 millions Question
Plus en détailHommes et femmes au travail Ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait des autres. Etude Ipsos pour ELLE
Hommes et femmes au travail Ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait des autres Etude Ipsos pour ELLE Pourquoi cette étude? Croiser le regard des hommes et des femmes sur le travail aujourd hui Le travail
Plus en détailMaréchal Ardans-Vilain. Denis. "Nos priorités : la jeunesse, la solidarité et le développement économique." Programme. Michel Petiot.
Canton Meudon - Chaville élections départementales Denis Cécile Maréchal Ardans-Vilain Alice Carton Michel Petiot Programme "Nos priorités : la jeunesse, la solidarité et le développement économique."
Plus en détailNotre catalogue E- forma8ons Management E- LEARNING CENTRE DE FORMATION INFORMATIQUE ET MANAGEMENT. Plateforme E- learning :
CENTRE DE FORMATION INFORMATIQUE ET MANAGEMENT Notre catalogue E- forma8ons Management AFCI NEWSOFT - Tour Orion 12/16 rue de Vincennes - 93100 Montreuil MANAGEMENT AFCI NEWSOFT - Tour Orion 12/16 rue
Plus en détailAvenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication
Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication Alors que les concertations sur la réforme des retraites sont actuellement en cours, l Assurance retraite, premier
Plus en détailSAINT JULIEN EN GENEVOIS
SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).
Plus en détailL apprenti. Définition du code du travail
L apprenti Définition du code du travail Salarié rémunéré qui suit une formation diplômante pour obtenir une qualification professionnelle en signant un contrat d apprentissage. Le dispositif apprentissage
Plus en détailRenforçons la classe moyenne!
Renforçons la classe moyenne! Précisions sur la résolution du PDC suisse pour une classe moyenne forte. Introduction La classe moyenne est le cœur de notre société : elle inclut les familles, les retraités
Plus en détailDÉCLARATION SOCIALE NOMINATIVE
DÉCLARATION SOCIALE NOMINATIVE NEODeS - Passage de la phase 1 à la phase 2 Éléments de référence pour assurer la continuité Page 1 Sommaire 1. La relation employeur salarié... 3 2. Le positionnement du
Plus en détailSans formation à l aide sociale que faire?
Sans formation à l aide sociale que faire? CSIAS, mai 2010 Françoise Jaques cheffe du Service de prévoyance et d aide sociales du canton de Vaud Constats 2009 canton de Vaud 33 000 personnes ont recouru
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailÀ quoi servent les cotisations?
À quoi servent les cotisations? [ Le réseau Urssaf vous rend des comptes À quoi servent les cotisations? ] Depuis 1945, la France a fait le choix d une Sécurité sociale protégeant solidairement l ensemble
Plus en détailPROJET DE DELIBERATION EXPOSE DES MOTIFS
CENTRE D ACTION SOCIALE DE LA VILLE DE PARIS 2007 CAS 0004 Objet : Création d une aide, en faveur des personnes handicapées, à l adhésion à une mutuelle ou à un organisme analogue, dans le cadre d une
Plus en détail