La protection de l environnement
|
|
- Diane Thibodeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le transport des matériaux de construction Le mode routier privilégié pour le transport de matériaux La plupart des matériaux de construction n est pas consommée sur leur lieu de production et fait donc l objet de transport. En raison de la multitude des lieux de consommation, les distances parcourues sont assez faibles. Pour le transport routier national et la partie française de l international, la distance moyenne s établit à 35 kilomètres en 2003, soit un peu moins du tiers de la moyenne de l ensemble des marchandises. Sur longue période, la distance moyenne de livraison des matériaux de construction s inscrit cependant en hausse. L évolution de l extraction des granulats au fil des ans - fermetures de carrières dues à des contraintes réglementaires croissantes, ouvertures peu nombreuses - y est pour beaucoup. Cette distance moyenne est relativement stable depuis une dizaine d années. Le transport par la route est fortement majoritaire (95 du tonnage total). Ce mode correspond en effet parfaitement aux contraintes du secteur que sont : les courtes distances de livraison ; la nécessité d adaptation du système au cycle saisonnier de la production ; le caractère temporaire des chantiers ; les faibles tonnages par chargement ; la fiabilité des horaires de livraison des marchandises. Dans certains cas, la livraison doit en effet être respectée à la demi-heure près. Pour des distances aussi courtes, le fer ou le fluvial impliquent des ruptures de charge et donc des manutentions supplémentaires trop onéreuses et dissuasives par rapport à la route. Le mode fluvial est pertinent sous réserve que son coût soit compétitif par rapport à la route, ce qui impose la présence de ports à proximité de la carrière et du chantier de destination, ainsi qu un nombre limité d écluses. Mais, avec la baisse de l extraction des granulats alluvionnaires, les carriers se sont éloignés des fleuves et ont renoncé à la logistique fluviale. En raison de la faible distance de livraison, la part de marché du fer est également très limitée ; le mode ferroviaire souffre de rigidités qui s adaptent peu aux exigences du secteur (faible priorité des trains de granulats, inadaptation à la saisonnalité du trafic ). De plus, concernant les granulats, très peu de carrières ont un accès direct à une voie de chemin de fer. Le transport de matériaux de construction par le ferroviaire a fortement baissé en 2005 (de 10 ) en raison du redimensionnement de son fret par la SNCF.
2 Les enjeux du secteur Une volonté des producteurs de promouvoir le trafic fluvial et le fer Le transport routier - voyageurs et marchandises confondus - est la première source d émission de dioxyde de carbone, principal gaz à effet de serre. Selon le Centre interprofessionnel technique d études de la pollution atmosphérique (CITEPA), le transport routier a émis 130 millions de tonnes de CO 2 en 2004, soit le quart des émissions brutes enregistrées en France. Depuis plusieurs décennies, cette part ne cesse de progresser puisque les émissions du secteur augmentent régulièrement (+ 19 entre 1990 et 2004) alors que celles des autres sources baissent ou sont globalement stables. Les principaux acteurs de la filière entendent cependant s orienter vers des modes de transport plus respectueux de l environnement. Ainsi, les Voies navigables de France (VNF) et l Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (UNICEM) ont signé en mars 2004 un accord-cadre afin de promouvoir le trafic fluvial de ces matériaux. Le mode fluvial a en effet deux avantages, en plus d être adapté au transport de pondéreux en vrac : il est souvent près de la source (granulats alluvionnaires) et il permet d approvisionner les chantiers jusqu en centre ville. De même, la société Fret SNCF et l UNPG (Union nationale des producteurs de granulats) ont signé en juin 2004 un accord-cadre qui fixe les bases d un partenariat dont l objectif est de développer le transport des granulats par chemin de fer. La mesure du transport de marchandises en France Le service Economie, statistiques et prospective (SESP) du ministère des Transports, de l équipement, du tourisme et de la mer gère une base de données sur les transports de marchandises, la base de données SITRAM. Cette base rassemble des informations sur les flux de transports nationaux et internationaux depuis En transport national, les informations, portant seulement sur les trois modes terrestres, proviennent de la SNCF, des Voies Navigables de France et de l enquête sur l utilisation des véhicules de transport routier de marchandises (TRM), réalisée par le SESP. En transport international, les informations sur les entrées et sorties de France, de source douanière, concernent l ensemble des modes de transport. Les statistiques présentées correspondent à celles de la section 6A - minéraux bruts ou manufacturés et matériaux de construction - de la Nomenclature statistique des transports (NST). Cette section regroupe les sables, graviers, argiles, scories, pierres, terres et autres minéraux, le ciments, la chaux, le plâtre et les autres matériaux de construction manufacturés.
3 De fortes disparités régionales Dans les régions les plus dynamiques aux niveaux économique et démographique, la demande en logements, bâtiments professionnels et infrastructures publiques est élevée ; le transport de matériaux de construction y est donc important. Si elle ne résume pas complètement cette demande, la construction de logements répartie par région - présentée dans le tableau - traduit une bonne part de ce dynamisme. Dans toutes les régions françaises, le transport intra régional de matériaux de construction est privilégié (83 du tonnage transporté en moyenne), davantage que pour l ensemble des marchandises (76 en moyenne). Les flux interrégionaux de matériaux s expliquent par : au-delà de frontières régionales souvent fictives, la proximité entre lieux de production et de consommation ou certaines facilités de transport (proximité d une autoroute, d un fleuve ou d une voie ferrée permettant une liaison directe) ; l inadéquation, au sein d une région, entre l offre et la demande de matériaux. Certaines régions souffrent en effet d un déficit en ressources naturelles ou en établissements spécifiques (cimenteries ) et doivent donc recourir à la production d autres régions. L Île-de-France conjugue ces deux explications : bien desservie par le fluvial, cette région est le centre des réseaux routier et ferré de la moitié Nord de la France ; et surtout, alors que la demande de la construction y est très élevée, on n y recense qu une seule cimenterie (sur les 33 établissements français) et peu de carrières. Les granulats extraits dans la région ne couvrent qu un peu plus de la moitié de la consommation. Aussi, parmi les régions françaises, l Île-de-France enregistre les entrées de matériaux les plus élevées (18 millions de tonnes environ en 2002, soit 4,1 MT par le fer, 5,3 MT par le fluvial et 8,5 MT par la route). Avec près de trois millions de tonnes transportées chaque année, le transport fluvial de matériaux entre la Haute-Normandie et l Île-de-France se distingue. Entre ces deux régions, les flux de matériaux acheminés par voies navigables sont incomparablement plus importants que par voie ferroviaire et dépassent même les flux routiers. En raison de la même pénurie - de granulats en particulier - la Bretagne, la Picardie, le Centre et l Aquitaine ont également recours à d autres régions pour couvrir leurs besoins.
4 Les enjeux du secteur Part de la région dans le transport* Fer Fluvial Route Ensemble Flux entrant - flux sortant en milliers de tonnes Part de chaque région dans la construction de logements entre 1999 et 2004** Rhône-Alpes Île-de-France PACA & Corse Pays de la Loire Bretagne Lorraine Aquitaine Midi-Pyrénées Centre Languedoc-Roussillon Nord - Pas-de-Calais Picardie Poitou-Charentes Alsace Champagne - Ardenne Bourgogne Haute-Normandie Auvergne Basse-Normandie Franche-Comté Limousin T O T A L Note de lecture : * flux entrant et sortant de chaque région et flux intra-régionaux ** logements ont été construits en France métropolitaine entre 1999 et 2004 DAEI-SESP ; pour le transport : Base SITRA-M : sources transport - pour le logement : SITADEL -
5 3 Nord - Pas-de-Calais Nord - Pas-de-Calais 2 1 Bretagne 5 Basse- Normandie Haute- Picardie Normandie Île-de-France Picardie Île-de-France 5 Pays de la Loire 1 2 Centre Centre Lorraine 4 4 Poitou- Charentes Poitou- Charentes 3 Aquitaine milliers de tonnes Transport routier > Transport ferroviaire à à 999 Note de lecture : seuls sont représentés les cinq premiers flux interrrégionaux DAEI-SESP - SITRA-M Les transports de marchandises - Le commerce maritime de ciment Même si l essentiel du transport de matériaux se fait sur de courtes distances, le transport international de certains produits s est développé au cours de ces dernières décennies. Le commerce international de ciment s est ainsi peu à peu construit à partir du milieu des années soixante-dix à l initiative de négociants indépendants ou liés à des groupes cimentiers. Le choc pétrolier de 1973 a en effet conduit à un coup d arrêt de la croissance de la demande de ciment en Europe mais, à l inverse, un développement considérable des marchés du Moyen-Orient que les capacités locales ne pouvaient satisfaire. Ce développement a été permis par la banalisation progressive du transport maritime de ciment, à des coûts de fret certes élevés mais non dissuasifs. En 2003, le volume de ciment échangé sur le marché international s est élevé à 127 millions de tonnes (Mt), dont 102 Mt par voie maritime. Ce commerce représente environ 6 de la consommation mondiale. Cette proportion est nettement plus élevée dans les pays dont la demande n est pas satisfaite par la production locale, comme les États-Unis.
6 Les enjeux du secteur Les déclarations environnementales et sanitaires des produits Comme les fournisseurs de produits concurrents, les producteurs de matériaux de construction mettent désormais à disposition des utilisateurs 4 des fiches présentant les caractéristiques environnementales et sanitaires de leurs produits. Ces déclarations environnementales et sanitaires portent sur : les impacts environnementaux des produits à chaque étape de leur cycle de vie : fabrication, transport, mise en œuvre, vie en œuvre, fin de vie ; l évaluation du risque sanitaire : émissions de substances dangereuses réglementées, aptitude à favoriser la croissance bactérienne l évaluation du confort dans les espaces intérieurs. Du point de vue environnemental, ces fiches de déclaration reposent sur l analyse du cycle de vie (ACV), qui mesure les ressources nécessaires pour fabriquer un produit ou un dispositif destiné au bâtiment et ses impacts sur l environnement. Elle s exprime en France suivant la norme NF P , selon 10 critères : consommation d énergie, de matières premières, d eau, production de déchets Les informations d ordre sanitaire sont établies sur la base des exigences de la réglementation française et européenne en vigueur. Avec d autres organismes, notamment l AIMCC, l Ademe - Agence de l environnement et de la maîtrise de l énergie - et le CSTB - Centre scientifique et technique du bâtiment - ont constitué une base de données portant sur les caractéristiques environnementales et sanitaires des produits de construction, dénommée INIES. Cette base est consultable sur Internet depuis décembre ces utilisateurs sont les industriels eux-mêmes, les concepteurs - architectes ou ingénieurs -, les entreprises du bâtiment, les bureaux de contrôle, le client final...
7 La démarche Haute Qualité Environnementale dans le bâtiment Initiée au début des années 1990, la Haute Qualité Environnementale (HQE) est une démarche visant à limiter les impacts d une opération de construction ou de réhabilitation sur l environnement tout en assurant à l intérieur du bâtiment des conditions de vie saines et confortables. Afin de développer cette démarche de manière concertée, l association HQE, créée en 1996, regroupe les acteurs du bâtiment. Cette association est un lieu d échanges, de concertation, d information, de formation et d action. Elle est composée d organismes publics ou collectifs (associations, syndicats) représentant l ensemble des acteurs du bâtiment : maîtrise d ouvrage, maîtrise d œuvre, entreprises, experts, réseaux d acteurs régionaux, fabricants de produits de construction Adhèrent ainsi à l assocation HQE : le Centre d information sur le ciment et ses applications (Cimbéton) et l Association des industries des matériaux de construction (AIMCC) à titre de représentants des industriels, le Centre technique des tuiles et briques (CTTB) et le Centre d études et de recherches de l industrie du béton (CERIB) en qualité d experts. L association HQE offre à ses adhérents - sur la base du volontariat - une possibilité de certification, c est-à-dire une reconnaissance par une tierce partie indépendante de la qualité environnementale de leur démarche et son expression dans leur réalisation. L association a confié à AFAQ AFNOR Certification le soin de mettre en place cette certification. Concernant plus précisément les producteurs de matériaux et produits de construction, la certification impose un effort d information sur leurs offres : ils doivent fournir en particulier des déclarations environnementales et sanitaires conformes à la norme NF P (décembre 2004). Ces déclarations doivent être relayées par les distributeurs de ces produits.
8 Les enjeux du secteur
9
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailConstruction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailLe Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailRecettes de fonctionnement et capacité d'épargne
1 - Recettes réelles de fonctionnement/population Recettes réelles de fonctionnement : total des recettes de la colonne mouvements réels de la balance générale en section de fonctionnement. Evaluation
Plus en détailPanorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique
Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique AFITL - 3 mai 2006 L objectif poursuivi Offrir aux membres de l AFITL (ou à quiconque se promène sur son site Internet) un recensement
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détail3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT
3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le
Plus en détailLa Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise
50 salariés et plus / groupes de distribution (GDSA) dans la Branche des Services de l Automobile GPEC La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise Anticiper les enjeux
Plus en détailObservatoire de l Eolien
Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détail1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE
1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,
Plus en détailENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires
ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détailISF et intermédiation : Collecte 2009
ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour
Plus en détailla création d entreprise en nord-pas de calais
Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en
Plus en détailDe nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse
Plus en détailcafé, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise
DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :
Plus en détailUn dispositif d appui aux très petites entreprises
Spectacle vivant Un dispositif d appui aux très petites entreprises DA TPE-SV Votre entreprise a besoin de se développer? Elle emploie moins de cinq salariés? Vous pouvez bénéficier d un accompagnement
Plus en détailSynthèse. Dynamique de l emploi. J0Z-Ouvriers non qualifiés de la manutention
J0Z-Ouvriers non qualifiés de la manutention Synthèse Les ouvriers non qualifiés de la manutention assurent le chargement, le déchargement, le tri, l emballage et l expédition de marchandises. Ils sont
Plus en détailLes touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France
Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes
Plus en détailLA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/
LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en
Plus en détailLA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/
LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits
Plus en détailPolitique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens
au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailRAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE
Page 1 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 2 Page 3 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Sommaire Sommaire... 3 Edito... 4 Champ d application et d observation... 6 Établissements..14 Effectifs...
Plus en détailau 1er novembre 2013
au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailPanorama. de l économie sociale et solidaire
Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France
Plus en détailLE TRANSPORT ET LA LOGISTIQUE DANS LE COTENTIN
LE TRANSPORT ET LA LOGISTIQUE DANS LE COTENTIN Juillet 2011 Sommaire Le transport et la logistique dans le Cotentin...2 Une filière victime de l enclavement...3 Le transport de marchandises dans la Manche...7
Plus en détail"La santé des étudiants en 2009"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie
Plus en détailGrenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE
Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE N 51243#03 Décret n 2010-1618 du 23 décembre 2010 modifiant le décret n 2007-1873 du 26 décembre 2007 instituant une aide à l acquisition des véhicules propres
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailDépendance et rayonnement. des établissements franciliens
ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France
Plus en détailLES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013
LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailIndices des prix du transport de fret et de l entreposage au quatrième trimestre 2014
COMMISSARIAT Général au développement durable n 621 Mars 2015 Indices des prix du transport de fret et de l entreposage au quatrième trimestre 2014 OBSERVATION ET STATISTIQUES transport Les prix du transport
Plus en détailBIENVENUE AU PETIT DEJEUNER DES TRANSPORTS du Vendredi 27 Novembre 2009 SUR PANORAMA DE L OFFRE DE FORMATION *****
BIENVENUE AU PETIT DEJEUNER DES TRANSPORTS du Vendredi 27 Novembre 2009 SUR PANORAMA DE L OFFRE DE FORMATION ***** SOMMAIRE 1.Offre de Formation Education Nationale 2.Offre de Formation par Apprentissage
Plus en détailTER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE
TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE DOSSIER DE PRESSE SNCF CONTACTS PRESSE Clément Nourrit - 01 53 25 76 56 - clement.nourrit@sncf.fr Gaëlle Rual - 01 53 25 74 83 - gaelle.rual@sncf.fr TER 2020 : VERS
Plus en détailLa mobilité. Au service des Outre-mer
La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première
Plus en détailAQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~
SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...
Plus en détailLivret. du professeur OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS. Le programme Le site Internet La visite Le concours photo
Livret du professeur Le programme Le site Internet La visite Le concours photo OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS Découverte professionnelle 2010-2011 Découverte professionnelle 2010-2011
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailRèglement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale»
Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Article 1 : Organisateur du concours L association France Energie Eolienne, située au 12 rue Vivienne, 75002 Paris, SIRET n 432 446
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailFICHE CANDIDATURE. Ain de mieux vous connaître, nous vous remercions de compléter soigneusement toutes les rubriques de ce document.
FICHE CANDIDATURE Ain mieux vous connaître, nous vous remercions compléter soigneusement toutes les rubriques ce document. Ce document dûment complété n engage en rien Planet Sushi ou le candidat. L intégralité
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailRéglementation Organisation Marché Collecte Traitement Comparaison Perspectives Données européenne. Médicaments. Collection Repères
Réglementation Organisation Marché Collecte Traitement Comparaison Perspectives Données européenne 2013 Médicaments Collection Repères Les médicaments non utilisés (MNU), périmés ou non, sont des médicaments
Plus en détailLa régie de la radio en ligne. Offre commerciale 2013
La régie de la radio en ligne Offre commerciale 2013 Audience des radios EN LIGNE en France Chaque jour, en moyenne 1.9OO.OOO d internautes ont visité au moins l un des sites de Radio 2.0 la semaine, contre
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel des foyers
Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers 1 er semestre 2013 Réalisé par 1 Édito L Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers succède à l Observatoire de l équipement des foyers pour
Plus en détaill essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton
l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton Éléments d aide à la décision pour l éco-réalisation d ouvrages introduction Construction en béton
Plus en détailREGION HAUTE-NORMANDIE
Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie
Plus en détailQuelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015?
www.creditfoncier.com U N E É T U D E D U C R É D I T F O N C I E R Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015? SEPTEMBRE 2015 sommaire PAGE 02 PAGE
Plus en détailPRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN
PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN Commission Animation territoriale CNIG 28/01/2014 Marie-Louise ZAMBON IGN (chef du service des programmes à la direction des programmes civils
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47
Plus en détailL ENQUETE CGPME SUR LE FINANCEMENT BANCAIRE DES PME
L ENQUETE CGPME SUR LE FINANCEMENT BANCAIRE DES PME Conditions de l enquête Du fait des difficultés économiques actuelles, la restriction de l accès au crédit pour les PME devient une préoccupation majeure.
Plus en détailFILIÈRE TRANSPORT-LOGISTIQUE. Enjeux et questionnements Paroles d'acteurs. Synthèse
FILIÈRE TRANSPORT-LOGISTIQUE Enjeux et questionnements Paroles d'acteurs Synthèse avril 2004 Source : Agence de développement et d'urbanisme de Lille Métropole - 2004 2 L Agence de développement et d urbanisme
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailLes fournisseurs de la construction. chiffres. Production industrielle (hors série) Chiffres clés. édition
Production industrielle (hors série) Chiffres clés Les fournisseurs de la construction en chiffres édition 2007 Ce dossier a été réalisé par le Sessi Coordination et réalisation Jean-Pierre Doffin - Tél.
Plus en détailDossier de presse. syndicat de CINOV. FIDI devient le 14 e. La famille des métiers de l ingénierie s agrandit. Paris, le 21 novembre 2013
Paris, le 21 novembre 2013 Dossier de presse La famille des métiers de l ingénierie s agrandit FIDI devient le 14 e syndicat de CINOV FEDERATION CINOV 4, AVENUE DU RECTEUR POINCARÉ - F-75782 PARIS CEDEX
Plus en détailCOMPLETE RECYCLING OF CONCRETE. Socio economic and environmental analysis
DIFFERENT INDUSTRIAL WAYS OF PRODUCTION OF NATURAL AND RECYCLED AGGREGATES IN NORTH-PAS DE CALAIS REGION. Socio economic and environmental analysis Prof. F. Buyle-Bodin (1), Prof. O. Blanpain (2) and Prof.
Plus en détailÉtat des lieux de l observation en santé et de ses déterminants en région
Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé 62 boulevard Garibaldi 75015 Paris Tél : 01 56 58 52 40 info@fnors.org www.fnors.org État des lieux de l observation en santé et de ses déterminants
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011
Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE
Plus en détailLe développement durable clé en main
Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,
Plus en détailgérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers
L i m m o b i l i e r v o u s o u v r e t o u t e s s e s p o r t e s gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers Bienvenue à l UNIS De plus en
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com
Plus en détailLa Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013
CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale
Plus en détailOutils du Groupe GROUPE OPCA GFC AREF BTP. Le Guide des formations obligatoires et recommandées (GFOR) DESCRIPTION DU GUIDE RÉALISATIONS 2010
Outils du Groupe GROUPE OPCA GFC AREF BTP Le Guide des formations obligatoires et recommandées (GFOR) Depuis 11 ans, le Groupe OPCA-GFC-AREF effectue une activité de veille sur les formations obligatoires
Plus en détailLes aides financières
Guide Pratique Les aides financières Travaux d amélioration et d entretien L HABITAT RÉCONCILIONS PROGRÈS ET ENVIRONNEMENT TRAVAUX D AMÉLIORATION ET D ENTRETIEN : DÉCOUVREZ LES AIDES FINANCIÈRES ET RECOMMANDATIONS
Plus en détailL épargne de tous au service de l intérêt général
L épargne de tous au service de l intérêt général 1 Pour la réussite de tous les projets Sommaire Un modèle unique et vertueux 4 Prêts au logement social et à la politique de la ville 7 Prêts au secteur
Plus en détailORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France
Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection
Plus en détailQuelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2014? Une étude du Crédit Foncier
Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2014? Une étude du Crédit Foncier SOMMAIRE PAGE 02 SYNTHÈSE PAGE 03 L INVESTISSEMENT LOCATIF DES MÉNAGES EN FRANCE
Plus en détailAppuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports
Appuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports Jérôme CICILE Transports, Mobilité, Qualité de l Air ADEME Direction Régionale PACA ORT- Avril 2015 De l évaluation des filières énergétique
Plus en détailSynthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires
L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les
Plus en détailBaromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010
Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries
Plus en détail9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs
DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l
Plus en détailForm. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie
Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans
Plus en détail1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km
CONSOMMATIONS DE CARBURANTS DES VOITURES PARTICULIERES EN FRANCE 1988-2005 Direction Générale de l'énergie et des Matières Premières Observatoire de l économie de l énergie et des matières premières Observatoire
Plus en détailQuelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013
Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats
Plus en détailLa VAE à travers les régions. (information conseil et validation) Année 2012. études. Etude logo Proposition 4 bis
La VAE à travers les régions (information conseil et validation) Année 2012 études Etude logo Proposition 4 bis Décembre 2014 Sommaire NOTICE DE LECTURE p. 3 INFORMATION CONSEIL EN VAE Points relais conseil
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailMédiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance
Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance
Plus en détailPourquoi un bilan Green IT? Zoom sur la méthodologie. Les chiffres clés Et moi?
Pourquoi un bilan Green IT? Zoom sur la méthodologie Les chiffres clés Et moi? Bilan Green IT mars 2011 Bilan Green IT mars 2011 Pourquoi un bilan Green IT? > CONTEXTE En France, la loi sur la Responsabilité
Plus en détailDéveloppement durable et logistique
Observatoire partenarial lyonnais en Economie Veille partenariale sur la logistique Cahier n 6 Développement durable et logistique Octobre 2008 Agence d urbanisme - Lyon - F. Guy agence d urbanisme - Lyon
Plus en détailCharte UFCF Green : pour une prise en compte au quotidien...
s Charte UFCF Green : pour une prise en compte au quotidien... c h a r t e u f c f g r e e n Charte_UFCF_12P_2008_V3.indd 1 3/04/08 16:31:27 L UFCF, Union des Frigoristes Cuisinistes de France a pris forme
Plus en détailQu il s agisse de transport de marchandises ou de
Le secteur du Transport et de la Logistique Le secteur du transport et de la logistique Avec l avènement du commerce électronique et la prise en compte du développement durable, l univers du transport
Plus en détailN 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI
N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure
Plus en détailLe commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire
Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire Gwennaël Solard Insee - Division Commerce Chargé d études 18 boulevard Adolphe Pinard 75675 Paris Cedex 14 tél : 01 41 17
Plus en détailUNE LOGISTIQUE FIABLE POUR LE SECTEUR DE L ENERGIE ÉOLIENNE. Continuer
UNE LOGISTIQUE FIABLE POUR LE SECTEUR DE L ENERGIE ÉOLIENNE Continuer Contents Sommaire Comprendre COMPRENDRE VOS BESOINS Comprendre Après avoir progressé en moyenne de 25% par an au cours de la dernière
Plus en détailRepères. Chiffres clés du transport. Édition 2015. mars 2015. Service de l observation et des statistiques
Commissariat général au développement durable Repères mars 205 Chiffres clés du transport Édition 205 Service de l observation et des statistiques mars 205 Chiffres clés du transport www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailRapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires
Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président
Plus en détailSommaire. Message du Président 3. Les 7 enjeux du développement durable 5. Notre Politique, nos actions. Partager une même éthique des affaires 6
Sommaire Message du Président 3 Les 7 enjeux du développement durable 5 Notre Politique, nos actions Partager une même éthique des affaires 6 Garantir et toujours renforcer la sécurité des collaborateurs,
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailIndicateurs de Performance Portuaire et Logistique Flux import conteneurs
Indicateurs de Performance Portuaire et Logistique Flux import conteneurs Maîtrise d ouvrage : Contact : Valérie RAI-PUNSOLA Valerie.rai-punsola@logistique-seine-normandie.com Maîtrise d œuvre : Avec la
Plus en détailOTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP
L intérim dans le secteur du BTP Septembre 2005 Sommaire Introduction page 3 I Données de cadrage du secteur du BTP page 4 A) Evolution du nombre de intérimaires et du taux de recours à l intérim pages
Plus en détailLes 17 et 18 septembre, les sites de production d électricité invitent le public aux Journées de l industrie électrique, EDF.
DOSSIER DE PRESSE JUILLET 2010 2011 Les 17 et 18 septembre, les sites de production d électricité invitent le public aux Journées de l industrie électrique, EDF. Un geste simple pour l'environnement, n'imprimez
Plus en détail