Exposé de la situation par l animateur de la conférence
|
|
- Julien St-Gelais
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SALON INDEPENDANT / Deuxième conférence du Salon «indépendant» Santé et sécurité : ce qu il faut faire ou ne pas faire L animateur de la conférence : M Emile Hagége - Directeur de Copropriété- services Ont été invités à participer à la conférence : M Christophe Grand : Juriste de l ARC. M Thierry Dardalon : Gérant d une société de matériel de sécurité incendie. M Frederic Santo : Gérant d une société de vidéo surveillance. M Malaterre : Gérant dune société de télécommande pour porte électrique de garage. Exposé de la situation par l animateur de la conférence A travers les diverses consultations qui se déroulent au sein de l ARC, il a été constaté que bien souvent différents abus venaient du fait que les syndics ou les prestataires invoquaient (entre autre) des motifs pseudo-sécuritaires-ou-sanitaires pour imposer à la copropriété l obligation d achat de matériels ou la souscription de contrat sous peine - en cas de sinistre ou de préjudice - de pouvoir engager la responsabilité du syndicat des copropriétaires. Encore récemment, une société de vente de défibrillateur s est présentée à l ARC afin de proposer ses produits comme étant devenus des équipements obligatoires à installer au sein des parties communes de la copropriété. Par ailleurs, certains syndics ou professionnels extrapolent. Ainsi en matière de détecteur de fumée, ils tentent d imposer (abusivement) par exemple la pose de détecteurs de fumée dans les parties communes ou bien le changement des colonnes d eau en plomb en se référant à des obligations émanant de directives européennes.. Afin d aborder ces questions, ont été invités dans un premier temps deux professionnels faisant un point sur les abus les plus fréquents en matière sanitaire, c'est-à-dire les diagnostics dans les parties communes et l installation d équipements en matière de sécurité incendie. Puis, dans un second temps, deux professionnels dans leur domaine ont évoqué les nouveaux abus en passe de devenir de plus en plus répandus : l installation de la vidéo surveillance dans les parties communes et le changement obligatoire d équipement d ouverture automatique de portes de parking. Exposé de la situation en matière de sécurité incendie De prime abord, ont été mis en avant les prix excessifs des matériels de sécurité incendie pratiqués par de grands groupes. C est le cas par exemple du prix d un 1
2 extincteur pouvant être supérieur à 180 TTC alors que la coopérative technique de l ARC a négocié des prix d extincteurs (6 kg à poudre) pour un montant de 85 TTC. Mais encore plus grave, il a été constaté que de nombreuses prestations facturées aux copropriétés ne sont tout simplement pas faites, mal ou à moitié faites. L incompétence des intervenants sur les copropriétés explique en partie ce constat. C est le cas par exemple du contrôle des «bacs à sable» dans les parkings où l on ne vérifiera pas que la pelle est bien présente rendant ainsi inutilisable l installation. Par ailleurs, il n est pas rare que des commerciaux des sociétés de sécurité incendie visitent les copropriétés afin de proposer voir d imposer au syndicat des copropriétaires des équipements étant soit non obligatoires soit inutiles. Le procédé consiste à proposer à la copropriété dans un premier temps un audit gratuit des équipements déjà existants sur la copropriété afin ensuite dans un deuxième temps de proposer un devis mettant en avant les équipements étant «soi-disant» inexistant ou non conformes en invoquant un article de loi qui n a rien à voir avec le problème (oui, ils sont prêts à aller jusque là!). C est le cas d une ampoule de blocs de secours qui ne fonctionne pas et qui est considérée par le commercial comme dysfonctionnant impliquant le remplacement entier du bloc de secours au lieu de suggérer seulement le changement de l ampoule. C est à ce titre que le syndic ou bien les membres du conseil syndical devront vérifier les points suivants : Vérifier que les techniciens-extincteurs sont détenteurs du CAP de vérificateurs d extincteurs Ne travailler qu avec des prestataires certifiés NF SERVICE APSAD. Faire établir dans le contrat le détail des prestations par équipement. Eviter les contrats de maintenance totale qui ne sont pas forcement justifiés Contrôler que la prestation est réellement faite La vidéo surveillance les points à contrôler Depuis l explosion de l installation de vidéo surveillance dans les villes, certaines copropriétés sont tentées d installer dans les parties communes (parkings, cours, hall ) des systèmes de vidéos surveillance pensant ainsi dissuader les auteurs d éventuel vandalisme ou vol au sein de la copropriété soit d identifier les auteurs. Cependant, on constate que souvent les équipements choisis ne répondent pas aux attentes sécuritaires de la copropriété. C est le cas par exemple d une installation qui n a pas prévu le zoom pour visualiser une plaque d immatriculation d un véhicule entré frauduleusement dans le parking ou bien l option «enregistrement des vidéos» qui n était pas prévue permettant de revoir l incident. Ces lacunes s expliquent du fait que la copropriété ne procède pas, préalablement à l installation de la vidéo surveillance, à une étude permettant d adapter l équipement à la particularité de la configuration de la copropriété (deux portes de sorties dans le parking, angle mort, possibilité de détruire le matériel ) réduisant à néant l intérêt de l installation, pour s apercevoir à la suite d un incident de l insuffisance des équipements. 2
3 Par ailleurs, un autre abus devient de plus en plus fréquent et dangereux pour les copropriétés. Des sociétés de financement (n ayant aucune connaissance dans ce domaine) proposent aux copropriétés d avancer les frais d installation de la vidéo surveillance permettant ainsi à la copropriété de payer sur de nombreuses échéances (mois ou trimestres) les frais d équipements. Bien entendu, au final le coût de revient de l installation revient beaucoup plus cher à la copropriété du fait que la société de financement prend une commission sur la transaction. Cependant, le réel problème réside dans le fait que la société de financement n assure ni le bon fonctionnement du matériel ni son efficacité. A partir du moment où le syndicat des copropriétaires a accepté le «crédit», il devient redevable et ce même si l installation n est pas opérationnelle. C est à ce titre que le syndic ou bien les membres du conseil syndical devront vérifier les points suivants : Une solution d installation de vidéo surveillance qui apporte des réponses sécuritaires suffisantes La réalisation d un audit indiquant les exigences sécuritaires que la copropriété souhaite Eviter de passer par une société de financement Lier le financement à une obligation de résultat imposant ainsi à la société de financement de s impliquer dans le bon fonctionnement de l installation Ouverture de porte de garage. Les points à contrôler POSITIONNEMENT DU PROBLEME : Depuis trois ans, L ARCEP a interdit d émettre sur la fréquence mhz. De ce fait, certains installateurs d ouverture de porte de parkings automatique (souvent euxmêmes ascensoristes) refusent de fournir de nouvelles télécommandes émettant sur cette fréquence même si l installation est toujours fonctionnelle, imposant ainsi le changement de la totalité de l équipement plus rentable pour la société. Cependant, il est possible d interpréter différemment l interdiction de l ARCEP qui consiste à interdire d installer de nouvelles installations émettant sur la fréquence MHZ sans imposer pour autant le changement des installations existantes si cette dernière fonctionne toujours. C est à ce titre que des sociétés dont «télécommande express» proposent toujours aux copropriétaires des télécommandes émettant sur cette fréquence. Par ailleurs, il a été signalé que de plus en plus d installations d ouverture de porte de garage mais aussi d interphones présentent des émetteurs ou bippeurs verrouillés. Cela a pour conséquence que la copropriété ne pourra alors acheter de 3
4 nouveaux émetteurs qu à la société qui a installé le système et qui pourra ainsi à sa guise revoir les prix des télécommandes ou émetteurs. Il a été signalé que les installateurs considèrent que ce verrouillage ne contrevient pas à l interdiction de monopole considérant que ce type d agissement permet seulement d obtenir une exclusivité sur la copropriété et non un monopole de marché. Bien entendu ce discours purement commercial n est en aucun cas juridiquement valable et d ailleurs un décret est en étude afin d imposer aux ascensoristes ayant verrouillé leur armoire de commande de donner «les cartes» permettant à n importe quel ascensoriste d avoir accès aux données de l ascenseur afin de donner aux copropriétés la possibilité de changer d ascensoriste. Le même raisonnement devra être soutenu en matière d installations d ouverture de porte de garage mais aussi d interphones. L ARC va intervenir auprès de la DGCCRF. Forum aux questions 1. Témoignage : je suis membre du conseil syndical et nous sommes passés par une société de financement pour l achat de notre équipement de video surveillance. Nous sommes effectivement déçus de notre installation ne répondant pas à nos exigences sécuritaires tout en devant payer le crédit auquel nous nous sommes engagés. 2. Doit-on refaire chaque année le diagnostic termite sur les parties communes, sachant qu URBANIA nous le facture? Comme précisé lors de la conférence, le diagnostic termite n est jamais obligatoire dans les parties communes (sauf cas rare) donc vous comprenez bien il n est sûrement pas à refaire. 3. Doit-on obligatoirement faire appel à une société de sécurité incendie pour le contrôle des blocs secours? Non! Un bon électricien peut très bien faire le contrôle Diagnostics L objectif de cette intervention visait à souligner les nombreuses pratiques abusives de syndics et de prestataires professionnels consistant à faire croire aux syndicats, qu ils sont obligés d établir ou de renouveler des diagnostics réglementaires puis de réaliser des travaux de mise en conformité. La présentation a porté sur les thèmes suivants : - les termites ; - le plomb dans les peintures ; - le plomb dans les canalisations ; 4
5 - l amiante. 1 - Les Termites Les termites étant des insectes xylophages («mangeurs de bois»), ils peuvent fragiliser la structure d un bien immobilier. A l occasion de la vente d un lot - situé dans une zone sur laquelle un arrêté préfectoral a été pris - un copropriétaire est légalement tenu de dresser un état parasitaire de moins de 6 mois précisant la présence ou l absence dans ses parties privatives de termites. En cas de termites avérés, le copropriétaire doit en aviser le maire. Le syndicat n est donc pas concerné par ce constat parasitaire. Autrement dit, le syndic n est pas fondé sans autorisation de l assemblée générale à : - dresser un état parasitaire concernant les parties communes de l immeuble ; - conclure de contrat de dépistage des termites dans les parties communes de l immeuble, et ce d autant plus que de telles conventions sont généralement superflues et onéreuses. Il va néanmoins sans dire que le syndic, chargé de l administration et de la conservation de l immeuble se doit de mettre en œuvre : - des mesures préventives appropriées à moindres coûts (absence d encombrants dans les sous-sols, les combles et préserver la ventilation adéquate de ces parties communes) ; - un véritable état parasitaire (après aval du syndicat), si l immeuble est situé dans une zone délimitée par arrêté préfectoral, aux abords duquel se trouve des bâtiments infestés. 2 - Le plomb dans l eau Une directive européenne transposée en droit français a déterminé que le taux de plomb dans l eau ne devra pas excéder 10 microgrammes/litre au 25 décembre Des syndics et entreprises de plomberie prétendent que les syndicats de copropriété seraient tenus de remplacer toutes les canalisations communes d alimentation d eau en plomb au plus tard au 25 décembre Cette affirmation est parfaitement inexacte, car comme nous l avons indiqué cidessus, la réglementation se contente uniquement d imposer un seuil de plomb dans l eau 10 µg /litre au 25 décembre 2013, sans fixer au demeurant la moindre sanction en cas de violation de cette norme. Il convient donc de faire preuve de vigilance face à ces allégations, autrement dit de ne pas se presser, pour les raisons suivantes : 5
6 - le taux maximum de plomb de 10 µg/litre d eau est déjà respecté par de nombreuses copropriétés, suite à la campagne engagée par les compagnies de distribution d eau de changement des conduites d eau en plomb sur la voie publique (avant compteur général) ; - les pouvoirs publics n ont pas défini la méthodologie des analyses concernant la détermination du taux de plomb dans l eau. Or, il ne s agit pas d un élément anodin, puisque le taux de plomb relevé sur un même immeuble peut varier très largement selon l endroit et l heure où les prélèvements sont réalisés ; - des solutions techniques pour se conformer à ce seuil de 10 µg de plomb/litre d eau - autre que le remplacement des canalisations communes en plomb - sont déjà envisageables, telles que le chemisage. On peut enfin penser que d ici 2013, les évolutions technologiques apporteront d autres moyens ou équipements performants et compétitifs, constituant des alternatives au remplacement des canalisations en plomb. 3 - Le plomb dans les peintures L ingestion des particules de plomb des peintures dégradées peuvent provoquer une grave pathologie : le saturnisme. Le législateur a donc imposé la mise en place d un Constat d Exposition au Plomb (CREP) avant le 11 août 2008, et ce uniquement pour les immeubles d habitation construits avant le 1 er janvier Ce diagnostic - fourni notamment à l occasion de la mutation d un lot d habitation - concernait aussi bien les parties communes (établissement à la charge du syndicat), que les parties privatives (constat incombant au copropriétaire). En cas de taux de plomb dans les peintures dégradées supérieur à 1,5 mg/g ou 1mg/cm2, le propriétaire a l obligation de procéder à la réfection de ses revêtements muraux. Face aux dérives relevées chez certains professionnels, il convient de souligner que : - le CREP ne doit être effectué qu une seule fois, peu importe la réalisation de travaux impératifs de suppression du plomb des peintures dégradées ; - par ailleurs, la souscription d un contrat de vérification de l évolution des revêtements communs contenant du plomb n est ni obligatoire ni nécessaire, cela rentrant dans les tâches courante d un syndic (nul besoin d un contrat supplémentaire pour voir si la peinture commence ou non à s écailler... et résulte dans tous les cas d une décision de la seule assemblée générale souveraine (art. 17 de la loi du 10 juillet 1965). 4 - L amiante L amiante est composé de fibres minérales dangereuses qui finissent par se répandre dans l atmosphère lorsque le matériau vieillit. 6
7 Son utilisation a été totalement proscrite le 1 er juillet 1997, en raison des risques pour la santé publique (graves maladies respiratoires provoquées par l exposition continue à ces particules). Après avoir fixé en 1999 une première liste de matériaux et produits auprès desquels la présence d amiante devait être recherchée et recensée dans un Diagnostic amiante, le gouvernement a étendu le repérage de ceux-ci en 2002, retranscrit dans un Dossier Technique Amiante (DTA) et sa fiche récapitulative. Le DTA et sa fiche récapitulative devaient être établis au plus tard : - le 31 décembre 2003 pour les Immeubles de Grande Hauteur (I.G.H.) ; - le 31 décembre 2005 pour tous les autres immeubles. Il nous faut là encore préciser le régime juridique applicable en cas de présence d amiante avérée, afin de mettre un terme à certaines pratiques irrégulières de professionnels : - le DTA et sa fiche récapitulative ne doivent être établis qu une seule fois par un contrôleur technique ou un technicien de la construction ; - lorsque la recherche effectuée par ce spécialiste a démontré la présence d amiante friable, les obligations du propriétaire (syndicat pour les parties communes) sont différentes selon l état des matériaux ou produits incriminés : s ils sont en bon état de conservation, le propriétaire doit faire contrôler leur évolution tous les 3 ans ; s ils sont en état intermédiaire de conservation, le propriétaire doit effectuer une investigation complémentaire dite d empoussièrement. Si l on dénombre plus de 5 fibres d amiantes par litre d air, le propriétaire doit engager des travaux de confinement ou de suppression des matériaux ou produits amiantés. En deçà de 5 fibres d amiantes par litre d air, le propriétaire est tenu de procéder au contrôle triennal évoqué ci-dessus ; s ils sont en état dégradés, le propriétaire supporte les mêmes prescriptions d analyses supplémentaires et de travaux selon le nombre de fibres d amiantes par litre d air recensé. Bien évidemment, le syndicat doit privilégier, pour ce contrôle triennal, des prestations ponctuelles et en aucun cas des contrats représentant un engagement à longue durée inutile et onéreux. 7
Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés
Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des
Plus en détailIMMOBILIER. le parcours de vente. du vendeur. www.notaires.paris-idf.fr
IMMOBILIER le parcours de vente les obligations du vendeur d un bien immobilier De manière générale, le vendeur d un bien immobilier a une obligation d information. À cet effet, la loi lui impose de remettre
Plus en détailTableau d'information sur les diagnostics immobiliers publié le 7 août 2012 19:59 par Christophe RONCHETTI [ mis à jour : 21 sept.
Tableau d'information sur les diagnostics immobiliers publié le 7 août 2012 19:59 par Christophe RONCHETTI [ mis à jour : 21 sept. 2012 14:45 ] 1 - Les diagnostics immobiliers obligatoires pour une vente
Plus en détailI M M O B I L I E R Le rôle du Notaire dans la vente d un bien en copropriété
Conférence débat Jeudi 3 avril 2014 Maître Jean-Marie DURAND I M M O B I L I E R Le rôle du Notaire dans la vente d un bien en copropriété Le statut de la copropriété est régi par la loi numéro 65-557
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique
DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER Cursus complet théorique et pratique Durée : 6 semaines, soit 30 jours de formation : 210 heures Nature de la formation : théorique et pratique Horaires : de 09h00-12h00 / 13h00-17h00
Plus en détailProgramme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment)
FORMATION TECHNICIEN EN DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) Tél : 06 01 744 2 33 http:/ /www.
Plus en détailEtre. syndic bénévole. en toute sécurité avec l ARC ;:> Association des Responsables de Copropriété
Etre syndic bénévole en toute sécurité avec l ARC ;:> Association des Responsables de Copropriété SOMMAIRE I- Pourquoi devient-on syndic bénévole? 1. Les raisons économiques. 2. Les raisons liées à la
Plus en détailIndividualisation de votre contrat de fourniture d eau
GUIDE PRATIQUE Individualisation de votre contrat de fourniture d eau Édition 2015 1 1 - L ESSENTIEL Vous souhaitez réaliser une demande d individualisation SOMMAIRE Bienvenue chez Eau de Paris! 1 L essentiel
Plus en détailSOMMAIRE ASSURANCE, DROITS, RESPONSABILITÉ 31
SOMMAIRE QUI SOMMES-NOUS? 9 INTRODUCTION À LA 4 E ÉDITION 11 1. Le chemin parcouru par l ARC 11 2. La copropriété: les évolutions de ces dernières années 11 3. Un paradoxe 12 4. Un «manuel» pour les syndics
Plus en détailAMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER
AMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER Où trouve-t-on de l amiante? Interdit en France depuis 1997, l'amiante est toujours présente dans les bâtiments construits avant cette date. Des dizaines de millions de mètres
Plus en détailCoordonné par Jean-Michel GUÉRIN, avec la collaboration de Marthe GALLOIS. Quatrième édition
Coordonné par Jean-Michel GUÉRIN, avec la collaboration de Marthe GALLOIS LA COPROPRIÉTÉ Quatrième édition Groupe Eyrolles, 1998, 2000, 2002, 2006 De Particulier à Particulier, 1998, 2000, 2002, 2006 ISBN
Plus en détailLa suppression du poste de gardien
La suppression du poste de gardien Comment ça marche Comment ça marche? Pourquoi supprimer? Avantages et inconvénients? Quelles économies? Cadre légal et réglementaire Réduction n est pas suppression Si
Plus en détailCopropriété. Syndical en. Je veux entrer au Conseil Syndical
Copropriété Le Conseil Syndical en 10 Questions Je veux entrer au Conseil Syndical Association des Responsables de Copropriété 29, rue Joseph Python 75020 PARIS Tél. : 01 40 30 12 82 Fax : 01 40 30 12
Plus en détailprêt copropriétés creditfoncier.fr FONCIER Copro 100 Le financement de travaux sur les parties communes de votre copropriété
prêt copropriétés creditfoncier.fr FONCIER Copro 100 Le financement de travaux sur les parties communes de votre copropriété Une copropriété doit être entretenue et nécessite parfois la réalisation de
Plus en détailLe plomb dans les peintures Quelles obligations pour les propriétaires?
Le plomb dans les peintures Quelles obligations pour les propriétaires? Septembre 2011 Ministère de l Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement MEDDTL_PLOMB_12pages.indd 1 29/07/11
Plus en détailFormacode 11.0 Thésaurus de l offre de formation
Thésaurus de l offre de formation Champs sémantiques Listes annexes Des types de certifications/diplômes/titres Des pays Des logiciels Des publics Des mots-outils Correspondances Formacode Formacode Présentation
Plus en détailAmiante : risques, prévention et formation
Entreprises artisanales de plomberie-chauffage Amiante : risques, prévention et formation L amiante c est quoi? L amiante est un matériau : Naturel Minéral Fibreux Utilisé massivement pendant plus de 130
Plus en détailGuide pratique de la copropriété
ANCC Association Nationale de la Copropriété et des Copropriétaires 13 rue Littré 75006 PARIS Téléphone : 01.42.22.14.14 Télécopie : 01.42.22.69.69 Guide pratique de la copropriété Ce guide a été réalisé
Plus en détailLe service d appels d offres
Le service d appels d offres Demande de devis Le site Mon-immeuble.com vous propose un service d appels d offres accessible par le menu «Appels d offres». Ce service est réservé aux membres du Club MI
Plus en détailL essentiel à retenir quand on achète ou possède un bien en copropriété. Petit. mémo. copropriétaire
L essentiel à retenir quand on achète ou possède un bien en copropriété Petit mémo du copropriétaire Petit mémo du copropriétaire Etre copropriétaire : C est avoir des droits mais aussi des obligations
Plus en détailCOMPTE-RENDU CONSEIL SYNDICAL DU 14/03/2013 Résidence DU PARC 78620 L ETANG LA VILLE
COMPTE-RENDU CONSEIL SYNDICAL DU 14/03/2013 Résidence DU PARC 78620 L ETANG LA VILLE Le conseil syndical du Syndicat des Copropriétaires de la résidence du PARC s est réuni le jeudi 14 mars 2013 à 20h00
Plus en détailDocument téléchargeable sur http://www.quechoisir.org/ KIT DE NEGOCIATION
KIT DE NEGOCIATION 1 Quelques conseils pour mieux gérer les travaux et déjouer les pièges les plus fréquents Faites réaliser un audit avant de lancer les travaux de mise en conformité Cette précaution
Plus en détailProposition d amendements. ARC Association des Responsables de Copropriété
Projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte Proposition d amendements ARC Association des Responsables de Copropriété 17 septembre 2014 1 Table des matières Amendement n
Plus en détailNOR : RDFF1503959C. La ministre de la décentralisation et de la fonction publique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de la décentralisation et de la fonction publique Circulaire du 28 juillet 2015 relative aux dispositions applicables en matière de prévention du risque d exposition à l
Plus en détailIL A ÉTÉ CONVENU ET ARRÊTÉ CE QUI SUIT :
CONTRAT DE SYNDIC Mandat n.. ENTRE LES SOUSSIGNÉS : «Le syndicat des copropriétaires» du... Représenté par le Président de Séance... Agissant en exécution de la décision de l assemblée générale du... Ci-après
Plus en détailLES ÉVOLUTIONS RÉCENTES DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER
LES ÉVOLUTIONS RÉCENTES DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER AMIANTE Réorganisation des listes de produits et matériaux amiantés (listes A, B et C) Augmentation du nombre des matériaux à repérer Annexion obligatoire
Plus en détailANNEXE AU CONTRAT DE SYNDIC LISTE NON LIMITATIVE DES PRESTATIONS INCLUSES DANS LE FORFAIT
ANNEXE AU CONTRAT DE SYNDIC LISTE NON LIMITATIVE DES PRESTATIONS INCLUSES DANS LE FORFAIT PRESTATIONS DÉTAILS I. Assemblée générale I. 1 Préparation de l assemblée générale. a) Etablissement de l ordre
Plus en détailCampagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META)
Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Synthèse des résultats et recommandations F. CLERC 1, C. EYPERT- BLAISON 1, M. GUIMON
Plus en détailGuide de prévention du risque amiante. dans la gestion des bâtiments
Guide de prévention du risque amiante dans la gestion des bâtiments SOMMAIRE GESTION COURANTE DU BATIMENT... 5 Dossier technique amiante (DTA)... 5 Contenu du DTA et de la fiche récapitulative... 6 Mise
Plus en détailPROCES-VERBAL D ASSEMBLEE DES MEMBRES DU CONSEIL SYNDICAL
LE CONSEIL SYNDICAL OREE DE CHEVREUSE RUE DE CHABLIS ET RUE DE LA BRIE 91940 LES ULIS LES ULIS, LE 12/01/2013 PROCES-VERBAL D ASSEMBLEE DES MEMBRES DU CONSEIL SYNDICAL L'an 2013, le samedi 12 janvier a
Plus en détailVENTE D UN APPARTMENT. Les documents ou informations à fournir par le vendeur au notaire
VENTE D UN APPARTMENT Les documents ou informations à fournir par le vendeur au notaire Vous vendez un appartement Afin de préparer au mieux l acte de vente et de conseiller utilement vendeur et acquéreur
Plus en détailVous & Le Syndic Immobilier Romeyer
Vous & Le Syndic Immobilier Romeyer vous partagez la propriété d un immeuble avec d autres vous êtes copropriétaire la copropriété est réglementée Loi du 10 juillet 1965 modifiée par les lois du 31 décembre
Plus en détailAssociation des Responsables de Copropriété
Association des Responsables de Copropriété L ARC, Association des Responsables de Copropriété, est une association à but non lucratif (loi de 1901) créée en 1987. Elle est implantée, en 2015, sur plus
Plus en détailCopropriété JE SUIS COPROPRIETAIRE QU EST-CE QUE LE CONSEIL SYNDICAL?
Copropriété Le Conseil Syndical en 10 Questions JE SUIS COPROPRIETAIRE QU EST-CE QUE LE CONSEIL SYNDICAL? Association des Responsables de Copropriété 29, rue Joseph Python 75020 PARIS Tél. : 01 40 30 12
Plus en détail187 483 484 Vous & L E S Y N D I C 1
187 483 Vous & LE SYNDIC 1 ommaire Vous le syndic Vous êtes copropriétaire Le syndic et la gestion de l immeuble Le syndic et les assemblées de copropriétaires Le syndic représente la copropriété (le syndicat)
Plus en détailRappel chronologique. Projet de loi présenté au Conseil des ministres du 26 juin 2013. Loi votée les 20 et 21 février 2014.
Information Atelier PLH Grand Avignon 7 octobre 2014 Rappel chronologique Projet de loi présenté au Conseil des ministres du 26 juin 2013. Loi votée les 20 et 21 février 2014. Décision du Conseil constitutionnel
Plus en détailGUIDE D UTILISATION SIMPLY SYNDIC
GUIDE D UTILISATION SIMPLY SYNDIC NOVEMBRE 2014 1 SOMMAIRE Installation Page 4 Démarrage et mise en route Page 5 1. CREATION DE LA COPROPRIETE 1.1 L IMMEUBLE Page 6 1.2 LES LOTS Page 7 1.3 LES COPROPRIETAIRES
Plus en détailGUIDE DU CO- PROPRIéTAIRE
GUIDE DU CO- PROPRIéTAIRE Avril 2013 Sommaire SYNDIC DE COPROPRIÉTÉ 6 FONCTIONNEMENT ET VIE DE LA COPROPRIÉTÉ Quel est son rôle? Comment est rémunéré votre syndic? Les différents acteurs Assemblée Générale
Plus en détailGuide. de la copropriété
Guide de la copropriété 3F acteur majeur de l'habitat social 3F construit et gère des logements sociaux. Son parc s élève à près de 190 000 logements dont plus de 100 000 en Île-de-France. 3F est composé
Plus en détailNewsletter Copropriété L information juridique des syndics de copropriété
Newsletter Copropriété L information juridique des syndics de copropriété Juin 2014 N 18 Edito Numéro spécial loi ALUR La loi n 2014-366 pour l accès au logement et un urbanisme rénové, dite Loi ALUR,
Plus en détailQuestionnaire d Assurance RC Professionnelle Beazley Pro
Questionnaire d Assurance RC Professionnelle Beazley Pro Diagnostiqueur Immobilier Expert Immobilier Méthodologie Merci de répondre à l ensemble des questions de manière expresse. Pour les questions qui
Plus en détailLOI ALUR : Quoi de nouveau dans les copropriétés?
LOI ALUR : Quoi de nouveau dans les copropriétés? La loi du 24 Mars 2014 dite «loi ALUR», publiée au J.O. du 26/03/2014 a apporté quelques modifications notables dans le domaine du droit de la copropriété.
Plus en détailI- Quel est le but du contrôle «quinquennal» (contrôle obligatoire tous les cinq ans)?
ARC/ HTTP://WWW.UNARC.ASSO.FR/ DOSSIER DU MOIS DE DECEMBRE 2008 Le contrôle quinquennal obligatoire des ascenseurs Le contrôle quinquennal des ascenseurs a été institué par l article 79 de la loi du 2
Plus en détailLE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE
LE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE Avant-propos Cher copropriétaire, Vous venez d acquérir un logement dans un immeuble en copropriété. Nous sommes heureux de vous accueillir et nous vous souhaitons d y vivre
Plus en détailMise en œuvre des opérations de restauration immobilière
Mise en œuvre des opérations de restauration immobilière Schéma de procédure La déclaration d utilité publique L enquête organisée par préfet selon les dispositions du code de l expropriation Dossier 1)
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détailAZ FONCIER. Une autre façon d exercer la mission de syndic.
AZ FONCIER Une autre façon d exercer la mission de syndic. AZ FONCIER en bref: transparence, économies, professionnalisme Transparence Pour chacun de nos immeubles nous ouvrons un compte bancaire séparé,
Plus en détailLES ASSURANCES : de la négociation des contrats jusqu au versement des LA PROTECTION JURIDIQUE
LES ASSURANCES : de la négociation des contrats jusqu au versement des indemnités. LA PROTECTION JURIDIQUE LES THEMES QUI SERONT ABORDES LES DIFFERENTS INTERVENANTS EN MATIERE D ASSURANCE DE COPROPRIETE
Plus en détailLe rôle du Géomètre-expert dans la copropriété
Document mis en ligne sur le site Internet de la société GEOM7 : http://www.geom7.fr/ Le rôle du Géomètre-expert dans la copropriété (Par M. Roland TARROUX de la Société de Géomètres Experts Foncier GEOM7)
Plus en détailAUDIT GLOBAL PARTAGÉ pour les copropriétés de moins de 50 lots
Cahier des charges de consultation expérimental AUDIT GLOBAL PARTAGÉ pour les copropriétés de moins de 50 lots Date de mise à jour : 06/01/14 SOMMAIRE 0. Introduction 1. Cadre de la mission 2. Constitution
Plus en détailLe cabinet est situé à Uccle à proximité de l Observatoire, au numéro 35 Avenue Houzeau.
Syndic d immeuble Présentation : En tant que professionnel du chiffre et agrée comptable fiscaliste, notre société prend en charge la gestion administrative, financière et technique, de votre bien en privilégiant
Plus en détailArrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre
Plus en détailAccessibilité des personnes handicapées et à mobilité réduite, aux installations et établissements recevant du public.
Conseil Départemental d Ille-et-Vilaine - 16 rue Saint-Hélier - 35000 RENNES 02 99 67 46 27 02 99 67 46 28 ille-et-vilaine@oncd.org www.odcd35.fr Accessibilité des personnes handicapées et à mobilité réduite,
Plus en détailTHEME 1 : Le contrôle des ressources financières allouées au secteur de la santé publique
OBJECTIFS THEME 1 : Le contrôle des ressources financières allouées au secteur de la santé publique Présenté par l Inspection Générale d Etat de la Guinée Conakry Dans le cadre du programme de contrôle
Plus en détailVILLA N B11-2 pièces duplex
Vallon Sapin Sapin Olivier Fil d'eau le 25/04/97 Orme Fil d'eau le 25/04/97 01 Fil d'eau le 4/03/96 Rue Yves Brayer - MANDELIEU LA NAPOULE Terrasse 4,31 Jardin REZ DE CHAUSSEE 5,40 Séjour Cuisine SdB CE
Plus en détailSous forme de tableau, nous revenons pas à pas, tant sur le contenu même de l arrêté, que sur celui de son Annexe.
ARC / ABUS N 2247 / 24 03 10 / www.unarc.asso.fr ARRETE NOVELLI DU 19 MARS 2010 SUR LES CONTRATS DE SYNDIC UNE ANALYSE LIGNE A LIGNE NOS CONSEILS AUX COPROPRIETAIRES Comme nous l indiquons dans nos articles
Plus en détailTERMITES MISSION PROPRIETAIRE MANDATAIRE MISSION
(ordonnance du 8.6.05 : art. 16 ; loi du 13.7.06 : art. 79-IV ; loi du 30.12.06 ; décret du 5.9.06 ; décret du 14.9.06 ; décret du 21.12.06) (art. 18 / CCH : art. L. 271-4 -I à L. 271-6) Mission n 224381
Plus en détailNom ou raison sociale Adresse.. Code postal Ville Téléphone. Fax. Site web.. Forme juridique Numéro de Siren.. Date de création
Code apporteur : Note de présentation Diagnostic immobilier Identification du proposant Nom ou raison sociale Adresse.. Code postal Ville Téléphone. Fax. Site web.. Forme juridique Numéro de Siren.. Date
Plus en détailLETTRE D INFORMATION IMMOBILIER
LETTRE D INFORMATION IMMOBILIER ANNEE 2014 SEPTEMBRE N 752 LOI ALUR TROISIEME PARTIE : COPROPRIETE Jean-Jacques Salmon Philippe Salmon Christine Baugé David Alexandre Droit immobilier Droit de la construction
Plus en détail1.1 La comptabilité pour un syndicat de copropriétaires : qu est-ce que c est?
On a souvent tendance à voir la comptabilité comme quelque chose d inaccessible ou d inutile «parce que çà marche bien dans sa copropriété jusqu à présent». Il est cependant nécessaire de plus de rigueur
Plus en détailPropriétaires, Locataires, Administrateurs de Biens et Assurance en Copropriété
Propriétaires, Locataires, Administrateurs de Biens et Assurance en Copropriété 1. Caractéristiques et champ d application d une Assurance Immeuble : Existe -t-il une obligation d assurance? Aucun texte
Plus en détailVDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.
VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.fr RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE DES MATERIAUX ET PRODUITS
Plus en détailIMPORTANT : Cette page de synthèse ne peut être utilisée indépendamment du rapport d expertise complet
Bien immobilier expertisé : 1 RUE MAURICE PELLERIN PC 699803 Etage : SS-2 et SS-1 92600 ASNIERES SUR SEINE Lot(s) : 2132à2141.2160.2161.2167.2169.2170.2176.2183. 2184.2169.2168 Références cadastrales :
Plus en détailQUESTIONNAIRE D ASSURANCE MULTIRISQUE IMMEUBLE
Serviced Assurance de l industrie hôtelière 26 rue Fortuny 75017 PARIS Tél : 01 55 65 05 10 Fax : 1 55 65 05 20 e-mail : era@erassur.com www.assurance-hoteliere.fr ERA est coverholder LLOYD S Etude et
Plus en détailPLAN DE SAUVEGARDE DE LA COPROPRIETE «LA MOREE»
PLAN DE SAUVEGARDE DE LA COPROPRIETE «LA MOREE» La copropriété «La Morée» est un ensemble qui comporte 18 bâtiments de taille variable (de R+4 à R+12) et 897 logements. L organisation juridique de cette
Plus en détailO R D R E D U J O U R
PARTICIPANTS Membres du conseil Syndical (Présents ou représentés) : (12) Mademoiselle BIANCO / Madame FEDIDA / Messieurs BURLET / DIAB / GAIN / GASTAUD / LARUE / MARTIN / NABET / PEYRUCQ / POREBSKA /
Plus en détailAVEC LE PRÊT RÉNOVATION PARTIES COMMUNES, PRÉSERVEZ VOTRE PATRIMOINE EN FINANÇANT VOS TRAVAUX IMPORTANTS DE RÉNOVATION OU D EMBELLISSEMENT
COPROPRIETES AVEC LE PRÊT RÉNOVATION PARTIES COMMUNES, PRÉSERVEZ VOTRE PATRIMOINE EN FINANÇANT VOS TRAVAUX IMPORTANTS DE RÉNOVATION OU D EMBELLISSEMENT LES ATOUTS DU PRÊT RÉNOVATION PARTIES COMMUNES n
Plus en détailETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE DE GAZ
SARL CLAUDE MOREAU 401 rue de Bordeaux 16000 ANGOULEME Tél. : 05 45 94 10 94 - Fax : 05 45 94 66 57 http://www.claude-moreau-diagnostic.com ETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE DE GAZ Date de la mission :
Plus en détailRe-Certification 2012 Programme complet > 8 modules
Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules Amiante : Formation répondant aux critères de compétence obligatoires dans le cadre de la certification (NF EN ISO 17024) D P E : Formation répondant
Plus en détailLa comptabilité des copropriétés Formation du 16 octobre 2010
La comptabilité des copropriétés Formation du 16 octobre 2010 1 Le règlement de copropriété Le règlement de copropriété est avant tout un contrat interne, dont les copropriétaires sont les parties contractantes.
Plus en détailRAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN
" PRECIA " Société Anonyme à Directoire et à Conseil de Surveillance Au capital de 2 200 000 Siège social à VEYRAS - 07000 PRIVAS R.C.S. AUBENAS B. 386.620.165 (1966 B 16) RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER
OBJECTIFS Réaliser le dossier dans chaque domaine de diagnostique immobilier : amiante, plomb, diagnostic de performance énergétique, termites, gaz et installations intérieures électriques, mesurage des
Plus en détailAPRES AVOIR EXPOSE CE QUI SUIT
CONVENTION ENTRE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DE LA REGION DE NOZAY ET LA SELA POUR LA GESTION DE LA COPROPRIETE DU BATIMENT SITUE TERRASSES DE LA CHESNAIE 44170 NOZAY 1 /7 ENTRE LES SOUSSIGNEES : La Communauté
Plus en détailLES MAJORITES EN COPROPRIETE
LES MAJORITES EN COPROPRIETE Mise à jour : 08/09/2008 MAJORITE - Majorité dite de droit commun qui s applique s il n en est autrement ordonné par la loi Art. 24 alinéa 1 loi 10.07.1965 - Extension de l
Plus en détailLES CHANGEMENTS OPERES SUR LE FONCTIONNEMENT DES COPROPRIETES PAR LA LOI «BOUTIN»
LES CHANGEMENTS OPERES SUR LE FONCTIONNEMENT DES COPROPRIETES PAR LA LOI «BOUTIN» Ces dernières années ont été marquées d une part, par une crise profonde et nationale du logement contribuant à la hausse
Plus en détailguide du copropriétaire
guide du copropriétaire 2 sommaire 6 Comment fonctionne la copropriété? 3 Edito 11 Vous êtes copropriétaires, vous devez... 14 Lexique 4 Qu est-ce que la copropriété? 12 Foire aux questions 10 La vie de
Plus en détailGUIDE DU DÉGÂT DES EAUX. C est parce qu un dégât des eaux ne prévient pas, que nous avons tout prévu.
GUIDE DU DÉGÂT DES EAUX C est parce qu un dégât des eaux ne prévient pas, que nous avons tout prévu. Vous êtes victime ou responsable d un dégât des eaux? Pas de panique. Dans la majorité des cas, ces
Plus en détailLes travaux subventionnables par l Anah LA LISTE ÉTABLIE AU 1 ER JANVIER 2009. Document d information non contractuel
Les travaux subventionnables par l Anah LA LISTE ÉTABLIE AU 1 ER JANVIER 2009 Document d information non contractuel L Anah, Agence nationale de l habitat, attribue des aides financières aux propriétaires
Plus en détailUne collection de nouveaux guides gratuits pour le Salon indépendant de l ARC et de l UNARC du 16 et 17 octobre 2013
Gerer_sinistre_couv_Mise en page 1 08/10/13 14:58 Page1 «Comment faire?» 10 Une collection de nouveaux guides gratuits pour le Salon indépendant de l ARC et de l UNARC du 16 et 17 octobre 2013 Savoir gérer
Plus en détail- le cas échéant, représenté par le mandataire [nom ou raison sociale et adresse du mandataire ainsi que l activité exercée] :
CONTRAT DE LOCATION (Soumis au titre Ier bis de la loi du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n 86-1290 du 23 décembre 1986) LOCAUX MEUBLES A USAGE
Plus en détailNote de présentation Responsabilité civile professionnelle Diagnostic immobilier
Diagnostic immobilier Identification du proposant Nom ou raison sociale Adresse.. Code postal Ville Téléphone. Fax. Site web.. Forme juridique Numéro de siren.. Date de création Possédez-vous un label
Plus en détailPROJET DE LOI LOGEMENT ET URBANISME
PROJET DE LOI LOGEMENT ET URBANISME Décryptage : ce qui pourrait changer pour les propriétaires et les locataires Jean-François BUET Président de la FNAIM Etienne GINOT Président de l UNIS Point presse
Plus en détailCNAFC CONSOMMATEURS. Entraide et vie quotidienne des familles Informer - Conseiller Concilier
CNAFC CONSOMMATEURS Entraide et vie quotidienne des familles Informer - Conseiller Concilier Copropriété Les honoraires de syndic : des charges inacceptables?. Pourquoi cette fiche. Près de la moitié des
Plus en détailDiagnostic immobilier : les responsabilités connexes Compte-rendu de la réunion de la Commission de droit immobilier
Diagnostic immobilier : les responsabilités connexes Compte-rendu de la réunion de la Commission de droit immobilier La sous-commission "Responsabilité assurance construction" de la Commission ouverte
Plus en détailCONTRAT DE SYNDIC N. 96-98, rue du Théâtre (Angle avenue Emile Zola) - 75015 PARIS - Tél. : 01 45 79 89 49 - Fax : 01 45 79 98 29
GESTION DE PATRIMOINE SYNDIC DE COPROPRIETE TRANSACTION FONDS DE COMMERCE EXPERTISE LOCATION 1 CONTRAT DE SYNDIC N ENTRE LES SOUSSIGNES : Le SYNDICAT DES COPROPRIETAIRES de l immeuble : RESIDENCE VASCO
Plus en détailComment sont prises les décisions?
Comprendre TRAVAUX EN COPROPRIETÉ Comment sont prises les décisions? Des règles différentes en fonction des travaux Entreprendre des travaux en copropriété nécessite souvent de suivre un processus assez
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU REDRESSEMENT PRODUCTIF PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, INNOVATION ET ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Ordonnance n o 2014-329 du 12 mars 2014 relative à l
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailL individualisation des frais de chauffage
L habitat collectif COMPRENDRE L individualisation des frais de chauffage Répartir les frais en fonction des consommations des logements Édition : février 2014 sommaire glossaire introduction Répartir
Plus en détailProtocole. TRC/RC Maître d ouvrage Dommages Ouvrage/CNR. Syndic de copropriétés Administrateur de biens
2, avenue Jeanne 92600 ASNIERES SUR SEINE Tél. : 01.42.85.33.33 - Fax : 01.42.85.33.43 e-mail : info@rcb.fr Protocole TRC/RC Maître d ouvrage Dommages Ouvrage/CNR Syndic de copropriétés Administrateur
Plus en détailGESTION DES SINISTRES
GESTION DES SINISTRES Notion de sinistre et limites Un sinistre est un évènement accidentel dont la nature est garantie par le contrat. Un sinistre est indemnisable uniquement s il provoque un dommage.
Plus en détailMATÉRIAUX AMIANTÉS. Travailler en présence de matériaux amiantés SANS PRÉCAUTION peut entraîner des maladies respiratoires très graves :
MÉMO SANTÉ Chef d entreprise artisanale SERRURIERS MÉTALLIERS MATÉRIAUX AMIANTÉS Travailler en présence de matériaux amiantés SANS PRÉCAUTION peut entraîner des maladies respiratoires très graves : Cancer
Plus en détailAMIANTE REGLEMENTATION AMIANTE ET SECOND ŒUVRE DU BATIMENT
REGLEMENTATION AMIANTE ET SECOND ŒUVRE DU BATIMENT Evaluer les risques avant toute intervention, notamment le risque amiante par tout moyen approprié Informer et former le personnel d encadrement et opérateurs
Plus en détailVente immobilière Mode d emploi
Vente immobilière Mode d emploi Quels documents dois-je fournir? Dès qu un accord est trouvé avec l acquéreur, je remets au notaire Les documents portant sur ma situation personnelle Si je suis un particulier
Plus en détailEntretien et nettoyage des copropriétés : en quoi consiste les services associés?
Entretien et nettoyage des copropriétés : en quoi consiste les services associés? Sommaire Dossier publié sur le site mon-immeuble.com, le 16 juin 2014 1 - Développement des services associés 2 - Remise
Plus en détailFICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc
FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc Le ROL est un document à usage des intervenants de terrain non techniciens du bâtiment.
Plus en détailLA COPROPRIÉTÉ DES IMMEUBLES BÂTIS
LA COPROPRIÉTÉ DES IMMEUBLES BÂTIS Le particularisme de la copropriété des immeubles bâtis : Un immeuble bâti est composé d'appartements privatifs ainsi que de parties collectives (toit, escalier, ascenseur,
Plus en détailLe Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.
Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par
Plus en détailRapport de l état relatif à la présence termites dans le bâtiment
Rapport de l état relatif à la présence termites dans le bâtiment Numéro de dossier : Norme méthodologique employée : Date du repérage : Heure d arrivée : Durée du repérage : 13/312 AFNOR NF P 03-201 28/04/2015
Plus en détailCarrefour ARRAS. Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier
Carrefour ARRAS Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier Page / 4 Site : Carrefour ARRAS Expertise Identité complète Responsable : M. Bidon Paul rue des Sachets 600 ARRAS Date d'audit : 06/05/00 Consultant
Plus en détail