La convergence lithosphérique et ses effets
|
|
- Sévérine Paris
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La convergence lithosphérique et ses effets
2 Introduction Le globe terrestre est formé de plusieurs couches concentriques (doc 1). Dans les couches les plus externes, la croûte forme une unité rigide avec la partie la plus superficielle du manteau supérieur : la lithosphère. Celle ci repose sur une structure plus chaude et plus visqueuse : l asthénosphère. La lithosphère est morcelée en plaques tectoniques qui se meuvent les une par rapport aux autres (doc 2). Les mouvements d extension ont lieu principalement au niveau des dorsales ou réside un fort flux thermique témoin d une création de roches par remontée de magma (doc 3). De la lithosphère se forme donc en permanence au niveau des rifts, ainsi pour que le système soit stable, des zones de disparition et de raccourcissement de la lithosphère existent. Problème : quelles convergence? sont les caractéristiques Plan : 1- La convergence et la subduction 2- La convergence et la collision de ces zones de
3 I) Les zones de subduction sont des zones de convergence où de la lithosphère océanique disparaît : 1) Les zones de subduction sont des zones à fort relief, à activité sismique et volcanique importantes : Une zone de subduction correspond à une marge active, soit une frontière de convergence entre une plaque formée d une lithosphère océanique et une plaque comprenant une lithosphère continentale (cas de la subduction andine) ou une lithosphère océanique (cas de la subduction est pacifique) Une zone de subduction, soit une marge active est donc caractérisée par le plongement d une lithosphère océanique et elle s accompagne de : - La présence de reliefs particuliers positifs (chaînes de montagnes, arc volcanique, prisme d accrétion) et négatifs (fosse). - D une importante activité sismique où les séismes ont une profondeur qui augmente lorsque l on s éloigne de la zone d affrontement et leur foyer sont répartis suivant un plan : le plan de Bénioff. - Une répartition particulière du flux thermique : important au niveau du relief positif (on parle d anomalie positive), il est lié à une activité magmatique intense ; faible au niveau du relief négatif (on parle d anomalie négative ), il correspond au plongement de la lithosphère océanique froide dans l asthénosphère. -Une activité magmatique importante. Les zones de subduction sont le siège d'une importante activité magmatique caractéristique : volcanisme, mise en place de granitoïdes. - Une déformation lithosphérique importante au niveau de la lithosphère susjacente. On trouve des failles, des plis Document 4 :
4 La disparition de la lithosphère océanique sous une lithosphère adjacente où sus jacente a été démontrée en étudiant la répartition des foyers sismiques au niveau de ces zones. En effet les séismes qui correspondent à des libérations brutales d énergie son dus à des contraintes exercées sur des parties cassantes des enveloppes terrestres, or ces parties cassantes ne concernent que les 100 premiers km de la lithosphère Document 5 : Zone cassante Zone ductile Ainsi pour expliquer l existence de foyers de séismes à 500 km de profondeur il faut admettre que la zone cassante plonge sous la lithosphère adjacente. Les séismes se répartissent suivant un plan : le plan de Bénioff qui est interprété comme étant l image de la lithosphère plongeante. La répartition du flux thermique est aussi une preuve du plongement du matériel froid de la lithosphère océanique. Nb : Le pendage de ce plan est variable suivant les zones considérées, il est très faible dans les Andes, fort au niveau des Kermadec et très fort au niveau des Mariannes (enregistrements sismolog) Problème : Quel est le moteur de cette subduction?
5 2) Le plongement de la lithosphère océanique est le principal moteur de la subduction : L'évolution de la lithosphère océanique qui s'éloigne de la dorsale s'accompagne d'une augmentation de sa densité. En effet, au fur et à mesure que la lithosphère vieillit, elle refroidit et s épaissit ce qui se traduit par une baisse du flux thermique et une augmentation de la profondeur du plancher océanique. A partir d un certain âge (environ 30 Ma) la densité de la lithosphère est telle qu elle dépasse la densité de l'asthénosphère ; cette différence de densité fait que la plaque océanique plonge inexorablement sous la plaque adjacente plus jeune ou moins dense qu elle. Ce plongement est l'un des principaux moteurs de la subduction. Plus la lithosphère plongeante est vieille et plus elle plongera facilement et rapidement. La différence d âge des 2 lithosphères plongeantes au niveau des subductions andines et des iles Kermadec se traduit par les différences de caractéristiques (pendage du plan de Bénioff, présence d une zone distensive/ figures de compression) observées au niveau des 2 zones dans le Thème 1 Document 6 :
6 3) La subduction s accompagne de transformations minéralogiques : Le métamorphisme : le long du plan de Bénioff, les roches de la lithosphère océanique sont soumises à des conditions de pression et de température différentes de celles de leur formation. Elles se transforment et se déshydratent. Des minéraux caractéristiques des zones de subduction apparaissent (le grenat, la jadéite, le glaucophane), ainsi donc que des roches métamorphiques (schistes bleus et éclogites). Document 7 : composition minéralogique de différentes roches d après Bordas TS Chaque association minéralogique et donc chaque roche est caractéristique de conditions de température et de pression qui correspondent à leur domaine de stabilité. Les modifications minéralogiques s accompagnent d une augmentation de la densité ce qui renforce le plongement et elles se font sans modifications de la composition chimique globale. Document 8 : les domaines de stabilité du métamorphisme = schistes bleus = éclogite
7 Le magmatisme : le magma des zones de subduction provient de la fusion partielle des péridotites au-dessus du plan de Bénioff, cette fusion est due à l'hydratation du manteau qui abaisse la température de fusion (ce qui se traduit par un déplacement du solidus). L'eau provient de la déshydratation des roches de la plaque plongeante. Le magma formé est un magma mixte qui en se refroidissant donne des roches telles que l andésite (en surface) et la granodiorite (en profondeur). Document 9 : La formation du magma andésitique II) La collision continentale est l affrontement final de deux lithosphères continentales. Une collision est l ultime étape d un mouvement de convergence engendré par une subduction. Elle correspond à un affrontement de deux lithosphères continentales. 1) Des roches magmatiques et métamorphiques témoignent du passé océanique de la zone de collision : Les témoins «rocheux» Les roches magmatiques Dans les chaînes de collision on retrouve à plusieurs milliers de km d altitude, des roches magmatiques présentes normalement au niveau du plancher océanique (basaltes en coussin, gabbro et péridotites). Leur présence témoigne de l existence passée d une lithosphère océanique (donc d une période d extension) entre les 2 masses continentales entrées en collision. Ces roches sont réparties dans les ophiolites.
8 Les roches sédimentaires Dans les chaînes de collision plusieurs centaines de mètres de sédiments marins sont présents à des altitudes non conformes à leur lieu de formation. Les roches métamorphiques Au niveau des ophiolites, on trouve aussi des témoins d une ancienne subduction (andésites, schistes bleus...) à l origine du mouvement de convergence entre les deux lithosphères continentales. Document 10 : les formations du Chenaillet Les témoins tectoniques Des témoins d une divergence passée sont aussi observables au niveau de certaines déformations tectoniques comme les blocs basculés que l on retrouve au départ au niveau des marges passives.
9 2) La zone de collision est une zone de raccourcissement et d épaississement crustal : Dans les chaînes de collision des déformations ductiles (plis) et cassantes (failles inverse, nappes de charriage) sont les témoins d un raccourcissement crustal. Document 11 : Quelques exemples de déformations compressives Ce raccourcissement s accompagne d un épaississement de la lithosphère qui est observable grâce à la réalisation de profils sismiques. Ces profils sismiques mettent aussi en évidence de grandes discontinuités dans la lithosphère et c est ainsi qu il a été défini que les zones de collision correspondent à des séries de chevauchements de lambeaux lithosphériques. Document 12 : profil sismique alpin et son schéma interprétatif ( d après Hatier)
10 Les chaînes de collision sont le lieu d un important métamorphisme, différent de celui qui a lieu au niveau d une zone de subduction. Il s agit d un métamorphisme de haute pression. Nb- Lorsque la collision est en phase terminale, les forces de convergences deviennent inférieures aux forces liées au poids et à la résistance de la lithosphère, la lithosphère se fracture alors et cette décompression permet la formation de roches granitiques en profondeur. Conclusion : La Terre apparaît à notre échelle de temps comme quelque chose de stable et de figé, pourtant il a été démontré depuis quelques années que notre écorce terrestre est en perpétuel mouvement, elle se créée au niveau des dorsales et disparaît ou se transforme au niveau des zones de subduction et de collision. Elle a donc été sans cesse remaniée depuis 4.5 Ga, entraînant en permanence de la variabilité des paysages au cours du temps.
Thème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailGéodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1
Géodynamique 2014 Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Pré-requis: Bases en cinématique des plaques, géophysique, géologie sédimentaire,
Plus en détailSéquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1.
Séquence 1 Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale Objectifs Cette séquence permettra de caractériser la croûte continentale du point de vue
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailSéquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques
Séquence 5 Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Sommaire 1. Le recyclage de la lithosphère océanique 2. Le premier modèle de la tectonique des plaques
Plus en détailDocuments sur la patrie tectonique de Madagascar Clé USB avec logiciel Audacity et base de données sismiques en ligne : Sismos à l Ecole
Laboratoire de Sciences de la Vie et de la Terre Mise à l épreuve de l idée d une dérive des continents Première S Au début du XXe siècle, les premières idées évoquant une mobilité horizontale des continents
Plus en détailL E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailGOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités
GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités Google Earth est un logiciel, permettant une visualisation de la Terre (et d autres astres!) avec un assemblage de photographies aériennes
Plus en détailLA PARTIE EXTERNE DE LA TERRE EST FORMÉE DE PLAQUES DONT LES MOUVEMENTS PERMANENTS TRANSFORMENT LA SURFACE DU GLOBE.
LA PARTIE EXTERNE DE LA TERRE EST FORMÉE DE PLAQUES DONT LES MOUVEMENTS PERMANENTS TRANSFORMENT LA SURFACE DU GLOBE. 3 - La partie externe de la Terre est formée de plaques mobiles 4 - Les mouvements des
Plus en détailL océan, un Eldorado pour les ressources du futur?
Les ressources minérales du futur sont-elles au fond des mers? «Il existe au fond des mers des mines de zinc, de fer, d argent, d or, dont l exploitation serait très certainement praticable.» Jules Verne
Plus en détailQue savons-nous de notre planète?
Que savons-nous de notre planète? par Jacques Deferne et Nora Engel Née en même temps que le Soleil de la contraction d'un immense nuage d'hydrogène, d'hélium et de poussière, la Terre est la seule planète
Plus en détailRéalisation d un zonage sismique de la plaque caraïbe préalable aux choix de scénarios de tsunamis aux Antilles françaises. Rapport intermédiaire
Réalisation d un zonage sismique de la plaque caraïbe préalable aux choix de scénarios de tsunamis aux Antilles françaises Rapport intermédiaire BRGM/RP-55376-FR Mai 2007 Mots clés : zonage, séismes,
Plus en détail1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme
Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailUn volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013.
Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. 1 Localisation géographique. C est là! 2 Sommaire. 1 Le contexte géologique. 11 Les Canaries, volcanisme
Plus en détailDesclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan :
Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques 1 Un cycle de la matière qui conditionne la chimie des océans et le climat La Terre, notre planète bleue (Figure 1), est constituée
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailLes calottes polaires Isostasie Champ de température
1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité
Plus en détailComment les Alpes se sont-elles formées? Jacques Deferne et Nora Engel
Comment les Alpes se sont-elles formées? Jacques Deferne et Nora Engel Jacques Deferne & Nora Engel, 7 mai 2014 2 Avant-propos Ce petit ouvrage sur les événements géologiques qui ont modelé les paysages
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailComment faire passer un message
Comment faire passer un message 1 Les Outils Pédagogiques Un cours en salle Le tableau Le rétroprojecteur Le matériel à présenter Un cours dans l eau La démonstration La découverte, les jeux L ardoise
Plus en détailRôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe
Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):
Plus en détailQuestionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE
Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez
Plus en détailLa nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments
La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports
Plus en détailQuel avenir pour l énergie énergie nucléaire?
Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires
Plus en détailIFFO-RME. Informations. Si la France est un pays de. LLa terre a tremblé le 21 novembre 2004 en Guadeloupe et aux Saintes, www.iffo-rme.
4 Informations Brèves L y était En partenariat avec l, l association Prévention 2000 organise une grande commémoration de la crue de la Loire de 1856 sous la forme d une rencontre francophone des «Ambassadeurs
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailDe La Terre Au Soleil
De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailB- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements
B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailSéminaire OSPHARM. Au Costa Rica. Du DIMANCHE 17 au lundi 25 novembre 2013. 9 jours / 7 nuits
Séminaire OSPHARM Au Costa Rica Du DIMANCHE 17 au lundi 25 novembre 2013 9 jours / 7 nuits 1 Le Costa Rica Merveilleux jardin tropical, blotti entre Caraïbe et Pacifique, le Costa Rica n en finit pas de
Plus en détailLe changement climatique et le recours nécessaire au stockage géologique du CO 2... 4
Sommaire Le changement climatique et le recours nécessaire au stockage géologique du CO 2............................ 4 1. Où peut-on stocker le CO 2 et en quelle quantité?............................................................
Plus en détailQu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2%
Cr > 10,5% C < 1,2% Qu est-ce que l acier inoxydable? Alliage de fer comportant 10,5 % de chrome et 1,2 % de carbone nécessaires pour garantir la formation d une couche de surface auto-régénérante (couche
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailGKR. Geological Knowledge Representation Base de connaissances métallogéniques
GKR Geological Knowledge Representation Base de connaissances métallogéniques Objets Organiser un ensemble d informations complexes et hétérogènes pour orienter l exploration minière aux échelles tactiques
Plus en détailBase de données de la sismicité historique de la Nouvelle-Calédonie, Wallis et Futuna et site internet associé
Base de données de la sismicité historique de la Nouvelle-Calédonie, Wallis et Futuna et site internet associé Rapport final BRGM/RP-54376-FR décembre 2005 Base de données de la sismicité historique de
Plus en détailLe point de vue du contrôleur technique
Le point de vue du contrôleur technique mars 2010 P-E Thévenin Contrôle technique en zone sismique le contrôle technique missions et finalité contrôle technique obligatoire les attestations PS de contrôle
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailColloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailCOURS GRATUITS. A- Approche de quelques fonctions du tableau de bord et leur signification respective
COURS GRATUITS CHAPITRE 4 : LE TABLEAU DE BORD INTRODUCTION Un système asservi est constitué des trois entités : - Les éléments de commande et de consigne - Les éléments de traitement d exécution (partie
Plus en détailParc Valentine Vallée Verte
Le Bourbon 10.300 m² de bureaux neufs à louer Parc Valentine Vallée Verte un parc d affaires unique Au cœur d un parc d affaires unique Choisissez pour votre entreprise des bureaux dans un bâtiment historique
Plus en détailINFORMATION UTILE POUR LE VOYAGE
INFORMATION UTILE POUR LE VOYAGE Nom officiel: République de l Équateur. C est un pays situé dans le nord-ouest de l Amérique du Sud, sur la ligne équatorienne. Bordé au nord-est par la Colombie, au sud
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailQui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires.
Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires. Tous les êtres vivants ont besoin d énergie pour vivre,
Plus en détailSérie 77 - Relais statiques modulaires 5A. Caractéristiques. Relais temporisés et relais de contrôle
Série 77 - Relais statiques modulaires 5A Caractéristiques 77.01.x.xxx.8050 77.01.x.xxx.8051 Relais statiques modulaires, Sortie 1NO 5A Largeur 17.5mm Sortie AC Isolation entre entrée et sortie 5kV (1.2/
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailFormation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION
mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions
Plus en détailACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS
ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS
Plus en détailRallye Mathématiques de liaison 3 ème /2 nde et 3 ème /2 nde pro Epreuve finale Jeudi 21 mai 2015 Durée : 1h45
Rallye Mathématiques de liaison 3 ème /2 nde et 3 ème /2 nde pro Epreuve finale Jeudi 21 mai 2015 Durée : 1h45 Précisions pour les problèmes 1 et 2 : Pour ces problèmes, on attend une narration de recherche
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailEléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés
Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,
Plus en détailAUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE
AUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE Ne laissez pas vos tickets reçus vous coûter du temps et de l argent Un livre blanc NCR Vos applications d impression thermique direct ne
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailVisite de la cité des Sciences et de l industrie.
Nom :. Prénom :. Classe :. Visite de la cité des Sciences et de l industrie. Organisation de la journée. Heure Groupe 1 Groupe 2 Groupe 3 Groupe 4 Groupe 5 Groupe 6 8h30 Départ de la gare Arrivée à la
Plus en détailQuel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?
Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme
Plus en détail[24] Le chronomètre lutetium-hafnium. [1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang)
[1] Le processus de la fusion nucléaire primordiale (le Big Bang) [2] La quantité de mouvement et le moment angulaire [3] Calcul de l énergie de liaison des nucléons dans le noyau d un élément [4] Les
Plus en détailNiveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus
Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailLes lieux d où l on voit les Alpes font partie de ces espaces chargés de
Voir les Alpes depuis la Franche-Comté visibilité Daniel JOLY, ThéMA, umr 6049 du cnrs-université de Franche-Comté Les lieux d où l on voit les Alpes font partie de ces espaces chargés de sens : par le
Plus en détailJournée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR
Journée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster 18 Mars 2014 ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR 1 CIPN/GC - Groupe Séisme Sommaire Description de la pince vapeur et du contexte Présentation des diagnostics
Plus en détailT i t l e : Université de Nice - Sophia Antipolis (UNSA) - UFR Faculté des Sciences
T i t l e : Université de Nice - Sophia Antipolis (UNSA) - UFR Faculté des Sciences "Sciences et Gestion de la Terre" Objet : Votre candidature au Master Sciences et Gestion de la Terre 1 ère année Promotion
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL Session 2013 SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 coefficient : 8 ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ L usage de la calculatrice n est pas autorisé. Dès
Plus en détailL utilisation des tables de décompression MN90 et ordinateurs
L utilisation des tables de décompression MN90 et ordinateurs cours N2 2006-2007 Jérôme Farinas jerome.farinas@irit.fr Amis de la Mer FFESSM 08 31 0184 6 décembre 2006 Jérôme Farinas (ADLM) MN90 et ordinateur
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailLA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS
> LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS Opération collective MI-SISBOIS Petit déjeuner thématique du 13 février 2013 / REMIREMONT Baptiste MORON - CRITTBOIS En partenariat avec: Financé par: L
Plus en détailL Ecole et observatoire des sciences de la Terre
L Ecole et observatoire des sciences de la Terre Michel GRANET LabEx G-EAU-THERMIE PROFONDE JOURNÉE DE LANCEMENT 14 Juin 2012 Un peu d histoire des sciences de la Terre à Strasbourg Quelques dates clés
Plus en détailA-MIP 200 Manuel d installation et de fonctionnement
00 A-MIP 00 Manuel d installation et de fonctionnement Informations Générales Important Lisez ce mode d'emploi avant l installation et l utilisation de l Aivia. Lisez attentivement cette section et suivez
Plus en détailÉtude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une
Plus en détailDISS. ETH NO. 17198 LINKING SERPENTINIZATION, FLUID FLUXES, MASS TRANSFER AND MICROBIAL ACTIVITY AT LOST CITY: GEOCHEMICALAND ISOTOPIC CONSTRAINTS
DISS. ETH NO. 17198 LINKING SERPENTINIZATION, FLUID FLUXES, MASS TRANSFER AND MICROBIAL ACTIVITY AT LOST CITY: GEOCHEMICALAND ISOTOPIC CONSTRAINTS A dissertation submitted to ETH ZÜRICH for the degree
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailUne exclusivité Opérateur mobile. Le voyage essentiel
Une exclusivité Opérateur mobile Le voyage essentiel notre proposition la destination Une île nature faite de rudes montagnes au relief torturé qui plongent abruptement dans la mer, de maquis odorant,
Plus en détailOutilsMathematiques-L1-2004/2005-D.Brito.&G.Legaut.
OutilsMathematiques-L1-2004/2005-DBrito&GLegaut lapremiereseancedutp,soitlasemainedu22novembre2004 Lesreponsesauxquestions1a7sontarendresurpapierlorsde TPinformatiquen5 d'uneequationdierentielle: Resolutionnumerique
Plus en détailFilm DATACENTER INTRODUCTION. 1 Depuis le début de l année 2009, la région de Chartres est le centre d une intense activité.
Film DATACENTER INTRODUCTION 1 Depuis le début de l année 2009, la région de Chartres est le centre d une intense activité. 2 Les lignes téléphoniques et accès ADSL ont été modernisés, les capacités électriques
Plus en détailIntroduction. Henri Poincaré
Introduction «On fait la science avec des faits comme une maison avec des pierres, mais une accumulation de faits n est pas plus une science qu un tas de pierres n est une maison.» Henri Poincaré Après
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailVisuel non contractuel OFFRES GROUPES & SÉMINAIRES
Visuel non contractuel OFFRES GROUPES & SÉMINAIRES Totalement intégré à l espace MILLE8, naturellement niché au coeur d Arc 1800 et ouvert sur le domaine Paradiski. MILLE8 est un nouvel espace de loisirs
Plus en détailAssurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT
Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT L EXPERIENCE NNE Àla Compagnie Centrale de Réassurance -Algérie ALGERI E I- Brève présentation
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailRéférentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités. Rapport final
Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités Rapport final BRGM/RP-52261-FR janvier 2003 Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités
Plus en détail