Enquête exclusive
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- Adèle Bouffard
- il y a 8 ans
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1 Dossier de presse Enquête exclusive Ipsos-Sudvinbio La viticulture biologique, en pleine progression, modifie le paysage du vignoble français. En deuxième position mondiale, derrière l Espagne, la France fait d ailleurs figure de bon élève en la matière. Côté consommation, une étude Ipsos initiée par Sudvinbio* en 2011 révélait qu un Français sur trois consomme du vin bio régulièrement ou de temps en temps. Grands amateurs et consommateurs de vin, les Français sont sensibles à l apparition d une offre bio chez les détaillants. Ces tendances se confirment en 2013 avec la nouvelle enquête Ipsos engagée par Sudvinbio afin de connaître les profils des consommateurs de vin bio. L occasion de faire le point sur l évolution de la consommation et la perception des vins bio en France ces deux dernières années. * Cette enquête a été commanditée par Sudvinbio (Association interprofessionnelle des vins biologiques du Languedoc-Roussillon), dans le cadre du 21 e salon mondial Millésime bio qu elle organise à Montpellier les 27, 28 et 29 janvier Cette étude a bénéficié du soutien financier du FEADER et du Conseil Régional Languedoc Roussillon. Étude Ipsos : méthode et échantillon Commanditée par Sudvinbio auprès d Ipsos, l enquête «Le vin bio en France : consommation et profil des consommateurs» a été menée du 1 er au 9 juillet 2013 par internet, auprès de l Access Panel d Ipsos. Échantillon : personnes âgées de 18 à 64 ans constituant un échantillon national représentatif de la population française (méthode des quotas : sexe, âge, profession de la personne de référence du foyer et région). Sommaire Viticulture bio : une filière en pleine croissance p. 2 Vers de nouveaux consommateurs p. 3 Un français sur trois consomme du vin bio p. 4 Consommateur : le profil type p. 6
2 2 PRODUCTION Viticulture bio : une filière en pleine croissance En France, la viticulture est l une des filières agricoles bio qui s est développée le plus rapidement. En progression constante depuis plus de dix ans, elle a permis aux viticulteurs d atteindre dès 2010 les objectifs du Grenelle de l Environnement fixés pour La viticulture biologique en France en 2012 Source : Agence Bio/Oc (2012) centre ha (+ 10 %) dont 712 en conversion (- ) 175 exploitants (+ 2 %) pays de la loire ha (+ 15 %) dont en conversion (+ ) 196 exploitants (+ 8 %) poitou-charentes ha (+ 7 %) dont 322 en conversion (+ 29 %) 101 exploitants (+ 4 %) aquitaine ha (+ 3 %) dont en conversion (- 24 %) 735 exploitants (+ 3 %) champagne-ardenne 404 ha (+ 7 %) dont 178 en conversion (- 5 %) 98 prod. (+ 2 %) alsace ha (+ 3 %) dont 585 en conversion (- ) 265 exploitants (+ 16 %) franche-comté 316 ha (+ 8 %) dont 70 en conversion (- ) 57 exploitants (+ ) bourgogne ha (+ 7 %) dont 863 en conversion (- 26 %) 284 exploitants (+ 4 %) PACA ha (+ 8 %) dont en conversion (- ) 880 exploitants (+ 5 %) corse 751 ha (+ ) dont 137 en conversion (- 32 %) 39 exploitants (+ ) Une filière très dynamique La filière viticole bio est l une des filières végétales bio les plus dynamiques en France. Au cours des cinq dernières années, les surfaces du vignoble bio français ont presque triplé, passant de hectares en 2007 a hectares en 2012 (+ par rapport a 2010). Fin 2012, les surfaces certifiées bio et en conversion représentaient 8,2 % du vignoble national. midi-pyrénées ha (+ 9 %) dont en conversion (+ ) 263 exploitants (+ 9 %) languedoc-roussillon ha (+ 5 %) dont en conversion (- 31 %) exploitants (+ 4 %) rhône-alpes ha (+ 6 %) dont en conversion (- 35 %) 529 exploitants (+ 5 %) Languedoc-Roussillon, Provence-Alpes- Côte d Azur et Aquitaine : le trio de tête Les plus importantes surfaces de vignes cultivées en bio se trouvent dans les trois principaux vignobles français. Ces derniers rassemblent en effet plus de 70 % de la surface totale conduite en agriculture biologique (pour 59 % des producteurs). Précurseur, le Languedoc-Roussillon a conservé son premier rang en 2012, tant en surface ( hectares, soit + 5 %) qu en nombre d exploitations (1 245 exploitants, soit + 4 %). Suivent les régions PACA ( hectares, soit + 8 % et 880 exploitants, soit + 5 %) et Aquitaine (9 752 hectares, soit + 3 % et 735 exploitations, soit + 3 %). Les principaux vignobles dans le monde Aujourd hui, l Europe est le principal producteur de vins bio avec 88 % des surfaces biologiques dédiées au vin dans le monde. Elle est suivie par l Amérique du Nord (6 %) et l Amérique du Sud (3 %). Sur le plan mondial, les principaux pays producteurs de vins bio sont l Espagne avec plus de hectares, la France avec hectares et l Italie avec hectares. Ces trois pays représentent la quasi-totalité du vignoble bio européen, soit environ 80 % des surfaces de vignes bio dans l Union. Source : Sudvinbio «Fin 2012, la part du vignoble bio était supérieure à 10 % dans cinq régions : en Lorraine (20,5 %), PACA (15,7 %), en Alsace (13,5 %), en Franche-Comté (12,7 %) et en Corse (11,8 %).»
3 MARCHÉ 3 Vers de nouveaux consommateurs Le vin bio fait partie des produits alimentaires qui recrutent le mieux. La progression de l offre permet désormais, de développer de nouveaux marchés et de toucher de nouveaux consommateurs. Vin bio : un produit qui attire En 2012, le vin bio représentait 10 % des ventes de produits alimentaires biologiques en France pour un chiffre d affaires de 413 millions d euros, soit une croissance de 15 % en un an (et, avec 249 millions en 2007, une augmentation de 66 % en cinq ans). En 2013, l étude Ipsos-Sudvinbio (voir page 7) confirmait celle de 2011 : un Français sur trois consomme du vin bio régulièrement ou de temps en temps. C est désormais l un des produits bio qui séduit le plus de nouveaux consommateurs (voir page 4) La consommation de vin biologique en France entre 2007 et 2012 Part du vin bio parmi les produits bio consommés 10 % % nc Source : Agence Bio-CSA, baromètres annuels, Données recueillies chez les consommateurs et acheteurs de bio. Une offre pour toutes les gammes Si les consommateurs choisissent de plus en plus les vins bio (+ 15 % en 2012) en particulier dans le contexte de crise économique que nous connaissons l augmentation de leur consommation reste cependant inférieure à la progression des volumes de vin biologique produits : + 41 % en un an*. En revanche, le développement de l éventail permet d étendre la prospection commerciale. N étant plus en situation de pénurie, l offre concerne désormais toutes les gammes et tous les types de vins : la consommation peut se développer à un rythme plus soutenu. * Estimation des volumes avec rendement de 40 hl/ha, d après les données surfaces en AB 2011 et 2012 de l Agence Bio. Acheteurs de vin bio depuis moins d un an 7 % 29 % CA vin bio en millions d euros Évolution CA nc + 2 % % % Répartition des ventes de vins issus de raisins biologiques en 2012 ARTISANS COMMERÇANTS GSA MAGASINS BIO 27 % VENTE DIRECTE 36 % La vente directe : un canal encore majoritaire Plus d un tiers des ventes (en valeur) de vins issus de raisins bio est effectué par la vente directe (36 %) et près d un tiers par les magasins bio spécialisés (27 %). Quant à la grande distribution, elle représente désormais des ventes. Autre phénomène intéressant : avec des ventes, les petits artisans et commerçants vendent presque autant que la grande distribution, ce qui n est pas le cas du secteur des vins conventionnels où la grande distribution domine largement..shock/fotolia.com «La progression du chiffre d affaires des vins bio est due à l augmentation des volumes, les prix étant restés stables. À l export, le vin représente 58 millions des 309 millions d euros du chiffre d affaires en export alimentaire bio (voir camembert ci-contre).» Source : Agence Bio, 2013.
4 4 Perception Un Français sur trois consomme des vins bio Après une première enquête réalisée en 2011 sur la perception et l image du vin bio en France et en Allemagne, Sudvinbio a mandaté Ipsos en 2013 afin de mener une seconde enquête* en France. Comment les consommateurs perçoivent-ils le vin bio? Leur consommation a-t-elle évolué? Explications. * L enquête a été menée du 1 er au 9 juillet 2013 auprès de consommateurs âgés de 18 à 64 ans, habitant en France. Elle comporte deux volets 1 er volet : consommation et achat de vin et de vin bio et 2 e volet : profil des consommateurs de vin bio (pages 6 et 7). consommation globale Vins conventionnels En deux ans, la consommation et l achat de vin par les Français n ont pas évolué : 62 % des Français ( 1 %) ont consommé du vin au cours des six derniers mois, dont un tiers (34 % ; + 2 %) qui en a consommé au moins une fois par semaine. La fréquence d achat de vin est également stable : 79 % des Français (+ 1 %) déclarent avoir acheté du vin au cours des six derniers mois. La consommation et l achat de vin augmentent avec l âge et le niveau de revenus. Elle est également plus importante chez les hommes que chez les femmes, ainsi que chez les personnes résidant dans les régions viticoles du sudouest et du sud-est. Vins bio Alors que le CA du secteur des vins bio progresse (+ 15 % en 2012), qu on voit apparaître de plus en plus de vins bio en GD et que les bars à vins multiplient leur offre dans ce domaine, l étude révèle qu un Français sur trois (33 %) déclare consommer du vin bio (4 % régulièrement et 29 % de temps en temps). Ils sont 16 % (contre 14 % en 2011) à indiquer en acheter régulièrement ou de temps en temps * Lorsque les résultats sont étudiés auprès de l ensemble des interviewés et non pas auprès des seules personnes déclarant avoir entendu parler du vin bio. Vin À quelle fréquence avez-vous consommé du vin? Vin bio À quelle fréquence avez-vous consommé du vin bio? Tous les jours ou presque Au moins une fois par semaine Deux à trois fois par mois 23 % Consomme régulièrement du vin bio 4 % Consomme de temps en temps du vin bio N a jamais consommé du vin bio N a jamais entendu parler du vin bio/nsp 26 % 29 % 41 % Une fois par mois 10 % Moins souvent Jamais NSP Sud de France : une marque mieux perçue Trois Français sur quatre (73 %) déclarent avoir déjà goûté des vins du Languedoc et du Roussillon, dont 8 % qui en consomment souvent (+ 1%). La consommation régulière de ces vins est logiquement plus importante chez les personnes résidant dans le Sud-Est (13 %). Une majorité de Français (52 %) indique également avoir goûté des vins portant la marque «Sud de France», dont 5 % qui en consomment souvent ( chez les personnes vivant dans le Sud-Est).
5 5 L origine géographique : le critère de choix numéro 1 Vin conventionnel L origine géographique est le principal critère motivant l acte d achat, devant le prix (50 %) et la notoriété de l AOC (36 %). C est particulièrement le cas chez les consommateurs très réguliers de vin (tous les jours ou presque) : 72 % mentionnent l origine et 43 % la notoriété de l AOC. Des résultats qui viennent contredire de nombreuses enquêtes de consommation sur l alimentation qui mettent en avant que le prix demeure le principal critère d achat. Le vin reste un produit à part, qui ne peut s appréhender par le seul prisme de son coût. Vin bio Les motivations d achat du vin bio rejoignent en partie celles du vin conventionnel, sauf pour ce qui est du respect de l environnement. Le principal critère motivant l achat de vin bio est aussi l origine (55 % chez les personnes ayant déjà acheté ce type de vin, 57 % chez celles en achetant régulièrement ou de temps en temps). En revanche, le respect de l environnement est un critère autrement plus prégnant pour les acheteurs de vin bio. Cet élément occupe la deuxième place, ex æquo avec le prix, dans la hiérarchie des motivations d achat (37 % de citations contre 7 % pour le vin conventionnel). Chez les personnes achetant du vin bio régulièrement ou de temps en temps, le critère environnemental (43 %) arrive même devant celui du prix (30 %). C est un argument déterminant, comme le montrent par ailleurs les éléments liés à l image du vin bio : le fait d être respectueux de l environnement est l une des principales qualités attribuées par les Français au vin bio (71 %). Ceci est encore plus vrai auprès des acheteurs de ce type de vin (86 %). Quels sont les 3 critères qui motivent le plus votre achat d une bouteille de vin/vin bio? L origine (région ou pays de production) Le prix La notoriété de l AOC Les médailles, les récompenses Les conseils (vendeurs, entourage ) La marque Le respect de l environnement, les labels environnementaux 63 % 50 % 36 % 28 % Le millésime 24 % L indication du ou des cépages sur l étiquette Les promotions 15 % 14 % 7 % Vin 57 % 30 % 37 % 16 % 24 % 12 % 43 % Vin bio CIVL Les consommateurs déclarent dépenser 6,90 pour une bouteille de vin conventionnel contre 8,70 pour une bouteille de vin bio Vin conventionnel Les interviewés se montrent prêts à payer une somme non négligeable pour une bouteille de vin : en moyenne, ils déclarent dépenser 6,90 lorsqu il s agit de leur consommation de tous les jours (contre 6,20 en 2011) et 14 lorsque c est pour offrir (contre 17,20 il y a deux ans). Vin bio Le coût d une bouteille de vin bio a évidemment de l importance, mais c est loin d être un critère prépondérant. Les acheteurs réguliers déclarent dépenser en moyenne 8,70 pour une bouteille de vin bio destinée à leur consommation quotidienne et 15,20 pour une bouteille à offrir. Ces montants sont supérieurs à ceux qu ils déclarent payer pour du vin conventionnel, ce qui corrobore l idée que la garantie d un vin bio suffit a leur faire accepter une différence de prix, même si cette dernière doit rester relative. Combien dépsensez-vous en moyenne pour l achat d une bouteille de vin? 3 et moins De 4 à 5 De 6 à 9 De 10 à 14 De 15 à et plus Pour votre consommation 8 % 1 % 1 % 32 % 9 % 24 % 5 % Pour offrir 36 % 12 % 28 % 28 % 4 % 5 % 3 % 4 % 26 % NSP 12 % 3 % 6 % 3 % Moyenne 6,90 8, ,20 Vin Vin bio Vin Vin bio
6 6 population Consommateurs : profil type Qui sont les consommateurs de vins bio? En quoi se distinguent-ils du reste de la population et des consommateurs de vin conventionnel? C est le second volet de l étude menée par Sudvinbio et Ipsos qui analyse plus en profondeur, le profil de cette population. Zoom. un profil plus masculin Les consommateurs de vin bio réguliers ressemblent pour partie aux consommateurs de vin réguliers. Dans les deux cas, les hommes et les plus de 45 ans sont largement surreprésentés. Ce sont des amateurs de vin en général. 57 % en consomment au moins une fois par semaine. Bons connaisseurs de vin, 43 % se donnent une note supérieure ou égale à 6/10. Les jeunes en proportion plus élevée Les jeunes de 18 à 24 ans, peu présents chez les consommateurs réguliers de vin (8 %) représentent une proportion plus élevée des consommateurs de vin bio (14 %). Des résultats encourageants pour la filière bio. En effet, ce public qui représente les consommateurs de demain est particulièrement sensible aux arguments écologiques. Ils sont plus nombreux que la moyenne à juger ces vins non seulement respectueux de l environnement et du producteur mais aussi plus authentiques et meilleurs pour la santé. Par ailleurs, ceux qui parmi eux achètent régulièrement ou de temps en temps du vin bio placent le respect de l environnement en tête de leurs critères d achat, au même niveau que l origine. Profil des consommateurs de vin et de vin bio SEXE Hommes Femmes 49 % 51 % 58 % 42 % 56 % 44 % Age ans ans ans ans 55 ans et + 8 % 31 % 14 % 23 % 24 % A. Reynaud Pictures Des consommateurs plus aisés et plus diplômés Les consommateurs de vin bio sont davantage que la moyenne issus de catégories sociales aisées. 36 % d entre eux sont cadres ou exercent une profession intermédiaire (contre 27 % de l échantillon global), 32 % disposent de revenus mensuels supérieurs a (contre ) et surtout 35 % ont un diplôme au moins égal a bac + 3 (contre ). Le prix d une bouteille de vin n est probablement pas la seule explication a ce profil plus «élitiste» des consommateurs de vins bio : la soif de découverte et l attachement au respect de l environnement sont également des éléments déterminants qui sont traditionnellement plus prégnants parmi les catégories socioprofessionnelles privilégiées. CSP interviewé(e) Agriculteurs Artisans, commerçants, chefs d entreprises Cadres Professions intermédiaires Employés Ouvriers Retraités Inactifs niveau d études Pas de diplôme BEPC, BEP, CAP, CEP Baccalauréat Bac + 2 Au moins Bac % 6 % 12 % 15 % 3 % 3 % 28 % 24 % 2 % 8 % 16 % 6 % 2 % 28 % 28 % 2 % 8 % 15 % 4 % 13 % 2 % 35 %
7 7 Des consommateurs motivés par l environnement Les consommateurs de vin bio s illustrent par une préoccupation nettement supérieure à la moyenne à l égard de l environnement et une tendance plus marquée a se dire prêts a agir en conséquence : 73 % (contre 57 % en moyenne) acceptent de payer plus cher des produits contribuant à la préservation de l environnement, et 78 % (contre 67 %) préfèrent acheter des produits frais au marché plutôt qu en grande surface. Enfin, ils se montrent attachés a un certain «art de vivre» proche du terroir : cuisiner est un vrai plaisir pour 40 % d entre eux (contre 31 % en moyenne), ils sont plus nombreux à apprécier boire du vin chez eux plutôt qu au restaurant (66 % contre 62 %) et nombre d entre eux considèrent s y connaître plutôt bien en vin (43 % se donnent une note supérieure ou égale à 6/10 contre seulement des Français dans leur ensemble) : en cela, ils sont assez proches des consommateurs réguliers de vin conventionnel, signe que les personnes appréciant le vin bio restent avant tout des personnes appréciant le vin et la convivialité qui y est associée. Attitudes des consommateurs de vin et de vin bio «Je suis prêt à payer plus cher pour des produits qui contribuent à préserver l environnement» Tout à fait Plutôt ST OUI ST NON 46 % 57 % 43 % 15 % 48 % 63 % 37 % 54 % 73 % 27 % «c est important pour moi de connaître l origine, la provenance des produits alimentaires» Tout à fait Plutôt ST OUI ST NON 41 % 47 % 88 % 12 % 51 % 42 % 93 % 7 % 53 % 42 % 95 % 5 % «je préfère acheter mes produits frais (fruits, légumes) au marché plutôt qu en grande surface» Tout à fait Plutôt ST OUI ST NON 42 % 67 % 33 % 31 % 44 % 75 % «niveau de connaissance des vins (auto-évaluation > note sur 10) Moins de 3 37 % 3 ou ou 7 8 à 10 4 % Moyenne 3,5 * Au moins une fois par semaine 9 % 30 % 35 % 9 % 5,3 34 % 44 % 78 % 12 % 27 % 34 % 9 % 5,1 Sudvinbio : un expert Sudvinbio dans le cadre de Millésime bio, le salon mondial des vins biologiques, à Montpellier élabore chaque année des études marchés et consos. Mémo. l 2010 : «La mise en marché des vins issus de l agriculture biologique» : l état des lieux de la production, les volumes et les débouchés en France et à l export, les différents circuits, les avantages et inconvénients Sudvinbio (synthèse et analyse des marchés). l 2011 : Enquête consommateurs dans deux pays : «Le vin bio en France et en Allemagne : perceptions des consommateurs». Étude Ipsos-Sudvinbio Période : septembre 2011 Échantillon France : personnes Échantillon Allemagne : personnes Méthode : enquête en ligne réalisée auprès de l Access Panel d Ipsos. l 2012 : Enquête auprès des gérants de restaurants gastronomiques en France et aux États-Unis : perceptions des chefs et des sommeliers. Étude CHD Expert-Sudvinbio Période : septembre 2012 Échantillon : 204 restaurants. l 2013 : Enquête consommateurs «Le vin bio en France : consommation (baromètre) et profils des consommateurs» : Étude Ipsos-Sudvinbio Période : juillet 2013 Échantillon : personnes Méthode : enquête en ligne réalisée auprès de l Access Panel d Ipsos. Les femmes sont attirées par le bio plus que par le vin Elles représentent 44 % des consommateurs de vin bio et sont moins nombreuses à s intéresser au vin conventionnel (42 %). Si elles considèrent davantage ne pas bien s y connaître en vin, elles sont en revanche très sensibles à la bio en général. En effet, 62 % d entre elles déclarent acheter régulièrement des produits bio, d où sans doute leur propension à s orienter plus facilement vers les vins bio. A. Reynaud Pictures
8 Mondial du VIN BIOLOGIQUE 21 e EDITION JANVIER MONTPELLIER - FRANCE Réservé aux professionnels PARC DES EXPOSITIONS Organisation Sudvinbio Arcades Jacques-Cœur Bât. C 75, avenue de Boirargues Lattes France Contact presse Sudvinbio Cendrine Vimont Tél. : + 33 (0) Mobile : + 33 (0) cendrine.vimont@sudvinbio.com Contact presse Agence Clair de Lune Bureau de Lyon : + 33 (0) Amandine Rostaing : + 33 (0) Roxane Pinault : + 33 (0) Bureau de Gruissan : + 33 (0) Cécile Luquet : + 33 (0)
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