MEDEF Actu-Eco. Semaine du 19 au 23 mai 2014 n 162 SOMMAIRE
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- Renée Duval
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1 MEDEF Actu-Eco Semaine du 19 au 23 mai 214 n 162 SOMMAIRE FRANCE 1. Réforme et résultats des comptes nationaux 213 : croissance à la peine (+,3%), nouvelle dégradation de la situation des entreprises 2. Financement des ETI et des grandes entreprises en mai 214 : amplification de la détente des délais de paiement 3. Climat des affaires en mai 214 : dégradation dans l industrie et les services, stagnation dans le commerce, toujours défavorable dans le Bâtiment 4. Prix à la consommation en avril 214 : -,2% sur un mois, +,7% sur un an 5. Créations d entreprise en avril 214 : +2,1% sur un an en moyenne sur trois mois (+3,8% hors auto-entrepreneurs) 6. Déficit commercial au 1 er trimestre 214 : réduction de -4,4 milliards d euros en cumul sur un an, pour atteindre -6,3 milliards d euros INTERNATIONAL 7. Tendances récentes des marchés * * * 1 MEDEF Actu-Eco semaine du 19 au 23 mai 214
2 1 Résultats des comptes nationaux 213 : croissance à la peine (+,3%), nouvelle dégradation de la situation des entreprises RÉFORMES DES COMPTES NATIONAUX L établissement des Comptes nationaux pour 213, publiés le 15 mai dernier, a été l occasion d importants changements de méthodologie en France (base 21), pour mettre en œuvre la nouvelle version du Système européen de comptes qui introduit d importantes innovations conceptuelles. Elles portent en particulier sur le périmètre des actifs et de l investissement, désormais étendu aux dépenses et aux résultats de la R&D, aux bases de données, jusque-là comptabilisés comme des consommations intermédiaires. C est la principale raison de la forte révision à la hausse du niveau de la valeur ajoutée des entreprises et de celui du PIB dans les nouveaux comptes. Les conséquences «mécaniques» de ces révisions sont de plusieurs natures : - modification à la hausse des ratios particulièrement suivis sur la situation des entreprises : taux de marge de 29,7% de la valeur ajoutée en 213 (au lieu de 28,1% selon les comptes trimestriels dans l ancienne base) et taux d autofinancement de 75,5% (au lieu de 66,1%) ; - modification à la baisse de ratios de finances publiques : taux de PO de 44,7% du PIB en 213 (au lieu de 46%) et taux d endettement de 91,8% du PIB (au lieu de 93,4%) ; - modification à la hausse du poids de l industrie dans la valeur ajoutée totale (13,8% en 213, au lieu de 12,5%). PRINCIPAUX RÉSULTATS DES COMPTES NATIONAUX 213 * Activité : croissance de +,3%, baisse des investissements privés En valeur, le PIB 213 est désormais estimé à milliards d euros (soit 21,1 milliards d euros le point de PIB). En volume, le PIB a progressé de +,3%, 213, comme en 212, performance médiocre recouvrant : - un modeste redressement de la consommation des ménages (+,2%) après son recul historique de 212 (hausse des dépenses de services et d énergie, baisse de celles en biens manufacturés) ; - une baisse des investissements privés (-,9% pour les entreprises, -3,1% pour les ménages), et décélération des investissements publics ; - une contribution positive des échanges extérieurs à l activité : accélération des exportations (services, aéronautique), avec une progression plus vive que celle des importations qui se redressent (biens d équipement, matériels de transport, services). 2 MEDEF Actu-Eco semaine du 19 au 23 mai 214
3 évolution en volume (%) mds euros en 213 PIB +2,1 +,3 +, ,7 Dépenses de consommation des ménages +,4 -,5 +, ,4 Consommation des administrations publiques +,4 +1,5 +1,6 181,3 Formation brute de capital fixe, dont : +2,1 +,3-1, 466,9 - entreprises non financières +3,9 +,1 -,9 251,2 - ménages +1, -2,2-3,1 17,9 - administrations publiques -4,4 +1,6 +1, 85,6 Exportations (biens et services) +6,9 +1,1 +2,2 597,8 Importations (biens et services) +6,3-1,3 +1,7 629,1 Source : INSEE * Sociétés non financières : baisse du taux de marge et du taux d autofinancement en l EBE a baissé pour la 2 ème année consécutive en valeur (-2,6% après -,4% en 212), d où un nouveau recul du taux de marge à 29,7%, niveau le plus bas depuis 1985 (28,4%). C est la conséquence à la fois d une progression des rémunérations plus rapide que celle de la valeur ajoutée et de l alourdissement des impôts sur la production (relèvement en août 212 du forfait social à 2% jouant pleinement pour la première fois en année pleine en 213). - Simultanément l impôt sur les sociétés s est fortement alourdi (limitation de la déductibilité des charges financières et de l imputation des déficits, réforme du cinquième acompte, nouvelle contribution additionnelle portant sur les montants de dividendes distribués, etc.) - Le solde des revenus financiers (versésreçus) est plus favorable qu en 212 : allègement de la charge nette d intérêt (baisse des taux), recul des dividendes versés plus marqué que celui des dividendes reçus. - Au total, l autofinancement diminue de nouveau. Parallèlement, les investissements reculent légèrement en valeur, ce qui limite la baisse du taux d autofinancement (-,8 point à 75,5%), pour la troisième année consécutive. L évolution appelle deux remarques:.entreprises mises à mal par 6 années de crise : progression des salaires versés (+12,1%) et des PO (+1,8%) très supérieure à celle de la valeur ajoutée (+7,2%), baisse des marges de -4,9% et du profit distribuable avant impôt de -9,1%. D où une baisse du taux de marge de 33,5% à 29,7% en 6 ans, et du taux d autofinancement de 85,8% à 75,5%..discours sur l excès des dividendes contredit par les chiffres : forte diminution des revenus distribués, avec notamment une chute de -36% des dividendes nets (versés perçus) depuis MEDEF Actu-Eco semaine du 19 au 23 mai 214
4 * Finances publiques en 213 : +1,1 point de recettes, +,5 point de dépenses, -,6 point de déficit - Hausse de la dépense moins rapide qu en 212 (+1,9% contre +2,9%), mais nettement plus que celle du PIB en valeur (+1,1%) pour atteindre 1 28 milliards d euros en 213 ; - Alourdissement des PO de 1 point (44,7% PIB), résultant principalement des nouvelles mesures fiscales et sociales votées dans la LFR d août 212 (+,3 point) et dans les LFI et LFSS pour 213 (+,9 point). Hors ces mesures, le taux de PO aurait baissé de,5 point ; - Réduction du déficit de -4,8% à -4,2% du PIB, soit -12,2 milliards d euros imputables aux administrations centrales (-17,2 milliards) et aux organismes de protection sociale (-,5 milliard) ; le déficit des collectivités locales s est creusé de 5,5 milliards («cycle électoral» municipal); - Alourdissement de la dette de +3,1 points (91,8% PIB), pour atteindre 1 94 milliards d euros. % PIB (mds d'euros) Dépenses publiques 52, ,8 56,4 55,9 56,7 57,2 128,2 Recettes publiques 49,7 49,8 49,6 49,6 5,8 51,8 52,9 1118,7 Déficit au sens de Maastricht -2,5-3,2-7,1-6,8-5,1-4,8-4,2-88,8 Dette publique 63, ,8 84,4 88,7 91,8 1939,7 Prélèvements obligatoires 42,1 41, ,3 42,6 43,7 44,7 944,8 * Ménages : stabilité du pouvoir d achat global, baisse du pouvoir d achat individuel - En 213, progression du revenu disponible brut des ménages (RDB) de +,6% en valeur, rythme analogue à celui de 212 (+,5%). Parallèlement, décélération du prix de la dépense de consommation finale (+,6% après +1,4%), d où une stabilité du pouvoir d achat du RDB en 213 après un net recul en 212 (-,9%). Compte tenu de la croissance de la population, nouveau repli du pouvoir d achat individuel (pouvoir d achat par unité de consommation) de -,6%, pour la 3 ème année consécutive. - Par type de revenus, la contribution principale à la hausse du RDB en valeur en 213 est celle des prestations sociales, même si elles décélèrent (+2,8%), portées par la branche vieillesse et les prestations de l UNEDIC. La masse salariale nette reçue par les ménages ralentit (+,5% après +1,6% en 212) : moindre progression des salaires et traitements (+1,% après +1,8%) sous le double effet du recul de l emploi et de la modération du salaire moyen net par tête (+1,2% après +1,9%), accélération des cotisations sociales versées par les salariés (+5,% après +3,3%) en lien avec la fin de l exonération des heures supplémentaires depuis septembre 212, et la hausse des taux de cotisation vieillesse. - Quasi stabilité du taux d épargne des ménages (-,1 point) à 15,1% du RDB, après trois années successives de baisse. 4 MEDEF Actu-Eco semaine du 19 au 23 mai 214
5 mai-7 nov.-7 mai-8 nov.-8 mai-9 nov.-9 mai-1 nov.-1 mai-11 nov.-11 mai-12 nov.-12 mai-13 nov.-13 mai-14 mai-7 nov.-7 mai-8 nov.-8 mai-9 nov.-9 mai-1 nov.-1 mai-11 nov.-11 mai-12 nov.-12 mai-13 nov.-13 mai-14 mai-7 nov.-7 mai-8 nov.-8 mai-9 nov.-9 mai-1 nov.-1 mai-11 nov.-11 mai-12 nov.-12 mai-13 nov.-13 mai-14 mai-7 nov.-7 mai-8 nov.-8 mai-9 nov.-9 mai-1 nov.-1 mai-11 nov.-11 mai-12 nov.-12 mai-13 nov.-13 mai-14 2 Financement des ETI et des grandes entreprises en mai 214 : amplification de la détente des délais de paiement Selon l enquête AFTE / Coe-Rexecode, réalisée début mai 214 auprès des trésoriers des ETI et des grandes entreprises (5 salariés ou plus) : - Normalisation de la situation de trésorerie d exploitation ; - Accélération de la détente des délais de paiements des clients. Le solde d opinion est inférieur à sa moyenne ; - Confirmation de la réduction des marges sur les crédits bancaires, le solde d opinion étant toujours négatif ; - Recherche de financement jugée plutôt facile Situation de la trésorerie d'exploitation (solde d'opinion, %) Moyenne Délais de paiement (solde d'opinion, %) Moyenne Evolution des marges de crédits bancaires (solde d'opinion, %) Recherche de financement (solde d'opinion, %) Moyenne Moyenne Source : AFTE / Coe-Rexecode 5 MEDEF Actu-Eco semaine du 19 au 23 mai 214
6 mai-7 sept-7 janv-8 mai-8 sept-8 janv-9 mai-9 sept-9 janv-1 mai-1 sept-1 janv-11 mai-11 sept-11 janv-12 mai-12 sept-12 janv-13 mai-13 sept-13 janv-14 mai-14 3 Climat des affaires en mai 214 : dégradation dans l industrie et les services, stagnation dans le commerce, toujours défavorable dans le Bâtiment Selon les dernières enquêtes de conjoncture publiées par l INSEE, le climat des affaires en France est resté stable en mai 214. Cependant, l indicateur synthétique est toujours nettement inférieur à sa moyenne de longue période (2-213) et est empreint de lourdeurs depuis la rentrée Indicateur synthétique du climat des affaires Moyenne Source : INSEE Cette stagnation du climat des affaires recouvre des évolutions contrastées selon les secteurs : - Dégradation dans l industrie manufacturière (perspectives personnelles de production moins bien orientées, dégradation des carnets de commandes, quasi-stabilité des stocks de produits finis) et dans les services (anticipations pessimistes d activité, de demande et d emploi pour les prochains mois) ; - Stagnation dans le commerce de gros (perspectives générales d activité légèrement mieux orientées, intentions de commandes quasi-stables, perspectives d emploi plus optimistes) et dans le commerce de détail (stabilité des perspectives générales d activité, stagnation des soldes relatifs aux intentions de commandes et à l emploi, légère dégradation du solde relatif aux ventes prévues) ; - Toujours défavorable dans l industrie du bâtiment, malgré un léger redressement de l indice (pessimisme persistant sur l activité des prochains mois, carnets de commandes toujours jugés inférieurs à la normale, emploi toujours en berne). 6 MEDEF Actu-Eco semaine du 19 au 23 mai 214
7 4 Prix à la consommation en avril 214 : -,2% sur un mois, +,7% sur un an * L indice des prix à la consommation est, en données brutes, resté stable en avril 214, après avoir progressé de +,4% en mars. En données corrigées des variations saisonnières, il s est replié de -,2%, après -,1% en mars. Ce repli est général (-,1% dans l énergie, l alimentaire et les produits manufacturés), sauf pour les services, dont les prix ont stagné. Sur un an, l inflation reste faible : l indice a progressé de +,7% entre avril 213 et avril Evolution sur trois mois de l'indice des prix à la consommation (%, rythme annualisé, données CVS) +2,5 Evolution sur un an de l'indice des prix à la consommation (%, données CVS) +4 +2, sous-jacent +1,3 +1,5 +1, +,5 total +,7 +, ,2 total -,5-1, sous-jacent Source : INSEE * Entre janvier et avril 214, les prix se sont repliés de -,2% l an, après +,7% l an entre octobre 213 et janvier 214. Cette baisse est principalement imputable au repli des prix des produits alimentaires (-2,2% l an, après -,1%), dont -15,4% pour les seuls produits frais, et, plus encore, à celui des prix des produits énergétiques (-6,9% l an, après - 2,1%), avec une baisse de -13,3% des prix des produits pétroliers. En revanche, les prix ont progressé dans les services (+1,3% l an, après +2,3%) et pour les produits manufacturés (+2,6% l an, après -3,9%). * L inflation sous-jacente (hors tarifs publics, énergie, produits frais) s est accélérée en fin de période : l indice correspondant s est accru de +1,3% l an entre janvier et avril 214. Sur un an, il a augmenté de +,5%. 7 MEDEF Actu-Eco semaine du 19 au 23 mai 214
8 avr.-7 oct.-7 avr.-8 oct.-8 avr.-9 oct.-9 avr.-1 oct.-1 avr.-11 oct.-11 avr.-12 oct.-12 avr.-13 oct.-13 avr.-14 avr.-7 oct.-7 avr.-8 oct.-8 avr.-9 oct.-9 avr.-1 oct.-1 avr.-11 oct.-11 avr.-12 oct.-12 avr.-13 oct.-13 avr Créations d entreprise en avril 214 : +2,1% sur un an en moyenne sur trois mois (+3,8% hors auto-entrepreneurs) * Les créations d entreprise (y compris auto-entrepreneurs) ont progressé de +2,5% en avril 214 en données CVS-CJO, après deux mois consécutifs de baisse. Hors auto-entrepreneurs, elles ont progressé de +3%, après une baisse de - 1,1% en mars. * En moyenne mobile sur les trois derniers mois connus (février, mars, avril 214), les créations totales ont progressé de +2,1% (+956), par rapport aux trois mêmes mois de l année précédente, toujours en données CVS-CJO. Elles ont ainsi atteint le nombre de unités. Hors auto-entrepreneurs, elles ont progressé de +3,8% (+828) sur la même période. Elles sont désormais au nombre de La progression des créations d auto-entreprise a été beaucoup plus faible (+,6%). Elles représentent une création sur deux Créations d'entreprise y compris auto-entrepreneurs (moyenne mobile sur trois mois, données CVS-CJO) Créations d'entreprise hors auto-entrepreneurs (moyenne mobile sur trois mois, données CVS-CJO) Source : INSEE Cette progression se retrouve dans tous les grands secteurs mais à des degrés divers : +,1% dans le commerce (2% du total), +1,8% dans la construction (14,9% du total), +2,9% dans les services marchands (48,8% du total), +7,5% dans l industrie (5,4% du total). Au sein des services marchands, les évolutions sont également contrastées, de -5,8% dans l information et la communication à +25,4% dans les transports et l entreposage. 8 MEDEF Actu-Eco semaine du 19 au 23 mai 214
9 6 Déficit commercial au 1 er trimestre 214 : réduction de -4,4 milliards d euros en cumul sur un an, pour atteindre -6,3 milliards d euros * En mars 214, le déficit commercial FAB-FAB s est creusé de 1,1 milliard d euros, passant de -3,8 milliards d euros en février 214 à -4,9 milliards d euros. Cette détérioration de la balance commerciale provient d une progression des importations (+3,4%) plus importante que celle des exportations (+,6%). Ce rebond des importations résulte notamment, selon les Douanes, «d une reprise des achats énergétiques et d une poussée exceptionnelle des approvisionnements de l industrie pharmaceutique». * Néanmoins, sur l ensemble du 1 er trimestre 214, le déficit commercial s est réduit de 1,3 milliard d euros, à -14,4 milliards d euros, contre -15,7 milliards au 4 ème trimestre 213. Ce redressement du déficit commercial est imputable au recul de -1,1% des importations (-,5% au 4 ème trimestre 213). «Cette baisse plus marquée provient notamment du repli des achats aéronautiques et automobiles, et de la chute des achats énergétiques». Les exportations ont, quant à elles, stagné, après deux trimestres consécutifs de baisse : «les ventes de machines industrielles, de produits des IAA et de produits chimiques repartent à la hausse». Par ailleurs, «les exportations automobiles reprennent des couleurs depuis deux trimestres» Solde FAB-FAB des échanges de marchandises (milliards d'euros, cumul sur un an) -6,3 Source : Douanes * En cumul sur un an, le déficit FAB- FAB s est réduit de 4,4 milliards d euros, passant de -64,7 milliards d euros au 1 er trimestre 213 à -6,3 milliards au 1 er trimestre 214. En données FAB-CAF, il est passé de -81,7 à -78,1 milliards d euros, soit une réduction de 3,6 milliards d euros. 9 MEDEF Actu-Eco semaine du 19 au 23 mai 214
10 4T25 1T26 2T26 3T26 4T26 1T27 2T27 3T27 4T27 1T28 2T28 3T28 4T28 1T29 2T29 3T29 4T29 1T21 2T21 3T21 4T21 1T211 2T211 3T211 4T211 1T212 2T212 3T212 4T212 1T213 2T213 3T213 4T213 1T214 4T25 1T26 2T26 3T26 4T26 1T27 2T27 3T27 4T27 1T28 2T28 3T28 4T28 1T29 2T29 3T29 4T29 1T21 2T21 3T21 4T21 1T211 2T211 3T211 4T211 1T212 2T212 3T212 4T212 1T213 2T213 3T213 4T213 1T214. Sur le plan sectoriel, point positif : la facture énergétique s est allégée de 5 milliards d euros, le déficit passant de - 68,7 milliards d euros à -63,7 milliards d euros. En revanche, l excédent agroalimentaire s est réduit de 1,4 milliard d euros à +1,8 milliards d euros. Le déficit des échanges industriels est resté stable à -25,5 milliards d euros Solde FAB-FAB des échanges de marchandises (milliards d'euros, cumul sur un an) +1,8 Agroalimentaire Industrie manufacturière* Energie -25,5-63,7 Source : Douanes / (*) hors IAA et produits pétroliers raffinés et coke. Sur le plan géographique, le déficit de nos échanges avec la zone euro s est réduit de 3 milliards d euros, repassant sous la barre des -4 milliards d euros, pour la première fois depuis fin 211. A noter en particulier la réduction de 2,9 milliards d euros du déficit avec l Allemagne à -15,2 milliards d euros. Le déficit s est également réduit, mais moins fortement, pour nos échanges avec l Europe hors UE et l Amérique. En revanche, le déficit avec l Asie s est creusé de 2,5 milliards d euros à -25,2 milliards d euros Solde FAB-FAB des échanges de marchandises (milliards d'euros, cumul sur un an) Proche et Moyen Orient +1,8 Afrique +,4 Amérique -3,1-9,6 Europe hors UE Asie Zone euro -25,2-39,9 Source : Douanes 1 MEDEF Actu-Eco semaine du 19 au 23 mai 214
11 7 Tendances récentes des marchés 2,5 2,3 2,1 Taux de rendement des obligations d'etat à 1 ans (%) France 9 8 Taux de rendement des obligations d'etat à 1 ans de la Grèce (%) 1,9 1,7 1,5 1,3 Allemagne 1,85 1, ,75 1,4 1 euro =... dollar 1,39 1,38 1,37 1,36 1,35 1,34 1,33 1,32 1,37 Cours des matières premières hors pétrole et métaux précieux 25 (1 = 1988) dollars euros 115 Prix du baril de pétrole brut Mer du Nord (brent) 14 Cours de l'once d'or (en dollars) 15 19, dollars ,3 85 euros 8, Rédaction achevée le 23 mai MEDEF Actu-Eco semaine du 19 au 23 mai 214
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