Interview: Nikola Hajdin, président de l Académie serbe des sciences et des arts
|
|
- Simon Carignan
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Interview: Nikola Hajdin, président de l Académie serbe des sciences et des arts Investir dans la science représente l avenir de la société Le fait qui témoigne de la réputation de nos académiciens, c est que, des 10 projets destinés aux Balkans de l Ouest, notre pays en a obtenu huit Une affectation insuffisante des fonds pour la science aura de lourdes conséquences sur le développement de la Serbie. C est l Etat qui est censé stimuler la science et lui apporter un soutien d ordre financier, et ce avec un objectif précis pour que, par là, il fasse avancer la technologie et, en fin de compte, l économie et le niveau de vie. L Académie ne peut pas donner des réponses à toutes les questions qui se posent dans la vie, mais en tant qu institution qui lutte pour la science et la vérité de l art, nous tâchons d aller dans le sens du progrès de ce pays dit, dans l interview donnée à "Blic", Nikola Hajdin, président de l Académie serbe des sciences et des arts. Sonja Šulović La loi sur l ASSA et ses instituts n a pas été adoptée, et le taux des fonds attribués à la science n est que de 0,3 pour cent du revenu national brut. Une influence plus importante exercée par les académiciens sur certains organismes du Gouvernement et de l Assemblée dans la période écoulée, de même qu une bonne coopération avec les ministères de la science, de l éducation et de la culture, font voir que, malgré tout, les relations entre les plus hautes institutions scientifiques et culturelles du pays et l Etat changent. - Les relations avec ces ministères n ont jamais été aussi bonnes. Nous avons de même une excellente coopération avec le Ministère de la jeunesse et du sport, car nous sommes engagés dans le Fonds pour l attribution des bourses aux jeunes. La coopération va, certainement, se développer, et ce au profit et à la satisfaction de tous. Lorsqu il s agit de l argent et des moyens financiers, les fonds pour la science, dans leur ensemble, sont minimes et la situation est très mauvaise. Pourtant, je crois qu à tous les niveaux on réfléchit comment faire pour que la science puisse contribuer au développement de l économie, de la production et du niveau de vie. Quel modèle de coopération entre l Etat et la science serait réalisable en vue de faire progresser la société? Y a-t-il des exemples d une telle coopération dans la région ou en Europe? - Beaucoup de pays ont fait un énorme progrès dans leur développement économique grâce à l apport de la science. Citons l exemple de l Espagne, du Portugal ou de l Irlande. Aujourd hui, on voit que des choses semblables se produisent dans d autres pays aussi, comme en République tchèque et en Pologne. Cependant, chaque pays a des
2 Interview: Nikola Hajdin, président de l Académie serbe des sciences et des arts 2 possibilités particulières et de différentes ressources naturelles. Je ne suis pas sûr que, dans l ensemble de notre Gouvernement, il y ait une idée nette qu il faut affecter plus de fonds pour la science et plus particulièrement à quoi donner la priorité qui mènera vers de bons résultats. Il n est pas question uniquement de l argent, mais de la sagesse dans quelle direction l orienter, et sur ce point-là, les opinions sont assez partagées. Une chose est sure, c est que, sans la science, il n y aura pas de progrès. Nous ne pouvons pas seulement acheter sur la base des licences étrangères, nous devons, tout aussi bien, créer quelque chose nous-mêmes. Sinon, notre importation l emporterait sur l exportation et, dans l avenir, on ne pourrait pas s attendre, non plus, à une augmentation du niveau de vie de la population. Quels sont les projets en train d être réalisés, et quels sont les projets envisagés? A quoi peut-on s attendre lorsque nous nous confrontons aussi au problème global celui de la crise économique? - Il est évident, pour tout le monde, que le fait d être confronté à la crise économique aura des conséquences négatives, mais ces conséquences, ce n est pas demain la veille qu il faut s y attendre. Ce qu on attend de la science, spécialement des sciences fondamentales et appliquées, c est de faire avancer la technologie qui permettra à faire augmenter l ensemble de la production du pays ainsi que le niveau de vie. Bien que les fonds, réservés par l Etat même pour chacune de nos sections, soient modestes, les académiciens réalisent des résultats considérables, et il existe des projets importants sur lesquels travaillent des académiciens en coopération avec des universités et instituts. D une année à l autre, nous sommes de plus en plus inclus, notamment les académiciens des sciences exactes, dans les projets de l UE pour lesquels il est difficile d obtenir des fonds. Le fait qui témoigne de la réputation de nos académiciens, c est que, des 10 projets destinés aux Balkans de l Ouest, notre pays en a obtenu huit. Et puis, nous participons de manière active dans les recherches du domaine des sciences politiques dont les résultats sont très importants pour élever le niveau de conscience, de culture et de développement scientifique de chaque pays. Est-ce que l Académie serbe des sciences et des arts s autofinance, et comment le fait-elle? - Malheureusement, les fonds que l Académie reçoit, et qui ne proviennent pas du budget, sont minimes et viennent des donations ou bien du bail des locaux. Avant la Deuxième guerre mondiale, il y avait un grand nombre de donateurs et de bienfaiteurs qui offraient d importants moyens financiers. Je crois qu il y aura, de nouveau, un temps où l Académie, en tant qu une haute institution des sciences et des arts, aura de grands mécènes. Ces fonds permettraient à l institution même d exercer une influence d une plus grande importance, de créer des fonds pour les jeunes cadres et des prix de différents domaines de la science. Dans le monde, de tels prix sont prestigieux il est connu que les moyens financiers viennent des donateurs, et que la décision porte le sceau de la plus grande institution de la science et de la culture. Pour le moment, il n'y a pas eu de volonté déclarée pour établir, chez nous aussi, la même pratique. Quel est le statut de l académicien dans notre pays? -Chacun est apprécié à sa valeur. Le fait que quelqu un est un académicien ne veut pas dire grand chose par soi-même s il ne s agit pas d un expert d une forte personnalité que les gens apprécient et demandent, il n a pas une image définie... Les fonds que les
3 Interview: Nikola Hajdin, président de l Académie serbe des sciences et des arts 3 académiciens reçoivent sont minimes et nous espérons que la situation changera avec la nouvelle Loi. L influence peut, absolument, être plus grande. Il est nécessaire de promouvoir la coopération avec les établissements d enseignement supérieur, car la science émane des jeunes gens qui, eux-mêmes, émanent justement des facultés, et c est pour cela qu il faut profiter au maximum du potentiel autant des cadres que des talents. La coopération avec les institutions scientifiques étrangères, comment est-elle? - Après une longue période d isolation, nous avons, relativement assez vite, établi la coopération avec les associations des académies d Europe et du monde, mais aussi des Balkans. Nous avons signé des protocoles avec plus de 30 académies, nous collaborons avec 18 académies sur des projets communs (aux thèmes d ethnologie, de géologie, de langue, de culture...), Nous participons aux conférences communes... La circulation des scientifiques est grande, et la science est universelle et elle permet de communiquer et de travailler. Il y a toujours une certaine précaution de la part des académies anglaises, mais cela aussi s efface petit à petit. Les relations dépendent de la politique si une orientation politique positive se fait sentir, alors la communication devient plus vive. Maintenant, la situation est défavorable, autant à cause de la crise que de la diminution des fonds pour la science. Un problème se pose, en partie, du fait que nous n avons pas développé les secteurs qui sont intéressants pour la coopération internationale. Les académies s occupent de certains problèmes scientifiques généraux, tel que le problème des changements du climat ou bien du problème des cadres intellectuels, qui ont un caractère interdisciplinaire et qui n appartiennent pas strictement aux disciplines scientifiques. Ces thèmes exigent une autre sorte de culture de communication et de débat à l occasion de certaines réunions des associations. Quel est le rôle de l ASSA dans la société et quelles sont les valeurs qu elle soutient? Quand, dans ce contexte politique et système de valeurs sociales, l Académie se manifeste-t-elle et avec quelle force? - L Académie est, selon la loi et de par sa nature fondamentale, une institution de la science, de l art et de la culture et tout ce qui appartient à ce domaine-là représente notre devoir et le contact avec le monde, notre interprétation de la vie. Lorsqu un académicien entre dans l édifice, il faudrait qu il laisse derrière lui politique et idéologie, et que son devoir principal soit de s occuper de la science et que toute activité soit fondée sur la science. Les problèmes et les malentendus entre la société et l Académie surviennent lorsque certaines déclarations d ordre politique de la part d un des académiciens sont interprétées comme position de l Académie. Alors, il y a, en partie, erreur malintentionnée lorsqu une certaine presse attaque l Académie comme étant une institution réactionnaire, rétrograde et ennemie, qui empêche ou ralentit le progrès. Il n appartient pas à l Académie de s occuper de la politique quotidienne, cela ne l intéresse pas. S il y a des problèmes d une portée nationale, c est une autre chose et ce sont de graves problèmes qui dépassent la pratique politique du jour. Le système de valeurs de l Académie, c est ce qui représente le résultat de la recherche scientifique, quant aux questions particulières, ce sont les sections et les spécialistes du domaine en question qui s en occupent. Le fait de ne pas être renseigné ne vous protège, d aucune manière, de l erreur.
4 Interview: Nikola Hajdin, président de l Académie serbe des sciences et des arts 4 Existe-t-il des conflits et des controverses entre les académiciens de différents domaines, qui amènent à la paralysie de l Académie même? - Il n en existe pas. S il y en a eu auparavant, c est quelque chose dont je ne peux pas m occuper, mais ici personne n empêche personne de s exprimer librement ni d exprimer ses points de vue scientifiques. Nous sommes plus unis que n importe quelle organisation en Serbie, il n y a pas d organisation dans laquelle plus de 80 pour cent des membres aient voté pour le conseil exécutif. Les controverses qui intéressent le public sont du passé et elles avaient une connotation politique. Il est dangereux de passer la ligne rouge qui sépare la science de la politique et d autres choses, et chez nous elle peut être très délicate. Nous sommes une institution qui lutte pour la vérité de la science et de l art et nous tâcherons d aller dans cette direction-là.
5 Interview: Nikola Hajdin, président de l Académie serbe des sciences et des arts 5 Historique de la plus haute institution scientifique La Société serbe des gens de lettres et la Société savante serbe ont précédé à la création, en 1886, de l Académie royale serbe qui fut depuis la plus haute institution scientifique et culturelle dans le pays, et à partir de 1960 jusqu à nos jours, elle porte le nom de Académie serbe des sciences et des arts ASSA. La structure et les statuts de l Académie sont réglés par la loi, et le travail scientifique se déroule depuis 1998 dans le cadre de plus de huit départements spécialisés. Les organes de l ASSA représentent: le Conseil exécutif avec le président, la Présidence et l Assemblée. L académicien Nikola Hajdin, professeur d université, est le 22e président de l ASSA. L Académie compte 139 membres. Création de l Académie des jeunes - L Académie des jeunes serait d une grande importance pour l élargissement de la science en tant que telle et de l activité scientifique en tant que profession. Il y aurait un meilleur aperçu de quels jeunes gens il s agit et de quoi, en tout, nous disposons dans le domaine de la science, le travail des meilleurs d entre nous serait entouré de jeunes gens talentueux qui ont de fortes capacités, et ils profiteraient des savoirs de la manière la plus efficace. En Autriche, il y a une Académie des jeunes dont les membres sont des jeunes savants jusqu à l âge de 45 ans dit l académicien Nikola Hajdin et ajoute que cette idée ne sera pas si facile à réaliser, et qu il est à se demander quels sont en réalité les sentiments de l opinion scientifique de chez nous.
Agile Learning Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse
Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse Introduction Le monde du travail est plus que familier avec la notion de changement. Synonyme d innovation
Plus en détailGarth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)
Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen
Plus en détailPrésentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014
Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Ingénieurs Canada 1100-180, rue Elgin Ottawa (Ontario) K2P 2K3 Au sujet d Ingénieurs
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailAujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.
MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.
Plus en détailRECOMMANDATIONS PROPOSÉES
SYNDICAT CANADIEN DE LA FONCTION PUBLIQUE RECOMMANDATIONS PROPOSÉES (Ce guide doit être utilisé avec le Programme de vérification des syndics) **Ce n est pas nécessaire de le retourner au Bureau national**
Plus en détailFD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR
FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR Enquête sur la responsabilité sociale du scientifique Résultats détaillés Février 2007 Annexes La publication des données qui fondent
Plus en détailPrésentation du programme de danse Questions-réponses
Présentation du programme de danse Questions-réponses Description du programme Le DEC préuniversitaire en Danse du Cégep de Rimouski offre une formation collégiale préparatoire à la poursuite d études
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailÉtude sur la compétitivité des administrations cantonales
Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailNom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées.
Nom Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL ATConf/6-WP/49 14/2/12 SIXIÈME CONFÉRENCE MONDIALE DE TRANSPORT AÉRIEN Montréal, 18 22 mars 2013 Point 2 : 2.2 Examen de questions
Plus en détailSVU-ASEP Société spécialisée de la sia - Fachverein des sia
SVU-ASEP Société spécialisée de la sia - Fachverein des sia Schweizerischer Verband der Umweltfachleute Association Suisse des Professionnels de l'environnement Associazione Svizzera dei Professionisti
Plus en détailLa pharmacie en ligne, enjeux juridiques! Me Gérard CHEMLA!!
La pharmacie en ligne, enjeux juridiques Me Gérard CHEMLA Sommaire 1. Les règles posées par l arrêt DocMorris" 2. Sont mise en œuvre en Europe" 3. Mais la France reste sourde à l évolution" 4. Jusqu à
Plus en détailSaint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.
Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailCOLLECTION ÊTRE COPROPRIÉTAIRE. Ce que tout propriétaire ou copropriétaire doit connaître Union des Syndicats de l Immobilier
COLLECTION Ce que tout propriétaire ou copropriétaire doit connaître Union des Syndicats de l Immobilier ÊTRE COPROPRIÉTAIRE DROITS, OBLIGATIONS, RAPPORTS AVEC LE SYNDIC Notre métier, c est votre garantie
Plus en détailBaromètre Santé & Société - Europ Assistance / CSA 2013 : 7 ème vague du baromètre. 15 octobre 2013
2013 : 7 ème vague du baromètre 15 octobre 2013 Contexte, objectifs et méthodologie 2 Objectifs de l étude En 2006, le Groupe Europ Assistance et le Cercle Santé Société lançaient, avec l institut CSA,
Plus en détailUn contrat de respect mutuel au collège
Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en
Plus en détailProgramme Bourses Diversité et Réussite
Donner à chacun les meilleures chances de réussir Programme Bourses Diversité et Réussite La Fondation INSA de Lyon Ensemble développons notre vocation L INSA de Lyon tire sa force de l intégration de
Plus en détailTechnologies, innovations et médias
Technologies, innovations et médias Contenu D une radio locale à diffusion internationale à Prague en République tchèque à des places de parking que l on paye par téléphone portable en Estonie, un circuit
Plus en détailLUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?
LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailC R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques
C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants
Plus en détailDocument explicatif Introduction à Fairtrade
Document explicatif Introduction à Fairtrade Explication de quelques mots et expressions clés utilisés à Fairtrade. Coopérative de Café Cocla, Peru. Photo: Henrik Kastenskov Document: Document explicatif
Plus en détailJe vous souhaite la bienvenue à la Cité des Sciences pour ces deux journées de colloque consacré à la sécurité alimentaire dans le monde.
Note à Eléments de langage Chers amis, Je vous souhaite la bienvenue à la Cité des Sciences pour ces deux journées de colloque consacré à la sécurité alimentaire dans le monde. Des colloques sur ce sujet,
Plus en détailPolitique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détailEvaluation de l organisation interne
Module 1 Module Evaluation de l organisation interne Table des matières SECTION 1 Mission et valeurs 34 SECTION 2 Gestion 1 40 SECTION 3 Gestion 2 46 T E A R F U N D 2 0 0 3 33 Module 1 Section 1 Mission
Plus en détailASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS
Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la
Plus en détailMODÈLE CROP DE CALIBRATION DES PANELS WEB
MODÈLE CROP DE CALIBRATION DES PANELS WEB 550, RUE SHERBROOKE OUEST MONTRÉAL (QUÉBEC) H3A 1B9 BUREAU 900 TOUR EST T 514 849-8086, POSTE 3064 WWW.CROP.CA Le Protocole CROP de calibration des panels en ligne
Plus en détailRapport de fin de séjour Mobilité en formation :
Rapport de fin de séjour Mobilité en formation : A. Vie pratique : J ai effectué mon Master 1 de droit public en Erasmus à Copenhague d août 2009 à fin mai 2010. Logement : Accès au logement : J ai pu
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailBarack Obama a gagné la bataille... sur les médias sociaux aussi!
Think... Edition Spéciale Barack Obama a gagné la bataille... sur les médias sociaux aussi! Le 4 avril 2011, Barack Obama annonçait sa candidature à l élection présidentielle américaine de 2012 sur Youtube.
Plus en détailLES RÉSEAUX SOCIAUX ET L ENTREPRISE
LES RÉSEAUX SOCIAUX ET L ENTREPRISE PAR MADAME CHRISTINE LEROY COMMUNITY MANAGER, AGENCE NETPUB Tout d abord, je voudrais remercier le Professeur Drouot de m avoir invitée à cette passionnante table ronde.
Plus en détailGrande Loge Féminine de France
... La transformation du monde commence par la construction de soi... Grande Loge Féminine de France DOSSIER DE PRESSE Contact presse : 33(0)1 71 04 58 14 courriel : communication@glff.org Site : www.glff.org
Plus en détailTechniques d accueil clients
Techniques d accueil clients L accueil est une des phases capitales lors d un entretien de vente. On se rend tout à fait compte qu un mauvais accueil du client va automatiquement engendrer un état d esprit
Plus en détailQUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE
QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit
Plus en détailBrock. Rapport supérieur
Simplification du processus de demande d aide financière dans les établissementss : Étude de cas à l Université Brock Rapport préparé par Higher Education Strategy Associates et Canadian Education Project
Plus en détailBANQUE NATIONALE DE SERBIE BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE MISSION DE M. BOSCHMANS
BANQUE NATIONALE DE SERBIE BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE MISSION DE M. BOSCHMANS 1884/85 Commencement des opérations de la BNS La Banque nationale de Serbie exprime ses remerciements au Département de la
Plus en détailPrésentation du Groupe IKEA
Présentation du Groupe IKEA IKEA dans le monde en quelques chiffres En 62 ans, le Groupe IKEA est devenu le leader mondial sur le marché du meuble. En tant que spécialiste de l ameublement et de la décoration
Plus en détailUn moyen simple d'être plus favorable aux familles Les points les plus importants du Family Score en un coup d'œil
Un moyen simple d'être plus favorable aux familles Les points les plus importants du Family Score en un coup d'œil c/o Pro Familia Suisse Marktgasse 36 Tél. 031 381 90 30 info@profamilia.ch 3011 Berne
Plus en détailN 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992
N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992 Rattache pour ordre au procès-verbal de la séance du 8 juillet 1992. Enregistre a la Présidence du Senat le 28 septembre 1992. PROPOSITION DE LOI
Plus en détailConsidérations sur la crise et le marché intérieur 1
Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS. Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011
BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE N 2011/26/06 0.1.0.0.1.2. Documents Administratifs (IMPOTS) Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011 O B J E T : Commentaire des dispositions
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailLA RÉVOLUTION ÉDUCATIVE EN ANGLETERRE
LA RÉVOLUTION ÉDUCATIVE EN ANGLETERRE Avant la formation en mai 2010 du premier gouvernement de coalition en Grande Bretagne depuis 1945, il existait déjà dans le système éducatif anglais (voir la note
Plus en détailLe M.B.A. professionnel
Le M.B.A. professionnel Un M.B.A. à temps partiel pour les professionnels qui travaillent un programme unique Le nouveau M.B.A. professionnel de la Faculté de gestion Desautels de l Université McGill est
Plus en détailLE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE?
LE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE? Michel PHILIPPIN Directeur Général de Cofinoga Notre propos concerne la rentabilité économique
Plus en détailLes droits de succession et les droits de donation lorsqu il y a un élément d extranéité
Les droits de succession et les droits de donation lorsqu il y a un élément d extranéité par Emmanuel de Wilde d Estmael Avocat au barreau de Bruxelles Collaborateur scientifique au Centre de droit privé
Plus en détailTAFTA: Une attaque camouflée sur la démocratie et les normes de règlementation
TAFTA: Une attaque camouflée sur la démocratie et les normes de règlementation La coopération réglementaire, une menace pour la capacité démocratique des pouvoirs publics à régule Il y a de bonnes raisons
Plus en détailÂge effectif de sortie du marché du travail
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailLe conseil d enfants La démocratie représentative à l école
Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d école des enfants est un moment privilégié durant lequel les enfants deviennent acteurs au sein de leur école, en faisant des propositions
Plus en détailMOBILISATION DU NOTARIAT CONTRE LA REFORME DES PROFESSIONS REGLEMENTEES
1 MOBILISATION DU NOTARIAT CONTRE LA REFORME DES PROFESSIONS REGLEMENTEES CONFERENCE DE PRESSE CHAMBRE DES NOTAIRES DE L'ISERE 15 Septembre 2014 Intervention de David AMBROSIANO, président de la Chambre
Plus en détailChacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit?
Chacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit? - Penser : a) avoir des idées, des opinions b) raisonner,
Plus en détailThématiques Questions possibles berufsfeld/fach
LEARNING FOR THE PLANET Liste des sujets Vous cherchez une inspiration pour votre sujet Vous pouvez lire la liste ci-dessous et voir quel thème éveille votre intérêt. Examinez les questions correspondantes.
Plus en détailStatuts FSEA. FSEA Fédération suisse pour la formation continue Version du 28 avril 2009
Statuts FSEA FSEA Fédération suisse pour la formation continue Version du 28 avril 2009 La FSEA en bref La FSEA est l organisation faîtière de la formation continue en Suisse. Ses membres sont des organisations
Plus en détailRetenir les meilleurs talents
Adecco Finance Focus Retenir les meilleurs talents Lundi matin, 9 h Vous vous réjouissez de commencer une nouvelle semaine de travail productif. Vous êtes en pleine forme. Alors que vous entamez votre
Plus en détailBourses de mobilité des étudiants et membres du personnel de l UMONS Année académique 2014-2015
Bourses de mobilité des étudiants et membres du personnel de l UMONS Année académique 2014-2015 A) Règles d attribution Mobilité des ETUDIANTS 1 Les bourses de mobilités octroyées à l UMONS proviennent
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailQu est-ce qu une problématique?
Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?
Plus en détailLes «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques
Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs
Plus en détailPourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques?
Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Rencontre professionnelle 4 Ont participé à cet atelier : David ALCAUD,
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailAPPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP
Résumé du rapport de recherche destiné au Centre Alain Savary, INRP APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP Martine Méheut, Olivier Prézeau INRP, Centre Alain Savary Apprendre la chimie en ZEP Résumé 1 Dans une perspective
Plus en détailFOTO - L OMNIBUS MENSUEL DE CROP LE NOUVEAU CROP-EXPRESS
FOTO - L OMNIBUS MENSUEL DE CROP LE NOUVEAU CROP-EXPRESS 550, RUE SHERBROOKE OUEST MONTRÉAL (QUÉBEC) H3A 1B9 BUREAU 900 TOUR EST T 514 849-8086, POSTE 3064 Réflexions méthodologiques Depuis des années,
Plus en détailCOMMENT INVESTIR EN 2015 AVEC LE TRADING SOCIAL. Une publication
COMMENT INVESTIR EN 2015 AVEC LE TRADING SOCIAL Une publication P. 2 Comment investir en 2015 : Le Trading Social En 2015 vous souhaitez investir et générer des profits mais vous ne savez pas vraiment
Plus en détailLes problèmes de politisation. Comprendre. l Indice de réponse humanitaire
Les problèmes de politisation Comprendre l Indice de réponse humanitaire 2010 Les donateurs sont essentiels / Les donateurs jouent un rôle essentiel lorsqu il s agit de garantir que l aide parvienne aux
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailQue pourrait-on donner comme exemples d organismes à but non lucratif? Est-il interdit aux organismes à but non lucratif de faire de l argent?
ORGANISMES À BUT NON LUCRATIF UN GUIDE JURIDIQUE La présente brochure a pour but principal de donner des renseignements généraux aux groupes communautaires et aux organismes à but non lucratif qui envisagent
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailPréparé par : Mathieu Gagnon, BAA, MGP. 04 mars 2015 Document : 0315-MEM-STOLT-GM Révision 0
MÉMOIRE présenté au Bureau d audiences publiques sur l environnement dans le cadre du projet de construction d une installation de liquéfaction de gaz naturel à Préparé par : Mathieu Gagnon, BAA, MGP 04
Plus en détailNotes d allocution de la présidente et première dirigeante de la SADC, Michèle Bourque
1 Notes d allocution de la présidente et première dirigeante de la SADC, Michèle Bourque Autorité de règlement de faillite : le nouveau rôle de la SADC CD Howe Institute 9 juin 2014 INTRODUCTION Bonjour,
Plus en détailProfessions indépendantes. Vos prestations maladie
Professions indépendantes Vos prestations maladie Édition 2012 Vos prestations maladie Sommaire Quels sont les bénéficiaires de l assurance maladie? 3 Comment bénéficier des prestations? 4 Quels sont les
Plus en détailLa stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves
La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD
Plus en détailLES DIFFERENTES FORMES JURIDIQUES D UNE ENTREPRISE
LES DIFFERENTES FORMES JURIDIQUES D UNE ENTREPRISE Une entreprise est une entité économique et sociale qui permet la production et la vente de biens et de services répondant à un besoin par le biais de
Plus en détailLES PNEUS HIVER SONT-ILS OBLIGATOIRES DANS TOUTE L EUROPE?
LES PNEUS HIVER SONT-ILS OBLIGATOIRES DANS TOUTE L EUROPE? novembre 2013 Introduction En période hivernale, difficile de savoir si l équipement en pneus neige des voitures est obligatoire dans le(s) pays
Plus en détailSUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION
DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs
Plus en détailLes principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012
Les principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012 Tour de table d une dizaine d indépendants et gérants de P.M.E.
Plus en détailUN REVENU QUOI QU IL ARRIVE
UN REVENU QUOI QU IL ARRIVE Bienvenue chez P&V En vous confiant à P&V, vous choisissez un assureur qui recherche avant tout l intérêt de ses assurés. Depuis son origine, en 1907, P&V s appuie sur des valeurs
Plus en détailHISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR
HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate
Plus en détailGROUPE HNZ INC. POLITIQUE EN MATIÈRE D OPÉRATIONS D INITIÉS
GROUPE HNZ INC. POLITIQUE EN MATIÈRE D OPÉRATIONS D INITIÉS La présente politique fournit des lignes directrices aux administrateurs, aux dirigeants, aux employés et aux consultants de Groupe HNZ Inc.
Plus en détailLes 3 erreurs fréquentes qui font qu'un site e-commerce ne marche pas. Livret offert par Kiro créateur de la formation Astuce E-commerce
Les 3 erreurs fréquentes qui font qu'un site e-commerce ne marche pas Livret offert par Kiro créateur de la formation Astuce E-commerce 1 Ce livret vous est offert gratuitement. Vous pouvez l'imprimer
Plus en détailFinancement du sport, crise économique et politique sportive
Conférence SNEP: «Sport demain, enjeu citoyen», Créteil, 30-31 mars 2012 Financement du sport, crise économique et politique sportive Wladimir ANDREFF * * Professeur émérite à l Université de Paris 1 Panthéon
Plus en détailOrigines possibles et solutions
Ne plus avoir peur de vieillir «Prends soin de ton corps comme si tu allais vivre éternellement, Prends soin de ton âme comme si tu allais mourir demain.» Introduction Ce petit document est la résultante
Plus en détailil n y a pas d avertisseur de fumée sans feu Les avertisseurs de fumée sont-ils vraiment efficaces? «Oui : ils diminuent
PIERRE RACINE À qui revient la responsabilité de rendre obligatoires les avertisseurs de fumée? Le débat est ouvert PHOTOS : ELENKA ALEXANDROV TODOROV il n y a pas d avertisseur de fumée sans feu Les avertisseurs
Plus en détailLes relations de l Union européenne avec ses voisins
Eurobaromètre Spécial Commission européenne Les relations de l Union européenne avec ses voisins Un sondage sur les attitudes en l Union européenne Terrain : mai juin 2007 Publication : septembre 2007
Plus en détailANNEXE 2 : Liste des questions entre le directeur et l étudiant
ANNEXE 2 : Liste des questions entre le directeur et l étudiant LES QUESTIONS PROPRES À L ÉTUDIANT 4 Ai-je bien identifié mes besoins de formation et d'encadrement et les objectifs que je désire atteindre
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailSociétés d Exercice Libéral. Première partie : Questions et études préalables à la création d une selarl
Sociétés d Exercice Libéral Par : Gérard De BRUYKER Première partie : Questions et études préalables à la création d une selarl En 1999, certains clients médecins et chirurgiens dentistes, nous ont consulté
Plus en détailLe Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise
Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise MODÉRATEUR : Eric Simard Fasken Martineau PANÉLISTES : Martin Sheehan Fasken Martineau Anne Granger Fasken Martineau 3e Symposium
Plus en détailIntelligence and Terrorism Information Center at the Israel Intelligence Heritage & Commemoration Center (IICC)
18 novembre 2008 Intelligence and Terrorism Information Center at the Israel Intelligence Heritage & Commemoration Center (IICC) Al-Quds, la seconde chaîne de télévision par satellite du Hamas, a commencé
Plus en détail