Ferland Frères inc. Reproduit avec la permission de CMA Canada
|
|
- Joel Fournier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 En partenariat avec le Ferland Frères inc. Cas produit par la Société des comptables en management accrédités du Canada (SCMC Canada) Cas adapté Examen de synthèse CMA juillet 1985, question 6 Reproduit avec la permission de CMA Canada Ferland Frères Inc. (FF) est un grossiste de petite taille dans l'industrie des aliments naturels. FF a comme tant d'autres souffert de la récente récession: ses marchés ont diminué et les frais de financement ont augmenté. En outre, la crise économique semble également avoir tiré de leur léthargie les géants de l'industrie qui sont entrés dans la danse. Même si FF a été une des premières entreprises à mettre en marché certains aliments naturels, les compétiteurs n ont pas tardé à se multiplier. FF est une entreprise solidement établie jouissant d'une excellente réputation auprès de sa clientèle, laquelle est constituée de détaillants indépendants et affiliés de moyenne ou petite taille. Au cours des années, les géants ont lentement grugé la part de marché de l entreprise. FF a fait des efforts désespérés pour attirer de nouveaux clients, mais elle n'est pas de taille à lutter contre le pouvoir d'achat des grandes sociétés. Les états financiers comparatifs de FF figurent à l'annexe I. M. Robert et Richard Ferland, seuls actionnaires, pensent que leur personnel constitué d'acheteurs et de représentants chevronnés, comptant en moyenne dix années de service dans la société, représente leur atout majeur et la clé de l'avenir. Ils ont donc indiqué au directeur gé néral de réduire au maximum tous les autres coûts d exploitation de manière à éviter toute diminution du personnel. Le nombre d'employés n'a pas diminué au cours des quatre dernières années, soit depuis le début de la récession. Pourtant, l entreprise savait très bien que les coûts de personnel de l'industrie représente 10 % des ventes, et aurait donc pu réduire ses effectifs tout en maintenant le niveau nécessaire de service à la clientèle. Le directeur général pense que même s'il y a un rapport direct entre le volume des ventes et les coûts relatifs au personnel, l'entreprise pourra, en refusant d'effectuer des coupures au niveau du personnel, réagir plus rapidement lorsque l'économie se rétablira.
2 La situation actuelle est critique Les frères Ferland, maintenant retirés des affaires, se sont toujours souciés du coté "humain" de leur entreprise et pensent que se montrer loyaux vis-à-vis de leur personnel, pendant cette période difficile, est un geste de gratitude pour leurs services passés. De plus, ils considèrent que c est en fait un investissement dans l'avenir et que ça continuera à soutenir le moral des troupes et à accroître la productivité à long terme. Cependant, le directeur général exploite à perte la société depuis plusieurs années. Chaque année, il se dit que le pire est passé et que la situation se rétablira. FF risque maintenant la faillite et son entrepôt est sur le point d'être saisi par la banque comme garantie pour un billet en souffrance. De plus, les actionnaires se trouvent dans une situation précaire, car ils ont garanti personnellement toutes les dettes. S'ils étaient forcés d'honorer leurs garanties, ils seraient tous deux complètement ruinés. Des solutions de rechange existent On leur accorde toutefois une semaine pour mettre sur pied un plan de refinancement répondant aux besoins de la banque, d'obtenir une garantie supérieure ou de recevoir le remboursement total du billet et de la marge de crédit. Ils ont déjà songé à la possibilité de s'adresser à d'autres institutions financières ou à des organismes gouvernementaux pour obtenir le soutien nécessaire, mais ils ont rejeté ces solutions. Quoi qu'il en soit, le directeur envisage trois options finales: 1. Un oncle des deux propriétaires a offert d'acheter la moitié des actions pour 1 $ et de fournir la garantie nécessaire sous forme de garantie personnelle (pour satisfaire les banques) à condition que les deux frères prennent les mesures nécessaires pour que l'entreprise atteigne au moins le seuil de rentabilité au cours des deux prochains exercices. 2. Une société d'investissement privée s'est portée volontaire pour prêter les $ requis contre des garanties personnelles; ce prêt de deux ans portera intérêt à un taux annuel de 30 % payable annuellement. Dans deux ans, les frères pourront revenir à un mode de financement conventionnel si l'entreprise a retrouvé sa rentabilité. Sinon, ils devront de nouveau s'adresser à des créanciers privés. Le taux d'intérêt de cette option est de 15 % plus élevé que le taux exigé par les banques. 3. Brunel-Bernard Inc. (BB), le concurrent régional le plus important de FF, a soumis de manière officieuse une offre initiale de prise de contrôle. Elle se porterait acquéreur des actions détenues par les frères Ferland à condition que ces derniers soient engagés sous contrat avec BB et présentent des garanties financières assurant que les clients de FF ne se désisteront pas. Pour répondre aux exigences de la première option, les deux frères devront se départir de certains membres du personnel. Cette tâche ne sera pas aisée car la plupart des employés actuels sont devenus leurs amis au fil des ans. Par ailleurs, réduire trop le personnel pourrait bien ne pas permettre à FF d'atteindre le seuil de rentabilité puisqu'elle doit conserver assez de représentants 2
3 pour desservir sa clientèle actuelle. C'est là un inconvénient majeur aux yeux des deux frères étant donné que leur oncle, un homme d'affaires avisé, peut être tenté de fermer si l'entreprise n'atteint pas le seuil de rentabilité. Les deux frères conviennent donc de ne considérer qu'en dernier lieu toute solution les obligeant à congédier des membres de leur personnel. Quant à la deuxième solution, les deux frères pensent que même si elle leur permet de rester en affaires deux années de plus, ils se trouveront dans une situation encore plus désastreuse au bout de cette période parce qu'ils devront payer le double des intérêts normaux dans les années à venir. Ils se préoccupent également du niveau de participation que les nouveaux créanciers pourraient demander et des pressions qu'ils pourraient exercer sur la garantie du prêt. L'offre de BB n'est pas du tout attrayante pour eux. Les entreprises ont depuis toujours été de farouches ennemis. Le style de gestion de BB mettant l'accent sur "les ventes avant tout" et basé sur une pression de tous les instants et une attitude très dure vis-à-vis du personnel a considérablement terni l'image de l'industrie, s'il faut en croire les frères Ferland. Il ne fait aucun doute pour eux qu'après la prise de contrôle, un grand nombre de leurs représentants seront remplacés par des représentants de BB. Par ailleurs, les frères obtiendraient chacun $ lors de la prise de contrôle, en plus de toucher un salaire régulier comme employés. L'avenir s'annonce prometteur pour les survivants Ironiquement, des indices importants sur le marché permettent de penser que le pire est en fait passé et que la reprise économique est imminente. En effet, une analyse de marché qui vient de paraître dans le dernier numéro de la revue d'affaires la plus réputée dans cette industrie confirme ces prévisions. L'annexe II résume les prévisions pour le marché. Il faut prendre une décision Le directeur général, un ami intime des actionnaires, a effectué plusieurs analyses afin d'identifier les volumes permettant d'atteindre le seuil de rentabilité et les exigences en matière de mouvements de trésorerie. Cependant, il déclare qu'il n'a pu arriver à aucune conclusion parce que «personne ne sait ce qui va arriver demain. Il ne sert à rien de jouer avec les chiffres, ce serait peut-être prendre ses désirs pour des réalités.» Il a déjà formulé ses recommandations sur ce qu'il juge être la solution la plus pertinente vu les circonstances. Cependant, les actionnaires pensent qu'il ne perçoit peut-être pas l'ampleur de leurs difficultés financières. S'ils n'ont pas besoin des revenus de l'entreprise pour vivre, comme on l'a déjà mentionné, ils peuvent se trouver personnellement en sérieuse difficulté financière étant donné les garanties personnelles qu'ils ont fournies et qu'ils devront fournir s'ils optent pour l'une ou l'autre solution de rechange. 3
4 Les frères ont remis à plus tard une décision en attendant que votre cabinet d'experts-conseils leur présente un rapport traitant des différentes solutions de rechange. Travail à faire: À titre de conseiller externe, présentez, en utilisant la méthode de l'étude de cas, des recommandations à l'intention des deux frères sur les mesures à prendre pour assurer la survie de l'entreprise et sa rentabilité à long terme. 4
5 Annexe 1 États financiers préliminaires de Ferland frères inc. ÉTATS DES RÉSULTATS COMPARATIFS (en milliers de dollars) Ventes $ $ $ $ Coût des produits vendus Marge sur ventes Dépenses: Salaires Primes Créances irrécouvrables Autres coûts d'exploitation Intérêts Bénéfice net avant impôts (325 )$ (220 )$ (50 )$ 0 $ BILANS COMPARATIFS (en milliers de dollars) ACTIF Actif à court terme: Comptes clients 600 $ 405 $ 470 $ 500 $ Stock Total de l'actif à court terme Immobilisations (net) Total de l'actif $ $ $ $ PASSIF ET AVOIR DES ACTIONNAIRES Passif à court terme: Emprunt bancaire 745 $ 675 $ 620 $ 500 $ Comptes fournisseurs Total du passif à court terme Dette à long terme Total du passif Avoir des actionnaires (295 ) Total du passif et de l'avoir des actionnaires $ $ $ $ 5
6 Annexe 2 Résumé de l'analyse de marché trimestrielle pour l'ensemble de l'industrie des aliments naturels VOLUME DES VENTES: La tendance triennale d'une diminution de 10 à 20 % du chiffre d affaires semble être rompue. Au niveau national, les grossistes peuvent s'attendre à ce que l'année prochaine le volume des ventes demeure au niveau de 2003 ou augmente d'au plus 5 % dans les régions les plus durement touchées. L'année suivante, le chiffre d affaires devrait augmenter de 5 à 15 %, pour atteindre ensuite 12 % par année au cours des trois années subséquentes. Au delà de ces cinq années, on prévoit que les ventes augmenteront suivant la courbe de l'inflation. Ce phénomène s explique par la transformation graduelle des habitudes alimentaires de la population : les consommateurs ont de plus en plus à cœur leur santé et tentent de manger plus sainement. MARGES: On prévoit que les marges seront meilleures à partir du début de l'année qui vient. La moyenne nationale pour l'année devrait grimper d'environ 0,5 %. Certaines régions ne connaîtront aucune amélioration et les régions les plus durement touchées par la récession enregistreront une augmentation de 0,25 % à 1,5 %. L'augmentation annuelle devrait ensuite être de 1 % pendant cinq ans. On prévoit que dans cinq ans les marges dépasseront les niveaux atteints en 2000 dans toutes les régions. COÛTS: On prévoit que les coûts d'exploitation pour les grossistes d aliments naturels demeureront aux niveaux de 2003 pendant un an. Puis, ils connaîtront une inflation de 5 % au niveau des frais généraux. Les créances irrécouvrables qui n'existaient pas auparavant, mais qui représentent maintenant jusqu'à 3 % des ventes, devraient avoir atteint leur sommet cette année, la clientèle ayant commencé à se stabiliser. Cependant, c'est davantage une question de gestion que de marché. Ces créances peuvent diminuer ou se maintenir quand l'économie se rétablira. SENSIBILITÉ: Sans doute, le pire est-il passé. Toutefois, le rétablissement prévu pourrait être encore retardé d'un an. 6
Fonds de revenu Colabor
États financiers consolidés intermédiaires au et 8 septembre 2007 3 ième trimestre (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie
Plus en détailFonds de revenu Colabor
États financiers consolidés intermédiaires au et 24 mars 2007 (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie consolidés 4 Bilans
Plus en détail- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux
BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2005 ACTIF DEC 2005 DEC 2004 PASSIF DEC 2005 DEC 2004 Valeurs en caisse,banques centrales, Trésor public, Banques centrales, Trésor public, Servicesdes 197 427 113 253 Service des
Plus en détailLES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :
LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne
Plus en détailBecca Distribution Inc
Becca Distribution Inc 12-31-2008-12-31-2009 Becca Distribution Inc - Becca_2008.opt Page 3 Mesures clés du rendement de l'entreprise Seuil de rentabilité Valeur cible % Rentabilité % Rentabilité = 0 Période
Plus en détailDocuments comptables : bilan, compte de résultat et annexe
Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe La fin de l'année, pour les trésoriers, rime avec synthèse comptable. Trois documents doivent être produits. Les deux premiers (bilan et compte
Plus en détailRecherches mises en valeur
Recherches mises en valeur Résumé hebdomadaire de nos meilleures idées et développements au sein de notre univers de couverture La Meilleure Idée Capital One va fructifier votre portefeuille 14 février
Plus en détailCONSTATATIONS DÉTAILLÉES GOSSELIN
9 Partie neuf CONSTATATIONS DÉTAILLÉES GOSSELIN 9.1 Description de l'entreprise Gosselin Communications Stratégiques Inc. («Gosselin Communications») a été constituée en société par Gilles-André Gosselin
Plus en détailLE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING
LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications
Plus en détailAnnexe A de la norme 110
Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet
Plus en détailPerspectives. Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud. Ediab Ali. que monétaire
ARTICLE & ETUDE Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud Ediab Ali Le concept de la politi- Économiste que monétaire La politique monétaire est une des plus importants piliers
Plus en détailBULLETIN DE FISCALITÉ. Janvier 2012
BULLETIN DE FISCALITÉ Janvier 2012 INDEXATION DES MONTANTS DE 2012 DIVIDENDES DÉTERMINÉS : MODIFICATIONS EN 2012 AVANTAGES AUX EMPLOYÉS ET AUX ACTIONNAIRES : MODIFICATIONS DES RÈGLES PRÊTS AUX ACTIONNAIRES
Plus en détailUnité E Budgets et placements
Unité E Budgets et placements Exercice 1 : Établissement d'un budget Prépare un modèle de feuille de calcul pour le budget en te fondant sur le formulaire de budget mensuel illustré à l'annexe E-1. Utilise
Plus en détailinférieur par rapport aux créances de tous les autres créanciers et ne seront remboursés qu'après règlement de toutes les autres dettes en cours à ce
Règlement grand-ducal du 10 janvier 2003 portant modification du règlement grand-ducal du 14 décembre 1994 pris en exécution de la loi modifiée du 6 décembre 1991 sur le secteur des assurances et précisant
Plus en détailCOMMUNIQUÉ pour diffusion immédiate LA BANQUE LAURENTIENNE DÉCLARE UN BÉNÉFICE NET LE 1 ER JUIN 2007
COMMUNIQUÉ pour diffusion immédiate LE 1 ER JUIN 2007 LA BANQUE LAURENTIENNE DÉCLARE UN BÉNÉFICE NET DE 20,7 MILLIONS $ POUR LE DEUXIÈME TRIMESTRE 2007 La Banque Laurentienne du Canada a déclaré un bénéfice
Plus en détailRachat périodique d actions Libérez la valeur de votre entreprise MC
Mars 2005 Rachat périodique d actions Libérez la valeur de votre entreprise MC La majeure partie des avoirs financiers des propriétaires de petite entreprise est souvent immobilisée dans les actions d
Plus en détailChapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière
Chapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière Réponses aux Questions et problèmes 1. Actif Passif Actif immobilisé Capitaux propres Machines 46 000 Capital social
Plus en détailComment faire plus d'argent cet été!
Comment faire plus d'argent cet été! Je vais prendre ça vraiment cool cet été. Le 23 juin, je me retire à la campagne. Je vais prendre de longues vacances. Des vacances au cours desquelles je ferai du
Plus en détailRéduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2)
Réduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2) Une précédente analyse 1 a introduit le concept d'effet de levier, procédé visant à s'endetter pour chercher à accroître
Plus en détailcourtage hypothécaire
Compétences professionnelles évaluées par l OACIQ Le référentiel de compétences est un guide qui permet aux futurs courtiers de comprendre quelles compétences doivent être développées et maitrisées pour
Plus en détailNobody s Unpredictable
Connaissance qu a le public de la Banque du Canada (Comparaison des résultats de l enquête téléphonique et de l enquête en ligne) Enquête de décembre 2010 commandée par la Banque du Canada Nobody s Unpredictable
Plus en détailLE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES
LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER Objectif(s) : o Pré-requis : o Modalités : o o o Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. Connaissances juridiques.
Plus en détailDocument de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER?
Document de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER? Version fin mai 2012 Ce document est destiné aux personnes participantes du Régime et vise à les aider à déterminer si le rachat d une rente pour service
Plus en détailGuide de l'utilisateur NaviPlan : Calculatrices (Volume II sur VI)
Guide de l'utilisateur NaviPlan : Calculatrices (Volume II sur VI) Version canadienne - NaviPlan v15.0 Droits d'auteur et droits de marques de commerce Droit d'auteur 2013-2014 Advicent LP et ses filiales
Plus en détailNOUVEAUX REPRÉSENTANTS DES RETRAITÉS AU CIRR
Bulletin de la Section de Québec Septembre 2012 NOUVEAUX REPRÉSENTANTS DES RETRAITÉS AU CIRR Suite aux élections qui ont été tenues au cours des dernières semaines, Michel Doyon est devenu le représentant
Plus en détailCrédit : Comment vous êtes coté
Crédit : Comment vous êtes coté Comprendre et gérer votre situation à l égard du crédit à titre de consommateur et d entreprise D-IN0440F-0201 Introduction Nous vivons dans un monde en évolution constante
Plus en détailEn conséquence, toutes les banques qui souhaitent notes de commerce, doit obtenir l'autorisation de la Commission.
Le système bancaire Shvetsarii caractérisé par des règles strictes. Toutes les banques et institutions financières impliquées dans les activités bancaires, doivent s'inscrire auprès de la Commission bancaire
Plus en détailINTERROGATION ECRITE N 3 PFEG INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG
Q1 - Quelle est la différence entre une banque de détail et une banque de gros ou universelle? Une banque de détail reçoit des dépôts de ses clients et leur accorde des crédits. Elle se limite aux métiers
Plus en détailCommuniqué de presse S1 2014-2015
Communiqué de presse 27 novembre 2014 Huizingen, Belgique Communiqué de presse S1 2014-2015 (Résultats pour le premier semestre clôturé le 30 septembre 2014) Le chiffre d affaires semestriel a connu une
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 2 COUVERTURE DU BESOIN DE FINANCEMENT CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT
COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 2 COUVERTURE DU BESOIN DE FINANCEMENT CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT SEANCE 2 COUVERTURE DU BESOIN DE FINANCEMENT CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT
Plus en détailChapitre 4 : les stocks
Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également
Plus en détailLigne directrice. Critères de prêts commerciaux. N o : E-2 Date : Juin 1992
Bureau du surintendant des Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2 Ligne directrice Objet :
Plus en détailCOMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient
Plus en détailRevue financière. 2 e trimestre 2015. Le 5 août 2015
Revue financière 2 e trimestre 2015 Le 5 août 2015 AVERTISSEMENT Déclarations prospectives Certaines déclarations contenues dans cette présentation, incluant celles ayant trait aux résultats et au rendement
Plus en détailAnalyse Financière. Séance 1/ L'information comptable et la lecture financière du bilan
Analyse Financière Module de 27h. Projets de groupe ( analyse financière de quelques entreprises du CAC40 ). CC : 40% Participation (20%), contrôle intermédiaire (40%), projet à rendre ( 40% ) CF : 60%
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailDéterminer et financer le cycle d exploitation. Animé par : Stéphane Carton Cabinet In Extenso, Rennes
Déterminer et financer le cycle d exploitation Animé par : Stéphane Carton Cabinet In Extenso, Rennes Définition du : C est l'ensemble des opérations réalisées, de l'achat (matières premières, fournitures,
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détail1. Référence : Pièce B-4, HQD-2, document 1, page 9, tableau R-2.1.
Page 1 de 8 DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS N O 2 DE LA RÉGIE DE L ÉNERGIE (LA RÉGIE) RELATIVE À LA GESTION DU RISQUE DE CRÉDIT DE LA CLIENTÈLE GRANDE PUISSANCE 1. Référence : Pièce B-4, HQD-2, document 1, page
Plus en détailDOSSIER DE GESTION. Sommaire
102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation
Plus en détailComment préparer une demande de financement
Comment préparer une demande de financement SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Présenter votre entreprise Cibler vos points forts Faire les démarches SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Obtenir des sommes d argent
Plus en détailExercice 2.23. J ai mon voyage inc. Problèmes et solutions
Date : Août 2004 Exercice 2.23 J ai mon voyage inc. La société J'ai mon voyage inc., une agence de voyages, a été fondée le 1 er juillet 20-0 par Madame Dodo Michel. Le 20 juin 20-3, le comptable de l'entreprise
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME
COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS
Plus en détailBanque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013
Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer
Plus en détailNomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section M Division 70
Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2 Section M Division 70 70 ACTIVITÉS DES SIÈGES SOCIAUX ; CONSEIL DE GESTION Cette division comprend le conseil et l'assistance à des entreprises et autres organisations
Plus en détailDocument de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER?
Document de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER? Version janvier 2015 Ce document est destiné aux personnes participantes du Régime et vise à les aider à déterminer si le rachat d une rente pour service
Plus en détailINSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES
INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES La Banque Centrale du Congo, Vu la Loi n 005/2002 du
Plus en détailLES CRITERES CLES DU SUCCES D'UNE SEGMENTATION
LES CRITERES CLES DU SUCCES D'UNE SEGMENTATION Quel que soit le type de segmentation, une segmentation réussie se doit d'être : Opérante : les segments définis sont-ils suffisamment importants pour correspondre
Plus en détailBULLETIN DE FISCALITÉ. Mai 2015
BULLETIN DE FISCALITÉ Mai 2015 OPTIONS D'ACHAT D'ACTIONS ACCORDÉES À DES EMPLOYÉS GAINS ET PERTES DE CHANGE CRÉDITS D'IMPÔT POUR AIDANTS FAMILIAUX ET PERSONNES À CHARGE AYANT UNE DÉFICIENCE LE VERSEMENT
Plus en détailRésumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil?
Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Résumé de recherche : Affectation de crédit pour l'investissement, la stabilité et la croissance : Leçons tirées
Plus en détailVotre guide sur l'assurance vie universelle ÉquiVU à paiements limités
Votre guide sur l'assurance vie universelle ÉquiVU à paiements limités équivu GUIDE À L'INTENTION DE LA CLIENTÈLE À PROPOS DE L'ASSURANCE VIE ÉQUITABLE MD DU CANADA L'Assurance vie Équitable MD est la
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailNous Henri, Grand-Duc de Luxembourg, Duc de Nassau; Arrêtons: Chapitre 1er - De l'agrément et du plan d'activités
Règlement grand-ducal pris en exécution de la loi modifiée du 6 décembre 1991 sur le secteur des assurances précisant les modalités d'agrément et d'exercice des entreprises de réassurances Nous Henri,
Plus en détailRecueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts
Recueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts RELEVÉ DES MODIFICATIONS Risque de taux d'intérêt et de concordance des échéances Numéro de la modification Date d établissement
Plus en détailPréparez la retraite que vous voulez
Préparez la retraite que vous voulez Vous méritez une retraite agréable La retraite est l un des événements les plus importants de votre vie. Elle marque le passage vers une nouvelle étape merveilleuse
Plus en détailDans ce numéro : * Majoré de 2 000 $ si la personne à charge a une déficience et que vous avez droit au montant pour aidants familiaux.
MARCIL LAVALLÉE Bulletin de fiscalité Marcil Lavallée Janvier 2012 Dans ce numéro : INDEXATION DES MONTANTS DE 2012 INDEXATION DES MONTANTS DE 2012 DIVIDENDES DÉTERMINÉS : MODIFICATIONS EN 2012 AVANTAGES
Plus en détail3e question : Qui crée la monnaie?
3e question : Qui crée la monnaie? INTRO : Sensibilisation Vidéo : Comprendre la dette publique en quelques minutes (1min à 2min 27) http://www.youtube.com/watch?v=jxhw_ru1ke0&feature=related Partons de
Plus en détailEtablir la dévolution successorale
Le recours à un notaire n est pas obligatoire mais il est souvent recommandé. Le recours devient obligatoire dans le cas d une donation, du partage d'une succession dont dépendent des immeubles, de l existence
Plus en détailREER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix?
REER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix? Jamie Golombek L épargne est une pratique importante. Elle nous permet de mettre de côté une partie de nos revenus actuels afin d en profiter
Plus en détail625, rue St-Amable Québec (Québec) G1R 2G5. AVENANT - COMPTE DE RETRAITE IMMOBILISÉ DU MANITOBA (CRI-Manitoba)
625, rue St-Amable Québec (Québec) G1R 2G5 AVENANT - COMPTE DE RETRAITE IMMOBILISÉ DU MANITOBA (CRI-Manitoba) Nature de l avenant Le présent avenant ne s applique qu au preneur pour lequel des prestations
Plus en détailGLOSSAIRE VALEURS MOBILIERES
GLOSSAIRE VALEURS MOBILIERES Action Valeur mobilière représentant une part du capital d'une société. Le détenteur d'une action bénéficie d'une rémunération sous forme de dividendes et a normalement un
Plus en détailC IV 3 Les documents de synthèse (présentation simplifiée)
C IV 3 Les documents de synthèse (présentation simplifiée) Voici les documents de synthèse conformes au Plan Comptable Général. Pour les rendre accessibles, nous n en avons reproduit que les lignes rencontrées
Plus en détailPC 60/10 24 mars 2010 Original : anglais
PC 60/10 24 mars 2010 Original : anglais F Décisions et Résolutions adoptées par le Comité de promotion à sa 17 e réunion 1. Le Comité de promotion, présidé par M. Mick Wheeler (Papouasie-Nouvelle-Guinée),
Plus en détailProgramme de prêts REE
Brochure Programme de prêts REE Réservé aux conseillers à titre d information LA BANQUE AU SERVICE DES CONSEILLERS Page 1 de 10 Prêt REE C'est un concept simple : le plutôt vous commencez à épargner, plus
Plus en détailANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4
409 ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4 Les tableaux suivants présentent les éléments nécessaires à la confection des documents de synthèse figurant au compte de gestion. Ils permettent d associer
Plus en détailOctroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot
Octroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot Aucun prêteur, c'est entendu, n'octroie de crédit à une personne qu'il ne considérerait pas comme potentiellement solvable.
Plus en détailInsolvabilité et faillite : Quoi faire???
Insolvabilité et faillite : Quoi faire??? Face aux coupures de salaires et d emplois, face à la récession économique, des milliers de consommateurs et de commerçants sont aux prises avec l insolvabilité
Plus en détailIntact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre
Communiqué de presse TORONTO, le 2 novembre 2011 Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre Résultat opérationnel net par action de 0,97 $ attribuable aux résultats en assurance
Plus en détailNORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23
NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 OBJECTIF 01 - La Norme Comptable Tunisienne NC 15 relative aux opérations en monnaies étrangères définit les règles
Plus en détailLE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES
LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : janvier 1995 Réédité
Plus en détailDOLLARAMA ANNONCE DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE PREMIER TRIMESTRE ET RENOUVELLE SON OFFRE PUBLIQUE DE RACHAT DANS LE COURS NORMAL DES ACTIVITÉS
Pour diffusion immédiate DOLLARAMA ANNONCE DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE PREMIER TRIMESTRE ET RENOUVELLE SON OFFRE PUBLIQUE DE RACHAT DANS LE COURS NORMAL DES ACTIVITÉS MONTRÉAL (Québec), le 12 juin 2014
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailRISK INDEX 2014 SUISSE
RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur
Plus en détailArticle 1 : analyse du bilan. article destiné à l'opticien lunetier. 25 décembre 1996 LES DOCUMENTS COMPTABLES : UN ATOUT POUR RÉUSSIR
Article 1 : analyse du bilan article destiné à l'opticien lunetier 25 décembre 1996 LES DOCUMENTS COMPTABLES : UN ATOUT POUR RÉUSSIR INTRODUCTION GÉNÉRALE A quoi sert la comptabilité? L'opticien lunetier,
Plus en détailDOLLARAMA OBTIENT DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE DEUXIÈME TRIMESTRE ET ANNONCE UN FRACTIONNEMENT D ACTIONS ORDINAIRES À RAISON DE DEUX POUR UNE
Pour diffusion immédiate DOLLARAMA OBTIENT DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE DEUXIÈME TRIMESTRE ET ANNONCE UN FRACTIONNEMENT D ACTIONS ORDINAIRES À RAISON DE DEUX POUR UNE MONTRÉAL (Québec), le 11 septembre
Plus en détailNC 21 Présentation des états financiers des établissements bancaires
NC 21 Présentation des états financiers des établissements bancaires Objectif 01. La Norme Comptable NC 01 -"Norme Comptable Générale" définit les règles relatives à la présentation des états financiers
Plus en détail3- TABLEAU DES CASH FLOW
0 3- TABLEAU DES CASH FLOW 2002 Créances de l'actif circulant 212 564 112 536 168 337 Dettes du passif circulant (2 632) (1 634) (909) Provisions cumulées Besoin en fond de roulement 209 932 110 902 167
Plus en détailL'INTÉRÊT COMPOSÉ. 2.1 Généralités. 2.2 Taux
L'INTÉRÊT COMPOSÉ 2.1 Généralités Un capital est placé à intérêts composés lorsque les produits pendant la période sont ajoutés au capital pour constituer un nouveau capital qui, à son tour, portera intérêt.
Plus en détailImposition des sociétés
Imposition des sociétés Introduction L imposition des sociétés est un sujet qui revêt une grande importance pour toute personne qui s occupe de planification financière ou successorale. La mise en place
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailADDENDA POUR LES TRANSFERTS DE RENTE IMMOBILISÉE DANS UN COMPTE DE RETRAITE IMMOBILISÉ (CRI) RÉGIME D ÉPARGNE-RETRAITE AUTOGÉRÉ BMO LIGNE D ACTION
ADDENDA POUR LES TRANSFERTS DE RENTE IMMOBILISÉE DANS UN COMPTE DE RETRAITE IMMOBILISÉ (CRI) Pour les transferts faits conformément à la Loi sur les régimes complémentaires de retraite (Québec) RÉGIME
Plus en détailRapport semestriel sur les comptes consolidés
Rapport semestriel sur les comptes consolidés www.concoursmania.com 1 Référentiel comptable, modalités de consolidation, méthode et règles d évaluation 1.1. Principes comptables En vue d apporter une information
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailChapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière. Plan
Chapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière Plan Le bilan - présentation et signification des postes Structure en grandes masses - Le BFR Les ratios de structure
Plus en détailANALYSE D'ÉTATS FINANCIERS PAR RATIOS POUR LE P.-D.G. DE PME
ANALYSE D'ÉTATS FINANCIERS PAR RATIOS POUR LE P.-D.G. DE PME Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction
Plus en détail6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux
6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux En 2013, on prévoit que les dépenses de santé des gouvernements provinciaux et territoriaux atteindront 138,3
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014
COMMUNIQUÉ PREMIER TRIMESTRE 2014 La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014 L information financière contenue dans le présent document est basée sur les états financiers
Plus en détailObjectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie.
C HAPI TRE 8 Tableau de bord et reporting Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. 1 Principes A Le tableau
Plus en détailLA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES
LA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES États financiers Pour l'exercice terminé le 31 décembre 2008 Table des matières Rapport des vérificateurs 2 États financiers Bilan 3 État des résultats
Plus en détailBILAN FONCTIONNEL. Pour répondre au mieux à cette préoccupation, nous étudierons les points suivants :
BILAN FONCTIONNEL Avoir une activité, générer des résultats, nécessite des moyens de production que l'on évalue en étudiant la structure de l'entreprise. L'étude de la structure financière va permettre
Plus en détailLA RÉGULARISATION DES CHARGES EN FIN D EXERCICE
LA RÉGULARISATION DES CHARGES EN FIN D EXERCICE À la fin de l'exercice financier, il faut examiner tous les comptes de la balance de vérification afin de déterminer lesquels nécessitent un ajustement.
Plus en détailD assurance-vie avec participation
D assurance-vie avec participation Le Réalisateur Patrimoine et Le Réalisateur Succession Michel Poulin,Pl,fin. Expert-conseil Régional De Commercialisation Ordre du jour Aperçu de l assurance-vie avec
Plus en détailENTREPRENEURS «À VOS AFFAIRES»
ENTREPRENEURS «À VOS AFFAIRES» 15 novembre 2012 Christine Brosseau, CPA, CA, Associée Costandino Muro, CPA, CA, Directeur principal Pourquoi incorporer mon entreprise Au Québec 3 modes d exploitation L
Plus en détailProtégez votre entreprise et améliorez votre sécurité financière. Stratégies d'assurance d'entreprise
Protégez votre entreprise et améliorez votre sécurité financière Stratégies d'assurance d'entreprise Assurez votre sécurité financière Être un actionnaire important d'une société fermée présente souvent
Plus en détailEtablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé
Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:
Plus en détailLE GUIDE DE L INVESTISSEUR
LE GUIDE DE L INVESTISSEUR Nous avons élaboré un guide des principes de base en investissement. Si vous les comprenez bien et les respectez, vous obtiendrez plus de succès dans vos investissements et par
Plus en détailETATS FINANCIERS CONSOLIDES
ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31 DECEMBRE 2002 BILANS CONSOLIDES Avant répartition ACTIF Note au 31 décembre au 31 décembre au 31 décembre en millions d'euros 2002 2001 2000 Immobilisations incorporelles
Plus en détail