PubGe sous les auspices du Gouvernement de la RBpublique Malgache. Genre Orthopodomyia. et de la r&ion afrotropicale. Par

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PubGe sous les auspices du Gouvernement de la RBpublique Malgache. Genre Orthopodomyia. et de la r&ion afrotropicale. Par"

Transcription

1 FAUNE DE MADAGASCAR PubGe sous les auspices du Gouvernement de la RBpublique Malgache 85 INSECTES CULICIDAE DIPTERES CULICINAE Genre Orthopodomyia de la sous-r&ion malgache et de la r&ion afrotropicale Par J. BRUNHES et J.-P. HERVY Entomologistes mhdicaux de Z ORSTOM PublG avec le concours de 1 Institut frarqais de Recherche scientifique pour le Dbveloppement en Coopkation Mu&m national d Histoire naturelie Paris 1995

2 FAUNE DE MADAGASCAR Collection fondke en 1956 par M. le Recteur Renaud PAULIAN Correspondant de 1 Institut (alors Directeur adjoint de I IRSM) Collection honorke du soutien du Minis&e de la Coopkation Corn& de patronage M. le Dr RAKOTO RATSIMAMANGA, membre correspondant de l Institut, Paris. - M. le Ministre de 1 Education nationale, Tananarive. - M. le Prksident de l Acad&nie Malgache, Tananarive. - M. le Recteur de l universitb de Madagascar, Tananarive. - M. le Professeur de Zoologie de l universitb de Madagascar, Tananarive. - M. le Directeur du CNRS, Paris. - M. le Directeur g&x%-al de I ORSTOM, Paris. MM. le Professeur J. DORST, membre de l Institut, Paris ; J.-M. P~RI?s, membre de l Institut, Marseille ; J. CARAYON, Paris ; A. CHABAUD, Paris ; M. RAKOTO- MARIA, Tananarive. Comitk de lecture : M. R. PAULIAN, Prksident ; MM. Ch-P. BLANC, A. CROSNIER, R.-P. PECHAMBRE, J. GIJTIERREZ, L. MATILE, J.-J. PETTER, G. RAMANANTSOAVINA, P. ROEDERER, P. VIETTE (secrbtaire). 0 FAUNE DE MADAGASCAR Tous droits de traduction, d adaptation et de reproduction par tous proccdcs r&em% pour tous pays.

3 FAUNE DE MADAGASCAR Publibe sous les auspices du Gouvemement de la RBpublique Malgache 85 INSECTES DIPTkRES a/hp CULICIDAE CULICINAE Genre Orthopodomyia de la sow-r&ion malgache et de la r&ion afrotropicale J. BRUNHES et J.-P HERVY Entornokgistes tidicaux de Z ORSTOM Pub& avec le concours de 1 Institut fran$ais de Recherche scientifique pour le Dkveloppement en Coopkration Mu&urn national d Histoire haturelle Paris 1995

4 i. Jacques BRUNHES & Jean-Paul HERVY Adresse actuelle : UR Maladies infectieases et parasitaires, Centre ORSTOM, 911, avenue Agropolis, B. P. 5045, Montpellier cedex 1

5 SOMMAIRE P&face _... P- 5 Introduction p. 7 Matdriel et mdthodes p. 9 Historique de la dbouverte du genre Orthopodomyia p. 10 Les caractkes morphologiques du genre Orthopodomyia... p. 12 Femelle... p. 12 Mile... p. 13 Nymphe... p. 13 Larve au 4e stade... p. 13 Le point sur les Orthopodomyia de la sous-r&ion malgache... p. 14 Historique des dccouvertes... p. 14 Position taxonomique de quelques espcces malgaches... p. 15 Le point sur les Orthopodomyia du continent africain p. 17 Historique des dccouvertes et &at des connaissances... p. 17 Les Orthopodomyiu d Afrique et de la sous-r&ion malgache... p. 18 Clis dichotomiques d identification... p. 19 Presentation des diffcrentes espices... p. 21 Or. ambremontis n. sp.... p. 21 Or. ankaratrensis n. sp.... p. 27 Or. arboricollis (de Charmoy, 1908)... p. 30 Or. aureoantennata Ferrara, p. 37 Or. comorensis Brunhes, p. 40 Or. fontenillei n. sp.... p. 46 Or. joyoni Brunhes, p. 53 Or. milloti Doucet, p. 60 Or. nkolbissonensis Rickenbach et Hamon, p. 67 Or. pulchripalpis (Rondani, 1872)... p. 72 Or. rajaonariveloi n. sp.... p. 75 Or. ravaonjanaharyi n.sp.... p. 78 Or. reunionensis n. sp.... p. 82 Or, rodhaini n. sp.... p. 89 Or. vernoni Van Someren, p. 92 3

6 4 t R. L. PETERSON, J. L. EGER & L. MITCHELL Considirations g&&ales... Biologie... Systematique... Comparaison des ailes... Comparaison des genitalia miles... Comparaison de l ornementation des pattes... Reflexions sur l ornementation du corps et sur la morphologie des genitalia msles... Propositions pour la section Orthopodomyia... Dynamique du genre Orthopodomyia en Afrique et dans la sousregion malgache....i... Remerciements p. 100 p. 100 p. 102 p. 102 p. 103 p. 104 p. 104 p. 105 p. 106 p. 107 Rdfhrences bibliographiques p. 109 Planches et cartes p. 113 Index alphabhtique p. 119

7 PREFACE I Le travail de MM. Brunhes et Hervy offrant, avec une etude des Orthopodomyia afro-malgaches, la description de sept nouvelles especes dans un genre gui ne comptait jusqu ici, et sur l ensemble des regions intertropicales, qu une trentaine d especes, fournit une precieuse contribution a la connaissance des Culicides de la region. Aprbs les deux volumes de la Faune de Madagascar consacres par A. Grjebine aux Anopheles et aux FicaZ& ce travail apporte les descriptions d&.ijlees et les illustrations precises des trois stades de diveloppement d un autre genre de Culicides et il con&me l originalite et la richesse de la faune malgache. Par la mise en evidence de la richesse de cette faune, pas moms de six especes nouvelles sont decrites sur un total de huit especes existant dans l ae, l etude con&me l importance primordiale des phytotehnes dans le developpement des formes aquatiques a Madagascar. Cette etude a aussi le merite de poser en termes clairs le probleme du polymorphisme larvaire qui se revele particulierement impressionnant pour les formes des Mascareignes et ne peut, semble-t-il, &tre ramene a un probleme de metabolisme ; elle suggere aussi des recherches sur le fonctionnement de la corbeille de soies cephaliques larvaires dans la recherche de la nourriture ; on sait l importance de ces caracteres chez les Simulies du Pacifique, et l intense speciation ecologique qui accompagne les variations morphologiques du filtre buccal. Mais l inter~t majeur de cette etude est sans doute de poser en termes renouveles le probleme des afftites orientales de la faune malgache. Alors que les recherches de la periode d intense prospection faunistique de l ae, de 1946 a 1974, avaient mis en evidence la preponderance des elements africains dans le peuplement de Madagascar, tant pour ce qui concernait les elements anciens gue pour les formes de penetration plus recente, contrairement aux opinions defendues au debut du siecle, les recherches de la derniere decennie ont fait apparaitre, dans des groupes divers (Lepidopteres, Melolonthides, Ptinides, Ficalbia et aujourd hui Orthopodomyia), la presence d elements anciens, a afftites orientales. L interpretation de cette contradiction, en termes biogeographiques, ne pourra Gtre proposee gue lorsque les geophysiciens auront fix6 avec certitude les dates relatives des deux fractures des plaques afro-malgache et indo-malgache. Mais il est important de savoir que le probleme est pose. R. PAULIAN.

8

9 INTRODUCTION Le genre Orthopodomyiu ne compte, dans le monde entier, qu une trentaine d especes qui sont, pour la plupart d entre elles, localisees dans les regions intertropicales d Asie et du Nouveau Monde. Dans la region afrotropicale, la partie continentale appara it remarquablement pauvre en Orthopodomyia, et ceci malgre une prospection importante. Seules, en effet, deux especes rarissimes (Or. nkolbissonensis et Or. aureoantennata), provenant toutes deux du Cameroun, y ont et&, a ce jour, signalees. Au contraire, la seule sous-region malgache, qu.i compte actueilement 7 especes, se montre d une grande richesse biologique. Cette apparente diversite, pour importante qu elle soit, nous a semble cependant sous-e&n&e car nous avons decele, dans les collections, de non&reuses determinations incertaines et des localisations surprenantes. Ces observations nous ont montre que les etudes consacrees aux Orthopodomyiu de cette sous-region etaient encore tres insuffisantes eu egard a la grande diversite des zones climatiques representees a Madagascar et au morcellement insulaire de la region. Par ailleurs, une seule espece, Or. pulchripalpis (Rondani, 1872), se rencontre dans la region palearctique occidentale, depuis le Maghreb jusqu en Angleterre et du Portugal jusqu en Hongrie et en Grece. 11 nous a done paru opportun d effectuer, pour l ensemble de la region afrotropicale, et tout particulierement pour la sous-region malgache, une r&ision generale de ce genre en utilisant comme references les nombreux types conserves au Centre ORSTOM de Montpellier (France) et divers exemplaires appartenant a d autres collections gue nous avons pu examiner. 7

10

11 MATERIEL ET METHODES Cette &vision des Orthopodomyia d Afrique, de Madagascar et des iles voisines se fonde tout d abord sur la collection de Culicidae deposes au Centre ORSTOM de Montpellier (France). Dans cette collection se trouvent les types des deux se& Orthopodomyia signal& en Afrique subsaharienne (Or. aureoantennata et Or. nkozbi.ssonensis) et de nombreux exemplaires d Or. pulchripalpis &colt& au Maroc par notre coll&gue Helene Bailly-Choumara. Au tours d un sejour de six ans (1966 a 1972) dans la sous-region malgache, l un d entre nous (J. Brunhes) a largement prospecte Madagascar et l archipel des Comores. Les larves d Orthopodomyiu r&colt&es ont 6th mises en elevage aussi souvent que possible, si bien que l on est generalement en mesure de relier les trois stades de developpement de chaque espece identifiee. I I En outre, la collection conservee au Centre ORSTOM de Montpellier, qui comportait des Orthopodomyia &colt&s par J. Hamon sur l?le Maurice et quelques autres recoltes a Madagascar par A. Grjebine, D. Fontenille, R. Subra et Ch. Ravaonjanahary, nous a fourni des ad&es, des larves, mais sans qu il soit gen&alement possible d etablir un lien certain entre les differents stades. Ce materiel nous a permis d identifier une espece nouvelle r&colt&e a l etat larvaire par A. Grjebine dans le massif de 1 Ankaratra (Madagascar) et une autre &colt&e dans le nord-est de Madagascar par Ch. Ravaonjanahary. Pour cette derniere espece, se& les ad&es, issus de la mise en elevage des larves, nous sont parvenus. Dans ces differents cas, le lieu de recolte &ant connu avec precision, de nouvelles prospections devraient permettre de retrouver rapidement les stades manquants. Par ailleurs, des larves et nymphes recoltees par M. Isautier sur l tie de la R&mion, ainsi que les adultes issus des elevages effect&s, nous ont permis de signaler la presence d une espece nouvelle pour la science sur cette ile des Mascareignes.! Les descriptions d especes nouvelles, que nous donnons ici, sont fondles sur l examen de l ensemble du materiel de la s&e-type ainsi que sur l ensemble des topotypes a notre disposition. Cette description composite, associee A la designation de types les plus representatifs possibles, permet de mieux cerner les variations intraspecifiques que ne le ferait la seule description du type. Pour effectuer nos descriptions nous avons adopt6 la nomenclature des pieces anatomiques et des soies telle qu elle est proposee de fagon synthetique par Harbach et Knight (1980). Les planches d illustrations d ailes ont ete r&ah&es grace a une technique in&lite associant prise de vue en micro-video et traitement numerique de l image. 9

12 10 J. BRUNHES & J.-P. HERVY Une cl& informatisbe des Orthopodomyia de la r&ion afrotropicale est actuellement en prhparation. Ce logiciel, analogue dans son principe & celti Gali& sur les Mouches T&-t& par Brunhes et al., 1994, permettra une identification plus s&-e et plus conviviale tout en dhgageant les liens de parent& qui existent entre les esphces. BMNH British Museum (Natural History) / Natural History Museum, Londres. IP Institut Pasteur, Paris. LTV Laboratoire de Taxonomie des Vecteurs, Centre ORSTOM de Montpellier (34), France. MNHN Mu&urn national d IIistoire naturelle, Paris. NMNH National Museum of Natural History / Smithsonian Institution, Washington. NOMS DE LOCALIT~S UTILEI% A Madagascar, les noms de non&reuses local& ont 6th char&s entre la p&iode oti les &coltes ont &t& effect&es et la date de rbdaction de cet ouvrage. Les btiquettes dhsignant les Orthopodomyia de Madagascar comportent, dans la grande major& des cas, d anciens noms de localit&. Nous mentionnerons en prior% le nom figurant sur les Etiquettes d origine ; pour aider le lecteur, les noms de lieux actuellement utilis~s seront mention&s entre parenth&ses. HISTORIQUE DE LA DkCOUVERTE DU GENRE ORTHOPODOMYIA Orthopodomyiu Theobald, 1904 : Theobald a cr& le genre Orthopodomyia en se fondant sur l esp&e-type albipes que Leicester avait d&rite en 1904, sans lti donner de nom de genre, et dans la meme publication que celle de Theobald, Local&type : Kuala Lumpur, Malaisie. Lectotype m$le d&g& par Zavortink, Bancroftia Lutz, 1904 : Esphce-type du genre : Bancroftiu albicosta Lutz, Au premier abord, l ant&ioritb d Orthopodomyia sur Bancroftia ne nous semble pas facile & btablir ; nous nous en remettons done & la dhcision de nos pr&d&cesseurs qui a 6th consacrbe par l usage. Local&type : Serra da Cantareira (Sao Paulo) B&s& Pneumaculex Dyar, 1905 : 46. EspGce-type : Culex signifera Coquillett, 1896 : 43. Localit&type : Washington (U.S.A.). Newsteadina Theobald, 1909 : 297. Esphce-type : Culex arboricollis Charmoy, Local&type : Vacoas, Maurice. Thomasina Newstead et Carter, 1911 : 553. EspGce-type : Mansonia lon-

13 DIPT~RES CULICIDAE CULICINAE 11 g-ipalpis Newstead et Thomas, 19IO : 145. Local&type Br&l. : Manaos, Amazone, Le premier Orthopodomyia a 6th dhcouvert en Italie par Rondani (1872) et d&c& sous le nom de Culex pulchripalpis. Le second fut captu& aux U.S.A. et d&rit par Coquillett en 1896 sous le nom de CuZex si&nzjsra. Quelques an&es plus tard, en 1903, GiIes prksente sous le nom de Mansonia anophe- Zoides un autre Orthopodomyia capturk aux Indes. Afin de classer ces Moustiques d&&s d un peu partout dans le monde 2 l int&ieur d un taxon permettant de souligner leur incontestable parent&, Theobald (1904) p ro p ose la crbation du genre Orthopodomyiu. 11 en d&ftit les caract&res en prenant comme esp&e type Orthopodomyia albipes que Leicester (1904) venait de dhcouvrir en Malaisie. Une certaine impr&ision sur I btendue, et I universalita des caracteres dkflnissant ce nouveau genre, en particulier h tous ses stades de d&eloppement, n a cependant pas permis d &iter de nouvelles descriptions d orthopodomyia sous des noms de genres t&s variks. C est ainsi qu ont 6th c&&s au moins quatre genres qui ont 6th ensuite progressivement pla& en synonymie : Bancroftia Lutz 1904, PneumacuZex Dyar 1905, Newsteadina Theobald 1909 et Thomasina Newstead et Carter En 1-920, apri% la mise en synomymie par Edwards du dernier Aide, le genre Orthopodomyia compte 19 esp&ces ou vari&s. genre non A cette phase de caract&isation du genre et de regroupement dans un mgme taxon, succhde bientgt une nouvelle phase de mise en &idence des original& morphologiques partagbes par certaines de ces esp&ces. Cette phase centrifuge aboutit rapidement i la d&&ion de nouveaux taxa infrag&&iques tels que les groupes-esp&es. Ainsi, en 1932, Edwards propose-t-il la crhation de 2 groupes distincts : le groupe A ou Orthopodomyia et le groupe B ou Bdncroftia. Ce mouvement centrifuge se poursuit avec la crhation par Knight et Mattingly (1950) du sous-groupe anopheloides dans le groupe A d Edwards. Be&in (1962) reconnait dans le genre Orthopodomyia 8 groupes distincts : groupe aalbipes (9 esp&es), groupe signifera (6 espkces), groupe nkolbissonensis (1 esp&ce), groupe Thomasina (2 espi%ces), groupe vernoni (2 espkces), groupe albicosta (1 esphce), groupe arboricollis (1 esphce) et groupe FoZicoZue (1 esp&ce). En 1968, lorsque Zavortink publie sa r&&ion du genre Orthopodomyia il existe 24 esphces valides et cet auteur propose de subdiviser le genre en 3 sections comportant chacune de 1 h 4 groupes. Depuis cette &vision du genre, il est admis de subdiviser les Orthopodomyia en 4 sections et 6 groupes. Section Orthopodomyiu groupe albipes groupe arboricollis groupe %kozbissonensis groupe vernoni Asie Maurice Afrique Madagascar

14 12 J. BRUNHES & J.-P. HERVY Section Bancrofti groupe azbicos ta groupe signifera Section Thomasina Section Folicolue Region neotropicale Region holarctique et neotropicale. Region neotropicale Region neotropicale La mise en place d une telle architecture taxonomique, dans laquelle chaque groupe de taxa se trouve etroitement local&e dans une zone geographique particuliere, met en evidence, soit l anciennete du genre qui a eu le temps de s adapter aux conditions ecologiques de chacune des regions ecologiques qu il occupe, soit les vestiges d un genre autrefois beaucoup plus largement reparti et diver&e et dont il ne resterait aujourd hui gue des temoins &pars. Nous essaierons de discuter cette question apres avoir present& les Orthopodomyia de la region afrotropicale. LES CARACTkRES MORPHOLOGIQUES DU GENRE ORTHOPODOMYIA Les caracteres sur lesquels se fondent l appartenance au genre ont et& pour la premiere fois proposes par Theobald (1904). Cette premiere definition etait fondee sur l examen d Orthopodomyia albipes Leicester, Plus recemment, apt-es avoir examine la plupart des Orthopodomyia du monde, Zavortink (1968, 1971) a p r&i& les caracteres morphologiques attribues a ce genre. Parmi cetix proposes, nous avons retenu comme etant particnlierement constants pour la region concern&e, les caracteres suivants : Femelle TkTE Vertex et occiput largement recouverts d &Glles blanches, jaunes ou noires ; les ecailles fourchues dress&es pouvant ctre plus ou moins sombres mais les anterieures &ant t&s generalement plus claires que les posterieures. Labium legerement renfle dans la partie distale ; de couleur noire, portant toujours dans sa partie mediane au moins un anneau clair (jaune ou blanc) dont la largeur peut stre variable. Palpes maxillaires atteignant approximativement la moitie de la longueur du labium et form& de 4 ou 5 segments (I), parfois difficiles a distinguer ; ils presentent un apex clair et 1 ou 2 anneaux blancs entourant, ou bordant, les zones articulaires. Pedicelle de l antenne portant des ecailles pales sur sa partie interne ; les 2 ou 3 premiers flagellomeres sont aussi or&s de quelques ecailles blanches. (1) La terminologie utili&e par les auteurs est largement d inspiration anglosaxonne (proboscis A la place de trompe, par exemple). he mot segment, trouve lors de la description des palpes maxillaires ou des tarses, correspond i ce qui est normalement nomme article en franqais et n a rien i voir avec les segments thoraciques ou segments abdominaux (NDLR).

15 DIPT~RES CULICIDAE CULICINAE 13 THORAX Scutum or& de non&reuses &Ales aux couleurs contrast&es (blanc, c&me, jaune, noir) qui forment des dessins plus ou moins dkftis. PZeures portant de non&reuses plages d &aiiies blanches spat&es. Pattes toujours pourvues, et parfois sur toute leur longueur, d anneaux noirs et blancs auxquels s ajoutent parfois des touffes de longues &Ales noires. Tarsomkes 1-I et l-11 aussi longs que l ensemble des segments r&mis. Tarsomkes 4-I et 4-11 particulikement courts ; cette singular& morphologique constitue un excellent caractkre permettant, & lui seul, de distinguer le genre Orthopodomyia. Griffes simples. Nervures des ailes g&k-alement recouvertes d &Al.les blanches et noires qui, regroupges par places, forment des taches plus ou moins non&reuses. ABDOMEN Tergites et sternites recouverts d kailles noires et blanches ; la couleur dominante &ant t&s gkkalement le noir mais les taches blanches toujours prkentes dans les angles antkieurs peuvent se rejoindre pour former une bande continue qui borde toute la partie antkrieure du tergite ; taches d &caiiies blanches souvent pksentes au milieu des tergites 2 A 7. Le m&le est analogue A la femelle. Palpes maxillaires atteignant 0,7 A 0,9 fois la longueur du proboscis ; le cinqui&me segment blanc, les trois premiers segments portant des kailles blanches p&s des articulations. Antenne t&s plumeuse ; les flagellom&-es 1 i 4 portent gknkralement de longues Gcailles blanches vrillkes. Terminalia : tergite VIII dkveloppant sur son bord postkieur une expansion mkliane dont les formes et l ornementation sont souvent spkiflques ; tergite IX or& de quelques soies dont le nombre est t&s variable mgme chez les individus d une mgme espke. Gonocoxites, longs et coniques, montrant une ornementation g&&ralement peu varihe, form&e d une rang&e de fortes soies basales-internes dispokes en croissant. Gonostyle long, portant de non&reuses soies dorsales et une forte dent terminale. Ed&age dont les deux moitk, faiblement assemblhes, portent des denticulations distales et des expansion post&o-mklianes plus ou moins dkvelopp&es. Nymphe Soies ckphalothoraciques 6 et 7-C t&s proches l une de l autre ; soies 8 et 9-C ins&&es nettement en arrike des trompettes respiratoires dont la forme est assez variable mais qui ne sont jamais longues. Soie abdominale 1-I t&s buissonnante ; 9-VII d&elopp&e et form&e de 5 A 10 branches aciculbes et en &entail ; 9-VIII formant g&kalement un long &entail d au moins 10 branches aciculkes. Palette natatoire sans spicules distaux, 1-P prkente mais le plus souvent modeste, 2-P absente. Larve au quatriitme stade Globuleuse. Mentum dkveloppk. Soie 1-A in&ke sur la moiti6 basale de l antenne. Thorax et abdomen pksentant, sur les larves vivantes ou mortes

16 14 J. BRUNHES & J.-P. HERW depuis ment. peu de temps, une coloration rouge brique due a la presence d un Pig- ABDOMEN Presence, sur le segment VIII, d une paire de plaques scl&ifiees asymetriques qui se &unissent parfois dorsalement. Deux ran&es de dents formant un double peigne sont inserees p&s de ces plaques. Soies 6-I et 6-11 form&es de 3 a 8 branches fortes, aciculees et arquees ; soies a 6-VI simples ou doubles mais toujours t&s longues. Siphon aux proportions variables, sans peigne basal ; 1-S developpee. Segment X entoure par une selle complete et non spiculee sur son bord distal, 4-X form&e de 7 paires de soies longuement spat&es a la base. Historique des dccouvertes LE POINT SUR LES ORTHOPODOMYIA DE LA SOUS-RkGION MALGACHE La premiere espece signal&e dans la sous-region malgache a 6th Orthopodomyiu arboricollis. De Charmoy (1908) 1 a d ecouverte a Maurice et d&rite a partir d un adulte obtenu apres la mise en elevage d une larve capturee dans un creux d arbre. Placee d abord dans le genre Culex, cette espece allait ensuite gtre rangee dans le genre Newsteadina puis dans le genre Orthopodomyia apres la mise en synonymie de Newsteadina par Edwards. La deuxieme mention d une espece appartenant au genre Orthopodomyiu est due a E. Van Someren (1949) qui a d&it le m&le d Or. vernoni ainsi qu une larve &colt&e dans la m&me region que l adulte et qu elle considerait (la suite prouva qu elle avait raison) comme le stade pr&maginal d Or. vernoni. Cette nouvelle espece avait et& recoltee dans l extrsme nord de Madagascar, a Sakaramy, p&s de la ville de Diego-Suarez (Antsiranana). En 1950, Doucet a attribue a Or. vernoni une larve provenant de la Montagne d Ambre. 11 en a dessine la t$te, le mentum et les trois derniers segments mais sans faire d autres commentaires. Compte tenu du lieu de provenance et des especes connues en 1950, cette identification se justifiait pleinement. Nous avons retrouve cette larve montee dans le baume ; sa tgte a ete dissequee pour mettre en evidence le mentum. Bien qu elle soit en assez mauvais &tat il nous semble qu il s agit plus probablement d une larve d Or. mizzoti (taille des soies 5-C, longueur des antennes). L identification de cette larve demeure incertaine car, au niveau de la Montagne d Ambre, se cotoient les especes orientales et occidentales de Madagascar ainsi qu une espece endemique. Compte tenu de la peu frequente sympatrie des Orthopodomyzk, il aurait 6th probablement possible de l identifier si le lieu de capture avait ete plus precisement indique. Zavortink (1968), qui ne disposait que de 2 larves r&colt&es dans la local&+-type (Sakaramy), n a propose dans sa monographie sur les Orthopodomyia qu une description t&s breve du stade larvaire d Or. vernoni ; par contre il a present& une redescription fort precise du male. La femelle et le stade nymphal ont et& d&-its par Rodhain et Boutonnier (1983) qui ont ainsi complete la connaissance d Or. vernoni 2 tous ses stades de developpement.

17 DIPTI?RES CULICIDAE CULICINAE 15 Apr& une &tude de la faune culicidienne de la foret tropicale humide de la c&e orientale malgache r&ion de P&net (Andasibe), Doucet (1951) a d&x-it et dessi& une nouvelle esp&e : Or. mizzoti. Sa local&type se trouve & 900 m d altitude, au sommet de la premi&re falaise de la &te orientale malgache. Cette esp&ce allait etre plus minutieusement d&rite et illustrbe par Zavortink (1968) grgce & 4 mfiles et 1 femelle provenant de la zone &i&e i Sakondroely, Sous-Prhfecture F&&ive (Fenoarivo Atsinanana), Province de Tamatave (Toamasina) et & une larve r&colt&e dans la local&type. Ce mat&e1 avait 6th fourni par A. Gjrebine. Le stade nymphal d Or. miuoti a & d&x+ en 1983 par Rodhain et Boutonnier. Cinq ans apr& la description du m$le d Or. mill& et & la suite de r&oltes effect&es sur la c&e occidentale s&he de Madagascar r&ion de Majunga (Mahajanga), A. Grjebine (1954) d &xit Orthopodomyia geberti en se fondant sur la morphologie d une larve. L int%t pour l btude des Orthopodomyia de la sous-r&ion malgache btait relanch en 1977 avec la description de 2 esp&es nouvelles allopatriques (Or. comorensis et Or. joyoni) d&ouvertes dans trois?les de l archipel des Comores (Brunhes 1977). Quelques an&es plus tard, Rodhain et Boutonnier (1983) publient une r&ision des Orthopodomyia de Madagascar et d&xivent 5 cette occasion 2 nouvelles esp&es : Or. antanosyorum et Or. madecassorum. Malgr6 ces apports success&, les non&reuses d&terminations qui demeuraient encore douteuses nous ont &it&s i reprendre l ensemble du probeme PO& par l identification des Orthopodomyia de la sous-r&ion biogkographique malgache. Nous tenterons de faire progresser leur connaissance en klargissant leur &ude i toute la r&ion afrotropicale. Position taxonomique de quelques espitces malgaches Or. geberti Grjebine, 1954 Au moment de la description d Or. geberti, Grjebine ne disposait, pour identifier son matbriel, que de la tr&s b&e description d Or. vernoni faite par Van Someren et du dessin proposh par Doucet qui repr&entait t&s probablement une larve d Or. mizzoti sous le nom d Or. vernoni. Nous avons retrouvh l holotype larvaire qui a servi & la description d Or. geberti et, apr& consultation de la collection de F. Rodhain et de l abondant mathriel que nous avons nous msme r&olt& et mis en Glevage, nous consid&ons Or. geberti, non plus comme un nomen dubium (Zavortink 1968), mais comme un synonyme d Or. vernoni. Or. madecassorum Rodhain et Boutonnier, 1984 Les auteurs ont fond6 la distinction de cette esp&ce sur la description d une femelle capturbe dans la station de Pkrinet, Sous-Prkfecture de Moramanga, Province de Tamatave (Toamasina). Cette esp&ce se reconnait & la pr&

18 16 J. BRUNHES & J.-P. HERVY sence, sur la patte III, d un cinquieme article tarsal entierement blanc. Ce meme article est noir chez Or. milloti. Tous les autres caracteres morphologiques d Or. madecassorum sont t&s proches sinon identiques a ceux gue l on peut observer chez Or. milloti. A notre avis, plusieurs observations nous incitent a proposer la mise entre parentheses de ce taxon : - il a 6th decouvert dans la local&type d Or. milloti oh cette espece est largement hegemonique et alors que les Orthopodomyiu sont rarement sympatriques ; - la larve, la nymphe et le msle sont inconnus ; - l holotype femelle a accidentellement perdu ses tarses posterieurs alors que ceux-ci constituent un element decisif pour l identification de l espece. En consequence et dans l attente de nouvelles captures, nous proposons done qu Or. madecassorum soit consideree comme un nomen dubium probablement synonyme d Or. milloti. Or. antanosyorum Rodhain et Boutonnier, 1984 Les auteurs de cette espece ont effect& leur description en se fondant sur deux femelles conservees a set et sur un m%le conserve en alcool. 11s ont souligne aussi la t&s grande parent6 d Or. antanosyorum avec Or. vernoni. Les convergences morphologiques apparaissent particul.izrement nettes en ce qui concerne les pattes et les genitalia m&les de ces 2 especes. La cl& de determination proposee par ces auteurs signale qu il y a 5 a 6 soies laterales sur le tergite VIII d Or. vernoni alors qu il n en existe que 3 sur celm d Or. antanosyorum. Les femelles de ces 2 especes peuvent se distinguer gr&ce a une disposition legerement differents des ecailles color&es, en particulier de celles qui se trouvent sur le scutum et sur la face posterieure des femurs de la patte anterieure. Les stades pr&maginaux de ces 2 especes sont aussi tres difficilement distinguables : chez Or. vernoni, la soie 5-VI ne depasse pas le bord posterieur du segment VII alors gue chez Or. antanosyorum cette mgme soie atteint le bord posterieur du segment VII. L examen d une dizaine de genitalia m%les d Or. vernoni nous a montre la t&s grande variabilite du nombre de soies portees par le tergite VIII. Cette ornementation est en effet peu constante aussi bien chez les msles issus du larvaire que sur le cot& droit ou gauche d un mgme individu. Ce caractere nous a aussi semble &ninemment variable chez toutes les especes de la region afrotropicale. Dans l etat actuel de nos connaissances, et compte tenu de la t&s grande proximite morphologique des larves, des nymphes et de l ornementation des pattes d Or. vernoni et d Or. antanosyorum, nous preferons considerer Or. antanosyorum comme un synonyme d Or. vernoni.

19 DIPTI?RES CULICIDAE CULICINAE 17 LE POINT SUR LES ORTHOPODOMYIA DU CONTINENT AFRICAIN Historique des dkouvertes et &at des co~aissances La plus ancienne espbce d Orthopodomyia connue a &tb captu&e et d&rite en Italie par Rondani en Ce Culex puz&r&zlpis qui devait devenir Orthopodomyia puzchripazpis apr& que Theobald etit d&fti les caract&es morphologiques communs aux Orthopodomyia, se rencontre non seulement dans toute 1 Europe occidentale mais aussi dans tout le Maghreb. Elle ne franchit cependant pas la barri&re des dkserts qui &parent la r&ion palharctique de la r&ion afrotropicale. Cet Orthopodomyia prbsente les caract&res morphologiques propres au groupe signifera tel que les a d&finis Zavortink (1968) mais il se disting-ue suffisamment de ce groupe pour Gtre plack dans le sous-groupe pulchripalpis dont il est l unique reprhsentant. Sur la portion du continent africain qui fait partie da la r+$on afrotropicale, seules 2 esp2ces ont &tk d&rites i ce jour ; elles proviennent toutes deux de la meme foret relicte de Nkolbisson qui se trouve & quelques kilom&res de Yaoundk (Rkpublique du Cameroun). Orthopodomyia nkolbissonensis a 6th dbcouvert i l htat imaginal par Rickenbach et Hamon (1965) q ni ont d&wit la morphologie du m$le et de la femelle g-&e & un lot de 7 mgles et 3 femelles. Quelques an&es plus tard, la larve d Or. nkolbissonensis &ait d&rite par Ferrara (1968) & partir d une seule larve immature qu il avait obtenue apr& qu une femelle egt pondu au laboratoire. Malheureusement cette larve n a pas atteint le stade IV et la morphologie pr&imaginale d Or. nkolbissonensis reste done largement mkconnue. Le stade nymphal n a &tb ni observk ni dkcrit. Orthopodomyia aureoantennata, d&wit en 1973 par Ferrara n est encore connu que grsce 2 l holotype msle. Cette esp&ce est profondbment diff&ente d Or. nkolbissonensis. L &dkage de cet holotype, month au baume du Canada, est malheureusement disposk en biais ce qui n en facilite pas l interprbtation. Assez curieusement, les deux seuls Orthopodomyia connus de la r&ion afrotropicale proviennent done de la meme for%-relicte camerounaise des environs de Yaound& 11s sont par ailleurs si profond&ment diffhrents l un de l autre que l on n hhsiterait pas & les placer dans deux groupes distincts. Nous reviendrons dans la discussion sur le probl&me que posent la rareth et la sympatrie de ces deux espgces.

20 18 J. BRUNHES & J.-P. HERVY LES ORTHOPODO,MYIA D AFRIQUE ET DE LA SOUS-REGION MALGACHE Nous proposons ci-apres la description et les illustrations des parties anatomiques les plus caractkistiques de sept nouvelles especes dont six se developpent a Madagascar et une dans l ile de la Reunion. Pour faciliter l identification et la comparaison entre elles des differentes especes de la region afrotropicale, nous avons partiellement red&-it et redessine les cinq Orthopodomyiu deja connus. Cette revision du genre Orthopodomyzkz dans la region afrotropicale a et6 facilitee par le presence dans la collection du Laboratoire de Taxonomie des Vecteurs de I ORSTOM, a Montpellier, de quatre holotypes sur les cinq especes connues dans la region. Pour 2tre complet, nous proposons aussi une description complementaire - et de nouvelles illustrations - de la seule espece presente sur le continent africain mais qui ne se rencontre gue dans la sous-region m&literraneenne (Region palearctique). Les differents stades de developpement des 15 especes signalees sur le continent africain et dans la sous-region malgache ne sont pas tous connus. Le tableau I recapitule, pour chaque espece, les stades et les sexes d&its. r*ll Description sur Stade III Description complete Tableau I. - Etat des connaissances concernant les 15 espikes valides d Orthopodomyia signal&es dans la r&ion afrotropicale, la sous-r&ion malgacbe et la r&ion palbarctique occidentale. (Les esphes nouvelles d&rites dans cet ouvrage apparaissent en caracthes &ZE)

21 DIPTI?RES CULICIDAE CULICINAE 19 CL&S DICHOTOMIQUES D'IDENTIFICATION CL6 DES LARVES 1. Papilles anales a extrknite arrondie Papilles anales a extr&nite lanceolee Soie cephalique 9-C simple... 0 r. reunionensis n.sp. - Soie cephalique 9-C double ou triple... OK arboricollis 3. Siphon t&s court (indice c 2,5).... Or. ankaratrensis n.sp. - Siphon de taille moyenne a grande Soie ciphalique 5-C form&e de 3 a 4 branches Soie cephalique 5-C form&e de plus de 4 branches Antenne longue, mince, arquee (rapport L/l > 9) Antenne moins longue, plus large a la base (rapport L/l < 7) Soie cephalique 9-C form&e au plus de 3 branches... Or. milloti - Soie cephalique 9-C form&e au moins de 4 branches r. ambremontis nsp. 7. Soie abdominale 5-VII form&e de 6 a 9 branches ; plaques laterales du segment VIII reliees par un pont dorsal Or. joyoni - Soie abdominale 5-VII formed de 10 branches et plus ; plaques laterales du segment VIII non reliees par un pont dorsal. Or. fontenillei n.sp. 8. Siphon long (indice L/l > 6)... Or. rodhaini n.sp. - Siphon plus court (indice L/l < 5) Soie cephalique 9-C form&e de 2 a 3 branches epaisses... Or. comorensis - Soie cephalique 9-C simple Siphon court (indice L/l voisin de 2) r. nkolbissonensis - Siphon long (indice L/I compris entre 4 et 5).... Or. vernoni CL& DES NYMPHES 1. Extrknite de la soie abdominale 5-VI atteignant le bord distal du segment VIII Extr&nite de la soie abdominale 5-VI atteignant a peine le bord distal du segment VII Soie cephalique 12-C simple ou double.....i... 0 r. vernoni - Soie ckphalique 12-C form&e de 3 a 6 branches Soie abdominale lo-vi atteignant presque le bord distal du segment VII Or. rodhaini. n.sp. - Soie abdominale lo-vi atteignant au plus la moitie du segment VII

22 J. BRUNHES & J.-P HERVY Soies 5-IV et 5-V simples et t&s longues Or. milloti Soies 5-IV et 5-V doubles ou triples et plus courtes.. Or. fontenillei n.sp Soie 10-C simple... Or. reunionensis n.sp. Soie 10-C a branches multiples... 6 Soies 9-VII et 9-VIII t&s courtes (L inferieure a l/4 de la longueur des segments respectifs) Or. ambremontis n.sp. Soies 9-VII et 9-VIII normales (L au moins &ale a l/3 de la longueur des segments respectifs) Soies 4-C et 5-C simples, au moins a leur base... OK arboricollis Soies 4-C et 5-C aux branches multiples CLi Soie 7-C double et 2 fois plus longue que la trompette respiratoire Or. joyoni Soie 7-C simple a la base puis ran&be, a peine aussi longue que la trompette respiratoire Or. comorensis DES ADULTES Tibias des 3 paires de pattes or&s chacun de 3 anneaux noirs Or. nkolbissonensis Tibias differents Pattes I et II : tarses or&s seulement d un anneau blanc etroit port& par la base du premier tarsomere Or. pulchripalpis Pattes I et II : tarses ornes differemment Pattes II et III : femurs et tibias jaunatres, ne presentant, au plus, qu un anneau noir basal et un autre apical..... Or. aureoantennata Pattes II et III : femurs et tibias a teinte sombre dominante Patte III : tarsomere 3 entierement blanc ; tarsomere 4 noir a l apex Patte III : tarsomeres 3 et 4 presentant au plus un anneau blanc basal Patte I : tarse orne d un seul anneau blanc... Or. milloti Patte I : tarse or& de 3 anneaux blancs..... Or. rajaonariveloi n.sp. Patte III : tarsomere 1 sans anneau blanc basal..... Or. joyoni Patte III : tarsomere 1 or& d un anneau blanc basal... 7 Patte III : tarsomere 1 sans anneau blanc apical... 8 Patte III : tarsomere 1 avec un anneau blanc apical Patte I : tarsomere 2 entierement noir ou avec seulement quelques ecailles blanches a sa base Patte I : tarsomere 2 presentant un anneau blanc basal bien visible

23 DIPTI~RES CULICIDAE CULICINAE Patte I : apex du tibia et base du tarsomke 1 blancs. Or. fontenillei n.sp. Patte I : apex du tibia noir et base du tarsom&e 1 ne p&entant qu un anneau blanc 6troit Or. ambremontis n.sp. Patte I : tarsomke 3 portant un anneau blanc qui occupe la moiti6 basale du segment OK ravaonjanaharyi n. sp. Patte I : tarsomke 3 noir ou seulement orn6 de quelques kaille blanches Or. vernoni Patte I : tarsomhre 3 or& d un anneau blanc basal Or. comorensis Patte I : tarsom&re 3 entiikement noir Patte III : tarsomke 5 enti&ement noir Or. arboricollis Patte III : tarsomke 5 blanc & la base et parfois aussi A l apex Or. reunionensis n. sp. PRESENTATION DES DIFF~RENTES ESP~CES Orthopodomyia ambremontis n. sp. (fig. 1, fig. 2, planche 1, carte 1) SCrie-type L holotype m81e portant le nunkro T. 957 JB a 6th r&olt&, en mars 1983, par Didier Fontenille. Cette capture a 6t6 effectuhe au sommet de la Montagne d Ambre, Province de DGgo-Suarez (Antsiranana), Madagascar. PCdotypes. Le 19 avril 1980, le Professeur F. Rodhain a &colt& sur la mgme montagne, 2 environ 1100 m&res d altitude, des larves et des nymphes qui ne ressemblent A aucune espke connue. Compte tenu de la t&s grande proximitk des lieux oti D. Fontenille et F. Rodhain ont respectivement effect& leurs &coltes, nous prenons le risque de considker ces stades pr&naginaux et l holotype msle d Or. ambremontis comme appartenant A la mgme esp&ce. PCdotypes et topotypes examinks. La s&e des phdotypes comprend 4 nymphes, 21 larves au stade IV et 7 larves aux stades II ou III. Ces phdotypes, rkolt& par F. Rodhain, sont ktiquet& n 1394, 19/04/1980 ; Montagne d Ambre ; altitude m&res. Ils proviennent d une cavit6 creus6e dans un tronc d arbre tomb6 & terre. Par ailleurs, F. Rodhain a r&colt6 10 larves (topotypes) ayant atteint le stade IV ainsi que 29 larves mortes aux stades II et III ; ce mat&e1 est &iquetk n 1379, Montagne d Ambre ; altitude mktres ; il provient d un creux d arbre dont l identitk n est pas p&i&e. De p6t des types. L holotype msle, 1 pkdotype nymphal, 5 phdotypes larvaires seront conservk au Laboratoire de Taxonomie des Vecteurs, Centre ORSTOM de Montpellier (34), F rance. Un pkdotype nymphal, 5 pbdotypes larvaires seront conservks A 1 Institut Pasteur de Paris. Cinq phdotypes larvaires seront conserv& au MNHN (Paris). Trois phdotypes larvaires seront confi~s au BMNH (Londres) et trois autres pbdotypes larvaires seront con& au NMNH (Washington).

24 22 J. BRUNHES & J.-P HERVY Cette espece a i&e nomme umbremontis car, dans l etat actuel de nos connaissances, son aire de repartition semble local&e a la Montagne d Ambre. Ce massif montagneux se trouve a l extreme nord de Madagascar ; il c&nine a metres, isole des autres massifs montagneux malgaches par des regions basses, chaudes et seches, dont les altitudes se situent aux environs de 250 metres. Description de l espkce Holotype m2le (fig. 1). - Espece relativement grande : longueur de la patte III = 13,7 mm. TkTE Le kzbium noir presente un anneau median etroit de couleur blanc argente se prolongeant sur la face dorsale par une ligne blanche etroite mais bien visible qui atteint la base du labium. Palpe maxikzire : segment 1 noir, segments 2 et 3 noirs mais presentant des anneaux blancs a la base et a l apex ; segment 4 noir, segment 5 blanc. Vertex : tegument sombre presentant une tache d ecaihes spat&es sombres sur l occiput ; cette tache est suivie d une plage occipitale d krilles argentees. Regions postoculaire et interoculaire recouvertes d kailles falciformes blanches inclinees vers l avant. THORAX - Prothorax. Tkgument du prothorax clair. Patte I : longueur = 9,5 mm ; trochanter et base du femur blancs ; la teinte grisatre de la partie m&bane du femur est due au melange d ecailles claires et sombres qui la recouvre. La partie terminale du femur est nettement plus sombre gue le reste du segment. Tibia et tarse noirs a l exception de deux petits anneaux blancs : l un se trouve sur la base du tibia et l autre sur la base du premier article du tarse. - Mhothorax. T&nnent sombre. Scutum. Zone acrosticale portant une double rangee de soies longues m%es a une bande d ecailles falciformes pales ; region dorso-cent&e marquee elle aussi par une rangee de longues soies inserees dans une bande d ecailles piliformes blanchatres. Entre ces 3 lignes pgles, les killes sont plus rares et plus pgles. L aire situee en avant de la fossette prescutellaire est nettement plus blanche gue le reste du scutum ; elle est cependant marquee par 3 petites taches sombres, l une mediane, placee juste avant l aire prescutellaire, les 2 autres sit&es a l extknite posterieure des bandes dorsocentrales. Ces 3 taches distinctes forment un V dont la pointe est orientee vers l avant. Scutehm : les 3 lobes sont recouverts d &AlIes spatulees argentees. Pleures. Antepronotum recouvert dans sa partie superieure de quelques ecailles falciformes jaunatres alors que la partie inferieure est recouverte d kailles spatulees argentees. Membrane postcoxale Claire largement recouverte, comme la coxa I, d kailles spat&es et argentees. Mesepisternum presque entierement recouvert dans la moitie superieure d &Glles spatulles argentees et ne portant qu une bande verticale d ecailles argentees sur le bord post&o-inferieur ; ces 2 plages d ecaihes blanches sont s&par&es par une zone glabre. Coxa II sombre recouverte d ecaihes noires dans sa partie superieure. Mesepimeron glabre dans ses 2/3 basaux et portant une tache tri-

25 DIPT~RES CULICIDAE CULICINAE 23 T 0,l mm I 5 ml m I 1. - Adulte d Orthopodomyia ambremontis n. sp. - A : d&ail du tergite VIII. %I* : gonostyle. - C : phaliosome vu de face. - D : phallosome vu de profi. - E : pattes I, II et III.

26 24 J. BRUNHES & J.-P. HERVY angulaire d ecailles argentees dans sa partie ant&on&bane ainsi que quelques ecailles plus isolees dans la partie apico-anterieure. Patte II : longueur = 10,7 mm ; trochanter largement recouvert d killes sombres. Femur presentant une tache blanche sur sa partie ventro-basale et une touffe apico ventrale d ecailles noires et longues. Le reste du femur est recouvert d ecaihes claires et sombres m616es. Tibia clair a la base et a l apex ; p&s de la base un anneau plus sombre est nettement visible. Les segments 1, 2 et 3 du tarse portent un anneau blanc basal ; toutes les autres parties des tarses sont noires. Les ail& sont plutot petites (4 mm) et les ecailles qui recouvrent les nervures sont g&&alement courtes et de couleurs contrast&es ; des ecailles longues et etroites sont cependant presentes sur la partie distale des nervures medianes et cubitales. Le bord costal de l aile est marque par 4 taches pales de tailles decroissantes de la base vers l apex de l aile. La premiere tache se poursuit posterieurement et barre toute la partie basale de l aile. La deuxieme est interrompue posterieurement par la nervure cubitale mais elle rkapparait au niveau de la nervure anale sur laquelle elle forme une tache blanche mediane contrastee. Les troisieme et quatrieme taches blanches costales forment posterieurement des bandes claires moins nettement d&n&es. L apex de l aile est blanc. Le bord posterieur de la membrane alaire n est pas soulign6 par une bande d ecaihes sombres (ecailles de la troisieme bande) comme cela se prod& chez la plupart des especes afrotropicales (pl. 3). - M&athorax. Metepisternum a tegument brun et glabre. Halt&e blanche portant de non&reuses ecailles argentees. Patte III : longueur = 13,7 mm ; coxa et trochanter dont le t&gument brun sombre est presque entierement depourvu d ecaihes blanches. Femur grisatre a l exception de la base et de l apex qui sont sombres. Tibia a dominante Claire mais presentant un anneau noir bien marque p&s de sa base ainsi qu un autre anneau plus sombre p&s de l apex ; extrsme apex blanc. Bases des tarsomeres 1 et 2 or&es d un petit anneau blanc. Segment 3 et 4 blancs sur leur moitie basale et noirs distalement. Segment 5 entierement noir. ABDOMEN L abdomen est noir, sans bandes apicales blanches et sans plages bien defties d ecailles claires en position m&bane. Tergite I avec quelques ecailles pales medianes ; les autres tergites abdominaux sont noirs avec quelques &Ales grisatres m&banes qui ne forment pas de dessins bien nets ; presence de plages d ecailles argentees peu ktendues sur les bords lateraux anterieurs des tergites II a VII. Sternites I et II largement recouverts d ecailles pales ; sternites III a VII noirs or&s d &,aiiles claires laterales. Genitalia r&&s. Partie distale du tergite VIII profondement echancree en forme de V dont la membrane interne n est pas frangee et dont l apex des branches est a peine bossele. GonostyZe long et fin, termine par nne longue &pine denticulee en peigne. E&age : la partie dorso-mediane presente un long crochet arque et arrondi a l apex ; partie apicale portant, sur une partie plus sckifiee, 1 ou 2 rang&es de dents longues et ace&es

27 DIPT~RES CULICIDAE CULICINAE 25 1 mm 1 mm Fig Larve et nymphe d Orthopodomyia ambremontis n. sp. - A: antenne. - B : tgte face ventrale 2 gauche, face dorsale SI droite. - C : derniers segments abdominaux. - D : mktathorax et abdomen, face dorsale i gauche, face ventrale i droite. - E : ckphalothorax.

28 26 J. BRUNHES & J.-P. HERVY Nymphe (fig. 2) Cl?PHALOTHORAX Soie 1-C et 3-C bifides, aciculees et de tailles moyennes ; 2-C simple ; 4- C bifide et courte ; 5-C formee de 3 ou 4 branches aciculees de tailles i&gales ; 6-C tres courte, pectinee a l apex ; 7-C formee de 2 long-ties branches aciculees ; 8-C et 9-C simples ou fourchues, aciculees et de tailles moyennes. Soie 10-C formee de 8 a 10 branches ; 11-C simple ; 12-C formee de 3 branches. Trornpette respiratoire sombre mais presentant une etroite bande Claire bordant sa partie terminale. ABDOMEN A un faible grossissement, l abdomen de la larve semble glabre ; B plus fort grossissement, seules apparaissent les soies 5 et les 9-W et 9-VIII. Toutes les autres soies sont petites et minces, difficilement visibles. Soies 3, 6 et 7-I longues, fmes, simples ou fourchues. Soies l-11, III, IV, V, VI t&s petites et t&s fines ; elles passent de 5 a 10 branches sur le segment I, a seulement 3 branches sur le segment VI ; la soie l-vii n est plus formee que d une branche simple. Soies 3-11 et simples et relativement longues ; 3-IV et 3-V longues, aciculees et doubles ou fourchues ; 3-VI et 3-VII plus courtes et fourchues. Soie 9-W formee de 8 branches aciculees, courtes et en &entail ; 9-VIII : 13 branches aciculees, courtes et fines mais formant neanmoins un large &entail Palette natatoire etroite et longue ; soie 1-P t&s petite. Larve (fig.2) petites soies. - Tegument du thorax et de l abdomen recouvert de TkTE Soie 4-C : 10 a 12 branches plus courtes gue ceiles de 6-C ; soie 5-C : 4 branches longues, d&passant nettement l apex de l antenne ; 6-C : 9 a 11 branches aussi longues que l antenne ; 7-C : 17 ii 18 branches plus courtes que l antenne ; 8-C simple, longue et Kgerement aciculee ; 9-C : 3 a 7 branches t&s longuement aciculees ; 10-C simple, longue et aciculee ; 11-C : 6 a 7 branches courtes ; 12-C : 2 a 3 branches fines et courtes ; 13-C : 12 a 13 branches longuement aciculees et disposees en &entail. Antenne longue, mince et legerement arquee ; rapport L/l compris entre 12 et 13 ; elie est de teinte son&we sauf au niveau de l apex qui est nettement plus clair. Soie 1-A : 7 a 8 branches longuement et abondamment aciculees ; 2 et 4-A : longues et fines. THORAX - Prothorax. Soie 1-P : 5 A 6 branches fortes, aciculees et de tailles i&gales ; 2-P : simple, longue et souple, lisse ou t&s peu aciculee ; 5 et 6-P t&s longues et simples ; 7-P : 9 a 10 branches en etoile ; 14-P : simple et petite. - M&othorax. M-l : 15 ii 16 branches fortes, aciculees et en etoile ; 2-M courte et bifide ; 3, 4, 5, 6 et 7-M simples et de plus en plus longues de la partie mediane vers les parties laterales ; 14-M : 12 & 14 branches fortes et en etoile. - Mhtathorax. 1-T : 11 A 14 branches fortes et en etoile ; 2-T simple, aciculee et longue ; 3-T : 7 a 8 branches longues et en etoile ; 4-T : 5 branches en etoile ; 5-T : simple, courte et lisse ; 6-T : simple, longue et lisse ; 13-T :

NOTES SUR DEUX NOUVEAUX ACARIENS COMMENSAUX DE CHIROPTERES (SARCOPTIFORMES : ROSENSTEINIIDAE) A. FAIN.

NOTES SUR DEUX NOUVEAUX ACARIENS COMMENSAUX DE CHIROPTERES (SARCOPTIFORMES : ROSENSTEINIIDAE) A. FAIN. NOTES SUR DEUX NOUVEAUX ACARIENS COMMENSAUX DE CHIROPTERES (SARCOPTIFORMES : ROSENSTEINIIDAE) PAR A. FAIN. Au cours d'une mission scientifique effectuée au Cameroun en 1971, Mr PUYLAERT, attaché au Musée

Plus en détail

- 1320 - Cordonniers, sigans

- 1320 - Cordonniers, sigans click for previous page - 1320 - Cordonniers, sigans Corps ovale, très comprimé latéralement et couvert de petites écailles. Bouche petite, avec une seule rangée serrée de petites dents incisiformes. Nageoire

Plus en détail

Bienvenue sur la planète des insectes!

Bienvenue sur la planète des insectes! Bienvenue sur la planète des insectes! Les Entomonautes c/o Youssef Guennoun 49 bis rue du Borrégo 75020 Paris entomonautes(at)gmail.com Des milliards de petites bêtes Les insectes constituent 75 % de

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

Sarcelle d été. Anas querquedula

Sarcelle d été. Anas querquedula Sarcelle d été Anas querquedula Neil Fifer Sarcelles d été Hong Kong. R.P de Chine Principaux caractères spécifiques La sarcelle d été est un canard de petite taille, un peu plus massif que la sarcelle

Plus en détail

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Rencontre du groupe RAP Maïs sucré, 3 avril 2013 Jean-Philippe Légaré, M. Sc., biologiste-entomologiste, Laboratoire de diagnostic en

Plus en détail

- 101 - par Roger DAJOZ. Coleoptera of Madagasca r 9 : Description of a new species of Brachymoschiu m (Coleoptera, Tenebrionidae )

- 101 - par Roger DAJOZ. Coleoptera of Madagasca r 9 : Description of a new species of Brachymoschiu m (Coleoptera, Tenebrionidae ) - 101 - COLEOPTERES DE MADAGASCAR 9. DESCRIPTION D'UN BRACIIYMOSCHIUM NOUVEAU ET CLE DE DETERMINATION DES ESPECES DU GENR E (COLEOPTERES, TENEBRIONIDAE) 1 par Roger DAJOZ. Coleoptera of Madagasca r 9 :

Plus en détail

ANATOMIE DES INSECTES

ANATOMIE DES INSECTES ANATOMIE DES INSECTES les insectes ont le corps divisé en trois parties distinctes : la tête, le thorax et l abdomen. Le corps est entouré par un squelette externe, l exosquelette ou tégument. Mince, mais

Plus en détail

Calopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur

Plus en détail

Qu est-ce qu un insecte

Qu est-ce qu un insecte Les INSECTES Qu est-ce qu un insecte Ailes (4) Tête Thorax Abdomen Antennes Pattes (6) Insecte ou pas? Insecte ou pas? Insecte ou pas? Insecte ou pas? Insecte ou pas? Insecte ou pas? Insecte ou pas? Insecte

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions CYCLE 1 SOMMAIRE Des jeux tout prêts Colorie les animaux Le pelage des animaux Mères et petits Les modes de locomotion Animaux mélangés Plumes, poils et écailles Ranger les familles par ordre de taille

Plus en détail

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1b Wasmannia auropunctata Taille relative et diversité morphologique (Reine et ouvrière) Figure 2 Wasmannia auropunctata (mâle

Plus en détail

Cycle résumé. http://le-stylo-de-vero.eklablog.com

Cycle résumé. http://le-stylo-de-vero.eklablog.com Le Ver de farine est un insecte holométabole de l'ordre des Coléoptères (insectes à carapace dure) et de la famille des Ténébrionidés, d'où son nom de genre : Tenebrio. Ici, l'espèce étudiée est le molitor,

Plus en détail

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

Koninklijk Natuurhistorisc h Museum van Belgi ö

Koninklijk Natuurhistorisc h Museum van Belgi ö DU Musée royal d'histoire. naturelle de Belgiqu e ti Tome VIII, n 22. Bruxelles, août 1932. VAN HET Koninklijk Natuurhistorisc h Museum van Belgi ö Deel VIII, nr 22. Brussel, Augustus 1932. ARACt1NIDES

Plus en détail

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions Prop. 11.33 EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II Autres propositions A. Proposition Transférer Eunymphicus cornutus cornutus de l'annexe II à l'annexe I. La perruche de la chaîne a

Plus en détail

Championnat de France de Grilles Logiques Finale 7 juin 2014. Livret d'instructions

Championnat de France de Grilles Logiques Finale 7 juin 2014. Livret d'instructions Championnat de France de Grilles Logiques Finale 7 juin 0 Livret d'instructions Épreuve Thème Horaires Durée Points Déjà vu? h h minutes 0 Medley international h h 0 minutes 00 Futur proche? h h0 minutes

Plus en détail

Probabilités. Une urne contient 3 billes vertes et 5 billes rouges toutes indiscernables au toucher.

Probabilités. Une urne contient 3 billes vertes et 5 billes rouges toutes indiscernables au toucher. Lycée Jean Bart PCSI Année 2013-2014 17 février 2014 Probabilités Probabilités basiques Exercice 1. Vous savez bien qu un octet est une suite de huit chiffres pris dans l ensemble {0; 1}. Par exemple 01001110

Plus en détail

Punaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation

Punaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation Punaise des lits À quoi ressemblent-elles? Lorsqu elle est à jeun, la punaise des lits présente une coloration allant du brun au brun jaunâtre. Une fois gorgée de sang, elle devient brune rougeâtre et

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE par et pour les élèves et les par et pour les élèves et les enseignants des établissements à programme français de Maurice Un herbier numérique collaboratif? Une

Plus en détail

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous

Plus en détail

Burkina Faso Profil pays EPT 2014

Burkina Faso Profil pays EPT 2014 Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine

Plus en détail

PLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR

PLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR NOTE AU LECTEUR Dans le cadre de notre certification forestière à la norme du Forest Stewardship Council de la Seigneurie de Perthuis, nous vous présentons un résumé du plan général d aménagement forestier

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

TD de supervision. J.P. Chemla. Polytech Tours Département productique 2ème année

TD de supervision. J.P. Chemla. Polytech Tours Département productique 2ème année TD de supervision J.P. Chemla Polytech Tours Département productique 2ème année 1 Présentation de l équipement On veut superviser une cuve dans un batiment. Les informations à visualiser sont les suivantes

Plus en détail

VII Escaliers et rampes

VII Escaliers et rampes VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son

Plus en détail

A 1 auteur. Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois en 1979

A 1 auteur. Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois en 1979 Ne pas citer sans faire r~f~rence A 1 auteur Comit~ scientifique consultatif des peches canadiennes dans l 1 Atlantique CSCPCA Document de recherche 81/66 Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois

Plus en détail

EXCEL TUTORIEL 2012/2013

EXCEL TUTORIEL 2012/2013 EXCEL TUTORIEL 2012/2013 Excel est un tableur, c est-à-dire un logiciel de gestion de tableaux. Il permet de réaliser des calculs avec des valeurs numériques, mais aussi avec des dates et des textes. Ainsi

Plus en détail

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol. LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont

Plus en détail

Problèmes de dénombrement.

Problèmes de dénombrement. Problèmes de dénombrement. 1. On se déplace dans le tableau suivant, pour aller de la case D (départ) à la case (arrivée). Les déplacements utilisés sont exclusivement les suivants : ller d une case vers

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

LES INSECTES XYLOPHAGES

LES INSECTES XYLOPHAGES Il existe deux types d insectes xylophages : LES INSECTES XYLOPHAGES Les insectes du bois frais. Les insectes du bois frais envahissent surtout les arbres malades ou les bois abattus lorsque l'humidité

Plus en détail

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des

Plus en détail

Le code à barres EAN 13 mes premiers pas...

Le code à barres EAN 13 mes premiers pas... Le code à barres EAN 13 mes premiers pas... k étape 1 Vous venez d adhérer à GS1 France, Vous souhaitez connaître les démarches à suivre pour mettre en place un code à barres sur vos emballages. Ce guide

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

Cahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite

Cahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite Cahier d enquête Suspect N 5 Reproduction interdite 1ère étape : dé découvrez votre suspect Le Gypaè Gypaète barbu À l aide du plan, trouvez le Gypaète barbu dans les expositions. Le Gypaète barbu est

Plus en détail

OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS ÉVALUATION DES STAGIAIRES. Objectif des organisateurs et formateurs. Évaluation des stagiaires. Évaluation initiale

OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS ÉVALUATION DES STAGIAIRES. Objectif des organisateurs et formateurs. Évaluation des stagiaires. Évaluation initiale OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS L enseignement doit viser à ce que tous les stagiaires réussissent à acquérir de nouvelles connaissances et de nouvelles compétences. La réussite des stagiaires dépend en

Plus en détail

GUIDE D INSTALLATION. La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES

GUIDE D INSTALLATION. La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES GUIDE D INSTALLATION La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES Possède une résistance thermique élevée Réduit la circulation d air à travers les murs Évite la formation d

Plus en détail

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring»

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Mise à jour Aout 2013 Identifiant :... Mot de passe :.. Lorsque vous mettez les colliers aux animaux prenez garde à la petite flèche gravée (colorée en noir

Plus en détail

REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana

REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana BANQUE CENTRALE DE MADAGASCAR IINSTIITUT NATIIONAL DE LA STATIISTIIQUE C ette étude sur l investissement étranger à Madagascar a été faite

Plus en détail

TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE

TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE Les poux existent depuis toujours et ne sont pas près de disparaître. Heureusement, ils ne sont pas dangereux, mais ils sont dérangeants. Le saviez-vous? Les poux de tête

Plus en détail

L implantation des banques marocaines en Afrique

L implantation des banques marocaines en Afrique L implantation des banques marocaines en Afrique L intégration de l économie marocaine à l économie mondiale est désormais une évidence qui fait l unanimité, le dynamisme de cette intégration a été rendu

Plus en détail

Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux

Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! Zone libérée des poux français Guide anti-poux Double efficacité: Elimine les poux Endommage la membrane chitineuse des lentes empêchant ainsi l éclosion de

Plus en détail

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion

Plus en détail

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007 Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................

Plus en détail

LIVRET JEUNE PUBLIC (3-12 ans)

LIVRET JEUNE PUBLIC (3-12 ans) LIVRET JEUNE PUBLIC (3-12 ans) KADER ATTIA est né en 1970 à Dugny (Seine-St-Denis), il vit et travaille à Berlin. L ATELIER ÉPHÉMÈRE un samedi par mois, de 14h30 à 16h Pour explorer l exposition, peindre,

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

Lecture graphique. Table des matières

Lecture graphique. Table des matières Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................

Plus en détail

AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter

AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter 1 SOMMAIRE Vues générales des toits 3 Type de charpentes, de la plus simple à la plus sophistiquée quelques coupes transversales

Plus en détail

Bienvenue à la Banque nationale de Belgique!

Bienvenue à la Banque nationale de Belgique! Bienvenue à la Banque nationale de Belgique! La Banque nationale de Belgique n est pas une banque comme les autres Par exemple, tu ne peux pas y ouvrir de compte bancaire : seules les autres banques y

Plus en détail

1 cadre. 3 c 5 c. 7c 9 c. Actu Api n 19

1 cadre. 3 c 5 c. 7c 9 c. Actu Api n 19 Lors de chaque visite, notre attention se porte sur l âme de la ruche, le couvain. Avec l expérience, on peut y trouver une série d informations qui nous aident dans la conduite des ruches. Pour un nouvel

Plus en détail

Probabilités conditionnelles Loi binomiale

Probabilités conditionnelles Loi binomiale Exercices 23 juillet 2014 Probabilités conditionnelles Loi binomiale Équiprobabilité et variable aléatoire Exercice 1 Une urne contient 5 boules indiscernables, 3 rouges et 2 vertes. On tire au hasard

Plus en détail

Estimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15

Estimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15 17. Maïs Détermination du taux d impuretés... 17-2 Définitions... 17-2 Impuretés non déclarées... 17-2 Procédure normale de nettoyage... 17-2 Composition des impuretés... 17-3 Estimer le poids spécifique

Plus en détail

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou

Plus en détail

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008 GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère

Plus en détail

PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS

PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS 2012 Indice BDC de la nouvelle activité entrepreneuriale PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS Résumé --------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

La première fois qu elle est venue au laboratoire, elle avait un

La première fois qu elle est venue au laboratoire, elle avait un ARTICLE SPÉCIALISÉ : ELLE N A PLUS PEUR DE RIRE MARIA Saga Zirkonia - Des histoires du monde de «Zirkonzahn» 1 Luca Nelli Fig. 1 : Elle n a plus peur de rire Maria La première fois qu elle est venue au

Plus en détail

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica. Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application

Plus en détail

Tables. Tables individuelles réglables en hauteur manuellement

Tables. Tables individuelles réglables en hauteur manuellement Table réglable en hauteur Ropox Ergobasic, largueur 90 cm, inclinable Cette table économique réglable en hauteur est basée sur la table thérapeutique ROPOX ST, depuis des années une image fidèle dans les

Plus en détail

UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES

UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES Université Paris 13 Cours de Statistiques et Econométrie I UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 Licence de Sciences Economiques L3 Premier semestre TESTS PARAMÉTRIQUES Remarque: les exercices 2,

Plus en détail

2riOpieties, Mei6., Lat. Macquart: 32-37

2riOpieties, Mei6., Lat. Macquart: 32-37 . Macquart: 32-37 afterntis, il pose sos pied sur l'cau y enfoncer, ddploie ses son Les plusieurs an; ce rendfait leur multiplication e{lrayante, s'ils ne servaien[, dans lears de nour- titare abon(]ante

Plus en détail

VIVRE LA COULEUR DOSSIER PÉDAGOGIQUE. Musée des beaux-arts de Brest

VIVRE LA COULEUR DOSSIER PÉDAGOGIQUE. Musée des beaux-arts de Brest VIVRE LA COULEUR DOSSIER PÉDAGOGIQUE Musée des beaux-arts de Brest 1 Les objectifs : - Comment percevons-nous les couleurs? Quel rôle joue le cerveau? - Comprendre les choix et les procédés de création

Plus en détail

Sélection du Reader s Digest ajoute un nouveau chapitre au marketing direct personnalisé à l aide du Lab 1:1 de Xerox

Sélection du Reader s Digest ajoute un nouveau chapitre au marketing direct personnalisé à l aide du Lab 1:1 de Xerox Étude de cas Sélection du Reader s Digest ajoute un nouveau chapitre au marketing direct personnalisé à l aide du Lab 1:1 de Xerox Mathieu Péloquin, Vice-président marketing lignes de produits, Sélection

Plus en détail

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes Table des Annexes Annexe I : Procédure de désignation des sites Natura 2000 (ZPS et SIC). Annexe II : Composition du comité de pilotage. Annexe III : Exemple de cahier de pâturage tournant Manade. Annexe

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007

Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 page 1 / 10 abscisse addition additionner ajouter appliquer

Plus en détail

Le cliché thoracique

Le cliché thoracique Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

RENCONTRES EFFRAYANTES

RENCONTRES EFFRAYANTES RENCONTRES EFFRAYANTES Vampire ou loup-garou? Un frisson me saisit soudain, non pas un frisson de froid, mais un étrange frisson d angoisse. Je hâtai le pas, inquiet d être seul dans ce bois, apeuré sans

Plus en détail

Les nouvelles orientations de la politique de coopération internationale de la Ville sont :

Les nouvelles orientations de la politique de coopération internationale de la Ville sont : La Ville de la Possession est engagée depuis plus de 30 ans dans des actions de coopération décentralisée. Elle est la ville pionnière de La Réunion à développer des actions de coopération avec des villes

Plus en détail

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance

Plus en détail

(51) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L 1/053 (2006.01)

(51) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L 1/053 (2006.01) (19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 1 886 760 A1 (43) Date de publication: 13.02.2008 Bulletin 2008/07 (21) Numéro de dépôt: 0711197.6 (1) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L

Plus en détail

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

Plus en détail

Protocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot

Protocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot Muséum National d'histoire Naturelle de Paris Département de Systématique et Evolution Laboratoire des Reptiles et Amphibiens 25 rue Cuvier 75005 Paris & Laboratoire Ecologie, Systématique et Evolution

Plus en détail

Organisme certificateur : 10 rue Galilée 77420 Champs sur Marne Tél : +33 (0)1 72.84.97.84 Fax : +33 (0)1 43 30 85 65 www.fcba.fr. www.marque-nf.

Organisme certificateur : 10 rue Galilée 77420 Champs sur Marne Tél : +33 (0)1 72.84.97.84 Fax : +33 (0)1 43 30 85 65 www.fcba.fr. www.marque-nf. N d identification AFNOR Certification : NF 061 MQDQ-CERT 15-306 du 18/01/2015 N de Révision : 16 Date de mise en application : 04/03/2015 Annule et remplace le MQDQ-CERT /14-324 du 15/05/2014 REGLES GENERALES

Plus en détail

BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n 35 du 30 Septembre 2010

BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n 35 du 30 Septembre 2010 Marie-Pascale Schammé Inspectrice de L Éducation Nationale Sciences Biologiques et Sciences Sociales Appliquées Académie de ROUEN Document de référence académique BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n

Plus en détail

Carré parfait et son côté

Carré parfait et son côté LE NOMBRE Carré parfait et son côté Résultat d apprentissage Description 8 e année, Le nombre, n 1 Démontrer une compréhension des carrés parfaits et des racines carrées (se limitant aux nombres entiers

Plus en détail

L extermination des coquerelles

L extermination des coquerelles L extermination des coquerelles De la façon la moins toxique Guide pratique pour se débarrasser des coquerelles dans les maisons et appartements AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL : Au cœur de l habitation

Plus en détail

Colonnes de signalisation

Colonnes de signalisation COLONNES LUMINEUSES Ø 7 5 Ø 7 compactes à diodes Avantages : Solution complète prête à être raccordée Faible hauteur de montage Durée de vie des diodes extrêmement longue (au moins 70.000 h) et donc pratiquement

Plus en détail

Le PalaMeter Tout simplement astucieux.

Le PalaMeter Tout simplement astucieux. Le PalaMeter Tout simplement astucieux. Un instrument de mesure polyvalent pour la prothèse. La Prothèse de Qualité Le PalaMeter et ses fonctions Le PalaMeter d Heraeus est l instrument de mesure le plus

Plus en détail

REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 1952. par EMILIA MAS SON

REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 1952. par EMILIA MAS SON REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 952 par EMILIA MAS SON. C'est pendant sa campagne de 952 à Enkomi que M. Porphyrios Dikaios a trouvé un petit fragment de

Plus en détail

LISTE DES PRIX PORTE-BADGE.BE

LISTE DES PRIX PORTE-BADGE.BE Porte-badge BC-10 Porte-badge avec clip et épingle. Dimension : 59x89 mm. 0,39 0,35 0,32 0,30 0,29 0,28 0,25 BC-13 Porte-badge horizontal souple, pour le clip de badge. Dimension : 55x89mm. 0,45 0,42 0,40

Plus en détail

Sud Expert Plantes Comité de Pilotage

Sud Expert Plantes Comité de Pilotage Sud Expert Plantes Comité de Pilotage Mardi 8 Juin 2010, 9 :30-17 :30 Ministère des Affaires Etrangères et Européennes 27 rue de la Convention, salle 131, entrée par le 48 rue de Javel ; 75 015 Paris cedex

Plus en détail

PORTRAITS DE PARCS E X P O S I T I O N P H O T O G R A P H I Q U E

PORTRAITS DE PARCS E X P O S I T I O N P H O T O G R A P H I Q U E PORTRAITS DE PARCS E X P O S I T I O N P H O T O G R A P H I Q U E Du 2 au 28 avril 2011 MUSEUM DE GRENOBLE - JARDIN DES PLANTES DOSSIER DE PRESSE Crédit : Olivier Roydor 2 8 PARCS - 8 PHOTOGRAPHES 6 PARCS

Plus en détail

# 1. PERSONNES ASSURÉES 1.1 PERSONNES VISÉES PAR L'ACCORD

# 1. PERSONNES ASSURÉES 1.1 PERSONNES VISÉES PAR L'ACCORD Services internes 1. PERSONNES ASSURÉES # 1. PERSONNES ASSURÉES 1.1 PERSONNES VISÉES PAR L'ACCORD Cet accord vise tous les résidents canadiens qui reçoivent des services internes dans un établissement

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

www.imprimermonlivre.com

www.imprimermonlivre.com 0 www.imprimermonlivre.com Composition d une couverture avec Word L objectif de ce guide est de vous proposer un mode opératoire pour créer une couverture avec Word. Nous vous rappelons toutefois que Word

Plus en détail

Cahier de charges permettant la création d'un site web.

Cahier de charges permettant la création d'un site web. Cahier de charges permettant la création d'un site web. I. Présentation du projet Contexte : L association «GasZou» est un Groupe d achat Solidaire basé à Ixelles qui rassemble une 40ène de participants

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

BACCALAUREAT PROFESSIONNEL PROTHESE DENTAIRE

BACCALAUREAT PROFESSIONNEL PROTHESE DENTAIRE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL PROTHESE DENTAIRE Session 2014 EPREUVE E2 EPREUVE TECHNOLOGIQUE SOUS-EPREUVE E21 TECHNOLOGIE PROFESSIONNELLE ET DESSIN MORPHOLOGIQUE Durée : 5 heures Coefficient : 4 Le sujet

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

Module 1 : Tableau de bord Excel * 2010 incl.*

Module 1 : Tableau de bord Excel * 2010 incl.* Module 1 : Tableau de bord Excel * 2010 incl.* 1.0 Introduction Excel nous aide à mieux comprendre les données en les plaçant dans des cellules (réparties en lignes et en colonnes) et au moyen de formules

Plus en détail