Initiation à la virologie Chapitre IV : Diagnostic viral

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Initiation à la virologie Chapitre IV : Diagnostic viral"

Transcription

1 Initiation à la virologi Chapitr IV : Diagnostic viral [ Objctifs du modul Nous disposons d outils d laboratoir nous prmttant d détctr ls infctions virals t lurs ffts. Lorsqu on travaill dans l sctur médical, vétérinair ou agricol t qu on st confronté aux infctions virals, il st nécssair d avoir un vu général ds possibilités diagnostiqus xistants. Vous trouvrz ici ls princips du diagnostic viral ainsi qu un aprçu ds différnts tchniqus utilisés. Tabl ds matièrs 1. uts du diagnostic 2. pproch général 3. Caractéristiqus d un tst 4. Tchniqus diagnostiqus 5. Quiz t tsts 6. ibliographi la fin d c modul «Généralités sur ls virus», vous srz capabl d Expliqur l utilité ds tsts d laboratoir n virologi Comprndr ls notions d qualité général ds tsts (snsibilité, spécificité, tc.) Situr ls différnts typs d tsts dircts t indircts n virologi Comprndr l mod d fonctionnmnt général ds tsts rpris dans c chapitr Prérquis voir parcouru t compris ls partis I à III d c cours dans lurs aspcts généraux Qustions t réflxions Un tst répond à un qustion. Posz-vous d abord la qustion Ls qualités d un tst dépndnt fortmnt d la population tsté : tnz n compt dans l évaluation d un tchniqu Ls qualités d un tst vous disnt s il st adapté aux circonstancs Réalisation :

2 IV. Diagnostic viral 1. uts du diagnostic Lorsqu on n sait pas c qu on chrch, il st difficil d trouvr. L diagnostic établi par un laboratoir d virologi tnt d répondr à un crtain nombr d qustions. En fonction d la qustion posé t n fonction du virus concrné, l laboratoir appliqura ds tchniqus différnts. L diagnostic put poursuivr ls buts suivants : Confirmr un infction aiguë Démontrr un immunité par un infction ancinn ou un vaccination Détctr un infction prsistant avc ou sans symptôms Détctr la présnc d un xacrbation, par réactivation ou surinfction Caractérisr un virus Suivr l évolution d un infction viral avc ou sans traitmnt [ Pour lir ls xmpls : ] 1. uts du diagnostic 1

3 IV. Diagnostic viral 2. pproch général Dux typs d approch sont possibls. Soit la rchrch dirct du virus ou d élémnts d clui-ci, soit un approch indirct rchrchant ls signs d la réaction d l organism à la présnc du virus. En médcin humain ou vétérinair, ctt drnièr approch s résum la plupart du tmps à la rchrch d anticorps. En phytopathologi, si c typ d approch st moins utilisé vu l absnc d production d anticorps par la plant, il rst possibl d rchrchr la présnc d inclusions cllulairs caractéristiqus d infctions virals. 1. pproch indirct Chz ls animaux ou l homm, ls anticorps signnt un contact récnt ou ancin avc un antigèn donné. Ls anticorps rconnaissnt un antigèn donné t sont donc spécifiqus d un virus donné. Ctt rchrch d anticorps s fait généralmnt dans du sérum, d où l nom d tst sérologiqu. On put détctr un séropositivité, ou la présnc d anticorps. On put égalmnt déclr sur dux sérums succssifs l apparition d anticorps ou séroconvrsion. Ls anticorps sont ds immunoglobulins groupés n différnts classs, dont ls IgG t ls IgM. Ls IgM sont surtout présnts lors d la prmièr répons n phas aiguë t disparaissnt n qulqus mois. La présnc d IgM indiqu donc souvnt un infction récnt. Ls IgG apparaissnt à pu près au mêm momnt t prsistront à vi. On obsrv qu au cours d l évolution d la répons immunitair, il y a maturation d cs IgG qui au début ont un faibl avidité pour l antigèn, laqull augmntra au cours ds mois. L avidité ds IgG st un autr marquur prmttant d datr un infction. IV.2.1. Inclusions n rous à aubs provoqués par l virus d la bigarrur du poirau (microscopi élctroniqu) 2. pproch dirct Il s agit d la façon concptull la plus simpl. Un virus st présnt t nous rchrchons sa présnc soit n l visualisant d façon complèt par microscopi élctroniqu, soit n l cultivant t n obsrvant ss ffts dircts ou indircts sur ls clluls cultivés, l animal ou la plant inoculé. Par aillurs, nous pouvons détctr ds élémnts constitutifs du virus, comm ds antigèns xprimés dans ls particuls virals ou à la surfac d clluls infctés, ou un séqunc spécifiqu d acid nucléiqu. Ls tchniqus d détction d acids nucléiqus prnnnt actullmnt d plus n plus d importanc, surtout dpuis l dévloppmnt d tchniqus d amplification comm la PCR. près détction du génom d un virus on put caractérisr clui-ci par différnts tchniqus d hybridation t d séqunçag. 2. pproch général 2

4 Diagnostic viral 3. Caractéristiqus d un tst Lorsqu nous nous posons un qustion n virologi, nous pouvons dmandr un tst qui nous donnra un répons. Commnt savoir qull confianc nous pouvons avoir dans ctt répons? Cci dépndra ds caractéristiqus du tst, mais égalmnt ds circonstancs dans lsqulls il st dmandé. Exmpl : J soupçonn un hépatit viral chz un prsonn t j dmand d dosr dans son sang la présnc d bilirubin (pigmnt ntraînant la jauniss). D un part un infction par un virus d l hépatit put survnir sans présnc d jauniss t d autr part il y a d autrs raisons qu ls hépatits virals d avoir un jauniss. C tst, bin qu m donnant un indication, a ds limits évidnts. 1. La snsibilité cliniqu d un tst C st la capacité d un tst à détctr un infction, un maladi ou un immunité lorsqu cll-ci st présnt. Exmpl : Si un tst a un snsibilité d 98% pour détctr l infction par l virus du SID (VIH ou HIV), cla signifi qu sur 100 prsonns infctés j vais n détctr 98 avc mon tst. D mêm, si la snsibilité cliniqu d un tst dstiné à la détction du virus d la mosaïqu du tabac st d 95%, cla signifi qu l tst st capabl d mttr la présnc du virus n évidnc 95 fois sur 100. Exmpl : tst très snsibl. La snsibilité cliniqu s évalu sur un population ayant l attribut rchrché (maladi, infction ou immunité) Présnc d Maladi/infction/immunité Tst + Tst - Total Snsibilité cliniqu = (198/ ) X 100 = 99% 2. La spécificité cliniqu d un tst C st la capacité d un tst à êtr réllmnt négatif quand un infction, un maladi ou un immunité st absnt. Exmpl : Si n transfusion sanguin, lors du dépistag du SID chz ds donnurs d sang on trouv 2 donnurs positifs sur 1000, parmi ds donnurs parfaitmnt négatifs, la spécificité cliniqu du tst st d 99,8%. Parmi ls négatifs j trouv 0,2% d résultats faussmnt positifs. Exmpl : tst très spécifiqu. La spécificité cliniqu s évalu sur un population n ayant pas l attribut rchrché (maladi, infction ou immunité) Tst + Tst - Total Présnc d Maladi/infction/immunité Spécificité cliniqu = (998/ ) X 100 = 99,8% 3. La snsibilité analytiqu d un tst Cci rprésnt la quantité minimal d matièr à analysr qu l tst parvint à détctr. Exmpl : un tst pour la détction d l hépatit parvint à détctr d façon rproductibl au moins virus par ml d sang. Il s agit d la snsibilité analytiqu d c tst. On décrira parfois la snsibilité analytiqu comm l «suil d snsibilité». 3. Caractéristiqus d un tst 3

5 IV. Diagnostic viral > 3. Caractéristiqus d un tst 4. La spécificité analytiqu d un tst La spécificité analytiqu d un tst indiqu sa capacité à n détctr qu un produit à analysr bin précis à l xclusion d tout autr. Exmpl : un tst très spécifiqu n détct qu l virus d la varicll. Un tst un pu moins spécifiqu détct tous ls virus d la mêm famill, à savoir ls Hrpsvirida. 5. La valur prédictiv positiv d un tst ou la valur prédictiv d un tst positif (VPP) La VPP indiqu ls chancs qu un tst, lorsqu il st positif, soit réllmnt positif t non faussmnt positif. La VPP dépnd ds autrs caractéristiqus du tst, particulièrmnt d la spécificité, mais ncor baucoup plus d la probabilité pré-tst du diagnostic. Lorsqu un maladi ou infction st rar t donc sa probabilité pré-tst faibl, un résultat positif sra baucoup plus souvnt faussmnt positif qu si ctt infction était fréqunt dans l group étudié. Exmpl : Lorsqu on tst ls immunoglobulins d class M contr la rubéol, c tst st indicatif d un infction récnt. Utilisé chz ds patints présntant ds symptôms il confirmra la plupart du tmps l diagnostic ; utilisé comm dépistag chz ds prsonns n ayant aucun symptôm, comm ls fmms ncints, ls tsts positifs sront généralmnt faussmnt positifs. Exmpl : valur prédictiv positiv élvé si l attribut st très fréqunt (prévalnc d ±16,6%) avc un tst qui a un snsibilité d 99% t un spécificité d 99,8%. La VPP s calcul sur ls résultats positifs. Tst + ttribut présnt ttribut présnt VPP = (198/ ) x 100 = 99% Total Exmpl : valur prédictiv faibl si l attribut st très rar (prévalnc d ± 0,1%) avc l mêm tst ttribut présnt ttribut présnt Total Tst VPP = (99/99+200) x 100 = 33% 6. La valur prédictiv négativ d un tst ou la valur prédictiv d un tst négatif (VPN) La VPN indiqu ls chancs qu un tst, lorsqu il st négatif, soit réllmnt négatif t non faussmnt négatif. D mêm qu dans l cas d la VPP, la VPN st fortmnt dépndant d la probabilité pré-tst du diagnostic. Exmpl : En transfusion il y a un systèm d auto-xclusion ds donnurs, basé sur un intrrogatoir écrit. L but st d diminur la probabilité pré-tst d tombr sur un prsonn infcté par un virus d hépatit ou par clui du SID. D ctt façon on amélior la VPN ds tsts qui sront par après xécutés sur ls dons: lorsqu on aura un tst négatif, on augmnt la probabilité qu il corrspond réllmnt à l absnc d infction. 3. Caractéristiqus d un tst 4

6 IV. Diagnostic viral > 3. Caractéristiqus d un tst 7. Définition mathématiqu Divisons la population tsté n fonction d la présnc d un maladi/infction/immunité t d la présnc d un résultat positif ou négatif d tst. s Pour accédr à l xrcic : IV.3.1. Calcul d la snsibilité t d la spécificité ds valurs prédictivs d un tst Nous voyons qu la snsibilité cliniqu s évalu dans un population ayant l attribut tsté (maladi/infction/immunité) t qu la spécificité cliniqu s évalu dans un population n ayant pas ct attribut. Par contr la VPP t la VPN vont dépndr d la proportion d malads t d bin portants dans la population tsté, puisqu ils s calculnt sur ls colonns vrticals. 3. Caractéristiqus d un tst 5

7 IV. Diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus Ls différnts approchs possibls dans l diagnostic viral, dirct t indirct, sront miux compriss par qulqus xmpls pratiqus détaillés. Nous décrivons ici qulqus tchniqus d détction d anticorps, d détction t d caractérisation ds virus (sous-typs, résistanc aux médicamnts antiviraux). 1. Détction d anticorps Lorsqu un animal ou un homm ntr n contact avc un antigèn étrangr, il réagit par un réaction immunologiqu spécifiqu. L H H(avy) L(ight) Ctt réaction comprnd dux volts : un réaction humoral avc la production d anticorps qui rconnaissnt l antigèn t un réaction cllulair avc augmntation d un population cllulair cytotoxiqu spécifiqu. Ctt réaction survint aussi lors du contact avc un virus par infction ou vaccination. Variabl Constant ss ss ss ss La production d anticorps spécifiqus put êtr détcté avc ds tchniqus rlativmnt simpls. Cs tsts sont ffctués généralmnt sur du sérum d où l nom d tsts sérologiqus. IV Structur d un molécul d immunoglobulin Ls anticorps sont ds protéins, nommés immunoglobulins ou gamma-globulins, divisés n différnts classs : ls immunoglobulins G, M,, E. C sont surtout ls IgG (monomèrs) t ls IgM (pntamèrs) qui sront rchrchés dans l diagnostic ds maladis virals. Immunoglobulins L H H(avy) L(ight) IgG monomèr ss ss ss ss IgM pntamèr Ig dimèr IV Structur d un molécul d immunoglobulin 4. Tchniqus diagnostiqus 6

8 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus Séropositivité : Présnc d'anticorps IgG incubation Infction Survnu ds anticorps Maladi Séroconvrsion : apparition d'anticorps sur dux sérums succssifs 2 IgG Infction incubation 1 Détction ds anticorps 1 2 Echantillons d sérum Maladi ugmntation d titr ou taux d'anticorps ntr ls dux sérums 2 1 IgG Infction incubation ugmntation ds anticorps 1 2 Echantillons d sérum Maladi Rchrch d'igm IgM Infction incubation +/- 3 mois Survnu ds anticorps Maladi 4. Tchniqus diagnostiqus 7

9 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus IgG IgM incubation Infction Maladi IV pparition d anticorps après infction t lur détction L tst sérologiqu détctra : La présnc d anticorps ou séropositivité : cci sign l contact avc l virus mais n prmt pas d datr l momnt d l infction. Pour crtains virus qui prsistnt dans l organism cla indiqu égalmnt l état d portur (xmpl : l virus du SID ou VIH/HIV) L apparition d anticorps ntr dux sérums succssifs prélvés généralmnt à un intrvall d 10 à 21 jours. On parl d séroconvrsion. Cci indiqu qu un prmir contact a u liu autour du momnt du prmir prélèvmnt. Un augmntation d la concntration d anticorps ntr dux sérums. Ctt concntration s xprim n titr ou n unités tst utilisé. Un augmntation indiqu qu il y a u un stimulation du systèm immunitair : cll-ci put êtr du à un infction récnt ou à un réactivation viral symptomatiqu ou non. La présnc d anticorps d la class M (IgM), qui sont présnt pndant ls prmirs mois après un contact. La présnc d anticorps IgG d faibl avidité. L avidité ds anticorps augmnt au cours ds mois succédant à un infction aiguë. Un faibl avidité indiqu donc un infction récnt. 4. Tchniqus diagnostiqus 8

10 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus Qulqus xmpls d tsts sérologiqus Ls tsts d agglutination Ils font appl à ds particuls microscopiqus (latx, gélatin ou globuls rougs) rcouvrts d un antigèn viral avc ss épitops, qui sront mélangés à un dilution d sérum. Ls anticorps sont capabls d lir dux épitops t établiront donc ds ponts ntrs ls particuls qui sront visibls comm un agglutination microscopiqu ou macroscopiqu. Un problèm pouvant survnir avc c gnr d tst st l fft «prozon» : lorsqu il y a un très grand quantité d anticorps, il y a déséquilibr ntr la quantité d anticorps t d antigèns t la réaction n s produit pas. Lorsqu, dans c cas, on dilu l sérum la réaction dvint positiv. Résultat positif Résultat négatif Efft prozon IV Tst d agglutination pparition d anticorps après infction t lur détction Définir l taux d anticorps par titration vc l tst d agglutination l princip d la titration st aisémnt compris. Il s agit d établir un séri d dilutions d sérums t d ffctur la réaction d détction avc chaqu dilution. La plus haut dilution offrant ncor un réaction positiv donnra l titr. Lorsqu à un dilution d 1/32 on détct ncor ls anticorps, mais plus à 1/64, on dit qu l titr d anticorps dans c sérum st d 32. Lorsqu ls particuls utilisés pour l tst d agglutination sont ds globuls rougs (avc lurs proprs protéins d surfac fortmnt glycosylés comm antigèns), on parl d hémagglutination. C tst st souvnt utilisé, non pas pour la détction d anticorps, mais pour la détction d particuls virals s liant aux acids sialiqus (comm l virus d la gripp). 0.5 ml d diluant dans chaqu tub IV Titration d un sérum pour la rchrch d anticorps 4. Tchniqus diagnostiqus 9

11 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus ELIS ou EI (Enzym Linkd ImmunoSorbnt ssay ou Enzym Immunossay) Cs tsts font appl à un conjugué couplant un nzym à un anticorps d détction. Cs tsts prmttnt un automatisation complèt ds tsts t d ctt façon d tstr d nombrux sérums. L princip st donné dans la figur IV L ELIS prmt aussi un évaluation du taux d anticorps, mais au liu d fair appl à un titration, il fait appl à un courb standard pour comparr ls valurs obtnus. Dans c cas l résultat sra xprimé n unités. Cs unités sront intrnationals (UI) si la comparaison s fait avc un standard intrnational ou arbitrairs (U) s il n y a pas d standardisation. Il xist d nombruss variants du tst ELIS, comm ls tsts d captur t ls tsts compétitifs. L princip put égalmnt êtr modifié pour la détction d antigèns. Ls tsts sérologiqus décrits dans ctt sction sont donc aussi utilisés pour l idntification d virus phytopathogèns à partir d un xtrait végétal. insi, chaqu anné, ds cntains d millirs d ELIS sont réalisés pour détctr ls virus potntillmnt présnts dans ls pomms d trr dstinés à la plantation, pour minimisr ls risqus d prts d rndmnt liés à cs virus. ntigèns dans un puits d un plaqu n polystyrèn + Sérum Incubation Si ds anticorps sont présnts, ils s fixnt sur l'antigèn Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Conjugué (anticorps antihumain couplé à un nzym) Incubation Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Substrat pour l'nzym L substrat s color si l'nzym st présnt Lctur photométriqu IV Titration d un sérum pour la rchrch d anticorps 4. Tchniqus diagnostiqus 10

12 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus Wstrn blot Lorsqu on confirm un résultat obtnu n sérologi d routin, on utilis parfois un tst dit Wstrn blot (W), qui st un modification du princip ELIS énoncé plus haut. Dans l tst W, ls protéins d un lysat viral sont séparés n élctrophorès sur gl d polyacrylamid (PGE), nsuit transférés («blotting») vrs un fuill d nitrocllulos ou d nylon. Ctt fuill, découpé n lanièrs, prmttra d tstr ls sérums pour rchrchr ls anticorps contr ls différnts protéins avc un tchniqu dont l princip rssmbl à cll d l ELIS décrit plus haut. La réaction apparaît comm un band d dépôt à l ndroit où s trouv la protéin concrné. - + Lysat viral Protéins séparés SDS-PGE "blotting" Transfrt ds antigèns séparés sur nitrocllulos Protéins lourds Découpag n bands Protéins légèrs IV Préparation ds bands d Wstrn blot L substrat s color t s dépos à l'ndroit d l'antigèn conjugué anticorps antigèn IV Détction d anticorps par Wstrn blot 4. Tchniqus diagnostiqus 11

13 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus gp160 gp120 p66 p55 p51 gp41 p31 p24 p17 p15 () () + - IV Résultat d détction d anticorps 4. Tchniqus diagnostiqus 12

14 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus Rchrch ds anticorps IgM Dans ls tsts ELIS, l conjugué put spécifiqumnt êtr dirigé contr un class particulièr d immunoglobulins, ls IgG ou ls IgM. Ls tsts rchrchant ls IgM posnt un crtain nombr d problèms, t d façon général ils rstnt moins fiabls qu ls tsts IgG. Dans un tst, suivant l format donné dans la figur IV ds résultats faussmnt négatifs ou positifs puvnt survnir. Ds résultats faussmnt négatifs survinnnt lorsqu il y a baucoup d IgG accompagnant ls IgM. Ls IgG vont saturr ls sits d réaction t n prmttront pas aux IgM d s fixr. IgM ntigèns dans un puits d un plaqu n polystyrèn + Sérum Si ds IgM sont présnts, ils s fixnt sur l'antigèn Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Conjugé (anticorps anti IgM couplé à un nzym) Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Substrat pour l'nzym L substrat s color si l'nzym st présnt IV Tst immuno-nzymatiqu pour la rconnaissanc ds IgM 4. Tchniqus diagnostiqus 13

15 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus Intrférnc du factur rhumatoïd (FR) dans ls Elisa IgM Par aillurs, d nombrux facturs puvnt intrvnir pour crér ds résultats faussmnt positifs. L plus important st l factur rhumatoïd (FR) : il s agit d IgM réagissant d façon non spécifiqu avc ds IgG complxés ou liés à un antigèn. Lorsqu dans l tst ELIS ds IgG spécifiqus s sont liés à l antigèn t qu c complx st rconnu par l factur rhumatoïd présnt dans l sérum du patint, un réaction d rconnaissanc d IgM s fra lors d l ajout d conjugué, donnant faussmnt l imprssion qu ds IgM spécifiqus sont présnts. FR (IgM) IgG ntigèns dans un puits d un plaqu n polystyrèn + Sérum L factur rhumatoïd s fix sur l complx antigèn-anticorps Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Conjugé (anticorps anti IgM couplé à un nzym) Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Substrat pour l'nzym L substrat s color malgré l'absnc d'igm spécifiqus IV Intrférnc du factur rhumatoïd dans ls Elisa IgM Il y a dux façon d évitr l fft du factur rhumatoïd t n mêm tmps d mpêchr l fft d un fort concntration d IgG spécifiqus : 4. Tchniqus diagnostiqus 14

16 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus 1. jout d anti-igg : on dilu l sérum avc un diluant contnant ds anticorps anti-igg humains. Cci complx ls IgG (donc moins d IgG n solution) t fix l factur rhumatoïd. FR (IgM) nti IgG FR (IgM) FR (IgM) + Sérum + anti-igg L FR rconnaît l complx IgG Séparation du sérum (avc évntullmnt IgM spécifiqus) Surnagant placé dans un plaqu ELIS pour la détction ds IgM spécifiqus IV jout d anti-igg 2. Tst d captur : on utilis un ELIS d captur d IgM : ls IgM sont capturés par ds anticorps anti-igm fixés sur la phas solid. Ensuit on détct ls IgM avc l antigèn viral concrné conjugué à un nzym. Suls ls IgM spécifiqus réagissnt. Lavag pour éliminr + ntigèn couplé ls élémnts non à un nzym fixés + Sérum nti IgM Si ds IgM spécifiqus d l'antigèn sont présnts, ls antigèns sont captés Si ds IgM non spécifiqus (par x FR) sont présnts, pas d captag d l'antigèn Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Substrat Réaction positiv Réaction négativ IV Tst d captur différnciant ls IgM spécifiqus t ls IgM non spécifiqus 4. Tchniqus diagnostiqus 15

17 IV. Diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 2. Rchrch dirct du virus 2.1. Microscopi éléctroniqu L microscop élctroniqu st un outil qui prmt d visualisr ds objts xtrêmmnt ptits. Pour ctt raison, il a été utilisé abondammnt pour caractérisr t idntifir ls virus. Conçu au cours ds annés 1930, notammnt par Ernst Ruska qui obtindra un prix Nobl pour cla n 1986, l microscop élctroniqu à transmission «transmission lctron microscop» (TEM) génèr un faiscau d élctrons au départ d un cathod soumis à un voltag très élvé. C faiscau d élctrons st dirigé sur un échantillon qu il travrs pour n révélr l imag sur un écran fluorscnt, un plaqu photographiqu ou plus récmmnt sur un camra CCD qui put alors révélr l imag n tmps rél sur un monitur. D autrs microscops comm l microscop à balayag «Scanning Elctron Microscop» (SEM) ou l microscop d forc atomiqu «tomic Forc Microscop» (FM) prmttnt aussi d visualisr la structur ou ds détails d particuls virals. IV Microscop élctroniqu Si ll présnt un intérêt crtain pour la virologi, la microscopi élctroniqu st cpndant pu utilisé n rgard d l invstissmnt rquis t d la tchnicité élvé qu ll impliqu. Pour la mis n évidnc d virus, on travaill généralmnt avc ds grills d cuivr ou d zinc rcouvrts d un fin film d carbon t/ou d formvar. On dépos nsuit sur c film un préparation viral qu l on va colorr avc ds agnts comm l acétat d uranyl ou l acid phosphotungstiqu. Ls virus apparaissnt alors n contrast négatif comm ds structurs clairs sur un fond foncé. On parl d coloration négativ. La tchniqu prmt d idntifir l virus sur bas d sa structur t d sa taill. Son principal avantag st la rapidité d réalisation. On put la combinr avantagusmnt avc ls tchniqus immunologiqus : on parl alors d décoration immunologiqu (la particul viral st ntouré d immunoglobulins qui lui donnnt un aspct plus dns), d immunosorbnt lctron microscopy (ISEM) lorsqu l on adsorb ls particuls virals à l aid d immunoglobulins, un pu à la manièr d un ELIS. Dans crtains cas, on a utilisé ds particuls métalliqus sphériqus pour marqur spécifiqumnt crtains structurs virals (immunogold-lablling) IV Particuls virals (n microscopi élctroniqu) IV Idntification d structur viral par la tchniqu d la décoration immunologiqu IV diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 16

18 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus 2.2. Cultur viral La cultur d clluls (cll cultur) prmt d maintnir n croissanc ds clluls n conditions contrôlés. C procédé a été largmnt utilisé pour l isolmnt t la maintnanc d souchs virals. in qu ctt approch soit souvnt lnt t qu ll rquirt un tchnicité élvé, ll a longtmps été considéré comm l standard pour ls laboratoirs d diagnostic d maladis virals humains ou animals (Lland and Ginocchio, 2007). Son principal avantag st d prmttr l isolmnt d un grand nombr d virus très différnts. L chrchur va chrchr à détctr, par xamn microscopiqu d clluls n cultur, ds indics d infction viral. L spctr ds ffts st assz larg t rquirt un xpérinc conséqunt. On put citr l gonflmnt ou l rétrécissmnt ds clluls, ls rgroupmnts ou la formation d syncytium pour allr dans crtains cas jusqu à la dstruction complèt. Cs changmnts sont applés ffts cytopathiqus (cytopathic ffcts CPE). Crtains détctions puvnt êtr réalisés ndéans ls prmièrs 24h comm souvnt pour l HSV (uman Hrps Simplx Virus), mais d autrs dmandnt un périod bin plus longu. Dans crtains cas, on va combinr l tst à un hémadsorption (HD) qui prmttra l idntification spécifiqu d virus qui xprimnt ds hémagglutinins. IV Efft cytopathiqu Flèchs noirs : clluls normals Flèchs griss : après infction, ds îlots d clluls commncnt à s arrondir Flèchs blanchs : ls clluls s détachnt t murnt Un détction dirct d antigèns viraux par fluorscnc put complètr adéquatmnt la tchnologi t raccourcir d façon important la duré d la cultur. Ls tchniqus d cultur cllulair ont baucoup évolué au cours ds drnièrs annés pour offrir d nouvaux formats d cultur t ds altrnativs intérssants n trm d diagnostic. D autrs tchniqus, comm l inoculation d œufs mbryonnés ou ncor d animaux d laboratoir, si lls n sont pas à proprmnt parlr ds tchniqus liés à la cultur d clluls, prmttnt la mis n évidnc d virus. Côté virus d plants, on a aussi utilisé ls culturs d clluls végétals (protoplasts) pour la multiplication t l étud d virus. Toutfois, la tchnicité élvé rquis n a limité l intérêt dans l cadr du diagnostic viral. IV diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 17

19 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus 2.3. Détction dirct d antigèns La détction dirct ds protéins antigéniqus d origin viral prmt dans d nombrux cas d posr un diagnostic rapid. Dans crtains cas, ctt détction st rapid t facil, comm par xmpl pour la détction du virus rspiratoir syncytial (RSV) dans ds sécrétions rspiratoirs ou la détction d un antigénémi dans ls polymorphonucléairs nutrophils lors d un infction par l cytomgalovirus (CMV). IV Elisa - Vidéo Lorsqu l virus n st pas cultivabl, ctt approch d détction dirct st souvnt privilégié. C sra l cas par xmpl pour la détction d l antigèn d surfac du virus d l hépatit (ghs) présnt dans l sang ou ncor pour ls virus qui infctnt ls plants. Lorsqu l virus st cultivabl, l utilisation d la détction dirct prmt d accélérr l diagnostic t d obtnir un détction plus rapid. Ls tchniqus utilisés pour la détction dirct d antigèns sont ls mêms qu clls utilisés pour la détction d anticorps, déjà décrits. On va donc utilisr ds tchniqus d agglutination, d précipitation, ELIS (nzym-linkd immunosorbnt assay) ou d immunofluorscnc. Dans c drnir cas, on va utilisr ds anticorps anti-antigèn marqués avc un molécul fluorscnt, comm l isothiocyanat d fluorscéin. L xamn d la préparation à l aid d un microscop à épifluorscnc, qui émt un lumièr ultravioltt, prmt la détction d un coloration spécifiqu n surfac ds clluls xaminés. Il st aussi possibl d détctr ls protéins virals après élctrophorès sur gl d polyacrylamid t transfrt sur un mmbran d nitrocllulos : on parl alors d «Wstrn blot»(figure: Wstrn blot VQ protéin d capsid). Ctt tchniqu prmt notammnt, outr la détction d la protéin viral, qu l on put détctr au moyn d anticorps, d mttr n évidnc son poids moléculair. Ctt tchniqu st égalmnt utilisé pour la rchrch d anticorps contr ds composants virals. gglutination ntigèn Elisa Immunofluorscnc dirct f + Conjugué (IgG couplé à un fluorscéin) qui s fix sur ls antigèns U.V. f IV Détction d antigèns IV diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 18

20 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus 2.4. Détction d acids nucléiqus Il st possibl d détctr l DN ou l RN viral par hybridation. L princip à la bas d ctt tchniqu st tout simplmnt clui d la complémntarité ds doubls brins! Si l on soumt ls acids nucléiqus à un tmpératur élvé (94 C), ls brins s dissocint. Si lors du rfroidissmnt, un sond complémntair à un ds brins st présnt, ll s apparira alors au brin cibl. Ls sonds sont généralmnt marqués à l aid d marquurs radioactifs ou d un molécul comm la digoxigénin, facilmnt idntifiabl. ppliqué à la détction d l RN, on va parlr d «Northrn blot», t d «Southrn blot» lorsqu il s agit d détction d DN. Ctt tchniqu st utilisé pour la détction d crtains virus n anatomopathologi. Ell st d moins n moins utilisé dans l domain du diagnostic pur, mais consrv tout son intérêt pour l étud du fonctionnmnt viral au sin d la cllul. IV Thrmocyclur Mais dpuis un vingtain d annés, d nouvlls tchniqus ont véritablmnt révolutionné l domain du diagnostic. La réaction d polymérisation n chaîn («polymras chain raction» ou PCR) prmt d copir un séqunc nucléotidiqu connu un très grand nombr d fois c qui n facilit la détction, à l aid d amorcs spécifiqus t d un apparil applé thrmocyclur. 5' 3' 5' 3' G G C G G C T T G G C C G G C G C G T T C C G G G C C G G T G C G C T C G C G G C G C G T T C C G G G C C G G T G C G C T Taq Polymras 3' 5' 5' Ct apparil st capabl d répétr rapidmnt un séri d cycls d chauff t d rfroidissmnts. L xcllnt connaissanc ds génoms viraux a facilité c dévloppmnt tchnologiqu. Dans l cas ds virus à RN, on réalisra d abord un transcription invrs (rvrs transcription) à l aid d un nzym applé transcriptas invrs (rvrs transcriptas), avant la réalisation d la PCR. On parlra alors d un RT-PCR. La tchniqu st maintnant largmnt utilisé n virologi t décliné n plusiurs vrsions, comm la PCR multiplx qui vis l amplification d plusiurs cibls au sin d la mêm réaction ou ncor la PCR niché (nstd PCR), qui prmt d augmntr ncor la snsibilité d la réaction n réalisant un PCR suivi d un duxièm PCR ciblant un portion intrn du prmir amplicon produit. La tchniqu PCR, si ll offr l avantag d un très grand snsibilité, n n présnt pas moins ds défauts! L prmir st la difficulté d quantifir l DN ciblé. C problèm a été contourné avc l dévloppmnt d PCR quantita- Dénaturation (95 C) 5' 3' 3' 5' Hybridation (50 C) 5' 3' 3' 5' Extnsion (72 C) 5' 3' 3' 5' IV Princip d la PCR IV diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 19

21 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus tivs La quantification d la fluorscnc associé à un sond Taqman ou à un agnt colorant comm l SYR grn prmt d quantifir l DN ciblé dans la réaction, n suivant l élaboration ds produits d amplification au fur t à msur d la réaction, sans dvoir ouvrir l tub réactionnl : il s agit d un PCR quantitativ n tmps rél. 5' 3' 3' 5' Un duxièm problèm rncontré avc ctt tchnologi st sa très grand snsibilité : un simpl contamination d l échantillon à tstr put conduir à ds faux positifs. Ctt limitation impliqu la mis n plac d msurs stricts par l laboratoir d manièr à limitr au maximum cs risqus. Par aillurs ls produits d amplification, fort richs n amplicons, sont un sourc important d contamination, si on n sépar pas clairmnt ls zons d préparation ds zons d amplification dans l laboratoir. C risqu n xist par n cas d PCR n tmps rél où l tub d amplification rst frmé. Troisièm problèm : ls virus ont un génom xtrêmmnt variabl. Lorsqu la séqunc nucléotidiqu rchrché n st plus xactmnt idntiqu à cll ciblé par la PCR, cla put ntraînr ds résultats faussmnt négatifs. Plusiurs solutions tchniqus minimisnt c problèm : choix judiciux ds amorcs dans un zon très stabl du génom, utilisation d amorcs dégénérés, c.à.d. où à un mêm position plusiurs nucléotids sont possibls. La PCR t ls tchniqus d hybridation prmttnt d quantifir ls acids nucléiqus viraux, t donc ls virus uxmêms! On parl alors d charg viral. Ell st souvnt détrminé par PCR ou RT-PCR. L étud d la charg viral prmt d suivr avc précision l dévloppmnt d un infction, d proposr ds indications d traitmnt t d n suivr ls ffts. Par xmpl, la charg viral st actullmnt souvnt utilisé comm outil d suivi dans ls infctions par l virus d l hépatit, d l hépatit C, d l immunodéficinc acquis (VIH ou HIV) ou l cytomégalovirus. D la mêm manièr, on chrch à quantifir ls virus pathogèns ds végétaux au sin d culturs d protoplasts, pour comprndr lur fonctionnmnt au sin d la cllul végétal. IV Cycls succssifs 5' 3' 3' 5' IV Xièm cycl IV diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 20

CSMA 2013 11e Colloque National en Calcul des Structures 13-17 Mai 2013

CSMA 2013 11e Colloque National en Calcul des Structures 13-17 Mai 2013 Enrichissmnt modal du Slctiv Mass Scaling Sylvain GAVOILLE 1 * CSMA 2013 11 Colloqu National n Calcul ds Structurs 13-17 Mai 2013 1 ESI, sylvain.gavoill@si-group.com * Autur corrspondant Résumé En raison

Plus en détail

Exemple de Plan d Assurance Qualité Projet PAQP simplifié

Exemple de Plan d Assurance Qualité Projet PAQP simplifié Exmpl d Plan d Assuranc Qualité Projt PAQP simplifié Vrsion : 1.0 Etat : Prmièr vrsion Rédigé par : Rsponsabl Qualité (RQ) Dat d drnièr mis à jour : 14 mars 2003 Diffusion : Equip Tchniqu, maîtris d œuvr,

Plus en détail

7. Droit fiscal. Calendrier 2014. 7.1 Actualité fiscale 7.2 Contrôle et contentieux fiscal 7.3 Détermination du résultat fiscal.

7. Droit fiscal. Calendrier 2014. 7.1 Actualité fiscale 7.2 Contrôle et contentieux fiscal 7.3 Détermination du résultat fiscal. 7. Droit fiscal 7.1 Actualité fiscal 7.2 Contrôl t contntiux fiscal 7.3 Détrmination du résultat fiscal 7.4 Facturation : appréhndr ls règls juridiqus t fiscals, t maîtrisr l formalism 7.5 Gstion fiscal

Plus en détail

MAISON DE LA RATP 54, quai de la Râpée -189, rue de Bercy - 75012 Paris. M Gare de Lyon. M Gare de Lyon

MAISON DE LA RATP 54, quai de la Râpée -189, rue de Bercy - 75012 Paris. M Gare de Lyon. M Gare de Lyon i d r c r m 3 1 0 2 r 9 octob s i a n n o c u? t è b a i d mon MISON D L RP 54, quai d la Râpé -189, ru d Brcy - 75012 Paris M Gar d Lyon È B I D L R U S N N O I C S L M R O D O F N I L D D N URdNlaÉRapé

Plus en détail

TVA et Systèmes d Information. Retour d expérience d entreprise. A3F - 26 mars 2015 Hélène Percie du Sert COFELY INEO

TVA et Systèmes d Information. Retour d expérience d entreprise. A3F - 26 mars 2015 Hélène Percie du Sert COFELY INEO isr la t l t t zon iqur nt TVA t Systèms d Information Rtour d xpérinc d ntrpris A3F - 26 mars 2015 Hélèn Prci du Srt COFELY INEO Pour Sup Ins À p NB. M 30/03/2015 Sommair isr la t l t t zon iqur nt I

Plus en détail

Les nouvelles orientations politiques du budget 2015 du Gouvernement prévoient

Les nouvelles orientations politiques du budget 2015 du Gouvernement prévoient GO NEWSLETTER N 1/2015 19 janvir 2015 L «Spurpaak» du Gouvrnmnt t ss réprcussions sur la formation ACTUALITÉ L «Spurpaak» du Gouvrnmnt t ss réprcussions sur la formation Allianc pour la qualification profssionnll

Plus en détail

A. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX. (Adresse civique) 3. Veuillez remplir l'annexe relative aux Sociétés en commandites assurées à la partie E.

A. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX. (Adresse civique) 3. Veuillez remplir l'annexe relative aux Sociétés en commandites assurées à la partie E. Chubb du Canada Compagni d Assuranc Montréal Toronto Oakvill Calgary Vancouvr PROPOSITION POLICE POUR DES INSTITUTIONS FINANCIÈRES Protction d l Actif Capital d Risqu A. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 1. a. Nom

Plus en détail

Florence Jusot, Myriam Khlat, Thierry Rochereau, Catherine Sermet*

Florence Jusot, Myriam Khlat, Thierry Rochereau, Catherine Sermet* Santé t protction social 7 Un mauvais santé augmnt fortmnt ls risqus d prt d mploi Flonc Jusot, Myriam Khlat, Thirry Rochau, Cathrin Srmt* Un actif ayant un mploi a baucoup plus d risqus d dvnir inactif

Plus en détail

Le guide du parraina

Le guide du parraina AGREMENT DU g L guid du parraina nsillr co t r g ra u co n r, Partag rs ls mini-ntrprnu alsac.ntrprndr-pour-apprndr.fr Crér nsmbl Ls 7 étaps d création d la Mini Entrpris-EPA La Mini Entrpris-EPA st un

Plus en détail

Les maisons de santé pluridisciplinaires en Haute-Normandie

Les maisons de santé pluridisciplinaires en Haute-Normandie Ls maisons d santé pluridisciplinairs n Haut-Normandi tiq Guid pra u EDITO Dans 10 ans, l déficit d médcins sra réllmnt problématiqu si l on n y prnd pas gard. D nombrux généralists quinquagénairs n trouvront

Plus en détail

Matériau pour greffe MIS Corporation. Al Rights Reserved.

Matériau pour greffe MIS Corporation. Al Rights Reserved. Matériau pour grff MIS Corporation. All Rights Rsrvd. : nal édicaux, ISO 9001 : 2008 atio itifs m rn pos méd int i dis c a u x 9 positifs 3/42 té ls s dis /CE ur r l E. po ou u x U SA t s t appr o p a

Plus en détail

au Point Info Famille

au Point Info Famille Qustion / Répons au Point Info Famill Dossir Vivr un séparation La séparation du coupl st un épruv souvnt longu t difficil pour la famill. C guid vous présnt ls différnts démarchs n fonction d votr situation

Plus en détail

Sommaire G-apps : Smart fun for your smartphone!

Sommaire G-apps : Smart fun for your smartphone! Sommair G-apps : Smart fun for your smartphon! Sommair Présntation G-apps Pourquoi choisir G-apps Sctorisation t sgmntation d marchés Votr accompagnmnt clints d A à Z ou à la cart Fonctionnalités G-apps

Plus en détail

f n (x) = x n e x. T k

f n (x) = x n e x. T k EXERCICE 3 (7 points) Commun à tous ls candidats Pour tout ntir naturl n supériur ou égal à, on désign par f n la fonction défini sur R par : f n (x) = x n x. On not C n sa courb rprésntativ dans un rpèr

Plus en détail

Bloc 1 : La stabilité, une question d équilibre

Bloc 1 : La stabilité, une question d équilibre Bloc 1 : La stabilité, un qustion d équilibr Duré : 3 hurs Princips scintifiqus Ls princips scintifiqus s adrssnt aux nsignants t aux nsignants. Structur Un structur st un form qui résist aux forcs qui,

Plus en détail

Les ressources du PC

Les ressources du PC Modul 2 Ls rssourcs du PC Duré : 2h (1 séanc d 2h) Ctt séanc d dux hurs suit l ordr du référntil d compétncs du portfolio rattaché à c modul (v. portfolio du modul 2). Votr ordinatur PC st un machin composé

Plus en détail

Produits à base de cellules souches de pomme

Produits à base de cellules souches de pomme Soins Visag Produits à bas d clluls souchs d pomm NEW! Profssionnal & Rtail Shakr Mask pl-off Shakr Mask cristally (wash-off) Srum Crèm A Full Srvic : Formulation R&D Manufacturing Packaging Soin Visag

Plus en détail

Journée d échanges techniques sur la continuité écologique

Journée d échanges techniques sur la continuité écologique 16 mai 2014 Journé d échangs tchniqus sur la continuité écologiqu Pris n compt d critèrs coûts-bénéfics dans ls étuds d faisabilité Gstion ds ouvrags SOLUTION OPTIMALE POUR LE MILIEU Gstion ds ouvrags

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

Programme GénieArts Î.-P.-É. 2009-2010. GénieArts

Programme GénieArts Î.-P.-É. 2009-2010. GénieArts Programm GéniArts Î.-P.-É. 2009-2010 GéniArts Allum l nthousiasm ds juns à l égard d l acquisition ds matièrs d bas par l truchmnt ds arts. Inspir la collaboration ntr ls artists, ls nsignants, ls écols

Plus en détail

DOSSIER DE CANDIDATURE POUR UNE LOCATION

DOSSIER DE CANDIDATURE POUR UNE LOCATION DOSSIER DE CANDIDATURE POUR UNE LOCATION Ls informations donnés nécssairs pour traitr votr candidatur rstront confidntills. Un dossir incomplt n put êtr xaminé. C dossir d candidatur rst soumis à l approbation

Plus en détail

Comment utiliser une banque en France. c 2014 Fabian M. Suchanek

Comment utiliser une banque en France. c 2014 Fabian M. Suchanek Commnt utilisr un banqu n Franc c 2014 Fabian M. Suchank Créditr votr compt: Étrangr Commnt on mt d l argnt liquid sur son compt bancair à l étrangr : 1. rntrr dans la banqu, attndr son tour 2. donnr l

Plus en détail

Guide de correction TD 6

Guide de correction TD 6 Guid d corrction TD 6 JL Monin nov 2004 Choix du point d polarisation 1- On décrit un montag mttur commun à résistanc d mttur découplé, c st à dir avc un condnsatur n parallèl sur R. La condition d un

Plus en détail

Le traitement des expulsions locatives

Le traitement des expulsions locatives L traitmnt ds xpulsions locativs n io nt s til v ré p d t n am m t ai p n nd a m om r ay td m Tr C l ab i u O COMPTE RENDU DU SÉMINAIRE DU 10 SEPTEMBRE 2012 u n io at j n c sti n g ssi A c in d Au ui q

Plus en détail

Vu la loi n 17-99 portant code des assurances prom ulguée par le dahir n 1-02-238 du 25 rejeb 1423 (3 octobre 2002), telle qu'elle a été complétée ;

Vu la loi n 17-99 portant code des assurances prom ulguée par le dahir n 1-02-238 du 25 rejeb 1423 (3 octobre 2002), telle qu'elle a été complétée ; Arrêté du ministr s financs t la privatisation n 2241-04 du 14 kaada 1425 rlatif à la présntation s opérations d'assurancs (B.O. n 5292 du 17 févrir 2005). Vu la loi n 17-99 portant co s assurancs prom

Plus en détail

C est signé 11996 mars 2015 Mutuelle soumise au livre II du Code de la Mutualité - SIREN N 780 004 099 DOC 007 B-06-18/02/2015

C est signé 11996 mars 2015 Mutuelle soumise au livre II du Code de la Mutualité - SIREN N 780 004 099 DOC 007 B-06-18/02/2015 st signé 11996 mars 2015 Mutull soumis au livr II du od d la Mutualité - SIREN N 780 004 099 DO 007 B-06-18/02/2015 Édition 2015 Madam, Monsiur, Vous vnz d crér ou d rprndr un ntrpris artisanal ou commrcial

Plus en détail

DEMANDE DE GARANTIE FINANCIÈRE ET PACK RCP

DEMANDE DE GARANTIE FINANCIÈRE ET PACK RCP DEMANDE DE GARANTIE FINANCIÈRE ET PACK RCP ADMINISTRATEURS DE BIENS ET AGENTS IMMOBILIERS Compagni Europénn d Garantis t Cautions 128 ru La Boéti 75378 Paris Cdx 08 - Tél. : +33 1 44 43 87 87 Société anonym

Plus en détail

L immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes

L immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection

Plus en détail

«COMBATTRE LES BLEUS» Ce que signifie le programme social des Conservateurs pour les femmes

«COMBATTRE LES BLEUS» Ce que signifie le programme social des Conservateurs pour les femmes «COMBATTRE LES BLEUS» C qu signifi l programm social ds Consrvaturs pour ls fmms La 13 Conférnc national d la condition féminin du CTC Documnt d conférnc L hôtl Crown Plaza Ottawa L hôtl Ottawa Marriott

Plus en détail

Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 13 avril 2011

Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 13 avril 2011 Corrigé du baccalauréat S Pondichéry avril EXERCICE Commun à tous ls candidats Parti I points. L ax ds ordonnés st asymptot à C au voisinag d ; la fonction étant décroissant sur ] ; + [, la limit quand

Plus en détail

Assurer les proposants donneurs de rein

Assurer les proposants donneurs de rein Nwsttr SCOR Goba Lif Nwsttr SCOR Goba Lif Févrir Profssur Eric Thrvt, Srvic d Néphroogi, Hôpita Europén Gorgs Pompidou, Paris, Franc Pourquoi s Pays-Bas sont-is champion du mond pour nombr d donnurs vivants

Plus en détail

La transformation et la mutation des immeubles de bureaux

La transformation et la mutation des immeubles de bureaux La transformation t la mutation ds immubls d buraux Colloqu du 14 févrir 2013 L group d travail sur la transformation ds immubls d buraux a été lancé n novmbr 2011 à la dmand du consil d administration

Plus en détail

Découverte Sociale et Patrimoniale

Découverte Sociale et Patrimoniale Découvrt Social t Patrimonial M :... Mm :... Dat :... Origin du contact :... Sommair 1. Vous 3 Votr famill 3 Votr situation matrimonial 4 Votr régim matrimonial 4 Libéralités 4 2. Votr actif 5 Vos garantis

Plus en détail

Juin 2013. www.groupcorner.fr

Juin 2013. www.groupcorner.fr r p d r i Do Juin 2013 www.groupcornr.fr Contact Pr : Carolin Mlin & Jan-Claud Gorgt Carolin Mlin TIKA Mdia 06 61 14 63 64 01 40 30 95 50 carolin@tikamdia.com Jan-Claud Gorgt J COM G 06 10 49 18 34 09

Plus en détail

Murs coupe-feu dans maisons mitoyennes à une famille

Murs coupe-feu dans maisons mitoyennes à une famille Maison A Maison B FERMACELL Murs coup-fu ans maisons mitoynns à un famill Eition suiss Murs coup-fu qui assurnt un résistanc 90 minuts ans ls maisons mitoynns à un famill construits n ois (1HG100) Murs

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail

Réseau des bibliothèques du Pays de Pamiers Guide du Numérique

Réseau des bibliothèques du Pays de Pamiers Guide du Numérique Réau d bibliothèqu du Pay d Pamir Guid du Numériqu Sit Intrnt du réau d lctur http://www.pamir.raubibli.fr C qu vou pouvz fair dpui notr it Intrnt : EXPLORER LE CATALOGUE : Plu d 80 000 documnt ont à votr

Plus en détail

LE SURENDETTEMENT. a s s e c o. leo lagrange UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS FAMILIALES. union féminine civique et sociale

LE SURENDETTEMENT. a s s e c o. leo lagrange UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS FAMILIALES. union féminine civique et sociale LE SURENDETTEMENT 1 lo lagrang UNION NATIONALE 2 L'ENDETTEMENT 1984 : 4 ménags sur 10 avaint ds crédits (crédit à la consommation + immobilir) 1997 : 1 ménag sur 2 a un crédit n cours 55 % ds consommaturs

Plus en détail

Base de données bibliographique. p. 30 - p. 33. valorisation économique de l'eau potable. energétique et municipales. p.13 - fédérale de.

Base de données bibliographique. p. 30 - p. 33. valorisation économique de l'eau potable. energétique et municipales. p.13 - fédérale de. Bas d donnés bibliographiqu alpau.org Typ d Autur Titr d Titr du Editur Anné Vol. N Dat d Paginatio résumé mots clfs mots documnt l'ouvrag/titr d périodiqu n clfs fix l'articl Jnni Robrt Qul puplmnt pour

Plus en détail

Impôts 2012. PLUS ou moins-values

Impôts 2012. PLUS ou moins-values Impôt 2012 PLUS ou moin-values SUR VALEURS MOBILIÈRES ET DROITS SOCIAUX V v ti t à d f co o OP m à l Et L no di (o 20 o C c tit po Po c c or o o ou c l ou d 2 < Vou avz réalié d cion d valur mobilièr t

Plus en détail

Demande de retraite de réversion

Demande de retraite de réversion Nous somms là pour vous aidr Dmand d rtrait d révrsion Ctt notic a été réalisé pour vous aidr à complétr vos dmand t déclaration d rssourcs. Pour nous contactr : Vous désirz ds informations complémntairs,

Plus en détail

THÈSE. présentée à. par Nicolas Palix. DOCTEUR Spécialité: INFORMATIQUE. Langages dédiés au développement de services de communications

THÈSE. présentée à. par Nicolas Palix. DOCTEUR Spécialité: INFORMATIQUE. Langages dédiés au développement de services de communications N o d'ordr: 3623 THÈSE présnté à L'UNIVERSITÉ BORDEAUX 1 Écol Doctoral d Mathématiqus t Informatiqu par Nicolas Palix pour obtnir l grad d DOCTEUR Spécialité: INFORMATIQUE Langags dédiés au dévloppmnt

Plus en détail

DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL

DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL REUNION DU 23 NOVEMBRE 2007 DELIBERATION N CR-0705.290 DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL Contrat d filièr agroalimntair régional LE CONSEIL REGIONAL LANGUEDOC-ROUSSILLON, VU l Cod général ds collctivités

Plus en détail

5.5.5 Exemple d un essai immunologique

5.5.5 Exemple d un essai immunologique 5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)

Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du

Plus en détail

Devenez ingénieur en Génie Informatique et Statistique par la voie de l apprentissage

Devenez ingénieur en Génie Informatique et Statistique par la voie de l apprentissage Dvnz ingéniur n Géni Informatiqu t Statistiqu par la voi d l apprntissag > Formation d ingéniur d 3 ans par altrnanc habilité par la Commission ds Titrs d Ingéniur (CTI) Rntré 2015 www.polytch-lill.fr

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

Évaluation de performance et optimisation de réseaux IP/MPLS/DiffServ

Évaluation de performance et optimisation de réseaux IP/MPLS/DiffServ AlgoTl 2003 (dpt-info.labri.fr/algotl03) Banyuls-sur-mr, 12-14 mai 2003 Exposé invité, mardi 13 mai, 9h-10h Évaluation d prformanc t optimisation d résaux IP/MPLS/DiffSrv par Fabric CHAUVET Jan-Mari GARCIA

Plus en détail

Garantie des Accidents de la Vie - Protection Juridique des Risques liés à Internet

Garantie des Accidents de la Vie - Protection Juridique des Risques liés à Internet Résrvé à votr intrlocutur AXA Portfuill : CR012764 N Clint : 1 r réalisatur : Matricul : 2 réalisatur : Matricul : Intégr@l Garanti ds Accidnts d la Vi - Protction ds Risqus liés à Intrnt J complèt ms

Plus en détail

La lettre du Bureau Asie-Pacifique

La lettre du Bureau Asie-Pacifique La lttr du Burau Asi-Pacifiqu AGENCE UNIVERSITAIRE DE LA FRANCOPHONIE ISSN 1606-0318 Dans c numéro : o N 13 - davril µ Juin 2002 L'Agnc univrsitair d la Francophoni fêt son 40 annivrsair à Phnom-Pnh, Cambodg

Plus en détail

Développement de site web dynaùique Dot.NET

Développement de site web dynaùique Dot.NET Dévloppmnt d sit wb dynaùiqu DotNET Voici qulqus xmpls d sits wb administrabl Cs sits Wb sont dévloppé n ASPNET sur un Bas d donné SQL 2005 C typ d dévloppmnt wb convint parfaitmnt a un boutiqu n lign,

Plus en détail

responsabilité Analyse des décisions civiles, pénales et avis CCI des anesthésistes, obstétriciens et chirurgiens concernant supplément au N o 52

responsabilité Analyse des décisions civiles, pénales et avis CCI des anesthésistes, obstétriciens et chirurgiens concernant supplément au N o 52 supplément au N o 52 décmbr 2013 / volum 13 rsponsabilité rvu d Formation sur l risqu médical décisions d justic 2011 Analys ds décisions civils, pénals t CCI concrnant ds ansthésists, obstétricins t chirurgins

Plus en détail

Focus. Les placements éthiques : entre défis et opportunités. Patrick Barisan. Sintesi a cura di Luisa Crisigiovanni

Focus. Les placements éthiques : entre défis et opportunités. Patrick Barisan. Sintesi a cura di Luisa Crisigiovanni Ls placmnts éthiqus : ntr défis t opportunités Patrick Barisan Sintsi a cura di Luisa Crisigiovanni L invstimnto socialmnt rsponsabil è un invstimnto ch tin conto sia di imprativi finanziari sia tici,

Plus en détail

Subventions Diverses 2009

Subventions Diverses 2009 Dirction Tchniqu Nom du portur Titr du Objctifs du Rattachmnt au programm d financmnts 09-036 SOS Hépatits Projt 1: Forum National (19 t 20 nov 09) Projt 2 : Sit Intrnt Projt 1: Obj. Généraux: Rdonnr confianc

Plus en détail

J adopte le geste naturel

J adopte le geste naturel J adopt l t naturl Franchi Crédit Conil d Franc Mod opératoir naturl t l J adopt Préambul Rjoindr Crédit Conil d Franc, c t rjoindr un cntain d homm t d fmm qui partant lur xpérinc dpui plu d 10 an ; un

Plus en détail

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013 Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie

Plus en détail

Commune de Villars-sur-Glâne Plan directeur du stationnement Bases

Commune de Villars-sur-Glâne Plan directeur du stationnement Bases Commun d Villars-sur-Glân Plan dirctur du stationnmnt Bass [04 011 3.5 octobr 04] Commun d Villars-sur-Glân Plan dirctur du stationnmnt Bass Sommair Bass légals 3 Objctifs t prcips généraux 4 Invntair

Plus en détail

Titrages acidobasiques de mélanges contenant une espèce forte et une espèce faible : successifs ou simultanés?

Titrages acidobasiques de mélanges contenant une espèce forte et une espèce faible : successifs ou simultanés? Titrgs cidobsiqus d mélngs contnnt un spèc fort t un spèc fibl : succssifs ou simultnés? Introduction. L'étud d titrgs cidobsiqus d mélngs d dux ou plusiurs cids (ou bss) st un xrcic cournt [-]. Ls solutions

Plus en détail

Sommaire. qui sommes-nous. Nos grandes realisations. 4 Madagascar 5 Nous vivons nos valeurs 6 Telma en bref 8 La Gouvernance

Sommaire. qui sommes-nous. Nos grandes realisations. 4 Madagascar 5 Nous vivons nos valeurs 6 Telma en bref 8 La Gouvernance Chr Clint, Chr Partnair, Ctt anné, un fois d plus, grâc à votr confianc t à l implication d nos équips, l Group Tlma a réalisé un anné 2011 avc ds prformancs opérationnlls solids t un activité commrcial

Plus en détail

Les odeurs. é ens M. d e. sur. / janvier-février 2010. Informations sur la Qualité de l Air en Picardie

Les odeurs. é ens M. d e. sur. / janvier-février 2010. Informations sur la Qualité de l Air en Picardie n 73 / janvir-févrir 21 Informations sur la Qualité d l Air n Picardi Ls odurs n u ' d c la p n Mis sur v i t c a f l o l l vil o p o r t é ns M Ami Pags 4 à 9 : rtrouvz ls chiffrs d la qualité d l air

Plus en détail

Biologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr

Biologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs

Plus en détail

Diagnostic biologique de la toxoplasmose

Diagnostic biologique de la toxoplasmose COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic

Plus en détail

Le nouveau projet Israélo-Palestinien : Terreau pour une culture de paix

Le nouveau projet Israélo-Palestinien : Terreau pour une culture de paix L Congrès d Caux Prmir Congrès d l Allianc pour un Cultur d Paix L nouvau projt Israélo-Palstinin : Trrau pour un cultur d paix Du 23 au 26 Juin 2003 Châtau d Caux Cntr d rncontrs intrnationals L Congrès

Plus en détail

CENTRE FRANCO-ONTARIEN DE RESSOURCES PÉDAGOGIQUES

CENTRE FRANCO-ONTARIEN DE RESSOURCES PÉDAGOGIQUES Éditions Éditions Bon d command 015-0 un pu, baucoup, à la foli! Format numériqu n vnt au www. 006-009, Éditions CFORP, activités AVEC DROITS DE REPRODUCTION. 08:8 Pag 1-1 r un pu, baucoup, a la foli!

Plus en détail

PAR. été 2014. Les Affaires Plus

PAR. été 2014. Les Affaires Plus s, nag un é m t st ds cs é étai n l i n na rb la c Pou r ls fi Et si amill. f gér -têt r sa ntr r s ifi cas onsidé ptit E sign c d m un nd PM ants. f a com? Qu an, n RD pris, mam SA ES a L p TE pa ET CH

Plus en détail

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010) Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des

Plus en détail

Le Songe d une nuit d été

Le Songe d une nuit d été La Compagni «Fracas d Art» présnt L Song d un nuit d été d après William Shakspar Mis n scèn Carlo Boso Masqus S. Procco di Mduna www.fracasdart.com r «t ils savn nt a h c, r s r, dan u o j, r tout fai

Plus en détail

VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV)

VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) En 1999, dans le monde, plus de 33 millions de sujets dont 43% de femmes étaient infectés par le virus de l'immunodéficience humaine ou HIV. L'épidémie progresse

Plus en détail

ELISA PeliClass human IgG subclass kit REF M1551

ELISA PeliClass human IgG subclass kit REF M1551 Sanquin Reagents Plesmanlaan 5 0 CX Amsterdam The Netherlands Phone: +.0.5.599 Fax: +.0.5.570 Email: reagents@sanquin.nl Website: www.sanquinreagents.com M55/ November 007 ELISA PeliClass human IgG subclass

Plus en détail

Lundi 7 mars 2011. Trier et réduire ses déchets

Lundi 7 mars 2011. Trier et réduire ses déchets Lundi 7 mars 2011 Trir t réduir ss déchts Nouvaux Ecopoints pour trir ss déchts Quatr Ecopoints sont installés aujourd hui à l UniNE t un harmonisation ds poublls pour tous ls bâtimnts a été réalisé (voir

Plus en détail

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système

Plus en détail

TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique

TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence

Plus en détail

Hector Guimard et le fer : inventivité et économie

Hector Guimard et le fer : inventivité et économie L'Art nouvau t la frronnri Hctor Guimard t l fr : invntivité t économi Comm tous ls grands créaturs du mouvmnt Art nouvau, Hctor Guimard a été confronté à la disciplin d la frronnri. Aucun architct d qualité

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

e x o s CORRIGÉ 07-01 ... Chapitre 7. La conduite du diagnostic 1. Bilan fonctionnel par grandes masses Bilan fonctionnel de la société Bastin

e x o s CORRIGÉ 07-01 ... Chapitre 7. La conduite du diagnostic 1. Bilan fonctionnel par grandes masses Bilan fonctionnel de la société Bastin ................................................... Chapitr 7. La cnduit du diagntic CORRIGÉ 07-01 1. Bilan fnctinnl par grand ma Bilan fnctinnl d la ciété Batin Empli tabl 3 900 Rurc prpr 3 870 Actif

Plus en détail

Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker

Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA

Plus en détail

Agricoles LES BONNES RÉSOLUTIONS DU MODEF DES LANDES. le 15 janvier. sommaire. édito. Aides aux fourrages (CG 40) et aide MSA : Dossiers à déposer

Agricoles LES BONNES RÉSOLUTIONS DU MODEF DES LANDES. le 15 janvier. sommaire. édito. Aides aux fourrages (CG 40) et aide MSA : Dossiers à déposer sommair Actualités agricols...p. 2 Ls Informations Agricols Vndrdi 10 2014 - HEBDO - 66 Anné - N 2779 - Prix : 1,54 Commission paritair n 0414 T 82968 - ISSN : 1149-3321 Aids aux fourrags (CG 40) t aid

Plus en détail

UNIVERSITÉ SAVOIE MONT BLANC FRANCE KIT DE SURVIE DE L ÉTUDIANT ETRANGER. www.univ-smb.fr/international

UNIVERSITÉ SAVOIE MONT BLANC FRANCE KIT DE SURVIE DE L ÉTUDIANT ETRANGER. www.univ-smb.fr/international UNIVERSITÉ SAVOIE FRANCE KIT DE SURVIE DE L ÉTUDIANT ETRANGER www.univ-smb.fr/intrnational SE REPÉRER À LANC B T N O M IE O V A L UNIVERSITÉ S 1 U N IV E R S IT É 4 S IT E S : 3 CAMPUS 1 P R É S ID E N

Plus en détail

Systèmes à événements discrets : de la simulation à l'analyse temporelle de la décision en agriculture

Systèmes à événements discrets : de la simulation à l'analyse temporelle de la décision en agriculture 1 Systèms à événmnts discrts : d la simulation à l'analys tmporll d la décision n agricultur livir Naud 1, Tu Tuitt 1, Brtrand Légr 1,2, Arnaud Hélias 3 t Rodolph Giroudau 4 1 UMR ITAP, Cmagrf-Supagro,

Plus en détail

KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2

KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2 KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous

Plus en détail

Bénévole pour quoi? N 20 - Sommaire. N 20 - Déc 08. v d s. f www.e-volontaires.org/rennes. 315 bénévoles désormais, et on s'arrête là pour l'instant.

Bénévole pour quoi? N 20 - Sommaire. N 20 - Déc 08. v d s. f www.e-volontaires.org/rennes. 315 bénévoles désormais, et on s'arrête là pour l'instant. N 20 - Déc 08 v l'af d s o f ls in Touts jour sur miss A Rnns www.-volontairs.org/rnns Bénévol pour quoi? 315 bénévols désormais, t on s'arrêt là pour l'instant. On s'arrêt car vous êts un bonn soixantain

Plus en détail

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

CLOUD TROTTER La Vache Noire Sud - 203 rue Oscar Roulet - 84440 Robion - Tél. : 04 90 76 56 27-06 80 050 050 - www.lavachenoiresud.

CLOUD TROTTER La Vache Noire Sud - 203 rue Oscar Roulet - 84440 Robion - Tél. : 04 90 76 56 27-06 80 050 050 - www.lavachenoiresud. Cloud Trottr La Vach Noir Sud - 203 ru Oscar Roult - 84440 Robion - Tél. : 04 90 76 56 27-06 80 050 050 - www.lavachnoirsud.com Cloud Trottr Cloud Trottr Prnz d la hautur! ds carts d caractèr pour donnr

Plus en détail

Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var

Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés

Plus en détail

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps

Plus en détail

REPUBLIQUE DU RWANDA MINISTERE DE L EDUCATION INSTITUT D`ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE RUHENGERI (INES RUHENGERI)

REPUBLIQUE DU RWANDA MINISTERE DE L EDUCATION INSTITUT D`ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE RUHENGERI (INES RUHENGERI) REPUBLIQUE DU RWANDA MINISTERE DE L EDUCATION INSTITUT D`ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE RUHENGERI (INES RUHENGERI) FACULTE DES SCIENCES FONDAMENTALES ET APPLIQUEES DEPARTEMENT DE BIOTECHNOLOGIE APPORT DE LA

Plus en détail

R 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21.

R 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21. 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE INSTITUT NATIONAL DE LA. PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE 0 N de publication : 2 615 623 là n'utiliser que pour les commendes de reproduction) N d'enregistrement national : 87 07263 PARIS

Plus en détail

altona altona RealStar CMV PCR Kit 1.0 always a drop ahead. 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany

altona altona RealStar CMV PCR Kit 1.0 always a drop ahead. 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany altona DIAGNOSTICS altona DIAGNOSTICS RealStar CMV PCR Kit 1.0 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany phone +49 40 548 06 76-0 fax +49 40 548 06 76-10 e-mail info@altona-diagnostics.com

Plus en détail

Plan directeur des zones 30 km/h

Plan directeur des zones 30 km/h Commun d'orb Srvic d Polic Plan dirctur ds zons 30 km/h Rapport tchniqu Mai 2010 & rist & Gygax Ingéniurs Consils SA Tél : +41 (0)24 425 33 44 fo@cggniurs.ch Avnu d la Gar 10 - CP 314 1401 Yvrdon-ls-Bas

Plus en détail

FORMATIONS 2014 CENTRE EUROPÉEN DE FORMATION À LA PRODUCTION DE FILMS

FORMATIONS 2014 CENTRE EUROPÉEN DE FORMATION À LA PRODUCTION DE FILMS Concvoir, réalisr, financr ds contnus pour ls nouvaux médias FORMATIONS 2014 CENTRE EUROPÉEN DE FORMATION À LA PRODUCTION DE FILMS SOMMAIRE GÉNÉRAL action DE FORMATION 2014-2015 L CEFPF n qulqus mots pags

Plus en détail

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi

Plus en détail

Le mandat de Chercheur qualifié du F.R.S.-FNRS

Le mandat de Chercheur qualifié du F.R.S.-FNRS L mandat d Chrchur qualifié du F.R.S.-FNRS 18 Févrir 2014 L règlmnt rlatif à c mandat st disponibl dans son intégralité sur notr sit wb www.frs-fnrs.b Tabl ds matièrs 1. Dispositions réglmntairs, financièrs

Plus en détail

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

Tests rapides de dépistage

Tests rapides de dépistage Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables

Plus en détail

UNE AVENTVRE DE AGILE & CMMI POTION MAGIQUE OU GRAND FOSSÉ? AGILE TOVLOVSE 2011 I.VI VERSION

UNE AVENTVRE DE AGILE & CMMI POTION MAGIQUE OU GRAND FOSSÉ? AGILE TOVLOVSE 2011 I.VI VERSION UN AVNTVR D AGIL & CMMI POTION MAGIQU OU GRAND FOÉ? AGIL TOVLOV 2011 VRION I.VI @YAINZ AKARIA HT T P: / / W WW.MA RTVIW.F HT T P: / / W R WW.KIND OFMAG K.COM OT @ PAB L OP R N W.FR MARTVI. W W W / :/ P

Plus en détail