Fonds privés GPD Information complémentaire au
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table des matières Information complémentaire Fonds de titres à revenu fixe Fonds privé GPD Obligations... 2 Fonds privé GPD Obligations gouvernementales... 4 Fonds privé GPD Obligations corporatives... 6 Fonds d actions canadiennes Fonds privé GPD Actions canadiennes de grande capitalisation... 8 Fonds privé GPD Actions canadiennes croissance... 10 Fonds privé GPD Actions canadiennes de petite capitalisation... 12 Fonds d actions étrangères Fonds privé GPD Actions américaines (pour comptes taxables)... 14 Fonds privé GPD Actions américaines (pour comptes non taxables)... 16 Fonds privé GPD Actions internationales... 18 Fonds de stratégie complémentaire Fonds privé GPD Stratégie complémentaire... 20 Fonds équilibrés Fonds privé GPD Équilibré... 22 Fonds privé GPD Revenu à distribution mensuelle... 25 Fonds privé GPD Croissance à distribution mensuelle... 27
Fonds de titres à revenu fixe Fonds privé GPD Obligations Objectif L objectif de ce Fonds est de procurer un revenu régulier tout en mettant l accent sur la gestion du risque. Pour atteindre cet objectif, le Fonds investit dans des fonds de revenu fixe canadien. Survol Pour la période de six mois se terminant le, le Fonds privé GPD Obligations a présenté un rendement de 2,29 %. Cette performance a été légèrement inférieure à celle de l indice de référence composé* du Fonds, qui a conclu le semestre avec un résultat de 2,59 %. Il convient en premier lieu de mentionner que des modifications importantes ont été apportées à la composition du Fonds En effet, le pourcentage des obligations gouvernementales détenues au portefeuille est passé de 70 % à 60 %, alors que celui des obligations corporatives a été augmenté de 30 % à 40 %. Ces changements ont été effectués en février, au même moment où un mandat d obligations corporatives européennes était introduit au sein du Fonds privé GPD Obligations corporatives. Les six premiers mois de l année ont été ponctués de nombreux rebondissements sur l ensemble des marchés obligataires de partout dans le monde, incluant celui du Canada. La tendance baissière des taux d intérêt observée dans les derniers mois de l année s est poursuivie en janvier et elle s est même accélérée dans le cas des obligations canadiennes. La chute du prix du pétrole, qui a entraîné à la baisse les anticipations d inflation, de même que la publication de données économiques décevantes, ont poussé plusieurs banques centrales à assouplir leur politique monétaire dans les premiers jours de l année. Puis, la Banque du Canada a posé un geste inattendu en annonçant une baisse de 0,25 % du taux directeur lors de sa rencontre du 21 janvier. L institution, qui avait pris l habitude de donner de l information à l avance sur la conduite de sa politique monétaire, a justifié cette intervention surprise en la présentant comme une police d assurance face à la baisse importante du prix du baril de pétrole. Mettant l accent sur l endettement élevé des ménages, la banque centrale du pays a étonné les observateurs puisque ses prévisions économiques étaient encore favorables à ce moment. Dès lors, la table était mise pour une autre réduction potentielle du taux directeur, comme le laissait deviner la faiblesse des taux d intérêt des obligations fédérales de cinq années et moins à la fin de janvier. Ceux-ci avaient alors atteint des niveaux inférieurs à celui du taux directeur. À compter de février, les taux d intérêt ont cependant amorcé une remontée, bien que celle-ci ait été marquée de multiples soubresauts. La stabilisation du prix du baril de pétrole vers les 50 US a d abord contribué à cette hausse des taux, en ayant pour effet d atténuer les craintes de déflation. Par la suite, des données économiques mixtes ont alimenté la nervosité chez les investisseurs. La Réserve fédérale américaine et la Banque centrale européenne ont aussi continué d attirer l attention, la première à la suite du début du resserrement de sa politique monétaire et la seconde en raison de la mise en place d un vaste programme d achat de titres souverains. Après avoir progressé en avril, les taux d intérêt à court et moyen termes au Canada se sont repliés entre la fin d avril et celle de juin. Cette situation s expliquait notamment par des difficultés plus importantes qu anticipé du côté de l économie canadienne. Selon les données officielles de Statistique Canada, celle-ci a enregistré quatre mois consécutifs de recul depuis la fin de l année dernière, laissant présager un retour en récession. Ensuite, la crise de la dette en Grèce a incité certains investisseurs à réduire le risque de leur portefeuille et à favoriser les titres à revenu fixe. En ce qui concerne les rendements par types d émetteurs, les titres provinciaux et corporatifs ont affiché de meilleurs résultats que les obligations du gouvernement fédéral, principalement en raison de leur avantage de rendement additionnel. En plus d exercer une pression sur les revenus du gouvernement fédéral, la baisse du prix du baril de pétrole touche plus particulièrement les provinces de l Alberta et de Terre-Neuve-et-Labrador. Celles-ci se sont retrouvées avec un déficit et leurs titres ont moins bien fait que ceux des autres provinces. Du côté des obligations corporatives, il faut souligner la sous-performance des titres de moyen terme des sociétés des secteurs des télécommunications et de l énergie. Sur une base relative, la performance du Fonds a été légèrement inférieure à celle de l indice de référence. La gestion de la durée du portefeuille est une des raisons qui justifient ce résultat. Perspectives En abaissant son taux directeur en janvier, la Banque du Canada estimait que cette décision aurait pour effet de stimuler l économie canadienne, notamment les exportations, ce qui compenserait ainsi les impacts négatifs de la chute du prix du pétrole. Elle comptait alors sur deux facteurs, soit un dollar canadien plus faible et une reprise de l économie américaine. Malheureusement, la croissance économique canadienne pour les premiers mois de l année en cours apparaît inférieure à ce qu avait prévu la Banque du Canada. Le retour probable en récession semble avoir pavé la voie à la baisse du taux directeur annoncée le 15 juillet. Dans ces circonstances, les pressions haussières sur les taux d intérêt, particulièrement ceux à court terme, devraient être limitées. Les décisions de la Réserve fédérale américaine quant au rythme de relèvement de son taux directeur et de la Banque centrale européenne en ce qui a trait à la cadence de ses achats de titres pourraient cependant influencer les taux à plus long terme. Pour ce qui est des obligations provinciales, elles devraient être avantagées par la situation budgétaire au Québec et les perspectives de croissance en Ontario. Par contre, le principal défi de l Alberta se dessinera du côté de l évolution du prix du pétrole, sans oublier les impacts de l élection d un nouveau gouvernement néo-démocrate. La quête de rendement des investisseurs pourrait être favorable aux obligations de sociétés. Il faudra toutefois faire preuve de vigilance par rapport à ces titres puisque les nouvelles exigences réglementaires auprès des institutions financières imposent une réduction des activités de maintien de marchés de leurs filiales de courtage, ce qui serait susceptible de provoquer une hausse de la volatilité advenant un contexte défavorable. Modifications comptables Passage aux normes internationales d information financière («IFRS») Les IFRS ont été adoptées pour les états financiers intermédiaires et annuels des exercices ouverts à compter du 1 er janvier. Pour l exercice clos le, les données ont été retraitées conformément aux IFRS. * Jusqu au 28 février Indice obligataire global à court terme FTSE TMX Canada : 50,0 % Indice obligataire global à moyen terme FTSE TMX Canada : 50,0 % 2 À compter du 1 er mars Indice de référence du Fonds privé GPD Obligations gouvernementales : 60,0 % Indice de référence du Fonds privé GPD Obligations corporatives : 40,0 %
Fonds de titres à revenu fixe Fonds privé GPD Obligations Faits saillants financiers Les tableaux qui suivent font état de données financières clés concernant le Fonds et ont pour objet de vous aider à comprendre ses résultats financiers pour le dernier semestre et les deux derniers exercices. Actif net par part (1) Actif net au début de la période 10,74 10,46 10,71 attribuable à l exploitation Revenus 0,14 0,29 0,34 Gains (pertes) réalisé(e)s 0,05 0,03 0,01 Gains (pertes) non réalisé(e)s 0,03 0,24 (0,27) Charges Courtages et autres coûts d opérations de portefeuille (2) s.o. s.o. s.o. totale attribuable à l exploitation (3) 0,22 0,56 0,08 Distributions du revenu de placement (excluant les dividendes) 0,14 0,28 0,34 des dividendes des gains en capital remboursement de capital Distributions totales (4) 0,14 0,28 0,34 Actif net à la fin de la période 10,85 10,74 10,46 (1) Ces renseignements proviennent des états financiers intermédiaires non audités ainsi que des états financiers annuels audités du Fonds. L actif net par part présenté dans les états financiers peut différer de la valeur liquidative calculée aux fins d établissement du prix des parts. (2) À partir du 1 er janvier, les courtages et autres coûts d opérations de portefeuille sont inclus dans les charges. (3) L actif net et les distributions sont fonction du nombre réel de parts en circulation au moment considéré. L augmentation ou la diminution attribuable à l exploitation est fonction du nombre moyen pondéré de parts en circulation (4) Les distributions ont été payées en espèces ou réinvesties en parts additionnelles du fonds d investissement. Ratios et données supplémentaires Valeur liquidative totale (en milliers de ) 203 578 166 345 175 274 Nombre de parts en circulation 18 763 776 15 488 213 16 749 384 Ratio des frais de gestion (%) (1) 0,21 0,21 0,22 Ratio des frais de gestion avant renonciations ou prises en charge (%) 0,21 0,21 0,22 Ratio des frais d opérations (%) (2) Taux de rotation du portefeuille (%) (3) 9,42 2,98 3,51 Valeur liquidative par part () 10,85 10,74 10,46 (1) Le ratio des frais de gestion est établi d après le total des charges de la période indiquée (à l exclusion des courtages et des autres coûts d opérations de portefeuille, ainsi que des retenues d impôt) et est exprimé en pourcentage annualisé de la valeur liquidative moyenne quotidienne (2) Le ratio des frais d opérations représente le total des courtages et des autres coûts d opérations de portefeuille et est exprimé en pourcentage annualisé de la valeur liquidative moyenne quotidienne (3) Le taux de rotation du portefeuille du Fonds indique dans quelle mesure le conseiller en valeurs du Fonds gère activement les placements de celui-ci. Un taux de rotation de 100 % signifie que le Fonds achète et vend tous les titres de son portefeuille une fois Plus le taux de rotation au cours d une période est élevé, plus les frais d opérations payables par le Fonds sont élevés au cours d une période, et plus il est probable qu un porteur réalisera des gains en capital imposables Il n y a pas nécessairement de lien entre un taux de rotation élevé et le rendement d un fonds. Les positions principales % de la valeur liquidative 1. Fonds privé GPD Obligations gouvernementales 59,9 2. Fonds privé GPD Obligations corporatives 40,0 3. Trésorerie et équivalents de trésorerie 0,1 Total 100,0 3
Fonds de titres à revenu fixe Fonds privé GPD Obligations gouvernementales Objectif L objectif de ce Fonds est de procurer un revenu régulier tout en mettant l accent sur la gestion du risque. Survol Pour la période de six mois se terminant le, le Fonds privé GPD Obligations gouvernementales a présenté un rendement de 2,20 %. Cette performance a été légèrement inférieure à celle de l indice de référence composé* du Fonds, qui a conclu le semestre avec un résultat de 2,50 %. Les six premiers mois de l année ont été ponctués de nombreux rebondissements sur l ensemble des marchés obligataires de partout dans le monde, incluant celui du Canada. Tout d abord, la tendance baissière des taux d intérêt observée dans les derniers mois de l année s est poursuivie en janvier et elle s est même accélérée dans le cas des obligations canadiennes. La chute du prix du pétrole, qui a entraîné à la baisse les anticipations d inflation, de même que la publication de données économiques décevantes, ont poussé plusieurs banques centrales à assouplir leur politique monétaire dans les premiers jours de l année. Puis, la Banque du Canada a posé un geste inattendu en annonçant une baisse de 0,25 % du taux directeur lors de sa rencontre du 21 janvier. L institution, qui avait pris l habitude de donner de l information à l avance sur la conduite de sa politique monétaire, a justifié cette intervention surprise en la présentant comme une police d assurance face à la baisse importante du prix du baril de pétrole. Mettant l accent sur l endettement élevé des ménages, la banque centrale du pays a étonné les observateurs puisque ses prévisions économiques étaient encore favorables à ce moment. Dès lors, la table était mise pour une autre réduction potentielle du taux directeur, comme le laissait deviner la faiblesse des taux d intérêt des obligations fédérales de cinq années et moins à la fin de janvier. Ceux-ci avaient alors atteint des niveaux inférieurs à celui du taux directeur. À compter de février, les taux d intérêt ont cependant amorcé une remontée, bien que celle-ci ait été marquée de multiples soubresauts. La stabilisation du prix du baril de pétrole vers les 50 US a d abord contribué à cette hausse, en ayant pour effet d atténuer les craintes de déflation. Par la suite, des données économiques mixtes ont alimenté la nervosité chez les investisseurs. La Réserve fédérale américaine et la Banque centrale européenne ont aussi continué d attirer l attention, la première à la suite du début du resserrement de sa politique monétaire et la seconde en raison de la mise en place d un vaste programme d achat de titres souverains. Après avoir progressé en avril, les taux d intérêt à court et moyen termes au Canada se sont repliés entre la fin d avril et celle de juin. Cette situation s expliquait notamment par des difficultés plus importantes qu anticipé du côté de l économie canadienne. Selon les données officielles de Statistique Canada, celle-ci a enregistré quatre mois consécutifs de recul depuis la fin de l année dernière, laissant présager un retour en récession. Ensuite, la crise de la dette en Grèce a incité certains investisseurs à réduire le risque de leur portefeuille et à favoriser les titres à revenu fixe. En ce qui concerne les rendements par types d émetteurs, les titres provinciaux ont affiché de meilleurs résultats que les obligations du gouvernement fédéral, principalement en raison de leur avantage de rendement additionnel. En plus d exercer une pression sur les revenus du gouvernement fédéral, la baisse du prix du baril de pétrole touche plus particulièrement les provinces de l Alberta et de Terre-Neuve-et-Labrador. Celles-ci se sont retrouvées avec un déficit et leurs titres ont moins bien fait que ceux des autres provinces. Sur une base relative, la performance du Fonds a été légèrement inférieure à celle de l indice de référence. La gestion de la durée du portefeuille est une des raisons qui justifient ce résultat. Perspectives En abaissant son taux directeur en janvier, la Banque du Canada estimait que cette décision aurait pour effet de stimuler l économie canadienne, notamment les exportations, ce qui compenserait ainsi les impacts négatifs de la chute du prix du pétrole. Elle comptait alors sur deux facteurs, soit un dollar canadien plus faible et une reprise de l économie américaine. Malheureusement, la croissance économique canadienne pour les premiers mois de l année en cours apparaît inférieure à ce qu avait prévu la Banque du Canada. Le retour probable en récession semble avoir pavé la voie à la baisse du taux directeur annoncée le 15 juillet. Dans ces circonstances, les pressions haussières sur les taux d intérêt, particulièrement ceux à court terme, devraient être limitées. Les décisions de la Réserve fédérale américaine quant au rythme de relèvement de son taux directeur et de la Banque centrale européenne en ce qui a trait à la cadence de ses achats de titres pourraient cependant influencer les taux à plus long terme. Pour ce qui est des obligations provinciales, elles devraient être avantagées par la situation budgétaire au Québec et les perspectives de croissance en Ontario. Par contre, le principal défi de l Alberta se dessinera du côté de l évolution du prix du pétrole, sans oublier les impacts de l élection d un nouveau gouvernement néo-démocrate. Modifications comptables Passage aux normes internationales d information financière («IFRS») Les IFRS ont été adoptées pour les états financiers intermédiaires et annuels des exercices ouverts à compter du 1 er janvier. Pour l exercice clos le, les données ont été retraitées conformément aux IFRS. * Indice obligataire gouvernement à court terme FTSE TMX Canada : 50,0 % Indice obligataire gouvernement à moyen terme FTSE TMX Canada : 50,0 % 4
Fonds de titres à revenu fixe Fonds privé GPD Obligations gouvernementales Faits saillants financiers Les tableaux qui suivent font état de données financières clés concernant le Fonds et ont pour objet de vous aider à comprendre ses résultats financiers pour le dernier semestre et les deux derniers exercices. Actif net par part (1) Actif net au début de la période 10,41 10,14 10,39 attribuable à l exploitation Revenus 0,13 0,26 0,32 Gains (pertes) réalisé(e)s 0,25 0,02 Gains (pertes) non réalisé(e)s (0,15) 0,25 (0,25) Charges (0,01) (0,02) (0,02) Courtages et autres coûts d opérations de portefeuille (2) s.o. s.o. s.o. totale attribuable à l exploitation (3) 0,22 0,51 0,05 Distributions du revenu de placement (excluant les dividendes) 0,13 0,24 0,30 des dividendes des gains en capital 0,01 remboursement de capital Distributions totales (4) 0,13 0,24 0,31 Actif net à la fin de la période 10,52 10,41 10,14 (1) Ces renseignements proviennent des états financiers intermédiaires non audités ainsi que des états financiers annuels audités du Fonds. L actif net par part présenté dans les états financiers peut différer de la valeur liquidative calculée aux fins d établissement du prix des parts. (2) À partir du 1 er janvier, les courtages et autres coûts d opérations de portefeuille sont inclus dans les charges. (3) L actif net et les distributions sont fonction du nombre réel de parts en circulation au moment considéré. L augmentation ou la diminution attribuable à l exploitation est fonction du nombre moyen pondéré de parts en circulation (4) Les distributions ont été payées en espèces ou réinvesties en parts additionnelles du fonds d investissement. Ratios et données supplémentaires Valeur liquidative totale (en milliers de ) 1 022 527 894 144 826 005 Nombre de parts en circulation 97 239 738 85 866 713 81 458 374 Ratio des frais de gestion (%) (1) 0,17 0,17 0,17 Ratio des frais de gestion avant renonciations ou prises en charge (%) 0,20 0,21 0,25 Ratio des frais d opérations (%) (2) Taux de rotation du portefeuille (%) (3) 390,83 107,34 178,62 Valeur liquidative par part () 10,52 10,41 10,14 (1) Le ratio des frais de gestion est établi d après le total des charges de la période indiquée (à l exclusion des courtages et des autres coûts d opérations de portefeuille, ainsi que des retenues d impôt) et est exprimé en pourcentage annualisé de la valeur liquidative moyenne quotidienne (2) Le ratio des frais d opérations représente le total des courtages et des autres coûts d opérations de portefeuille et est exprimé en pourcentage annualisé de la valeur liquidative moyenne quotidienne (3) Le taux de rotation du portefeuille du Fonds indique dans quelle mesure le conseiller en valeurs du Fonds gère activement les placements de celui-ci. Un taux de rotation de 100 % signifie que le Fonds achète et vend tous les titres de son portefeuille une fois Plus le taux de rotation au cours d une période est élevé, plus les frais d opérations payables par le Fonds sont élevés au cours d une période, et plus il est probable qu un porteur réalisera des gains en capital imposables Il n y a pas nécessairement de lien entre un taux de rotation élevé et le rendement d un fonds. Les positions principales % de la valeur liquidative 1. Province de l'ontario, 2,850 %, 2023-06-02 13,5 2. Financière CDP, 4,600 %, 2020-07-15 10,6 3. NHA MBS Banque Merrill Lynch, 0,990 %, 2020-01-01 10,5 4. NHA MBS Banque Merrill Lynch, 1,850 %, 2019-09-01 9,7 5. NHA MBS Banque Merrill Lynch, 1,350 %, 2020-05-01 7,4 6. LNH MBS Financière First National, 1,750 %, 2019-08-01 6,2 7. LNH Financière First National, 1,850 %, 2019-06-01 5,6 8. Province de Québec, 3,500 %, 2022-12-01 5,4 9. Province de l'ontario, 3,150 %, 2022-06-02 5,4 10. NHA MBS Banque Merrill Lynch, 2,180 %, 2018-08-01 4,8 11. LNH Banque Toronto-Dominion, 1,600 %, 2019-03-01 3,4 12. Province de la Nouvelle-Écosse, 2,150 %, 2025-06-01 3,4 13. Ville de Montréal, 3,500 %, 2024-09-01 3,1 14. OPB Finance Trust, série D, 1,880 %, 2022-02-24 2,7 15. Province de Québec, 3,000 %, 2023-09-01 2,6 16. OPB Finance Trust, série C, 2,900 %, 2023-05-24 1,7 17. Ville de Montréal, 4,500 %, 2021-12-01 1,7 18. Trésorerie et équivalents de trésorerie 1,3 19. Gouvernement du Canada, 2,250 %, 2025-06-01 1,0 Total 100,0 5
Fonds de titres à revenu fixe Fonds privé GPD Obligations corporatives Objectif L objectif de ce Fonds est de procurer un rendement supérieur à celui des obligations gouvernementales tout en mettant l accent sur la gestion du risque. Survol Pour la période de six mois se terminant le, le Fonds privé GPD Obligations corporatives a présenté un rendement de 2,41 %. Cette performance a été légèrement inférieure à celle de l indice de référence composé* du Fonds, qui a conclu le semestre avec un résultat de 2,67 %. Il convient en premier lieu de mentionner qu une modification importante a été apportée à la composition du Fonds En effet, un mandat d obligations corporatives européennes a été introduit au sein du portefeuille par l entremise de l investissement dans le Fonds CM-CIC Corporate Euro 3-5, géré par la firme française CM-CIC Asset Management. Ce changement majeur a été effectué en février, au même moment où la répartition entre les obligations gouvernementales et corporatives était modifiée dans les portefeuilles. Les six premiers mois de l année ont été ponctués de nombreux rebondissements sur l ensemble des marchés obligataires de partout dans le monde, incluant celui du Canada. Tout d abord, la tendance baissière des taux d intérêt observée dans les derniers mois de l année s est poursuivie en janvier et elle s est même accélérée dans le cas des obligations canadiennes. La chute du prix du pétrole, qui a entraîné à la baisse les anticipations d inflation, de même que la publication de données économiques décevantes, ont poussé plusieurs banques centrales à assouplir leur politique monétaire dans les premiers jours de l année. Puis, la Banque du Canada a posé un geste inattendu en annonçant une baisse de 0,25 % du taux directeur lors de sa rencontre du 21 janvier. L institution, qui avait pris l habitude de donner de l information à l avance sur la conduite de sa politique monétaire, a justifié cette intervention surprise en la présentant comme une police d assurance face à la baisse importante du prix du baril de pétrole. Mettant l accent sur l endettement élevé des ménages, la banque centrale du pays a étonné les observateurs puisque ses prévisions économiques étaient encore favorables à ce moment. Dès lors, la table était mise pour une autre réduction potentielle du taux directeur, comme le laissait deviner la faiblesse des taux d intérêt des obligations fédérales de cinq années et moins à la fin de janvier. Ceux-ci avaient alors atteint des niveaux inférieurs à celui du taux directeur. À compter de février, les taux d intérêt ont cependant amorcé une remontée, bien que celle-ci ait été marquée de multiples soubresauts. La stabilisation du prix du baril de pétrole vers les 50 US a d abord contribué à cette hausse, en ayant pour effet d atténuer les craintes de déflation. Par la suite, des données économiques mixtes ont alimenté la nervosité chez les investisseurs. La Réserve fédérale américaine et la Banque centrale européenne ont aussi continué d attirer l attention, la première à la suite du début du resserrement de sa politique monétaire et la seconde en raison de la mise en place d un vaste programme d achat de titres souverains. Après avoir progressé en avril, les taux d intérêt à court et moyen termes au Canada se sont repliés entre la fin d avril et celle de juin. Cette situation s expliquait notamment par des difficultés plus importantes qu anticipé du côté de l économie canadienne. Selon les données officielles de Statistique Canada, celle-ci a enregistré quatre mois consécutifs de recul depuis la fin de l année dernière, laissant présager un retour en récession. Ensuite, la crise de la dette en Grèce a incité certains investisseurs à réduire le risque de leur portefeuille et à favoriser les titres à revenu fixe. En ce qui concerne les rendements par types d émetteurs, les titres corporatifs ont affiché de meilleurs résultats que les obligations du gouvernement fédéral, principalement en raison de leur avantage de rendement additionnel. Il faut aussi souligner la sous-performance des titres de moyen terme des sociétés des secteurs des télécommunications et de l énergie. Sur une base relative, la performance du Fonds a été légèrement moins bonne que celle de l indice de référence. Pour ce qui est du mandat canadien, la durée quelque peu inférieure à celle de l indice en début d année a eu un impact négatif. Par ailleurs, après avoir initialement apporté une contribution positive, le positionnement à l égard des obligations souveraines de l Italie, de l Espagne et de l Irlande a nui au rendement du mandat européen. Perspectives En abaissant son taux directeur en janvier, la Banque du Canada estimait que cette décision aurait pour effet de stimuler l économie canadienne, notamment les exportations, ce qui compenserait ainsi les impacts négatifs de la chute du prix du pétrole. Elle comptait alors sur deux facteurs, soit un dollar canadien plus faible et une reprise de l économie américaine. Malheureusement, la croissance économique canadienne pour les premiers mois de l année en cours apparaît inférieure à ce qu avait prévu la Banque du Canada. Le retour probable en récession semble avoir pavé la voie à la baisse du taux directeur annoncée le 15 juillet. Dans ces circonstances, les pressions haussières sur les taux d intérêt, particulièrement ceux à court terme, devraient être limitées. Les décisions de la Réserve fédérale américaine quant au rythme de relèvement de son taux directeur et de la Banque centrale européenne en ce qui a trait à la cadence de ses achats de titres pourraient cependant influencer les taux à plus long terme. La quête de rendement des investisseurs devrait être favorable aux obligations de sociétés. Il faudra toutefois faire preuve de vigilance par rapport à ces titres puisque les nouvelles exigences réglementaires auprès des institutions financières imposent une réduction des activités de maintien de marchés de leurs filiales de courtage, ce qui serait susceptible de provoquer une hausse de la volatilité advenant un contexte défavorable. Modifications comptables Passage aux normes internationales d information financière («IFRS») Les IFRS ont été adoptées pour les états financiers intermédiaires et annuels des exercices ouverts à compter du 1 er janvier. Pour l exercice clos le, les données ont été retraitées conformément aux IFRS. * Jusqu au 28 février Indice obligataire sociétés à court terme FTSE TMX Canada : 50,0 % Indice obligataire sociétés à moyen terme FTSE TMX Canada : 50,0 % 6 À compter du 1 er mars Indice obligataire sociétés à court terme FTSE TMX Canada : 43,75 % Indice obligataire sociétés à moyen terme FTSE TMX Canada : 43,75 % Indice obligataire Barclays Euro Aggregate Corporate 3-5 Year (couvert en CA) : 12,5 %
Fonds de titres à revenu fixe Fonds privé GPD Obligations corporatives Faits saillants financiers Les tableaux qui suivent font état de données financières clés concernant le Fonds et ont pour objet de vous aider à comprendre ses résultats financiers pour le dernier semestre et les deux derniers exercices. Actif net par part (1) Actif net au début de la période 10,17 9,92 10,14 attribuable à l exploitation Revenus 0,15 0,38 0,40 Gains (pertes) réalisé(e)s 0,03 0,05 0,01 Gains (pertes) non réalisé(e)s (0,01) 0,19 (0,23) Charges (0,01) (0,02) (0,03) Courtages et autres coûts d opérations de portefeuille (2) s.o. s.o. s.o. totale attribuable à l exploitation (3) 0,16 0,60 0,15 Distributions du revenu de placement (excluant les dividendes) 0,14 0,36 0,38 des dividendes des gains en capital remboursement de capital Distributions totales (4) 0,14 0,36 0,38 Actif net à la fin de la période 10,27 10,17 9,92 (1) Ces renseignements proviennent des états financiers intermédiaires non audités ainsi que des états financiers annuels audités du Fonds. L actif net par part présenté dans les états financiers peut différer de la valeur liquidative calculée aux fins d établissement du prix des parts. (2) À partir du 1 er janvier, les courtages et autres coûts d opérations de portefeuille sont inclus dans les charges. (3) L actif net et les distributions sont fonction du nombre réel de parts en circulation au moment considéré. L augmentation ou la diminution attribuable à l exploitation est fonction du nombre moyen pondéré de parts en circulation (4) Les distributions ont été payées en espèces ou réinvesties en parts additionnelles du fonds d investissement. Ratios et données supplémentaires Valeur liquidative totale (en milliers de ) 1 008 142 570 929 523 237 Nombre de parts en circulation 98 143 249 56 136 119 52 743 310 Ratio des frais de gestion (%) (1) 0,21 0,22 0,26 Ratio des frais de gestion avant renonciations ou prises en charge (%) 0,21 0,22 0,26 Ratio des frais d opérations (%) (2) Taux de rotation du portefeuille (%) (3) 74,44 82,71 105,35 Valeur liquidative par part () 10,27 10,17 9,92 (1) Le ratio des frais de gestion est établi d après le total des charges de la période indiquée (à l exclusion des courtages et des autres coûts d opérations de portefeuille, ainsi que des retenues d impôt) et est exprimé en pourcentage annualisé de la valeur liquidative moyenne quotidienne (2) Le ratio des frais d opérations représente le total des courtages et des autres coûts d opérations de portefeuille et est exprimé en pourcentage annualisé de la valeur liquidative moyenne quotidienne (3) Le taux de rotation du portefeuille du Fonds indique dans quelle mesure le conseiller en valeurs du Fonds gère activement les placements de celui-ci. Un taux de rotation de 100 % signifie que le Fonds achète et vend tous les titres de son portefeuille une fois Plus le taux de rotation au cours d une période est élevé, plus les frais d opérations payables par le Fonds sont élevés au cours d une période, et plus il est probable qu un porteur réalisera des gains en capital imposables Il n y a pas nécessairement de lien entre un taux de rotation élevé et le rendement d un fonds. Les 25 positions principales % de la valeur liquidative 1. CM-CIC Corporate Euro 3-5 12,3 2. Banque Royale du Canada, 2,680 %, 2016-12-08 2,5 3. Banque Scotia, 2,100 %, 2016-11-08 2,2 4. Banque Scotia, 2,370 %, 2018-01-11 2,2 5. Banque de Montréal, 2,840 %, 2020-06-04 2,1 6. Banque Royale du Canada, 2,350 %, 2019-12-09 2,0 7. Canadian Natural Resources, 2,890 %, 2020-08-14 1,9 8. Société de financement GE Capital Canada, 4,600 %, 2022-01-26 1,8 9. Banque Royale du Canada, 1,968 %, 2022-03-02 1,7 10. Banque Toronto-Dominion, 2,621 %, 2021-12-22 1,7 11. AltaLink, 3,668 %, 2023-11-06 1,7 12. Banque Canadienne Impériale de Commerce, 2,350 %, 2019-06-24 1,7 13. Compagnies Loblaw, 4,860 %, 2023-09-12 1,7 14. Bell Canada, 3,350 %, 2019-06-18 1,7 15. Rogers Communications, 4,000 %, 2024-03-13 1,6 16. Crédit Ford du Canada, 3,320 %, 2017-12-19 1,6 17. Banque Scotia, 2,598 %, 2017-02-27 1,5 18. Trésorerie et équivalents de trésorerie 1,5 19. Banque Scotia, 2,400 %, 2019-10-28 1,5 20. Banque de Montréal, 2,390 %, 2017-07-12 1,4 21. Thomson Reuters, 4,350 %, 2020-09-30 1,4 22. Hollis Receivables Term Trust, 1,788 %, 2020-02-26 1,3 23. Banque de Montréal, 2,960 %, 2016-08-02 1,3 24. Bell Canada, 3,150 %, 2021-09-29 1,3 25. Master Credit Card Trust II, série 13-4, 2,723 %, 2018-11-21 1,2 Total 52,8 7
Fonds d actions canadiennes Fonds privé GPD Actions canadiennes de grande capitalisation Objectif L objectif de ce Fonds est de procurer une appréciation du capital à long terme tout en générant des revenus. Survol Pour la période de six mois se terminant le, le Fonds privé GPD Actions canadiennes de grande capitalisation a présenté un rendement de -1,01 %. Cette performance a été légèrement supérieure à celle de l indice de référence du Fonds, l indice S & P / TSX Dividende, qui a conclu le semestre avec un résultat de -1,35 %. Après avoir représenté un thème dominant dans les derniers mois de l année, le prix du baril de pétrole a encore joué un rôle-clé dans le rendement de la Bourse canadienne. En effet, son repli sous les 50 US lors du premier trimestre a eu un impact négatif autant sur l économie du Canada que sur son marché boursier. Dans ces circonstances, la Banque du Canada a annoncé une réduction de 0,25 % de son taux directeur lors de sa rencontre du 21 janvier, un geste qui n était pas prévu par les investisseurs. Évidemment, la majorité des sociétés énergétiques ont vu le prix de leur action fléchir durant la période, comme en témoigne la chute de 5,36 % du sousindice du secteur de l énergie. Plusieurs de ces entreprises, dont Suncor et Encana, ont procédé à des réductions substantielles de leurs investissements en immobilisations en réaction à cette diminution importante du cours de l or noir. Bien que le prix du baril de pétrole se soit redressé lors du deuxième trimestre, l élection d un gouvernement néo-démocrate en Alberta a alimenté l incertitude. Celui-ci a promis une révision du système de redevances et des exigences environnementales, ce qui a eu un effet défavorable sur les prix des titres du secteur. Le mouvement baissier du cours du pétrole a aussi entraîné dans la même direction les actions d entreprises de l industrie bancaire et de celle du transport ferroviaire. En effet, la perspective d une plus faible croissance économique a pesé sur la rentabilité future des grandes banques canadiennes, bien que celles-ci aient vu leurs profits augmenter lors de la publication de leurs derniers résultats financiers. En ce qui concerne l industrie ferroviaire, les plus faibles volumes de livraison de pétrole et d autres ressources ont nui à des sociétés comme CN et CP. Malgré tout, six des dix secteurs composant l indice principal du marché boursier canadien ont progressé lors du premier semestre de l année. Avec une hausse fulgurante de près de 60 %, le secteur des soins de santé a particulièrement retenu l attention. Les activités d acquisitions touchant les sociétés Valeant et Catamaran ont principalement expliqué cette appréciation soutenue. Certaines entreprises du secteur de la consommation ont aussi réussi à se démarquer dans ce contexte. C est le cas, par exemple, de Gildan dans l industrie du textile, d Alimentation Couche-Tard dans le commerce de détail et de Magna International dans le domaine des pièces d automobiles. Sur une base relative, la performance du Fonds a été légèrement supérieure à celle de son indice de référence. La sélection de titres dans plusieurs secteurs, dont ceux de la consommation discrétionnaire, des matériaux et de l énergie, a été bénéfique. Le gestionnaire a notamment privilégié les actions des sociétés Gildan, Agrium et Whitecap Resources, qui se sont davantage appréciées que celles d autres entreprises du même secteur. L allocation sectorielle a eu peu d impact sur la performance relative du portefeuille. Perspectives Tout comme ce fut le cas durant le premier semestre de, l évolution du marché boursier canadien pour les mois à venir pourrait être liée à celle du prix du baril de pétrole. Malheureusement, les perspectives ne semblent pas très encourageantes puisque les pays membres de l OPEP apparaissent déterminés à maintenir leur cadence de production, même si cette stratégie génère un surplus de l offre pour l or noir. Des conséquences sont donc à prévoir sur les titres énergétiques ainsi que sur l ensemble de l économie canadienne. Bien entendu, un ralentissement économique au pays devrait avoir des effets négatifs sur d autres secteurs, notamment sur celui des services financiers. Les banques ont récemment bénéficié de la croissance de leurs activités du côté de la gestion de patrimoine et des marchés des capitaux. Cependant, la progression de leurs profits pourrait être compromise par une faible performance de l économie. De plus, les évaluations des titres bancaires se situent près des moyennes historiques, ce qui laisse peu de place à une appréciation prononcée. En ce qui concerne les secteurs autres que ceux des ressources et des services financiers, les évaluations des sociétés publiques canadiennes sont équivalentes ou même supérieures à celles d entreprises américaines comparables. Dans de telles circonstances, la sélection de titres se révèle encore plus déterminante. Enfin, advenant une baisse du dollar canadien par rapport au dollar américain, un scénario que certains prévisionnistes semblent entrevoir, les sociétés exportatrices pourraient être favorisées. Modifications comptables Passage aux normes internationales d information financière («IFRS») Les IFRS ont été adoptées pour les états financiers intermédiaires et annuels des exercices ouverts à compter du 1 er janvier. Pour l exercice clos le, les données ont été retraitées conformément aux IFRS. 8
Fonds d actions canadiennes Fonds privé GPD Actions canadiennes de grande capitalisation Faits saillants financiers Les tableaux qui suivent font état de données financières clés concernant le Fonds et ont pour objet de vous aider à comprendre ses résultats financiers pour le dernier semestre et les deux derniers exercices. Actif net par part (1) Actif net au début de la période 15,31 14,70 13,07 attribuable à l exploitation Revenus 0,25 0,48 0,43 Gains (pertes) réalisé(e)s 0,40 0,50 Gains (pertes) non réalisé(e)s (0,74) 0,18 1,78 Charges (0,02) (0,04) (0,03) Courtages et autres coûts d opérations de portefeuille (2) s.o. s.o. s.o. totale attribuable à l exploitation (3) (0,11) 1,12 2,18 Distributions du revenu de placement (excluant les dividendes) des dividendes 0,23 0,46 0,40 des gains en capital 0,08 remboursement de capital Distributions totales (4) 0,23 0,54 0,40 Actif net à la fin de la période 14,93 15,31 14,70 (1) Ces renseignements proviennent des états financiers intermédiaires non audités ainsi que des états financiers annuels audités du Fonds. L actif net par part présenté dans les états financiers peut différer de la valeur liquidative calculée aux fins d établissement du prix des parts. (2) À partir du 1 er janvier, les courtages et autres coûts d opérations de portefeuille sont inclus dans les charges. (3) L actif net et les distributions sont fonction du nombre réel de parts en circulation au moment considéré. L augmentation ou la diminution attribuable à l exploitation est fonction du nombre moyen pondéré de parts en circulation (4) Les distributions ont été payées en espèces ou réinvesties en parts additionnelles du fonds d investissement. Ratios et données supplémentaires Valeur liquidative totale (en milliers de ) 491 477 547 239 483 873 Nombre de parts en circulation 32 921 148 35 733 377 32 915 602 Ratio des frais de gestion (%) (1) 0,17 0,17 0,17 Ratio des frais de gestion avant renonciations ou prises en charge (%) 0,19 0,22 0,26 Ratio des frais d opérations (%) (2) 0,09 0,09 0,07 Taux de rotation du portefeuille (%) (3) 22,24 40,36 24,08 Valeur liquidative par part () 14,93 15,31 14,70 (1) Le ratio des frais de gestion est établi d après le total des charges de la période indiquée (à l exclusion des courtages et des autres coûts d opérations de portefeuille, ainsi que des retenues d impôt) et est exprimé en pourcentage annualisé de la valeur liquidative moyenne quotidienne (2) Le ratio des frais d opérations représente le total des courtages et des autres coûts d opérations de portefeuille et est exprimé en pourcentage annualisé de la valeur liquidative moyenne quotidienne (3) Le taux de rotation du portefeuille du Fonds indique dans quelle mesure le conseiller en valeurs du Fonds gère activement les placements de celui-ci. Un taux de rotation de 100 % signifie que le Fonds achète et vend tous les titres de son portefeuille une fois Plus le taux de rotation au cours d une période est élevé, plus les frais d opérations payables par le Fonds sont élevés au cours d une période, et plus il est probable qu un porteur réalisera des gains en capital imposables Il n y a pas nécessairement de lien entre un taux de rotation élevé et le rendement d un fonds. Les 25 positions principales % de la valeur liquidative 1. Banque Royale du Canada 7,9 2. Banque Toronto-Dominion 7,3 3. Banque Scotia 6,3 4. Société Financière Manuvie 5,7 5. Suncor Énergie 5,5 6. Canadian Natural Resources 4,9 7. Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada 4,6 8. Compagnies Loblaw 4,6 9. Vêtements de Sport Gildan 4,3 10. Agrium 3,4 11. TELUS Corporation 3,3 12. Enbridge 3,1 13. Brookfield Asset Management, classe A 3,0 14. Franco-Nevada Corporation 3,0 15. Banque Canadienne Impériale de Commerce 2,9 16. Intact Financial Corporation 2,9 17. Whitecap Resources 2,7 18. Finning International 2,6 19. Magna International, classe A 2,3 20. Open Text Corporation 2,2 21. WSP Global 2,1 22. Fortis 1,8 23. Quebecor, classe B 1,4 24. Vermilion Energy 1,4 25. Fonds de placement immobilier Cominar, classe U 1,3 Total 90,5 9
Fonds d actions canadiennes Fonds privé GPD Actions canadiennes croissance Objectif L objectif de ce Fonds est de procurer une appréciation du capital à long terme. Survol Pour la période de six mois se terminant le, le Fonds privé GPD Actions canadiennes croissance a présenté un rendement de 2,40 %. Cette performance a été supérieure à celle de son indice de référence, l indice S & P / TSX composé, qui a conclu le semestre avec un résultat de 0,91 %. Après avoir représenté un thème dominant dans les derniers mois de l année, le prix du baril de pétrole a encore joué un rôle-clé dans le rendement de la Bourse canadienne. En effet, son repli sous les 50 US lors du premier trimestre a eu un impact négatif autant sur l économie du Canada que sur son marché boursier. Dans ces circonstances, la Banque du Canada a annoncé une réduction de 0,25 % de son taux directeur lors de sa rencontre du 21 janvier, un geste qui n était pas prévu par les investisseurs. Évidemment, la majorité des sociétés énergétiques ont vu le prix de leur action fléchir durant la période, comme en témoigne la chute de 5,36 % du sousindice du secteur de l énergie. Plusieurs de ces entreprises, dont Suncor et Encana, ont procédé à des réductions substantielles de leurs investissements en immobilisations en réaction à cette diminution importante du cours de l or noir. Bien que le prix du baril de pétrole se soit redressé lors du deuxième trimestre, l élection d un gouvernement néo-démocrate en Alberta a alimenté l incertitude. Celui-ci a promis une révision du système de redevances et des exigences environnementales, ce qui a eu un effet défavorable sur les prix des titres du secteur. Le mouvement baissier du cours du pétrole a aussi entraîné dans la même direction les actions d entreprises de l industrie bancaire et de celle du transport ferroviaire. En effet, la perspective d une plus faible croissance économique a pesé sur la rentabilité future des grandes banques canadiennes, bien que celles-ci aient vu leurs profits augmenter lors de la publication de leurs derniers résultats financiers. En ce qui concerne l industrie ferroviaire, les plus faibles volumes de livraison de pétrole et d autres ressources ont nui à des sociétés comme CN et CP. Malgré tout, six des dix secteurs composant l indice principal du marché boursier canadien ont progressé lors du premier semestre de l année. Avec une hausse fulgurante de près de 60 %, le secteur des soins de santé a particulièrement retenu l attention. Les activités d acquisitions touchant les sociétés Valeant et Catamaran ont principalement expliqué cette appréciation soutenue. Certaines entreprises du secteur de la consommation ont aussi réussi à se démarquer dans ce contexte. C est le cas, par exemple, de Gildan dans l industrie du textile, d Alimentation Couche-Tard dans le commerce de détail et de Magna International dans le domaine des pièces d automobiles. Sur une base relative, la performance du Fonds a été supérieure à celle de son indice de référence, grâce à une sélection de titres judicieuse de la part du gestionnaire. Les actions des sociétés Gildan et Dollarama dans le secteur de la consommation discrétionnaire, ainsi que celles de CCL Industries et West Timber Fraser dans celui des matériaux, se sont particulièrement démarquées. Par contre, la répartition sectorielle a retranché de la valeur en raison d une sous-exposition au secteur des soins de santé. La présence de plus en plus importante du titre de Valeant dans l indice de référence explique cette situation, l action de cette société pharmaceutique ayant bondi de plus de 66 % Perspectives Tout comme ce fut le cas durant le premier semestre de, l évolution du marché boursier canadien pour les mois à venir pourrait être liée à celle du prix du baril de pétrole. Malheureusement, les perspectives ne semblent pas très encourageantes puisque les pays membres de l OPEP apparaissent déterminés à maintenir leur cadence de production, même si cette stratégie génère un surplus de l offre pour l or noir. Des conséquences sont donc à prévoir sur les titres énergétiques ainsi que sur l ensemble de l économie canadienne. Bien entendu, un ralentissement économique au pays devrait avoir des effets négatifs sur d autres secteurs, notamment sur celui des services financiers. Les banques ont récemment bénéficié de la croissance de leurs activités du côté de la gestion de patrimoine et des marchés des capitaux. Cependant, la progression de leurs profits pourrait être compromise par une faible performance de l économie. De plus, les évaluations des titres bancaires se situent près des moyennes historiques, ce qui laisse peu de place à une appréciation prononcée. En ce qui concerne les secteurs autres que ceux des ressources et des services financiers, les évaluations des sociétés publiques canadiennes sont équivalentes ou même supérieures à celles d entreprises américaines comparables. Dans de telles circonstances, la sélection de titres se révèle encore plus déterminante. Enfin, advenant une baisse du dollar canadien face au dollar américain, un scénario que certains prévisionnistes semblent entrevoir, les sociétés exportatrices pourraient être favorisées. Modifications comptables Passage aux normes internationales d information financière («IFRS») Les IFRS ont été adoptées pour les états financiers intermédiaires et annuels des exercices ouverts à compter du 1 er janvier. Pour l exercice clos le, les données ont été retraitées conformément aux IFRS. 10
Fonds d actions canadiennes Fonds privé GPD Actions canadiennes croissance Faits saillants financiers Les tableaux qui suivent font état de données financières clés concernant le Fonds et ont pour objet de vous aider à comprendre ses résultats financiers pour le dernier semestre et les deux derniers exercices. Actif net par part (1) Actif net au début de la période 13,59 12,57 10,83 attribuable à l exploitation Revenus 0,12 0,25 0,27 Gains (pertes) réalisé(e)s (0,05) 0,11 (0,11) Gains (pertes) non réalisé(e)s 0,30 0,85 1,99 Charges (0,03) (0,05) (0,05) Courtages et autres coûts d opérations de portefeuille (2) s.o. s.o. s.o. totale attribuable à l exploitation (3) 0,34 1,16 2,10 Distributions du revenu de placement (excluant les dividendes) des dividendes 0,12 0,22 0,23 des gains en capital remboursement de capital Distributions totales (4) 0,12 0,22 0,23 Actif net à la fin de la période 13,79 13,59 12,57 (1) Ces renseignements proviennent des états financiers intermédiaires non audités ainsi que des états financiers annuels audités du Fonds. L actif net par part présenté dans les états financiers peut différer de la valeur liquidative calculée aux fins d établissement du prix des parts. (2) À partir du 1 er janvier, les courtages et autres coûts d opérations de portefeuille sont inclus dans les charges. (3) L actif net et les distributions sont fonction du nombre réel de parts en circulation au moment considéré. L augmentation ou la diminution attribuable à l exploitation est fonction du nombre moyen pondéré de parts en circulation (4) Les distributions ont été payées en espèces ou réinvesties en parts additionnelles du fonds d investissement. Ratios et données supplémentaires Valeur liquidative totale (en milliers de ) 87 297 89 319 64 944 Nombre de parts en circulation 6 329 841 6 573 714 5 167 580 Ratio des frais de gestion (%) (1) 0,17 0,17 0,17 Ratio des frais de gestion avant renonciations ou prises en charge (%) 0,24 0,29 0,38 Ratio des frais d opérations (%) (2) 0,23 0,23 0,28 Taux de rotation du portefeuille (%) (3) 33,69 47,62 75,78 Valeur liquidative par part () 13,79 13,59 12,57 (1) Le ratio des frais de gestion est établi d après le total des charges de la période indiquée (à l exclusion des courtages et des autres coûts d opérations de portefeuille, ainsi que des retenues d impôt) et est exprimé en pourcentage annualisé de la valeur liquidative moyenne quotidienne (2) Le ratio des frais d opérations représente le total des courtages et des autres coûts d opérations de portefeuille et est exprimé en pourcentage annualisé de la valeur liquidative moyenne quotidienne (3) Le taux de rotation du portefeuille du Fonds indique dans quelle mesure le conseiller en valeurs du Fonds gère activement les placements de celui-ci. Un taux de rotation de 100 % signifie que le Fonds achète et vend tous les titres de son portefeuille une fois Plus le taux de rotation au cours d une période est élevé, plus les frais d opérations payables par le Fonds sont élevés au cours d une période, et plus il est probable qu un porteur réalisera des gains en capital imposables Il n y a pas nécessairement de lien entre un taux de rotation élevé et le rendement d un fonds. Les 25 positions principales % de la valeur liquidative 1. Trésorerie et équivalents de trésorerie 7,9 2. Alimentation Couche-Tard, classe B 5,1 3. Banque Royale du Canada 3,9 4. Air Canada 3,8 5. Banque Toronto-Dominion 3,6 6. Brookfield Asset Management, classe A 3,6 7. Vêtements de Sport Gildan 3,5 8. Constellation Software 3,4 9. CCL Industries, classe B 3,3 10. Linamar Corporation 3,1 11. Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada 2,9 12. Dollarama 2,6 13. West Fraser Timber Co. 2,6 14. Compagnies Loblaw 2,5 15. Société Canadian Tire, classe A 2,4 16. Société DH 2,4 17. Keyera Corp. 2,2 18. Groupe Jean Coutu (PJC), classe A 1,7 19. Agrium 1,7 20. Chemin de fer Canadien Pacifique 1,6 21. FirstService Corporation 1,6 22. Kinaxis 1,6 23. Tahoe Resources 1,5 24. Franco-Nevada Corporation 1,5 25. Winpak 1,4 Total 71,4 11