Université de Bourgogne Formation continue. Du Diplôme Universitaire d Auxiliaire Médicale Spécialisée en Santé au Travail Option Technicienne

Transcription

1 Université de Bourgogne Formation continue MEMOIRE Du Diplôme Universitaire d Auxiliaire Médicale Spécialisée en Santé au Travail Option Technicienne Etude de l exposition au bruit du poste de bétonneur dans une entreprise de fabrication de prédalles en béton vibré, à l aide d un exposimètre individuel. Soutenu à Dijon, le 30 novembre 2000 Josiane RINGEVAL AIMT DU BAS-RHIN 1

2 PLAN DU MEMOIRE I Objectif page 2 II Présentation de l'entreprise page 3 III Analyse Bibliographique page 4 IV Matériel : page 5 - Matériel employé sur le terrain - Matériel de traitement des données V Pré-étude : page 5 1- caractéristiques des salariés 2- conditions de travail : - horaires de travail - nature de la tâche page 6 - caractéristiques du local - conditions d'hygiène et de sécurité page 7 VI Méthodologie : page 8 VII Résultats : page 9 VIII Discussion des résultats : page les résultats 2- les risques 3- propositions d'amélioration des conditions de travail : page 11 - protection collective - protection individuelle page 12 - surveillance médicale spéciale IX Conclusion : page 13 X Bibliographie : page 14 XI Remerciements : page 15 XII Annexes page 16 - l'activité de l'opérateur en photographie - décret du 22/04/ TRG n 42 2

3 I OBJECTIF : Le relevé métrologique du niveau sonore d'un poste de bétonneur a été effectué le 21 juillet 2000 de 05h00 à 14h00 dans une entreprise de fabrication de prédalles en béton vibré à la demande du médecin du travail. Cette étude a pour objectif d'évaluer la nuisance sonore subie par un salarié, c'est à dire : - estimer et mesurer le niveau d'exposition sonore quotidienne auquel est exposé le salarié dans le cadre de l'application des articles R à , - apprécier les risques pathologiques - proposer des améliorations du poste et des conditions de travail. Les mesures ont été réalisées par Josiane RINGEVAL, assistante à l'aimt du Bas- Rhin, conformément à la réglementation en vigueur (décret n du 21/04/1988, paru au Journal Officiel du 22/04/1988, relatif à la protection des travailleurs contre le bruit ; la circulaire du 06/05/1988, relative à l'application du décret ; l'arrêté du 22 avril 1988, pris pour l'application des articles R et R , relatif au mesurage du bruit.) II PRESENTATION DE L'ENTREPRISE C'est une entreprise de fabrication de prédalles en béton vibré faisant partie d'un grand groupe français qui compte 7 sites sur le territoire national. Toutes les entreprises du bâtiment sont susceptibles d'être leurs clients. En Alsace, l'entreprise compte un effectif de 34 personnes : - 14 employés - 20 ouvriers L'âge moyen des ouvriers est de 43 ans. Le plus jeune est âgé de 29 ans et le plus âgé a 57 ans. L'activité journalière couvre 18 heures de fabrication, ce qui représente environ la fabrication de 200 prédalles. Le travail démarre le matin à 05h00 et se termine le soir, à 23h00, du lundi au vendredi. Le samedi, l'entreprise produit de 04h00 à 22h00. Depuis février 2000, l'entreprise applique la loi des 35 heures avec maintien du salaire et répartition des horaires en 4 journées de 9 heures. Un quart d'heure de pause est prévu par tranche de 9 heures. III ANALYSE BIBIOGRAPHIQUE : 3

4 Cette étude a pu être menée à bien en s'appuyant sur les références bibliographiques suivantes : - ASSELINEAU M., Sté PEUTZ & ASSOCIES - Bruit des dispositifs de type table vibrante - Août Les notes scientifiques et techniques de l'inrs, édition n NS Les dispositifs de type table vibrante sont d'un usage largement répandu, non seulement dans les industries lourdes telles que les fonderies, mais aussi dans les industries telles que l'agro-alimentaire ou la chimie, voire même dans les chantiers de travaux publics. De par leur principe, ces dispositifs se révèlent être une source de bruit importante au niveau des postes de travail, et parfois même dans l'environnement extérieur. Un inventaire des divers dispositifs utilisés a été réalisé. Une analyse bibliographique a ensuite été effectuée pour préciser la nature de ces dispositifs, indiquer les niveaux sonores émis, identifier les sources sonores prépondérantes et fournir des éléments pour réduire le bruit émis par ces systèmes. - ASSELINEAU M., LOVAT G., DANIERE P., ARBEY H.S., Sté PEUTS & ASSOCIES - Tables vibrantes utilisées dans l'industrie du Béton - Cahiers de notes documentaires - Hygiène et sécurité du travail - N 170, 1er trimestre Sont recencés ici les principes de réalisation les plus fréquents, les niveaux acoustiques habituellement rencontrés et les différents mécanismes générateurs de bruit. Des principes d'action de réduction à la source sont proposés, tels que : diminution des efforts, limitation des chocs, supression des résonances et amortissement des parois qui rayonnent, ainsi que des ordres de grandeur des performances acoustiques que l'on peut attendre. - LOVAT G., DANIERE P. et LOYAU T., Service Métrologie - Acoustique - Vibration, centre de recherche de l'inrs, Nancy - Le diagnostic vibro-acoustique - Cahiers de notes documentaires - Hygiène et sécurité du travail - N 172, 3ème trimestre 1998 La réduction du bruit à la source d'une machine est efficace en tous les points du local (en champ proche comme en champ lointain). Elle est permanente, collective, confortable et sans contrainte sur l'utilisation ou la maintenance des machines. Son efficacité est directement liée à la précision et à la pertinance du diagnostic vibro-acoustique. Au sommaire : - rappel des mécanismes de la génération du bruit rayonné par une machine; - méthode de diagnostic disponibles selon que l'on agit sur les mécanismes générateurs, les voies de transfert ou les surfaces rayonnantes; - avantages et inconvénients de chaque méthode dans le contexte industriel; - intérêts des méthodes mixtes associant des mesures relativement simples et les modélisations des mécanismes de propagation des vibrations et du bruit; - exemples d'application à trois situations industrielles : vibrage de béton, locomotive, groupe motopompe. - AFNOR : Norme Française S IV MATERIEL : 4

5 Matériel employé sur le terrain : Un dosimètre-exposimètre BRUEL & KJAER de type 4436 de classe 2, muni d'un microphone ¼ pouce BRUEL & KJAER. Un calibreur acoustique type 4231 BRUEL & KJAER. Matériel de traitement des données : Un logiciel d'application sous Windows DOSE REPORTER type 7697 BRUEL & KJAER. V PRE-ETUDE : Mesurage du bruit réalisé au poste de travail de bétonneur 1- Caractéristiques des salariés : Seuls 3 salariés sont concernés par le poste de bétonneur, âgés respectivement de 50 ans, 49 ans et 32 ans. Leur ancienneté au sein de l'entreprise est pour le premier de 13 ans, le deuxième, 18 ans et le troisième, 11 ans. 2 - Conditions de travail : Horaires de travail : L'entreprise applique depuis le 1er février 2000 les 35h de travail par semaine. De ce fait, a été mis en place le travail en alternance soit 4 X 9 heures par semaine : de 05h00 à 14h00, deux jours de suite, de 14h00 à 23h00, deux jours de suite 2 jours de repos. L'entreprise fonctionne 6 jours sur 7, aussi faut-il faire appel à 3 salariés qui se relaient au poste pour couvrir ces 6 jours. Les salariés sont autorisés à prendre une pause d'un quart d'heure par tranche de travail. Précédemment, les salariés travaillaient en équipes alternantes en 3 X 8. Nature du travail : Tâche demandée : déverser du béton sur des tables ferraillées à l'avance. 5

6 Ces tables mesurent 12,50 m de long sur 2,70 m de large. Pour atteindre cet objectif, les étapes suivantes sont suivies par l'opérateur : 1. A la prise de poste, l'opérateur doit huiler la centrale à béton et mettre en route le mélangeur à béton par commande numérique. 2. A l'entrée de la table ferraillée, celle-ci prend place sur des vibrateurs ; l'opérateur vérifie d'après un plan si le ferraillage est bien disposé. 3. Il commande à la centrale à béton la quantité de béton nécessaire afin d'obtenir l'épaisseur nécessaire demandée par le client. 4. Il met en marche le chariot-bétonneur qui va déverser le béton sur la table. 5. Le béton déversé, l'opérateur fait vibrer le béton et en même temps, répartit mieux le béton manuellement avec une truelle. 6. L'opérateur commande au chariot-bétonneur de faire le retour avec passage d'une herse. 7. Il met des étiquettes de reconnaissance des prédalles. 8. L'opérateur fait évacuer la table dans l'étuve pour le séchage ; elle devra y séjourner 8 heures avant d'être stockée à l'extérieur. 9. Puis il commande à la prochaine table d'entrer dans le local. Ainsi, il continuera de bétonner entre 30 et 35 tables sur ses 9 heures de travail de la même façon. Après environ 08h15 de cette activité répétitive, il nettoiera la centrale à béton à l'aide d'un nettoyeur à haute pression. Pour terminer, il balaiera son local. Chaque opérateur réitèrera le déroulement de l'activité indépendamment de la tranche horaire. L'activité principale, c'est-à-dire le bétonnage à proprement parlé, est en fait divisé en cycles (un cycle = 1 fabrication d'une table de prédalles). Caractéristiques du local : L'atelier de bétonnage mesure 15 mètres de long sur 6 mètres de large. Ce local a été traité acoustiquement en 1992, à la conception du local : les parois ont été recouvertes de laine de roche et de laine de verre ; du double vitrage a été installé sur l'une des longueurs donnant sur le bureau des responsables d'atelier ; la paroi séparant l'atelier de l'étuve est la seule paroi à ne pas avoir été isolée phoniquement. La température est en moyenne de 22 degrés en été, un peu moins en hiver. Comme l'exige l'article R du Code du Travail, un panneau situé au-dessus de l'entrée de l'atelier indique sans ambiguïté l'obligation de porter l'équipement de protection individuelle, le niveau sonore est susceptible de dépasser les 90 db(a) et le niveau de pression acoustique de crête, susceptible de dépasser 140 db(lin). Conditions d'hygiène et de sécurité : Les salariés disposent chacun d'un vestiaire et des douches sont à leur disposition. 6

7 Une cuisine équipée d'un four à micro-ondes, d'un réfrigérateur et d'une plaque de cuisson leur permet de se restaurer. Deux distributeurs de boissons chaudes et froides ainsi qu'une fontaine d'eau potable ont été installés dans l'atelier. Les vêtements de travail ainsi que les chaussures de sécurité et des gants sont également fournis par l'entreprise. Les ouvriers peuvent se servir avant de pénétrer dans l'atelier de bouchons d'oreilles à usage unique de marque BILSOM dont l'indice global d'affaiblissement SNR est de 27 db Remarque : La seule plainte du bétonneur ne provient pas du bruit auquel il est exposé, mais de l'application des 35 heures : en effet, la répartition en 4 X 9 heures demande à ce qu'un samedi après-midi sur trois soit travaillé. Dans l'état actuel de l'application de ce nouvel horaire, le fait de rajouter 1 heure à la tranche de travail n'a pas permis à l'entreprise de produire plus de prédalles. VI METHODOLOGIE : L'exposimétrie réalisée a été effectuée le jour où l'activité était représentative, 31 tables de prédalles ont été fabriquées. L'exposimètre a été calibré sur le lieu du mesurage avant et après la mesure. Le microphone a été placé à la hauteur de l'oreille de l'opérateur. La mesure a couvert la totalité de la journée de travail de l'opérateur, à savoir le 21 juillet 2000 de 05h00 du matin à 14h00 l'après-midi. L'opérateur n'a fait aucune pause, compte-tenu de la complexité de certaines tables et du nombre de tables à bétonner ce jour-là.ce qui est fréquent, donc représentatif d'une journée de travail. La température de l'atelier était de 24 C. VII RESULTATS : 7

8 8

9 VIII DISCUSSION : 1 - Les Résultats : Comme cela a déjà été dit précédemment, la mesure est représentative du bruit délivré par l'activité habituelle des opérateurs, 31 tables de prédalles ont été fabriquées. Le niveau d'intensité sonore LAex,d est de 93,9 db(a). Conformément à la norme NF S , il faut tenir compte de l'incertitude liée à la classe de mesurage de l'appareillage, en l'occurence pour un exposimètre de classe 2, 1dB(A). Ainsi, le niveau d'intensité sonore est de 94,9 db(a), au maximum. Conformément à la norme NF S , on peut dire que le niveau limite d'intensité sonore est dépassé. Le niveau de pression acoustique de crête est de 139,6 db. Suivant la norme NF S 31084, tenant compte de l'incertitude liée à la classe de mesurage de l'appareillage, en l'occurence pour un exposimètre de classe 2, 1dB(A), le niveau de pression acoustique de crête est de 140,6 db, au maximum. On peut affirmer que le niveau de crête est dépassé. Le bruit dominant est de type fluctuant périodique. Les principales sources de bruit sont : le bruit de fond occasionné par l'atelier de ferraillage. le chariot-bétonneur quand il se déplace. le béton en lui-même suivant sa constitution (plus ou moins de cailloux) le lavage avec le nettoyeur de haute pression de la centrale à béton et surtout, le fonctionnement des vibrateurs. Le jour de la mesure, l'opérateur a effectué 31 fois l'action de bétonnage. Pour illustrer un cycle, c'est-à-dire la fabrication d'une table de prédalles en béton vibré, le schéma suivant a été obtenu : 9

10 Chaque fabrication de prédalles dure 15 minutes. On constate évidemment que l'évènement sonore le plus nuisant est la mise en marche des vibrateurs durant un peu moins d'une minute lors de chaque cycle. La nuisance sonore subie par le salarié est sensiblement la même à chaque cycle. Pour l'affirmer, 5 mesures ont été effectuées au courant de la journée de travail, dont voici les résultats : cycle 1 cycle 2 cycle 3 cycle 4 cycle 5 Moyenn e Ecart type Incertitud e appareil Leq 92,1 91,4 92,4 93,2 94,5 92,7 1,18 1dB Max P , ,5 130 Au vu des résultats et conformément à la norme NFS , on peut dire que la classe de mesurage est de référence. 2 - Les Risques : Le risque pathologique encouru est une surdité professionnelle. L'activité réalisée à ce poste de travail est spécifiquement mentionné dans la liste limitative des travaux du tableau n 42 du régime de la S. S "Surdité provoquée par les bruits lésionnels" (cf annexe). 3 - Propositions d'améliorations des conditions de travail : Protection collective : Réduire le bruit à la source : Un capotage réalisé en partie basse de la table vibrante pourrait être envisagé avec des gains susceptibles d'atteindre 8 dba comme cela est décrit dans l'analyse des mécanismes de génération du bruit faite par l'inrs. 10

11 Une nouvelle génération de table vibrante a vu le jour il y a 3 ans en Allemagne. Celleci, mise en place, occasionnerait une nuisance sonore d'environ 70 dba. Coût de la table : environ Francs. Néanmoins, des progrès restent à être faits au niveau de la qualité du béton vibré. L'entreprise est vivement intéressée par ce nouveau type de table et son acquisition peut être envisagée. Le coût d'une maladie professionnelle s'élevant à plus de Frs, l'entreprise ferait le bon choix pour la protection de ses salariés et de sa trésorerie également! Protection individuelle : Comme le précise le décret du 21/04/1998, les salariés exposés à plus de 90 db(a) doivent obligatoirement porter des protections individuelles. Les bouchons d'oreilles à la disposition des salariés dans cette entreprise proposent une atténuation de 27 db(a). Reste que les ouvriers ne les portent quasiment pas, l'encadrement rechigne également à se protéger. Cette protection sera réellement efficace si elle est portée 100 % de la durée d'exposition. Surveillance médicale spéciale : Les salariés doivent être soumis à une surveillance médicale particulière. Le médecin du travail informera chaque salarié à l'occasion de la visite périodique du risque encouru, dans le cadre de la prévention adaptée du décrêt du 22/04/1988. Un examen audiométrique sera effectué tous les 2 ans Remarques : Bien qu'exposée aux vibrations, cette activité n'est pas mentionné dans la liste limitative des travaux du tableau n 69 du régime de la S. S. "Affections provoquées par les vibrations et chocs transmis par certaines machines-outils, outils et objets et par les chocs itératifs du talon de la main sur des éléments fixes" ni dans la liste limitative des travaux du tableau n 97 "Affections chroniques du rachis lombaire provoquées par des vibrations de basses et moyennes fréquences transmises au corps entier" du régime de la S. S (cf annexe). La réalisation d'une étude serait intéressante. IX CONCLUSION : Cette étude montre que le niveau d'exposition sonore quotidienne au poste de bétonneur est de 94,9 db(a). Il est donc supérieur au seuil de 85 db(a). Le niveau de crête est de 140,6 db(lin). Il est également supérieur au seuil de 140 db (Lin). Le risque encouru est une surdité professionnelle (TRG n 42). Comme le prévoit la législation le port d'équipements individuels de protection est obligatoire et efficace s'ils sont portés 100 % de la durée d'exposition au bruit. Une surveillance médicale particulière s'impose et une information sur le risque encouru sera faite par le médecin du travail. Un examen audiométrique sera pratiqué obligatoirement tous les 2 ans. (Il est à noter que le médecin du travail demande un examen audiométrique annuel.) 11

12 La réduction du bruit à la source devra être envisagée. X BIBLIOGRAPHIE INRS - Le bruit en milieu de travail - Aide-Mémoire juridique n , 14 p. INRS - Exposition des travailleurs au bruit - Méthode de mesurage - ED 772, 1997, 56 p. INRS - Réduire le bruit dans l'entreprise - ED 808, 1997, 94 p. KNOCHE C., MEUNIER Ph., SMOLIK H.J Avantages et inconvénients des principales méthodes d'évaluation du risque auditif lié au bruit, CAMIP, p 425-p

13 XI REMERCIEMENTS A Monsieur le Professeur SMOLIK Nous vous remercions pour tous les enseignements transmis au courant de cette année d'étude avec beaucoup de patience et une écoute exceptionnelle à tous les problèmes que nous avons pu rencontrer. Nous tenons à vous témoigner toute notre estime et notre gratitude. A tous les Médecins et Formateurs Recevez également l'expression de notre gratitude pour votre enseignement. A Monsieur BAEHR, Directeur de l'aimt du Bas Rhin Nous vous remercions pour nous avoir permis de suivre cette formation et mis à notre disposition tous les moyens pour mener à terme cette étude. A Madame le Docteur HEUGEL Un grand merci pour le soutien moral que vous nous avez apporté ainsi que beaucoup de bienveillance. Toute notre gratitude également pour nous avoir fait profiter de votre compétence. A Messieurs GILLMANN et GARNIER Nous vous remercions de nous avoir accueilli au sein de votre entreprise ainsi que pour votre collaboration, votre disponibilité et votre amabilité. A Monsieur CAROFF, Directeur du Développement de l'aimt du Bas Rhin, à Madame le Docteur Marie Yvonne FEUERSTOSS, à Madame le Docteur Michèle WEBER, à Monsieur le Docteur LE BOISSELIER, à Monsieur le Docteur GASSMANN, à Madame le Docteur Claudine WEBER, à Melle Prasérès MACHADO et toutes les personnes de l'aimt qui nous ont soutenu et aidé au courant de cette année de formation. Nous tenons à les remercier sincèrement. 13