PATHOLOGIES PRIMAIRES DU PATHOLOGIES PRIMAIRES DU PATHOLOGIES PRIMAIRES DU SOMMEIL CHEZ LE SUJET AGE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PATHOLOGIES PRIMAIRES DU PATHOLOGIES PRIMAIRES DU PATHOLOGIES PRIMAIRES DU SOMMEIL CHEZ LE SUJET AGE"

Transcription

1 PATHOLOGIES PRIMAIRES DU PATHOLOGIES PRIMAIRES DU PATHOLOGIES PRIMAIRES DU SOMMEIL CHEZ LE SUJET AGE SOMMEIL CHEZ LE SUJET AGE Journée d automne de la Société de Gérontologie de Normandie 19 octobre 2012

2 Sommeil : 1/3 de notre vie Impact majeur sur notre qualité de vie Sommeil lent Sommeil paradoxal

3 ORGANISATION D UNE NUIT DE SOMMEIL NORMALE CHEZ L ADULTE Répartition des stades 25% 20% 5% 50% stade1 stade 2 SLP SP

4 REGULATION DU SOMMEIL NORMAL LES 3 PROCESSUS DE REGULATION DU SOMMEIL Processus altéré chez le sujet âgé

5 Le contrôle circadien dépend de l horloge biologique interne : les noyaux supra chiasmatiques de l hypothalamus postérieur

6 Fonctions biologiques contrôlées par l horloge biologique circadienne D après C Gonfrier : Physiology of the endogenous circadian clock : From clock genes to clinical applications, 2009

7 Oscillation spontanée et autonome de l activité individuelle des neurones du NSC selon une périodicité propre 75 % des individus possèdent une période légèrement supérieure à 24 h S allonge un peu entre 15 et 20 ans (plasticité) Ne semble pas varier au cours du vieillissement?? Processus de recalage quotidien nécessaire Rôle des «synchroniseurs»

8 DONNEURS DE TEMPS : "zeitgebers" Lumière, mélatonine, synchroniseurs socio-professionnels d'après Claustrat et al, 1998 Chez le SA : - l horloge est moins sensible - les synchroniseurs sont déficitaires

9 MODIFICATIONS NORMALES DU SOMMEIL AVEC L AGE Allongement du délai d endormissement Avance de phase : coucher et lever plus précoces Diminution du temps total de sommeil nocturne Diminution du sommeil lent profond : importante et précoce Diminution du sommeil paradoxal : moins marquée ( Alzheimer) Sommeil fragmenté avec de multiples éveils : difficultés à maintenir un stade de sommeil sur une longue durée des phases de réveil au cours de la nuit (nombre et durée) efficacité de sommeil (<80%) Sieste diurne

10

11 LES INSOMNIES 10 % de la population adulte Plus fréquentes avec l âge : près de la moitié des sujets de plus de 65 ans se plaignent de leur sommeil Majorité de femmes

12 Définition Depuis au moins un mois, difficultés à s endormir et/ou à rester endormi et /ou réveil trop précoce avec conséquences sur la qualité de l éveil dans la journée OU PLUS SIMPLEMENT Sommeil de quantité et/ou de qualité insuffisantes et perçu comme non réparateur A différencier du réveil précoce consécutif à l avance de phase A différencier aussi des typologies «courts dormeurs»

13 LES PRINCIPALES CAUSES D INSOMNIE Insomnies transitoires ou insomnies d ajustement : < 3 semaines Insomnies chroniques : > 3 semaines Insomnies secondaires : avec comorbidités somatiques ou psychiatriques : plus fréquentes chez le sujet âgé Dépression et anxiété, bronchite chronique, diabète, démences (Alzheimer et autres), douleurs chroniques, cancers, maladies prostatiques et rénales, maladie de Parkinson. Médicaments, excitants, alcool Insomnies «primaires» : sans cause médicale, médicamenteuse ni environnementale

14 PRISE EN CHARGE DES INSOMNIES PRIMAIRES DU SA Information sur l évolution du sommeil avec l âge Suppression si possible des causes médicales et des médicaments aggravants Pas d indication à un enregistrement de sommeil

15 Étudier les habitudes de sommeil du patient à l aide d un «agenda de sommeil»

16 Revoir les comportements de sommeil et éventuellement les corriger : Hygiène du sommeil - Exposition lumineuse maximale - Favoriser les sorties et les contacts sociaux - Éviter le coucher trop précoce - Respecter des horaires réguliers - Limiter le temps passé au lit sans sommeil et réserver le lit au sommeil - Sieste de durée limitée et avant 15 h - Tolérer éveils et levers nocturnes

17 Approche non médicamenteuse Thérapies cognitives : identification des pensées dysfonctionnelles et principe de déconditionnement (biofeedback, relaxation, imagerie mentale, hypnose, gestion du stress ) Techniques comportementales Restriction de sommeil Contrôle du stimulus

18 Restriction de sommeil But : améliorer l efficacité de sommeil = temps de sommeil réel sur temps passé au lit : doit être égale ou > 85% chez le SJ Moyen : ajuster le temps passé au lit au temps de sommeil Consignes : - Calculer sur une semaine la durée moyenne estimée de sommeil - Restreindre le temps passé au lit à cette durée (sauf si < 5 heures/nuit) en retardant l heure du coucher - Maintenir une heure de lever régulière - Augmenter le temps passé au lit par paliers de 15 mn si l efficacité de sommeil est > 85% (en avançant l heure du coucher sans modifier l heure du lever) - Ne pas faire de sieste A adapter chez le SA!

19 Contrôle du stimulus Approche comportementale visant à éliminer les stimuli excitants et restaurer le signal lit = sommeil Consignes : - Couchez-vous seulement quand vous êtes somnolent - N utilisez le lit que pour dormir - Si vous ne dormez pas au bout de 10 minutes, levez-vous et allez dans une autre pièce - Répétez l étape précédente si c est nécessaire - Levez-vous tous les jours à la même heure, quelle que soit la durée de votre sommeil - Pas de sieste dans la journée

20 Les 2 méthodes rejoignent le principe de l intention paradoxale Objectif : désamorcer la crainte de ne pas dormir Accent mis sur l effort à faire pour retarder le coucher et l endormissement et finalement réduire la durée de sommeil! Méthode reposant sur le paradoxe et la dédramatisation Possible si patient et son entourage aptes à comprendre et à suivre les consignes.

21 Hypnotiques 40% des prescriptions d hypnotiques : + de 65 ans 30% des plus de 65 ans prennent des BZD

22 Ratio qualité de sommeil /effets indésirables défavorable chez le SA de la durée totale du sommeil chez les SA plus faible que chez les SJ, suggérant que les SA répondent moins à ces traitements Globalement, les BZD le SL profond et le SP, et stade II : tend à accentuer les effets délétères du vieillissement sur la structure du sommeil de l incidence des EI : nombre de sujets à traiter pour améliorer le sommeil : 13 / nombre de sujets pour obtenir un EI : 6 Glass et al, BMJ 2005 Complications spécifiques : Confusion Chutes et fractures : effet sédatif et myorelaxant, hypotension Pariente et al, Drugs Aging 2008 ; Pierfitte et al., BMJ 2001

23 Les BZD sont avec les AD la classe médicamenteuse la + fortement associée au risque de chute chez le SA Hartikainen et al, J Gerontol 2007 Woolcott et al, Arch Intern Med, 2009

24 Effets cognitifs : A court terme, effets bien connus médiés par le renforcement de la transmission GABAergique : perturbations de la mémoire à court terme, de la mémoire de rappel, des performances verbales Effets à long terme : résultats très débattus Accentuation du risque de démence chez les consommateurs de BZD dans certains études Pas de risque accru dans d autres études, voire même même effet protecteur!

25 Afssaps - Rapport d expertise - janvier 2012

26 Septembre 2011 : coup de projecteur médiatique Septembre 2012

27 Etude observationnelle sur 15 ans 1063 hommes ou femmes âge moyen 78 ans Risque de démence augmenté de 50% chez les nouveaux consommateurs / non consommateurs

28 Si prescription indispensable : Recommandations en cas d utilisation d hypnotiques sédatifs chez le SA : HAS 2008 Prescription de courte durée Information sur les phénomènes de tolérance et de dépendance avec le risque de sevrage et d insomnie de rebond Préférer les BZD ½ vies courtes (oxazepam) et les analogues non BZD zopiclone et zolpidem) Commencer à faible dose et titrer doucement Informer sur les EI Penser à la CI des apnées de sommeil

29 Durée d action courte Durée d action moyenne Durée d action longue Imovane Zopiclone Générique Stilnox Zolpidem Générique Seresta (oxazepam) Halcion (tiazolam) Havlane (loprazolam) Noctamide (lormetazepam) Normison (témazepam) Mogadon (nitrazepam) Nuctalon (estazolam) Rohypnol (flunitrazepam)

30 Comment réussir un sevrage? Objectif : arrêter mais diminuer est déjà une forme de succès 1ère étape : obtenir la conviction du patient pour une décision partagée 2ème étape : évaluer le niveau d attachement : échelle ECAB? Si score >6 : niveau élevé 3ème étape : Rechercher des facteurs d échec du sevrage Durée de TT et posologie élevées Plusieurs BZD ou apparentés Echec des tentatives antérieures Insomnies sévères Mauvaise perception de son état de santé Troubles psychiatriques associés Troubles cognitifs Alcool

31 Pelissolo et al,1996 Echelle ECAB

32 Procédure : Vitesse de décroissance : calendrier sur 4 à 10 semaines voire plus - 25% la première semaine et suivi hebdomadaire (?) en consultation si possible ; sinon aller plus doucement (paliers de 4 semaines à chaque diminution) A la dose minimale, passer en prise alternée 2 jours/3, puis 1 jour /2, puis 1 jour/3 Aide au sevrage par les thérapies comportementales, aussi longtemps que nécessaire

33 Mélatonine Hormone naturelle produite par la glande pinéale dont la sécrétion est stimulée par l obscurité et inhibée par la lumière Important régulateur du rythme circadien avec la lumière Rôle d induction du sommeil

34 Le taux de M baisse avec l âge Le SA insomniaque devrait être particulièrement sensible aux drogues mélatoninergiques Problème : ½ vie courte Melatonine forme LP : Deux études contrôlées en 2007 : total de 524 patients - bénéfice significatif sur : - la latence d endormissement - la qualité du sommeil - la vigilance matinale - 50 à 70% de répondeurs - tolérance idem placebo - pas de risque de sevrage - effet rémanent Wade et al (354 patients) et Lemoine et al (170 patients)

35 AMM dans traitement à court terme de l insomnie primaire chez les adultes de 55 ans et davantage 2h avant le coucher Utilisation possible par cures répétées de 3 mois En pratique? Résultats inconstants mais peut être une aide précieuse pour le sevrage en BZD

36 Photothérapie Rôle dans la synchronisation de l horloge interne Agit notamment sur la sécrétion de Mélatonine Indications officielles de la photothérapie ou luminothérapie : - les troubles «circadiens» du sommeil - Retard de phase, avance de phase - Jet-lag, travail posté - la dépression saisonnière

37 Modalités : pas codifié mais lampes commerciales Lux au min sont recommandés pour un effet thérapeutique - Plutôt le soir pour corriger l avance de phase - Plutôt le matin si difficultés d endormissement - Quotidien - Durée? Contre-indications : glaucome, cataracte, rétinopathie et DMLA, médicaments photosensibilisants (Li) Protocole exact encore à déterminer : pas d indication officielle dans les insomnies primaires (du SA) Intérêt des méthodes combinées mélatonine-luminothérapie

38 SYNDROME D APNEES DE SOMMEIL SAOS : apnées obtructives Interruptions répétées, partielles (hypopnées) ou totales (apnées) de la respiration au cours du sommeil, responsable d un déficit en oxygénation et d efforts respiratoires aboutissant à des éveils répétés

39 Le SAS atteint environ 5% de la population générale mais dépasse les 20% chez les personnes âgées de plus de 70 ans Facteur de risque de dégradation cognitive chez le sujet âgé Diagnostic sous-estimé chez les sujets âgés : particularités des symptômes, préjugés sur la faisabilité des enregistrements, sur la tolérance des traitements, et sur l intérêt du diagnostic en terme de qualité de vie ou d économie de santé

40 Principaux symptômes et particularités gériatriques : Ronflement Apnées perçues par le conjoint (mais + difficile chez le SA) Sueurs et agitation nocturnes Polyurie Impression de sommeil non réparateur Céphalées au réveil Somnolence en journée, siestes anormalement longues et non réparatrices, matinales (échelle d Epworth) Chutes (Onen et al 2009) Pas toujours de surpoids!

41 Principales complications : Hypertension artérielle (1 cas /2) Infarctus du myocarde et maladies des coronaires (risque x 5) (Pecker et al, 2006) Accident vasculaire cérébral (risque x 2.5) (Munoz et al 2006) Troubles de l attention et de la mémoire Syndrome anxio-dépressif Accidents de circulation Glaucome Risque anesthésique X 3 Facteurs aggravants : Alcool Somnifères et anxiolytiques Antalgiques opiacés

42 Diagnostic Dépistage par l ONSI : Observation-Based Nocturnal Sleep Inventory Onen SH et al. : Screening Tool for Sleep Apnea in Erdely People. J Am Geriatr Soc, 2008 Test de dépistage non invasif des apnées du sommeil validé chez le sujet âgé institutionnalisé ou hospitalisé Excellente sensibilité (90 %) et bonne spécificité (81 %) Objectif : repérer les épisodes de ronflements et d apnées Inventaire comportemental du sommeil par les équipes de nuit qui réalisent des visites nocturnes standardisées (infirmière, aides soignantes)

43 Fiche ONSI Positif si au moins un épisode de pause respiratoire ou au moins deux épisodes de ronflements

44 Dépistage en polygraphie ventilatoire (ambulatoire ou non ) Peut suffire au diagnostic Index horaire d apnées-hypopnées (IAH) minimal de 30 pour une prise en charge du traitement

45 Diagnostic positif en Polysomnographie : Nécessaire si forte suspicion clinique et polygraphie négative

46 La PSG permet de plus de quantifier les «micro-éveils» PRISE EN CHARGE DU TRAITEMENT POSSIBLE SI IAH > 30 /h OU IAH < 30 et index de micro-éveils > 10/h

47 Chez certains patients âgés polypathologiques, avec ou sans altération cognitive, la PSG est mal tolérée et difficilement réalisable en raison de la non coopération des patients Mais l âge n est pas une contre-indication en soi pour pratiquer la PSG Une polygraphie ventilatoire simple à domicile est généralement mieux tolérée, et peut parfois suffire au diagnostic et au traitement Une évaluation gériatrique et un test ONSI permettent de mieux cibler les indications de la PV et de la PSG chez le sujet âgé

48 Les apnées centrales Sans effort ventilatoire Apnée obstructive Apnée centrale Associées à l insuffisance cardiaque, certains AVC massifs ou du tronc cérébral Penser aussi aux apnées centrales induites par les opiacés

49 Traitement Ventilation nocturne par pression positive continue Traitement de référence Pression de 4 à 12 cm d H2O, appliquée au moyen d un masque nasal ou facial ou narinaire Empêche le collapsus pharyngé et fait disparaître le ronflement et les apnées Taux d acceptation en général estimé à 70% à 3 ans Acceptation d autant meilleure que le suivi est régulier et la plainte fonctionnelle importante Chez le SA : commencer doucement et avec un niveau de pression plus bas /sujet jeune Faisabilité et bénéfices démontrés Compliance équivalent au SJ si évaluation gériatrique et éducation thérapeutique

50 Suppression des facteurs aggravants : l alcool, les benzodiazépines, les hypnotiques benzodiazépine-like et les opiacés Traitement par laser pour le ronflement : ne traite pas les apnées Prothèse d avancée mandibulaire : En cas de SAS après échec de la ventilation Mais pas possible en cas de mauvais état dentaire ou d édentation Pas de recommandations officielles chez le sujet âgé

51 CONCLUSIONS Savoir distinguer les troubles vrais du sommeil des modifications physiologiques du sommeil liées à l âge Privilégier les approches non médicamenteuses et combinées dans les insomnies primaires du SA Savoir utiliser les outils de dépistage et ne pas sous-estimer l impact des apnées de sommeil chez le SA

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail

Prise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale

Prise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale Recommandations pour la pratique clinique Prise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale Recommandations Décembre 2006 Avec le partenariat méthodologique et le concours

Plus en détail

Un danger vous guette Soyez vigilant

Un danger vous guette Soyez vigilant Un danger vous guette Soyez vigilant Vous prenez un sédatif-hypnotique Alprazolam (Xanax ) Chlorazépate Chlordiazépoxide Chlordiazépoxideamitriptyline Clidinium- Chlordiazépoxide Clobazam Clonazépam (Rivotril,

Plus en détail

SOMMEIL ET TRAVAIL 6

SOMMEIL ET TRAVAIL 6 6 SOMMEIL ET TRAVAIL AVANT-PROPOS En médecine du travail, 20 à 40% des salariés se plaignent de leur sommeil avec pour principale conséquence la somnolence et son corolaire la baisse de vigilance. Les

Plus en détail

Gina Sanders. Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal!

Gina Sanders. Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal! Gina Sanders Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal! Tous concernés! De quoi s agit-il? encontrer ponctuellement des dif cultés pour s endormir, se réveiller en pleine nuit ou se retrouver debout

Plus en détail

IRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT»

IRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» IRBMS http://www.irbms.com Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» Auteur(s) : J.-D. Guieu Catégorie : Sport Santé

Plus en détail

Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008

Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 1 Sommaire Enquête sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en France...3 Les durées

Plus en détail

Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs

Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs 06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Évaluation et traitement de l insomnie associée au cancer

Évaluation et traitement de l insomnie associée au cancer Évaluation et traitement de l insomnie associée au cancer Josée Savard, Ph.D. Professeure titulaire École de psychologie, Université Laval Centre de recherche du CHU de Québec et Centre de recherche sur

Plus en détail

La migraine : une maladie qui se traite

La migraine : une maladie qui se traite La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

SOUTENANCE A CRETEIL UNIVERSITE PARIS EST CRETEIL FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ****************** ANNEE 2014 N THESE POUR LE DIPLOME D'ETAT

SOUTENANCE A CRETEIL UNIVERSITE PARIS EST CRETEIL FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ****************** ANNEE 2014 N THESE POUR LE DIPLOME D'ETAT 1 SOUTENANCE A CRETEIL UNIVERSITE PARIS EST CRETEIL FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ****************** ANNEE 2014 N THESE POUR LE DIPLOME D'ETAT DE DOCTEUR EN MEDECINE Discipline : Médecine Générale ------------

Plus en détail

LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE

LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance

Plus en détail

Madame, Monsieur, André GILLES, Député permanent chargé de l Enseignement et de la Formation.

Madame, Monsieur, André GILLES, Député permanent chargé de l Enseignement et de la Formation. Madame, Monsieur, La santé est un bien précieux que chacun doit absolument apprendre à gérer au mieux de ses intérêts. Elle doit être prise sous tous ses aspects, c est-à-dire, non seulement comme l absence

Plus en détail

Troubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble

Troubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Troubles de la vigilance au travail Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Sandrine Launois-Rollinat Patrick Lévy, Jean-Louis Pépin,

Plus en détail

Marseille 21 > 23. Novembre

Marseille 21 > 23. Novembre Marseille P a R C C H A N O T 21 > 23 Novembre 2013 PROGRAMME PROVISOIRE APPEL À COMMUNICATION INSCRIPTION Conférences plénières Le sommeil des animaux I. Tobler Syndrome d apnée : potentiel des biomarqueurs

Plus en détail

Avis 25 juin 2014. Renouvellement de l inscription sur la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux

Avis 25 juin 2014. Renouvellement de l inscription sur la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 25 juin 2014 HAVLANE, comprimé sécable Boîte de 20 (CIP : 34009 324 878 1 3) Laboratoire SANOFI AVENTIS France DCI Code ATC (2013) loprazolam N05CD11 (hypnotique - benzodiazépine)

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

LE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE

LE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE LE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE Avant d aborder le sujet de l amélioration du sommeil, permettez-moi de vous présenter quelques faits concernant le sommeil. Plusieurs études ont démontré qu on a besoin

Plus en détail

> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4

> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 2 SOMMAIRE > Présentation du programme... 3 > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 > L Équilibre, où en êtes-vous? : Prévenir les chutes et apprendre à se relever

Plus en détail

Orthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS

Orthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS rthèse Narval.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAS Traitement du SAS par orthèse Narval.R.M. Entre 19 et 27% 1-2 des patients apnéiques traités par pression positive continue

Plus en détail

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

dmt Sommeil et rythme de travail Tours, 29 janvier 2010 En résumé notes de congrès

dmt Sommeil et rythme de travail Tours, 29 janvier 2010 En résumé notes de congrès dmt TD notes de congrès 168 Sommeil et rythme de travail Tours, 29 janvier 2010 L Institut national de médecine agricole (INMA), situé à Tours, a organisé un colloque sur le thème «Sommeil et rythme de

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

En cause, un rythme biologique qui ne reçoit plus l'indicateur indispensable à sa bonne synchronisation : la lumière du jour.

En cause, un rythme biologique qui ne reçoit plus l'indicateur indispensable à sa bonne synchronisation : la lumière du jour. ORIGINES Saviez-vous que les astronautes séjournant à bord de la Station Spatiale Internationale voient le soleil se lever et se coucher toutes les 90 minutes? Oui. 16 fois par jour de quoi avoir du mal

Plus en détail

En quoi consistera ce jeu?

En quoi consistera ce jeu? 1 Projet Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté inter degré Création jeu par les élèves de l école du Gliesberg, de l école Martin Schongauer et du collège Hans Arp de Strasbourg Création d

Plus en détail

LE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE

LE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE LE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE Le sommeil est très important pour la croissance et le bon développement de l enfant. Toutefois, il arrive que certains bébés aient plus de mal à dormir que

Plus en détail

paris descartes le sommeil le 16 mars!

paris descartes le sommeil le 16 mars! de l université paris descartes LE SOMMEIL Qu est-ce que le sommeil? Sommeil et culture Les 10 règles du sommeil Bien dormir pour bien réussir La sieste au travail La journée du sommeil : le 16 mars! ÉDITO

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

The Dream by Henri Matisse Approche cognitive du sommeil et du rêve : Thérapie cognitivo-comportementale dans Les insomnies chroniques primaires

The Dream by Henri Matisse Approche cognitive du sommeil et du rêve : Thérapie cognitivo-comportementale dans Les insomnies chroniques primaires The Dream by Henri Matisse Approche cognitive du sommeil et du rêve : Thérapie cognitivo-comportementale dans Les insomnies chroniques primaires Université Victor Segalen Bordeaux 2 Laboratoire de physiologie

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Les effets nocifs du bruit sur l'homme

Les effets nocifs du bruit sur l'homme La santé n'est pas seulement l'absence de maladie mais un état de complet bien être physique, mental et social (OMS) Le bruit est un ensemble confus de sons non désirés (Littré) ou un ensemble de sons

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 27 avril 2011

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 27 avril 2011 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 27 avril 2011 Examen du dossier de la spécialité inscrite pour une durée limitée conformément au décret du 27 octobre 1999 (JO du 30 octobre 1999) et à l arrêté du 8

Plus en détail

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil TEXTE COURT DU RAPPORT D ÉVALUATION TECHNOLOGIQUE Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil Mai 2012 Service évaluation des

Plus en détail

LE Module 04 : SOMMEIL Module 04 :

LE Module 04 : SOMMEIL Module 04 : Module 04 : le sommeil Module 04 : le sommeil Ce module comprend les sections suivantes : Messages clés Problèmes de sommeil courants Les médicaments et le sommeil Conseils provenant de familles sur les

Plus en détail

A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg

A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de courte durée, vigilance et travail de nuit A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Séminaire 1 «Sommeil Normal» Coordination J Adrien / MF Vecchierini Lieu : Faculté de Bichat Amphithéâtre A1, Niveau 1, 16 Rue Henry Huchard Paris 18

Séminaire 1 «Sommeil Normal» Coordination J Adrien / MF Vecchierini Lieu : Faculté de Bichat Amphithéâtre A1, Niveau 1, 16 Rue Henry Huchard Paris 18 Séminaire 1 «Sommeil Normal» Coordination J Adrien / MF Vecchierini Lieu : Faculté de Bichat Amphithéâtre A1, Niveau 1, 16 Rue Henry Huchard Paris 18 Lundi 18 Octobre 2010 (Responsable MF Vecchierini )

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

Quand le stress nous rend malade

Quand le stress nous rend malade Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors

Plus en détail

Université Toulouse III Paul Sabatier. Faculté de Médecine THESE. Pour le diplôme de Docteur en Médecine Spécialité Médecine Générale

Université Toulouse III Paul Sabatier. Faculté de Médecine THESE. Pour le diplôme de Docteur en Médecine Spécialité Médecine Générale Université Toulouse III Paul Sabatier Faculté de Médecine Année 2013 2013 TOU3 1057 THESE Pour le diplôme de Docteur en Médecine Spécialité Médecine Générale Présentée et soutenue publiquement le mardi

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT

DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT Jacques Butel - Nadiat Donnat - Jeanne Forestier - Céliane Héliot - Anne Claire Rae Forum prévention des chutes 2010 DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT 1 Recueil données Formulaire de signalement

Plus en détail

Mieux informé sur la maladie de reflux

Mieux informé sur la maladie de reflux Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,

Plus en détail

La prise en charge d un trouble bipolaire

La prise en charge d un trouble bipolaire GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer

Plus en détail

MIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.

MIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique. MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques

Plus en détail

Groupe 1 somnovni 12/12/14

Groupe 1 somnovni 12/12/14 Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas

Plus en détail

Dossier de presse 10 ème Journée du Sommeil Vendredi 19 mars 2010

Dossier de presse 10 ème Journée du Sommeil Vendredi 19 mars 2010 Sous le patronage de Madame Roselyne Bachelot-Narquin, Ministre de la Santé et des Sports www.institut-sommeil-vigilance.org Sous le haut patronage de Monsieur Xavier Darcos, Ministre du Travail, des Relations

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

Guide SPLF à l usage des patients et de leur entourage. Tout ce que vous voulez savoir sur le syndrome d apnées du sommeil

Guide SPLF à l usage des patients et de leur entourage. Tout ce que vous voulez savoir sur le syndrome d apnées du sommeil Guide SPLF à l usage des patients et de leur entourage Tout ce que vous voulez savoir sur le syndrome d apnées du sommeil Tout ce que vous voulez savoir sur le syndrome d apnées du sommeil Préface L annonce

Plus en détail

Diplôme Inter-Universitaire des Services de Santé et de Secours Médical des Services Départementaux d Incendie et de Secours

Diplôme Inter-Universitaire des Services de Santé et de Secours Médical des Services Départementaux d Incendie et de Secours Diplôme Inter-Universitaire des Services de Santé et de Secours Médical des Services Départementaux d Incendie et de Secours Santé Publique Santé Travail Travail d Application Tutoré année 2010 Quatrième

Plus en détail

Fibrillation atriale chez le sujet âgé

Fibrillation atriale chez le sujet âgé Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque

Plus en détail

Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)

Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si

Plus en détail

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

INNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro

INNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE

PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE 1 PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE Le Centre Hospitalier de SOMAIN a achevé sa restructuration en 1999 avec la fermeture de plusieurs services actifs (maternité,

Plus en détail

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...

Plus en détail

Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques

Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques

Plus en détail

Troubles du sommeil, de l enfant et de l adulte (43) Marc Rey Juillet 2005 (mise à jour 2008/2009)

Troubles du sommeil, de l enfant et de l adulte (43) Marc Rey Juillet 2005 (mise à jour 2008/2009) Troubles du sommeil, de l enfant et de l adulte (43) Marc Rey Juillet 2005 (mise à jour 2008/2009) 1. Introduction Le sommeil est un comportement qui occupe 1/3 de notre temps et qui s inscrit dans un

Plus en détail

Journal de la migraine

Journal de la migraine Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur

Plus en détail

L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois

L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT

INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie

Plus en détail

Le sommeil Des milliards de neurones en activité

Le sommeil Des milliards de neurones en activité Paul Becquart, Journaliste Santé Le petit Site Santé www.lepetitsitesante.fr A la source de l'information Santé L'actualité de la Santé et de la Recherche médicale Le sommeil Des milliards de neurones

Plus en détail

La dépendance aux médicaments

La dépendance aux médicaments La dépendance aux médicaments 3 ème Forum Citoyen Espace Mendès-France 28 novembre 2013 Denis Richard Pharmacien Hôpital Henri-Laborit, Poitiers Qu est la dépendance? (1) «Perte de la liberté de s asbtenir»

Plus en détail

Psoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte

Psoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214

Plus en détail

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique. Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un

Plus en détail

Une forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux

Une forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux 27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL (SAOS) UN VRAI DANGER POUR LES CONDUCTEURS

SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL (SAOS) UN VRAI DANGER POUR LES CONDUCTEURS SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL (SAOS) UN VRAI DANGER POUR LES CONDUCTEURS de plusieurs nuits consécutives passées au domicile. Chez les sujets qui dorment six heures ou moins par nuit, la prévalence

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER

Plus en détail

RAPPELS PHYSIOLOGIQUES SUR LE SOMMEIL :

RAPPELS PHYSIOLOGIQUES SUR LE SOMMEIL : RAPPELS PHYSIOLOGIQUES SUR LE SOMMEIL : Notre besoin de sommeil est rythmé comme une horloge (rythme chronobiologique ). Ce rythme nous impose des périodes de veille et de sommeil qui alternent au cours

Plus en détail

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice

Plus en détail

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

«Promotion de la santé au travail : Sommeil & nutrition en lien avec le travail posté» Entreprise COCA-COLA MIDI SAS - Signes

«Promotion de la santé au travail : Sommeil & nutrition en lien avec le travail posté» Entreprise COCA-COLA MIDI SAS - Signes Sommeil & nutrition en lien avec le travail posté» Introduction Les troubles du sommeil et de la vigilance interviennent de façon importante dans le monde du travail et notamment dans le travail à horaires

Plus en détail

Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés

Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre

Plus en détail

admission directe du patient en UNV ou en USINV

admission directe du patient en UNV ou en USINV Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif

Plus en détail