LE PHARYNX, LE LARYNX
|
|
- Diane Bergeron
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dr Coulet OPH - ORL - Stomatologie LE PHARYNX, LE LARYNX I)Rappels anatomiques Diapositive N 2 et 3 II)Les pathologies de l oropharynx A)L angine 1)Définition = pathologie bénigne - Infections des amygdales - Aigues ou chroniques 2)Angines aigues a)les 5 grands types Angines érythémateuses, Angines érythémato-pultacées, Angines à fausses membranes, Angines ulcéreuses et ulcéro-nécrotiques, Angines vésiculeuses a1)angines érythémateuses (rouges) - Virales +++ (pharyngite, rhinite associée) 70-80% - Bactériennes: très rouges, très douloureuses, évolution longue, anomalies à la prise de sang - Fièvre importante, asthénie, adénopathies Test détection rapide - Recherche du steptocoque β hémolytique du groupe A = bactérie - Nécessite antibiotiques a2)erythémato-pultacées (blanches) - Bactériennes +++ Strept β hémolytique A Mais peuvent aussi être virales : test de détection rapide a3)angines pseudo-membraneuses (fausses membranes) - Attention : diphtérie Membranes adhérentes, grosse altération état général, Patient non vacciné, immigré - Mononucléose infectieuse
2 Membranes non adhérentes, adolescent (maladie du baiser), adénopathies, éruption cutanée, atteinte viscérale (foie, rate) a4)ulcéreuses et ulcéro-nécrotiques a4*)angine de Vincent - Unilatérale - Nécrotique - Amygdale souple - Germe particulier: fuso-spirillaire a5**)chancre syphilitique - Ulcération unilatérale, indolore, adénopathie associée (gros ganglion), amygdale indurée, population à risque MST a4***)ulcérations bilatérales - Leucémies, agranulocytoses (médicamenteuses) Virales - Herpangine - Primo-infection herpétique a5)angines vésiculeuses b)les complications de l angine aiguë b1)locales: Phlegmon peri-amygdalien - Abcès collecté autour de l amygdale o Voix nasonnée o Difficulté à ouvrir bouche (trismus) o Dysphagie +++ hypersialorrhée o Bombement pilier antérieur o Amygdale refoulée en arrière b2)générales /! \ - Septicémies - Rhumatisme articulaire aigu (polyarthrite,cardite) par réaction immunitaire au strepto A - Glomérulo-néphrite, insuffisance rénale d origine immunitaire liée au strepto A 3)L angine chronique = amygdalite chronique - Amygdales cryptiques, caséeuses (caséum = déchets) - Mauvaise haleine B)L amygdalectomie /! \ EXAMEN 1)Indications - Angines récidivantes : 5-6 par an - Obstruction des voies aériennes
3 - A distance phlegmon péri-amygdalien 2)L opération - Anesthésie générale - Ambulatoire possible (très encadrée, information+++) - Hospitalisation courte (24-48 h) - Douleurs +++ o Plus importantes chez les adultes o Traitement antalgique précoce (ne pas attendre que la douleur s installe) o Anti-inflammatoires (corticoïdes, anti-inflammatoires non stéroïdiens) o Suivi EVA +++ (Évaluation Visuelle Analogique) o Otalgie réflexe 3)Complications /! \ - Hémorragie +++ o Dans les 24 h o A la chute escarre (environ 1 semaine) o Plus fréquentes chez adulte o Peuvent nécessiter reprise chirurgicale o Information +++, attention chirurgie ambulatoire - Température 4)Soins IDE après l opération Principes éviter saignement, soulager douleur, ne pas irriter, donner fiche au patient : - J 0 aucune alimentation, sucer des glaçons l après midi - J 1 alimentation liquide, froide = lait, yaourt, crème sucrée, glace, sirop fruit eau glacée - J 2 J 3 alimentation molle, tiède ou froide = bouillies, laitages, tapioca, semoule, flan, jambon mixé, donner à boire fréquemment des boissons froides, non acides, non irritantes, pas de soda - J 4 J 10 texture normale, chocolat, lait sucré froid avec pain de mie, potage tiédi, purées, jambon, viande, poisson haché fin, riz, pâtes, petits suisses, yaourt, compotes de fruits - A partir J 10 alimentation normale 5)Informations /! \ EXAMEN - Risques de saignement - Rester au calme, pas d activités physiques, arrêt travail au moins 1 semaine voire 2 - Douleurs o Otalgies réflexes - Enduit blanchâtre pendant 8-10 j - Ne pas paniquer si s alimente mal, insister sur hydratation III)Les pathologies du rhinopharynx (cavum) - Chez l enfant : hypertrophie végétations adénoïdes o Pathologie du petit enfant (< 6 ans) o Nez bouché, respiration buccale, ronflements, rhinites à répétition o Otites par obstruction de l orifice de la trompe eustache
4 A)Recherche hypertrophie adénoïdienne - Examen : remontant le voile, miroir, fibroscopie, au toucher digital - Radiographies du cavum de profil B)Indication adénoïdectomie - Otite séreuse persistante (au moins supérieur mois) - Importante gêne respiratoire (ronflements, respiration buccale) - Souvent associée (aérateurs trans tympaniques, amygdalectomie) C)Suite - En général très simple - Éviction scolaire 1 3 jours - Ronfle encore quelques temps après en raison œdème (prévenir parents) IV)Les pathologies de l hypopharynx Diapositives N 31 - Manifestations du reflux gastro oesophagien o Irritations de gorge o Brûlures o Toux chronique o Infections à répétition V)Les pathologies du larynx A)Laryngites - Traumatiques - Allergiques o Œdème de Quincke (traitement : adrénaline) - Infectieuses o Peuvent être impressionnantes chez le petit enfant par la dyspnée laryngée (gêne et tirage à l inspiration) o Forme très particulière et grave = épiglottite (= abcès de l épiglotte) Enfant ne peut avaler salive, bave, fièvre +++, position assise. Ne pas allonger enfant, ni regarder avec l abaisse langue B)Tumeurs - Bénignes o Nodules o Kystes o Polypes des cordes vocales
5 C)Traumatismes 1)Les différentes traumatismes - Traumatismes fermés o Étranglements, pendaisons o Chocs directs (sport, coup de pieds, accidents de voiture) - Traumatismes ouverts o Plaies du cou Plaies par arme blanche Plaies par balle 2)Les risques - Respiratoires +++, peuvent apparaître secondairement - Lésions associées : o Hémorragiques: vaisseaux si plaie o Neurologiques: rachis 3)Les signes cliniques (1 ou plusieurs) - Dyspnée - Dysphagie - Dysphonie - Emphysème sous cutané (traumatisme fermé), plaie soufflante - Douleurs spontanées, au toucher, à la déglutition (odynophagie = douleur à la déglutition) 4)Bilan - Nasofibroscopie : contrôler anatomie et mobilité du larynx - Scanner pour rechercher des fractures cartilagineuses 5)Traitement???????????????? - Grave : détresse respiratoire ou lésions importantes o Trachéotomie o Chirurgie : calibrage, réparation - Pas grave : o Surveillance o Traitement médical : antalgiques, anti-inflammatoires - Toute plaie perforante est explorée chirurgicalement VI)Cancers des VADS A)Généralités Diapositives N 45 à 49 - Cavité buccale - Fosses nasales 1)Les cavités aériennes et digestives touchées
6 - Sinus - Pharynx - Larynx - Bouche œsophagienne 2)Cancers des VADS en France (examen) - Problème de santé publique o En Europe la France est le pays avec taux d incidence le plus élevé (hommes et femmes) - Même si diminution incidence depuis ème cancer chez l homme o (16855 nouveaux cas par an) - 5 ème cause de mortalité masculine o 6309 décès par an 3)Il faut savoir : - Distinguer les cancers des fosses nasales, sinus et rhinopharynx - Cancers cavité buccale, oropharynx, hypopharynx, larynx et bouche œsophagienne B)Les cancers des sinus - Retenir adénocarcinome (= cancer des glandes nasales) de l ethmoïde o Cancer rare o Travailleurs du bois (maladie professionnelle) o Obstruction nasale, saignements de nez, douleurs o Extension vers la base du crâne C)Pathologie rhinopharynx (cavum) - Chez l adulte : (en fait à tout âge) cancer du cavum = carcinome indifférencié (cela pousse très vite, réagit bien à la chimiothérapie) du rhinopharynx o Plus particulièrement patient d Asie du Sud est et du Maghreb o Pas de lien avec tabac et alcool o Infection virale constante associé virus Epstein Barr (virus de la mononucléose infectieuse) - Signes cliniques : o Cou : Adénopathies cervicales (ganglions) car souvent diagnostic tardif o Oreille : surdité unilatérale o Nez : Obstruction nasale, épistaxis o Nerfs : douleurs (névralgies, atteintes nerfs crâniens) D)Cancers cavité buccale, oropharynx, hypopharynx, larynx et bouche oesophagienne - Cancers épidermoïdes - Facteurs de risque : tabac et alcool Signes d alerte /! \ EXAMEN o Les 4 «D» : douleur, dysphagie, dyspnée, dysphonie o Amaigrissement o Adénopathie cervicale o Attention: otalgie réflexe +++, odynophagie
7 - Penser au cancer d autant qu il s agit d un patient d âge mûr (> 50 ans), alcoolo-tabagique, apparition des signes depuis + de 3 semaines 1)Cancers cavité buccale - Lésion ulcérée ou bourgeonnante. - Douleurs lors de l alimentation et à la traction de la langue 2)Cancers de l oropharynx - Attention aux lésions amygdaliennes unilatérales chroniques (3 > semaines) = cancer - Odynophagie (douleur mangeant) - Otalgie réflexe Adénopathies cervicales Diapositive N 63 3)Cancers de l hypopharynx (sinus piriforme) - Odynophagie (douleur mangeant) - Dysphagie (gêne pour avaler) - Dysphonie (gêne pour parler) - Otalgie réflexe Adénopathies cervicales 4)Cancers de larynx Fumeurs Atteinte des cordes vocales - La tumeur du larynx peut être étendue - Dysphonie - Dyspnée au stade évolué VII)Bilan d extension Pour les cancers - Extension locale - Régionale (ganglions) - Général: métastases pulmonaires, hépatiques, cérébrales, osseuses, autres - Mais aussi chercher d autres cancers simultanés avec les mêmes facteurs de risques (cancers synchrones) o VADS, poumon, vessie - A la fin du bilan il y a une classification TNM (examen) o T = tumeur I, II, III, IV (x si non classable) o N = ganglions I, II (a,b,c), III (x si non classable) o M = métastases 0 ou 1 (x si non classable) - Extension locale tumeur: endoscopie sous anesthésie générale plus biopsies pour examen anatomopathologique
8 - Fibroscopie bronchique et œsogastrique (recherche de lésions synchrones) - Scanner cervical parfois IRM (tumeur et adénopathies) et thoracique (métastases) - Échographie hépatique ou scanner (métastases) - PET scanner selon les cas VIII)Annonce et décision thérapeutique - Dispositif d annonce du diagnostic o 2 consultations médicales annonce et proposition thérapeutique o 1 consultation paramédicale par infirmière de soins formée - Décision en réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) : o Chirurgien ORL o Radiothérapeute o Chimiothérapeute Discussion de la stratégie la plus adaptée en fonction extension locale, régionale (adénopathies) et générale (métastases), état général du patient et de son âge IX)Moyens thérapeutiques curatifs - Chirurgie, Radiothérapie, Chimiothérapie - Souvent associés A)Radiothérapie externe 1)Principe - Les cellules tumorales plus sensibles que les cellules saines qui vont récupérer, brûlure par rayons X 2)Indications - Après la chirurgie - En traitement seul pour les lésions très limitées (externe ou curithérapie) - En association avec la chimiothérapie 3)Pendant le traitement - Brûlures peau (crème) - Brûlures muqueuses = mucites (bains de bouche, coca cola) - Mycoses 4)Séquelles - Sécheresse bouche (atrophie des glandes salivaires) - Œdèmes - Radionécroses (cartilages, mandibule) 5)Avant le traitement - Nécessite calculs dose et volume irradié (centrage) par le radiothérapeute - Remise en état buccodentaire (à cause asialie avec risque caries accru) - Nécessite calculs dose et volume irradié (centrage) par le radiothérapeute - Délivrance 2 gray par séance, 1 séance par jour, 5 j sur 7, 10 gray par semaine - Sur tumeur 70 Gy (7 semaines)
9 - Sur les aires ganglionnaires 50 Gy B)Chimiothérapie 1)Principe Produit utilisé par voie veineuse qui va enrayer la division cellulaire en bloquant certaines étapes (synthèse de l ADN, de l ARN, synthèse protéines) 2)Effets secondaires S attaquent aux cellules de l organisme en division : chute cheveux, diminution des cellules sanguines, effets digestifs par destruction des cellules digestives 3)Indications - Améliorer la tolérance : injections par cures ou continues par pompes - Pour les cancers des VADS la chimiothérapie ne peut guérir à elle seule le cancer - Association avec radiothérapie (sensibilise cellules aux rayons) - À visée palliative 4)Chimiorésistance - Cellules cancéreuses développent des mécanismes de défenses face à la chimiothérapie - Implique changement de molécule - Produits utilisés o Cysplatyl 5FU = le standard o Taxotère = souvent 2 ème ligne - Erbitux o Anticorps spécifique des cellules tumorales épidermiques - Mise en place d un site implantable - Attention insuffisance rénale (cyspaltyl) - Attention insuffisance cardiaque 5 FU - Effets en ORL : o Mucite : destruction des cellules muqueuses, brûlures en mangeant, nausées, mycoses, infections locales, faire des bains de bouche o Toxicité cutanée erbitux o Traitement de la douleur (recours facile à la morphine) o Mise en place d une gastrostomie pour faciliter l alimentation o Soutien psychologique C)Moyens thérapeutiques adjuvants - Traitement de la douleur (recours facile à la morphine) - Mise en place d une gastrostomie pour faciliter l alimentation - Soutien psychologique D)Chirurgie - Principe : enlever toute la tumeur et les ganglions (curage ganglionnaire)
10 - Résécabilité : la tumeur peut elle être enlevée avec des marges satisfaisantes? - Opérabilité : état général du patient, séquelles prévisibles - Notion d atteinte fonctionnelle: phonation, déglutition, respiration - Rançon esthétique 1)Traitement des aires ganglionnaires - Enlever les métastases présentes - À visée préventive - C est le curage ganglionnaire Diapositives N 85 & 86 2)Chirurgie de la tumeur - Exérèse : o Langue: glossectomie o Oropharynx: bucco-pharyngectomie o Larynx: laryngectomie o Hypopharynx: pharyngo-laryngectomie - Reconstruction : o Utilisation de lambeaux musculaires ou musculocutanés pour fermer perte de substance 3)Laryngectomie totale - Laryngectomie totale si tumeur évoluée, suppression du carrefour aérodigestif - Abouchement total et définitif de la trachée à la peau = trachéostomie à ne pas confondre avec trachéotomie - Dans la trachéostomie on sépare définitivement l axe respiratoire de l axe digestif - Mise en place d une sonde nasogastrique 10 à 15 j pour permettre cicatrisation hypopharynx - Car sinon risque pharyngostome (salive coule par la peau) SOINS /! \ - Réfection pansement pendant env 8 j - Alimentation: sonde nasogastrique 10 à 15 j - Antibiotiques et corticoïdes - Soins de trachéostomie : o Aérosols et humidification (éviter bouchons) o Nettoyage canule et aspirations o Retrait canule 3 mois puis nez artificiel = filtre - Réeducation orthophonique 4)Laryngectomies partielles - Si tumeur limitée laryngectomie partielle qui consiste à enlever la zone tumorale o Corde vocale, 2 cordes vocales, épiglotte, aryténoïde, moitié du larynx En conservant les fonctions du larynx = chirurgie fonctionnelle (déglutition, phonation, respiration) - Avantages suites simples : pas de trachéotomie, ni sonde nasogastrique
11 - On enlève la zone tumorale et on reconstruit en suturant les cartilages et l os hyoïde restant (suture = pexie) - Au cours de la chirurgie: trachéotomie temporaire (5 à 7 j) est réalisée - Mise en place d une sonde nasogastrique 15 j à 1 mois - Laryngectomie frontale antérieure reconstructive (Tucker) - CHEP : crico-hyo-epiglottopexie (Majer Piquet) - CHP : crico-hyopexie (Labayle) - Laryngectomie sus glottique SOINS /! \ - Réfection pansement pendant env 8 j - Alimentation: o Gastrotomie ou sonde naso gastrique o Reprise alimentation après contrôle radio (recherche fausses routes) 15 j à 3 semaines - Antibiotiques et corticoïdes - Soins de trachéotomie: o Aérosols et humidification (éviter bouchons) o Nettoyage canule et aspirations o Retrait canule 8 à 10j - Orthophonie Réhabilitation vocale : - Laryngectomie partielle o Rééducation orthophonique pour améliorer la voix et la déglutition o Laryngectomie totale o Pas de problème en règle de déglutition sauf rétrécissement (sténose) o Orthophonie - Voix oesophagienne = parler en rotant - Voix à l aide d un implant phonatoire - Laryngophone
OTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer
OTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer IFSI Croix Rouge Dr Coulet Olivier Service ORL et chirurgie cervico-faciale Hôpital Laveran Cavité buccale / oropharynx Rappel anatomique rhinopharynx oropharynx
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailLes cancers des voies aérodigestives supérieures
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers des voies aérodigestives supérieures
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Janvier 2009 LES CANCERS DES VOIES AÉRODIGESTIVES
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE VOTRE TRAITEMENT. LA RADIOTHÉRAPIE DES CANCERS DES Voies Aéro-Digestives Supérieures
FICHES INFO THERAPIE MIEUX COMPRENDRE VOTRE TRAITEMENT LA RADIOTHÉRAPIE DES CANCERS DES Voies Aéro-Digestives Supérieures Ce document a été élaboré par les membres du bureau de la SFjRO avec l'aide de
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailItem 145. Tumeurs de la cavité buccale et des voies aérodigestives. Objectifs pédagogiques
Item 145. Tumeurs de la cavité buccale et des voies aérodigestives supérieures. I. EPIDEMIOLOGIE II. TRAITEMENT III. DIAGNOSTIC ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE IV. SUIVI POST-THERAPEUTIQUE V. PREVENTION VI.
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLe protecteur buccal : tout à fait génial!
Le scellement des puits et fissures : bien sûr! Les crevasses des surfaces masticatrices emprisonnent facilement les débris d aliments et les bactéries, favorisant ainsi la carie. Dès que les premières
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailPOLYCOPIES DES COURS d ORL Faculté de médecine d Angers
POLYCOPIES DES COURS d ORL Faculté de médecine d Angers Pr Laccourreye 2 INTRODUCTION La réforme du 2 e cycle des études médicales a provoqué un «éclatement» de l enseignement de l otorhinolaryngologie.
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailTraitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale
Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailhttp://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com
HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détaille traitement de la douleur
le traitement de la douleur Chère patiente, cher patient Vous allez bientôt être admis dans l un des hôpitaux de jour de l az groeninge en vue d un traitement de la douleur. Dans cette brochure, vous trouverez
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailComment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?
Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailLes gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.
Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...4 SPECIFIQUE :...4 I Physiopathologie...5 II Sémiologie...5 II.1 Symptômes observés au cours
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailVous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire.
Vous voulez vous libérer du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Bénéfices de l abandon du tabac pour la santé buccodentaire Les effets néfastes du tabagisme sur la santé buccodentaire
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailL AMYGDALECTOMIE. Chirurgie d un jour Programme-clientèle santé de la femme et de l enfant. Pour vous, pour la vie
23 L AMYGDALECTOMIE Chirurgie d un jour Programme-clientèle santé de la femme et de l enfant Pour vous, pour la vie L amygdalectomie Cette brochure vous aidera à comprendre ce qu est l amygdalectomie L
Plus en détailUNIVERSITE DE PARIS ANNEE UNIVERSITAIRE 2006-2007 MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DU DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE
UNIVERSITE DE PARIS ANNEE UNIVERSITAIRE 2006-2007 MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DU DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE Création d un site Internet pédagogique à l usage des étudiants de DCEM2
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailCancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic
Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par
Plus en détailComprendre la chimiothérapie
Comprendre la chimiothérapie Réédition actualisée 2008 c o l l e c t i o n Guides d information Le déroulement d une chimiothérapie Son action Ses aspects pratiques Ses effets secondaires La surveillance
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailLa maladie de Wegener La granulomatose de Wegener
La granulomatose de Wegener La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailDÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :
Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique
Plus en détailLa maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée
Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailL hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée
L hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée Un constat En France Si les Français déclarent user 1,5 6 brosses à 4,4 dents et 22 tubes de dentifrice par an, Journée CCLIN Paris Nord ARELIN NPC 10
Plus en détailUNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailRhume ou grippe? Pas d antibiotiques!
Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détail04/07/2011. Effet anti-inflammatoire, inflammatoire, anti-tumoral tumoral et
Identifier et gérer les «urgences» en oncologie-radiothérapie Dr Floriane TOUDIC-EMILY Clinique Armoricaine, St BRIEUC 17/03/2011 Plan Les effets aigus des traitements Les douleurs Les syndromes hémorragiques
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détailRégimes pathologies de l œsophage
Régimes pathologies de l œsophage I) Le reflux gastro-oesophagien (RGO) Définition On appelle RGO la remontée anormale et répétée du contenu gastrique dans l œsophage en dehors des efforts de vomissements
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailItem 262 : Migraine et algie de la face
Item 262 : Migraine et algie de la face Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières * Introduction... 1 1 Classification des céphalées (International Headache Society,
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailDossier Administratif du Patient
Handident Franche-Comté CHBM - service ORL (Docteur LEGER) Cadre réservé Handident FC N adhérent au réseau Handident FC 2, rue du Docteur Flamand 25209 MONTBELIARD Cedex Dossier Administratif du Patient
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détail