Paru dans les Actes du 1 er Colloque International de Didactique cognitive,toulouse

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Paru dans les Actes du 1 er Colloque International de Didactique cognitive,toulouse - 2005"

Transcription

1 Paru dans les Actes du 1 er Colloque International de Didactique cognitive,toulouse Modèle d enseignement/apprentissage de la L2 et processus cognitifs Claude Germain, Université du Québec à Montréal (UQAM), germain.claude@uqam.ca Joan Netten, Faculty of Education, Memorial University of Newfoundland (MUN), joan.netten@sympatico.ca En 1998, nous avons commencé à expérimenter un nouveau type de régime pédagogique, le français intensif, dans quatre classes de 6 e année (élèves de 11 ans), dans la province de Terre-Neuveet-Labrador (Netten et Germain, 2004). Par la suite, le français intensif a connu une rapide expansion au Canada de sorte que, depuis cette date, près de élèves anglophones canadiens ont appris le français langue seconde (FL2) dans le cadre de ce régime. Or, dès les débuts, nous avons entrepris un certain nombre de recherches, à la fois théoriques et empiriques, portant sur différentes dimensions du français intensif. Lors de la conception de ce régime pédagogique, nous avons mis au point un modèle d enseignement/apprentissage de la communication en classe de L2, centré en particulier sur les concepts d intensité et de processus cognitifs (Voir Annexe). Au cours de la présente communication, dans le cadre de ce 1 er Colloque International de Didactique Cognitive, nous aimerions nous attarder à la partie du modèle qui porte sur le développement des processus cognitifs dans l apprentissage intensif d une L2. 1 Rapports entre langage et cognition Cela soulève toute la question des relations complexes entre langage et cognition, ce qui nous ramène au célèbre débat de Royaumont (Piatelli-Palmarini, 1979) entre Piaget et Chomsky. Pour Piaget (1967), contrairement à ce qu affirme Chomsky (1965), le langage et la cognition reposeraient sur des bases communes et le développement du langage se déroulerait à l intérieur d un cadre cognitif général et non spécifique. La position de Chomsky, qui va à l encontre d une approche transdisciplinaire en milieu scolaire, est qu apprentissage du langage et apprentissage en général reposent sur des théories distinctes. Chez Piaget, apprentissage du langage et apprentissage en général vont de pair : les deux reposeraient sur une théorie unitaire et générale. S il faut aborder la question de la spécificité ou non du langage, par rapport au développement de la cognition, c est que certaines recherches empiriques donnent raison à Chomsky, alors que d autres donnent plutôt raison à Piaget. Dans les circonstances, nous croyons préférable de recourir à la position de compromis de Karmiloff-Smith (1992) qui propose que, même si le langage, à ses débuts, est quelque chose de spécifique et d unique (comme le soutient Chomsky), avec le temps, la faculté de langage et les autres facultés humaines deviennent semblables (comme le soutient Piaget). C est ce qui fait que nous avons choisi de recourir ici à des concepts généraux de l apprentissage, de manière à rendre compte non seulement de l apprentissage des langues mais également de l apprentissage des matières scolaires. 2 Définitions Nous considérons qu au moment où il acquiert la L1 (langue première ou maternelle), en l utilisant, l enfant développe un ensemble de processus cognitifs nécessaires à son fonctionnement intellectuel. Par «processus cognitifs», nous entendons : faire une hypothèse, résoudre un problème, analyser, généraliser, séquencer, faire des relations logiques, etc. Nous recourrons au terme «acquisition» (dans un sens très général) pour faire référence à la L1 chez l enfant et au terme «développement» pour faire plutôt référence aux processus cognitifs sous-jacents à cette acquisition. L acquisition d une L2 (langue seconde ou étrangère) en milieu scolaire sera désignée à l aide du terme «apprentissage». Toutefois, il nous faut faire la distinction entre la langue considérée 1

2 comme un «objet d étude» ou comme un savoir, et la langue considérée comme un «moyen de communication» ou comme une habileté. Dans le premier cas, il s agit de l apprentissage de la langue en recourant à des règles (générales) qui sont appliquées à des cas particuliers; nous désignerons ce phénomène comme «l apprentissage-étude». Dans le second cas, il s agit de l apprentissage de la langue par l utilisation de cette langue : tout comme on apprend à nager en nageant, on apprend à parler en parlant; nous désignerons ce phénomène comme «l apprentissage-utilisation». Nous n aborderons ici que cette seconde conception de la langue (un moyen de communication), associée à cette façon d apprendre (son utilisation), telle que reflétée dans notre modèle d enseignement/ apprentissage intensif de la L2. 3 Processus cognitifs et rapports entre L1 et L2 Lors de l apprentissage-utilisation d une L2 en milieu scolaire, nous émettons l hypothèse que deux sortes de mécanismes peuvent entrer en jeu. D une part, l élève peut faire appel aux processus cognitifs déjà développés lors de l acquisition de la L1, c est-à-dire qu il applique en quelque sorte à la L2 (car il ne s agit pas à proprement parler d un transfert) des processus cognitifs initialement et minimalement développés en L1 ; d autre part, il peut accentuer le développement des processus cognitifs de L1. La simple application à la L2 des processus cognitifs déjà développés en L1 (ou même, encore en développement), ou l accentuation de leur développement, dépend du degré de simplicité ou de complexité de la tâche langagière et/ou de la tâche pédagogique. Par exemple, lorsque l apprentissage de la L2 se réduit à des formules stéréotypées apprises par cœurs (du type Quel temps fait-il? Il fait beau), on peut considérer qu il s agit d une tâche langagière relativement simpliste, qui ne paraît pas susceptible de contribuer au développement des processus cognitifs. Tel est également le cas lorsque la tâche pédagogique proposée à l élève est relativement simpliste, du type Vrai/Faux. Dans ces deux types de tâches (langagière ou pédagogique), on peut supposer que la tâche demandée à l élève n est pas très exigeante cognitivement : il ne s agit pour l élève que d appliquer à la L2 les processus cognitifs sous-jacents qui sont déjà développés ou qui sont en développement dans la L1. Par contre, la tâche peut être relativement complexe. Tel est le cas, par exemple, d une structure langagière comme Il traverse la rivière à la nage, comparativement à He swims across the river : dans ce cas, en français, la manière dont est exprimée l action (à la nage) se place en fin de phrase et l objet (la rivière) suit immédiatement le verbe (traverse), alors qu en anglais, la manière précède l action (he swims across) et l objet vient en fin de phrase. Cognitivement, ce type d énoncé est vraisemblablement plus exigeant qu un énoncé du type C est une table (calqué sur This is a table), ou Je vais regarder la télé ce soir (pratiquement calqué sur I will watch TV tonight). Il en va de même dans le cas de la tâche pédagogique : plus celle-ci est complexe, meilleurs sont les chances qu il y ait développement ou accentuation du développement des processus cognitifs sous-jacents, plutôt que simple application à la L2 des processus de la L1 (par exemple, faites un sondage dans la classe sur la musique préférée des élèves et illustrez à l aide d un graphique). L accentuation du développement des processus cognitifs paraît donc pouvoir être formulée en terme de degré. Ainsi, comme l acquisition de la L1 paraît s accompagner du développement de tous les types de processus cognitifs, à des degrés divers (analyse, synthèse, séquence, etc.), la contribution de la L2 au développement des processus cognitifs ne peut pas consister à développer des «nouveaux» types de processus cognitifs. L apprentissage-utilisation de la L2 ne peut que «accentuer» le développement de certains plutôt que d autres, selon la complexité de la tâche, langagière ou pédagogique, proposée. En ce sens, sur le plan cognitif, l apprentissage-utilisation de la L2 consiste donc, soit à «appliquer» des processus déjà développés en L1 (ou en développement), soit à «accentuer» le développement de tel ou tel processus cognitif déjà présent chez l élève, selon le degré de complexité de la tâche langagière et/ou de la tâche pédagogique. Dans le cas de l apprentissageétude, c est vraisemblablement le développement d autres processus cognitifs qui est accentué (comme la mémorisation). C est en ce sens que nous interprétons l hypothèse de l interdépendance des langues de Cummins (1979 ; 2001) : certains processus cognitifs de la L1 sont appliqués à la L2 ou, inversement, le développement de certains processus cognitifs est accentué, grâce à la L2. Toutefois, la distinction de Cummins entre BICS (Basic interpersonal communicative skills) et CALP (cognitive/academic language proficiency) ne nous paraît pas fondée. En effet, hormis l emploi de quelques formules toutes 2

3 faites ou phrases stéréotypées (comme Comment t appelles-tu?, Quel est ton numéro de téléphone? Quel temps fait-il?, etc.), la plupart des énoncés de la conversation spontanée courante requièrent une certaine activité cognitive de la part de l élève. Tel est le cas, par exemple, d une discussion orale sur les espèces en voie d extinction, sur un problème de pollution environnemental, etc. Autrement dit, même dans le cas de l apprentissage-utilisation de structures langagières de la langue orale, tout porte à croire qu un développement cognitif puisse se produire si, d une part, la langue à produire est relativement complexe comparativement à son équivalent dans la L1 de l élève ou si, d autre part, la tâche pédagogique demandée est relativement complexe. L apprentissage de la langue orale paraît donc avoir des fondements cognitifs, contrairement à ce que laisse entendre la distinction de Cummins entre BICS et CALP. À notre avis, même une conversation orale spontanée courante nécessite souvent des tâches cognitives et des habiletés de haut niveau qui ne sont pas spécifiques au langage scolaire ou scientifique. 4 Processus cognitifs sous-jacents communs aux matières scolaires et rapports avec L1 et L2 Dans cette perspective, nous émettons l hypothèse d une interdépendance entre les processus cognitifs de L1 L2 et ceux des matières scolaires. L apprentissage des diverses matières scolaires, comme les mathématiques, les sciences, les sciences humaines, l éducation à la santé, etc. se fait, soit en «appliquant» tout simplement certains processus cognitifs initialement et minimalement développés en L1 et, le cas échéant, en L2, soit en «accentuant» le développement de certains processus cognitifs, tout dépendant de l exigence de la tâche proposée à l élève.. On peut supposer qu il n y a aucun processus cognitif «spécifique» relié à telle ou telle matière scolaire, dans la mesure où l acquisition de la L1 assure déjà un développement initial et minimal de l ensemble des processus cognitifs nécessaires au fonctionnement intellectuel de l individu. En ce sens, la contribution d une matière scolaire paraît être semblable à la contribution de l apprentissage de la L2 : soit appliquer des processus cognitifs déjà présents, soit accentuer le développement de certains en particulier. Par exemple, les mathématiques paraissent contribuer avant tout à accentuer le développement de la résolution de problèmes; les sciences, le développement de la formulation et de la vérification d hypothèses; les sciences humaines, le développement des facultés d analyse et de synthèse ainsi que de la séquence chronologique; et ainsi de suite avec les autres matières scolaires. C est ce qui pourrait expliquer le fait que, sans un développement initial ou minimal par le biais de la L1, la réussite dans les matières paraît compromise. Autrement dit, à l encontre du cloisonnement des matières en milieu scolaire, nous croyons plutôt en l existence d un ensemble de processus cognitifs sous-jacents, communs aux langues et à différentes matières. Comme le faisait déjà remarquer Vigotsky dans les années trente : Le processus scolaire a son enchaînement, sa logique, son organisation complexe Le développement intellectuel de l enfant n est pas compartimenté et ne s opère pas selon le système des disciplines scolaires Les différentes matières ont pour une part une base psychique commune (Vigotsky, Pensée et langage, 1985, ). Telle est la conception qui a servi de fondement à notre vision unitaire du développement cognitif dans le cadre de notre modèle d enseignement/apprentissage intensif de la L2. L une des caractéristiques de ce modèle est de miser sur le fait que l apprentissage-utilisation intensif de la L2 permet à la L2 de jouer en partie le rôle des différentes matières, du point de vue des processus cognitifs. En effet, l apprentissage-utilisation intensif de la L2 permet d accentuer le développement de processus cognitifs comme : - faire une hypothèse (Quel âge as-tu? Je suis onze ans, au lieu de J ai onze ans) - résoudre un problème (La maison où le train arrive, au lieu de la gare) - généraliser (Un petit ballon Une voiture rouge sur le modèle de Un gros cadeau Un chandail jaune comparativement à l adjectif en anglais, qui précède toujours le nom) Pour résumer, on peut dire que la L1 contribue au développement de l ensemble des processus cognitifs de base, nécessaires au développement minimal de l individu, alors que les diverses matières scolaires (y compris la L2) peuvent, soit appliquer l un ou l autre de ces processus, soit accentuer le développement de tel ou tel processus cognitif (comme la résolution de problèmes, l inférence, etc.), selon les caractéristiques de chacune des matières. C est ce qui rend possible et légitimise, à notre avis, le recours à une approche transdisciplinaire dans l enseignement/apprentissage de la L2 (Netten et Germain, 2000) 3

4 Toutefois, pareille conception ne doit pas laisser croire que seul le développement du langage (L1 et/ou L2) importe pour le développement des processus cognitifs de l élève. S il faut, malgré tout, tolérer un certain cloisonnement des matières, c est que chacune peut accentuer, tel que mentionné cidessus, le développement de certains processus cognitifs plutôt que d autres, tout en se référant à des contenus particuliers les «savoirs» spécifiques associés à chaque matière. 5 Implications pédagogiques : la compression des matières Nous avons donc misé sur cette vision transdisciplinaire de l apprentissage des langues en réduisant de moitié, au cours d une année scolaire, le temps consacré à l apprentissage de la L1 et des autres matières afin de récupérer ce temps au profit de l apprentissage de la L2. C est ainsi que nous avons procédé à la «compression» de la L1 (en l occurrence, l anglais) et de certaines matières (comme les sciences, les sciences humaines, l éducation à la santé, le développement personnel sauf les mathématiques, pour des raisons d un autre ordre). Concrètement, au cours des cinq premiers mois d une année scolaire (en 5 e ou en 6 e année, selon les cas élèves âgés de 10 ou de 11 ans), les classes de français intensif peuvent consacrer environ 75% du temps à l apprentissage français, l autre 25% du temps étant consacré à l apprentissage des mathématiques, de la musique et des arts plastiques. L enseignement des matières comprimées ne débute qu au sixième mois : elles sont ainsi réduites de 50%. Habituellement, dans ces classes, on ne consacre au français qu une centaine d heures par année, réparties dans de courtes périodes quotidiennes de 40 minutes. Grâce à la compression de certaines matières, entre 300 et 350 heures environ peuvent être consacrées à l apprentissage du FL2, au cours d une même année scolaire. 6 Quelques données empiriques Ainsi, en se consacrant presque exclusivement à l apprentissage intensif de la L2 en tant que moyen de communication durant les cinq premiers mois de l année scolaire, les élèves arrivent à pouvoir communiquer avec une certaine spontanéité, tant à l oral qu à l écrit (Netten et Germain, 2004). Toutefois, afin de vérifier le bien-fondé des hypothèses qui précèdent, il a fallu tester non seulement la performance des élèves en L2, mais également dans l apprentissage de quelques matières. Il fallait nous assurer que l apprentissage de la L2 ne se ferait pas au détriment de l apprentissage des matières. À cette fin, nous avons encouragé les ministères de l Éducation des premières provinces intéressées au français intensif à tester les élèves en question. Dans un cas, tous les élèves de la province, en 6 e année, ont subi un test dans la L1 et en mathématiques. Il ressort des données obtenues d un conseil scolaire (Tableau 1) que toutes les classes qui ont participé au régime pédagogique du français intensif ont obtenu des résultats supérieurs, statistiquement significatifs, aux autres élèves du même conseil scolaire dans toutes les dimensions testées (informative, narrative, etc.) de la L1, l anglais, même si le temps consacré à l apprentissage de cette matière a été réduit de 50%. Il en va de même des résultats obtenus en mathématiques, même si cette matière n a pas été comprimée. Toutefois, il convient de faire remarquer que les élèves des 7 classes de français intensif ont été «sélectionnés», en ce sens qu il s agissait d un choix de la part des parents qui avaient cependant délibérément choisi, plusieurs années plus tôt, de ne pas inscrire leur enfant dans des classes d immersion précoce (débutant à l âge de 6 ans, en 1 re année); les classes de français intensif comprenaient, malgré tout, des élèves ayant des aptitudes et des habiletés très variées. Un type semblable de test a été administré à tous les élèves d une autre province à la fin de la 5 e année (âgés de 10 ans environ), car c est à ce niveau scolaire que s est déroulée, dans cette province, notre expérience de français intensif. Les tests ont alors porté sur la L1, l anglais, ainsi que sur les mathématiques et les sciences (Tableau 2). Là également, les élèves des quatre classes de français intensif, qui présentaient une grande variété d aptitudes et d habiletés, avaient été «sélectionnées» en ce sens qu il s agissait d un choix de la part des parents. 7 Conclusion Notre modèle d enseignement/apprentissage intensif de la L2 repose avant tout sur un certain nombre d hypothèses portant sur le développement interdépendant des processus cognitifs en L1, en L2 et dans les diverses matières scolaires. Tout porte à croire que l apprentissage-utilisation d une L2 en milieu scolaire repose sur deux types de mécanismes : une application des processus cognitifs 4

5 initialement et minimalement développés en L1 et une accentuation de certains de ces processus, selon la complexité de la tâche langagière et/ou de la tâche pédagogique proposée à l élève. Il en résulte une vision unitaire du développement cognitif, dans le cadre d une approche transdisciplinaire. Pratiquement, nos recherches empiriques révèlent que le fait de réduire de moitié le nombre d heures consacrées à certaines matières scolaires ne se fait pas au détriment de l apprentissage de ces matières. Il ne semble pas, en tout cas, que l apprentissage d une L2 nuise au développement cognitif de l élève. Bien au contraire : l apprentissage intensif d une L2 paraît jouer, dans ce développement, un rôle vraisemblablement plus grand que ce que l on pouvait soupçonner jusqu ici Anglais Fr. intensif (N=205) Maths Non intensif (N=319) Tableau 1 Prov. A : résultats en anglais et en mathématiques, fin de 6 e année, élèves ~ 11 ans (2000) Moyenne Lecture Écriture Sciences Maths Fr. intensif (N=106) Non intensif (N=110) Province (N=~7000) Tableau 2 Prov. B : résultats en anglais (lecture et écriture), en sciences et en mathématiques, fin de 5 e année, élèves ~10 ans (2003) 8 Références Chomsky, N. (1965). Aspects of the Theory of Syntax. Cambridge: M.I.T. Press (traduction française: Aspects de la théorie syntaxique. Paris: Seuil, 1971). Cummins, J. (2001). The entry and exit fallacy in bilingual education. In C. Baker et N.H. Hornberger (Ed.), An Introductory Reader to the Writings of Jim Cummins (pp ). Clevedon: Multilingual Matters. Cummins, J. (1979). Linguistic interdependence and the educational development of bilingual children. Review of Educational Research, 49, Cummins, J. et Swain, M. (1986). Bilingualism in Education. New Yok: Longman Press. Karmiloff-Smith, A. (1992). Beyond Modularity. Cambridge, Mass.: MIT Press. Netten, J. et Germain, C. (2000). Transdisciplinary approach and intensify in second language learning/teaching. Revue canadienne de linguistique appliquée / Canadian Journal of Applied Linguistics, 3(1-2), Nettten, J. et Germain, C. (2004). Numéro thématique: «Le français intensif au Canada Intensive French in Canada». Revue canadienne des langues vivantes Canadian Modern Language Review, 60(3), Piaget, J. (1967). Logique et connaissance scientifique. Paris: Gallimard. Piatelli-Palmarini, M. (Ed.). (1979). Théories du langage, théories de l apprentissage: le débat entre Jean Piaget et Noam Chomsky. Paris: Éditions du Seuil. Vigotsky, L.S. (1985). Pensée et langage. Paris: La Dispute. 5

6 ANNEXE MODÈLE D ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE DE LA COMMUNICATION EN CLASSE DE L2 CONNAISSANCE EXPLICITE (mémoire déclarative) COMPÉTENCE IMPLICITE (mémoire procédurale) (Paradis) Langue/objet d étude Langue/moyen de communication PRÉCISION - savoir PRÉCISION - habileté + AISANCE (Germain Netten) INTERACTION Développement cognitif (Psychologie sociale néo-piagétienne) L1-L2 processus cognitifs communs sous-jacents (Cummins) Autres matières scolaires processus cognitifs communs sous-jacents (Vigotsky) Compression des matières Augmentation du temps + INTENSITÉ Communication authentiq. emploi exclusif de L2 environnement riche Approche L1/littératie Pédagogie du projet (tâches exigeantes sur le plan cognitif) stratégies d enseignement INTERACTIVES ORAL LECTURE ÉCRITURE 6

Une stratégie d enseignement de la pensée critique

Une stratégie d enseignement de la pensée critique Une stratégie d enseignement de la pensée critique Jacques Boisvert Professeur de psychologie Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu La pensée critique fait partie des capacités à développer dans la formation

Plus en détail

d évaluation Objectifs Processus d élaboration

d évaluation Objectifs Processus d élaboration Présentation du Programme pancanadien d évaluation Le Programme pancanadien d évaluation (PPCE) représente le plus récent engagement du Conseil des ministres de l Éducation du Canada (CMEC) pour renseigner

Plus en détail

P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R»

P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R» P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R» Parler Apprendre Réfléchir Lire Ensemble pour Réussir Pascal BRESSOUX et Michel ZORMAN Laboratoire

Plus en détail

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d

Plus en détail

Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca

Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est unique mfa.gouv.qc.ca Les services de gardes éducatifs, un milieu de vie stimulant pour votre enfant

Plus en détail

COLLÈGE D'ENSEIGNEMENT GÉNÉRAL ET PROFESSIONNEL BEAUCE-APPALACHES POLITIQUE RELATIVE À LA FORMATION GÉNÉRALE COMPLÉMENTAIRE

COLLÈGE D'ENSEIGNEMENT GÉNÉRAL ET PROFESSIONNEL BEAUCE-APPALACHES POLITIQUE RELATIVE À LA FORMATION GÉNÉRALE COMPLÉMENTAIRE COLLÈGE D'ENSEIGNEMENT GÉNÉRAL ET PROFESSIONNEL BEAUCE-APPALACHES POLITIQUE RELATIVE À LA FORMATION GÉNÉRALE COMPLÉMENTAIRE 1055, 116 e rue Ville Saint-Georges (Québec) G5Y 3G1 La présente politique a

Plus en détail

N 334 - SIMON Anne-Catherine

N 334 - SIMON Anne-Catherine N 334 - SIMON Anne-Catherine RÉALISATION D UN CDROM/DVD CONTENANT DES DONNÉES DU LANGAGE ORAL ORGANISÉES EN PARCOURS DIDACTIQUES D INITIATION LINGUISTIQUE A PARTIR DES BASES DE DONNÉES VALIBEL Introduction

Plus en détail

L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences

L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences Animation pédagogique Mise en œuvre du LPC 87 Un principe majeur! L école maternelle n est pas un palier du socle commun de connaissances

Plus en détail

ESAT Ateliers d'apprivoisement de la tablette tactile

ESAT Ateliers d'apprivoisement de la tablette tactile ESAT Ateliers d'apprivoisement de la tablette tactile Dans un objectif d appropriation des technologies numériques par les travailleurs d ESAT, j ai choisi de réaliser des ateliers d apprivoisement de

Plus en détail

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) 3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la

Plus en détail

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available

Plus en détail

Ateliers du Bureau des dossiers professionnels et sociaux ***

Ateliers du Bureau des dossiers professionnels et sociaux *** Ateliers du Bureau des dossiers professionnels et sociaux *** 2015 16 Fédération des enseignant(e)s de la C.-B. 1 Introduction La FECB a pour fière tradition de soutenir les membres et les syndicats locaux

Plus en détail

Enseignement au cycle primaire (première partie)

Enseignement au cycle primaire (première partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de

Plus en détail

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question

Plus en détail

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /

Plus en détail

Quand le bâtiment va, tout va

Quand le bâtiment va, tout va Quand le bâtiment va, tout va Citation de Martin Nadeau en 1849 à l Assemblée législative de la France Martin Nadeau Ancien ouvrier maçon Député à l Assemblée législative Les sots font bâtir les maisons

Plus en détail

Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais

Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Dans les écoles de maturité des gymnases du canton de Vaud Edition 2014 Département de la formation, de la jeunesse

Plus en détail

Évaluation de Reading, de la lecture et des notions de calcul des élèves de 3 e année et évaluation de la lecture des élèves de 4 e année d immersion

Évaluation de Reading, de la lecture et des notions de calcul des élèves de 3 e année et évaluation de la lecture des élèves de 4 e année d immersion Évaluation de Reading, de la lecture et des notions de calcul des élèves de 3 e année et évaluation de la lecture des élèves de 4 e année d immersion française É VALUATION DE R EADING, DE LA LECTURE ET

Plus en détail

Faculté de Psychologie et des Sciences de l Education

Faculté de Psychologie et des Sciences de l Education Faculté de Psychologie et des Sciences de l Education Recherche-accompagnement de projet d innovation pédagogique et organisationnelle au sein du 2 ème degré professionnel de l enseignement secondaire

Plus en détail

RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle

RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le

Plus en détail

Université de Mons UMONS Institut d Administration Scolaire. Direction Générale des Enseignements

Université de Mons UMONS Institut d Administration Scolaire. Direction Générale des Enseignements Ce fascicule a été réalisé dans le cadre d une recherche-action commanditée par la Province de Hainaut intitulée «Implémentation de l approche orientante au sein de l enseignement secondaire provincial».

Plus en détail

Normes de référence. Comparaison. Commande cognitive Sentiments épistémiques Incarnés dépendants de l activité

Normes de référence. Comparaison. Commande cognitive Sentiments épistémiques Incarnés dépendants de l activité Séminaire Sciences Cognitives et Education 20 Novembre 2012 Collège de France L importance de la Métacognition: Joëlle Proust Institut Jean-Nicod, Paris jproust@ehess.fr http://joelleproust.org.fr Plan

Plus en détail

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive

Plus en détail

Le droit de l'enfant sourd à grandir bilingue

Le droit de l'enfant sourd à grandir bilingue French Le droit de l'enfant sourd à grandir bilingue The French version of The right of the deaf child to grow up bilingual by François Grosjean University of Neuchâtel, Switzerland This production of

Plus en détail

Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année

Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année PALIER 2 CM2 La maîtrise de la langue française DIRE S'exprimer à l'oral comme à l'écrit dans un vocabulaire approprié

Plus en détail

Programme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE

Programme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE Programme de la formation Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE o 36 h pour la préparation à l'épreuve écrite de français Cette préparation comprend : - un travail sur la discipline

Plus en détail

Économétrie, causalité et analyse des politiques

Économétrie, causalité et analyse des politiques Économétrie, causalité et analyse des politiques Jean-Marie Dufour Université de Montréal October 2006 This work was supported by the Canada Research Chair Program (Chair in Econometrics, Université de

Plus en détail

DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues

DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES Activités de production et stratégies PRODUCTION ORALE MONOLOGUE SUIVI

Plus en détail

S'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire

S'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire S'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire Nathalie Gettliffe, Université de Strasbourg Hortense Rengade-Bouchard, Académie

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

Service de l adaptation scolaire et des services complémentaires

Service de l adaptation scolaire et des services complémentaires Service de l adaptation scolaire et des services complémentaires 2955, boulevard de l Université, Sherbrooke (Québec) J1K 2Y3 Téléphone : 819 822-5540 Télécopieur : 819 822-5286 Le concept de besoin Dans

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.

Plus en détail

Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement

Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement, MELS, novembre 2011 Page 1 Document

Plus en détail

RECUEIL DE LEGISLATION. A N 163 13 juillet 2009. S o m m a i r e

RECUEIL DE LEGISLATION. A N 163 13 juillet 2009. S o m m a i r e MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 2391 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 163 13 juillet 2009 S o m m a i r e ENSEIGNEMENT FONDAMENTAL: TÂCHE

Plus en détail

Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits

Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits Types de questions d examen Un examen en droit peut comporter plusieurs types de questions : à réponse courte, à développement,

Plus en détail

RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement

RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement La recherche à l Université Sainte-Anne L Université Sainte-Anne, par son emplacement géographique,

Plus en détail

Ecole erber. Dossier de Presse. Le 20 octobre 2011 Inauguration l Ecole Kerber. Une école indépendante, laïque et gratuite

Ecole erber. Dossier de Presse. Le 20 octobre 2011 Inauguration l Ecole Kerber. Une école indépendante, laïque et gratuite Dossier de Presse,,,, Une école indépendante, laïque et gratuite Le 20 octobre 2011 Inauguration l Ecole K Une nouvelle chance pour des enfants de pouvoir apprendre dans les meilleures conditions. Ecole

Plus en détail

LIVRET PERSONNEL DE COMPÉTENCES

LIVRET PERSONNEL DE COMPÉTENCES Nom... Prénom... Date de naissance... Note aux parents Le livret personnel de compétences vous permet de suivre la progression des apprentissages de votre enfant à l école et au collège. C est un outil

Plus en détail

LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE

LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE Ce qui définit «le changement» préscolaire primaire secondaire Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 2005-05-00511 ISBN 2-550-45274-7 (version

Plus en détail

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE , chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy

Plus en détail

Questionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique

Questionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique Questionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique BUT : Découvrir ton profil préférentiel «Visuel / Auditif / Kinesthésique» et tu trouveras des trucs

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

Classe ipad. Recommandations suite à l an 1 du projet

Classe ipad. Recommandations suite à l an 1 du projet Classe ipad Recommandations suite à l an 1 du projet ]É{tÇÇx UxtâÄ xâ Conseillère pédagogique en intégration des TIC Secteurs primaire et secondaire Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Iles

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE À L EMPLOI ET À LA QUALITÉ DE LA LANGUE FRANÇAISE

POLITIQUE RELATIVE À L EMPLOI ET À LA QUALITÉ DE LA LANGUE FRANÇAISE POLITIQUE RELATIVE À L EMPLOI ET À LA QUALITÉ DE LA LANGUE FRANÇAISE (Adoptée par le Conseil d administration lors de son assemblée régulière du 2 juin 2004) 1. PRINCIPE DIRECTEUR LE COLLÈGE, UN MILIEU

Plus en détail

Les services en ligne

Les services en ligne X Les services en ligne (ressources partagées, cahier de texte numérique, messagerie, forum, blog ) Extrait de l étude «Le développement des usages des TICE dans l enseignement secondaire», 2005-2008 SDTICE

Plus en détail

Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école

Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Janvier 2005 This document is available in English under

Plus en détail

Cabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec

Cabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec Cabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec Benoît Côté Département de mathématiques, UQAM, Québec cote.benoit@uqam.ca 1. Introduction - Exercice de didactique fiction Que signifie intégrer

Plus en détail

Document d accompagnement. de la 1 re à la 8 e année. Exemples de tâches et corrigés. 1 re année Tâche 1... 5 Corrigé... 7 Tâche 2... 8 Corrigé...

Document d accompagnement. de la 1 re à la 8 e année. Exemples de tâches et corrigés. 1 re année Tâche 1... 5 Corrigé... 7 Tâche 2... 8 Corrigé... Normes de performance de la Colombie-Britannique Document d accompagnement Mathématiques de la 1 re à la 8 e année Exemples de tâches et corrigés 1 re année Tâche 1... 5 Corrigé... 7 Tâche 2... 8 Corrigé...

Plus en détail

B U L L E T I N D I N F O R M A T I O N

B U L L E T I N D I N F O R M A T I O N L Actif VOLUME 8, NUMÉRO 3 B U L L E T I N D I N F O R M A T I O N AOÛT 2014 Dans ce numéro : Nouvelles nutrition 1 Retour sur l assemblée générale annuelle 2014 Bénévoles recherchés 4 Jeu cognitif du

Plus en détail

Les systèmes CPC (Coût Par Clic) sont des moyens rapides d'obtenir de la visibilité à grande échelle et rapidement.

Les systèmes CPC (Coût Par Clic) sont des moyens rapides d'obtenir de la visibilité à grande échelle et rapidement. L'affiliation www.faireducashfacile.com www.revenus-automatiques.com (si vous n êtes pas encore inscrit sur revenusautomatiques, sachez que vous recevrez 70-90$ par vente) L'affiliation consiste à envoyer

Plus en détail

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des

Plus en détail

Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement

Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement Comprendre qu il s agit d un choix difficile pour les Canadiens Aider les courtiers d assurance et les sociétés d assurance à mieux comprendre les

Plus en détail

Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire

Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs

Plus en détail

Jeux mathématiques en maternelle. Activités clés. Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF)

Jeux mathématiques en maternelle. Activités clés. Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF) Activités clés NIVEAU : PS/MS Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF) Compétences Construire les premiers nombres dans leur aspect cardinal Construire des collections équipotentes Situation

Plus en détail

Compte-rendu d une expérience Un album à jouer... Le château de Radégou

Compte-rendu d une expérience Un album à jouer... Le château de Radégou Compte-rendu d une expérience Un album à jouer... Le château de Radégou (Publié par la revue EPS1) Deux classes... TPS/PS : Julie NIELSEN MS/GS : Karine BONIFACE (Mail : ec-taulignan@montelimar.ac-grenoble.fr)

Plus en détail

PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS. DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2

PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS. DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2 CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DES ÉCOLES PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2 Rédaction Jean-Pierre GUICHARD Conseiller pédagogique en EPS Ministère

Plus en détail

Coup d oeil sur. Le langage. Votre bébé apprend à parler

Coup d oeil sur. Le langage. Votre bébé apprend à parler Coup d oeil sur Le langage Votre bébé apprend à parler Le langage Que savons-nous? À sa naissance, votre bébé est déjà prêt à apprendre à parler! Son cerveau lui permet déjà de découvrir les sons, les

Plus en détail

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-

Plus en détail

ET TRAVAIL ENSEIGNANT Quand la société change, la classe doit-elle suivre? 2005 Presses de l Université du Québec

ET TRAVAIL ENSEIGNANT Quand la société change, la classe doit-elle suivre? 2005 Presses de l Université du Québec INTRODUCTION INTÉGRATION DES TIC ET TRAVAIL ENSEIGNANT Quand la société change, la classe doit-elle suivre? THIERRY KARSENTI UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL FRANÇOIS LAROSE UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE 2 L intégration

Plus en détail

Enquête. collaborative Guide à l intention de l animatrice ou animateur

Enquête. collaborative Guide à l intention de l animatrice ou animateur Enquête collaborative Guide à l intention de l animatrice ou animateur Table des matières Étape 1 Cerner le problème Étape 4 Célébrer et partager Étape 2 Recueillir les données probantes Étape 3 Analyser

Plus en détail

APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP

APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP Résumé du rapport de recherche destiné au Centre Alain Savary, INRP APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP Martine Méheut, Olivier Prézeau INRP, Centre Alain Savary Apprendre la chimie en ZEP Résumé 1 Dans une perspective

Plus en détail

Coup d oeil sur. Le jeu. Une façon naturelle d apprendre

Coup d oeil sur. Le jeu. Une façon naturelle d apprendre Coup d oeil sur Le jeu Une façon naturelle d apprendre Le Jeu «Le jeu est une activité qui devrait faire partie de la vie de tous les enfants.» Que savons-nous? n Le jeu est : une forme d apprentissage;

Plus en détail

ENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B.

ENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B. ENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B. Dates importantes 13 janvier: Réunion de l APÉ (19h, bibliothèque de l école) 14, 21, 28 janvier: Dîners chauds 14, 28 janvier: Bouts de choux

Plus en détail

Programme d appui aux nouveaux arrivants

Programme d appui aux nouveaux arrivants 2 0 1 0 R É V I S É Le curriculum de l Ontario de la 1 re à la 8 e année Programme d appui aux nouveaux arrivants TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 3 La raison d être du programme-cadre d appui aux nouveaux

Plus en détail

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Le 28 mars 2006 Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Nous sommes heureux d avoir l occasion de présenter nos commentaires

Plus en détail

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1 Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...

Plus en détail

Formation continue obligatoire

Formation continue obligatoire Formation continue obligatoire POLITIQUE (Organismes) Version décembre 2010 S E R V I C E D U D É V E L O P P E M E N T P R O F E S S I O N N E L Table des matières Section 1 : Information générale 3 1.

Plus en détail

Gauthier, Benoît (dir.). 2010. Recherche sociale : de la problématique à la collecte des données. Québec : Presses de l Université du Québec.

Gauthier, Benoît (dir.). 2010. Recherche sociale : de la problématique à la collecte des données. Québec : Presses de l Université du Québec. Faculté des arts et des sciences Département de science politique POL 1100 (Méthodes de recherche en politique) Automne 2011 Local B-0245 Lundi de 13h00-14h30 Professeur : Éric Montpetit Bureau : C-4012

Plus en détail

ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1

ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 Association des comptables généraux accrédités du Canada 100 4200 North Fraser Way Burnaby

Plus en détail

Institut des langues secondes Université d Ottawa

Institut des langues secondes Université d Ottawa NOUVELLES PERSPECTIVES CANADIENNES PROPOSITION D UN CADRE COMMUN DE RÉFÉRENCE POUR LES LANGUES POUR LE CANADA Mai 2006 Laurens Vandergrift, PhD Institut des langues secondes Université d Ottawa Proposition

Plus en détail

PROGRAMME DE MENTORAT

PROGRAMME DE MENTORAT CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des

Plus en détail

Devenez expert en éducation. Une formation d excellence avec le master Métiers de l Enseignement, de l Education et de la Formation

Devenez expert en éducation. Une formation d excellence avec le master Métiers de l Enseignement, de l Education et de la Formation Institut Universitaire de Formation des Maîtres Université de Provence - Aix-Marseille Université 20 ans d expérience dans la formation des professionnels dans les métiers de l enseignement, de l éducation

Plus en détail

La construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire

La construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet

Plus en détail

Organisation des enseignements au semestre 7

Organisation des enseignements au semestre 7 Organisation des enseignements au semestre 7 UE1 : Pratiques pédagogiques différenciées et adaptées aux besoins éducatifs particuliers (responsable : J. Divry) Transmettre des connaissances et des références

Plus en détail

ANNÉE D INITIATION AU LEADERSHIP À L INTENTION DES AUTOCHTONES (AILA) RENSEIGNEMENTS ET QUESTIONNAIRE À L INTENTION DES POSTULANTS PARTIE I

ANNÉE D INITIATION AU LEADERSHIP À L INTENTION DES AUTOCHTONES (AILA) RENSEIGNEMENTS ET QUESTIONNAIRE À L INTENTION DES POSTULANTS PARTIE I RENSEIGNEMENTS ET QUESTIONNAIRE À L INTENTION DES POSTULANTS RENSEIGNEMENTS ET INSTRUCTIONS GÉNÉRALES PARTIE I 1. Ce document se divise en trois parties. La Partie I (pages I-1/2 à I-2/2) présente des

Plus en détail

Contexte Point de départ/analyse de besoins des

Contexte Point de départ/analyse de besoins des Diversité linguistique et culturelle à l'école primaire et formation professionnelle : regards croisés entre expériences des praticiens et recherches scientifiques Journéed étude, Universitéde Franche-Comté

Plus en détail

Travail en groupe Apprendre la coopération

Travail en groupe Apprendre la coopération Travail en groupe Apprendre la coopération Travailler en groupe, en atelier peut répondre à de nombreux objectifs qui peuvent être très différents les uns des autres. Nous insisterons ici sur les pratiques

Plus en détail

La littératie numérique est-elle vraiment une littératie? Pour quelle raison se soucie-t-on de la définition de la littératie numérique?

La littératie numérique est-elle vraiment une littératie? Pour quelle raison se soucie-t-on de la définition de la littératie numérique? Tiré de Adult Literacy Education, un article de blogue écrit par David J. Rosen, D.Ed. http://davidjrosen.wordpress.com/2013/01 TEACH Magazine, disponible en version imprimée et numérique, est la plus

Plus en détail

Déclin des groupes visés par l équité en matière d emploi lors du recrutement. Étude de la Commission de la fonction publique du Canada

Déclin des groupes visés par l équité en matière d emploi lors du recrutement. Étude de la Commission de la fonction publique du Canada Déclin des groupes visés par l équité en matière d emploi lors du recrutement Étude de la Commission de la fonction publique du Canada Octobre 2009 Commission de la fonction publique du Canada 300, avenue

Plus en détail

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche

Plus en détail

POL 1100 (Méthodes de recherche en politique) Hiver 2012 Local B-0305 Lundi de 13h00-14h30

POL 1100 (Méthodes de recherche en politique) Hiver 2012 Local B-0305 Lundi de 13h00-14h30 Faculté des arts et des sciences Département de science politique POL 1100 (Méthodes de recherche en politique) Hiver 2012 Local B-0305 Lundi de 13h00-14h30 Professeur : Erick Lachapelle Bureau : C-3124

Plus en détail

Primaire. analyse a priori. Lucie Passaplan et Sébastien Toninato 1

Primaire. analyse a priori. Lucie Passaplan et Sébastien Toninato 1 Primaire l ESCALIER Une activité sur les multiples et diviseurs en fin de primaire Lucie Passaplan et Sébastien Toninato 1 Dans le but d observer les stratégies usitées dans la résolution d un problème

Plus en détail

Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire

Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,

Plus en détail

RÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS. Faculté des lettres et sciences humaines

RÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS. Faculté des lettres et sciences humaines RÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS Faculté des lettres et sciences humaines PRÉAMBULE Ce règlement facultaire sur la reconnaissance des acquis s inscrit dans le cadre de la Politique

Plus en détail

Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention

Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention À moins d indications contraires, toutes les définitions

Plus en détail

S organiser autrement

S organiser autrement S organiser autrement Dominique Tibéri enseignant en cycle 3 et formateur à l IUFM Nancy (54) propose ici une alternative à la préparation de classe telle qu elle est demandée par l Institution. Préparer

Plus en détail

L approche actionnelle dans l enseignement des langues Douze articles pour mieux comprendre et faire le point

L approche actionnelle dans l enseignement des langues Douze articles pour mieux comprendre et faire le point L approche actionnelle dans l enseignement des langues Douze articles pour mieux comprendre et faire le point Editions Maison des Langues, Paris SOMMAIRE Avant-propos 7 Première partie Regards croisés

Plus en détail

PARTICIPER À UNE VENTE AUX ENCHÈRES D ŒUVRES D ART

PARTICIPER À UNE VENTE AUX ENCHÈRES D ŒUVRES D ART Activités éducatives pour les élèves de 10 à 11 ans PARTICIPER À UNE VENTE AUX ENCHÈRES D ŒUVRES D ART NIVEAU : PRIMAIRE GROUPE D ÂGE : ÉLÈVES DE 10 À 11 ANS SOMMAIRE DE L ACTIVITÉ Les élèves observent

Plus en détail

Le M.B.A. professionnel

Le M.B.A. professionnel Le M.B.A. professionnel Un M.B.A. à temps partiel pour les professionnels qui travaillent un programme unique Le nouveau M.B.A. professionnel de la Faculté de gestion Desautels de l Université McGill est

Plus en détail

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d école des enfants est un moment privilégié durant lequel les enfants deviennent acteurs au sein de leur école, en faisant des propositions

Plus en détail

I/ CONSEILS PRATIQUES

I/ CONSEILS PRATIQUES D abord, n oubliez pas que vous n êtes pas un enseignant isolé, mais que vous appartenez à une équipe. N hésitez jamais à demander des idées et des conseils aux autres collègues (linguistes et autres)

Plus en détail

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens

Plus en détail

") # /!"! ) )# ") / 1) )) -()#! "-) " ") 2) "! #" ). ") () ) )!. #) ()" #!0 ) () ))!)() -! () "!!""#!! 6) $ )7 )! " # )!"!! ) ) " #9# () () ") ") )

) # /!! ) )# ) / 1) )) -()#! -)  ) 2) ! # ). ) () ) )!. #) () #!0 ) () ))!)() -! () !!#!! 6) $ )7 )!  # )!!! ) )  #9# () () ) ) ) !"#! "# $$% #"%&&' & ()*()*!+,"!*!)!+!""")!,()!""#!)!-!#)."!/0, ) ") # /!"! ) )# ") / 1) )) -()#! "-) " ") 2) #!!!""))3)#"#!)"!!3 "- "! #" ). ") () ) )!. ()4)"!#5#")!)! #) ()" #!0 ) () ))!)() -! () "!!""#!!

Plus en détail

Comprendre un texte fictionnel au cycle 3 : quelques remarques

Comprendre un texte fictionnel au cycle 3 : quelques remarques Contribution aux travaux des groupes d élaboration des projets de programmes C 2, C3 et C4 Anne Leclaire-Halté, Professeure d université, Université de Lorraine/ESPÉ Comprendre un texte fictionnel au cycle

Plus en détail

PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03

PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03 PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03 Introduction : Questions/réponses : Qu est-ce que pour vous un bon recrutement? Cela dépend de quoi? Qu est-ce qui est sous votre contrôle?

Plus en détail

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser

Plus en détail

Etudier Ailleurs. Présentation et réalisation: Caroline Gagnon. 19/02/2015 Etudier Ailleurs Canada par Caroline Gagnon

Etudier Ailleurs. Présentation et réalisation: Caroline Gagnon. 19/02/2015 Etudier Ailleurs Canada par Caroline Gagnon Etudier Ailleurs Présentation et réalisation: Caroline Gagnon Étudier au Canada Programme universitaire Études menant à l obtention d un baccalauréat (Bachelor s Degree, diplôme de 1er cycle), suite à

Plus en détail

LIVRET DE SUIVI DE SCOLARITE EN SEGPA RELEVE DE COMPETENCES

LIVRET DE SUIVI DE SCOLARITE EN SEGPA RELEVE DE COMPETENCES Académie d Aix-Marseille Année scolaire LIVRET DE SUIVI DE SCOLARITE EN SEGPA RELEVE DE COMPETENCES NOM : Prénom : Livret de suivi de scolarité en SEGPA Préambule à l attention des enseignants L objectif

Plus en détail

>> TECHNIQUES DE COMPTABILITÉ ET DE GESTION 410.B0

>> TECHNIQUES DE COMPTABILITÉ ET DE GESTION 410.B0 Pondération : le 1 er chiffre représente le nombre d heures de théorie, le 2 e chiffre représente le nombre d heures de laboratoire et le 3 e chiffre représente le nombre d heures de travail personnel.

Plus en détail