le demi-siècle février 2009

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1 le demi-siècle février 2009 Cercle de Paris

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3 le demi-siècle février 2009 sommaire 3 Sommaire Le Demi-Siècle Les cercles 05 Le mot du président 07 Bienvenue aux nouveaux membres 08 Assemblée générale ordinaire 09 Agenda 09 Nécrologie 10 Voyages Voyage en Norvège, Olivier de Foucauld 11 Voyage à New York, Luc-Régis Gilbert 16 Conférences «Les acteurs publics et privés du cycle de l eau», Pierre-Frédéric Tenière-Buchot - Paris 20 «Le rôle du pharmacien en France et la délivrance des médicaments», Paul Jeanneteau - Paris 21 «Les places royales et la place de la Concorde», Claude Ducoux - Paris 22 «La crise financière et économique», Jean-Marc Daniel - Paris 23 «Une histoire de pomme», Isaac Abitol Navarro - Nice 26 «Le potentiel des o.g.m. dans l agriculture du 21ème siècle», Marc Van Montagu - Bruxelles 29 «L Europe dans les crises», Robert Toulemon - Bruxelles 29 Autres articles «Déflation ou non, un débat dépassé», Albert Merlin 32 Notes de lecture «Prix Goncourt : Synghe Sabour, d Atic Rahimi», notes de Bertrand Jardel 33

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5 le demi-siècle février 2009 le demi-siècle 5 Les cercles Le cercle de Paris Présidence: Pierre LELONG - 79, avenue Raymond Poincaré PARIS Tél +33 (0) Fax +33 (0) Portable +33 (0) plelong@lelong.com Secrétariat: Myriam RAHMOUNI - Tél +33.(0) m.rahmouni@lelong.com Déjeuner-conférence le 2e jeudi du mois, à midi à l Hôtel Bedford - 17, rue de l Arcade PARIS Le cercle de Nice Présidence: René DARS - Le Minerva 14, avenue Marianna NICE Tél/Fax +33 (0) Portable +33 (0) rene.dars@wanadoo.fr Secrétariat: Ange AMADEI - Tél +33 (0) ange.amadei@wanadoo.fr Déjeuner le 2e mardi du mois, à midi à l Hôtel Sofitel - 4, Esplanade du Parvis de l Europe - NICE Le cercle de Tours Présidence: Alain BARBIER - 10, rue Descartes TOURS Tél/Fax +33 (0) Secrétariat: Elodie DAVONNEAU - Tél +33 (0) edavonneau@touraine.cci.fr Déjeuner le 4e vendredi du mois, à midi à l Hôtel l Univers - 5, Bd. Heurteloup - TOURS Le cercle de Londres Présidence: Christian de JUNIAC - 23 Craven Hill - LONDON W2 3EN - ANGLETERRE Tél +44 (0) dejuniac.christian@bcg.com Le cercle de Stockholm Présidence: Kerstin DAHLSTRÖM - Aklejavägen HUDDINGE - SUEDE Tél +46 (0) Fax +46 (0) aquileia@bahnhof.se Secrétariat: Marie-Pierre LABADIE - mp.labadie@tele2.se Le cercle de Bruxelles Présidence: Véronique NASSOUR , avenue Louise BRUXELLES - BELGIQUE Tél +32 (0) veronique.nassour@skynet.be Secrétariat: Myriam RAHMOUNI - Tél +33.(0) m.rahmouni@lelong.com

6 6 le demi-siècle février 2009 le demi-siècle

7 le demi-siècle février 2009 le demi-siècle 7 Le mot du président Chers jubilaires, En ce début d année, acceptez tous mes meilleurs vœux pour vous et pour votre famille. Pierre LELONG Nous avons recruté en 2008 sept nouveaux membres auxquels je souhaite la bienvenue. Nous devons poursuivre nos efforts de recrutement et bien rester ciblés sur des personnalités. Nous ne cherchons pas à développer le nombre mais à développer des échanges de haute qualité. Aussi, vous prendrez connaissance dans ce bulletin des récentes réunions du jeune cercle de Bruxelles sous la conduite de Véronique Nassour. Je vous demande d appuyer son action de recherche de nouveaux membres en fonction de vos relations en Belgique. D autre part, nous devons - tous - collaborer pour identifier des actions de soutien à des associations déjà existantes de jeunes défavorisés, de personnes en difficultés ainsi que d autres objectifs. Par exemple, le programme Mission Possible qui nous a été exposé par Mme Beau lors de notre déjeuner mensuel en Juin 2007 ou encore le travail avec les femmes aliénées de l Oeuvre Falret, que M.Fabre Falret présentera prochainement. Il s agit donc d identifier et de convenir d actions à entreprendre, nous rechercherons ensuite des sponsors ou des mécènes afin de soutenir nos interventions. Plutôt que de faire la quête de quelques dizaines ou centaines d euros auprès de nos membres, il faut travailler avec nos réseaux et d obtenir de grandes sociétés ou de fondations privées des fonds pour financer le ou les projets que nous aurons ciblés. N hésitez pas à nous faire parvenir vos propositions et vos commentaires. Amicalement,

8 8 le demi-siècle février 2009 le demi-siècle Bienvenue aux nouveaux membres Jean Pierre POITEVIN (Paris) parrains : Michel BESSON, Albert MERLIN Ecole centrale, Paris Ancien directeur (ressources humaines, recherche), St Gobain Ancien professeur, Ecole centrale Ancien délégué général, Association des centraliens Chevalier de l Ordre national du Mérite Patrice ROCHEREAU (Paris) parrain : Michel PILLE Groupe Shell: Directeur administratif de raffinerie Membre de la coordination pour l Amérique Latine Agent de restructuration en France Ancien président de chambre, Tribunal de commerce de Paris Décoré de la Croix du combattant Jean Philippe THERVET (Paris) parrain : Albert MERLIN Docteur en Médecine Médecin expert en particulier auprès de cie assurances : France et étranger Lauréat de l Industrie des Sciences Morales et Politiques Chevalier de l Ordre national du Mérite Alain VAUGAN (Paris) parrain : Albert MERLIN Phillips Exeter Academy, USA Maîtrise de droit et de sciences économiques, Paris Saint-Gobain : Ancien directeur financier de filiales Amérique Centrale, Amérique du Sud Ancien directeur adjoint, Gestion financière Richard WILMOT-ROUSSEL (Paris) parrains : Christian DESCHARS, Thierry ROUVIER Vice-amiral d escadre Commandeur de la Légion d honneur Commandeur de l Ordre national du Mérite

9 le demi-siècle février 2009 le demi-siècle 9 Guy DARCOURT (Nice) parrain : René DARS Professeur émérite de psychiatrie de l Université de Nice Sophia Antipolis Président de la Commission Médicale d Etablissement du C.H.U. de Nice ( ) Président du Collège National Universitaire de Psychiatrie ( ) Président de la Fédération Française de Psychiatrie (1997) Commandeur de l Ordre des Palmes Académiques Assemblée générale ordinaire et cocktail annuel Selon la tradition, les jubilaires parisiens ont tenu leur assemblée générale annuelle avant la réception organisée par Pierre et Karin Lelong le mercredi 14 janvier Le président a rappelé les faits marquants de l année 2008 en soulignant l admission de nouveaux membres et le dynamisme du cercle de Bruxelles récemment créé à l initiative du cercle de Paris. Reprenant les souhaits exprimés dans son éditorial (publié au début de ce bulletin), il a plaidé à nouveau pour que le Demi-Siècle trouve de nouvelles motivations et s associe concrètement à des projets sociaux. L assemblée générale a approuvé à l unanimité: - les comptes de l exercice 2008 clairement donnés par Jean-Claude Boucq, - la nomination de Luc Carlier au Comité Directeur, - le maintien en 2009 de la cotisation annuelle à 150 Euros et du droit d admission à 120 Euros. Dans leurs salons, Pierre et Karin nous ont reçus chaleureusement selon leur habitude, autour d un beau buffet. De nombreux jubilaires, leurs épouses et beaucoup d amis ont pu échanger les souhaits traditionnels dont celui de la poursuite du développement de notre Demi-Siècle, bien engagé. Agenda des activités à venir Nos prochaines réunions à l hôtel Bedford Jeudi 12 Février 2009 à 12h30 «La position des Grandes écoles françaises sur le plan international», une conférence de Hervé Biausser, directeur de l École centrale des arts et manufactures, Paris. Jeudi 12 Mars 2009 à 12h30 «Le centenaire de la Nouvelle revue française: histoire de la librairie Gallimard», une conférence de Jean-Yves Tadie, professeur émérite de l université de la Sorbonne. Jeudi 9 Avril 2009 à 12h30 «La défense et le sauvetage des femmes et filles aliénées», une conférence prévue, à confirmer de Philippe Fabre-Falret. Jeudi 14 Mai 2009 à 12h30 «Propos sur l Europe», une conférence à confirmer de Françoise Grossetête, député européen, membre du Parti populaire européen. Prochaine réunion du cercle de Bruxelles Mercredi 11 février 2009 à 18h30 «Les principes et objectifs de la Fondation roi Beaudouin», une conférence de Dominique Allard, directeur de la Fondation roi Beaudoin. au restaurant Le repos des chasseurs - 11, avenue Charles Albert Watermael-Boisfort

10 10 le demi-siècle février 2009 le demi-siècle Nécrologie A la mémoire de Serge LE TELLIER L année 2008 a marqué tristement notre cercle avec la douloureuse disparition de Serge Le Tellier et de sa femme Monique que nous avions annoncée dans la dernière édition de notre bulletin. Ancien membre du Rotary - dont il avait présidé successivement le club de Saint Dié puis celui de Paris Académies - il a été l objet d un hommage du Rotary que Jean Pierre Lecoq a tenu à présider dans sa mairie du 6ème arrondissement le 23 septembre 2008, en présence d une nombreuse assistance. A cette occasion, Bertrand Jardel, parrain de Serge Le Tellier au Rotary et aussi son filleul au Demi-Siècle, a retracé les étapes de la vie de notre ami. J ai connu Serge Le Tellier au Rotary. Je pense que si le Rotary n avait qu un but, celui de nous faire rencontrer des hommes et des femmes de qualité, il justifierait déjà son existence. Serge était de ceux-là et j en prends mieux conscience encore aujourd hui alors qu hélas il nous a quittés. Lorsqu il arriva à Paris dans les années 90, notre club l accueillit; je fus chargé de le parrainer et cela nous rapprocha alors que je le connaissais fort peu. Je savais que Serge venait de mettre fin à une belle carrière dans l industrie papetière vosgienne: son intelligence, sa solide formation d ingénieur Arts et Métiers, ses qualités humaines l avaient amené à la direction générale des Papeteries de Clairefontaine bien connues. La qualité de son parcours industriel m est apparue en écoutant un éminent témoin, M. Poncelet, président du Sénat et élu des Vosges qui, lors de la remise à notre ami des insignes d officier de la Légion d Honneur, en 2004, loua la réussite exemplaire du chef d entreprise qui avait développé de manière spectaculaire une entreprise vieillissante, insistant sur l important impact que l essor de Clairefontaine eut sur l emploi dans une région frappée par la crise du textile. De leur côté les actionnaires familiaux du groupe ayant fait de Serge un «Patron» en firent ensuite un «Ami». Cela ne va pas de soi dans les affaires Après sa retraite, il garda l estime de la profession papetière en tant qu expert auprès des Tribunaux. A Paris, dans notre club, la qualité de l homme fut vite appréciée. Son ouverture d esprit, sa culture, son goût de l action, son entregent le désignèrent en 1997 pour être notre président. Ce n était pas son coup d essai puisqu il avait déjà présidé le club de Saint-Dié où il gardait ses amitiés et un peu de son cœur. Serge, dont la nouvelle vie «de retraité» était fort active, mit ses talents au service de ses nouveaux amis rotariens, non seulement dans notre club mais dans nos clubs associés étrangers et en dernier lieu à Washington. Il participait également à la vie de bien d autres cercles. Nombre d entre nous se souviennent des soirées rue Honoré Chevalier où Serge et Monique aimaient recevoir leurs anciens et nouveaux amis. Pour ma part, j étais ébloui par sa belle bibliothèque riche en livres anciens sur l histoire de Paris qui reflétait la profonde culture de notre ami. Il trouva tout naturellement sa place à la présidence de la Société historique du VIe arrondissement où il suscita des conférences de grand intérêt et multiplia ses propres interventions tant à l intérieur qu à l extérieur. Erudit, c était aussi un homme plein de sensibilité, un artiste pour qui la peinture était plus qu un violon d Ingres. Son œil aiguisé savait transposer sur une toile une vision originale de la nature. Je pense à ses arbres et à ses paysages de l Yonne, larges taches de couleur géométriques, à mi-chemin entre le figuratif et l abstrait. De nombreuses expositions présentaient ses œuvres en France et à l étranger. Il lui arrivait de dire en souriant: «Quand Monique aime une de mes toiles, c est qu elle est réussie». Mélomane, Serge partageait également avec sa femme la passion de l opéra et de la musique classique. Ils formaient un couple très uni et leur complicité, ouverte aux autres, rendait leur contact chaleureux. L amour qu ils portaient à leurs filles cachait très pudiquement une ancienne blessure, celle de la disparition de leur fils. J ai observé la fermeté d âme de Serge en bien des circonstances, mais elle me frappa tout particulièrement le 10 mars dernier aux obsèques de Monique en l église St-Sulpice. Il perdait la femme de sa vie et tous ceux qui l entouraient dans cette grande épreuve ont admiré sa dignité et l attention qu il portait à chacun. J ai constaté le même courage dans les semaines qui suivirent où un mal qu il n ignorait pas minait sa santé. Heureusement, l affection de Fabienne et Caroline le soutenait. Elles l emmenèrent aux USA dans leur famille: ce fut certainement son grand réconfort avant sa mort. Quatre mois exactement après les obsèques de Monique, nous nous retrouvions dans l église Saint-Sulpice autour du cercueil de Serge. Je ne veux pas clore ce propos sans vous dire, cher monsieur le Maire, combien j ai été sensible à votre volonté d accueillir cet hommage à Serge Le Tellier, mon filleul en Rotary, dans cette mairie qu il a tant fréquentée. Décès de Pierre TESSONNEAU (Cercle de Tours) Notre ami Pierre Tessonneau est décédé le 14 juillet 2008, à l âge de 94 ans. Né en Touraine, polytechnicien, ingénieur général honoraire des Ponts et Chaussées, il avait été au service de l Etat pendant toute sa carrière professionnelle. D abord officier du Génie, il est nommé en 1947 ingénieur des Ponts et Chaussées en 1947 à Tours, où il est chargé notamment de la reconstruction des ponts détruits par la guerre. Il est ensuite ingénieur en chef dans l Yonne, puis directeur départemental de l Equipement en Région Parisienne Affecté en 1974 à l Inspection Générale de l Equipement, il se réinstalle définitivement à Tours, il devient jubilaire en 1976 et participera activement au DemiSiècle. Il fonde aussi la section d Indre et Loire de l association Défense de la Langue Française. Nous garderons le souvenir d un ami toujours fidèle, d une probité exceptionnelle et d un grand humanisme qu il excellait à faire partager inlassablement, encore tout récemment. Philippe CARTIER son filleul au Demi-Siècle de Tours

11 le demi-siècle février 2009 voyages 11 Voyage en Norvège Olivier de FOUCAULD du 27 juin au 5 juillet 2008 La Norvège est un pays tout en longueur (+ de km du nord au sud) et relativement étroit, environ 100 km, sauf dans sa partie sud où sa plus grande largeur dépasse 500 km Sa superficie est de km². Ce pays occupe la partie occidentale de la péninsule scandinave, grâce à sa façade atlantique il bénéficie des eaux chaudes du Gulf stream ce qui permet à ses ports de ne jamais être pris par les glaces. Le pays s unifie dès la fin du 1er millénaire sous l égide de Harald 1er et se convertit peu à peu au christianisme. A la fin du 14ème siècle par le jeu des alliances familiales et des mariages, le roi du Danemark devient celui de la Norvège et de la Suède. La domination danoise durera trois siècles et lui impose sa langue et le luthérianisme. Entre temps, la Suède retrouve son indépendance en 1523 et au début du 19ème siècle, le Danemark cède la Norvège à la Suède (1814 traité de Kiel). Toutefois, la Norvège obtient une constitution propre avec un parlement, ce qui autorise une autonomie certaine. En 1905, le Storting (parlement) décide de l indépendance du pays, la rupture avec la Suède devient effective. Le parlement choisit un prince danois qui devient, sous le nom de Haakon VI, roi de Norvège. A ce jour, la Norvège compte âmes dont lapons (semisédentaires) qui transhument avec leurs troupeaux de rennes sur la Russie, la Suède et la Finlande. Le cercle polaire arctique «coupe» à peu près en deux le pays; moins de norvégiens habitent au nord de cette ligne imaginaire. L habitat des régions nord se situe principalement sur la côte et les nombreuses îles qui bordent la façade océanique du pays. La ville la plus importante est Tromsö avec habitants, les autres villes ne dépassent guère quelques milliers d habitants. A contrario, au sud, Oslo compte habitants et la région de la capitale norvégienne dépasse le million d habitants. Le climat y est rigoureux, le froid intense en hiver et la belle saison dans ces contrées septentrionales n excède pas quatre mois. De même la nuit est presque totale en hiver alors que le jour ne s achève pas avant et après à la période du solstice d été, même si le soleil semble se «coucher» à l horizon. C est l un des spectacles grandioses auquel nous avons assisté: coucher du soleil à minuit et lever à 3 h du matin, entre temps on peut lire sans l appoint de la lumière artificielle! Après une courte escale à Oslo, nous arrivons à Kirkines, ce port situé sur la mer de Barent, est une ville frontière avec la Russie, proche de Mourmansk (environ 200km). L habitat est austère à l image du relief abrupt chaotique où seule la pierre est visible, la végétation est rare et les arbres quasi inexistants. L absence d animaux domestiques surprend, toutefois la campagne au sens où nous la connaissons n existe pas. Il n y a aucune activité agraire. L activité humaine est tournée vers la mer dont elle est dépendante: la pêche est la principale industrie. Après une nuit d hôtel, nous embarquons sur le MS Nordnorge de la compagnie Hurtigruen, splendide navire de croisière appartenant à ce que les norvégiens appellent l express côtier. A la fin du 19ème siècle est assurée très régulièrement une liaison maritime entre les différentes villes côtières du nord du pays à Bergen et vice versa. Cette liaison était et reste à ce jour le moyen de communication le plus rapide entre les villes norvégiennes. En effet, distants de quelques heures de bateau, deux ports nécessitent par la voie terrestre des détours de plusieurs centaines de kilomètres, compte tenu des profondeurs des fjords. L express côtier est donc une malle-poste qui apporte et transporte les personnes aussi bien que les vivres, matériaux et matériels utiles aux habitants. Il arrive à ces bateaux de réaliser trois voire quatre ou cinq escales par 24h ce qui procure une animation certaine aux passagers. C est très vivant bien que ces escales soient, dans certains ports modestes, d un intérêt relatif. Il nous est arrivé de ne pouvoir descendre tant l escale était brève. A la belle saison les liaisons sont quotidiennes dans chaque sens. De nombreux touristes (norvégiens ou étrangers) apprécient comme nous cette «croisière» d une semaine. Notre navire était complet avec près de 700 passagers permanents. Après une première journée au temps maussade (ciel gris et horizon bas) le soleil a inondé le restant de notre voyage, la température est devenue méditerranéenne et la nature nous a semblé plus accueillante. Outre le spectacle permanent de la côte et des îles norvégiennes, nous avons effectué plusieurs excursions qui nous ont fait découvrir l intérieur du pays. Nous quittions notre navire pour le rejoindre deux ou trois ports plus loin. Ainsi ont défilé les villes de Vardo, Batsfjord, Bervelag, Mehamm, Kjollefjord, Honningsvag (d où certains sont partis sur le Cap Nord) Havoysund, Hammerfest, Oksfjord, Skjervoy, Tromso, Finnsnes, Harstad, (visite de l ile Lofoten) Risoyhamn, Sortland, Stokmarknes, Svolvaer, Stamsund, Bodo, Ornes, Nesna, Sandnessjoen, Bronnoysund, Rorvik, Trondheim, Kristiansund, Molde, Alesund, Torvik, Maloy, Floro et Bergen. Telles ont été les étapes de notre périple. Le coup de cœur incomparable que nous avons ressenti est sans conteste notre journée de navigation dans les îles Vesteralen et Lofoten où les façades vertigineuses tombent à pic sur la mer. Le clou de la journée fut le passage du Trollfjord (le fjord des trolls) étroit

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14 14 le demi-siècle février 2009 voyages et encaissé où la nature manifeste sa beauté sauvage et inaltérée. Les autres jours encore nous offrent une navigation inoubliable entre les très nombreuses îles, le long des côtes déchiquetées par l action de l océan. Au niveau du passage du cercle polaire arctique on découvre la côte du Heigeland, la terre des légendes norvégiennes avec la montagne des sept soeurs, Torghatten et la montagne percée. Puis, après quatre jours de navigation les côtes s animent de très nombreuses habitations souvent modestes. Ce sont en fait les résidences secondaires des norvégiens qui y passent quelques semaines par an. L arrivée au matin à Trondheim, ancienne capitale du royaume de Norvège, surprend. En effet, la cathédrale Nidaros (ancien nom de la ville) est comparable aux nôtres tant par sa taille que par sa majesté architecturale. La ville recèle de beaux monuments dont la plus grande maison en bois de Norvège: le palais Singsaker, devenu une résidence universitaire, les quais et ses entrepôts portuaires transformés en appartements, son vieux quartier, la place saint Olav et le vieux pont XVIIe traversant la Nidelv. Cette ville au passé prestigieux compte âmes et affiche une dynamique commerciale et industrielle forte grâce au pétrole et au gaz de la mer du nord, mais Trondheim c est aussi la latitude à laquelle l arrière pays recèle de grandes cultures, de l élevage et d importantes forêts. Le dernier jour nous amène à Bergen (2ème ville du pays) en début d aprèsmidi. Ancienne capitale du royaume à la fin du moyen âge, Bergen est un grand port qui fut l un des principaux de la ligue hanséatique, dont le quartier du vieux port Bryggen a gardé les maisons et entrepôts en bois de cette époque. La ville - classée au patrimoine mondial - et son port situés dans un cadre admirable sont riches de monuments et de musées. Economiquement, son port est toujours en liaison avec toutes les destinations de la Baltique et de l Europe. Notre croisière s achève. La dernière étape avant l envol depuis Oslo a été réalisée en train. Les six heures de voyage entre Bergen et Oslo sont magiques. Des wagons panoramiques donnent une vision d ensemble à ce magnifique paysage de forêts de neige, de glaciers, de torrents, de cultures, de fjords et de lacs. C est tout aussi grandiose que la côte norvégienne. La beauté de ce pays est bien définie par ses slogans publicitaires pour touristes. La Norvège à «l état pur» ou la Norvège «la vie grandeur nature». La capitale Oslo fut fondée vers l an Son essor majeur s effectue au 19ème siècle où sa population passe de habitants en 1850 à habitants en Ce n est qu en 1925, qu elle retrouve son nom actuel. C est Christiane IV de Danemark qui développe en 1624 la ville existante autour de la forteresse d Akershus bâtie en 1300, la ville fut rebaptisée Christiania. Aérée par de larges avenues et de nombreux espaces verts, la ville d Oslo est située au fond d un fjord profond d environ 40 km. Le port est protégé par la forteresse d Akershus. Non loin se trouve l hôtel de ville dont l esprit architectural et la décoration intérieure sont proches de celui de Stockholm. Immédiatement après l hôtel de ville se situe le cœur de la ville avec le parlement, le palais royal et l université, monuments qui se rejoignent par des jardins publics. Le quartier se prolonge par la très vivante rue piétonne Johans Gate. La ville d Oslo a inauguré en avril 2008 son nouvel opéra ultra moderne en verre et marbre blanc, ce monument devient le point de mire de la capitale et métamorphose son visage. Deux célèbres musées sont consacrés aux gloires locales, celui d Henrik Ibsen et celui d Eduard Munch, l un des précurseurs de l expressionnisme. Non loin du centre ville, le célèbre jardin de Vigelan - ou parc de Frogner - possède sur 32 ha les sculptures de cet artiste qui sont un hommage à l humanité. Cet artiste, en échange d un atelier-logement, fit don de toute son œuvre à la ville. Sa réalisation s étale de 1924 à son décès en groupes de sculptures en bronze, fer et granit - soit au total 671 figures - représentent le cycle de la vie de la naissance à l extrême maturité. Une monumentale fontaine développe le thème de la source et de l arbre de la vie. Ces thèmes sont repris par le Monolithe où 36 groupes sculptés en granit représentent les différentes périodes du cycle de la vie. La colonne de 17m de haut où s entremêlent dramatiquement 121 figures, se termine au sommet par un enfant vainqueur. Ces étonnantes statues donnent un ensemble particulièrement expressif, elles se terminent par une montre astrale qui symbolise le passage du temps. Certaines de ces sculptures sont devenues des emblèmes populaires et célèbres, en particulier «le nouveau né» au pied du lac et «l enfant fâché» sur le pont devenu le symbole de la ville d Oslo. Notre vision d Oslo a été complétée par la magnifique vue que nous avions de notre hôtel sur cette ville. En effet, notre hôtel situé à Holmenkollen, se trouve au pied du célèbre tremplin de saut à ski; cette station de sport d hiver, en banlieue d Oslo, à 417m d altitude, est reliée à Oslo par le métro. Le premier tremplin date de 1892 et a été refait sept fois. Notre retour sur Paris a été mouvementé à la suite d une panne d avion (sans chauvinisme l avion était un Boeing et non un Airbus). Nous avons raté la correspondance à Copenhague si bien que nous avons passé une nuit dans la capitale danoise avant de rejoindre le lendemain celle de la France via Stockholm. Tout est bien qui finit bien! Nos yeux encore abasourdis et notre mémoire encore toute encombrée des merveilles que nous avons vues, laissent un sentiment indéfinissable devant tant de beauté. A coup sûr, ce voyage-croisière est une très agréable manière de découvrir ce beau pays, surtout quand il est enjolivé par le soleil à midi ou à minuit. Olivier de FOUCAULD

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16 16 le demi-siècle février 2009 voyages Voyage à New York Luc-Régis GILBERT du 18 au 23 octobre 2008 Je commence par renouveler auprès de Karin tous nos remerciements. A New York, avec tant de vigilance aimable, elle a conduit le groupe de Jubilaires hélas trop peu nombreux qui s y est rendu. Notre président Pierre Lelong était en effet empêché; sa présence d aujourd hui nous confirme son prompt rétablissement. Sur les prémices que j avais exprimées au soir d une conviviale préparation au voyage de New York, je reprends quelques thèmes majeurs retenus dans notre programme qui ont marqué nos observations, nos esprits, notre sensibilité et dont nous proposons ici le débat plutôt que la narration. 1. De la ville, que dire très globalement? N est-elle pas fantastique, fabuleuse, unique au monde dans sa spécificité telle que tous la connaissent - en réalité ou par l image - et dont chacun s est déjà fait personnellement une idée, attrayante ou effrayante? Forte avant tout, une impression première en est le vent! Ce vent marin qui souffle du Labrador sur Manhattan lui donne sa dimension géante! Deux visions sont à distinguer: L une de haut, en hélicoptère, au matin d un soleil embrumé sur fond de mer dorée, offre les gratte-ciels à contre-jour, les bateaux au loin. Dans le sens longitudinal de l île, aux extrémités, se distinguent deux pôles de tours à grande hauteur (Financial District, Rockfeller Center ) et à l intermédiaire, une inflexion (Soho, Little Village, Lower East Side ). Ainsi se lit assez clairement une silhouette de la ville, traduisant sensiblement le niveau de vie des sociétés occupantes, s élevant à environ âmes, les plus nantis enserrant les moins privilégiés. L autre à fleur d eau, en vedette, au crépuscule vers la nuit, révèle la silhouette en pénombre des tours confondues en un compact bastion, perforé de cent mille petites fenêtres éclairées comme signe d activité nocturne intense, ronde mystérieuse autour d un dollar en crise! Dans sa situation géographique, Manhattan, «Ile aux Collines», se projette en avant-garde de l archipel vers l océan. Sur un ilot de pointe, implantée par dessus l ancienne défense de style Vauban qui constitue son socle, se dresse la symbolique statue de la Liberté. Sa haute ossature d acier est enveloppée d une peau de cuivre, partiellement rehaussée à la feuille d or, signal brillant à l horizon. Altérée en raison des couples électrolytiques activés par l air salin, elle vient d être restaurée pour son centenaire. Conçue et réalisée en France, transportée outre Atlantique en cargaison de 200 caisses, elle avait été remontée et inaugurée en 1886 par Bartholdi, son sculpteur, qui lui-même tira la corde du drapeau français pour en dévoiler le visage tandis que tonnaient les canons et que sonnaient les sirènes de tous les bateaux. Calles et grues hérissent les quais de Manhattan, témoignant son importance portuaire d autrefois. Les tours, elles, en hérissent le territoire serti entre l East River et l Hudson River. Elles évoquent ensemble une puissante forteresse de caractère moyenâgeux, inspirant ambitions ou rivalités entre grandes et nobles «familles», comme jadis à San Giminiano. 2. Des tours, quelles questions et quelles réponses? Problématique New York n est plus aujourd hui la seule ville spécifique de tours: voir Hong Kong, Tokyo, Dubaï tours au monde de plus de 200 m. se compromettent déjà ou prochainement, jusqu à m. de haut! Et pourquoi pas plus? Performance, prestige, pouvoir: vieil adage psychanalytique de virilité orgueilleuse!... Pourtant, on ne peut le contester, certaines audaces tant spirituelles que temporelles sont de louable architecture. Nos clochers, flèches et beffrois le prouvent, mais depuis la Tour de Babel jusqu aux Twins du World Trade Center, en passant par la Tour de Pise, le Campanile de St. Marc de Venise et la flèche de la Cathédrale de Beauvais, elles ont hélas aussi pu conduire l architecte à subir quelques déceptions ou désastres regrettables. Plusieurs contraintes demeurent en dépit de maîtrise technique: pesanteur, circulations verticales, sollicitations climatiques, sécurité Faut-il raisonnablement ou passionnément les défier? Construction New-York bénéficiait d une avance à une époque où les techniques de fondations n autorisaient pas sans risque, en sol meuble, le poids d un édifice de grande hauteur. Son sol de nature granitique résistait donc bien aux descentes de charges, ponctuelles et calculées au cm². De plus, la région s avérait peu assujettie aux mouvements sismiques. Alors, comme la population se pressait aux affaires, il fallait bien répondre le plus rapidement possible à la demande. Du même coup l évolution de la construction principalement métallique et de l urbanisation avec ses réseaux divers s en est trouvée très stimulée, techniquement et financièrement. L appétit du rendement ne tend-il pas à se substituer aux défis?... Implantation Ventilation urbaine d antipollution et par conséquent sanitaire, contre fumées, odeurs et épidémies; orientation prenant en compte lumière, ensoleillement et ombre; alimentations et assainissement; sécurité civile et incendie; sans compter métro et réseaux d électricité, de gaz et de communications... sont autant de paramètres impératifs en faveur du développement des villes, particulièremement en cas de surpopulation telle qu à New York. Hyppodamos de Milet, célèbre philosophe-urbaniste de l antiquité grecque, en avait prescrit les règles. Elles ont en effet largement fait école aux confins de la Méditerranée: Alexandrie, le Pirée, Pergame, Priène furent reconduites sur les camps romains avec les Cardo et Decumanus puis dans des villes plus contemporaines comme Barcelone. Ces paramètres classiques se traduisent par une implantation ordonnancée et réticulée de bâtiments formant îlots de plan carré

17 le demi-siècle février 2009 voyages 17

18 18 le demi-siècle février 2009 voyages

19 le demi-siècle février 2009 voyages 19 ou rectangulaire, de surface plus ou moins grande, variant selon les reliefs du sol. On comprend que cette implantation un peu rigoriste et d application plus facile en territoires plats qu en terrains à forte déclivité soit tout de même d une rationalité préférable à l aléatoire de certaines banlieues ou de ces cités de type moyenâgeux, promontoires d observation ou défensifs. Il est en outre intéressant de noter la particularité administrative et juridique du cadastre new-yorkais. En mitoyenneté, le rachat d une parcelle trop étroite pour implantation d immeuble procure l autorisation d une hauteur proportionnellement plus grande en vue d un permis de construire. On n imagine guère en effet les gratte-ciels accolés entre eux, mais quel est le bon espace de séparation? Circulation De la réticulation des îlots découle le principe d un réseau de circulations orthogonales nécessairement fluides vu la densité de la ville. Si son noyau d origine, la vieille cité emmurée dans un rempart que remplace Wall-Street - aujourd hui quartier des banques - présente un tissu cadastral quelque peu indéterminé, l extension de la ville vers le nord s est opérée suivant une maille plus régulière. Les avenues, longitudinales Nord-Sud et transversales Est-Ouest, définissent des vides par opposition aux pleins que forment les îlots. Dans le réseau urbain régulier, il faut souligner l importance de la «dissonance» volontaire que représente une avenue oblique. Il en est ainsi de Broadway - ancien Sentier des Indiens traditionnellement respecté à New-York - comme de la Diagonale à Barcelone. Cette voie fameuse apporte un «accident émotionnel» dans la géométrie de l angle droit, sorte de désordre contestataire, agréablement ressenti contre la monotonie, par les artistes ou les folâtres. Aussi est-elle largement exploitée, de jour comme de nuit, par une animation commerciale très colorée et lumineuse, fulgurante et décontractante. C est souvent là qu on se retrouve, passée l heure du business. Le monde se gênerait-il alors de quitter l officiel complet-veston-cravate, pour revêtir le bluejean pop? Espaces Verts Central Park, vaste «réserve végétale» (800 m. sur 3200 m. soit un rapport de 1 sur 4), constitue le poumon vital d oxygène, le champ d assimilation chlorophyllienne, indispensables à toute densité urbaine polluante, tels que nous les apprécions à Paris avec les Bois de Boulogne et de Vincennes, ainsi qu à Londres avec Hide-Park. Rochers, lacs, diverses essences d arbres odorants, promenades serpentines en compagnie des enfants et des oiseaux, en font un espace vert naturel reposant et divertissant, en contraste avec le monde minéral et bruyant de la rue. Vie de société, cohabitation Enfin New-York apparaît comme une ville cohabitée par des populations de niveaux sociaux et ethniques très différents. En fin du 19ème siècle et encore à l heure actuelle, pour les immigrés du monde entier aux Etats-Unis d Amérique, quelles n étaient pas difficilement supportables les conditions d accueil, dont la sélection ou plutôt la discrimination s effectuait en Govenors Island, dans d immenses, très inconfortables et redoutés locaux administratifs et sanitaires, maintenant réhabilités en musée! Le contraste dû à la ségrégation entre secteurs et rues de la ville reste d ailleurs toujours flagrant. En tous lieux ou circonstances on pourrait s attendre à des escarmouches, affrontements, révoltes comme le montrait le fameux film musical de West Side Story. Mais, sous un contrôle de police sans doute vigilant, permanent et plus ou moins ostensible, les puissances en présence s épient sans se manifester, dans un respect réciproque de liberté. Pour sa part la jeunesse se fraye ses chemins éducatifs avec probablement de bons encouragements financiers. Des prêts professionnels sont accordés en confiance aux meilleurs étudiants. La gestion universitaire majoritairement privée, confère aux grands Campus tels que Columbia ou N.Y. University, une tenue digne de Cambridge ou d Oxford, malheureusement seulement aperçue de l extérieur. Mais pour les exclus, qu en est-il de la délinquance, de la violence, de la drogue?... La religion semble «active», à en apprécier le Gospel que nous avons suivi dans la joie. Une singulière animation, librement enthousiaste, magnifiquement rythmée, chantée, presque dansée, commentée autour des textes sacrés, se distingue manifestement de nos églises catholiques, où la présence réelle inspirerait davantage de retenue en prière collective, silence intérieur, musique La culture enfin dispose certainement de très grands moyens et de larges subventions. Elle trouve par conséquent une production soutenue par le mécénat, mais elle peut aussi être stimulée par un attrait de forte fréquentation et par un esprit relativement affranchi d a priori tant en musées qu en spectacles. Les musées (Metropolitan, Arts Modernes, Guggenheim, Frick Collection), que nous avons visités, certes un peu trop hâtivement, présentent une quantité et une qualité de chefs d œuvre stupéfiantes, dans une muséographie technique et artistique particulièrement soignée. Prenant un ardant intérêt aux grandes tendances évolutives des écoles de peinture, n avons-nous pas été jusqu à oser «relancer» le débat sur le tournant historique de Picasso avec ses «Demoiselles d Avignon»? Le fameux spectacle de «Mamma Mia» nous a évidemment tous ravis par le jaillissement étoilé de ses chorégraphies, danseurs, voix, lumières mais arrêtons-là! En conclusion, je dirais que les Cinq Journées du Demi-Siècle à New York, vécues à l initiative de son Président, ont été pour ses Jubilaires comblés comme il les avait souhaitées. Impression-choc globale, approche urbaine et architecturale régénérée par la diversité créative, remise en question explosive d idées personnelles, en art, philosophie, politique et avant tout redécouverte de soi-même, face au monde en crise bouleversante que nous vivons et que nous espérons maîtriser «Yes, we can»! Luc-Régis GILBERT

20 20 le demi-siècle février 2009 conférences Les acteurs publics et privés du cycle de l eau Pierre-Frédéric TENIERE-BUCHOT 11 septembre 2008, Paris Répondant à notre invitation par l intermédiaire de notre ami André Bory, Pierre Frédéric Ténière-Buchot nous a parlé du grave problème de l eau. Gouverneur du Conseil mondial de l eau, il est membre de l Académie de l eau (France) et vice-président du programme Solidarité-Eau. Il a bien voulu nous communiquer la synthèse de son propos. B.J. Les divers acteurs de l eau Tout le monde est acteur de l eau puisque chacun la consomme et la pollue au passage. Il y a identité ou presque dans l énumération des acteurs et celle des diverses fonctions de l eau: usages domestiques individuels, agriculteurs, industriels, producteurs d énergie électrique mais aussi services urbains, navigation, pêche et pisciculture, associations de protection de l environnement, associations sportives Tout cela repose sur les extraordinaires propriétés de l eau pour transporter et dissoudre les déchets, autrement dit laver, pour refroidir et évapotranspirer (l irrigation), faire flotter, apaiser, embellir. Cette approche technique n est toutefois pas la seule à garder en mémoire. L eau sépare ou unit les hommes à l occasion de ses divers usages, que ceux-ci soient publics ou privés, c est égal. Conflits lorsqu elle est rare et disputée mais aussi entraide solidaire et généreuse en cas de fléaux partagée: inondations, sécheresses, catastrophes écologiques. Plus positivement, l entente au sujet de l eau peut également résulter d une bonne gestion, respectueuse de l environnement et soucieuse des possibilités économiques des usagers. On l appelle désormais le développement durable. La gouvernance de l eau Les relations sociopolitiques entre les usagers de l eau et leurs institutions publiques, les règles juridiques et économiques en vigueur qui définissent les rapports entre pouvoirs publics, entreprises et services privés et consommateurs sont désignés par le terme de gouvernance. Analyser cette notion revient à visualiser un triangle dont les trois sommets correspondraient respectivement aux pouvoirs publics (centraux ou fédéraux, municipaux ou locaux), aux constructeurs d ouvrages hydrauliques (le plus souvent privés) et opérateurs des services de l eau (que ceux-ci soient publics, privés ou mixtes), enfin aux consommateurs finals de l eau (usagers privés domestiques, industriels, agricoles, associatifs, usagers publics urbains et institutionnels) Les côtés de ce triangle observent trois équilibres structurels: La correspondance qui doit exister entre la réglementation publique (normes et standards pour les prélèvements d eau et les rejets pollués, notamment) et les «bonnes pratiques» (Agenda 21) (1) couramment observées par la plupart des usagers; L équilibrage politique réalisé entre les forces du marché (industries et services de l eau) et la régulation publique: d un côté le lobbying des intérêts marchands, de l autre l intervention du secteur public dans les affaires privées (présence dans les conseils d administration, fiscalité, contrôles et contraintes tarifaires) Enfin, les exigences de quantité et de qualité de l eau distribuée, de niveau de protection de la nature, de mécanismes de solidarité que peuvent faire valoir les usagers sont à mettre en rapport avec la tarification directe (le prix de l eau) ou indirecte (les impôts et taxes) des divers services rendus dans ce domaine Le cas, hélas majoritaire, des pays pauvres doit ici être mentionné: le triangle précédent n est pas formé. Les pouvoirs publics n exercent pas leur volonté, les opérateurs, souvent des vendeurs d eau ambulants, n assurent pas un service réel bien qu onéreux, les usagers paient souvent cher l eau mais pas les taxes qui permettraient d épargner et de progresser Pas de bonne gouvernance sans financiers L eau de bonne qualité est rare et coûte cher. L industrie de l eau n est pas très attirante: risques politiques, économiques, techniques nombreux, délais administratifs et de réalisation importants, rentabilité faible en comparaison d autres flux comme l énergie ou les télécommunications. L expression «partenariat public privé» est donc une figure de style que l on observe plus souvent dans les discours que dans la réalité. Afin de créer un état propice de confiance partagée, il faut donc déployer une volonté particulière tant du côté des institutions publiques que de celui des intérêts financiers, qu ils soient publics ou privés. Il s agit en fait de garantir les opérations, mobiliser l épargne locale sur des durées longues, assurer grâce à des tarifs adaptés la sécurité du service de la dette. Ces préalables sont indispensables. En Europe, la moitié du prix de l eau est dédiée à des remboursements d emprunts, paiements d intérêts, constitutions de provisions pour amortissement. L eau sans les ingénieurs, techniciens, scientifiques n est qu un milieu naturel que les hommes ne peuvent que très partiellement utiliser. L eau sans les financiers publics et privés n est qu un espace de désolation où tout développement économique et social est proscrit. Savoir accorder tous les talents est finalement le métier que l administrateur de l eau doit accomplir. Si tel est le cas, l eau sera abondante et bon marché. Des problèmes surgiront en revanche si ce rôle de rassembleur n est pas compris. C est ainsi que près d un milliard de personnes n ont toujours pas accès à l eau potable de nos jours et que près de 2,5 milliards ne sont dotés d aucun

21 le demi-siècle février 2009 conférences 21 dispositif d assainissement, même simple Ecouter le terrain et agir en conséquence Un ouvrage de référence (2) traitant de ces questions recommande de complètement renverser le processus décisionnel de l eau, notamment dans les Pays qui connaissent des difficultés de pauvreté et de service d eau (ces deux problèmes sont toujours liés). Pour résumer, c est la demande des acteurs du terrain qui doit commander la mise en œuvre de l offre publique et privée centralisée (approche bottom up) et non l inverse (top down) où les échelons supérieurs décident les besoins du terrain alors qu ils n en font pas partie. Une telle révolution, qui obéit plus à des exigences d efficacité qu à des considérations idéologiques, nécessite une réelle volonté politique des pouvoirs publics de donner à l eau le rang de priorité qu elle n a pas encore. Cela implique également des actions locales de renforcement institutionnel (capacity building) et le recours à de nombreux arbitres (en particulier, des scientifiques et des associations de terrain) pour apaiser les inquiétudes, expliquer, écouter les acteurs du terrain auxquels on demande un effort pour devenir les bénéficiaires durables des programmes d équipement envisagés. L accès à l eau et à l assainissement devient un droit pour autant que l attention nécessaire soit accordée politiquement, financièrement et techniquement à ce progrès indispensable au bien-être de l humanité. Il ne s agit donc pas seulement d en parler mais de travailler sans relâche à son accomplissement. Pierre-Frédéric TENIERE-BUCHOT (1) Cf. les recommandations du Sommet de la Terre, Rio de Janeiro, 1992 (2) Eau ; Bertrand Badré, Ivan Chéret, Pierre-Frédéric Ténière-Buchot; éditions Robert Laffont, Paris 2004 Le rôle du pharmacien et la délivrance des médicaments en France Paul JEANNETEAU 9 octobre 2008, Paris Paul Jeanneteau, pharmacien d officine et député du Maine et Loire a traité avec sa compétence de professionnel et d élu le thème de l organisation de la délivrance des médicaments en France et de ses mérites. Rappelons qu il est le neveu de notre ami Michel Beauvais grâce a qui cette conférence a été possible. Monsieur Jeanneteau nous a fait parvenir son texte, afin de le présenter ici dans notre bulletin. B. J. Avant d évoquer le mode de dispensation du médicament en France, il est sans doute nécessaire de préciser que le pharmacien peut se définir comme l expert du médicament, de sa conception à sa délivrance. Pour exercer ses compétences, il doit être titulaire d un diplôme obtenu après six années d études supérieures sanctionnées par un doctorat. Ce diplôme ouvre sur des secteurs d activités très divers: -l officine -le corps des inspecteurs de santé -l hôpital -l industrie fabrication de médicaments, recherche -la biologie laboratoire d analyses médicales -l enseignement supérieur -la répartition pharmaceutique. C est une profession hautement qualifiée, strictement encadrée par la loi et un conseil de l ordre au service constant de la population. Le pharmacien est un acteur de santé de premier recours car proche, dont on pousse facilement la porte et dont le conseil est gratuit. Il intervient de plus en plus dans les campagnes nationales de prévention. L ordre des pharmaciens recense pharmaciens en exercice dont titulaires d officine, biologistes et exerçants dans des établissements de santé. La pharmacie d officine aujourd hui, c est officines, soit une pharmacie pour habitants générant emplois et qui constituent l un des rares réseaux structurés d offre de soins de proximité prêt a relever le lourd défi du vieillissement de la population. Elles dessinent un maillage cohérent du territoire qui permet un accès simple et rapide aux médicaments. Cependant la pharmacie n est pas simplement un lieu de délivrance de médicaments. On y trouve du matériel médical ou orthopédique et de nombreux conseils en particulier pour le maintien ou le retour a domicile des personne âgées ou hospitalisées. La répartition des Pharmacies est bien équilibrée sur le territoire national en raison d un double cliquet: -le numerus clausus en 1ère année de pharmacie, -le numerus clausus a l installation. Aujourd hui la pharmacie est la seule profession médicale qui ne pose aucun problème de densité et de démographie aux pouvoirs publics. L outil informatique est très présent dans les pharmacies françaises. Il est utilise pour augmenter les performances: gestion et suivi du tiers payant, télétransmission, gestion du stock, accès au stock des grossistes répartiteurs. Grâce a l outil informatique, la profession développe seule et a coût modéré le dossier pharmaceutique (D.P.). Les informations de délivrance et d achat de tous les médicaments sont stockés dans un serveur hors de la pharmacie mais accessibles par

22 22 le demi-siècle février 2009 conférences l activation de la carte vitale; le dossier pharmaceutique n empêche pas le nomadisme pharmaceutique et médical, justifié ou non mais permet d en supprimer les conséquences en prévenant les interactions médicamenteuses. Au 29 septembre 2008, D.P. ont été crées dans officines. En décidant la création d un D.P. a son nom, le patient permet au pharmacien chez lequel il se rend de connaître l ensemble des médicaments prescrits ou non qui lui ont été délivrés les quatre derniers mois. Depuis plusieurs décennies, la pharmacie joue le jeu de la réduction des dépenses de santé. Tout d abord en donnant aux pharmaciens le droit de substitution qui permet au professionnel de remplacer un produit princeps par une copie de ce même produit beaucoup moins cher. L utilisation des génériques s est considérablement développée en France. D autre part le D.P. doit contribuer à réaliser des économies en diminuant le nombre des maladies iatrogènes. Il faut noter que l informatisation des officines a été réalisée sans l aide de la sécurité sociale, ce qui n a pas été le cas pour les cabinets médicaux. Enfin la marge brute sur les médicaments s inscrit dans un contexte de baisse continue et régulière depuis plus de 20 ans. Même si chacun est conscient des efforts qu il faut déployer pour essayer de revenir à un équilibre des comptes de l assurance maladie, il faut cependant veiller à ne pas constamment imposer au secteur pharmaceutique de nouvelles mesures. Pour la cour des comptes il y a pharmacies de trop. Ses magistrats proposent de diminuer les revenus de toute la profession pour forcer les plus petites pharmacies à se regrouper. Si elle était adoptée de façon drastique cette mesure conduirait prioritairement à une destruction du réseau dans les zones les moins attractives que ce soit en milieu rural ou dans les quartiers urbains sensibles L évolution des traitements ouvre de nouvelles possibilités au pharmacien qui doit prendre sa place dans l éducation thérapeutique, c est à dire la formation des malades à l administration de leur médicament. De même le pharmacien va devenir de plus en plus prescripteur. C est déjà le cas pour la pilule dite du lendemain, c est le cas pour le vaccin antigrippal et cela sera vrai dès 2009 pour les contraceptifs oraux. Enfin à la demande de l Union européenne, se pose, à court terme, le problème de l ouverture du capital des officines de Pharmacie françaises a des investisseurs étrangers à la profession. C est particulièrement dangereux car lorsqu un investisseur prend une participation c est toujours avec un objectif de retour sur investissement, ce qui n est que très rarement en phase avec l insert du réseau et du point de vente. Cela sans compter les risques de conflits d intérêts entre l investisseur et le pharmacien, car le Pharmacien a le droit et le devoir de pouvoir dire NON, de faire un refus de vente. Il est primordial de répondre aux attaques dont la pharmacie d officine est régulièrement l objet car défendre le rôle du pharmacien ce n est pas défendre de petits intérêts personnels mais défendre la place du médicament dans notre société, c est-à-dire sa mise au point, sa distribution et sa délivrance. Défendre le mode de dispensation du médicament c est en l occurrence défendre la santé des patients. Le mode de délivrance du médicament est sans doute encore plus pertinent aujourd hui qu hier. Pourquoi? Parce que les médicaments sont de plus en plus efficaces et donc de plus en plus toxiques et dangereux. Il faut donc un contrôle précis compétent et très professionnel lors de leur délivrance. Dans une société qui souhaite tendre vers le risque zéro il serait étonnant de voir des molécules qui ne sont jamais inoffensives seules ou associées vendues et non délivrées sans contrôle avec tous les risques potentiels que cela engendre. Ce serait d autant plus surprenant que dès qu un problème apparaît on demande au législateur de s en emparer pour en éviter par la loi toute nouvelle apparition. Défendre le modèle français de dispensation du médicament ne veut pas dire rester figé. Des boiseries supportant des pots remplis de baumes et de thériaques aux univers très éclairés et informatisés, des pommades au mercure à l E.P.O., la pharmacie a su s adapter aux demandes des patients et aux évolutions thérapeutiques. Une vision d avenir? Un regroupement des pharmacies serait souhaitable lorsque cela est possible, mais il faudrait respecter le maillage sur l ensemble du territoire, sans oublier que la pharmacie des villes et la pharmacie des champs n ont pas toujours le même visage. Paul Jeanneteau Les places royales et la place de la Concorde Claude DUCOUX 11 décembre 2008, Paris Nous avons, en cette traditionnelle soirée du Demi-Siècle, commémorative de la Sainte Lucie en 2008, l honneur et le plaisir d accueillir Claude Ducoux, architecte D.P.L.G., vice-président de l Académie d architecture, ainsi que son épouse. Né à Athènes le 9 août 1932, de père architecte parisien - architecte de l Ecole française d Athènes - et de mère stambouliote, il vécu en Grèce jusqu à l âge de 10 ans. Il épousa Janine, médecin ophtalmologiste. Il fit ses études d architecture à l Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris puis d urbanisme au Séminaire Tony Garnier. 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