RETRECISSEMENT DE L'URETRE
|
|
- Diane Clotilde Bénard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RETRECISSEMENT DE L'URETRE
2
3 Table des matières Table des matières 3 I - Rappel anatomique 9 II - Physiopathologie et étiologies 11 A. Mécanisme des sténoses...11 B. Etiologies Sténoses congénitales Sténoses iatrogènes Sténoses post-traumatiques Sténoses post-infectieuses : (ou inflammatoires) III - Etude clinique 13 A. Manifestations cliniques Symptômes liés à l'obstruction urinaire Complications infectieuses aiguës ou chroniques B. Examen clinique...14 IV - Examens complémentaires 15 V - Diagnostique différentiel 17 VI - Traitement 19 A. Méthodes Méthodes endo-urétrales Chirurgie conventionnelle...20 B. Indications...21 VII - QCM 23 3
4
5 Objectifs 1. Expliquer les mécanismes physiopathologiques d'un rétrécissement de l'urètre. 2. Enumérer les différentes étiologies d'un rétrécissement de l'urètre. 3. Décrire les manifestations cliniques évoquant un rétrécissement de l'urètre. 4. Confirmer, grâce à des examens para-cliniques, le diagnostic d'un rétrécissement de l'urètre. 5. Organiser une prise en charge thérapeutique d'un rétrécissement de l'urètre en fonction du degré de sa sévérité et de son caractère évolutif. 5
6
7 Introduction A l'état normal, l'urètre masculin est un canal souple, circulaire et élastique dont la lumière est virtuelle, s'ouvrant sous l'effet du flux mictionnel. Le rétrécissement, ou plus précisément la sténose de l'urètre peut être définie comme une réduction du calibre, plus ou moins étendue, du canal urétral. C'est une affection fréquente qui fait partie du quotidien de l'urologue. Son incidence est en augmentation régulière. En fait, le rétrécissement urétral est avant tout une affection de l'homme. L'origine infectieuse n'est plus prédominante, devancée par les causes traumatiques et surtout iatrogènes. Les sténoses de l'urètre féminin sont très rares, et elles intéressent la partie la plus distale : sténose congénitale, sclérose du méat, et très rarement cancer de l'urètre. 7
8
9 Rappel anatomique I - I L'urètre masculin, conduit évacuateur des urines et du sperme, est défini anatomiquement par deux portions : une portion postérieure fixe, regroupant l'urètre prostatique et l'urètre membraneux et une portion antérieure mobile, constituée de l'urètre bulbaire et de l'urètre pénien (figure 1). L'urètre membraneux, long de 2cm, s'étend de l'urètre prostatique à l'urètre bulbaire en traversant le diaphragme uro-génital. Cette portion particulièrement fixe de l'urètre est la plus vulnérable lors des traumatismes du bassin. Au repos, la longueur de l'urètre est de 16 à 17 cm. Le calibre de la lumière urétrale est variable, en rapport avec la miction : virtuelle en dehors des mictions, elle atteint 9 mm lors des mictions avec 3 zones plus dilatées : sinus prostatique, sinus bulbaire, et fosse naviculaire La paroi urétrale est constituée d'une muqueuse, d'une sous-muqueuse et d'une couche externe. Cette dernière est musculeuse dans la portion postérieure et érectile dans la partie antérieure, constituée par le corps spongieux, dont la partie la plus distale s'émancipe pour former le gland 9
10 Rappel anatomique Image 1 : Figure 1 : Représentation schématique de l'urètre masculin 10
11 Physiopathologie et II - étiologies II Il existe 4 types étiologiques de sténoses de l'urètre : congénitales, iatrogènes, post-traumatiques, et post-infectieuses. A. Mécanisme des sténoses Quelle que la cause, la physiopathologie reste la même. La lésion initiale est une rupture de la continuité urétrale en rapport avec une abrasion, une ulcération, une perforation, ou une dilacération de tout ou une partie de la paroi. La cicatrisation, considérablement favorisée par une dérivation des urines vésicales, est obtenue par épithélialisation de la blessure urétrale. En l'absence de dérivation urinaire, la plaie urétrale reste «agressée» par le flux urinaire. Le tissu péri-urétral est irrité, ce qui entraîne une fibrose autour de laquelle le calibre de la lumière urétrale diminue au fur et à mesure que l'épithélialisation couvre la blessure. La fibrose, en particulier sur la paroi antérieure, peut être si intense qu'elle peut s'organiser à distance de la blessure initiale, réalisant parfois des sténoses moniliformes d'une grande longueur (en particulier en cas de sténose post-infectieuse). B. Etiologies 1. Sténoses congénitales Elles sont rares. Il s'agit d'une perméabilisation incomplète de la membrane uro-génitale. Leur localisation est toujours située à la jonction de l'urètre membraneux (d'origine endodermique) et de l'urètre bulbaire (d'origine ectodermique) Il existe aussi des sténoses méatiques congénitales Elle sont souvent bien tolérées et peuvent se manifester tardivement à l'âge adulte. 2. Sténoses iatrogènes Elles représentent la cause la plus fréquente actuellement. 11
12 Physiopathologie et étiologies Elles sont secondaires à une éraillure de la muqueuse au cours d'une manœuvre instrumentale (après sondage urétral ou geste endoscopique). Ces sténoses peuvent intéresser n'importe quel segment de l'urètre mais surviennent surtout au niveau des zones les plus étroites ou fixes (méat urétral, fosse naviculaire, cul de sac bulbaire). Les mécanismes impliqués sont la fosse route, la nécrose par pression de contact, ou l'urétrite méconnue sur sonde entraînant une cicatrice sténosante. 3. Sténoses post-traumatiques Elles succèdent habituellement aux ruptures de l'urètre. Certaines ruptures partielles peuvent passer inaperçues et se manifester seulement par le rétrécissement ultérieur. Selon le mécanisme du traumatisme, la localisation sera membraneuse ou bulbaire. Il faut insister à nouveau de ne jamais sonder un malade ayant un traumatisme ou une suspicion de traumatisme du bassin avant d'avoir éliminer une rupture de l'urètre. Quelques cas particuliers sont mis à part comme la rupture de l'urètre antérieur associée à une fracture de verge ou les traumatismes intraurétraux volontaires lors de conduites sexuelles déviantes, ou de pathologies psychiatriques. 4. Sténoses post-infectieuses : (ou inflammatoires) Survenant rarement après une urétrite banale, le rétrécissement inflammatoire a une cause essentielle : la blennorragie. En effet, la sténose de l'urètre représente la complication classique des urétrites gonococciques non ou mal traitées et peuvent survenir plusieurs années après l'épisode infectieux. La sténose est le plus souvent longue, intéressant la lumière du canal et tout le tissu péri-urétral en rapport avec l'infection et l'inflammation des glandes péri-urétrales. Les sténoses inflammatoires sont devenues aujourd'hui beaucoup moins fréquentes grâce au traitement adéquat et rapide des urétrites. Les rétrécissements inflammatoires d'origine tuberculeuse sont très rares. 12
13 Etude clinique III - III A. Manifestations cliniques Une sténose de l'urètre doit être évoquée devant des symptômes liés à l'obstruction urinaire ou à ses complications, en particulier infectieuses aiguës ou chroniques. 1. Symptômes liés à l'obstruction urinaire La symptomatologie est faite de troubles mictionnels avec : Dysurie ++ : d'installation progressive avec une miction lente, un jet faible interrompu, et des gouttes retardataires ou la classique miction «goutte à goutte». - La dysurie peut aboutir d'une manière brutale à une rétention aiguë d'urines qui peut être le symptôme révélateur du rétrécissement Ou lentement, à une rétention vésicale chronique avec miction par regorgement 2. Complications infectieuses aiguës ou chroniques Prostatite aiguë Orchi-épididymite aiguë Urétrite chronique avec goutte matinale Insuffisance rénale chronique B. Examen clinique L'examen clinique est souvent pauvre. L'interrogatoire doit rechercher des antécédents d'urétrites, de sondages, de manœuvres endoscopiques ou de traumatismes. Le toucher rectal, souvent normal, peut retrouver des séquelles de prostatite L'examen de la verge et surtout du méat recherche un orifice punctiforme ou une sclérose. L'examen des bourses recherche des séquelles d'épididymites. Enfin, la palpation de l'hypogastre peut retrouver un globe vésical. 13
14
15 IV - Examens complémentaires IV 1. Biologie : On réalise systématiquement un ECBU et une créatinémie pour éliminer respectivement une infection urinaire et une insuffisance rénale. 2. Débitmétrie : La débitmétrie a souvent un aspect caractéristique «en plateau» (courbe plate avec un débit maximum très diminué inférieur à 10 ml/sec.) 3. UIV avec clichés mictionnels : L'UIV visualise la sténose, précise son siège, sa longueur, et l'aspect du reste de l'urètre. Elle permet en même temps d'apprécier le retentissement sur l'appareil urinaire 4. Urétro-cystographie mictionnelle : - Au mieux antérograde par ponction sus-pubienne pour éviter trauma l'urètre. - Rétrograde : caractérise au mieux la sténose, mais son indication doit rester prudente (risque infectieux) 5. Urétrocystoscopie : Elle réalisée en cas de doute diagnostique. Image 2 : Figure 2 : UCR : sténose de l'urètre bulbaire 15
16
17 V - Diagnostique différentiel V Il est facile d'éliminer les autres causes de troubles mictionnels chroniques : Hypertrophie bénigne de la prostate (TR, échographie) Cancer de la prostate (TR, PSA) Prostatite chronique Maladie du col vésical (UCR) Vessie neurologique acontractile (bilan urodynamique) 17
18
19 VI - Traitement VI Le traitement des sténoses de l'urètre est difficile à cause des récidives fréquentes. De nombreuses techniques ont été proposées pour traiter les sténoses de l'urètre. A. Méthodes 1. Méthodes endo-urétrales a/ Dilatations urétrales : On utilise des sondes rigides de calibre de plus en plus important qui sont enduites d'un gel lubrifiant et anesthésiant. C'est un geste simple, effectué en consultation sous anesthésie locale et peut être renouvelé facilement. Il est néanmoins rare qu'une dilatation permette à elle seule d'obtenir des guérisons définitives. On peut être amené à proposer à certains patients «récidivistes» de s'autosonder régulièrement pour maintenir béante la lumière urétrale. b/ Urétrotomie interne endoscopique : Le principe est de réaliser une incision de toute l'épaisseur de la paroi urétrale au niveau de la zone sténosée, à l'aide d'une lame froide tranchante, sous contrôle de la vue. Cette intervention est réalisée sous anesthésie générale ou locorégionale au cours d'une courte hospitalisation. L'urétrotomie doit intéresser toute la longueur de la sténose. Une sonde trans-urétrale est mise en place pendant 1 à 5 jours, de façon à drainer les urines et faciliter la cicatrisation. L'urétrotomie endoscopique est surtout efficace en cas de sténose peu étendue, sans réaction péri-sténotique fibreuse. D'une façon générale, les récidives ne sont pas rares et il semble illusoire, pour guérir le patient, de répéter les urétrotomies au-delà de 3 ou 4 tentatives. c/ Endoprothèses urétrales : Il s'agit de petits tubes insérés par voie endoscopique à l'intérieur du canal urétral. Il existe différents types de prothèses selon leur composition. Elles peuvent être enlevées au bout de quelques semaines ou laissées en place définitivement et sont alors réhabitées par l'urothélium. 19
20 Traitement L'inconvénient est la réaction inflammatoire importante au contact de la prothèse. Image 3 : Figure 3 : UIE technique 2. Chirurgie conventionnelle Elle est indiquée en cas de sténoses multi opérées, multi récidivées (échec de 2 urétrotomies). Il existe plusieurs techniques opératoires d'urétroplastie, en un ou deux temps : a/ Urétroplasties en un temps : Résection anastomose termino-terminale : intervention de choix si la sténose est courte de (2 à 3 cm). C'est souvent la technique employée dans les lésions de l'urètre après fracture du bassin. Greffes (peau pénienne, prépuce, muqueuse buccale) Lambeaux (prépuce, scrotum) : en cas de rétrécissements compliqués, opérés péalablement. b/ Interventions en 2 temps : Le principe est de mettre à plat l'urètre largement en zone sténosée, puis reconstruire après quelques mois un tube urétral en utilisant la peau. Cette technique est réservée aux cas très difficiles. 20
21 Traitement Image 4 : Figure 4 : Urétroplastie chirurgicale B. Indications Elles dépendent de la nature de la sténose, de sa localisation, de sa longueur, de son ancienneté, des traitements déjà effectués, et des souhaits du patient. On peut proposer le schéma suivant : - Traitement de 1ère intention : Urétrotomie interne endoscopique (renouvelable 1 à 2 fois en cas de récidive) - Si récidive : Dilatations itératives Chirurgie ouverte Prothèse urétrale - Sténoses très étendues : chirurgie ouverte (en particulier urétroplastie en en 2 temps) 21
22
23 VII - QCM VII Exercice 1 Parmi les étiologies suivantes, quelle est celle qui ne peut être mise en cause en cas de rétrécissement urétral : Urétrite gonococcique Antécédents de sondage vésical Traumatisme du bassin Fracture de la verge Pyélonéphrite aiguë Exercice 2 Un rétrécissement urétral peut se manifester par : Une dysurie. Une rétention aiguë d'urine. Une rétention vésicale chronique. Une hématurie récidivante. Une cystite aiguë. Exercice 3 Parmi les examens para-cliniques suivants, quels sont ceux qui sont utiles pour le diagnostic d'un rétrécissement urétral? Urétroscopie. Débitmètre. Uro-scanner. Echographie vésicale. Urétro-cystographie rétrograde (UCR). Exercice 4 23
24 QCM Quel est le traitement de première intention devant un rétrécissement inflammatoire serré étendu sur 2 cm au niveau de l'urètre bulbaire de primo découverte? Prothèse urétrale Urétroplastie en un temps Urétrotomie interne endoscopique Dilatations urétrales Chirurgie reconstructive par lambeau scrotal. 24
25 Conclusion Le rétrécissement de l'urètre est une pathologie fréquente de l'homme dont l'incidence augmente avec la multiplicité des gestes endoscopiques et l'usage immodéré du sondage urétral. Son traitement est difficile avec un risque élevé de récidives dont la majorité surviennent au cours de la première année. Plus la sténose est longue, fibrotique, et incisée préalablement, plus le succès est limité. Bien que l'urétrotomie interne soit le premier choix dans la majorité des rétrécissements urétraux, il reste un bon nombre de cas à traiter par chirurgie ouverte. 25
INCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailva être opéré d un hypospadias
Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications
Plus en détailTRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne
TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailPROTOCOLE SONDAGE VESICAL
DOMAINE : SOINS N version : 1 PROTOCOLE SONDAGE VESICAL Date application : 18/09/2009 8page(s) (R/V) Rédaction / date Validation / date Approbation / date Diffusion / date Actualisation / date A LECOQ/
Plus en détailTraitement des sténoses de l urètre pénien par urétroplastie avec patch pédiculé dorsal : «Urétroplastie en toit»
ARTICLE ORIGINAL Progrès en Urologie (1998), 8, 1022-1028 Traitement des sténoses de l urètre pénien par urétroplastie avec patch pédiculé dorsal : «Urétroplastie en toit» Abdel-Wahab EL-KASSABY, Magdy
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailLE TRAITEMENT DES STENOSES URETRALES PAR LASER
UNIVERSITE DE GENEVE FACULTE DE MEDECINE Section de médecine clinique Département de chirurgie Clinique et policlinique d urologie Thèse préparée sous la direction du Professeur Christophe Iselin LE TRAITEMENT
Plus en détail«Docteur, j ai la prostate!»
«Docteur, j ai la prostate!» Texte D r Alain BITTON Urologue FMH Genève Conception et graphisme Comic Brains, Pécub Introduction 1 «Docteur, j ai la prostate! Pour moi, ce sera une opération au laser comme
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailBrochure d information destinée au patient. Comment pratiquer l auto-sondage intermittent?
Brochure d information destinée au patient Comment pratiquer l auto-sondage intermittent? Sommaire de la brochure Ce guide complète les informations qui vous ont été données par le médecin et l infirmière.
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailIncontinence urinaire : trop souvent taboue
Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailProstate Une petite glande de grande importance
Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détaild une Dr Ei Eric Peterman
d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailPositionnement de l implant
HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailCENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital
CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers
Plus en détailL opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE
1 L opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE Informations concernant la chirurgie et la rééducation fonctionnelle destinées aux patients Yves CASTILLE Docteur en Réadaptation et Kinésithérapie Service de
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailIncontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris
Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailIncontinence urinaire en gériatrie. DR Depireux urologue DR Noël l interniste
Incontinence urinaire en gériatrie DR Depireux urologue DR Noël l interniste Vieillissement Variabilité interindividuelle des effets du vieillissement. Aboutissement à un groupe hétérogh rogène du point
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailLa vessie neurogène (VN)
La vessie neurogène (VN) Dr. Eugenia Luca, Service de Paraplégie CRR Sion, le 26.03.2015 Introduction Les troubles urinaires associés aux maladies neurologiques sont fréquentes et d expression polymorphe.
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailL Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien
L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : DERMATOLOGIE ET VENEROLOGIE ADC - Acte de chirurgie BAFA005 1 (I, O) BAFA006 1 0 Exérèse non transfixiante de lésions multiples
Plus en détailQue savoir sur la chirurgie de la HERNIE INGUINALE A la clinique SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?
Que savoir sur la chirurgie de la HERNIE INGUINALE A la clinique SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE INGUINALE EN AMBULATOIRE
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLes maladies valvulaires
CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies
Plus en détailDIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :
DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La
Plus en détailLes cancers de la prostate
Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailLES CONSÉQUENCES. tricales. Juridiques
LES CONSÉQUENCES Médicales, Gynécologiques et Obstétricales tricales Juridiques Les complications Complications médicales m immédiates Hémorragie (section art clitoridienne) : cataclysmique ou secondaire
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailUn avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système
Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer
Plus en détailEXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE
EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE Pr Claude Hocké Pôle Gynécologie- Obstétrique-Reproduction Hôpital Pellegrin CHU Bordeaux 1 INTERROGATOIRE IL RESTE FONDAMENTAL ET PEUT ÊTRE DIVISÉ
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Dr. René Yiou Service d urologie et département d anatomie CHU Henri Mondor 51, avenue du Maréchal de-lattre-de-tassigny 94010 Créteil Tel: 0149812559 Fax: 01.49.81.25.52 Email: rene.yiou@hmn.ap-hop-paris.fr
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailCampagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie
Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailLa maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée
Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailTHEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL
THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL DÉFINITION DE L ACCIDENT DU TRAVAIL Il faut rappeler que tout ce qui arrive sur le lieu du travail n est pas constitutif d un accident du travail au sens légal du terme. La
Plus en détaill implantologie basale
Plaquette n 17 6/11/08 11:04 Page 1 Apport de l implantologie basale dans les reconstructions implantaires fixes : une alternative aux greffes osseuses? Denis DOUGNAC-GALANT L omnipraticien est, dans son
Plus en détailQue savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?
Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE DE LA LIGNE
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailLe terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite.
Chapitre 21 : Maladies du système génito-urinaire (Traduction de la p259) Aperçu du chapitre Les maladies du système génito-urinaire sont classées dans le chapitre 14 d ICD-10-CM. Elles ne sont pas dans
Plus en détail