INCENDIE-FEU LA MEILLEURE DES PROTECTIONS, C EST UNE BONNE CONCEPTION!

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "INCENDIE-FEU LA MEILLEURE DES PROTECTIONS, C EST UNE BONNE CONCEPTION!"

Transcription

1 INCENDIE-FEU LA MEILLEURE DES PROTECTIONS, C EST UNE BONNE CONCEPTION!

2 Afin de vous aidez dans la conception de vos projets Joris Ide NV vous fait part, au travers de cet ouvrage, de ses nouveaux systèmes constructifs acier «incendie-feu» dans le respect des règlementations en vigueur. Notre équipe technique se tient à votre disposition pour répondre à toutes vos questions et vous apporter conseil sur vos choix constructifs. FM GLOBAL ET FM APPROVALS FM global est la plus grande compagnie d assurance au monde pour bâtiments commerciaux. La politique de FM Global consiste à utiliser des produits certifiés par FM Approval pour la réalisation des ouvrages concernés, a fortiori lorsque ces produits sont disponibles localement. FM Approval est l organisme de qualification et de certification de FM Global, il fait appel à des normes pour l évaluation des panneaux sandwich de bardage et de couverture: Le standard 4880 pour des procédés de panneaux sandwich dit de classe 1 (performance au feu) Le standard 4881 pour des procédés de bardage extérieur Le standard 4471 pour des procédés de couverture Lorsque qu un panneau a fait l objet du seul standard 4880, son usage est limité aux cloisons internes de l ouvrage. Les standards 4881 et 4471 permettent alors d étendre le champ d application à la couverture et au bardage.

3 Philosophie & notions PHILOSOPHIE DE LA SÉCURITÉ INCENDIE Aborder la problématique «incendie-feu» dans le cadre de la conception, ou la réhabilitation, d un ouvrage consiste avant tout à protéger les personnes et les biens tout en limitant la propagation de l incendie. La notion de risque d incendie est souvent rattachée à la conception de systèmes aptes à limiter, voir inhiber, les conséquences du déclenchement du sinistre. Ce risque peut se traduire par la potentialité de l apparition du feu et les dommages qu il occasionne, tant sur les personnes occupant les locaux que sur la structure même de l ouvrage. La prévention du risque incendie fait ainsi l objet de dispositions, d arrêtés et exigences réglementaires fixés par les pouvoirs publiques français et dont les objectifs sont : L empêchement de la création du feu et la limitation de sa propagation ; La protection et l évacuation sécurisée des personnes ; Des dispositifs assurant l intervention des personnels du lutte incendie et facilitant la mise en œuvre de leurs moyens. L acier est un matériau qui s inscrit en droite ligne des ces ambitions : L acier ne permet pas au feu de se propager : c est un matériau incombustible ; L acier inhibe la propagation des fumées toxiques et mortelles : c est un matériau étanche aux flammes et aux gaz ; L acier utilisé pour la structure de l ouvrage assure la stabilité de ce dernier à haute température avec une protection adéquate. QUELQUES NOTIONS SUR LE FEU Pour apparaître et se propager, le feu a physiquement besoin de trois éléments : Une source de chaleur (de calories) ; Un comburant : généralement l oxygène ; Un combustible. Sous l action d une source de chaleur (qui joue le rôle d énergie d activation) qui atteint une température critique (dite d inflammation), le feu naît de la combustion entre l oxygène de l air ambiant et un combustible solide, liquide voire gazeux. Lorsqu un matériau solide, liquide ou gazeux entre en combustion, la chaleur provoquée se propage simultanément par rayonnement, convection et conduction (voir notre documentation thermique pour une définition de ses trois phénomènes) : Le rayonnement permet à l incendie de «contaminer» un autre matériau par le truchement de la propagation d ondes électromagnétiques ; La transmission par convection nécessite un mouvement naturel ou forcé de gaz (généralement de l air) ; La conduction transmet de la chaleur à un matériau solide en contact physique avec un autre en combustion. Un quatrième phénomène, propre au feu (et non pas à la thermique) a été constaté notamment lors de la propagation d incendie sous l action du vent : c est l effet «BRANDON» qui caractérisent la propagation de particules enflammées (escarbilles, etc.) sous l action du vent. En relief accidenté, le feu «saute» alors d un versant de la montagne à l autre. 1

4 Philosophie & notions L initiation du feu ne constitue que la première étape de la propagation de l incendie. Ce dernier évolue selon 4 phases distinctes C 1000 C 500 C Flash Over première phase démarrage deuxième phase déclenchement embrasement généralisé retombée de l incendie En effet ; la phase d ignition (démarrage) du feu durant laquelle le feu dit «couvant» dégage les premiers gaz et fumées, laisse place au déclenchement propre de l incendie. Le foyer reste local, phase de déclenchement, mais gagne en intensité avec le développement du phénomène de rayonnement thermique ainsi que le contact des flammes avec l environnement proche (cloisons, plafond, etc.) dont le volume s emplit progressivement de gaz chauds. A ce stade de l évolution du sinistre divers moyens de sécurité sont entrés, ou entrent, dans leur phase active. La conception de l ouvrage joue alors un rôle prépondérant aux travers du choix des dispositions constructives telles que des systèmes à faible apport de combustibles (matériaux incombustibles, blocage des aérations, etc.) et/ou faisant barrière au développement du foyer (parois verticales et horizontales résistantes au feu). Si l incendie poursuit son évolution, il se généralise à l ouvrage (3 ème phase). Les combustibles sont portés à température d inflammation par les gaz chauds accumulés ; c est le phénomène de «flash-over» : élévation brutale de la température avec embrasement du volume occupé par le foyer. Puis progressivement l incendie décroit avec l atténuation de ressources en combustibles (4 ème phase). Ces deux dernières phases constituent l aspect le plus dévastateur de l incendie car il passe d une échelle locale à une dimension globale ; les moyens de sécurité propre au bâtiment ne suffisent plus et il faut l intervention de pompiers pour minimiser la 3 ème phase et faire au plus vite passer l incendie dans sa dernière phase de régression. 2

5 Le feu et les classifications L utilisation qui est faite d un bâtiment, ou ce pourquoi il est conçu, détermine la réglementation à appliquer en matière d ingénierie incendie. En effet, en France, chaque type d ouvrage se voit attribuer une réglementation propre: Les bâtiments industriels ; Les installations classées, entrepôts, assujettis à déclaration et/ou autorisation ; Les Établissements Recevant du Public (ERP) : salle de spectacle, médiathèque ; Les logements individuels ou collectifs ; Les bâtiments tertiaires : bureaux ; Les parkings : souterrains ou aériens ; Etc. L ensemble de ces réglementations s appliquent aux éléments de construction selon 3 aspects, à savoir : La réaction au feu des matériaux et le comportement au feu extérieur de toiture ; La résistance au feu des éléments de construction ; Les dispositions constructives de l ouvrage relatives à l étanchéité des façades. LA RÉACTION AU FEU La réaction au feu caractérise la capacité d un matériau à s enflammer et à ne pas contribuer à la propagation de l incendie. Il existait un classement de réaction au feu propre à la France (arrêté du 30 juin 1983), dont l indice de classement se composait de la lettre M et d un chiffre de 0 à 4 ; ainsi : M0 matériaux non combustibles ; M1 matériaux non inflammables ; M2 matériaux difficilement inflammables ; M3 matériaux moyennement inflammables ; M4 matériaux facilement inflammables. Cette classification a disparu avec la mise en application de la Directive des Produit de la Construction (DPC) issue des travaux de la commission Européenne. L arrêté du 21 novembre 2002, paru au Journal Officiel du 31 décembre 2002, abroge le précédent arrêté relatif à la réaction au feu des produits de construction et d aménagement et met en application le classement européen des Euroclasses. 3

6 Le feu et les classifications Le classement Euroclasses permet de se déterminer conjointement sur 3 critères : La contribution au feu avec les indices: A1 et A2 : contribution nulle = produit non combustible ; B : contribution très limitée = produit peu combustible ; C : contribution limitée = produit modérément combustible ; D : contribution acceptable = produit modérément combustible ; E : produit combustible satisfaisant au test d allumabilité pendant 20 secondes ; F : produit non classé ou très combustible. L opacité des fumées (s pour «smoke») : S1 : production de fumées très faible ; S2 : production de fumées limitée ; S3 : production de fumées élevée. Le gouttage (d pour «droplet») : D0 : gouttes enflammées inexistantes ; D1 : gouttes enflammées persistantes à concurrence de 10 secondes ; D2 : gouttes enflammées. Le paramètre d opacité des fumées s adjoint aux classes A2 à D ; le paramètre relatif aux gouttes enflammées complète les classes A2 à E. Un produit classé Euroclasses a subi jusqu à 4 méthodes d essais qui simulent les 3 premières phases du développement d un incendie : Phase de démarrage Phase de déclenchement du feu Embrasement généralisé Attaque ponctuelle à la petite flamme Test Single Burning Item (SBI) : Attaque par objet enflammé avec mesure de température, de concentration en 0 2 et CO 2, atténuation lumineuse et observation de la chute de gouttes Test à la bombe calorimétrique + test de non combustibilité en four NF EN ISO NF EN NF EN ISO NF EN ISO

7 Le feu et les classifications Avec une répartition par indice de classement comme suit : Euroclasses A1 A2 B C D E F Mesure du Pouvoir Calorifique Supérieur Four de non-combustibilité SBI Petite flamme L arrêté du 21 novembre 2002 est un arrêté de transposition des Euroclasses vers le classement «M» : Classe selon NF en Exigence A1 - - Incombustible A2 s1 d0 M0 A2 s1 d1 M1 A2 s2 d0 s3 d1 M1 B s1 d0 s2 d1 s3 M1 C s1 d0 s2 d1 s3 M2 D s1 d0 M3 s2 d1 s3 M4 (non gouttant) Toutes classes autres que E-d2 et F M4 LE COMPORTEMENT AU FEU EXTÉRIEUR DE TOITURE Un comportement au feu extérieur d une toiture satisfaisant à la réglementation signifie que le procédé constructif retenu limite les risques d inflammation en provenance d un incendie voisin. Ce comportement fait l objet d une classification Française dont l indice s exprime par la lettre T adjointe d un nombre, puis d un indice : Le nombre est relatif au temps de passage du feu au travers de la toiture : T 30 pour une durée supérieure à 30 minutes ; T 15 pour des durées de 15 à 30 min et T 5 pour des durées de 5 à 15 minutes ; L indice témoigne de la durée de propagation du feu à la surface de la toiture : indice 1 pour une durée supérieure à 30 minutes ; indice 2 pour des durées comprises entre 10 et 30 min et indice 3 pour des durées inférieures à 10 minutes. Cette classification est progressivement remplacée par la classification Européenne suivante (application Française) : Broof (t3) : temps de passage et durée de propagation du feu tous deux supérieurs à 30 minutes ; Croof (t3) : temps de passage de 15 à 30 min + durée de propagation de 10 à 30 min ; Droof (t3) : temps de passage de 5 à 15 min + durée de propagation inférieure à 10 min. Une correspondance entre classifications donne : Broof (t3) pour Classe T 30 indice 1 ; Croof (t3) pour Classe T 15 indice 2 et Droof (t3) pour Classe T 5 indice 3. 5

8 Le feu et les classifications LA RÉSISTANCE AU FEU La résistance au feu d une paroi traduit sa capacité à résister mécaniquement à haute température, à assurer la stabilité de l ouvrage, à limiter la propagation du feu et à faciliter l intervention des services de secours. Le degré de résistance au feu d une paroi est obtenu suite à des essais en laboratoire durant lesquels celle-ci est soumisse à un échauffement normalisé. La classification de résistance au feu «franco-française» s appui sur trois critères principaux associés à un nombre représentatif d une durée (en heures ou fraction d heure) : Résistance mécanique à chaud ; Étanchéité aux flammes et aux gaz chauds ; Isolation thermique. Ces trois critères se regroupent comme suit : Paroi SF: Stable au Feu = résistance mécanique ; Paroi PF: Pare-Flamme = paroi SF + étanchéité ; Paroi CF: coupe-feu = paroi PF + isolation. Exemples: paroi coupe-feu 2 heures: CF 2 heures. Cette classification est remplacée par la classification européenne qui assujettie un ou plusieurs critères à un temps déclaré en minutes ( minutes). Les quatre critères principaux sont : R = Résistance mécanique ou capacité portante E = Étanchéité au flammes et au gaz chaud I = Isolation thermique W = Rayonnement limité T moy. < 140 C T Max. 180 C Il existe également d autres caractéristiques facultatives : M : résistance à un impact pré défini sans perte de stabilité ; C : fermeture automatique ; S : étanchéité aux fumées = réduction ou élimination du passage de gaz ou de fumées ; D : critères spécifique des écrans de cantonnement. 6

9 Le feu et les classifications Quelques exemples: Plancher collaborant de résistance mécanique, d étanchéité au feu et à la chaleur de 2 heures : REI 120 ; Cloison non porteuse étanche au feu et à la chaleur pendant ¾ d heure : EI 45. Une correspondance entre classifications peut être établie : Paroi SF 1 heure = R 60 ; Paroi porteuse PF ½ heure = RE 60 ; Paroi non porteuse PF ½ heure = E 60 ; Paroi porteuse PF 2 heures = REI 120 ; Paroi non porteuse PF 2 heures = EI 120. L ÉTANCHÉITÉ DE FAÇADE L étanchéité de façade traduit la capacité de toute ou partie de celle-ci à inhiber la propagation du feu aux niveaux supérieurs. La réglementation française fixe des distances C et D selon le type d ouvrage et la masse combustible mobilisable des matériaux en présence. La distance C correspond à la distance verticale entre le haut des ouvertures et le bas d une ouverture plus élevé (ou la face inférieure d une saillie) ; la distance D correspond à la distance horizontale entre la face extérieure des éléments de remplissage (vitrage, etc.) et le nu extérieur de la façade à l aplomb des baies. C D 7

10 Les exigences feu La liste des exigences exposées n est pas exhaustive. BÂTIMENTS DE BUREAUX Plancher haut Réaction au feu Résistance au feu < à 8 m du sol Pas de réglementation De 8 à 28 m du sol AM 8 paroi verticale, plafond ou toiture : produits au moins Euroclasses A2-s2, d0 plancher, au sol : A2FL-s1 Produits non marqués CE : classement M0 Dérogation : classement < M1 si protection par écran thermique (1/4 d heure en vertical ou ½ heure pour les autres parois) Planchers REI 60 + exigences complémentaires possibles sur parois verticales BÂTIMENTS INDUSTRIELS Réaction au feu Résistance au feu Couverture M0 Murs et planchers REI

11 Les exigences feu ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC Les ERP sont classés en 5 catégories selon leur effectif : Cat. Effectif 1 Effectif > personnes < effectif < personnes < effectif < 700 personnes personnes et moins à l exception de la 5 ème catégorie 5 Établissement régi par l article R du Code de la Construction. Ils sont également différenciés par leur destination : L : salle de conférence, de réunions, de spectacles, de projection privée ou collective ; M : magasin de vente et centre commercial ; N : restaurant et débit de boissons ; O : hôtel et pension de famille ; P : salle de danse et/ou de jeu, R : crèche, jardin d enfants, garderie, enseignement, CLCV ; S : bibliothèque et CDI ; T : salle d exposition ; U : établissement de soins et/ou sanitaire ; V : établissement de culte ; W : administration, banque et bureaux ; X : établissement sportif couvert ; Y : musée ; OA : hôtel, restaurant, refuge d altitude ; GA : gare ; PA : établissement de plein air. EXIGENCE DE RÉSISTANCE AU FEU : Établissement occupant entièrement le bâtiment Établissement occupant partiellement le bâtiment Catégorie de l'établissement Résistance au feu des planchers intermediaires Résistance au feu des planchers sur vide sanitaire suivant seuil spécifique 5 ème catégorie pas d'exigence pas d'exigence simple rez-de-chaussée plancher bas du niveau le plus haut situé au plus à 8 m du sol plancher bas du niveau le plus haut situé à plus de 8 m du sol et jusqu'à 28 m compris rez-de-chaussée à un seul niveau différence de hauteur entre les niveaux extrêmes de l'établissement inférieure ou égale à 8 m différence de hauteur entre les niveaux extrêmes de l'établissement supérieure à 8 m toutes catégories coupe feu 1/2 heure pas d'exigence 2 ème catégorie 3 ème catégorie coupe feu 1/2 heure coupe feu 1/2 heure 4 ème catégorie 1 ère catégorie coupe feu 1 heure coupe feu 1/2 heure 2 ème catégorie 3 ème catégorie coupe feu 1 heure coupe feu 1/2 heure 4 ème catégorie 1 ère catégorie coupe feu 1 heure 1/2 coupe feu 1/2 heure 9

12 Les exigences feu EXIGENCE RELATIVE AU FEU EXTÉRIEUR DE TOITURE : ERP de 1 ère à 4 ème catégorie comportant des locaux à sommeil : T 30 indice 1 si l établissement voisin (ou limite de parcelle voisine) est à moins de 8 m ; T 15 indice 1 pour une distance de 8 à 12 mètres ; ERP de catégorie 2 à 4 sans locaux à sommeil : T 30 indice 2 pour une distance inférieure à 8 m et T 15 indice 2 pour une distance de 8 à 12 m. RÈGLE C + D Elle s applique pour des ouvrages comportant des locaux à sommeil au dessus du N+1 ; pour toutes les catégories d ouvrage de hauteur supérieure à 8 m ou dont le dernier niveau est situés à plus de 8 m du sol ; pour les bâtiments de la première catégorie dont la hauteur est inférieure à 8 m et dont le dernier niveau est à moins de 8 m du sol ; pour tout bâtiments comportant des planchers hauts de locaux à risques importants ou d isolement avec tiers. Si la masse combustible M est à concurrence de 80 MJ/m² : C +D 1 m ; Si la masse combustible M est supérieure à 80 MJ/m² : C + D 1,30 m. ENTREPÔTS INSTALLATIONS CLASSÉES (RUBRIQUE 1510 DU MINISTÈRE DE L ENVIRONNEMENT) Pour les entrepôts soumis à déclaration : la toiture doit être M0. Lorsque la hauteur sous panne sablière est supérieure à 10 m ou lorsque l ouvrage possède 2 étages et plus : les planchers sont coupe-feu 2 heures avec un complément volontaire de pare-flammes 30 minutes sur les parois extérieures. Pour les entrepôts soumis à autorisation : Les murs extérieurs sont M0 (sauf si présence d un dispositif d extinction automatique d incendie) ; La structure porteuse de toiture est M0 ainsi que l isolation, si prévue. Possibilité d isolation en matériaux M1 si le PCS reste à concurrence de 8,4 MJ/kg ; La toiture doit répondre au classement T 30 indice 1 ; Les planchers d ouvrage à 2 niveaux et plus sont coupe-feu 2 heures ; Les parois de locaux d atelier d entretien et de bureaux situés à moins de 10 m des cellules de stockage sont des parois coupe-feu 2 heures ; Les parois de cellules de stockage sont coupe-feu 2 heures lorsque les murs extérieurs sont coupe-feu 1 heure. En cas contraire, ces parois CF 2 heures sont prolongées latéralement sur 1 m ou prolongée en saillie de façade sur 0,50 m. 10

13 Les exigences feu LOGEMENTS ET IMMEUBLES DE GRANDE HAUTEUR (IGH) Les logements sont différenciés par famille selon leur caractère individuel ou collectif ainsi que du nombre d étages et de la hauteur du plancher du dernier étage. 1ère famille : les habitations individuelles (avec éventuellement des combles aménagés) Maisons isolées Maisons jumelées Maisons alignées mitoyennes Maisons alignées non mitoyennes 2 ème famille : les habitations individuelles avec au moins un étage ou immeubles collectifs à 3 étages maximum Maisons isolées Immeubles collectifs Maisons jumelées Maisons alignées mitoyennes Maisons alignées non mitoyennes 11

14 Les exigences feu 3ème famille : immeubles collectifs de 7 étages au maximum 4ème famille : immeubles collectifs dont la hauteur au niveau R+13 est comprise entre 28 et 50 m Exigence de réaction au feu : 3 ème et 4 ème familles : parement extérieur de façade M2 en RDC et M3 ou M2 sur le reste ; Parements de façade M4 interdit pour les 1ère et 2ème familles selon la pente de la couverture ; Exigence de résistance au feu : planchers intermédiaires Coupe-feu ¼ d heure pour la 1 ère famille ; ½ heure pour la 2 ème famille ; 1 heure pour la 3 ème famille et 1 heure ½ pour la 4 ème famille. Règle C + D : uniquement pour les façades des 3 ème et 4 ème familles comme suit : 3 ème famille A : si M 25 MJ/m², C+D 0,6 m. Si 25 < M 80 MJ/m², C+D 0,8 m. Si M > 80 MJ/m², C+D 1 m ; 3 ème famille B et 4 ème famille : si M 25 MJ/m², C+D 0,8 m. Si 25 < M 80 MJ/m², C+D 1 m. Si M > 80 MJ/m², C+D 1,3 m. IMMEUBLES DE GRANDE HAUTEUR (IGH) Ce type d immeuble se caractérise par un plancher bas de dernier niveau situé à plus de 50 m du sols pour les immeubles d habitation et à plus de 28 m pour les autres immeubles. Les matériaux de façade sont M0 ; les planchers sont coupe-feu 2 heures. Pour la règle du C+D, la masse mobilisable doit rester en deçà de 25 MJ/m² et C+D doit toujours excéder 1,2 m. 12

15 Les profils de bardage et de toiture Conformément aux dispositions de la Décision de la Commission Européenne 96/603/CE, les produits sans revêtement organique satisfont aux prescriptions de la classe Euroclasse A1 et ce sans recourt aux essais. Les produits recevant les revêtements de la gamme Granit d ArcelorMittal, pour des épaisseurs à concurrence de 35 µm, sont classés A1 pour une épaisseur de tôle de 0,63 mm minimum. Les produits recevant les revêtements Colorcoat de Corus sont classés A2-s1, d0 pour des épaisseurs de revêtement allant jusqu à 50 µm. La performance de tôles de systèmes de toiture/ couverture, monocouche ou multicouche, revêtues de plastisol fait l objet de la décision 2005/403/CE de la Commission Européenne. Ces tôles peuvent prétendre aux classes B ROOF (t1), B ROOF (t2) et B ROOF (t3) sous respect des prescriptions techniques mentionnées dans cette décision ESSAI D INGENIERIE INCENDIE D UN BÂTIMENT À PAROIS MÉTALLIQUE.. 13

16 Panneaux sandwichs de toiture RÉACTION AU FEU JI ROOF Polysocyanurate 40 à 120 mm WarringtonFire 14510E En standard B-s2, d0 (M1 requis) VULCASTEEL ROOF 50 à 200 mm En standard A2-s1, d0 (M0 requis) PV CSTB RA PANNEAU ECO Polyisocyanurate 40 à 60 mm Revêtement parement intérieur Alu ép. 50 µm WarringtonFire 14728E En standard C-s3, d0 (M2 requis) FEU EXTÉRIEUR DE TOITURE Les panneaux sandwich VULCASTEEL ROOF et JI ROOF peuvent prétendre aux classes de performance B ROOF (t1), B ROOF (t2) et B ROOF (t3) en application de la décision de la Commission Européenne sous respect des prescriptions technique contenues dans le document 2006/600/CE. RÉSISTANCE AU FEU DES PANNEAUX DE COUVERTURE JI ROOF Polyuréthane 40 mm Entraxe d appuis Jusqu a 4 m WarringtonFire A RE 60, R

17 Panneaux sandwichs de toiture JI ROOF Âme isolante Entraxe d appuis Polyisocyanurate 60 mm Jusqu a 4 m REI 20, RE 30, R Efectis R0023 VULCASTEEL ROOF Âme isolante 80 mm Entraxe d appuis (sur 3 appuis) Jusqu a 4 m ULG C0011 REI 60, RE 120 VULCASTEEL ROOF Âme isolante 100 mm Entraxe d appuis (sur 3 appuis) Jusqu a 4 m ULG C0019 REI 120 VULCASTEEL ROOF 120 mm Entraxe d appuis (sur 3 appuis) Jusqu a 4 m ULG C0009 REI 120 VULCASTEEL ROOF CHARGÉ à 80 dan/m² 120 mm Entraxe d appuis (sur 3 appuis) Jusqu a 2 m ULG C0009 REI

18 Panneaux sandwichs de façade RÉACTION AU FEU JI WALL Fixations traversantes Polyisocyanurate 40 à 120 mm En standard WarringtonFire 14662G B-s2, d0 (M1 requis) JI WALL Fixations cachées Polyisocyanurate 60 à 120 mm WarringtonFire 14662G En standard B-s2, d0 (M1 requis) VULCASTEEL WALL 50 à 200 mm En standard A2-s1, d0 (M0 requis) PV CSTB RA RÉSISTANCE AU FEU DES PANNEAUX DE BARDAGE JI WALL 1150 FT Pose verticale Polyisocyanurate 100 mm Portée Jusqu a 3 m WarringtonFire A EI 30, EW 30, E 30 JI WALL 1000 FC Pose verticale Polyisocyanurate 60 mm Portée Jusqu a 3 m Efectis 2007 Efectis-R0543 EW 60, EI

19 Panneaux sandwichs de façade VULCASTEEL WALL Pose verticale Portée 80 mm Jusqu a 4 m EI 60 ULG C0002A VULCASTEEL WALL Pose verticale 100 mm Portée Jusqu a 4 m ULG C0007 EI 90 VULCASTEEL WALL FIXATIONS CACHEES Vertical 100 mm Portée Jusqu a 4 m ULG C0010 EI 60 VULCASTEEL WALL FIXATIONS CACHEES Vertical 140 mm Portée Jusqu a 4 m ULG C0017A EI 60 VULCASTEEL WALL ALPHA (perfo 23 %) Vertical 100 mm Portée Jusqu a 4 m ULG C0006 EI 90, E 90 17

20 Panneaux sandwichs de façade VULCASTEEL WALL Pose verticale Portée 120 mm Jusqu a 12 m Rapport d essais CSTB EI 120 ULG C0004A RS VULCASTEEL WALL Pose verticale Portée 180 mm Jusqu a 12 m EI 240 ULG C0005 ULG EA0007 VULCASTEEL WALL Pose horizontale 120 mm Portée Jusqu a 4 m ULG C0008 et EA0001 Rapport d essais CSTB R EI 180 VULCASTEEL WALL Pose horizontale 120 mm Portée Jusqu a 11 m étendu ULG EA001 EI 120 VULCASTEEL WALL Pose horizontale 120 mm Portée Jusqu a 12 m étendu ULG EA001 EI

21 Panneaux sandwichs de façade PAROIS VERTICALES COMPOSÉES DE PANNEAUX ET D UNE OSSATURE STABLE AU FEU L obtention d une paroi verticale REI composée d une structure stable au feu (indice R) et de panneaux sandwich étanches au feu et isolants du feu (indices EI) est possible si cette structure présente une durée de résistance supérieure à la performance (en minutes) de l élément sandwich. Ainsi pour l obtention d un bardage REI 30, la paroi est constituée d une ossature R 45 et d un panneau EI 30. Les parois de façade/cloison REI obtenues par assemblage des panneaux Joris Ide sur structure porteuse sont : Performance Ossature Entraxe (m) Panneau Joris Ide minimum Sens de pose REI 15 R 30 3 m JI WALL FC 60 mm Vertical REI 30 R 45 3 m JI WALL FT 100 mm Vertical Vulcasteel WALL 80 mm Vertical REI 60 R 90 4 m Vulcasteel WALL FC 100 mm Vertical Vulcasteel WALL ALPHA 100 mm Vertical 12 m Vulcasteel WALL 120 mm Horizontal REI 90 R m Vulcasteel WALL 120 mm Horizontal REI 90 R m Vulcasteel WALL 120 mm Horizontal REI 120 R m Vulcasteel WALL 120 mm Vertical 11 m Vulcasteel WALL 120 mm Horizontal REI 180 R m Vulcasteel WALL 120 mm Horizontal REI 240 > R m Vulcasteel WALL 180 mm Vertical REI 15 R 30 3 m JI WALL FC 60 mm Vertical 19

22 Coffrages collaborants pour planchers RÉSISTANCE AU FEU Les Avis Techniques en vigueur des coffrages collaborants de la gamme JORIS IDE N.V. leur permettent d assurer des degrés coupe -feu au feu allant jusqu à 4 heures (REI 240). La résistance à chaud (critère R) est assurée, au-delà de 30 minutes, par l ajout de renforts d armatures généralement situés dans les nervures. PML 60 PC et PML 106 ZS PC assurent naturellement la fonction d étanchéité à chaud (critère E) et ce sans modification spécifique de sa conception. L inertie thermique (critère I) est directement proportionnelle à l épaisseur du plancher fini et à la finition de celui-ci : selon qu il reçoit ou non une chape complémentaire. Epaisseur hors tout des planchers collaborants en fonction de l exigence de résistance à chaud REI requise Exigence REI (minutes) Plancher brut PML 60 PC (ép. en cm) Avec chape 1 cm

23 Coffrages collaborants pour planchers PARKINGS AERIENS LARGEMENTS VENTILÉS Le coffrage collaborant pour dalle mixte PML 60 PC PP de Joris Ide fait l objet d un guide pour la vérification au feu de parcs de stationnement largement ventilés en superstructure métallique. Ce guide, établi en 2010 par le CTICM, fait appel à des références normatives actuelles dans ce domaine de l ingénierie incendie et s inspire également des principales évolutions architecturales constatées dans la conception de ce type d ouvrage. Demi-niveaux Le guide couvre les cas de parkings en demi-niveaux ainsi que l influence sur la structure de l évolution de la hauteur souspoutre.² partie du poteau entourée de flamme plancher mixte ecran occupant la hauteur du demi-niveau Structure à poteaux Il comprend également le cas de structure à poteaux ronds remplis de béton. A ref x f y A n x f yn ß Les différents termes de cette relation sont définis comme suit : A n et f yn sont respectivement l aire et la limite d élasticité de l acier des nouvelles sections des poutres ; A ref et f y sont respectivement l aire et la limite d élasticité de l acier des sections des poutres de référence données dan les tableaux 4.1 à 4.5 ; ß est le coefficient d extrapolation qui est déterminé par l expression suivante : ß = 0,25 x tan-1(2,6h-7,41) + 1,20 et ß > 1,0 Connexion mixte Enfin, la connexion mixte totale et/ou partielle entre la dalle et la poutre via les goujons soudés a été optimisée. Aire minimale des sections des poutrelles métalliques pour des parkings ayant une hauteur sous poutres minimal de 2,40 m Hauteurs sous poutre (m) 2,4 2,7 3,0 3,5 4,5 ß 1,0 1,10 1,30 1,46 1,54 Conditions d application : Hauteur minimale des sections: H > 0,85 H ref Facteur de massiveté maximum: A/V < 1,10 (A/V) ref Où H est la hauteur totale de la section des poutrelles et H ref la hauteur des sections indiquées dans les tableaux 4.1 à 4.5. A/V est le facteur de massiveté de la section des poutrelles considérée sur trois faces. 21

24 Guide de choix des systèmes SELON L EXIGENCE DE RÉACTION AU FEU Produit ou famille de produit Bureaux Logements ERP IGH Entrepôts soumis à déclaration Entrepôts soumis à autorisation Autres bâtiments industriels Profils Toitures Façades Panneaux sandwichs à âme PUR Panneaux sandwichs à âme Laine de Roche Planchers Ji Wall Ji Roof Vulcasteel Wall Vulcasteel Roof Produit adapté conformément aux limites de validité de son classement Produit adapté sans exigence particulière Dispositions constructives à prévoir Produit inadapté 22

25 Notes 23

26 Notes 24

27 Notes 25

28 JORIS IDE NV Hille 174 B-8750 Zwevezele T. +32 (0) F. +32 (0) BTW/TVA RPR/RPM BRUGGE IBAN: BE , BIC: GEBABEBB MR114_10_ 2015 PROFINORD EURL Parc de l Activité de la Vallée de l Escaut ZI N9 Est, Onnaing, France T. +33 (0) F. +33 (0) profinord@joriside.fr NV JORIS IDE SA Hille 174 B-8750 Zwevezele T. +32 (0) F. +32 (0) info@joriside.be EUROPE TWIN TILE NV Nijverheidslaan 1528 B-3660 Opglabbeek T +32 (0) (Belgium) T +32 (0) (Export) F +32 (0) info@twintile.be MAFER division of NV JORIS IDE SA Chausée de Liège 157 B-4460 Grâce-Hollogne T. +32 (0) F. +32 (0) info@joriside.be SBP Societe Bretonne de Profilage Parc d activites de Bel Air Saint-Caradec, France T. +33 (0) F. +33 (0) jibretagne@joriside.fr ISOMETALL division of NV JORIS IDE SA zone ind. de dochamps B-6960 Manhay T. +32 (0) F. +32 (0) info@joriside.be CBI Comptoir du Batiment et de l Industrie SAS Alpha Parc Ouest BP 33 Route de Nantes Bressuire, France T. +33 (0) F. +33 (0) jiatlantique@joriside.fr JORIS IDE EST 18 Rue du moulin Chemin Départemental, Bignicourt-sur-Marne T. +33 (0) F. +33 (0) jiest@joriside.fr JORIS IDE FACADE T. +33 (0) F. +33 (0) info@joriside-facade.fr JORIS IDE ENERGY T. +33 (0) info@joriside-energy.fr JORIS IDE SUD OUEST SAS Z.I. route d Orthez Hagetmau, France T. +33 (0) F. +33 (0) jisudouest@joriside.fr Etablissement Secondaire Z.I. de Novital Chemin de Casselèvres Saint Jory, France T. +33 (0) F. +33 (0) JORIS IDE AUVERGNE SAS Z.I. Les Bonnes Lempdes sur Allagnon, France T. +33 (0) F. +33 (0) jiauvergne@joriside.fr Etablissement secondaire 2525 Route d Orange Sorgues, France T. +33 (0) F. +33 (0)

Vade-mecum Règles Pratiques

Vade-mecum Règles Pratiques Vade-mecum Règles Pratiques En matière de sécurité incendie conformément à la réglementation belge Arrêté royal (normes de base 994-997 - 2003-2007 - 2009) Et nouvelles annexes, 2, 3, 4 et 6 approuvées

Plus en détail

Réglementation ERP et IGH

Réglementation ERP et IGH PENSE Bête : Réglementation ERP et IGH Réalisé par Alexandre MOREAU 01.69.45.73.06 06.99.44.60.36 Mail : securiteincendie.idf@gmail.com Site : securiteincendie-idf.com A) DEFINITION : (R 123.2) 1 ) Définition

Plus en détail

Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles

Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles Don t let the market leave without you Our know-how makes your success Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles Mardi 27 Mai 2014 - Namur

Plus en détail

Commission pour la technique de construction

Commission pour la technique de construction Vereinigung Kantonaler Feuerversicherungen Association des établissements cantonaux d assurance incendie Commission pour la technique de Récapitulation des concordances admissibles entre la classification

Plus en détail

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2 1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol

Plus en détail

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL 1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers

Plus en détail

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE

Plus en détail

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin

Plus en détail

Introduction à la sécurité incendie :

Introduction à la sécurité incendie : LES ESSENTIELS DE L HABITAT 6 Introduction à la sécurité incendie : Le classement des matériaux et systèmes ÉDITION 2012 LES ESSENTIELS DE L HABITAT 6 Introduction à la sécurité incendie En France, en

Plus en détail

Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE

Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE ETUDE DE L EXISTANT CONSTRUCTION STRUCTURE (Références photos du chantier- 1960) LA GRANDE COURONNE

Plus en détail

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3.

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3. NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE Pour tous les ERP du 1er groupe et les ERP du 2ème groupe (5ème catégorie) Avec locaux à sommeil. (Arrêté du 25/06/1980 modifié Arrêté du 22/06/1990 modifié) La présente

Plus en détail

CODE CIVIL DTU. Journal Officiel. Code Civil. Aspects réglementaires. document technique unifié. construction et. habitation

CODE CIVIL DTU. Journal Officiel. Code Civil. Aspects réglementaires. document technique unifié. construction et. habitation Aspects réglementaires code de la construction et de l habitation document technique unifié Journal Officiel CODE construction et CIVIL habitation DTU lois et décrets Aspects Réglementaires (normes, codes,

Plus en détail

LES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP)

LES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) Roger Cadiergues MémoCad na17.a LES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) SOMMAIRE na17.1. Les établissements recevant du public na17.2. Les établissements généraux na17.3. Les établissements spécialisés

Plus en détail

Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois.

Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois. Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois. Isolation thermique support d étanchéité sur bac acier ou bois

Plus en détail

4.03 ERP REVÊTEMENTS. Principe général. Revêtements muraux des locaux et dégagements. Plafonds et plafonds suspendus des locaux et dégagements

4.03 ERP REVÊTEMENTS. Principe général. Revêtements muraux des locaux et dégagements. Plafonds et plafonds suspendus des locaux et dégagements Arrêté du 25 juin 1980 modifié A R T I C L E S AM 2 À AM 8 AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS DÉCORATION ET MOBILIER F I C H E 4.03 ERP LIVRE II TITRE I CHAPITRE III SECTION I ART. AM2 Principe général D une façon

Plus en détail

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements

Plus en détail

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS

Plus en détail

Réglementation incendie en ERP

Réglementation incendie en ERP R. ARTERO, Chef de produits Réglementation incendie en ERP à respecter pour la pose d un bâti-support WC Rappel de vocabulaire et réglementation Résistance au feu La résistance au feu caractérise le comportement

Plus en détail

LES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP)

LES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) Roger Cadiergues MémoCad nr10.a LES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) SOMMAIRE nr10.1. Les établissements recevant du public nr10.2. Les établissements généraux nr10.3. Les établissements spécifiques

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

Doublages thermo-acoustiques Placostil

Doublages thermo-acoustiques Placostil 01 Doublages sur ossature métallique Placostil Doublages thermo-acoustiques Placostil Description Les doublages Placostil renforcent les caractéristiques thermiques et acoustiques des parois auxquelles

Plus en détail

Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses.

Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois. isolation thermique support d étanchéité sur bac acier ou bois

Plus en détail

«Établissements du type R Établissements d éveil, d enseignement, de formation, centres de vacances, centres de loisirs sans hébergement»

«Établissements du type R Établissements d éveil, d enseignement, de formation, centres de vacances, centres de loisirs sans hébergement» «Établissements du type R Établissements d éveil, d enseignement, de formation, centres de vacances, centres de loisirs sans hébergement» (Arr. 4 juin 1982 ; Arr. 13 janv. 2004, art. 2) SECTION I Généralités

Plus en détail

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I. Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par

Plus en détail

Prescriptions de prévention incendie DISPOSITIONS SPÉCIFIQUES. Etablissements de vente Centres Commerciaux

Prescriptions de prévention incendie DISPOSITIONS SPÉCIFIQUES. Etablissements de vente Centres Commerciaux GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG Strassen, septembre 2012 Le présent texte a été établi par l Inspection du travail et des mines et le Service Incendie et Ambulance de la Ville de Luxembourg. Prescriptions de

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

QUESTIONNAIRE PARTICULIER POUR DEMANDE D'AUTORISATION. BATIMENT SIS : Commune : Localité : Article cadastral : Rue et n : Affectation de l'ouvrage :

QUESTIONNAIRE PARTICULIER POUR DEMANDE D'AUTORISATION. BATIMENT SIS : Commune : Localité : Article cadastral : Rue et n : Affectation de l'ouvrage : Secteur prévention Etablissement cantonal d'assurance et de prévention Place de la Gare 4, Case postale, 2002 Neuchâtel Tél. 032 889 62 22 www.ecap-ne.ch Fax 032 889 62 33 ecap.prevention@ne.ch QUESTIONNAIRE

Plus en détail

PRENDRE EN COMPTE LA SÉCURITÉ DES OCCUPANTS

PRENDRE EN COMPTE LA SÉCURITÉ DES OCCUPANTS RÉHABILITATION ET AMÉLIORATION DE L'HABITAT EXISTANT PRENDRE EN COMPTE LA SÉCURITÉ DES OCCUPANTS Septembre 2008 MINISTÈRE DU LOGEMENT ET DE LA VILLE Avertissement Les informations contenues dans le présent

Plus en détail

Le pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre.

Le pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre. NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE pour les ERP du 1er groupe ou établissement du 2ème groupe (5ème catégorie) avec locaux à sommeil. Arrêté du 25/06/1980 Rappel: art R123-2 du CCH: constituent des établissements

Plus en détail

IRVE et Hybrides Rechargeables dans les ERP et les IGH - Cahier des Charges de la Commission Centrale de Sécurité (Ministère de l Intérieur) SOMMAIRE

IRVE et Hybrides Rechargeables dans les ERP et les IGH - Cahier des Charges de la Commission Centrale de Sécurité (Ministère de l Intérieur) SOMMAIRE NOTEC N 544 L E S N O T E S T E C H N I Q U E S DE LA F F I E 1 5 J A N V I E R 2 0 1 3 IRVE et Hybrides Rechargeables dans les ERP et les IGH - Cahier des Charges de la Commission Centrale de Sécurité

Plus en détail

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1

Plus en détail

B 67. Murs séparatifs coupe-feu et façades à fonction d écran thermique en béton. ConCeption des bâtiments d activités en béton

B 67. Murs séparatifs coupe-feu et façades à fonction d écran thermique en béton. ConCeption des bâtiments d activités en béton ColleCtion t e C h n i q u e C i m b é t o n B 67 ConCeption des bâtiments d activités en béton Murs séparatifs coupe-feu et façades à fonction d écran thermique en béton ConCeption des bâtiments d activités

Plus en détail

Extinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu

Extinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu Extinction Choisissez votre système d extinction Qu'est-ce qu'un système d extinction? Dans un système de protection incendie, il ne suffit pas de détecter et de mettre en sécurité. Il est souvent nécessaire

Plus en détail

CONSTRUCTION. QUELLES SONT les NORmES ET LES REGLES POUR CONSTRUIRE UN BATIMENT?

CONSTRUCTION. QUELLES SONT les NORmES ET LES REGLES POUR CONSTRUIRE UN BATIMENT? CONCEption CONSTRUCTION QUELLES SONT les NORmES ET LES REGLES POUR CONSTRUIRE UN BATIMENT? quelles sont les REGLES urbaines quelles sont les REGLES DE SECURITE incendie quelles sont les REGLES D accessibilite

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE MODELE N 2 Document disponible sur http://www.auvergne.pref.gouv.fr/protection_civile/etablissements _recevant_public/sec_incendie_erp/procedure.php NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE Etablissement Recevant

Plus en détail

Contrôle thermographique Tarifs et prestations :

Contrôle thermographique Tarifs et prestations : 20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations

Plus en détail

CODE DU TRAVAIL. Nombre de dégagements réglementaires. Nombre total d'unités de passage Moins de 20 personnes 1 1. 1 + 1 dégagement accessoire (a)

CODE DU TRAVAIL. Nombre de dégagements réglementaires. Nombre total d'unités de passage Moins de 20 personnes 1 1. 1 + 1 dégagement accessoire (a) CODE DU TRAVAIL Art. R. 235-4.- Les dispositions de la présente section s'appliquent aux établissements mentionnés à l'article R. 232-12. Les bâtiments et les locaux régis par la présente section doivent

Plus en détail

Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre

Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre D01 Protection au feu des structures Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre Généralités et principes La stabilité au feu des structures évite, en cas d incendie,

Plus en détail

Voies d évacuation et de sauvetage

Voies d évacuation et de sauvetage Institut de Sécurité Voies d évacuation et de sauvetage Jean-Paul Bassin Institut de Sécurité Institut de Sécurité INSTITUT SUISSE DE PROMOTION DE LA SÉCURITÉ Evacuation_Lignum_2010 1 Histoire 1995 1945

Plus en détail

Quels sont les leviers efficaces pour réduire le risque d incendie, limiter ses conséquences et optimiser la tarification assurance?

Quels sont les leviers efficaces pour réduire le risque d incendie, limiter ses conséquences et optimiser la tarification assurance? Quels sont les leviers efficaces pour réduire le risque d incendie, limiter ses conséquences et optimiser la tarification assurance? En matière d'incendie, les moyens de prévention réelle et de protection

Plus en détail

L EVACUATION DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP

L EVACUATION DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP L EVACUATION DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP Groupement prévention du SDIS 85 PREAMBULE La loi n 2005-102 du 11 février 2005 pour l égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES A. INTRODUCTION B. LIGNES DIRECTRICES C. COMMENTAIRES

TABLE DES MATIÈRES A. INTRODUCTION B. LIGNES DIRECTRICES C. COMMENTAIRES TABLE DES MATIÈRES A. INTRODUCTION A-1 Domaine d application 1 A-2 Principes généraux 1 A-3 Contenu du Guide d application 2 A-4 Référence au chapitre I, Bâtiment 3 A-5 Entretien et réparation 4 A-6 Mise

Plus en détail

Cloisons séparatives Placostil SAA et SAD

Cloisons séparatives Placostil SAA et SAD 01 Cloisons sur ossature métallique Placostil Cloisons séparatives Placostil SAA et SAD Description Les cloisons séparatives de logements Placostil SAA (Séparative d Appartements à ossature Alternée) et

Plus en détail

POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS

POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont la

Plus en détail

Zone Industrielle. Kehlen... 1

Zone Industrielle. Kehlen... 1 Zone Industrielle Kehlen VALERES Konstruktioun SA 1 L o c a l i s a t i o n Le terrain se situe dans la zone industrielle de et à 8287 Kehlen Parcelle no 2946/5744 lot 1 La superficie du terrain sur lequel

Plus en détail

Normes CE Equipements de Protection Individuelle

Normes CE Equipements de Protection Individuelle E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné

Plus en détail

Le dernier niveau est à moins de 8 m du sol

Le dernier niveau est à moins de 8 m du sol Page 1 Code du travail (articles R. 235-4) Les bâtiments doivent être conçus et réalisés de manière à permettre, en cas de sinistre : - l'évacuation rapide de la totalité des occupants dans des conditions

Plus en détail

8 LES AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS ET LA SERRURERIE

8 LES AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS ET LA SERRURERIE 8 LES AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS ET LA SERRURERIE De nombreux produits en acier (plats, tubes, barres, tiges, câbles, cornières ) sont utilisés pour les aménagements intérieurs et dans les éléments annexes

Plus en détail

Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O

Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 31/01/2012 N : 04.12 Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie ERP et IGH de Type O L arrêté du 25 octobre 2011 portant

Plus en détail

Règlements de sécurité contre l incendie applicables au photovoltaïque

Règlements de sécurité contre l incendie applicables au photovoltaïque Règlements de sécurité contre l incendie applicables au photovoltaïque Recueil à l usage des installateurs, des bureaux d études et des porteurs de projets Version du 03/09/2012 0 1 SOMMAIRE AVANT-PROPOS...

Plus en détail

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP 1 1 Quel classement pour les ERP? Le classement

Plus en détail

C0nstruire une mais0n. Sommaire

C0nstruire une mais0n. Sommaire Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire

Plus en détail

LATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO

LATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO LATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO NERGALTO, NERLAT, GALTO Facilité d emploi, Adaptabilité, Performance Les lattis métalliques nervurés NERLAT et NERGALTO sont la solution LATTIS adoptée par les

Plus en détail

Long Carbon Europe Sections and Merchant Bars. Poutrelle Angelina. L alchimie réussie entre résistance, légèreté et transparence

Long Carbon Europe Sections and Merchant Bars. Poutrelle Angelina. L alchimie réussie entre résistance, légèreté et transparence Long Carbon Europe Sections and Merchant Bars Poutrelle Angelina L alchimie réussie entre résistance, légèreté et transparence Poutrelle Angelina Une idée audacieuse adaptée à un produit industriel Plus

Plus en détail

LE GÉNIE PARASISMIQUE

LE GÉNIE PARASISMIQUE LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège

Plus en détail

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE 1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de

Plus en détail

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont

Plus en détail

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY

Plus en détail

Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m²

Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Cahier de charge NON définitif. Adaptations possibles selon l arrivée de nouveaux matériaux bois ou la mise en œuvre de techniques

Plus en détail

DIRECTIVE DE PROTECTION INCENDIE

DIRECTIVE DE PROTECTION INCENDIE Vereinigung Kantonaler Feuerversicherungen Association des établissements cantonaux d assurance incendie Associazione degli istituti cantonali di assicurazione antincendio Distances de sécurité incendie,

Plus en détail

Sommaire. FAQ Normes- réglementation

Sommaire. FAQ Normes- réglementation K www w.gesop.f fr Sommaire FAQ Normes- réglementation www gesop fr E mail: info@gesop fr FAQ Réglementation et normes Compartimentage et cantonnement de fumée K1-1 www w.gesop.f fr -Qu est ce que c est

Plus en détail

Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.*

Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* *Application de l arrêté du 21 mars 2007, de l arrêté du 1er août 2006 et de

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

NOTICE DE SECURITE. SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990

NOTICE DE SECURITE. SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990 NOTICE DE SECURITE POUR LES ERP DE 5 E CATEGORIE SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990 Documents obligatoires à joindre à cette notice de sécurité pour le

Plus en détail

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale.

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale. Pièces constitutives d une charpente Charpente traditionnelle Structure principale Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire 2 1 5 4 3 1 - Panne 2 - Panne faitière 3 - Sablière 4 - Chevron

Plus en détail

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS Entreprise certifiée PEFC/10-31-2030 PROMOUVOIR LA GESTION DURABLE DE LA FORÊT UNE ISOLATION

Plus en détail

fire-line DE COENE Securité anti-incendie certifiée! De Coene Products Europalaan 135 BE-8560 Gullegem www.decoeneproducts.be

fire-line DE COENE Securité anti-incendie certifiée! De Coene Products Europalaan 135 BE-8560 Gullegem www.decoeneproducts.be DE COENE PRODUCTS Securité anti-incendie certifiée! fire-line L incendie de l Innovation à Bruxelles (1967) a entraîné une législation incendie innovante et extrêmement rigoureuse pour les bâtiments publiques

Plus en détail

Arval. Planchers collaborants. Cofraplus 60

Arval. Planchers collaborants. Cofraplus 60 Cofraplus 6 es photos : Image de synthèse (a Tour) Sport City Tower, Doha (Qatar) Architecte : Concept Architect Hadi Simaan, Floride (USA) Structure : Arup, ondres (Royaume-Uni) Au milieu, à droite Parking

Plus en détail

APPLICATIONS. Pour cela, Bricard propose de nombreuses solutions spécifiquement adaptées à tous les types d environnement

APPLICATIONS. Pour cela, Bricard propose de nombreuses solutions spécifiquement adaptées à tous les types d environnement APPLICATIONS Cinémas, théâtres, bureaux, salles de sport Des lieux publics à fort passage où la sécurité doit être assurée par des systèmes de protection. Pour cela, Bricard propose de nombreuses solutions

Plus en détail

isolons mieux. Parlons peu Multimax 30 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison

isolons mieux. Parlons peu Multimax 30 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison Parlons peu isolons mieux. Multimax 0 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison En rénovation, Multimax 0 permet d optimiser efficacité thermique et espace habitable

Plus en détail

RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE

RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE Bureau Alpes Contrôles bac.bourg@alpes-controles.fr - RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE REFERENCE: BT120018 indice 0 NOM DU PROCEDE: MODULES PHOTOVOLTAIQUES ASSOCIES EN POSE PORTRAIT OU PAYSAGE:

Plus en détail

CONCEPTION DES LOCAUX DE TRAVAIL : LE RISQUE INCENDIE

CONCEPTION DES LOCAUX DE TRAVAIL : LE RISQUE INCENDIE BARREAU Nicolas LOUBOUTIN Nathalie VAUGIER Pauline MASTER PRNT PROJET UE 5 : FACTEURS D AMBIANCE CONCEPTION DES LOCAUX DE TRAVAIL : LE RISQUE INCENDIE T. ATHUYT Janvier 2005 Projet Facteurs d ambiance

Plus en détail

Service départemental d incendie et de secours du Territoire de Belfort

Service départemental d incendie et de secours du Territoire de Belfort Service départemental d incendie et de secours du Territoire de Belfort Fiche technique 2011 / 01 Nouvelles dispositions prévues par le règlement de sécurité pour l évacuation des personnes en situation

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

CREATION D UN GROUPE SCOLAIRE

CREATION D UN GROUPE SCOLAIRE S.I.C.A. HABITAT RURAL DE LA SAVOIE 40, rue du Terraillet 73190 SAINT BALDOPH Tél. 04 79 33 06 94 Fax 04 79 85 69 92 E-mail : info@sica-hr.com Dossier 1918-2011 SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE ST OFFENGE CREATION

Plus en détail

Les solutions support d enduit mince avec isolation

Les solutions support d enduit mince avec isolation Les solutions support d enduit avec isolation Th38 SE Th38 SE FM+ Dimensions : Th38 SE : 1200 x 600 x épaisseurs 20 à 300 mm Th38 SE FM+ : 500 x 500 x épaisseurs 60 à 120 mm (autres dimensions sur consultation)

Plus en détail

Environnement Contrôlé. Nos solutions. Systèmes de Cloisons de Salles Propres. Construire Votre Environnement. A division of Dagard SAS

Environnement Contrôlé. Nos solutions. Systèmes de Cloisons de Salles Propres. Construire Votre Environnement. A division of Dagard SAS Ultra Propre Environnement Contrôlé High Tech Nos solutions Systèmes de Cloisons de Salles Propres A division of Dagard SAS Construire Votre Environnement Gamme Ultra Propre Les surfaces lisses et bi-affleurantes

Plus en détail

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion

Plus en détail

CEP-CICAT 5 Février 2015. Lieutenant Jean-marc BRUCKERT - Service Prévention

CEP-CICAT 5 Février 2015. Lieutenant Jean-marc BRUCKERT - Service Prévention CEP-CICAT 5 Février 2015 Lieutenant Jean-marc BRUCKERT - Service Prévention EVACUER EN TOUTE SECURITE ESPACES D ATTENTE SECURISES SOLUTIONS EQUIVALENTES CAS D EXONERATION ERP CODE DU TRAVAIL IGH Introduction

Plus en détail

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie

Plus en détail

LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI

LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI JOURNEE DU 21.10.2008 Partie 1 : Actions thermiques 1/ 51 REPARTITION DES SRI EN BELGIQUE. SERVICES X SERVICES Y SERVICES Z SERVICES C Bruxelles. Wavre. Braine-Le-

Plus en détail

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2 EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de

Plus en détail

5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant.

5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant. FICHE TECHNIQUE 120-1.4 07.21.13.13 1 Nom du produit ISOFOIL 2 Manufacturier ISOFOIL est fabriqué par Groupe Isolofoam, entreprise québécoise et important manufacturier de produits isolants depuis plus

Plus en détail

Murs poutres & planchers

Murs poutres & planchers Murs poutres & planchers Henri RENAUD Deuxième édition Groupe Eyrolles, 2002, 2005, ISBN 2-212-11661-6 8. Structure porteuse : murs, planchers, charpente Eléments porteurs ou de liaisons qui contribuent

Plus en détail

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux

Plus en détail

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER Cursus complet théorique et pratique Durée : 6 semaines, soit 30 jours de formation : 210 heures Nature de la formation : théorique et pratique Horaires : de 09h00-12h00 / 13h00-17h00

Plus en détail

Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif

Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Lors de l installation de la clôture Zenturo ou Zenturo Super en tant que mur décoratif, vous devez tenir compte de quelques

Plus en détail

Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense

Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense 5 ème Forum International Bois Construction FBC 2015 Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense P. Gontier 1 Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense Pascal Gontier Architecte

Plus en détail

SERVICES INDUSTRIELS. Bienvenue

SERVICES INDUSTRIELS. Bienvenue Bienvenue Directive G1 Directives SIN Le gaz à Nyon Rénovation But de la présentation : La «nouvelle»g1 Les changements principaux, (non exhaustifs) Donner des pistes pour appliquer ces nouvelles prescriptions

Plus en détail

1/4 N 13824*03. N de l autorisation. Le cas échéant, n de la déclaration préalable 1 effectuée au titre du code de l urbanisme :

1/4 N 13824*03. N de l autorisation. Le cas échéant, n de la déclaration préalable 1 effectuée au titre du code de l urbanisme : MINISTÈRE CHARGÉ DE LA CONSTRUCTION Demande d autorisation de construire, d aménager ou de modifier un établissement recevant du public (ERP) Cette demande vaut également demande d approbation d un Agenda

Plus en détail

ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE

ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE 25 septembre 2013 Patrick Biot - agréé CNPP 1 AGREPI? ASSOCIATION DES INGÉNIEURS & CADRES SPÉCIALISTES DE LA MAÎTRISE DES RISQUES INCENDIE

Plus en détail

Définition d un Établissement Recevant du Public (ERP) : Vos partenaires pour répondre à vos questions :

Définition d un Établissement Recevant du Public (ERP) : Vos partenaires pour répondre à vos questions : Définition d un Établissement Recevant du Public (ERP) : «Tous bâtiments, locaux et enceintes dans lesquels des personnes sont admises, soit librement, soit moyennant une rétribution ou une participation

Plus en détail

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE

Plus en détail

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale

Plus en détail

OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS

OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS 2 CHAPITRE OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS 2.1. CAS GÉNÉRAL L installation d un garde-corps est obligatoire lorsque la hauteur de chute comptée à partir de la zone de stationnement normal (ZSN)

Plus en détail

Attestation d'utilisation AEAI n 23700

Attestation d'utilisation AEAI n 23700 Attestation d'utilisation AEAI n 23700 Groupe 242 Requérant Portes coupe-feu avec vitrage Feuerschutzteam AG Fabricant Feuerschutzteam AG Description Porte à deux battants, avec/sans partie supérieure/imposte,

Plus en détail

Les bâtiments modulaires

Les bâtiments modulaires Les bâtiments modulaires Différents types de bâtiments : Le bâtiment modulaire est une construction légère conçue pour une utilisation temporaire ou permanente, constituée d une structure métallique en

Plus en détail

PRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES

PRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES PRÉGYMÉTALTM Mise en œuvre Caractéristiques techniques pages 90 à 9 PRINCIPES DE POSE A POINTS SINGULIERS 7 A 0 ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES TRAÇAGE ET POSE DES RAILS CONTRE-CLOISONS

Plus en détail

Phase avant-projet : Liste de vérification pour la protection incendie d'appartements multi-étagés

Phase avant-projet : Liste de vérification pour la protection incendie d'appartements multi-étagés Phase avant-projet : Liste de vérification pour la protection incendie d'appartements Ce document présente une vue d'ensemble des principales questions à envisager en matière de sécurité incendie dans

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail