SYSTEMES D INFORMATION GEOGRAPHIQUE dossier documentaire
|
|
- Anne-Claire Laberge
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2 1 SYSTEMES D INFORMATION GEOGRAPHIQUE dossier documentaire GEOGRAPHICAL INFORMATION SYSTEMS documentary dossier SISTEMAS DE INFORMACIÓN GEOGRÁFICA informe documental (pour la version russe, consulter le document papier) DIRECTION GENERALE DE L'URBANISME, DE L HABITAT ET DE LA CONSTRUCTION * CENTRE DE DOCUMENTATION DE L'URBANISME ** Arche de La Défense Paris La Défense cedex INSTITUT GEOGRAPHIQUE NATIONAL *** 6/8, avenue Blaise Pascal - Cité Descartes - Champs-sur-Marne Marne-la-Vallée cedex 2 * DGUHC : Directorate general for town planning, habitat and construction ; Dirección general de urbanismo, del hábitat y de la construcción. ** CDU : Town planning documentation centre ; Centro de documentación del urbanismo. *** IGN : National geographical institute ; Instituto geográfico nacional.
3 2 Ce dossier, «Systèmes d information géographique», a été réalisé à la demande du Centre de documentation de l urbanisme (CDU) par : Anne BERRY (Institut géographique national), bibliographie, et Philippe MIELLET (EDATER), note de synthèse, sous la direction de Claude ECOBICHON (Conseil général des ponts et chaussées), avec les conseils de Michel BERNARD (SIAGE Conseil) Georges BERTRAND (Urbatique), Yves BONIN, Serge BONNET et Jean-Pierre DUCUING (Institut géographique national), Patrice BOURSIER (Université de La Rochelle, LRI) Laurent COUDERCY (Centre d études sur les réseaux, les transports, l urbanisme et les constructions publiques), André DEL (Ecole d architecture Paris-Conflans), Christiane HORTEFEUX (Conseil national de l information géographique), Claude SOIROT (Créations conseils services), Christiane WEBER (Institut de géographie, Laboratoire images et villes). Coordination : Françoise PORCHET (CDU). La note de synthèse présente d abord des éléments de l histoire des banques de données urbaines afin d appréhender les problématiques actuelles des systèmes d information géographiques. Un choix de points thématiques et méthodologiques résume ensuite les questions soulevées par le recours aux systèmes d information géographiques dans des thématiques urbaines. La bibliographique fait suite à l «orientation bibliographique» éditée par le CDU en 1992 sous le même titre. Elle n est pas exhaustive et prend essentiellement en compte les ouvrages et articles parus au cours des cinq dernières années. Les références signalées proviennent de différentes sources : - interrogation d Urbadisc, d Urbamet, de Francis et de Pascal - consultation des fonds documentaires du Centre de documentation de l urbanisme (CDU), du centre de documentation de l Institut géographique national (IGN), de la bibliothèque de Ecole supérieure des travaux publics, du bâtiment et de l industrie (ESTP), de la bibliothèque de l Institut français d urbanisme (IFU), de la documentation du Centre d'études sur les réseaux, les transports, l'urbanisme et les constructions publiques (CERTU), et de la documentation de l Ordre des géomètres-experts, - dépouillement de revues et d actes de congrès, colloques,... Les références, selon leur origine, ne sont pas toujours suivies d un résumé. Elles sont classées, tous documents confondus, par ordre chronologique inversé, les plus récentes en premier. Enfin, pour aider à la compréhension de certains titres en langues étrangères, Anne BERRY a proposé une traduction entre crochets. Les documents signalés sont accessibles auprès des organismes listés en fin d ouvrage.
4 3 sommaire SYSTEMES D INFORMATION GEOGRAPHIQUE pour la gestion et l aménagement urbain note de synthèse INTRODUCTION DES BDU AUX SIG URBAINS Les expériences des banques de données urbaines (BDU) Diffusion des SIG en milieu urbain Evolutions actuelles des SIG en milieu urbain QUELLE PLACE POUR LES SIG DANS L AMENAGEMENT URBAIN? Mise en œuvre des SIG en milieu urbain SIG et niveau d appréhension du territoire urbain Echelles des projets d aménagement urbain et échelles des données géographiques Les territoires décrits par l aménagement sont-ils compatibles avec ceux construits dans un SIG? Temps et espace des bases de données et besoins des collectivités BIBLIOGRAPHIE GEOGRAPHICAL INFORMATION SYSTEMS for urban management and planning synthesis SISTEMAS DE INFORMACION GEOGRAFICA para la gestión y el acondicionamiento urbano nota de síntesis SYSTEMES D INFORMATION GEOGRAPHIQUE aspects économiques, juridiques, et organisationnels et applications en aménagement et en urbanisme bibliographie
5 4 SYSTEMES D INFORMATION GEOGRAPHIQUE pour la gestion et l aménagement urbain NOTE DE SYNTHESE
6 5 introduction La croissance urbaine s'accompagne de la multiplication des informations qui décrivent le territoire urbain et ceux qui l'habitent : localisation des activités, des moyens de transport, des équipements gestion foncière et patrimoniale, etc. L'ensemble de ces informations portent d'une manière ou d'une autre un attribut de localisation, qu'il soit accessible sous forme de repérage précis ou sous forme d'agrégation disponible selon des découpages prédéfinis. Leur visualisation sous forme de plans ou de cartes reste une des façons les plus simples de les appréhender. Ce double impératif, de gestion d'une information à la complexité croissante et de visualisation territoriale de son extension et de sa dynamique, impose une démarche de rationalisation du stockage et de l'accès aux données localisées. Actuellement, et ce depuis maintenant plus de 15 ans, un des meilleurs choix possibles pour organiser l'information technique et sociale de la ville s'appelle le Système d'information Géographique (SIG). Qu'est ce qu'un SIG? La multiplication des approches de constitution et de traitement de l'information géographique s'accompagne d'un foisonnement d outils capables de la structurer et de la traiter ; ils sont regroupés, pour des raisons de commodités, sous le vocable SIG. En fait, une définition simple présente un SIG comme : "un système pour collecter, stocker, vérifier, manipuler, analyser et restituer des données spatialement référencées à la surface de la Terre" (DoE, 1987). Cependant des équivoques persistent encore sur la stricte définition des SIG. Elles sont essentiellement dues au fait que le vocable désigne à la fois : - le concept de chaîne de traitement de l'information géographique numérique ; - les outils informatiques qui permettent de l'instrumenter ; - et les applications qui sont construites avec cet outil. Ces différents points de vue entraînent des définitions multiples 1 qu'il serait fastidieux de reprendre ici, mais dont il faut souligner que le plus petit dénominateur commun est souvent, et de façon quelque peu réductrice, l'outil informatique. Un SIG est d'abord un Système d'information (SI) dont l'objectif est de décrire un territoire de façon à améliorer sa connaissance et à permettre la description et l'analyse des phénomènes naturels ou humains qui s'y produisent. 1 A ce sujet voir un panel choisi de définitions dans Maguire (1991).
7 6 Le SIG au croisement des métiers de la ville? Par une uniformisation des modes de manipulation de l'information géographique (à la fois dans les outils et dans les modes de traitements), la tendance actuelle est de regrouper sous le nom de SIG un certain nombre de méthodes et de domaines d'application, notamment dans l'analyse urbaine, sans chercher à discerner particulièrement les intérêts et les inconvénients d'un tel amalgame. Le postulat des SIG, outils fédérateurs des approches de traitement des données géographiques est largement repris dans la littérature sous des formes différentes et comme le souligne Shepherd (1991) : "par l'intermédiaire de l'intégration de données qui étaient préalablement le domaine de spécialistes de disciplines individuelles, une perspective interdisciplinaire pour résoudre les problèmes géographiques est encouragée". Cependant, dans la réalité, les différentes disciplines continuent à privilégier leurs données "naturelles" et leurs méthodes de traitements associés d'où une certaine "parcellisation du savoir" en termes d'analyse urbaine (DAU, 1996). L'innovation est encore trop récente pour avoir modifié en profondeur les méthodes d'analyse de chacun. A la croisée des chemins de nombreuses disciplines, les SIG concentrent des modes de description et de formalisation de l'espace très différents et ce particulièrement dans des milieux complexes comme la gestion et l'analyse urbaine. Maîtriser les SIG, et parvenir à la définition de méthodes d'analyse solides, implique d'être capable d'assimiler une part des langages différents et de leurs concepts associés, de façon à pouvoir dialoguer dans une véritable approche multidisciplinaire, mais surtout d'être à même de formaliser les questions dans un langage compatible avec les différentes composantes du système d'information. La multiplicité des intervenants et des compétences en milieu urbain rend le sujet de la place des SIG en milieu urbain trop vaste pour être résumé dans l'ensemble de ces composantes (dont la richesse de cette bibliographie est la preuve). Ainsi quelques thèmes d'utilisation des SIG en milieu urbain sont abordés ici notamment sur l'aspect de gestion technique de la ville (par un rappel sur les logiques de mise en place des Banques de données urbaines) puis plutôt sur des conceptions d'aménagement "supracommunal". Il est bien évident que ce choix n'est pas restrictif des champs d'utilisation des SIG en milieu urbain mais représente plutôt une accentuation de certaines de ses facettes. Cette synthèse fait donc sciemment le choix d'établir un rappel historique des conditions du développement de ces méthodes et outils en milieu urbain, puis propose quelques points de réflexion plus méthodologiques applicables aux problématiques de l'aménagement de ces territoires.
8 7 DES BDU AUX SIG URBAINS LES EXPERIENCES DES BANQUES DE DONNEES URBAINES (BDU) Le développement du domaine particulier de la gestion des données urbaines doit, avant tout, être replacé par rapport à une évolution plus générale qui est l informatisation des villes. En effet, le développement du processus d acquisition et de restitution des données géographiques de la collectivité urbaine ne fait pas partie des noyaux originels du développement de l informatique urbaine. Ceux-ci se sont d'abord concentrés sur la comptabilité d une part et les télécommunications d autre part. Les premières applications informatiques ont concerné en général l établissement des fichiers électoraux, de paie des employés, etc. Seules quelques collectivités ont inscrit dans leurs premiers programmes informatiques ce qui n était à l époque qu une gestion automatique des plans. Ces orientations premières ont joué manifestement un rôle indirect sur la constitution et l utilisation des données localisées dans les villes. Les années 1980 ont manifestement vu une évolution fondamentale des priorités et le démarrage réel de nombreuses applications urbaines. Au-delà des fonctions de gestion urbaines (assainissement, éclairage public, évacuation des déchets, etc.) d'autres enjeux ont vu le jour. G. Dupuy (1992) en distingue trois : "le service rendu au citoyen, l économie du système, la réorganisation territoriale". C est sans doute dans cet esprit que s inscrivent les nouvelles démarches entreprises autour des SIG. Cependant, le poids des réalisations antérieures, les échecs anciens, les cultures des équipes, etc., jouent encore un rôle important dans l orientation et l utilisation pratique de ces systèmes. On ne saurait aujourd hui parler des tendances de l utilisation des SIG dans l espace urbain sans tenir compte des traces du passé. De façon simplifiée, on désigne par Banque de données urbaines (BDU) : "le stockage d une quantité éparse de données dans un même lieu, la transformation de cette information en données utilisables, et leur mise à disposition d acteurs pour un domaine d application : la ville" (Aillaud, 1992). Il peut être intéressant de reprendre les grandes périodes de développement de ces banques de données urbaines, de les replacer par rapport aux capacités méthodologiques et techniques, ainsi que par rapport à l évolution des besoins au cours des vingt dernières années, afin de mieux comprendre la situation actuelle. Les années 1970 Les précurseurs des BDU sont peu nombreux. Certaines villes ont commencé la mise en place d un système informatisé utilisant l information localisée à partir du début des années
9 Ces expériences ont à la fois, et paradoxalement, servi de test de la faisabilité des BDU (la plupart des créations récentes ayant tenu compte de ces expériences pionnières), et de "cobayes" pour ceux qui ont pu, parfois à juste titre, douter de leur utilité au regard des premiers résultats. Paris fut une des premières BDU françaises. Créée en 1969 à l initiative de l APUR (Atelier parisien d urbanisme) et de l IAURP (Institut d aménagement et d urbanisme de la Région parisienne) 2, elle contenait, entre autres, des informations sur le bâti, le fichier du parcellaire de la ville, des informations INSEE. Quatre autres expériences marquantes ont jalonnés ces années de mise en place : - Le "cadastre souterrain" de la ville de Lille Il a fallu créer l information géographique de référence (levée des corps de rues et report sur les plans concessionnaires) à l échelle du 1:200e. La saisie de km de voies a pris 15 ans. L exemple de Lille fait partie des expériences difficiles qui ont souffert de leur position pionnière. En 1987, la communauté urbaine de Lille a démarré la saisie du plan de gestion parcellaire prévue jusqu en 1995, année qui verra (23 ans après le démarrage) la fin de la mise en place des structures topographiques de base. - La levé du plan cadastral et le complément topographique de la ville de Marseille La mise en place de la BDU date de 1972, une des toutes premières, et la saisie du cadastre a débuté en Ce cadastre a fait l objet d une convention avec la DGI en Le premier plan topographique à l échelle de 1:200e est édité en couleur (un exploit pour l époque) en L expérience de Marseille est sans doute un des exemples réussis de mise en place de BDU d envergure. La base est toujours "vivante" et s enrichit régulièrement de nouvelles applications. - La réalisation, par la Direction générale des impôts, des premiers cadastres informatiques des villes de Paris, Lyon, St-Etienne, Bordeaux, Montbéliard Ces programmes, achevés au milieu des années 1980, sont la préfiguration du lancement, en 1991, du PCI (Plan cadastral informatisé) sur l ensemble du territoire et pour une durée initialement prévue de 30 ans 3. - Les essais de mise en place du RGU (Recensement général urbain) dans les grandes villes Ces essais s'intégraient dans un vaste plan inter-administrations dont l'objectif était de mettre sur pied dans les communes un RGU (Répertoire géographique urbain), qui devait être initialement complété par un RGP (Recensement géographique des parcelles) et un répertoire de voies (le répertoire RIVOLI 4 ). Le RGU a été mis en place dans de nombreuses communes. L'INSEE a alors essayé de mettre au point des outils spécifiques pour tenter d'utiliser les données statistiques en liaison avec le RGU. Des tentatives d'utilisation de ces passerelles ont été menées pour les recensements de 1975 et de 1982, elles n'ont pas été concluantes. De plus la plupart des RGU ont souffert très rapidement de l'absence de mise à jour, leurs informations devenant alors incomplètes. D autres villes ou communautés urbaines comme Lyon ou Toulouse s inscrivent dans ce grand démarrage. Il est important de comprendre le contexte dans lequel se situaient ces expériences. Les premières années de la décennie 1970 sont en effet marquées par de nombreuses opérations menées, parfois sans réelle concertation, par des acteurs différents, 2 Aujourd'hui : IAURIF (Institut d aménagement et d urbanisme de la Région d Ile-de-France). 3 Programme actuellement en voie d'aménagement avec le projet de mise à disposition par le DGI de planches scannées des plans cadastraux. 4 RIVOLI n'est plus aujourd'hui qu'un nom de code dans le fichier FANTOIR.
10 9 cherchant à produire de l information géographique de référence. Sans entrer dans le détail, rappelons la création du répertoire informatique des rues et des lieux-dits (FINATO puis RIVOLI) crée en 1971 par la DGI ; le RGU (cité plus haut), démarré sous l égide de plusieurs ministères et de l INSEE en 1973 ; la création de grands fichiers statistiques nationaux comme le fichier SIRENE. Le souci de l époque n est pas thématique mais technique. L informatisation est perçue comme une possibilité d automatisation et d accélération de travaux répétitifs ou fastidieux. C est pourquoi les objectifs initiaux se sont principalement cantonnés dans une optique de diminution du temps de recherche, de mise à jour et de production de plans. Notons d ailleurs que les premières BDU ont été confiée le plus souvent aux services informatiques et aux services du plan. Ces éléments, d apparence anecdotique, expliquent en partie les choix principaux faits il y a vingt ans. Les données de référence (types, échelles, précision, référentiel géographique notamment), ainsi que les types d applications (au départ assez éloignés des notions d aménagement du territoire urbain), ont été proposés à partir de ces orientations. Les enseignements tirés de cette période sont à la fois conjoncturels et structurels. Conjoncturels d abord, car on ne saurait expliquer les difficultés majeures (retard et dépassement de budget entre autres), rencontrées par ces villes pionnières sans les replacer par rapport à l environnement technique de l époque. Le manque de performances des outils d'alors, l'insuffisance d outils de saisie adaptés, l'absence de personnels qualifiés, etc., ont joué un rôle important dans le déroulement de ces quelques expériences sans être pourtant les sources exclusives de leurs difficultés. Les années Il s agit d une période de transition pendant laquelle certaines des BDU pionnières continuent et fortifient leur base (comme Paris ou Marseille) alors que d autres entament une évolution vers la constitution de nouvelles bases. La base de données de référence est alors essentiellement le plan des corps de rues au 1:200e (Grenoble, Valence ). L orientation est essentiellement tournée vers une production de plans de référence pour la connaissance et les travaux sur les réseaux enterrés. Un exemple de cette orientation est donné par la BDU de Toulouse, mise en place en 1984 et dont le plan au 1:200e s est achevé en L évolution des matériels informatiques permettaient plus facilement la modernisation de la production de plans et d applications DAO (Dessin assisté par ordinateur). Les applications de ces BDU sont donc essentiellement tournées vers la fourniture de données de gestion à destination des services techniques, et non vers la mise en place d un véritable système d information pour la collectivité. L aménagement urbain est d'abord compris dans sa dimension technique, et l information localisée comme support de plan. En pratique, "il semble que ces interventions sur l espace urbain se réduisent souvent à la gestion, c est-à-dire à un processus de calcul guidé par des contraintes de rentabilité. De la même façon, les BDU sont devenues un outil de gestion urbaine au sens le plus strict du terme. La ville, appréhendée par la BDU communale, n apparaît-elle pas comme un objet à gérer et non plus comme un lieu et une entité porteur de projets de nature diverses?" (Aillaud, 1992). Il s agit pourtant d une période de transition, à partir de laquelle de nouvelles préoccupations voient le jour, accompagnées par des progrès informatiques notoires, et notamment l arrivée des premiers SIG standards en Europe et en France.
11 10 Les années Un des éléments marquants de cette période est l'accélération de la diffusion des méthodologies de traitement de l'information géographique au sein des différents niveaux de collectivités locales, mais aussi des services de l'etat, notamment du fait du développement de la microinformatique. Les bases de données urbaines ne sont plus cantonnées aux villes les plus importantes (même si la tendance d équipement suit encore très exactement la taille de la ville, cf. infra). Il devient alors clair pour de nombreux spécialistes que "l enjeu pour la décennie à venir est de permettre à de villes moyennes et petites d accéder en grand nombre à des SIG répondant à leurs besoins pour un prix abordable [et de passer ainsi] de l expérimentation et de l innovation à la gestion industrialisée des informations géographiques" (Daull, 1992). Le second élément à retenir est sans nul doute la combinaison de plus en plus marquée entre base de données pour la gestion, mais aussi pour l'aménagement, et la décision stratégique (cf. infra). Ces dernières années ont aussi vu le développement rapide des bases de données numériques accessibles directement auprès de fournisseurs comme l'ign, Michelin, SPOT Image par exemple. Ainsi, au-delà des informations des découpages administratifs, la multiplication des bases d'informations routières, voire de rues en milieu intra-urbain, d'occupation du sol ou la facilité d'accès aux données socio-économiques ont considérablement modifié les pratiques des gestionnaires et des aménageurs urbains. Enfin, l'évolution des mentalités autour de l'information tend à permettre de plus en plus d'interactions entre différents détenteurs d'informations sur la ville et permet des synergies plus fortes entre collectivités locales et services de l'etat, parfois autour (voire grâce) au SIG qui devient alors un outil de médiation territoriale. DIFFUSION DES SIG EN MILIEU URBAIN L évolution des SIG dans les collectivités urbaines est encore difficile à évaluer avec précision. De nombreuses études cherchent régulièrement à donner un état de la diffusion sur ce secteur de marché très porteur. Les résultats sont nécessairement partiels, en effet en période de transition, de nombreuses villes évoluent actuellement en migrant par exemple d un système de type DAO/CAO vers des logiciels SIG. Dès lors, seules quelques tendances peuvent être données. La situation actuelle est le résultat de la période de transition de ces dernières années. Les rapports inversement proportionnels entre la taille des collectivités et leur niveau d équipement est flagrant. Des éléments issus de l'observatoire Géomatique (IETI, 1998) montrent que 77 % des villes de plus de habitants sont aujourd'hui équipées de logiciels de type SIG, DAO ou cartographiques. Ce chiffre décroît bien évidemment rapidement avec la taille des villes (environ 64 % des villes de taille comprise entre et habitants, environ 16 % entre et habitants, etc.).
12 11 On peut aussi noter que la quasi-totalité des villes nouvelles et des communautés urbaines sont aujourd'hui équipées. Il est évident que ces chiffres sont en évolution assez rapide, notamment en ce qui concerne les villes moyennes. Il est intéressant de noter que les principaux obstacles mentionnés par les responsables de services (toutes tailles de villes confondues) sont dans l ordre : financiers, puis organisationnels, alors que le facteur technique n apparaît qu en dernier, preuve d une évolution rapide depuis quelques années (Eurovista, 1995). Les petites villes sont encore hésitantes sur ces méthodologies (6 % environ de communes entre et habitants sont équipées d'après le recensement IETI). On y trouve pourtant des démarches de mise en œuvre de SIG, mais elles sont la plupart du temps menées avec des partenaires locaux (comme des géomètres). Il est, de ce fait, extrêmement difficile d en avoir une vision globale, d autant plus qu il s agit essentiellement d applications thématiques uniques construites sur micro-ordinateur en interne. Il est clair pourtant que ce marché, dans une optique d application d aide à l aménagement, est essentiel. Sur des espaces réduits, avec des problèmes organisationnels a priori moins complexes que pour les grandes unités urbaines, il est possible de développer des SIG opérationnels en liaison avec des outils de gestion foncière ou de gestion du patrimoine par exemple dont l échelle des données est compatible avec une prise de décision pour l aménagement du territoire. La tendance générale est donc une extension forte des SIG dans les collectivités urbaines. S inscrivant parfois dans la continuité d efforts anciens autour des premières BDU, les développements nouveaux bénéficient des enseignements issus des expériences passées. Le concept même de Banque de données est en pleine transformation et s enrichit d une démarche de mise en place d applications précises et thématiques qui répondent aux besoins d utilisateurs divers. La conjonction de cette demande d applications diversifiées, mêlant gestion et décision d aménagement, avec la maturité des SIG comme mode de structuration et de traitement de l information géographique, permet la mise en place de BDU/SIG dans lesquelles l orientation d analyse des territoires urbains tient une place importante. EVOLUTIONS ACTUELLES DES SIG EN MILIEU URBAIN De la gestion à l aménagement urbain «La décentralisation a rendu les communes responsables en matière de planification, d occupation du sol et d aménagement opérationnel, l Etat restant garant des grands équilibres et de la conduite des projets d intérêts généraux. Par voies de conséquence, on assiste à une diversification et à une multiplication des maîtres d ouvrage, ainsi qu à une nouvelle expression des besoins, sinon de besoins nouveaux» (Wolf, 1993). Le même auteur souligne à juste titre les modifications de l environnement économique et technologique qui expliquent en partie l évolution des demandes et des mentalités. Ainsi parmi ces caractéristiques : le besoin d une planification plus souple et plus modulaire en période de croissance économique faible, la prise en compte de la demande au regard des avancées technologiques, la gestion de l environnement comme nécessité et volonté de préserver l existant. Le changement fondamental qui s opère est lié à la compréhension par un certain
13 12 nombre de décideurs : "le besoin prioritaire n est pas plus la production de plans précis pour réaliser des travaux, mais la mise en place d outils de gestion des données urbaines" (Fournillier, 1989). Par une conjonction heureuse, l irruption d outils de gestion de données proposant des fonctionnalités de traitements bien supérieures aux outils des décennies précédentes, se produit sur le marché français à partir de Les BDU s orientent alors de façon nouvelle en essayant de combiner les fonctionnalités antérieures (nécessaires et utiles à la gestion) avec des fonctionnalités d analyse que seuls les SIG permettent. Ainsi "il est intéressant de noter que les Systèmes d'information urbains récents sont plus tournés vers des finalités prospectives, projet urbain pour Sélestat, base de données micro-géographiques pour l'aménagement au Havre, que ceux qui ont débuté dans les années 1970" (Weber, 1995). Une des fonctions du SIG urbain devient alors, après l'administration des services urbains, la constitution d'observatoires thématiques. "Les observatoires développés dans le cadre des BDU sont des outils de connaissance externe qui doivent répondre à des objectifs dépassant la responsabilité propre du gestionnaire du territoire [à ce titre, ce sont] des outils de prise en compte du contexte, de l'environnement, de la gestion municipale. Ils constituent une tendance lourde des SIG urbains" (Joliveau, 1995). Un bon exemple de cette évolution est donnée par la BDU de la Communauté urbaine de Lyon, qui démarre en 1985 une étude de faisabilité d envergure pour la mise en place de la BDU "nouvelle formule" dès Le choix d'un logiciel clairement affiché comme outil SIG montre la détermination de s inscrire dans une démarche "multi-usage", en pleine évolution par rapport aux BDU orientées uniquement vers la gestion. L exemple de Lyon montre comment les démarches de gestion et d'analyse peuvent cohabiter dans un même projet. L analyse détaillé des phases de constitution montrent qu après la constitution des données de base (notamment le cadastre) et le développement d applicatifs de gestion (éclairage public, POS, arbres d alignement, etc.), une seconde phase inscrite au schéma directeur informatique de 1992 a inclus de nombreuses orientations d aménagement : observatoire immobilier et foncier, observatoire écologie urbaine, gestion des sites d accueil des entreprises. Ces nouvelles possibilités, liées en partie à de nouvelles approches logicielles dues aux SIG, ont d ailleurs entraîné le véritable démarrage de nombreuses BDU dans les années et l'apparition de nouvelles tendances, la plupart compatibles avec une évolution vers l utilisation combinée de données de gestion et de prise de décision stratégique. Un exemple de ces BDU polyvalentes est celui de la Communauté urbaine de Brest. Dès 1989, des objectifs de développement économique et territorial pour la ville (incluant des préoccupations fortes en matière d environnement) prédisposait la BDU à une orientation d analyse. Ses données de base sont un ensemble d informations sur des fonds cadastraux ou topographiques à l échelle du 1:5.000e. Le logiciel choisi est résolument SIG standard du marché rompant avec une tradition de produits hybrides internes souvent inadaptés aux besoins. Ce choix est d ailleurs en partie justifié du fait que la préoccupation de localisation précise (de type photogrammétrie) ne faisait pas partie des impératifs. Les premières utilisations ont montré une orientation résolument tournée vers le thématique avec des cartographies du recensement à l îlot, le recensement du patrimoine historique ou des plans de paysage. L application de localisation des entreprises à l adresse postale sur le territoire de la commune est un des exemples des types de préoccupations et d applications qui émergent aujourd hui dans les villes, et pour lesquelles les BDU sont dorénavant conçues à des fins d aide à la décision en s'appuyant sur des SIG.
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailChapitre 1 : Introduction aux bases de données
Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données
Plus en détailERP5. Gestion des Services Techniques des Collectivités Locales
Gestion des Services Techniques des Collectivités Locales Cte 1 2 P 3 s tio T 4 m ilg h trc c n p.o 5 re u fe ro a le tio c M S tw u aa c e O 2 Relation Citoyen Interventions Patrimoine Core Ressources
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailCADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL. Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie
CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie Les sociétés de logement de service public gèrent un parc de
Plus en détailLa collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire
Conférence SIG 2012 - ESRIFRANCE La collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire Serge MANG-JOUBERT GAIAGO Eric VIDALENC - ADEME 1 Auteurs : Rodrigo MARIONI, Serge
Plus en détailSommaire. Les lotissements à partir du 1er mars 2012. Février 2012. Caractéristiques d un lotissement...2. Constitue un lotissement...
Les lotissements à partir du 1er mars 2012 Février 2012 Sommaire Caractéristiques d un lotissement...2 Constitue un lotissement...2 Ne constitue pas un lotissement...2 Les procédures applicables et leur
Plus en détailC H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S
C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S P r é a m b u l e Proximité Singularité de la personne Universalité du service De nombreux territoires ruraux et urbains se situent en
Plus en détailCONCEPTION D UN MONITORING DES QUARTIERS COUVRANT L ENSEMBLE DU TERRITOIRE DE LA RÉGION DE BRUXELLES-CAPITALE
CONCEPTION D UN MONITORING DES QUARTIERS COUVRANT L ENSEMBLE DU TERRITOIRE DE LA RÉGION DE BRUXELLES-CAPITALE UITWERKING VAN EEN WIJKMONITORING DIE HET HELE GRONDGEBIED VAN HET BRUSSELS HOOFDSTEDELIJK
Plus en détailSynthèse du questionnaire en ligne
èmes Rencontres Régionales pour la Biodiversité VENDREDI SEPTEMBRE 0 Université de Caen Basse-Normandie Amphithéâtre Oresme Vers un observatoire régional de la biodiversité en Basse-Normandie Synthèse
Plus en détailInitiation d une base de donnée documentaire et réglementaire
Initiation d une base de donnée documentaire et réglementaire Rapport Septembre 2007 Sommaire Chapitre 1 : Présentation de l outil «Base de donnée» du Pays Marennes Oléron.. p.5 1. Définition et principe...
Plus en détailService des Systèmes d Informations
S.I.G Service des Systèmes d Informations Les systèmes d informations représentent les moyens logiciels, matériels, et humains pour permettre aux utilisateurs d'utiliser les ressources informatiques dans
Plus en détailComment mettre en oeuvre une gestion de portefeuille de projets efficace et rentable en 4 semaines?
DOSSIER SOLUTION Package CA Clarity PPM On Demand Essentials for 50 Users Comment mettre en oeuvre une gestion de portefeuille de projets efficace et rentable en 4 semaines? agility made possible CA Technologies
Plus en détailMASTER 2 URBANISME ET AMENAGEMENT SPÉCIALITÉ PAYSAGE ET AMENAGEMENT Année universitaire 2012-2013
MASTER 2 URBANISME ET AMENAGEMENT SPÉCIALITÉ PAYSAGE ET AMENAGEMENT Année universitaire 2012-2013 Le Master 2 Paysage et Aménagement est une spécialité du Master Urbanisme et Aménagement. Celui-ci est
Plus en détailLOGICIELS ET ORGANISATION POUR GERER LES DONNEES ET L INFORMATION GEOGRAPHIQUE DES RESEAUX DE DISTRIBUTION
LOGICIELS ET ORGANISATION POUR GERER LES DONNEES ET L INFORMATION GEOGRAPHIQUE DES RESEAUX DE DISTRIBUTION Pascal Bertolini, Alberto Rica EDENOR Azopardo 1025-1107 BUENOS AIRES (ARGENTINE) Tél : 54 1 43
Plus en détailISTEX, vers des services innovants d accès à la connaissance
ISTEX, vers des services innovants d accès à la connaissance Synthèse rédigée par Raymond Bérard, directeur de l ABES, à partir du dossier de candidature d ISTEX aux Initiatives d excellence et des réunions
Plus en détailPlan d actions 2011/2014
Plan d actions 2011/2014 Le présent plan d actions s organise en fiches actions, qui précisent les objectifs opérationnels des actions et explicite les modalités de mise en œuvre. Ces fiches répondent
Plus en détailAVIS DU BUREAU POLITIQUE DE LA CRPM (Approuvé par le Bureau Politique de la CRPM 3 juin 2011 Angra do Heroísmo, Açores-PT)
CRPMPPP110017 B0 CONFERENCE DES REGIONS PERIPHERIQUES MARITIMES D EUROPE CONFERENCE OF PERIPHERAL MARITIME REGIONS OF EUROPE 6, rue Saint-Martin 35700 RENNES - F Tel. : + 33 (0)2 99 35 40 50 - Fax : +
Plus en détailL IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE
N 198 PETREIN Olivier L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE Introduction L'emploi des Nouvelles Technologies de l'information et de la Communication
Plus en détailOn distingue trois grandes périodes dans l'évolution des Agences :
LAgence L Agence d Urbanisme et de Développement de la Région de Saint Omer : évolution des missions i Colloque «Collectivités territoriales et processus d'urbanisation : Méthodes d'accompagnement et rôles
Plus en détailATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation
ATELIER PARISIEN D URBANISME Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation AVRIL 2015 Directrice de la publication : Dominique Alba Étude réalisée par : François Mohrt Sous la direction
Plus en détailCRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile?
CRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile? Note publiée sur le site CRM SECTOR en novembre 2005 dans la catégorie : «Extraits» Comme toutes les entreprises, celles du secteur tertiaire n échappent
Plus en détailRegard sur hybridation et infogérance de production
Regard sur hybridation et infogérance de production Février 2014 édito «comment transformer l hybridation des infrastructures en levier de performances?» Les solutions d infrastructure connaissent depuis
Plus en détailC ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats
C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.
Plus en détailUtilisation d'outils de WebMapping OpenSource dans une collectivité territoriale Communauté de Communes de l'agglomération Saint-Loise (CCASL)
Utilisation d'outils de WebMapping OpenSource dans une collectivité territoriale Communauté de Communes de l'agglomération Saint-Loise (CCASL) SOMMAIR E 1. Présentation de la CCASL 2. Enjeux de la cartographie
Plus en détailCommentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel
Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la
Plus en détailElaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015
Ville de Grenoble STRATÉGIE PATRIMONIALE DE MISE EN ACCESSIBILITÉ DES ERP Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble COTITA 30-01-15-1 Contexte La Ville de Grenoble : 300 équipements
Plus en détailDocument d accompagnement pour le référentiel national du C2i niveau 2 Métiers de l environnement et de l aménagement durables
Document d accompagnement pour le référentiel national du C2i niveau 2 Métiers de l environnement et de l aménagement durables A - Compétences générales et transversales liées à l exercice des métiers
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO)
www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) Former des urbanistes Le master Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) s appuie sur
Plus en détailSystèmes de transport public guidés urbains de personnes
service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration
Plus en détailL externalisation des activités bancaires en France et en Europe
ÉTUDES L externalisation des activités bancaires en France et en Europe Si l externalisation des activités (outsourcing) est un phénomène courant au sein des entreprises non financières en Europe, comme
Plus en détailCahier des Clauses techniquesparticulières
ARCHES PUBLICS MAIRIE DE BASTIA Avenue Pierre Guidicelli 20410 BASTIA CEDEX MARCHE D ETUDES A MAITRISE D OUVRAGE EN VUE DE L ORIENTATION ET DU DEVELOPPEMENT DU SYTEME D INFORMATION GEOGRAPHIQUE SERVICE
Plus en détailArchitecture d'entreprise : Guide Pratique de l'architecture Logique
Guides Pratiques Objecteering Architecture d'entreprise : Guide Pratique de l'architecture Logique Auteur : Version : 1.0 Copyright : Softeam Equipe Conseil Softeam Supervisée par Philippe Desfray Softeam
Plus en détailÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL
ÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL Au niveau du second degré, l'économie et gestion recouvre un ensemble de champs disciplinaires relevant de l'économie, du droit, des sciences de
Plus en détailLa pratique de la gestion des services. Lier les composants techniques avec les services d opérations dans la CMDB
La pratique de la gestion des services Lier les composants techniques avec les services d opérations dans la CMDB Création : octobre 2013 Mise à jour : octobre 2013 A propos A propos du document Ce document
Plus en détailCode de la publicité écologique
Code de la publicité écologique Code de la publicité écologique: Préambule Une société saine construit un avenir durable. De plus en plus, le souci de l'homme pour son environnement en constitue un élément
Plus en détailANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1
ANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1 La publication du CECEI-Banque de France 2 à partir du FIB, recense pour les deux régions 7 265 guichets permanents contre 6 657 agences pour la base du laboratoire C.R.E.T.E.I.L
Plus en détailAtelier " Gestion des Configurations et CMDB "
Atelier " Gestion des Configurations et CMDB " Président de séance : François MALISSART Mercredi 7 mars 2007 (Nantes) Bienvenue... Le thème : La Gestion des Configurations et la CMDB Le principe : Échanger
Plus en détailLa directive INSPIRE en Wallonie: le géoportail et l infrastructure de diffusion des géodonnées en Région wallonne (InfraSIG(
La directive INSPIRE en Wallonie: le géoportail et l infrastructure de diffusion des géodonnées en Région wallonne (InfraSIG( InfraSIG) Jean-Pierre KINNAERT Directeur Département de la géomatique Service
Plus en détailExtrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables
Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm Notez que vous trouverez les fiches citées à chaque étape sur le site (Normalement, les liens ont été conservés et fonctionnent) Reste
Plus en détailGuide méthodologique
Communauté d Agglomération de NIORT du GRAND NANCY PLAN DE DEPLACEMENTS URBAINS Plan de Déplacement Entreprise Guide méthodologique Septembre 2007 m u n i c i p a l i t é s e r v i c e 7 1, a v e n u e
Plus en détailLA STRATEGIE PATRIMONIALE DE LA VILLE DE MARSEILLE
CETE MEDITERRANEE / COTITA JOURNEE TECHNIQUE DU 7 JUIN 2012 GESTION DE PATRIMOINE IMMOBILIER LA STRATEGIE PATRIMONIALE DE LA VILLE DE MARSEILLE «Le schéma directeur d'implantation des services municipaux»
Plus en détailConclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients
Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,
Plus en détailValorisation des patrimoines. Conseil et accompagnement stratégique
Valorisation des patrimoines Conseil et accompagnement stratégique Dans un contexte d évolutions continues des règlementations et de recherche d optimisation, loin des grands programmes de constructions
Plus en détailCours Systèmes d Information Géographique
Cours Systèmes d Information Géographique Durée : 55 h Intervenants : Pr. Amadou Tahirou Diaw 1-3, Dr Gualbert S. Dorégo 2-3, Dr Alla Manga 3, Ing. Aminata Diokhané 4, Dr El hadji Balla Dièye 5-3, Dr Cheikh
Plus en détailLe tableau comparatif suivant reprend les principaux articles concernant le monde de l édition.
Rapport Reda, tableau comparatif Le tableau comparatif suivant reprend les principaux articles concernant le monde de l édition. Alors que Julia Reda appelait à une harmonisation hâtive et à un élargissement
Plus en détailL a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s
Guide méthodologique pour la construction d un bilan quantitatif et qualitatif des contrats de territoire. L a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s Il est proposé de bâtir le bilan avec
Plus en détailBachelier Bibliothécaire- Documentaliste!
Bachelier Bibliothécaire- Documentaliste Structure du profil d'enseignement et du programme d'études détaillé Année académique : 2015-2016 Haute Ecole Paul-Henri Spaak Catégorie sociale (IESSID) 1 1. Le
Plus en détailLANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL
COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 février 2007 LANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL FINANTOIT est le premier outil d investissement
Plus en détailPlates-formes de téléformation et modèles pédagogiques
POYET Françoise, (7095) Introduction Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques Depuis quelques années, on assiste à une stabilisation informatique des Technologies de l Information et de la
Plus en détailPRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT
PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT Chacune des questions de la feuille de logement fait l'objet d'une fiche recto-verso. Ces fiches ont vocation à être mises en ligne sur le site web
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailMéthode d'organisation de la veille juridique
Méthode d'organisation de la veille juridique "Je vois de loin, j atteins de même", Jean de La Fontaine* * L'Oracle et l'impie Journée Juriconnexion 25 novembre 2014 1 Toute activité de veille, pour être
Plus en détailLe géomarketing - Page 1 sur 7
Le géomarketing - Page 1 sur 7 LES DOSSIERS MADWATCH.net méthodes Le Géomarketing Novembre 2003 Nb de pages : 7 Le géomarketing - Page 2 sur 7 Créé dans les années 80, la plupart des applications du géomarketing
Plus en détailInviter au plus vite tous les acteurs de la création, de l'édition, de la diffusion et de la lecture à des «États généraux du livre et de la lecture».
Eléments pour une politique en faveur du livre et de la lecture Par Aurélie Filippetti, députée de Moselle, responsable du pôle Culture, audiovisuel, médias dans l équipe de campagne de François Hollande.
Plus en détailGuide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 1. En Pays Portes de Gascogne l Europe est partenaire de vos projets LEADER +
Guide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 1 En Pays Portes de Gascogne l Europe est partenaire de vos projets LEADER + Guide Leader + 16 pages 12/07/05 11:20 Page 2 LEADER + Qu est-ce que c est? Liaison
Plus en détailLe Parc naturel régional des SIG. Restructuration d un SIG et diffusion des données dans le cadre de la directive Inspire
SIG Restructuration d un SIG et diffusion des données dans le cadre de la directive Inspire Comment utiliser la directive Inspire à l échelle d un SIG historique pour en assurer la refonte? Claire Devaud
Plus en détail3 Les premiers résultats des plans d'actions
3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.
Plus en détailURBANISME DES SYSTÈMES D INFORMATION
FAYCAL AYECH GL2. INSAT 2010/2011 INTRODUCTION AUX SYSTÈMES D INFORMATIONS URBANISME DES SYSTÈMES D INFORMATION De l Urbanisme à L Urbanisation des SI Urbanisme : Mise en œuvre des politiques urbaines
Plus en détailLes entreprises qui adoptent les communications unifiées et la collaboration constatent de réels bénéfices
Une étude personnalisée commandée par Cisco Systems Les entreprises qui adoptent les communications unifiées et la collaboration constatent de réels bénéfices Juillet 2013 Déploiement d'une large gamme
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détail«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie»
«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie» Dr. Alexandru BADEA Directeur Applications Spatiales Agence Spatiale Roumaine Tél : +40(0)744506880 alexandru.badea@rosa.ro
Plus en détailCharte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices. Plateforme Territoriale GUYANE SIG
Charte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices Plateforme Territoriale GUYANE SIG 25/02/2014 SOMMAIRE 1. LEXIQUE... 3 2. DEFINITION... 3 3. DOMAINE D APPLICATION... 3 A. Objet... 3 B. Bénéficiaires...
Plus en détailLE PROJET URBAIN PARTENARIAL (PUP) :
Paris, le 30 mars 2015 LE PROJET URBAIN PARTENARIAL (PUP) : UN OUTIL DE FINANCEMENT DES EQUIPEMENTS PUBLICS Le projet urbain partenarial -PUP-, outil de financement des équipements publics, créé en 2009,
Plus en détailDu BTS Transport au BTS Transport et Prestations Logistiques
Du BTS Transport au BTS Transport et Prestations Logistiques Bien plus qu'un simple changement d'appellation, le nouveau BTS Transport et Prestations Logistiques, qui entre en vigueur à partir de septembre
Plus en détailCommuniqué de Lancement
Direction du Marketing Produits Sage - Division Mid Market Communiqué de Lancement Rapprochement Bancaire 1000 Produit : Rapprochement Bancaire 1000 Bases de Données : Oracle - MS/SQL Server Microsoft
Plus en détailDidacticiel du service cartographique en cache
Didacticiel du service cartographique en cache Copyright 1995-2012 Esri All rights reserved. Table of Contents Didacticiel : Création d'un service de carte mis en cache................... 3 Copyright 1995-2012
Plus en détailAnnexe sur la maîtrise de la qualité
Version du 09/07/08 Annexe sur la maîtrise de la qualité La présente annexe précise les modalités d'application, en matière de maîtrise de la qualité, de la circulaire du 7 janvier 2008 fixant les modalités
Plus en détailGestion du centre de données et virtualisation
Gestion du centre de données et virtualisation Microsoft Corporation Juin 2010 Les informations contenues dans ce document représentent l'opinion actuelle de Microsoft Corporation sur les points cités
Plus en détailDepuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.
Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014
CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel
Plus en détailPour un Plan d Investissement Communal plus Participatif
MINISTERE DE L INTERIEUR CAISSE DES PRETS ET DE SOUTIEN DES COLLECTIVITES LOCALES 9, rue de l assistance Cité El Khadhra -1003 Tunis Pour un Plan d Investissement Communal plus Participatif Ines SALLEM
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailLA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE
LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE CETTE RECHERCHE A ETE FINANCEE PAR Le Ministère des Affaires Sociales et de l'emploi, Direction Générale de la Santé,Sous- Direction
Plus en détail1..LOGICIEL ATAL... 3
Gestion des Demandes & Interventions des Services Techniques GGEESSTTI IONN DDEESS DDEEMAA NNDDEESS && I NNTTEERRVVEENNTTI IONNSS 1..LOGICIEL ATAL... 3 2. MODULARITE ET INTEGRATION... 4 2.1. E-ATAL...
Plus en détailLa pratique de l ITSM. Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle
La pratique de l ITSM Définir un plan d'améliorations ITSM à partir de la situation actuelle Création : avril 2012 Mise à jour : avril 2012 A propos A propos du document Ce document pratique est le résultat
Plus en détailMÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015
MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015 ATTENTION : UNE SEULE SESSION EN 2015 La Région Rhône-Alpes et l État, DRAC Rhône-Alpes, ont souhaité mettre conjointement en place le
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies ECE/CECI/2015/4 Conseil économique et social Distr. générale 30 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de la coopération et de l intégration économiques
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailPréparer le fond de plan
Préparer le fond de plan Objectif et résultat attendu L opération d adressage doit être précédée d un travail préparatoire qui consiste à récupérer un maximum d informations urbaines et géographiques sur
Plus en détailLes mesures pour relancer la construction de logements
Les mesures pour relancer la construction de logements Janvier 2015 Le logement est devenu, pour la plupart des Français, cher et difficilement accessible. Le secteur de la construction traverse une grave
Plus en détailPartie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI
Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI 222 Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI Chapitre A. Représentation de l'utilisation de l'information
Plus en détailIntroduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :
Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des
Plus en détailITIL V3. Objectifs et principes-clés de la conception des services
ITIL V3 Objectifs et principes-clés de la conception des services Création : janvier 2008 Mise à jour : juillet 2011 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a
Plus en détailLa création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:
RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailPays Rhin-Vignoble -Grand Ballon
Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour
Plus en détailDématérialisation et document numérique (source APROGED)
Dématérialisation et document numérique (source APROGED) La dématérialisation se répand très rapidement dans tous les domaines d'activités. Depuis l'origine, le concept de dématérialisation repose sur
Plus en détailPrésentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS
Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Programme de la journée 10h30 10h50 11h30 12h00 12h30 Etat des lieux 2008 des centres de ressources en éducation
Plus en détailTAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes
TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE
Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système
Plus en détail1 Présentation de l Apur 2. 2 Contexte général du projet 3. 3 Prestation attendue 4
APUR.2015.1 Cahier des charges d appel à concurrence Accompagnement de la mise en place d outils de formulaires et de gestion électronique des processus métiers (workflow) avec le logiciel K2 autour d
Plus en détailAPPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES
4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.10.2012 SWD(2012) 291 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT accompagnant la proposition de règlement du Parlement européen
Plus en détailFiche méthodologique Rédiger un cahier des charges
Fiche méthodologique Rédiger un cahier des charges Plan de la fiche : 1 : Présentation de la fiche 2 : Introduction : les grands principes 3 : Contenu, 1 : positionnement et objectifs du projet 4 : Contenu,
Plus en détailPROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES
Leçon 11 PROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES Dans cette leçon, nous retrouvons le problème d ordonnancement déjà vu mais en ajoutant la prise en compte de contraintes portant sur les ressources.
Plus en détailCONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT
PREMIER MINISTRE CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT conclue entre l'état, la Caisse Nationale d'assurance Maladie des Travailleurs Salariés
Plus en détailLutte contre l étalement urbain
Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l
Plus en détail