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1 Le magazine de la Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain N octobre 2008 Tout savoir sur le Bassin de vie de Bourg-en-Bresse Notre dossier complet P. 15 à 24 P. 16 Retrouvez l Artisanat tous les lundis de 10h à 11h sur

2 Créateurs d Entreprise nous accompagnons vos projets Des outils adaptés à votre quotidien Un financement sur-mesure Nos solutions en matière de prévoyance Tout savoir pour constituer son dossier de création ou de reprise d entreprise et engager un partenariat financier. Lyonnaise de Banque - SA au capital de RCS Lyon - SIREN cic.fr

3 SOMMAIRE octobre 2008 ÉDITO Pierre Cormorèche Président Inquiétude ou espérance? VIE INSTITUTIONNELLE 4 à 7 Guillaume Lacroix, vice-président du Conseil général Les entreprises de l Ain présentes à l étranger Le projet Bâtipôle ÉCONOMIE Directeur de la publication : Pierre Cormorèche. Directeur de la rédaction : Bruno Pénichon. Secrétariat de rédaction : Catherine René. Rédaction : Chambre de Métiers et de l Artisanat, M&G Éditions - Chorégraphic. Éditeur : Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain. Crédit photo : Hervé Goyard, Jean-Marc Perrat, Nasser Zebidour (Apcm), Serge Buathier (ville de Bourg), Jean-Pierre POUPON (carte). Composition : Hervé Goyard. Impression : Impressions de la Tour (Péronnas). Parution trimestrielle, tirage : exemplaires. Distribution : Bourgogne Routage. Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain : 8/9 Biennale internationale des arts de la pâtisserie FORMATION apprentissage 11 Prix régional des métiers du bâtiment INFORMATIONS SOCIALES 12/13 Gérer les compétences DOSSIER Bassin de vie de Bourg-en-Bresse 15/24 Un contrat qui tombe à pic FORMATION continue 26/27 Du nouveau dans le dispositif de financement INFOPOINTCOM 28/ BD ÉDOUARD HERRIOT - BP 123 VIRIAT BOURG-EN-BRESSE CEDEX Tél Tous les numéros peuvent être consultés sur le site La crise financière internationale brutale et profonde inquiète chacun d entre nous, que nous soyons chefs d entreprise ou citoyens. La gravité de la crise conduit les principaux dirigeants du monde à prendre des décisions inimaginables il y a encore quelques mois : nationalisation, garantie financière impressionnante et différentes mesures de protection. C est souvent dans les situations difficiles que l on revient à des valeurs simples, pleines de bon sens. C est dans ces contextes que l espérance doit l emporter sur l inquiétude. Que de bonheur pour nous les petits, les artisans, d entendre toutes les vertus de l économie réelle! Cette forme d économie qui est la nôtre est basée sur le travail, sur la production, le service, sur des actifs fiables et sur la place de l homme dans l économie. J espère que cette crise financière sera salutaire pour assurer un développement économique cohérent, basé sur la confiance et de nouvelles perspectives. Il est grand temps de promouvoir tous les piliers de notre économie en confortant notre industrie nationale et notre capacité d innover. Il est grand temps de valoriser les richesses de nos petites entreprises, des artisans, en reconnaissant sérieusement leur rôle moteur dans le développement de notre pays. Je souhaite également que les Chambres de Métiers et de l Artisanat soient respectées, écoutées, de manière à pouvoir continuer notre travail d accompagnateur. Malgré l ensemble des difficultés, l espérance doit l emporter pour construire l avenir! entreprise & métiers n octobre 2008

4 VIE INSTITUTIONNELLE Guillaume Lacroix, vice-président du Conseil général, président de la Mission économique de l Ain «Nous ne voulons surtout pas être un guichet!» Il y a un pilote dans l avion! Le Conseil général, la Mission économique de l Ain, Alimentec, Ainterexpo, le pôle européen de plasturgie : Guillaume Lacroix a pris les commandes de l économie au Département et dans certains organismes partenaires. Par souci de cohérence et volonté de synergie, explique-t-il. Le commandant de bord prépare son plan de vol. Un vol qui se fera en classe Affaires économiques uniquement. Pourquoi les affaires économiques? J ai du goût pour elles et de l intérêt pour les PME-PMI, voire les très petites entreprises parce qu elles créent des emplois de proximité et sont le ferment du développement de notre territoire. J ai souhaité et accepté cette compétence parce que je suis persuadé que l Ain dispose d une vraie puissance économique et qu il faut la valoriser. Je suis aussi très sensible aux emplois de proximité qui constituent une ligne intéressante de développement du territoire. C est à ce titre que je me suis attelé à deux dossiers d actualité : les faiblesses que connaît la filière plastique à Oyonnax et la reconversion du plateau d Hauteville-Brénod. Dans les deux cas, nous sommes au côté des élus et des acteurs locaux. La Mission économique de l Ain, Alimentec, Ainterexpo (au titre de la ville de Bourg) que vous présidez, Plastipolis où vous siégez : vous avez en main beaucoup de manettes du poste de pilotage Par souci de cohérence avant tout et par volonté de synergie par-dessus tout. Je dispose, c est vrai, d une bonne vue d ensemble du dispositif économique de l Ain. J aborde cette compétence économique dans sa globalité. L exécutif départemental n avait pas auparavant la même liberté d action. Les choses ont changé et il va falloir s y faire. Qui décide au Conseil général? Le président préside, dans un climat de grande confiance, et délègue en toute clarté. Chaque vice-président a une totale maîtrise de son domaine de compétence. Les gros dossiers sont présentés chaque lundi en réunion de bureau ; les très gros dossiers passent par le bureau de Rachel Mazuir. Tout le monde est au courant de tout. Et vous, vous êtes devenu l homme fort de l économie? Celui qui va tout manger? Certains voudraient faire entendre ce point de vue que je ne partage pas. Je ne m inscris pas dans une démarche de pouvoir et d autorité. La vraie question, la seule qui engage mon action, c est : que vaisje faire des responsabilités qui me sont confiées? Ensuite, on me jugera à mes actes. En disant que je ne voulais plus de sectorisation des responsabilités économiques et que je souhaitais une cohérence de moyens et d actions, j ai déjà jeté les bases de notre projet. Un seul exemple : Alimentec et Plastipolis viennent de se rapprocher pas seulement pour croiser les vice-présidences mais tout simplement pour travailler enfin ensemble sur des projets d emballages bio. Que ne l a-t-on fait avant! On dit que vous avez le projet d un grand remue-méninges autour de l économie. Nous allons, avec Denis Perron, viceprésident du Conseil général chargé de l aménagement du territoire et de la prospective, ouvrir un grand débat sur ce sujet. Je partage l idée de Rachel Mazuir et de Jean-Claude Rey qui siège à la CCI de réfléchir à un schéma de développement économique de l Ain. Elle m intéresse comme m intéresse la mise en place d un guichet unique pour les entreprises. Si l Ain veut devenir un acteur reconnu de la vie économique régionale, il faut qu il valorise son territoire. Unissons-nous, réagissons, organisons-nous car la concurrence nous menace : celle de Lyon et de Mâcon, mais aussi celle du Jura que je sens poindre. Je ne souhaite pas que nous tombions dans l exogène à tous crins. La capacité de l Ain à créer des emplois et la marge de progression de nombre de ses entreprises nous incitent à privilégier le développement endogène. Et à relever le défi de la transmission/ reprise. Je suis très conscient de ce problème et 4 entreprise & métiers n octobre 2008

5 même familier des difficultés que rencontrent les agriculteurs pour transmettre à des jeunes. La transmission/ reprise sera un des grands chantiers des années à venir. Si nous ne le traitons pas, nous allons perdre des emplois. Je n ignore pas le patient travail engagé sur ce dossier par les chambres consulaires. Avec leur appui et grâce à leur expérience, ne pourrait-on confier à la Mission économique de l Ain le soin de développer des initiatives concertées? Je compte leur poser la question. Certains ont pu croire que la MEA était une belle endormie. Pas du tout. La Mission économique, que coprésident le président du Conseil général et le président de la Chambre de Commerce et d Industrie, est une belle qui travaille utilement et efficacement. Le fait qu elle ne soit pas une agence de développement constitue sa force et sa faiblesse. Elle n est ni derrière ni devant : elle est au-dessus. Elle a pris la place du chaînon qui manquait pour que tout le monde parle le même langage. La MEA est un facteur d unité, un outil performant qui manque peut-être de visibilité. Nous allons y remédier. Vous avez dit au président Cormorèche qu il pouvait venir vous voir. J ai dit aux présidents des chambres consulaires que je regarderai avec intérêt tous les dossiers qu ils me présenteront. Je les sais assez réactifs et imaginatifs, suffisamment au fait des réalités économiques du département, pour avoir la garantie que leurs dossiers je pense en particulier à celui de la transmission/reprise sont bons. Mais entendons-nous bien : nous ne voulons pas être un guichet. Nous voulons être des partenaires très présents et très attentifs, disposés à réorienter les crédits versés aux chambres en fonction d actions spécifiques performantes. Chacun n ignore pas que le Conseil général ne dispose pas de finances pléthoriques mais tout le monde doit savoir que nous sommes ouverts au dialogue. Soutiendrez-vous le projet commun à la CCI et à la Chambre de métiers concernant la vitrine des métiers? Je le vois d un bon œil mais j attends un dossier finalisé. J ajoute que si nous devons améliorer les dispositifs de formation professionnelle et technique et dynamiser l information qui les accompagne, appuyons-nous aussi sur la Région dont c est la compétence. Dans l Ain, certains métiers spécifiques manquent de main-d œuvre et certaines entreprises de main-d œuvre qualifiée. Toutes les initiatives seront bonnes à prendre pour y palier. On vous attend aussi sur le dossier d Alimentec. Est-il normal qu aujourd hui encore des professionnels et le grand public se posent la question de savoir à quoi cela peut bien servir? On ne peut continuer à mettre de l argent dans une structure que nos concitoyens ne connaissent pas. J ai réuni tous les partenaires de la plateforme. Ils sont nombreux, compétents, innovants. Je leur ai demandé de se concerter pour faire vivre Alimentec autrement. Permettezmoi de prendre une comparaison pour expliquer ce que doit devenir ce technopole : jusqu à présent, tout était dans l arrière-boutique ; nous allons en garnir les rayons, présenter en vitrine nos réussites et allumer la lumière. Nous venons de modifier les statuts, d inviter la Chambre d agriculture à siéger au comité stratégique, d imaginer des partenariats avec Agropole à Lyon, de cibler plus précisément les équipementiers et le secteur de l emballage. entreprise & métiers n octobre

6 VIE INSTITUTIONNELLE Export Les entreprises de l Ain présentes à l étranger La 2 e édition du forum méditerranéen Med-Allia, rencontre méditerranéenne organisée conjointement par Ubifrance, la Mission économique de Tunis et la Chambre tuniso-française de commerce et d industrie, a réuni huit pays avec pour objectif de favoriser le développement de partenariats commerciaux, industriels et technologiques au cœur de l espace euro-méditerranéen. N euf entreprises ont choisi de s engager avec la Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain dans cette démarche vers l exportation de leurs produits et savoir-faire. Elles ont pu assister à des conférences sur les marchés, les financements, l environnement industriel et économique du Maghreb, puis avoir des rendez-vous individuels avec d autres entreprises susceptibles de devenir des partenaires. Témoignages Alain Bouvard, gérant des sociétés RSP Ingénierie et RSP à Saint-Martin-du-Mont. «Excellent accueil et grande disponibilité des intervenants de la Chambre de Métiers de l Ain. Ce séjour nous a permis de découvrir une méthode de rendezvous très nette, bien que ce ne soit pas le but premier, des échanges interentreprises françaises de grande qualité. La formule de demande de rendez-vous bilatéraux est intéressante et permet d optimiser le temps de présence. Cette expérience riche d enseignement, avec une organisation sans faille de ce séjour business, devrait nous interpeller et nous encourager à faire appel aux diverses structures institutionnelles à notre disposition en tant qu industriels, comme la Chambre de Métiers de l Ain qui peut nous permettre de découvrir d autres façons de travailler en France et à l export.» Michel Di lullo, gérant de la société DMA à Martignat. «Chaque mission à l étranger est différente. Cette année, le forum Med-Allia était plus professionnel et a gagné en organisation par rapport au précédent à Casablanca. Il ne faut pas attendre des retours immédiats en terme de contrats. Le forum permet de se renseigner sur les entreprises potentiellement intéressantes dans le pays. Il y a ensuite un gros travail de suivi. Il permet aussi de rompre l isolement du chef d entreprise et de nouer des partenariats avec des entreprises françaises présentes au forum». Les entreprises participantes Maire (transformation de matières plastiques par injection), France Colors (fabrication de mélanges maîtres couleurs et additifs), DMA (fabrication de machines de marquage à chaud pour l industrie et automatismes), B2X (mécanique industrielle, usinage, outillage), Sinnoveg (espaces verts, aménagement, entretien), Socap (aménagement paysages, haies défensives), Plastic Services (négoce de matériel d occasion pour industrie plastique), Atim Radio (radiocommunication), RSP (équipement de manutention, stockage et robotique). Medtech à Stuttgart, des résultats concrets La société Santys a participé au salon professionnel Medtech à Stuttgart (Allemagne) du 11 au 13 mars Gilles Verchère, gérant de la société Maire, membre du groupement Santys, qui a également participé au forum Med-Allia à Tunis, témoigne : «L objectif premier de Santys sur le salon Medtech était, de par sa présence, d assurer son développement commercial en rencontrant de nouveaux prospects qui puissent devenir des clients. L objectif second était d augmenter sa notoriété en présentant ses savoir-faire et en rencontrant des partenaires (concurrents). Les résultats concrets se matérialisent par la prise de quinze contacts. En termes de nombre, ce chiffre peut être considéré comme moyen. En termes de qualité, il s agit de sociétés intervenant directement dans le domaine de prospection ciblé par Santys. Après analyse, il ressort que huit contacts sont exploitables dans l immédiat, les sept autres étant considérés comme du moyen ou long terme. Sur les huit à court terme, les relances commerciales effectuées depuis permettent d espérer établir à terme (sous 6 mois) des relations commerciales avec deux entreprises. Le salon a permis de prendre contact avec des fournisseurs pouvant être impliqués dans des projets en cours, de visualiser l état de la concurrence présente et d évaluer à travers cela les attentes et les propositions sur ce marché.» 6 entreprise & métiers n octobre 2008

7 Projet Bâtipôle La Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain souhaite s engager dans l éco-construction Avec l évolution de la réglementation encadrant la construction, en particulier les différentes réglementations thermiques, le Grenelle de l environnement, le tarissement des énergies fossiles, l évolution des modes de consommation, le vieillissement de la population, les rapports à l habitat qui changent, le secteur du bâtiment est au cœur des politiques environnementales. L es marchés liés aux produits innovants et la Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain, qui compte entreprises ressortissantes dont du secteur du bâtiment, souhaite accompagner les entreprises sur ces nouvelles technologies. Pour ce faire, la Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain souhaite dupliquer un projet initié par la Chambre de Métiers et de l Artisanat des Côtes-d Armor à Saint Brieuc, Bâtipole. Bâtipole est un lieu d information et de sensibilisation sur l éco-construction, à destination bien sûr des entreprises, mais également des particuliers. Bâtipole a plusieurs vocations, mais les principales sont : - présenter la notion «d habitat et de développement durable», de façon concrète et pédagogique, - faire la promotion des métiers du bâtiment, - informer les professionnels sur les nouvelles techniques du bâtiment, - accompagner les particuliers qui ont des projets de construction ou de rénovation en leur présentant les nouveaux matériaux, - valoriser les entreprises artisanales compétentes dans ces nouvelles technologies et les mettre en relation avec les particuliers. Bâtipole, c est d abord répondre aux questions que se posent le plus fréquemment les personnes qui souhaitent construire ou rénover, comme : comment trouver un terrain, qui peut faire mes plans, comment financer mon projet? Bâtipole se compose de documentations, de vidéos, mais également d une salle d exposition permanente. Celle-ci permet de décrire les différents produits et technologies innovants selon les étapes de la construction. On peut ainsi découvrir les matériaux avec bien sûr les éléments classiques comme le parpaing ou la brique à alvéoles, mais également des matériaux plus intéressants d un point de vue environnemental comme par exemple la brique monomur, le béton cellulaire ou le bois. Les mêmes présentations sont faites pour la couverture, l isolation, le chauffage, la production d eau chaude, les portes et fenêtres, jusqu aux finitions extérieures. Des demi-journées d information sont organisées pour les professionnels. Elles sont animées par des fabricants et portent par exemple sur la chaux et le chanvre, les toits en terrasses végétalisées, l isolation thermique par l extérieur ou la récupération d eau de pluie. Ces sessions ont l objectif de susciter l intérêt des professionnels qui peuvent ensuite approfondir leurs connaissances en participant aux journées de formation techniques que dispensent les organisations professionnelles. Étude de faisabilité La Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain souhaite donc créer un espace Bâtipole dans ses propres locaux, à Bourg-en-Bresse. Mais avant de débuter un tel projet, elle est accompagnée d un bureau d étude pour réaliser une étude de faisabilité ; celle-ci qui doit se terminer à la fin de l année, porte notamment sur l analyse des besoins et attentes des particuliers et des professionnels, les estimations de la fréquentation d un tel site, la définition de l offre actuelle en écoconstruction sur la Région Rhône-Alpes, le recensement des techniques et savoir-faire à exposer, et la réalisation d un prévisionnel financier de la structure. La Région Rhône- Alpes et l ADEME sont déjà partenaires de cette étude. Ce nouveau lieu ne peut se mettre en place qu avec un réseau de partenaires importants, comme les organisations professionnelles du bâtiment, Hélianthe ou les collectivités. Sébastien ASTIER au s.astier@cma-ain.fr Karine ROUCHON au k.rouchon@cma-ain.fr entreprise & métiers n octobre 2008

8 ÉCONOMIE Rendez-vous à Bourg-en-Bresse, du 6 au 11 novembre e Biennale internationale des arts de la pâtisserie S ous l égide de l association La Cabosse de l Ain, les chocolatierspâtissiers ont préparé une grande fête populaire en parallèle au Salon de la gastronomie de Bourg-en-Bresse. Objectif : valoriser les métiers de la pâtisserie, la chocolaterie, la glacerie, la confiserie, les desserts à l assiette Informations pratiques Ainterexpo hall C - 25 avenue Maréchal Juin Bourg-en-Bresse Du 6 au 11 novembre 2008 Entrée libre pour la biennale Accès obligatoire par le Salon de la gastronomie 2008 : - entrée gratuite (invitation ci-jointe à découper et à remettre à l entrée du salon ou sur carton d invitation) - entrée payante (tarif Salon de la gastronomie 2008) Programme d animations (horaires pour le grand public) Jeudi 6 : journée réservée à l accueil des scolaires Vendredi 7 10 h à 11 h 30 : accueil des écoles primaires (CM2) 12 h 30 à 14 h 30 et 15 heures à 17 heures : concours apprentis, Croquembouche 17 h 30 : remise des prix Samedi 8 10 hs à 16 h : concours apprentis, challenge BTM Robert Greffet en ouvrant au grand public les secrets de cet univers professionnel. Petits et grands auront accès pendant 6 jours, dont un jour réservé aux scolaires, à m² d expositions, de concours, d animations réalisées par les professionnels et apprentis et d évènements d envergure. La biennale sera également un excellent moment d échanges et de rencontres pour les professionnels et les fournisseurs partenaires de la manifestation ; un espace VIP leur sera réservé. Les pâtissiers-chocolatiers de l Ain et leurs ouvriers et apprentis transmettront leur passion, leurs savoirs, leurs valeurs, aux côtés des plus grands de ce métier. 12 h : remise des prix du concours croissants 13 h à 16 h : concours sculpture sur glace et entremets glacés 15 h à 16 h : conférence sur le compagnonnage, présentation des formations pour les professionnels 17 h : remise des prix des concours «pièces exposées» des apprentis et des concours de la journée Dimanche 9 10 h à 16 h : concours sélection française de la Coupe du monde de pâtisserie h : remise des prix des concours «pièces exposées» des professionnels 20 h : dîner de gala tout chocolat (65 vin compris, réservation obligatoire auprès du comité d organisation) Lundi h à 16 h : concours sélection française de la Coupe du monde de pâtisserie h à 17 heures : concours championnat de France de sculpture sur glace 2008 juniors 17 h 30 : remise des prix 18 h : proclamation de l équipe de France sélectionnée pour la Coupe du monde de pâtisserie 2009 Sont attendus notamment Christophe Michalak, champion du monde de pâtisserie 2005, et Philippe Rigollot, champion du monde 2005 et meilleur ouvrier de France Pour atteindre son objectif, la Cabosse de l Ain s est entourée de partenaires : collectivités, fournisseurs, pâtissiers retraités, salariés, apprentis et élèves en formation, professeurs du CECOF et de la MFR de Balan, Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain Tous vous attendent sur la biennale pour vous faire découvrir cet événement exceptionnel. Corine Hemery au c.hemery@cma-ain.fr Mardi h à 11 h 30 et 13 h à 16 h : concours 1 er Challenge international exhibition Desserts à l assiette 13 h 30 à 16 h 30 : concours championnat de France de sculpture sur glace 2008 seniors 17 h : remise des prix des concours de la journée Tous les jours Démonstrations : chocolat, pâte de fruit, sucre, confiserie, décor d assiette, sculpture de glace. Exposition permanente : chocolat, matériel ancien, pièces concours, fèves d Épiphanie. Accueil des professionnels des métiers de bouche sur le stand VIP, avec la présence des partenaires-fournisseurs Appa, Koma, Borsotti, Prime, Aujas. À noter : la majorité des concours sur place débutent avant l ouverture au grand public ; dès l ouverture, le grand public aura le privilège de voir les compétiteurs en action. 8 entreprise & métiers n octobre 2008

9 Pâtisserie, chocolaterie, glacerie : des formations très diversifiées en formation initiale Chaque année, environ 185 jeunes se forment à ces métiers dans l Ain. Centres de formation dans l Ain - CFA du CECOF à Ambérieu-en- Bugey - Antenne des Maisons familiales rurales (MFR) à Balan - Lycée professionnel Saint-Exupéry à Bellegarde Catherine Gibier au c.gibier@cma-ain.fr invit 4/10/08 20:36 Page 1 Diplômes Jeunes en formation CAP Pâtisserie (ex CAP Pâtisserie chocolaterie glacerie) 80 CAP Chocolatier 5 BEP Alimentation dominante pâtisserie glacerie 10 MC Pâtisserie, glace, chocolaterie, confiserie 25 MC Pâtisserie boulangère 5 MC Cuisine en desserts de restaurant 10 CAP Vente spécialisée en alimentation 30 Bac pro des Métiers de l alimentation 5 BTM Pâtissier 15 entreprise & métiers n octobre

10 Créer ou reprendre une entreprise, sachez faire le meilleur choix! la Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain, la Chambre de Commerce et d Industrie de l Ain et les experts associés vous donnent rendez-vous Le lundi 17 novembre 2008 au Centre des Entrepreneurs de la Chambre de Commerce et d Industrie de l Ain, derrière l ESCI sur le site Alimentec à Bourg-en-Bresse Accueil permanent de 13h45 à 18h30 Accès libre à l espace de consultation des offres sur sites internet Sessions d information de 14h/16h et 15h/17h Entretiens individuels de 16h à 18h30 Gratuits et sans rendez-vous, avec les experts de la création, reprise et transmission d entreprises Ateliers conseils à 16h30 et 17h30 Votre prévisionnel en 15 minutes Comment financer votre projet? 18h30 - Cocktail de clôture Renseignements au Hervé Goyard - Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain - septembre Imprimerie Poncet - imprimé sur du papier recyclé CYCLUS - NE PAS JETER SUR LA VOIE PUBLIQUE - Avec le soutien

11 FORMATION Apprentissage Grand prix régional des métiers du bâtiment À l initiative du comité d organisation du Salon régional de l Habitat, avec le concours du Conseil régional, le Crédit Agricole Centre Est et la participation active de la Chambre de Métiers de l A in, les meilleurs apprentis du bâtiment de la région Rhône-Alpes ont été récompensés, pour la 20 e année consécutive. Ce prix régional permet de promouvoir les métiers du bâtiment et honore les meilleurs apprentis rhônalpins de ce secteur. Les 11 Chambres de Métiers de la Région Rhône-Alpes sont depuis le début partenaires du Salon de l habitat et nomment chacune le meilleur apprenti de leur département. Les jeunes ont reçu un diplôme, des trophées, un chèque de la Chambre Régionale des Métiers. En outre, ils participeront à un voyage d étude qui les conduira du 31 octobre au 2 novembre 2008 à Toulouse grâce au soutien de la Fédération du bâtiment, du Crédit Agricole Centre- Est et de la Région Rhône- Alpes. Les maîtres d apprentissage et employeurs étaient présents également, ils ont été salués et remerciés pour le temps qu ils consacrent à former ces jeunes qui ont brillamment réussi. Le meilleur lauréat pour cette année est le jeune Valentin Ravaille de Jujurieux (Ain) qui a effectué son apprentissage chez M. Sentenac de Neuville-sur-Ain. Palmarès 1 er : Valentin Ravaille, installateur thermique, Sentenac sarl (Ain) 2 e : Pierre Fayonne, serrurier Métallier, entreprise Fayolle (Ardèche) 3 e : Arnaud Dupuis, installateur sanitaire, entreprise Lejeune à Saint-Pierre en Faucigny (Haute -Savoie) 4 e : Alexis Boichon, plâtrier plaquiste, entreprise Grangy à Civens (Loire) 5 e : Maxime Carrier, serrurier métallier, entreprise Cona à Sassenage (Isère) 6 e Nicolas Ailloud-Goussard, préparation et réalisation d ouvrages électriques, entreprise Annovazzi à La Motte- Servolex (Savoie) 7 e : Benoit Corger, plâtrier plaquiste, entreprise Vietti, à Saint-Just- en-chevalet (Loire) 8 e : Sébastien Plantier, installateur sanitaire, entreprise Clemencon à Clonsa-sur-Vareze (Isère) 9 e : Sébastien Degoutte, menuisier, entreprise Magnin à Marnand (Rhône) 10 e : Steve Nerden, plâtrier plaquiste, entreprise Thomasset à Mours Saint Eusèbe (Drôme) Meilleurs ouvriers de France 25 apprentis de l Ain à l honneur Le 15 septembre dernier, l association des MOF de l Ain a récompensé nos meilleurs apprentis dans les locaux de la Chambre de Métiers et de l Artisanat, en présence de nombreuses personnalités parmi lesquelles Xavier Breton, député, et Jean-Marc Bailly, président de la Chambre de Commerce et d industrie. Les lauréats Médaille d or nationale : Julien Mailhan (chaudronnerie), Kitty Millet-Lancry (gravure sur pierre), Philippe Sandre (taille de pierre), Clément Landaro (carrelage), Fabien Milan (taille de pierre), Gwanaëlle Verschaeren (tapisserie d ameublement), Fanny Garcia (esthétique). Médaille d or départementale : Dimitri Morel (chaudronnerie), Baptiste Bordet (marbrerie de décor), Clarisse Belay (tapisserie d ameublement). Médaille d argent départementale : Cyril Colson (taille de pierre), Marie Hazebrouk (esthétique), Antoine Bouchu (marbrerie de décor). Médaille de bronze départementale : Antoine Chevalier (taille de pierre). Attestation : Jean-Marie Basset (marbrerie de décor), Gauthier Cheillan, Kévin Barjon, Julien Changeur, William Engel, Alexandre Lance, Julien Mairesse (taille de pierre), Yoann Curt, Rodolph Guiffray, Lionel Thenot et Benoit Valette (travaux paysagers). Toutes nos félicitations à ces jeunes qui seront peut-être des graines de MOF! entreprise & métiers n octobre

12 INFORMATIONS SOCIALES Le DIF, la VAE, la GRH, la GPEC Gérer les compétences Si s occuper de recrutement, de formation, de management et d organisation vous faisait gagner de l argent? De plus en plus d entreprises considèrent les actions de la GRH non plus comme un coût mais comme un investissement dont le retour financier est exigé. Ce retour sur investissement est-il sérieusement envisageable? Qu est-ce que la GRH? L a finalité d une entreprise est de se développer. Pour cela, l artisan embauche des salariés ayant des compétences, qu il doit garder et développer au sein de l entreprise. Pour beaucoup, il s agit d un véritable challenge qui nécessite la prise en compte de domaines comme le recrutement (intégrer les compétences), «La formation, c est une perte de temps, on n a pas que ça à faire» François, Culoz la formation (les développer), le management (les optimiser), l organisation (les gérer). C est la gestion des ressources humaines (GRH). Elle concerne toutes les entreprises ayant au moins un salarié. Elles ont toutes été confrontées à un moment donné à la difficulté de recruter une personne compétente parce que l entreprise se développait ou qu il fallait remplacer un départ, à une demande de DIF, à des absences répétées, au besoin de former des salariés à une tâche, un comportement ou une machine, de clarifier les tâches de chacun pour fixer des objectifs clairs, d aller vers une «Ça fait deux ans que j essaye de faire de la GRH et aujourd hui l entreprise y trouve son compte» Bruno, Salavre plus grande polyvalence, au besoin de reconnaiss a n c e d e s salariés, à la délégation de certaines tâches, au fa it de ne pas arriver à garder un salarié ou à des salariés n étant pas à la hauteur des espérances. Pour les artisans, la GRH apparait souvent comme secondaire, immatérielle, nébuleuse. Les conséquences d une erreur de recrutement, d un laisser-aller du management ou d une bonne organisation des tâches sont perçues mais restent difficiles à évaluer avec des «Les gens ne veulent plus bosser, on ne trouve plus personne à recruter» Dominique, Pont-de-Vaux données très objectives comme le coût. Pourtant, tout est mesurable. Comment évaluer les effets de la GRH? Des études ont démontré que les pratiques eff icaces de gestion du capital humain peuvent accroître jusqu à 43 % la valeur marchande des entreprises. En revanche, il est difficile de démontrer quelles composantes de la GRH ont le plus d impacts financiers, mais il semblerait que la dimension communication soit la plus rentable. Par extension, celle-ci comprend le management, le partage d informations voire la formation interne, le lien entre objectifs et salariés, la résistance au changement. V i e n n e n t ensuite comme autres composantes importan- «Le DIF? la VAE? la GRH?, la GPEC???, connais pas» Florence, Bourg-en-Bresse «Le problème c est les 35 heures, les gens ne travaillent plus» Kevin, Gex 12 entreprise & métiers n octobre 2008

13 terme d activités, de tâches, de savoir-faire), permettant à chacun de s évaluer et définir avec précision ce qu il fait. Avec cet outil, il est ensuite beaucoup plus aisé de pa rler de formation, d organisation, de recrutement, de reconnaistes les bons systèmes de récompenses et la politique de recrutement. Au-delà des résultats de ces études, il est assez facile d évaluer le temps passé pour effectuer un recrutement (entretiens avec des candidats, intégration dans l entreprise, temps d adaptation ) «Moi je recrute au feeling, je le sens ou pas dans les 5 premières minutes» Christian, Montrevel additionné au coût éventuel d une annonce ou d un passage par l intérim. Ce coût est à renouveler chaque fois qu un salarié part et doit être remplacé. La f idél i t é d e s salariés est donc un gain indéniable. Enfin, dans les métiers où les évolutions technologiques sont importantes, il n est pas rare de trouver des entreprises qui, presque du jour au lendemain, ne peuvent plus répondre «honnêtement» à de nouveaux marchés, par manque de compétences adaptées, de formation ou de polyvalence. Des plans de formation inadaptés peuvent entraî- ner aussi une détérioration du matériel due à une mauvaise utilisation et la fuite de compétences. Comment mettre en place une politique de GRH? À la base de toute réflexion sur ces thèmes, un diagnostic social de l entreprise permet de faire le point afin de réfléchir à une véritable stratégie des ressources humaines. Il s agit bien d anticiper et non pas subir. L état des lieux peut s effectuer par rapport à une définition précise des postes de travail dans l entreprise. Des référentiels existent pour chaque métier (descriptif détaillé en «Depuis que j ai embauché, j ai encore plus de travail et je perds mon temps à régler les problèmes de personnel» Carole, Lescheroux «Dans tous les métiers, il y a des risques ; quand on fait ce métier il faut les accepter» Gérard, Druillat sance du travail Diagnostic, outil informatique de positionnement des compétences, guide d entretien pour le recrutement ou l évaluation annuelle Tous ces outils sont prêts à l emploi et sont proposés gratuitement aux artisans de l Ain. À votre service Nous vous proposons dans un premier temps de venir gratuitement dans votre entreprise faire un diagnostic court, tant en matière de droit social que sur le plan des ressources humaines. Puis, si vous souhaitez aller plus loin, de vous apporter des outils adaptés et opérationnels (référentiels, guide.) et des méthodes de travail. Enfin, de vous accompagner jusqu au bout dans la réalisation d un projet RH (recrutement, réorganisation, politique de fidélisation, mise en place d un plan de formation, politique de management ). Karine Baudry au k.baudry@cma-ain.fr entreprise & métiers n octobre

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15 Genève N 5 Bourg-en-Bresse Lyon Un contrat qui tombe à pic Bourg conforte ses ambitions régionales Pages 16 & 17 La carte d identité du territoire Bourg-en-Bresse n a plus peur de s afficher comme la porte d entrée d un territoire qu elle fait vivre. Elle entend ainsi s affirmer par rapport à la Région qui doutait d elle et par rapport à Lyon qui l ignore. Elle veut jouer son rôle de locomotive. Sa vitalité économique lui en donne les moyens. Pages 18 & 19 Les points-clés du contrat Priorité à l économie et à ceux qui la font vivre ou en vivent. Avec lucidité et efficacité, le Contrat tire les leçons du diagnostic établi en amont et mène des actions qui appuient là où ça fait mal. Il n est pas le seul outil à vouloir donner au territoire les moyens d avancer plus avant dans son développement. Pages 20 à 21 Rencontre avec les acteurs Élus, acteurs, opérateurs ont serré les rangs derrière Cap3b, la structure qui a su s imposer comme la force de frappe du CDRA. Communautés de communes, conseil local de développement et partenaires tirent dans le même sens, dans un souci constant de cohérence entre urbain et rural. Page 22 à 24 Les artisans partenaires du territoire L artisanat pèse lourd dans ce bassin de vie, en entreprises et en élus. Impliqués dans les instances de concertation et de décision, les artisans semblent cependant déphasés sur le terrain : l anarchie commerciale a, depuis 20 ans, fait des dégâts et l euphorie économique, des heureux. Mais après? Il un autre en Dombes et Bourg comme pèse lourd et ratisse large! Le cœur en pleine Bresse, un pied en Revermont, centre de gravité. Ceux qui spéculaient sur le déclin de la capitale bressane peuvent réviser leur géographie politique et stratégique : le chef-lieu, la communauté d agglomération de Bourg (L agglo) et les communautés de communes environnantes font désormais bloc, avec l ambition d asseoir un développement qui a le vent en poupe. Le contrat de développement Rhône-Alpes du bassin de Bourg-en-Bresse vient conforter cette redistribution des cartes. Il dispose d une assise démographique, économique et stratégique qui le place en tête des contrats que les collectivités locales de l Ain ont signé avec Charbonnières. Sans compter que les changements politiques intervenus en mars dernier ont permis à Bourg et à L agglo de reprendre la main. La vieille méfiance vis-à-vis du chef-lieu n est plus de mise. Le CDRA lui offre même de nouveaux atouts pour être un chef de file qui préfère composer plutôt qu imposer. Ici plus qu ailleurs, on sait ce que coopération intercommunale veut dire. Dossier : Alain Gilbert Crédit photos : Choregraphic / Jean-Pierre Gotti / Serge BUATHIER entreprise & métiers n octobre

16 Genève Bourg-en-Bresse Lyon Le bassin de vie de Bourg-en-Bresse, c est : Communauté de communes de Montrevel-en-Bresse 77 communes regroupées en 8 intercommunalités, en 2006, habitants ; une croissance démographique moins forte que la moyenne départementale, + 2 % entre 1999 et 2005 contre 8,5 pour le département, une situation géographique privilégiée avec les autoroutes A39, A40 et A42 et la desserte TGV, Communauté de communes des Bords de Veyle Communauté de communes Chalaronne Centre Communauté d agglomération de Bourg-en-Bresse Com Bress A40 A40 Saint-Etiennedu-Bois Montrevel-en- Bresse Vonnas Polliat Foissiat A39 Marboz Viriat Bourg-en Bresse Péronnas A40 Ceyzériat Treffort cuisiat Communauté de Pont d Ain - Priay Les points forts du bassin de vie d Cras-sur- Reyssouze Attignat Châtillon-sur- Chalaronne Pont d'ain un important pôle d industrie de la mécanique, métallurgie, carrosserie industrielle (environ emplois), un taux de chômage des plus faibles de France : 3,7 % (septembre 2007) (7,5 en France), Fendre l armure Bourg se devait d en finir avec sa culture de la discrétion. Un complexe ancestral, une modestie atavique. À la Région, le chef-lieu ressemblait à un no man s land où il ne se passait rien ou pas grand chose. Changement à Charbonnières : Bourg a pris de l épaisseur au point de pouvoir témoigner ailleurs de ses initiatives. Au-delà, la ville et ses alentours commencent à être perçus autrement et son rayonnement est désormais élargi au niveau de son bassin de vie. On apprécie qu elle ait appris à puiser dans ses propres ressources pour s affirmer. Reste qu elle doit passer de l état de fait à l état d esprit : il faut que ses habitants se sentent moins bressans, selon une acception trop restrictive de cette appellation d origine incontrôlée, et plus burgiens au sens large du terme. La capitale est devenue une porte d entrée du territoire et non plus un simple chef-lieu. Cette responsabilité sera-t-elle suffisante pour lui permettre de venir à bout de ses problèmes d identité? Un développement mieux maîtrisé Durant des décennies, pour répondre à la croissance, le développement du chef-lieu est parti un peu dans tous les sens en consommant du territoire et en butant souvent sur les mêmes inerties. Une anarchie qui n a pas 16 entreprise & métiers n 148- octobre 2008

17 La carte d identité du territoire Communauté de communes de la Vallière munauté de communes e Dombes Sud Revermont Communauté de communes de Treffort en Revermont Le syndicat mixte de développement du bassin de Bourg-en-Bresse qui a pris le nom de Cap 3b est constitué de 8 communautés de communes : L agglo (communauté d agglomération de Bourg), la Plaine tonique (communauté de communes de Montrevel), La Vallière (CC de Ceyzériat), Treffort-en-Revermont (CC de Treffort), la communauté de communes Bords de Veyle (commune centre : Vonnas), la communauté de communes Chalaronne-Centre (commune centre : Châtillon), la communauté de communes Bresse- Dombes-Sud-Revermont et la communauté de communes Pont-d Ain Priay Varambon. Les disparités démographiques sont fortes : habitants pour la première ; presque pour la dernière. Population totale : habitants. Ce massif central, charnière du département, n a pas toujours eu cette cohérence territoriale concentrique au chef-lieu. Montrevel et Treffort ne faisaient pas partie du Contrat global de développement (CGD), premier pacte signé en 2000 avec la Région. Le CDRA les a poussées à faire dissidence et à quitter le syndicat mixte Bresse-Revermont-Val-de-Saône. Un choix que n a pas souhaité opérer la communauté de communes de Coligny. Ces décisions ont engendré quelques grincements de dents mais pas de rouages puisque le nouveau territoire à très vite trouvé sa cohérence. Un premier contrat de développement (CGD), passé avec la Région en février 2000, a été élaboré et porté par l association pour le développement du bassin de vie de Bourg. À son terme, en 2005, 95 % des lignes budgétaires avaient été consommées. Le second, en préparation dès 2004, doit beaucoup à celui qui en sera son président, Jean-Michel Bertrand. Le député-maire de Bourg lui a donné un double souffle : le respect des habitudes prises en matière de travail communautaire et la volonté d ouvrir l horizon à des perspectives d avenir. communes - Varambon e Bourg-en-Bresse permis à Bourg de devenir le pôle urbain nord de l agglomération lyonnaise, comme ont pu en rêver, au seuil des années soixante-dix, ceux qui imaginaient une agglomération de habitants. Bourg, une ville sous le boisseau? Le SCOT (schéma de cohérence territoriale) et le CDRA affichent la volonté d ouvrir d autres voies, de laisser passer la lumière. Ils ont l intelligence d aller de pair en partageant les mêmes informations et les mêmes objectifs, en favorisant le tuilage entre les différentes entités du territoire. Mêmes élus, mêmes discours entre L agglo et le SCOT/CDRA, même volonté de prendre le temps de la réflexion et de rendre chaque niveau plus opérationnel. Les bras manquent, pas les emplois Les ressources humaines? Sujet complexe pour ce bassin. Son taux de chômage est au plus bas (3,7 %) et pourrait faire croire qu il n y a pas de problèmes d emploi. Et pourtant, les entreprises ne trouvent pas de main-d œuvre qualifiée, les nouveaux arrivants s étonnent de ne pas bénéficier de conditions d accueil plus favorables. Des publics, jeunes ou féminins, restent éloignés de l employabilité. Air connu La réalité, c est que Bourg et sa région n étaient pas assez préparées à accompagner la poussée de son moteur économique. Pas assez d habitat, de structures d accueil, de culture, d ouverture d esprit, au bout du compte, de crédibilité. Il ne faudrait pas que le bassin entre maintenant en récession économique au risque de reporter à plus tard les nécessaires réponses aux questions que vient de poser sa crise de croissance. Des solutions existent comme l affirmation de la vocation universitaire du bassin. Quelle capacité d innovation? «Tous les ingrédients et les acteurs sont là. Ne manque plus que l étincelle» dit un de nos interlocuteurs. «Dès qu il faut innover, sortir de ce qu on a l habitude de faire, il y a un souci.» Les Burgiens auraient-ils une capacité de résistance au changement à toute épreuve? Difficile de faire admettre à certains que le développement durable n est pas qu une affaire d écologie mais aussi d agriculture, que le tourisme est une activité économique comme une autre, que le secteur des services est déficient, en tout cas pas à la hauteur des besoins du bassin. En Bresse, l innovation tient souvent plus de l initiative individuelle que de la conscience collective. Encore des mentalités à changer et des freins à lever CAP 3b, la force de frappe du CDRA Cap 3b, assimilé à un établissement public intercommunal, a été dimensionné à la mesure des ambitions du CDRA. Six personnes assurent l animation, le suivi et l évaluation du contrat. Son directeur, Patrick Bourrassaut, trois chargés de mission (Adeline Brunet pour le développement durable, l environnement, l agriculture, le CLD et le PSADER ; Véronique Guillet pour le tourisme et les loisirs et René Ducarouge pour l emploi, la formation et le CTEF) et deux personnes pour le suivi administratif et financier. La Région contribue à hauteur de 30 % au fonctionnement de la structure. En toute logique opérationnelle, les statuts de Cap 3b l autorisent à exercer des activités plus larges en matière d études, de pilotage, de maîtrise d ouvrage et de coordination. Ce qui explique son rôle clé de voûte dans le dispositif et sa proximité de locaux avec le SCOT de la Bresse et de MécaBourg. Cap 3b dispose d un site internet très complet et bien ordonné où chacun pourra trouver documentations et publications : Contact CAP3B Syndicat mixte de développement du bassin de Bourg-en-Bresse - Actiparc 68, avenue de Parme Bourg-en-Bresse Tél. : Fax : entreprise & métiers n octobre

18 Genève Bourg-en-Bresse Lyon Évolution globale du nombre d entreprises artisanales BVBB Le bassin de vie de Bourg-en-Bresse, qui comptait au 01/01/2008 près de entreprises, a connu une croissance très légèrement inférieure à celle du département de l Ain, puisque sa part relative est passée de 22,21 % en 1976 à 21,80 % aujourd hui. Ain en % 22,21% 21,63% 21,86% 22,29% 21,77% 21,80% Évolution du nombre d entreprises par communautés de communes Gain Agglo ,5 % CC Bresse Dombes Sud Revermont ,7 % CC Bords de Veyle ,6 % CC Chalaronne Centre ,7 % CC Montrevel en Bresse ,1 % CC Pon-d Ain Priay Varambon ,8 % CC Treffort en Revermont ,0 % CC de la Vallière ,9 % Total ,7 % Toutes les communautés de communes ont vu croître leur nombre d entreprises artisanales, la croissance étant plus marquée sur le territoire Bresse Dombes Sud Revermont. Sur L agglo, le développement se fait principalement en périphérie de Bourg-en-Bresse. Les territoires les plus ruraux : les communautés de communes de Montrevel-en-Bresse, Treffort-en-Revermont et Pont-d Ain Priay Varambon, ont connu une baisse de leur nombre d entreprises dans les années 1995 avant d être à nouveau sur une pente ascendante. Les communes qui comptent le plus d entreprises artisanales Commune Nbre % Bourg-en-Bresse ,9 % Péronnas 114 5,2 % Châtillon-sur-Chalaronne 98 4,5 % Viriat 98 4,5 % Vonnas 61 2,8 % St-Denis-les-Bourg 60 2,7 % Pont-d Ain 59 2,7 % Montrevel en Bresse 49 2,2 % Mézériat 48 2,2 % Ceyzériat 46 2,1 % Treffort-Cuisiat 44 2,0 % Sur les 77 communes du territoire, les 11 plus importantes représentent 58 % des entreprises avec la ville de Bourg-en-Bresse à 27 %. Une seule commune ne compte aucun artisan et 8 autres moins de 5 entreprises artisanales. Installations Installations et et pérennité pérennité de de à DVDSBVBB AIN AIN Nbre d immatriculations de 2003 à 2007 Nbre d immatriculations de 2003 à Taux d installation annuel moyen Taux d installation annuel moyen 11,86 % 13,14% 12,12 % 12,12% Taux moyen de maintien des Taux moyen de maintien des immatriculations immatriculations à ,40% 75,20 % 76,70% 73,2 % Le taux d installation est légèrement inférieur au taux moyen constaté dans l Ain, alors que le taux de pérennité des nouvelles entreprises est plutôt meilleur de 2 points, et ce depuis Répartition des entreprises par secteurs d activités Le bâtiment est le secteur le plus représenté avec un taux proche de la moyenne départementale. Les métiers de l alimentation sont encore très bien représentés, ce qui est normal avec la présence de la ville de Bourg-en-Bresse, alors que la part des services est légèrement inférieure à la moyenne départementale. Répartition des entreprises par forme juridique DVSS Ain Nombre % % Artisans ,7 % 34,7 % Artisans commerçants ,0 % 17,7 % Sociètés commerciales ,3 % 47,6 % TOTAL 1460 BVBB Les entreprises exerçant sous la forme juridique des sociétés commerciales sont en même proportion qu au niveau du département, alors que le nombre d artisans commerçants est supérieur à la moyenne départementale, en liaison avec la forte représentation des entreprises de l alimentation. Ain Nombre % % Alimentation ,3 % 11,5 % Bâtiment ,2 % 40,5 % Production ,1 % 19,1 % Réparation ,0 % 12,2 % Services ,4 % 16,7 % TOTAL Source RM entreprise & métiers n 148- octobre 2008

19 Les points-clés du contrat L économie se taille la part du lion Plus de la moitié des fiches-action du contrat concerne le développement économique durable et les ressources humaines. Deux autres axes ne manquent pas d originalité : la volonté qu a le bassin de construire son modèle de développement (axe 1) et de dynamiser la vie locale et les solidarités (axe 5)*. AXE 1 : CONSTRUIRE UN MODÈLE DE DÉVELOPPEMENT (APPORT RÉGION : 2 M ) Le contrat commence par poser une première pierre plus que symbolique : ouvrir une maison du territoire, de l environnement et du développement durable. Plus largement, cet axe vise à renforcer et à promouvoir l image de Bourg dans ses fonctions de centralité : restructuration d Ainterexpo (1,43 M de subvention), mise en place d une politique de communication et de promotion du territoire et serpent de mer recherche d un grand projet ou d un grand événement valorisant autour des savoir-faire industriels. AXE 2 : AMÉLIORER ET VALORISER LE CADRE DE VIE ( ) Cet axe reprend des thématiques chères aux promoteurs des contrats. Dans le cas du bassin de Bourg, les actions viennent en appui à des politiques déjà engagées par les partenaires locaux. Urbanisation : définir une stratégie habitat-foncier à l échelle du CDRA ; renforcer l attractivité des cœurs de villages et de villes. Logement : associer les acteurs pour renouveler l offre d habitat afin de mieux maîtriser la répartition des logements et de développer une démarche qualité. Déplacements : développement des modes collectifs et doux et extension des transports urbains en milieu périurbain. Environnement : mise en réseau des acteurs environnementaux et animation Développement durable afin d accompagner la définition d une politique environnementale ; soutien aux initiatives de protection des ressources environnementales. AXE 3 : DÉVELOPPER UNE ÉCONOMIE DURABLE ET CRÉATIVE (3 M ) Le programme d action s intéresse de près à deux filières, le tourisme et l agriculture durable et donne un coup de pouce à une troisième, la filière bois. Parce qu il y avait besoin de conforter le positionnement touristique du bassin de vie, le contrat engage 2 M de dépenses subventionnées pour appuyer et animer les offices de tourisme, poursuivre une offre à destination des enfants et des familles et l idée finit par prendre forme structurer une offre de tourisme d affaires. L agriculture disposera de moitié moins pour être accompagnée dans sa démarche de développement durable. Au-delà de la volonté de maintenir un nombre suffisant d exploitations, on notera deux actions : l appui à la valorisation et à la vente de produits locaux (qui fait tant grincer les dents des artisans) et la réorganisation des organisations d élevage aux Soudanières (Ceyzériat). Les deux principaux objectifs de cet axe sont en faveur de Centre Ain Initiatives (au titre de la création de nouvelles activités) et l inscription de 1,4 M à destination des communautés de communes pour améliorer la qualité de l aménagement des zones d activités dont 1M pour Cenord. Axe 1 - Modèle de développement 24% Axe 2 - Cadre de vie 7% Axe 3 - Économie 38% Axe 4 - Ressources humaines 6% Axe 5 - Vie locale 18% Axe 6 - Moyens 7% 6% 18% 7% 38% 7% 24% AXE 4 : RÉPONDRE DURABLEMENT AUX ENJEUX DES RESSOURCES HUMAINES ( ) Sept objectifs sont réunis dans cet axe qui s intéresse aux métiers en tension (favoriser l accès à l emploi de jeunes et de femmes vers des métiers qui recrutent, développer l apprentissage), à la formation et à la mise en valeur des compétences (organisation et animation d une filière services à la personne ; développement de la culture technique, scientifique et industrielle ; animation de la Maison des étudiants et du réseau Pôle Sup ; mise en place d une plate-forme vocationnelle et des métiers) et l appui aux professionnels du secteur avec une aide aux structures d insertion par l activité économique et la mise en synergie des acteurs emploi formation grâce à un pôle de coordination. AXE 5 : DYNAMISER LA VIE LOCALE ET LES SOLIDARITÉS (1,68 M ) Les objectifs de cet axe se partagent entre des actions très ciblées : accès au spectacle vivant et au développement durable pour les jeunes publics, soutien au festival de théâtre amateur de Châtillon-sur-Chalaronne, Biennales musicales du Revermont, pour la culture ; mise en place d un passeport loisirs territorial, appui et mise en réseau de la vie associative pour l offre de services, et une volonté plus large : accompagner la répartition des services et des équipements avec un 1 M d investissement qui viendra renforcer l attractivité économique et résidentielle en répondant aux besoins de la population. AXE 6 : ORGANISER LA CONDUITE DU PROJET DE TERRITOIRE ( ) Cette ligne finance en grande partie le fonctionnement de Cap3b et du CLD, au titre de l animation, et prévoit la mise en place d un SIG (système d information géographique). * La version 2006 du contrat est téléchargeable sur le site www. cap3b.fr. Elle montre, à sa lecture, que l on peut être à la fois concis et précis. entreprise & métiers n octobre

20 Genève Bourg-en-Bresse Lyon Patrick Bourrassaut, directeur de Cap 3b : «Il est important d expliquer ce qu est le CDRA.» Il nage dans le contrat comme un poisson dans l eau. Un poisson-pilote qui a su gagner la confiance des élus et créer un courant d intérêt autour de la structure qui le porte. Où en est la mise en œuvre du contrat? Il est à mi-parcours puisqu il a été signé en S il devient contrat de développement durable, nous le prolongerons d un an. Ce n est pas exclu. Nous préparons un avenant en regardant le critère d éligibilité de chaque action. On garde, on ne garde pas ; on approfondit, on allège : nous opérons un suivi évaluatif. Le contrat se terminera soit en 2011 soit en 2012 si nous devenons CDDRA et entrons dans les nouveaux critères définis par la Région. Depuis le renouvellement de mars, vous avez été obligé de reprendre votre bâton de pèlerin. J ai entrepris de faire le tour des intercommunalités pour expliquer le contrat, les missions de Cap 3B et l importance du partenariat qui marque beaucoup de nos actions : 18 partenaires pour la création d entreprises! Il faut compter aussi avec eux en matière d agriculture, d emploi et de formation où nous agissons dans le cadre d un pilotage réel, de tourisme où nous avons réussi à les mettre en réseau. Il est important d expliquer ce qu est le CDRA, un troisième niveau, au-dessus de l intercommunalité et de la commune à des élus attachés à l échelon local. Le changement de président a-t-il eu une influence? Jean-François Debat a pris la suite de Jean- Michel Bertrand. Le socle du contrat n en a pas été ébranlé parce qu il y avait eu communauté de vues et d intérêts dans l élaboration et la mise en œuvre du contrat. On peut parler de consensus et de choix partagés dans la conduite des actions qui n ont pas soulevé de divergences majeures. Personne n a bloqué de dossier. Je faisais, comme Jean-Marc Bailly, le président du Conseil local de développement, l interface entre les deux élus. Quel est aujourd hui le montant du contrat? Le montant total se situe à hauteur de 8,9 millions d euros auquel s ajoute le bonus de 10% au titre du label développement durable que nous avons obtenu. À cela s ajoutent un volant de au titre des actions qui figurent dans le PSADER (plan stratégique agricole et de développement rural) et une aide de pour l habitat. Sachant que le CDRA a un effet levier et engendre d autres apports, on estime à 30 millions le montant des sommes engagées. Mais attention, tout n est pas de l investissement! Où en est le dossier Leader? Nous avons répondu en janvier dernier à cet appel à projets lancé par l Europe. Notre candidature a été classée en catégorie B, c est-à-dire qu il nous a fallu revoir notre copie et redéposer un dossier en septembre. Nous attendons le verdict. Ce dispositif recoupe une des thématiques fortes du CDRA : le partenariat urbain/ rural. Il concerne entre autres le tourisme, l agriculture durable et l essaimage d entreprises. Il nous apporterait jusqu en 2013 un montant de 1,6 million d aides qui correspond à un financement de 55 % des actions. La Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain Force de proposition 1 La Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain met en place une action de réduction des pollutions aquatiques diffuses liées à des activités artisanales. Cette action permettra à des entreprises d obtenir une subvention de 19 % de leurs investissements d achats de système de pré-traitements des eaux via le CDRA. Une subvention complémentaire de 21 % a été mobilisée auprès de l Agence de l eau Rhône- Méditerranée pour les entreprises du territoire de L agglo de Bourg-en-Bresse. 2 Les problématiques du recrutement et de la gestion prévisionnelle des emplois étant particulièrement importantes sur ce territoire, la Chambre de Métiers et de l Artisanat de l Ain s investit et propose aux entreprises artisanales des formations et des accompagnements sur ces thèmes. 3 L accompagnement du premier développement des jeunes entreprises, avec notamment le dispositif CAPEA (Cycle d amélioration des performances de l entreprise), qui concilie formation collective et soutien individualisé dans l entreprise par un consultant, est également une priorité pour solidifier le tissu des entreprises artisanales. 20 entreprise & métiers n 148- octobre 2008

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