L expertise infrastructure pétrolière du SEA LE DOSSIER

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1 L expertise infrastructure pétrolière du SEA LE DOSSIER Unique opérateur pétrolier des armées, le SEA exploitera, à l horizon 2014, 40 dépôts en métropole dont 7 Seveso seuil haut et 16 Seveso seuil bas. Il dispose d une chaîne d expertise complète dans le domaine de l infrastructure pétrolière, met en œuvre une politique de maîtrise des risques et consacre les moyens nécessaires pour concevoir, construire et maintenir des installations qui répondent aux attentes de la règlementation et aux spécificités militaires. Cette chaîne dote la Défense d un outil complet et cohérent pour satisfaire aux exigences en matière de sécurité technologique et environnementale, d une capacité de réalisation d infrastructure pétrolière sur les théâtres d opérations extérieures. Elle permet au SEA d exercer et d assumer ses responsabilités. Le dossier présente : - les dangers ; - les installations ; - la politique de maîtrise des risques ; - les acteurs ; - la protection de l environnement ; - le réservoir durci type ; - l infrastructure pétrolière en opérations extérieures.

2 NOS DANGERS Dépôt détruit en 1940 par l aviation allemande Risques militaires Risques militaires Conçus pour résister à des actions de guerre, les dépôts du SEA Conçus pour résister à des actions de guerre, les dépôts du SEA présentent un haut niveau de sécurité. présentent un haut niveau de sécurité. La réglementation qui protège contre les risques technologiques et l impact sur l'environnement s applique aux installations de la Défense. RÉGLEMENTATION INSTALLATIONS SPÉCIFIQUES QUALITÉ PRODUIT Les installations sont conçues pour maintenir les caractéristiques intrinsèques des produits stockés. Pour le carburéacteur, l enjeu est la sécurité des vols.

3 Expertise infrastructure pétrolière Explosion accidentelle du dépôt Schell de Lyon en 1987 Risques technologiques Risques technologiques La nature et le volume de produit stocké en font le plus souvent des La nature et le volume de produit stocké en font le plus souvent des installatations de type SEVESO installatations de type SEVESO Le SEA - conçoit, - construit, - entretient, - exploite des installations adaptées, en conduisant une politique de maîtrise des risques, grâce à ses attributions de service constructeur. Le SEA conçoit des installations durcies contre les actes d agressions extérieures. Intrinsèquement sûres, elles se fondent dans le paysage, sont difficiles à détruire et présentent d excellentes garanties en matière de protection contre les risques technologiques. Les meilleures techniques disponibles sont mises en œuvre pour réduire leur impact sur l environnement. Service constructeur pour ses installations techniques, expert pétrolier, le SEA dispose des moyens et des compétences nécessaires : - pour construire, améliorer et entretenir des installations adaptées aux exigences des carburants distribués ; - pour mettre en œuvre sa politique de maîtrise des risques. (1) CRE : centre de ravitaillement des essences - DE : dépôt essences - DEA : dépôt essences air - DEAN : dépôt essences aéronaval - DEALAT : dépôt essences de l aviation légère de l armée de Terre ; DEMa : dépôt essences Marine. En 2014, le SEA possédera 40 dépôts : - 32 dépôts dédiés dont la mission est intimement liée aux missions de leur site d accueil (DE, DEA, DEAN, DEALAT, DEMa (1) ) ; - 6 dépôts multi fonctions (les CRE (1) ) ; - 2 dépôts externalisés (dépôts exploités par le SEA et opérés par une entreprise privée). Ils se classent en : - 7 Seveso seuil haut ; - 16 établissements Seveso seuil bas ; - 18 établissements autorisés. Ils représenteront : -> 390 réservoirs ; -> m 3 de stockage ; -> 150 km de canalisations ; -> 27 km de voies ferrées ; -> 55 aires de chargement/déchargement ; -> 75 pomperies ; -> 34 aires de stationnement protégées.

4 DES INSTALLATIONS SPÉCIFIQUES Destinés au stockage de carburants ou d additifs, les réservoirs à hydrocarbures sont de deux types : - à axe horizontal d une capacité de 25 à 200 m 3, appelés cuves ; - à axe vertical, d une capacités de 500 à m 3, appelés bacs. Les réservoirs sont de type durcis, aériens, enterrés ou en caverne. Les capacités des dépôts varient de 100 à m 3, avec une moyenne de m 3 pour les dépôts dédiés (DEA, DEAN, DEALAT, DEMa) et de m 3 pour les dépôts d infrastructure (CRE, DE). Galerie d accès Bac semi-enterré interne type 1310 D Aire de stationnement protégée pour avitailleurs pleins et véhicules citernes Dépôt aérien avec protection béton et merlon brise-flot Trapp-system Chambre à vannes

5 Expertise infrastructure pétrolière à des réservoirs en caverne Aire de chargement protégée des wagons-réservoirs Poste de chargement protégé des véhicules citernes Pomperie manifold

6 MAITRISER LES RISQUES - LE SYSTÈME DE GESTION DE LA SÉ La politique de maîtrise du risque technologique mise en place, repose sur un système de g autour de l exploitant et piloté au niveau central. Le choix de la standardisation des ins capitaliser le retour d expérience en s inscrivant dans une démarche d amélioration continue L EXPLOITANT, LE PILIER PRINCIPAL RÉGLEMENTAT L exploitant est au cœur du SGS. Il ne subit pas la sécurité ; il en est l acteur principal. Il met en œuvre les moyens mis à sa disposition par le commandement conformément aux directives reçues. Il rend compte des dysfonctionnements, presque accidents ou accidents, propose des voies d amélioration. L ORGANISATION CENT Le SEA retient une organisation cen l ensemble de ses dépôts. Les installations durcies ont des ca LA FORMATION SPÉCIFIQUE Les chefs de dépôts sont accompagnés dans la démarche au cours de journées techniques organisées à la DCSEA. Cette formation doit leur apporter les connaissances nécessaires pour être l interlocuteur compétant des sociétés expertes en charge des études de dangers et mettre en place l organisation locale. Cet apport confère l autonomie nécessaire au chef de dépôt qui devient acteur à part entière de la démarche. LA COMMISSION TECHN La commission technique des risqu permet d adapter le niveau d exige encourus. Elle est garante de la pertinence du Glossaire : - SGS : système de gestion de la sécurité ; - PPAM : politique de prévention des accidents majeurs ; - RETEX : retour d expérience ; - ICPE : installation classée pour la protection de l environnement ; - EDD : études de dangers ; - POI : plan d opération interne ; - CTR : commission technique des risques ; - EIPS : éléments importants pour la sécurité.

7 CURITÉ Expertise infrastructure pétrolière stion de la sécurité articulé tallations permet de mieux. ION APPLICABLE RALISÉE tralisée autour d un SGS unique pour actéristiques proches ce qui permet : LES RÉFÉRENTIELS - LA STANDARDISATION Les référentiels arrêtent les dispositions constructives retenues pour les installations du SEA en tenant compte : - des conclusions des études de dangers ; - des enseignements tirés du RETEX ; - des exigences de la réglementation ; - des techniques disponibles à un coût économique acceptable. Ces référentiels sont les supports techniques pour toutes les réalisations à venir et les modifications apportées sur les installations existantes. Ainsi, tous les dépôts du SEA bénéficient des acquis de chacun d entre eux. Chaque référentiel : - décrit l installation ; - arrête les mesures de prévention des risques ; - définit les moyens de protection. UN PROCESSUS ITÉRATIF A partir des conclusions de l étude de dangers, l exploitant décrit les mesures techniques et organisationnelles destinées à réduire l occurrence des risques dont ses installations peuvent être la source. Il met en œuvre ces dispositions et contrôle régulièrement leur application. «J écris ce que je fais ; je fais ce que j écris» IQUE DES RISQUES es est un organe pluridisciplinaire qui nce proportionnellement aux risques système. Les dysfonctionnements, presque accidents ou accidents sont analysés. Les enseignements tirés sont capitalisés. L action de l exploitant s inscrit dans une démarche d amélioration continue. Le système progresse constamment.

8 Service constructeur pour ses ins pose d une chaîne d expertise co ques de la construction pétroliè pondants. LES ACTEURS LA MAITRISE D OUVRAGE (MOA) : DCSEA Cne Deestmans, M. Barazer, IC2 Henry, CdtRoussel, Ltn de Cambourg La réalisation (DEA d Besoin opérationnel - Évolution des missions - Réorganisation des armées Mise en conformité - Arrêté d autorisation - Inspection CGA.IIC - Contrôles SEA - Matrice d écarts - Évolution réglementaire Pomperie Le bureau Infrastructure de la DCSEA - Instruit les demandes de travaux - Arbitre - Priorise - Planifie - Confie la réalisation des travaux aux MOE (SID pour les installations non pétrolières et EATSEA pour les installations pétrolières) Poste de chargement Bac de stockage LES ÉQUIPE Les équipes travaux : des profe Elles constituent un outil souple et efficace a dronniers et d électrotechniciens hautement SEA tant dans le cadre des travaux programm gence, en métropole et hors métropole. Réalisation du pipeline inter dépôt au DEA de Tours

9 Expertise infrastructure pétrolière LA MAITRISE D ŒUVRE (MOE) : EATSEA e Mont de Marsan) La section MOE - bureau d étude - Réalise pour tous les travaux pétroliers les études de conception, élabore les pièces techniques des dossiers de consultation des entreprises, participe à l analyse des offres, suit l exécution des travaux jusqu à leur réception. Une partie du bureau Infra La section (ERE) étude recherche environnement Instruit les DDAE des dépôts, supervise les études environnementales et assure la maîtrise d œuvre des travaux de traitement des pollutions. Aire de stationnement pétrolier Réserve incendie MM. Thirion et Pierron Travaux en pomperie DEALAT Etain MM. Argant Paul et André, Riethmuller, Huchon S TRAVAUX tallations pétrolières, le SEA dismplète qui maîtrise les technie et réalise les travaux corressionnels au service des dépôts u service des dépôts. Composées de chauualifiés, elles sont la force d intervention du és que pour les opérations ponctuelles d ur- Travaux en pomperie CSLSEA MM. Cavelier, Legendre et Humbert

10 OBJECTIF ZÉRO REJET - L ENVIRONNEMENT EST PROTÉGÉ La protection de l environnement requiert toutes les attentions. Toutes les aires sur lesquelles sont manipulées des hydrocarbures sont étanches et collectent les effluents pour traitement au milieu naturel avant rejet des eaux. Les résidus hydrocarburés retenus sont confinés avant élimination par des entreprises agréées. Aires de chargement/déchargement Aires de stationnement de véhicules citernes pleins Elles sont conçues de façon à assurer le drainage des eaux pluviales et des effluents éventuels provenant de leur surface et comportent un dispositif de collecte qui dirige automatiquement les eaux vers un réseau dédié de séparation et de confinement. Regard antipropagation de flammes Chambre à vanne de dérivation avec vanne en sortie Séparateur Aire de chargement/déchargement aire de stationnement, pomperie, manifold Circuit forcé en cas d incendie ou surverse si obturation automatique Cuve de confinement Chargement/déchargement de wagons réservoirs Les opérations s effectuent sur une aire dédiée. Les eaux pluviales et les effluents éventuels s écoulent vers un avaloir central relié à un réseau de traitement des eaux.

11 Expertise infrastructure pétrolière Séparateur d hydrocarbures à obturation automatique Il a pour fonction de traiter les eaux provenant du réseau de séparation et de confinement en retenant les hydrocarbures. Il se compose : - d un dispositif de dégrillage ; - d un débourbeur qui retient les matières solides décantables ; - d un filtre coalesceur qui permet l agglomération des gouttelettes d hydrocarbure ; - d un obturateur automatique afin d éviter tout rejet vers le milieu naturel. L eau rejetée a une teneur en hydrocarbures inférieure à 5 ppm (partie par million). Dispositif de dégrillage Regard de prélèvement fil d eau Vers réseau d eau pluviale Obturateur automatique Filtre coalesceur Pomperies et manifolds Ils sont équipés de dispositifs de collecte qui dirigent les effluents éventuels vers un puisard aménagé en point bas, relié à un réseau dédié de séparation et de confinement.

12 NAISSANCE D UN RÉSERVOIR DURCI DE TYPE 1310 D Cahier des charges : - Stockage du produit sans dégradation ; - Protection contre les agressions extérieures ; - Réduction à la source du risque technologique ; - Protection de l environnement. Conception : - Encuvement en béton armé étanche ; - Réservoir métallique ; - Revêtement intérieur époxy ; - Enterré ou semi-enterré ; - Recouvert d 1 m de terre ; - Système de détection de fuite ; - Accessoires (évents, vannes, détecteur de niveau ). Atouts : - Aucun risque de rupture de robe ; - Absence d effet domino ; - Stabilité de la température de stockage (12 à 15 C) ; - Ciel de réservoir non explosible.

13 Expertise infrastructure pétrolière

14 LES ACQUIS DU TEMPS DE PAIX AU SERVICE DE L OPÉRATIONNEL Concevoir, construire, entretenir l infrastructure pétrolière au quotidien donne aux acteurs de la chaîne infrastructure SEA les savoir-faire nécessaires pour relever les défis réglementaires et technologiques actuels et à venir. Cette expérience, ces acquis, sont à l origine des solutions originales et adaptées, imaginées et mises en œuvre pour satisfaire les besoins du soutien pétrolier des forces en opération. Le 17 mai 2010, le colonel de Lapasse, représentant français auprès du commandement de l ISAF à Kaboul, en présence du lieutenant-colonel Robles, adjoint interarmées du soutien pétrolier, a inauguré un pipeline réalisé par le SEA, desservant le dépôt pétrolier de Warehouse.

15 Expertise infrastructure pétrolière

16 Les soldats du pétrole en action : des acquis du quotidien au service de l opérationnel Dossier réalisé par le comité de rédaction avec la participation des acteurs de la chaîne Expertise infrastructure SDE2, SDP2, SDP1, EATSEA.

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