La méthanisation des boues urbaines
|
|
- Aline Forget
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La méthanisation des boues urbaines Sylvaine Berger SOLAGRO - 75 Voie du TOEC Toulouse Cedex 3 Tél sylvaine.berger@solagro.asso.fr «La méthanisation des effluents industriels», 2005 «La digestion anaérobie des boues urbaines», 2001 Agence de l Eau Adour Garonne, Solagro [gratuit, téléchargeable sur le web] «La méthanisation des déchets municipaux et assimilés», 2000 Solagro, ARENE Ile de France, Ademe, GDF «La valorisation du biogaz en Europe», 2000 ADEME, GDF, Solagro, Altener Association loi adhérents, 16 salariés Initiatives pour l énergie, l agriculture, l environnement Biomasse : biogaz, bois énergie, biocarburants, paille Maîtrise de l énergie, énergies renouvelables Agroécologie, forêt 1
2 Plan de la présentation 1 / La méthanisation des boues urbaines : état des lieux et état de l art en France 2 / Les boues urbaine en co-digestion : la méthanisation territoriale Synthèse état des lieux et état de l art du parc de méthanisation des boues urbaines en France 2
3 Le parc français de méthanisation de boues urbaines capacité de 17 millions d équivalent habitants 60 installations (moyenne hors Achères : EH) : de à 6,5 millions d EH tonnes de matières sèches digérées chaque année tonnes sont transformées en biogaz => = tonnes de pétrole taux d abattement des matières sèches 41 %, et 56% sur les matières volatiles Valorisation des boues digérées en agriculture Capacité : 18 MEH, stable depuis 30 ans Capacité en milliers EH
4 64 installations en : -71 STEP < 50 keh - 69 STEP > 50 keh Moyenne : 123 keh 2004 : -12 STEP < 50 keh - 54 STEP > 50 keh -Moyenne : 280 keh Etat des lieux Déclin dans les années 1990 : disparition de nombreuses stations de petite et moyenne capacité en surcharge, moindre intérêt avec boues d aération prolongée, nouveaux impératifs (azote, phosphore) système d appels d offre au moins disant, occultation de la problématique énergie Perte de savoir-faire Aujourd hui : une technologie mature améliorations techniques marginales parc actuel en bon état de fonctionnement, conduite maîtrisée Avis très positif des exploitants Regain d intérêt actuel, nouveaux projets 4
5 L C LH C L Q StB F L E C F T E N I H M StN C T D B SO M B R L A C B B M A N C M C M A NDC H P La place de la digestion dans la filière boues Eau brute Décanteur Bassin dʼaération Clarificateur Eau traitée Boues primaires Epaississeur Boues biologiques Déshydratation surnageant Stockage boues mixtes Digesteur Gazomètre boues digérées déshydratées 5
6 Le standard technique Sortie / soupapes gaz Gazomètre Chaudière, moteur Boues Canes d injection Injecteurs Compresseur Eau chaude Retour boues réchauffées Echangeur thermique (tubulaire) Caractéristiques du parc enquêté (20 STEP) Mésophile 37 C 55% d abattement des MVS sur boues mixtes 30% d abattement des MVS sur boues d aération prolongée Digesteur primaire + digesteur secondaire - Nouvelle conception => 1 digesteur TRH : 30 jours Charge du digesteur : 1,2 kg MVS/m3/j (variable de 0,6-2) Production de CH4 : 550 m3 CH4/t MVS dégradée 6
7 Types de substrats digérés TYPE DE BOUES Boues primaires seules Boues mixtes Boues biologiques seules Boues d'aération prolongée Boues de déphosphatation Graisses Matières de vidange EXEMPLES DE STATION Rochefort Clos de Hilde (Bordeaux) SIARCE (Corbeil), Cergy Limoges, Bourg-en-Bresse Seine-Aval (Achères) Saint-Brieuc Seine-Amont (Valenton) Destination des boues digérées DESTINATIONS FINALES Séchage thermique Co- incinération Incinération dédiée Compostage Epandage Stockage ISD EXEMPLES DE STATION Nancy, Saint-Brieuc Clos de Hilde (Bordeaux), Bonneuil Seine-Amont (Valenton) Mont-de-Marsan, Creil, Nîmes nombreux cas nombreux cas 7
8 Valorisation du biogaz TYPE D'APPLICATION Moteurs à gaz Moteurs dual-fuel Turbine à gaz Pile à combustible Conditionnement thermique des boues Séchage thermique des boues Combustible d'appoint pour incinérateur Gaz carburant pour véhicules Gaz naturel injecté sur réseau public Chauffage des locaux EXEMPLES DE STATION Rochefort, Marseille, Muret, Seine-Aval, Besançon Seine-Amont (Valenton) Louis-Fargue (Bordeaux), Seine-Aval Cologne (Allemagne) Seine-Aval (Achères) Saint-Brieuc, Nancy, Limoges Seine-Amont (Valenton) Lille Marquette, Eslov (Suède) Tilburg (Pays-Bas) Bonneuil, Cergy, Evry, Versailles Quelques exemples 8
9 Station d épuration urbaine Evry EH Boues primaires + faible charge / dénitrification Centrifugation, chaulage, 30% siccité, épandage agricole MES 1991, digesteur 7000 m3 TRH 38 j Chauffage digesteur + locaux, 1500 MWh Station d épuration urbaine Rochefort EH Boues primaires Filtre-bande, 27% siccité, compostage avec déchets verts municipaux, valorisation agricole MES 1965, digesteur 1200 m3 TRH 25 j Chauffage digesteur, 100 MWh 9
10 Station d épuration urbaine Seine Aval (Achères) EH Boues primaires, biologiques et tertiaires Conditionnement thermique boues digérées (50% siccité) MES 1940 à digesteurs, total m MWh : TAG 3,5 Mwe + 3 MAG 1 MW + 4 motocompresseurs 1,2 MW Station d épuration urbaine Ambarès (33) EH Boues primaires + moyenne charge Filtre bande, 23% siccité, incinération et CET MES 1973 TRH 21j + 10j Chauffage digesteur 10
11 Station d épuration urbaine Asnières EH Boues primaires + aération prolongée Filtre bande, 19% siccité, valorisation agricole MES 1989, digesteur 1950 m3, TRH 27 j Chauffage digesteur Station d épuration urbaine Bonneuil en France EH Boues primaires + moyenne charge + tertiaires physicochimiques Centrifugation, siccité 23%, incinération (+ CET) MES 1995, Digesteurs 9700 m3, TRH 39 j Chauffage digesteur + locaux, 4000 MWh 11
12 Station d épuration urbaine Mont de Marsan EH Boues primaires + moyenne charge Filtre bande, siccité 16%, compostage OM et déchets verts MES 1975, digesteurs 1800 m3, TRH 45j Chauffage digesteur + hors gel local deshydratation Station d épuration urbaine Versailles EH Boues primaires + faible charge Centrifugation, chaulage, 30% siccité, valorisation agricole + CET MES 1992, digesteur 4000 m3, TRH 46 j Chauffage digesteurs + locaux 12
13 Les avantages Réduction de la masse et des odeurs Elimination des agents pathogènes (bactéries, virus) Impact sur les polluants organiques (cycle benzènique) Amélioration de la déshydratation Caractère structurant pour le compost Nécessité de moins de chaux Séchage : moins de dépenses d énergie Production d énergie : 3/4 du biogaz produit valorisé 2/3 en chaudière (280 GWh) : moitié pour le digesteur 1/3 en cogénération : 45 GWh d électricité + 60 GWh de chaleur Autres : moto-compresseurs + biogaz carburant à Lille Quand envisager la digestion? Facteurs favorables Coût d évacuation élevé Présence de boues primaires Station de moyenne ou grande capacité Contraintes de voisinage, recherche moindre emprise Destination : épandage, séchage thermique, enfouissement Besoins énergétiques identifiés Traitement physico-chimique du phosphore Codigestion de graisses 13
14 Quand envisager la digestion? Facteurs défavorables Coût d évacuation faible Boues d aération prolongée seules Station de faible capacité Peu de contrainte de voisinage et d emprise Destination : compostage, incinération (?) Fortes contraintes de rejet d azote (retour surnageant) Ne pas exclure d emblée cette solution Technique pas toujours connue des prescripteurs Approche intégrée traitement de l eau - traitement des boues La méthanisation territoriale 14
15 La production de biogaz en France - Enjeux Gaz de décharge 37 installations MWel 160 ktep Electricité Biogaz agricole Quelques installations < 500 kwe - Cogénération Nombreux projets individuels et collectifs STEP urbaines 60 stations 90 ktep Thermique 300 ktep primaire Valorisation électrique CET Potentiel important (biomasse agricole) => 2,4 Mtep en 2020 (dont 1,4 Mtep pour l agriculture et territoire) STEP industrielles 100 installations 50 ktep Thermique Traitement des déchets ménagers 4 sites + 2 en démarrage + nombreux projets 4 ktep Thermique Electricité Méthanisation territoriale Mélange boues urbaines et biodéchets des ménages, déchets industriels etc Biomasse produite sur un territoire : agriculteurs, collectivités, industriels Lieu d implantation choisi : valorisation de la chaleur : industrie, collectivité (réseau de chaleur) Basé sur le «modèle Danois» 20 installations «centralisées» depuis le milieu des années 1980 Portage : coopératives, sociétés, collectivités locales Taille : à t/an de lisiers (2/3) et déchets IAA (1/3) 15
16 Schéma de principe Collecte des boues urbaines Collecte des déchets Cogénérateur Réseau électrique Canalisation gaz Réseau de chaleur (vapeur, retour eau chaude) Séparation de phase Maturation digestat solide Collecte des déjections Unité de méthanisation Transport et épandage Stockages décentralisé 4 ) Le digestat est épandu sur les terres agricoles 1 ) les déjections et déchets biodégradables sont collectés et amenés à l usine 2 ) La méthanisation décompose les matières biodégradables en gaz 3 ) Le digestat qui contient les matières humiques et minérales est stocké (fosses à lisier) 5 ) Le biogaz alimente un moteur qui produit de l électricité et de la chaleur 16
17 Les critères de sélection des cosubstrats Quels critères : Valeur énergétique : potentiel méthanogène Equilibre de la ration Disponibilité Coût/recette Réglementation Valeur énergétique 17
18 Potentiel méthanogène de différents substrats Substrat Siccité (% MS) Productivité (m3 CH4/t entrée) Lisier bovin 8 12,8 Lisier porc Lisier volaille Fumier bovin à 1000 m3 CH4 Fumier porc 20 par tonne de 48 matière organique Fumier volaille dégradée Matières stercoraires Argile de blanchiment Huiles Boues d épuration Biodéchets Equilibre de la ration Pour un fonctionnement optimal du digesteur : Pas de lignine Un mélange stable dans le temps Rapport C/N de 20 à 40 C/N>40 : digestion incomplète du carbone par manque d azote C/N<15 : inhibition de la digestion due à la formation NH4 Teneur NH4 ration : max 3 kg/t produit brute Teneur NH4 digestat : max 5 kg/t produit brute % de graisse : 30 % max de la MS de la ration Charge organique du digesteur : max 2 kg de MO/m3 18
19 Disponibilité Objectif : ration stable dans le temps et une charge organique constante Constats : système d élevage avec pâturage : baisse de la disponibilité disponibilité des co-substrats : Très variable sur l année (ex. : tontes et DV) Disponibilité sur 15 ans? Distances limites de transport des matières AR par camion 20 t, 30 l/100 km Energie : min. production électricité seule, rendement 30% ; max. taux global de valorisation 70% Distance limite : dépenses = 20% de l énergie produite Contraintes économiques et logistiques : limiter les distances à km => échelle cantonale Distance maximale en km Distance limite de transport (km) % 20% 40% 60% 80% 100% Lisier, boues Fumier bovin Déchets IAA Fumier caprin Teneur en MS Lipides purs 19
20 Le choix des co-substrats substrats propres, homogènes, sans impuretés, facilement biodégradables, origine végétale, pas de difficulté réglementaire Redevance faible Redevance élevée substrats hétérogènes, présence d impretés, origine animale, contexte réglementaire, sanitaire Biomasse utilisée dans les centrales biogaz au Danemark Graisses/boues de flottation Déchets alimentaires Déchets de poisson Déchets de fruits Déchets de brasserie Déchets de laiterie Industrie du sucre Déchets d huileries Industrie pharmaceutique Cultures énergétiques Déchets d abattoir Autres déjections Lisier bovin Lisier porcin 20
21 Initiation du projet Réflexion au niveau d un territoire sur les 3 paramètres principaux : Le gisement de matière organique Substrats Co-substrats L énergie Injection de biométhane : distance au réseau, taille Cogénération : débouchés pour la chaleur, adéquation production / besoins, taux de valorisation La valorisation du digestat Besoins des agriculteurs : solide, liquide, azote minéral Débouchés : plan d épandage des fournisseurs, proximité de zones de grandes cultures Les consommateurs de chaleur Principalement eau chaude : cas le plus favorable Principalement vapeur => rendement sur gaz de 17% par cogénération moteur, 50% par cogénération turbine Norea [Mauléon] Gastronome [Neuil] Heuliez [Cerizay] Gastronome [Moncoutant] Loel&Piriot ; France Champignon ; SOVILEG [Thouars] Riblaire BRM Mobilier, [St Varent] Wagon Automotive, Calcia Ville [Airvault] [Bressuire] BTS Industrie [Chatillon sur Thouet] Ville [Parthenay] Couvoir Boyé [Allonne] Principalement gaz en direct => pas de cogénération 21
22 Évolution des formes d azote au cours de la digestion Produit brut N organique Produit digéré Produit solide : action similaire à amendement de fond NH4 Produit liquide : action similaire à engrais liquide L azote organique (protéines) est transformé en ammoniac (minéralisation) au cours de la méthanisation L ammoniac (soluble) se trouve principalement dans la fraction liquide en cas de séparation de phase Gain pour les acteurs Agriculteurs fournisseurs de déjections Economie engrais minéraux : Optimisation de la fertilisation, plan commun d épandage Phase liquide riche en NH4 Engrais de ferme désodorisés Industriels Economie sur le traitement des déchets Economie sur la consommation de chaleur 22
23 Limiter la volatilisation de NH3 Implication des agriculteurs «Fournisseur / utilisateur» Livraison des lisiers et fumiers à titre gratuit => engagement de reprise à valeur équivalente (base : m3? N? ) Modulé selon : ± paiement du transport, ± qualité produits livrés Prise charge rendu bord de champs ou rendu racine Livraison de lisiers et fumiers excédentaires sans reprise (excédents) : prestation => paiement à la tonne comme les résidus IAA? «Coopérateur» Prise de participation dans une coopérative, ou dans une société locale => rémunération des parts / prise de risque Structure porteuse : coopérative à créer ou existante, société locale de droit privé (partenariat avec société spécialisée), SCIC pour permettre la prise de participation des collectivités territoriales? 23
24 Injection du gaz / Biogaz Carburant des filières émergentes biogaz carburant (22 sites de traitement en Suède et une dizaine en Suisse) injection sur le réseau de gaz naturel (1 dizaine d installations en Suisse, Pays-Bas) Biogaz Carburant Suède 20 ans d expérience Production de biogaz à partir de STEP urbaine et méthanisation de déchets organiques (industriels + agricoles) Réseau de stations de distribution de biométhane carburant 2000 : : : objectif 400 Suisse 15 installations de méthanisation de biodéchets municipaux Transport par réseau de gaz naturel Lille Unique référence française Pilote en : usine de méthanisation de biodéchets municipaux Réseau BIOGASMAX 24
25 25
26 Injection sur le réseau Réglementation Prévue dans la Directive Européenne 2003/55/EC Décret d application Article 3 : expertise risque sanitaire Mission AFSSET depuis septembre Dernière étape réglementaire Conclusions : possibilité d injecter le biogaz épuré mais l expertise collective ne s est pas prononcée sur le biogaz épuré issu de STEP urbaines et industrielles (pas de données suffisantes) Financement? Idem électricité? prise en charge du surcoût EnR /non EnR via CSPE Obligation d achat Tarif fixé par arrêté sur une durée déterminée => politique de l Allemagne 26
Contexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailBiogaz et méthanisation
Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05
Plus en détailMerci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)
15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70
Plus en détailLa production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues
La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues Sommaire 1. Etat des lieux 2. Un contexte favorable à une optimisation énergétique 3. Maximiser la production de biogaz 4. Quelques
Plus en détailCM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation
CM2E 2014 Colloque Martinique Energie Environnement Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation M. Torrijos, Laboratoire de Biotechnologie de l Environnement, INRA-LBE,
Plus en détailLa méthanisation en Poitou- Charentes - Enjeux et perspectives
Les dossiers de l AREC La méthanisation en Poitou- Charentes - Enjeux et perspectives Définition La méthanisation est un procédé biologique permettant de valoriser la matière organique, notamment les sous-produits
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailCompte tenu d une politique d achat de l électricité peu incitative, la centaine
L expérience allemande de la méthanisation à la ferme : transposition au contexte français Compte tenu d une politique d achat de l électricité peu incitative, la centaine d unités de méthanisation construites
Plus en détailAnalyse des coûts d investissement en méthanisation agricole. Comparaison France et Allemagne
Analyse des coûts d investissement en méthanisation agricole Comparaison France et Allemagne Février 2013 1 Le développement de la méthanisation en Bourgogne dans le Programme Energie Climat Bourgogne
Plus en détailProduction de Biogaz L Allemagne leader incontesté. La France demeure incontestablement en retrait!
Production de Biogaz L Allemagne leader incontesté. La France demeure incontestablement en retrait! Actualisation janvier 2009 Processus de production de biogaz BIOMASSE Matière organique fraîche (déjections,
Plus en détailCofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014
Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Cofely Services Le choix de la condensation biomasse Fonctionnement
Plus en détailla MÉTHANISATION à la FERME Guide pratique
la MÉTHANISATION à la FERME Guide pratique Pour les projets d une puissance électrique inférieure à 500 kw e Septembre 2011 Le principe biologique de la méthanisation Les 4 étapes de la méthanisation Biomasse
Plus en détailLES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION
LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute
Plus en détailLa gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet
La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet T. Wassenaar, J. Queste, J.M. Paillat Assemblée Générale du RMT Fertilisation &
Plus en détailQu'est-ce que la biométhanisation?
Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants
Plus en détailMission Biométhanisation Allemagne par Dominic Lapointe, Ph.D. Directeur du développement Réseau d expertise et de développement en biométhanisation
Mission Biométhanisation Allemagne par Dominic Lapointe, Ph.D. Directeur du développement Réseau d expertise et de développement en biométhanisation Plan de la présentation Objectifs de la mission La biométhanisation
Plus en détailLe biogaz en France et en Allemagne Une comparaison. Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry
Le biogaz en France et en Allemagne Une comparaison Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry L OFAEnR Origines & Objectifs Crée en 2006 par les gouvernements français & allemand Bureau au ministère
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailETUDE DE MARCHE DE LA METHANISATION ET DES VALORISATIONS DU BIOGAZ
ETUDE DE MARCHE DE LA METHANISATION ET DES VALORISATIONS DU BIOGAZ Rapport final Septembre 2010 Marché n 0706C0053 Etude réalisée pour le compte de l ADEME et GrDF par Ernst et Young Coordination technique
Plus en détail17 Mai 2011. Volet agricole et forestier du Schéma Régional Climat Air Energie
Commission régionale de l économie agricole et du monde rural 17 Mai 2011 Volet agricole et forestier du Schéma Régional Climat Air Energie Ordre du jour COREAM 17 mai 2011 Volet agricole et forestier
Plus en détailCENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE -
CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - Définition des enjeux - Disposer à la fin des grosses opérations de construction en cours (Tranche 1 et 2 du Plan Directeur MCO-Plateau Technique/Pôle
Plus en détailLettre de rappel sur HODUFLU
Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Office fédéral de l agriculture Secteur Paiements directs - Programmes Département fédéral de l environnement, des transports,
Plus en détailLA PLACE DU SECHAGE THERMIQUE DANS LE TRAITEMENT DES BOUES LES RETOURS D EXPERIENCE
LA PLACE DU SECHAGE THERMIQUE DANS LE TRAITEMENT DES BOUES LES RETOURS D EXPERIENCE par Jean Paul CHABRIER Société ENVIRO-CONSULT Ingénieur Consultant en séchage thermique des boues et déchets AQUATECH
Plus en détailPrésentation de la situation actuelle et projetée au niveau législatif, économique, incitant financier et imposition technique
Présentation de la situation actuelle et projetée au niveau législatif, économique, incitant financier et imposition technique Salon Best 19 octobre 2013 Situation en Région wallonne Coût d achat du courant
Plus en détailoption pour le climat?
Biosolides municipaux Quelle est la meilleure option pour le climat? Claude Villeneuve, professeur titulaire, directeur de la Chaire en éco-conseil de l Université du Québec à Chicoutimi (Claude_Villeneuve@uqac.ca)
Plus en détailLa présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées.
Dans une exploitation agricole, peuvent se rencontrer : Chapitre 1 : des activités d élevage Chapitre 2 : des activités agricoles autres que l élevage Chapitre 3 : des activités autres qu agricoles Chaque
Plus en détailSTOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie
PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau
Plus en détailLes coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois
Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois La question des charges récupérables et non récupérables dans les logements collectifs CIBE Commission
Plus en détailLa filière bois énergie en Bretagne
La filière bois énergie en Bretagne 2012 En Bretagne, une ressource àla fois abondante et limitée Total : 3.8 millions de tep la ressource en bois couvre entre 5 et 10% des besoins actuels en énergie :
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES L élevage, comme l agriculture dans son ensemble, a connu d importantes mutations depuis le début du XXème siècle. De structures familiales, ce secteur est passé
Plus en détailRéseau de chaleur de Beauvais
Réseau de chaleur de Beauvais Témoignage d un d abonné Gabriel CANTEINS Chargé de mission développement durable 22/11/2010 (v2) 1/13 Réseau de chaleur de Beauvais (témoignage) Rendez-vous de l ADEME 25
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailGroupe ROQUETTE. Usine de BEINHEIM. Chaufferie Biomasse
Groupe ROQUETTE Usine de BEINHEIM Chaufferie Biomasse Congrès «Eco-technologies pour le futur» - Lille - 14 juin 2012 Plan de la présentation Le groupe ROQUETTE Notre site de BEINHEIM Nos motivations environnementales
Plus en détailPrésentation de la société
Présentation de la société Janvier 2013 62 rue Jean Jaurès 92800 Puteaux 01 75 43 15 40 www.enertime.com SAS au capital de 90 930 Siège social : Puteaux (92) Date de création : Février 2008 Levée de fonds
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailPanorama des bioénergies en Europe. Colloque Bioénergies
Panorama des bioénergies en Europe Panorama des bioénergies en Europe Synthèse des informations existantes sur le sujet des bioénergies en Europe Sources : législation : Europa, portail de l Union européenne
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailLE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE:
LE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE: État de situation et opportunités Michel Lachance CQVB 7 décembre 2012 East Angus PLAN Contexte la biomasse : une source d énergie pour le Québec Systèmes de chauffage Chauffage
Plus en détailLa réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailÉnergie décentralisée : La micro-cogénération
Énergie décentralisée : La micro-cogénération Solution énergétique pour le résidentiel et le tertiaire Jean-Paul ONANA, Chargé d activités projet PRODÉLEC PRODuction et gestion de la production d ÉLECtricité
Plus en détailRESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT
RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT Dans un avenir marqué par : des incertitudes importantes de nature économique, énergétique et technologique, à l échelle mondiale, européenne
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailBILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP
BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP Sommaire 1/ DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE CONCERNÉE 2 2/ ANNÉE DE REPORTING DE L EXERCICE ET L ANNÉE DE RÉFÉRENCE 3 Utilisation d énergie sur
Plus en détailBioénergie. L énergie au naturel
Bioénergie L énergie au naturel Les références d AREVA en bioénergie Plus de 2,5 GW dans le monde : la plus grande base installée de centrales biomasse AREVA développe des solutions de production d électricité
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailPrésentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC
Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Retour d expérience : Exemples concrets de mises en oeuvre de solutions suite à des audits énergétiques dont celui d une Pompe A Chaleur Haute Température
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailMaximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal
MYT Business Unit Zweckverband Abfallbehandlung Kahlenberg (ZAK) Bergwerkstraße 1 D-77975 Ringsheim Téléphone : +49 (0)7822 8946-0 Télécopie : +49 (0)7822 8946-46 E-mail : info@zak-ringsheim.de www.zak-ringsheim.de
Plus en détailLes réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014
Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailCompétitivité des entreprises et maîtrise des consommations d énergie sont-elles conciliables?
Fiches extraites du dossier du participant remis à l'occasion du Débat national sur les énergies lors de la rencontre de Nice, le 15 avril 2003. Le thème de cette rencontre était " Énergie, entreprises
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailAVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis
Plus en détailBientôt la Biogaz Vallée dans l Aube
DOSSIER DE PRESSE lundi 6 juin 2011, 11h30 Énergies renouvelables / Méthanisation Conclusions positives de l étude de faisabilité Bientôt la Biogaz Vallée dans l Aube Un projet initié par le Conseil général
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailindustrie agroalimentaire
industrie agroalimentaire agro L élaboration des produits agroalimentaires nécessite la mise en place et le contrôle de nombreux procédés et technologies avancées. De la réception des matières premières
Plus en détailLES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE
LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE Gontran Bage Directeur- Développement durable et gestion des GES GES dans le secteur
Plus en détailSupporting deployment of low-carbon technologies in the ETC and SEMED regions
Supporting deployment of low-carbon technologies in the ETC and SEMED regions Mohamed Amine NAHALI Ministry of Industry, Energy and Mining - TUNISIA Istanbul, 15-16 juin 2015 Consommation M tep Croissance
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailAppel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste
Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailLa récupération de l'énergie issue du traitement des déchets
Conseil général des Mines Juillet 2000 Ministère de l Economie, des finances et de l industrie La récupération de l'énergie issue du traitement des déchets Rapport de Henri Prévot Ingénieur général des
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailStockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène
Stockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène HYBSEN - HYdrogène en Bretagne pour le Stockage d ENergie Renouvelable Le stockage de l énergie: 2 ème pilier de la troisième révolution
Plus en détailMINISTERE DE LA REGION WALLONNE
MINISTERE DE LA REGION WALLONNE Direction générale des Ressources naturelles et de l Environnement Direction générale de l Aménagement du Territoire, du Logement et du Patrimoine Décret du 11 mars 1999
Plus en détailLa demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME
La demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME François MOISAN Directeur exécutif Stratégie, Recherche, International Directeur Scientifique
Plus en détailEcoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets
Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailPOTENTIEL ÉNERGÉTIQUE ET GAINS ENVIRONNEMENTAUX GÉNÉRÉS PAR LA BIOMÉTHANISATION DES MATIÈRES ORGANIQUES RÉSIDUELLES AU QUÉBEC. par.
POTENTIEL ÉNERGÉTIQUE ET GAINS ENVIRONNEMENTAUX GÉNÉRÉS PAR LA BIOMÉTHANISATION DES MATIÈRES ORGANIQUES RÉSIDUELLES AU QUÉBEC par François Perron Essai présenté au Centre Universitaire de Formation en
Plus en détailSALON ENEO 15/02/2011 Retour d expd du quartier de la Caserne de Bonne E. HUARD, S. ORAIN, T. HEIMO
SALON ENEO 15/02/2011 Retour d expd expérience sur les cogénérations du quartier de la Caserne de Bonne E. HUARD, S. ORAIN, T. HEIMO GEG Profil d entreprise Une société anonyme d économie mixte locale
Plus en détailUn projet Bois Energie Citoyen?
Un projet Bois Energie Citoyen? Filière bois énergie : les attendus les entrants Filière usuelle : circuit long Filière d avenir : circuit court Chaîne de production d énergie thermique HQE : Analyse systèmique
Plus en détailRÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT
DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle
Plus en détailECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en
ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,
Plus en détailA.L. Reverdy, M. Pradel. To cite this version: HAL Id: hal-00781690 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00781690
GESTABoues, un outil d aide à la décision pour évaluer les émissions de GES des filières de traitement et de valorisation des boues issues du traitement des eaux usées A.L. Reverdy, M. Pradel To cite this
Plus en détailÉVALUATION DU POTENTIEL EN ENERGIE BIOMASSE DE LA REGION CENTRE PHASE 2 : ÉVALUATION DES BESOINS EN BIOMASSE ENERGIE
ÉVALUATION DU POTENTIEL EN ENERGIE BIOMASSE DE LA REGION CENTRE PHASE 2 : ÉVALUATION DES BESOINS EN BIOMASSE ENERGIE JUIN 2011 MAITRE D OUVRAGE DREAL Centre Service Évaluation, Énergie et Valorisation
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailÉvaluation du coût de la gestion des effluents dans différents types d exploitations porcines
2006. Journées Recherche Porcine, 38, 263-270. Évaluation du coût de la gestion des effluents dans différents types d exploitations porcines Claudie GOURMELEN (1), Michel RIEU (2) (1) Institut Technique
Plus en détailDémarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée
Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée L application de la circulaire Voynet-Le pensec et la mise en place des programmes
Plus en détailAuto-consommation des Energies renouvelables. Atelier 56watt du 2 juillet 2015 à Vannes
Auto-consommation des Energies renouvelables Atelier 56watt du 2 juillet 2015 à Vannes 1 Etat des lieux Chaleur renouvelable : en auto-consommation Solaire Thermique : production d eau chaude à l aide
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailLa place du vecteur gaz dans le mix énergétique Quel distributeur de gaz en 2030?
La place du vecteur gaz dans le mix énergétique Quel distributeur de gaz en 2030? Gladys Montagnole Déléguée Territoriale Franche-Comté 03 81 83 85 67 / 06 27 28 60 94 gladys.montagnole@grdf.fr ommaire
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailLe réseau de chaleur. durable
Le réseau de chaleur durable 1 ER Réseau de chaleur en france 4 000 mw de capacité de production ( y compris SYCTOM*) Port de Gennevilliers Gennevilliers Colombes La Garenne-Colombes Asnières Clichy Courbevoie
Plus en détailChauffage à granulés de bois
0 Chauffage à granulés de bois Alliance pour le Climat Luxembourg Protection du climat à la base En partenariat avec plus de 00 villes et communes européennes, plusieurs communes de l Alliance pour le
Plus en détailLa Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous
La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de
Plus en détailDrôme Service Nettoyage (DSN)
Drôme Service Nettoyage (DSN) Bilan des émissions des Gaz 1/25 à Effet de Serre Conformément à L article 75 de la loi n -788 du 12 juillet portant engagement national pour l environnement (ENE) *** 21/12/2012
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailbiophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées
biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités
Plus en détailSe raccorder à un réseau de chaleur
L habitat COMPRENDRE Se raccorder à un réseau de chaleur Le chauffage urbain peut-il être un moyen de diminuer la facture énergétique? Édition : décembre 2013 Pourquoi pas le raccordement À UN RÉSEAU DE
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détail