COMPTES NATIONAUX Définitifs 2012 et provisoires 2013

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "COMPTES NATIONAUX Définitifs 2012 et provisoires 2013"

Transcription

1 RÉPUBLIQUE DE LA GUINÉE BISSAU MINISTAIRE DE L ECONOMIE PLAN INTEGRATION REGIONAL I N S T I T U T N A T I O N A L D E L A S T A T I S T I Q U E COMPTES NATIONAUX Définitifs 2012 et provisoires 2013 Analyse de la situation économique Situation de l offre 2 Evolutions des emplois du PIB en Evolution du PIB en Points méthodologiques 5 ANNEXES 6 Annexe 1 : Statistiques sur les télécommunications 6 Annexe 2 : Statistiques sur l élevage 6 Annexe 3 : Tableaux statistiques 7 Annexe 2 : Données sectorielles 18 Bissau, 7 novembre 2014

2 - 2 - Avec un taux de croissance de -2% en 2012, la Guinée Bissau accuse le coup d un contexte social difficile, qui s améliore légèrement en L irrégularité des salaires à la suite du changement de régime politique a plombé l activité des administrations publiques. Elles ont cependant continué à soutenir le secteur de la construction à travers les appuis projets. Analyse de la situation économique 2012 Les secteurs des Administrations publiques et des transports-communications plombent l activité En 2012, le taux de croissance réel du PIB est de -1,7% contre 9,7% en Cette contreperformance s explique par le changement de l ordre constitutionnel intervenu en 2012 suivi par le non-paiement de près de trois mois de salaires pour certains personnels de la fonction publique. Le secteur des télécommunications, en pleine croissance depuis 2004, accuse pour la première fois une baisse d activité. Les bonnes performances du secteur de la construction soutenues par les projets d investissements publiques financés par les partenaires techniques et financiers ont atténué la chute de l activité. La baisse des revenus distribués combiné à la réduction des ventes de noix de cajou a compressé la consommation finale et contraint les ménages à se limiter aux dépenses essentielles en produits alimentaires. Situation de l offre Le secteur tertiaire et notamment les services non marchands des administrations publiques ont plombé l activité. Le secteur tertiaire subit les changements politiques La croissance du secteur tertiaire est de - 4,5% contre 11,8% en La valeur ajoutée des administrations publiques baisse de -19,8%, à la suite du non-paiement de près trois mois de salaires qui a réduit la masse salariale à moins de 25 milliards en 2012 contre près de 29 milliards en 2011 ; La baisse de la production des Administrations publiques est plus faible que celle de leur valeur ajoutée en raison notamment de la hausse des achats de biens de biens services qui se situe à 12 milliards contre 7 milliards en Cependant, le champ des administrations publiques couvert n intègre toujours pas les collectivités locales dont aucune statistique n est disponible Les activités financières chutent de -15,1% accusant le coup de la baisse des exportations de noix de cajou et de l instabilité politique. La bonne tenue du secteur des télécommunications stabilise la branche transport et communication. Le secteur primaire suit les noix de cajou dans le déclin Le secteur primaire représente 47,1% du PIB et marque une croissance de -0,1% contre 9,6% en Cette contre-performance est attribuable aux noix de cajou dont la production baisse en quantité de 9,6% cependant, les statistiques disponibles de 2

3 - 3 - l Agence nationale de noix de cajou (ANCA- TIC) sur la baisse des prix producteurs qui se situent 300 F/kg contre 335 F/kg en 2011 et celles sur la hausse des valeurs unitaires à l exportation qui se situent à 437 F/kg contre 354 F/Kg en 2011, ne permettent pas de fournir une explication. Les productions de toutes les autres spéculations agricoles sont en hausse. Le secteur secondaire modère la baisse d activité Cette performance est attribuable à l activité de construction qui augmente de 18,7% et bénéficie des dépenses d investissement public dans les produits de la construction. Le secteur de l extraction suit cette dynamique car il fournit les agrégats (sables et graviers) à la construction. La hausse d activité de 5,9% de l agroalimentaire est le résultat de la transformation des produits vivriers qui abondent en Le secteur eau-électricité chute de 11% après avoir suscité de grands espoirs en 2011 et enregistre de nouveau de longues ruptures dans l approvisionnement des ménages et des entreprises. Les importations de biens en hausse pour satisfaire la demande des ménages En termes réels, la baisse des importations est plus marquée en 2012 et se situe à -26,1% contre -0,1% en La baisse des importations de biens est attribuable au riz et aux produits pétroliers. La baisse des matériaux de construction est inattendue et aucun dispositif de ne permet de vérifier la présence des stocks de matières premières ou de revente. La hausse des importations de machines et matériels de transport soutient l investissement privé pour répondre à la demande publique en construction. Evolutions des emplois du PIB en 2012 La baisse de la consommation finale et des exportations nettes tirent la croissance du PIB vers le bas en La consommation finale en baisse pour la première fois depuis 2006 et poursuite de la détérioration du pouvoir d achat des ménage La consommation finale baisse en termes réels de -5,4% contre 5,8% en La consommation finale des administrations publiques est étroitement liée aux dépenses courantes hors transferts qui se réduisent de -19,4% d après le TOFE. Les niveaux du TOFE sont complétés par des éléments de salaire et d achats courant contenus dans les investissements publics et le calcul de consommation de capital fixe (CCF). En élimant les effets prix, la consommation finale des administrations publiques ainsi évaluée baisse de -9,6% attribuable au non paiement des salaires en Il contribue aussi à la réduction des revenus des ménages déjà affectés par la baisse des recettes tirées de la vente des noix de cajou. Dans les fonctions de consommation, la part des produits alimentaires augmente traduisant l arbitrage réalisé par les ménages au profit des biens de première nécessite en cas de réduction des revenus, au détriment des produits manufacturés et des services comme les transports et communication. Figure 1: Comparaison des indicateurs des prix Inflation (IHPC) 15.0% Deflateur de la CF privee Deflateur du PIB 10.0% 5.0% 0.0% -5.0% 2006

4 - 4 - Le rythme de progression de l inflation s est réduit à 2,1% contre 5,1% en 2011, bien que les tensions de prix s accroissent les produits alimentaires avec une variation de +9,9%. Cependant, la maitrise des variations au niveau élémentaire depuis la refonte de l IHPC demeure un défi comme le traduit les écarts grandissant entre cet indicateur et les déflateurs du PIB et de la consommation finale marchande des ménages depuis Les exportations s effondrent Le taux de croissance réelle des exportations est de -29,8% contre 14,9% en Les exportations de biens se situent à 67,5 milliards contre 116,2 milliards en Le premier produit demeure les noix de cajou qui représentent 95,3% des recettes d exportations de biens contre 90,9% en Les quantités officiellement exportées baissent de 22,8% et se situent à 134,4 tonnes contre 174,1 millions en 2011 d après l ANCA-TIC et le taux d exportation frauduleuse passe à 24% contre 14% en 2011, en réaction à la baisse des prix producteurs. Les exportations de services chutent à 11,1 milliards contre 23,3 milliards en 2011, sous l effets des voyages qui baissent de 48,9% et des autres services. L investissement attenue la baisse d activité La formation brute de capital fixe enregistre une croissance réelle de 28,1% contre -1,5% en L investissement privé en matériels de transport explique en partie cette performance. Dans l ensemble, l investissement public baisse en terme réelle de -23,6% attribuable à la contraction des acquisitions en matériels de transport et machines et équipement. Cependant, le maintien des dépenses en construction de l Etat et l auto-construction permettent de maintenir la FBCF en bâtiment et travauxpublics. Evolution du PIB en 2013 Reprise de l activité grâce au dynamisme de l agriculture Les informations disponibles en 2012 sont les statistiques agricoles (ministère de l agriculture et ANCA-GB), des finances publiques, d EAGB, de l IHPC, des sociétés d assurances. La balance des paiements provient de la commission du cadrage. L activité des banques est calée sur les noix de cajou. Du côté de l offre, la reprise de la production des fruits combinée au maintien du rythme de production de l agriculture vivrière pousse le secteur primaire à évoluer de 2,9% en Le secteur secondaire augmente de 2,5%, tirée par la construction toujours soutenue par les dépenses en construction de l Etat. L agroalimentaire bénéficie de la bonne tenue des produits agricoles. La branche eauélectricité poursuit dans les mauvaises performances et n arrive toujours pas à satisfaire une demande solvable telle qu en La stabilité du secteur tertiaire qui évolue de 0,3% est due aux activités associées à la distribution des produits agricoles à savoir le transport et le commerce. La baisse des investissements publics depuis 2007 réduit la consommation de capital fixe (CCF) qui est une des composantes de la valeur ajoutée. L autre composante est la rémunération des salariés qui est stable en Au final, l activité des administrations publiques baisse de -3,9% en Du côté de la demande, les exportations, entrainées par la reprise de la vente de cajou, sont le moteur de la croissance en 2012 et augmentent de 11%. L investissement privé s essouffle et la consommation des ménages reprend. Les tensions sur les prix disparaissent mais le déflateur du PIB et de la consommation sont élevés en raison du maintien à la hausse des prix des produits alimentaires. En définitive, le taux de croissance est estimé à -2,7% en 2012.

5 - 5 - Points méthodologiques Estimation de la croissance de l activité de construction et d extraction En attendant la mise en place d un répertoire des entreprises et le suivi des déclarations statistiques et fiscales (DSF) grâce à l action du CNPE et de la coopération entre la Direction générale des impôts et l INE, l estimation de l activité de construction se fait par la demande à partir des dépenses d investissement des administrations publique en construction. La construction privée représente 40% des dépenses de construction des administrations. L extraction est liée à la construction par un coefficient technique de 1,5%. L extraction n intègre pas l activité d exploration minière pour laquelle l INE ne dispose d aucune information. Estimation de la croissance des administrations publiques La valeur ajoutée publique se compose essentiellement des salaires et de la CCF. Le calcul de la CCF se fait à partir d une série de FBCF des administrations actualisée avec une hypothèse d amortissement linéaire sur 20 ans. La série de CCF aux prix constants de 2005 se calcule directement comme un amortissement linéaire de la série de FBCF aux prix de 2005 sur les vingt dernières années Changement méthodologiques apportées à la série Les statistiques disponibles sur la branche des télécommunications ont été améliorées par celles de celles de l Agence nationale de régulation des télécommunications (ARN- TIC). Ainsi, l évolution du chiffre d affaires fixée à 15% depuis 2011 a été modifiée pour être estimée à 22% en 2011 et -5% en La direction des services vétérinaires du ministère a produit un document sur les statistique d abattage qui a permis de modifier les taux d exploitation en 2012 et le partage formation brute de capital fixe et variation de stock afin d intégrer la baisse des abattages constatée en La nouvelle année de base intègrera l ensemble des informations fournies. Tableau 1: Calcul de la CCF (millions de F CFA) FBCF prix courant FBCF prix constant CCF prix courant CCF prix constant

6 ANNEXES Annexe 1 : Statistiques sur les télécommunications Evoluco de volume de negocio por operador, mlh FCFA Operadores Spacetel Guine-Bissau (MTN) Orange Bissau Guinétel Guinételecom Total Tarif media por segundo (F CFA/sec) 1,5 1,33 1, Chiffre d affaires aux prix de l année précédente Indice de volume 1,34 1,22 1,26 0,95 Indice de prix 0,89 0,94 0,80 1,00 Evolucao de paraue de assinantes do serviço movel por operador MTN Orange GUINETEL Total Taxa de penetração 27,01 38,87 49,89 46,33 65,06 Guiné Telecom (Fixe) Source : ARN-TIC, Rapport d activité de 2012 Annexe 2 : Statistiques sur l élevage Abattages Bovins Effectifs Viande en tonne 1 095, ,5 569, , , , , ,3 Caprins Effectifs Viande en tonne 30,3 16,4 12,641 33,2 55,21 69,4 102,11 47,4 Ovins Effectifs Viande en tonne 50,1 48,7 45,29 85,74 Importations (Tonnes) Carnes e miudezas (viande et abâts) 256, ,13 125, , ,738 Carnes de frangos (volaille) 477, , ,63 421,78 768,027 Ovos (oeuf) 876, , , , ,022 Leite e productos lacteos 1 209, , , , ,2 Mel 0,45 0,13 0,03 Source : Direction des services vétérinaires du ministère de l agriculture

7 Annexe 3 : Tableaux statistiques Tableau 2: Principaux indicateurs de l économie bissau-guinéenne Contas Nacionais PIB nominal , , , , , , ,891 FCFA PIB réel (aux prix de , , , , , , , ) FCFA Croissance du PIB réel % 3.2% 3.2% 3.3% 4.4% 9.7% -1.7% 1.5% Population Habitant 1,354,800 1,382,600 1,449,230 1,481,113 1,513,698 1,546,999 1,581,033 Croissance % 2.2% 2.2% 2.2% 2.2% 2.2% 2.2% 2.2% démographique PIB nominal par habitant FCFA/ 246, , , , , , ,822 habitant Taux de change / $ FCFA / $ PIB nominal par habitant $/habitant Taux d'investissement % 7.9% 6.1% 6.1% 6.6% 5.4% 7.1% 6.9% Inflation (IHPC) % 4.6% 10.4% -1.6% 2.1% 5.2% 2.1% 0.7% Déflateur du PIB % 2.7% 8.7% 4.4% -0.1% 7.0% 12.2% 7.2% 4.4% 12.5% -2.5% 3.0% 13.1% 2.6% 6.8% Exportations/ PIB % 20% 20% 19% 20% 27% 15% 17% Importations/ PIB % 34% 33% 35% 35% 31% 25% 24% Taux de couverture % 59% 61% 54% 57% 87% 61% 72% Finances publiques Recettes totales ,086 49,574 77,818 55,816 65,025 74,080 63,798 FCFA Dépenses totales ,443 49,266 61,658 83,517 83,493 86,993 76,618 FCFA Taux de pression fiscale % 5.5% 5.4% 6.8% 7.9% 7.7% 7.4% 6.2% Dépenses courantes / % 12.3% 11.9% 11.7% 12.0% 10.5% 12.0% 8.8% PIB Salaires / recettes budget % 75.5% 60.7% 56.8% 58.8% 54.8% 52.9% 59.3%

8 - 8 - Tableau 3: Produit Intérieur brut, optique de la production (Millions de F CFA courants) Secteur primaire 144, , , , , , ,108 Agriculture 104, , , , , , ,919 Elevage, chasse 14,187 15,447 14,539 14,628 16,270 18,181 21,711 Peche 18,331 20,200 15,544 17,306 17,315 17,893 18,900 Foret 7,203 7,972 7,636 7,681 7,709 7,979 8,578 Secteur secondaire 44,031 53,749 52,162 54,670 68,095 75,142 92,760 Activites extractives Agroalimentaire 33,135 43,483 41,298 42,164 51,330 59,046 73,485 Autres industries 4,952 5,351 5,596 5,531 5,924 6,331 6,454 Construction 4,615 3,238 3,458 5,076 3,109 3,834 7,160 Eau - electricite 1,180 1,571 1,699 1,733 7,647 5,836 5,497 Secteur tertiaire 138, , , , , , ,848 Transport et telecommunications 14,764 17,150 16,389 18,460 25,997 26,475 29,629 Commerce 70,987 75,415 81,718 76, ,834 97, ,894 Services financiers 2,660 4,050 3,698 4,937 8,343 8,424 9,120 Services d'administration publique 34,350 33,623 40,545 45,869 50,163 41,374 35,833 Autres services 15,921 17,756 16,255 18,815 20,092 21,039 18,372 Correction pour consommation des SIFIM -2,303-5,308-5,521-6,579-9,773-10,703-10,910 Total de la valeur ajoutee 324, , , , , , ,806 Impots sur les produits 8,954 9,831 12,920 16,693 20,213 18,465 17,085 Produit Interieur Brut 333, , , , , , ,891 Tableau 4: Produit Intérieur brut, optique de la production (Millions de F CFA de 2005) Secteur primaire 139, , , , , , ,021 Agriculture 102, , , , , , ,100 Elevage 14,517 15,568 15,198 15,542 16,239 16,694 17,354 Peche 16,623 15,685 12,434 13,376 13,447 13,505 13,451 Foret 6,139 6,282 6,604 6,769 6,812 6,987 7,116 Secteur secondaire 43,778 46,017 48,173 50,809 55,054 57,210 58,638 Activites extractives Agroalimentaire 32,305 36,163 36,949 37,784 39,311 41,638 42,630 Autres industries 4,498 4,775 5,206 5,164 5,232 5,246 4,541 Construction 5,630 3,380 4,143 5,847 3,207 3,807 6,187 Eau - electricite 1,191 1,598 1,767 1,859 7,221 6,429 5,132 Secteur tertiaire 137, , , , , , ,061 Transport et telecommunications 14,486 17,376 18,640 22,474 27,209 26,753 26,812 Commerce 72,185 76,104 73,448 73,920 81,439 83,297 87,005 Services financiers 2,776 3,588 3,710 4,303 7,252 6,154 6,112 Services d'administration publique 33,379 30,482 37,488 42,423 44,890 36,014 34,603 Autres services 14,755 15,952 14,691 16,594 17,770 18,353 15,529 Correction pour consommation des SIFIM -2,404-4,725-5,582-5,743-8,448-7,802-7,307 Total de la valeur ajoutee 318, , , , , , ,413 Impots sur les produits 8,265 8,762 8,945 9,021 9,621 7,939 7,805 Produit Interieur Brut 326, , , , , , ,218

9 - 9 - Tableau 5: Taux de croissance réels du PIB par secteur d activité (%) Secteur primaire 2.2% 3.0% 3.6% 0.7% 9.6% -0.1% 2.9% Agriculture 3.9% 3.8% 8.0% -0.3% 11.8% -0.6% 3.2% Elevage 2.1% 7.2% -2.4% 2.3% 4.5% 2.8% 4.0% Peche -6.6% -5.6% -20.7% 7.6% 0.5% 0.4% -0.4% Foret 0.7% 2.3% 5.1% 2.5% 0.6% 2.6% 1.8% Secteur secondaire -5.6% 5.1% 4.7% 5.5% 8.4% 3.9% 2.5% Activites extractives 94.9% -34.4% 6.9% 43.5% -46.5% 8.4% 64.4% Agroalimentaire -12.0% 11.9% 2.2% 2.3% 4.0% 5.9% 2.4% Autres industries -10.3% 6.2% 9.0% -0.8% 1.3% 0.3% -13.4% Construction 80.6% -40.0% 22.6% 41.1% -45.2% 18.7% 62.5% Eau - electricite -17.5% 34.2% 10.6% 5.2% 288.4% -11.0% -20.2% Secteur tertiaire 7.1% 4.3% 3.1% 7.9% 11.8% -4.5% -0.3% Transport et telecommunications 12.8% 20.0% 7.3% 20.6% 21.1% -1.7% 0.2% Commerce 9.0% 5.4% -3.5% 0.6% 10.2% 2.3% 4.5% Services financiers 20.9% 29.3% 3.4% 16.0% 68.5% -15.1% -0.7% Services d'administration publique 4.4% -8.7% 23.0% 13.2% 5.8% -19.8% -3.9% Autres services -2.9% 8.1% -7.9% 13.0% 7.1% 3.3% -15.4% Correction pour consommation des SIFIM 60.3% 96.6% 18.1% 2.9% 47.1% -7.6% -6.3% Total de la valeur ajoutee 2.8% 3.1% 3.3% 4.5% 9.8% -1.4% 1.6% Impots sur les produits 23.5% 6.0% 2.1% 0.8% 6.7% -17.5% -1.7% Produit Interieur Brut 3.2% 3.2% 3.3% 4.4% 9.7% -1.7% 1.5% Tableau 6: Contribution des secteurs d activité à la croissance du PIB Secteur primaire Agriculture Elevage Peche Foret Secteur secondaire Activites extractives Agroalimentaire Autres industries Construction Eau - electricite Secteur tertiaire Transport et telecommunications Commerce Services financiers Services d'administration publique Autres services Correction pour consommation des SIFIM Total de la valeur ajoutee Impots sur les produits Produit Interieur Brut

10 Tableau 7: Produit Intérieur brut, optique des dépenses (Millions de F CFA courants) Produit Interieur Brut 333, , , , , , ,899 Consommation finale 352, , , , , , ,741 Menages 302, , , , , , ,287 Autoconsommation 18,060 25,883 23,023 26,394 28,937 33,752 39,956 Commercialisee 284, , , , , , ,331 Administrations publiques 50,415 45,986 60,365 63,793 68,188 64,049 53,454 Investissement 26,331 23,629 23,598 27,666 27,978 37,515 39,275 Formation brute de capital fixe 25,777 23,251 23,229 27,169 27,431 33,365 38,729 Privee 8,001 9,523 6,124 9,022 14,109 22,847 22,963 Publique 17,776 13,728 17,105 18,147 13,322 10,518 15,765 Variation des stocks , Exportations nettes -45,881-50,236-63,487-64,431-21,017-51,222-38,117 Exportations 67,267 76,978 73,076 83, ,392 78,595 98,070 Biens 51,297 57,372 57,437 62, ,223 67,524 86,947 Services 15,970 19,606 15,639 21,041 23,168 11,071 11,123 Importations 113, , , , , , ,187 Biens 91, , , , , , ,682 Services 21,406 25,543 28,334 37,272 31,245 21,830 22,505 Tableau 8: Structure des emplois du PIB à prix courants (%) Produit Interieur Brut 100.0% 100.0% 100.0% 100.0% 100.0% 100.0% 100.0% Consommation finale 105.9% 106.9% 110.2% 108.8% 98.7% 102.6% 99.8% Menages 90.7% 95.0% 94.7% 93.6% 85.6% 90.4% 90.4% Autoconsommation 5.4% 6.7% 5.9% 6.3% 5.6% 6.4% 7.0% Commercialisee 85.3% 88.3% 88.8% 87.3% 80.0% 84.0% 83.4% Administrations publiques 15.1% 11.9% 15.5% 15.2% 13.1% 12.2% 9.4% Investissement 7.9% 6.1% 6.1% 6.6% 5.4% 7.1% 6.9% Formation brute de capital fixe 7.7% 6.0% 6.0% 6.5% 5.3% 6.3% 6.8% Privee 2.4% 2.5% 1.6% 2.2% 2.7% 4.3% 4.0% Publique 5.3% 3.5% 4.4% 4.3% 2.6% 2.0% 2.8% Variation des stocks 0.2% 0.1% 0.1% 0.1% 0.1% 0.8% 0.1% Exportations nettes -13.8% -13.0% -16.3% -15.4% -4.0% -9.7% -6.7% Exportations 20.2% 19.9% 18.7% 20.0% 26.8% 14.9% 17.2% Biens 15.4% 14.8% 14.7% 15.0% 22.3% 12.8% 15.3% Services 4.8% 5.1% 4.0% 5.0% 4.5% 2.1% 2.0% Importations 33.9% 32.9% 35.0% 35.3% 30.8% 24.7% 23.9% Biens 27.5% 26.3% 27.8% 26.5% 24.8% 20.5% 19.9% Services 6.4% 6.6% 7.3% 8.9% 6.0% 4.1% 3.9%

11 Tableau 9: Produit Intérieur brut, optique des dépenses (Millions de F CFA de 2005) Produit Interieur Brut 326, , , , , , ,218 Consommation finale 346, , , , , , ,561 Menages 297, , , , , , ,673 Autoconsommation 17,475 20,047 16,733 17,789 18,506 19,718 20,994 Commercialisee 280, , , , , , ,679 Administrations publiques 48,494 40,496 53,971 57,039 58,866 53,229 47,888 Investissement 28,458 23,103 24,693 27,965 27,535 35,272 36,316 Formation brute de capital fixe 26,695 23,886 24,336 27,504 27,059 31,848 35,913 Privee 8,286 9,783 6,416 9,133 13,918 21,808 21,294 Publique 18,409 14,103 17,920 18,371 13,141 10,040 14,619 Variation des stocks 1, , Exportations nettes -47,723-55,876-47,420-56,459-43,432-35,705-27,659 Exportations 73,685 77,110 84,496 86,172 99,039 69,558 77,653 Biens 58,740 60,381 70,883 68,788 80,169 60,648 68,893 Services 14,945 16,729 13,613 17,384 18,870 8,910 8,760 Importations 121, , , , , , ,312 Biens 101, , , , ,740 87,689 87,604 Services 20,060 21,949 24,808 30,920 25,731 17,574 17,708 Tableau 10: Evolution des emplois du PIB, en volume (%) Produit Interieur Brut 3.2% 3.2% 3.3% 4.4% 9.7% -1.7% 1.5% Consommation finale 1.8% 6.9% 0.3% 5.7% 5.8% -5.4% -0.8% Menages 1.1% 10.8% -3.7% 5.7% 6.2% -4.7% 0.7% Autoconsommation 3.5% 14.7% -16.5% 6.3% 4.0% 6.5% 6.5% Commercialisee 1.0% 10.5% -2.9% 5.7% 6.4% -5.3% 0.3% Administrations publiques 6.1% -16.5% 33.3% 5.7% 3.2% -9.6% -10.0% Investissement 42.8% -18.8% 6.9% 13.3% -1.5% 28.1% 3.0% Formation brute de capital fixe 21.9% -10.5% 1.9% 13.0% -1.6% 17.7% 12.8% Privee -47.2% 18.1% -34.4% 42.3% 52.4% 56.7% -2.4% Publique 195.5% -23.4% 27.1% 2.5% -28.5% -23.6% 45.6% Variation des stocks Exportations nettes 10.4% 17.1% -15.1% 19.1% -23.1% -17.8% -22.5% Exportations 64.6% 4.6% 9.6% 2.0% 14.9% -29.8% 11.6% Biens 36.6% 2.8% 17.4% -3.0% 16.5% -24.3% 13.6% Services 752.7% 11.9% -18.6% 27.7% 8.5% -52.8% -1.7% Importations 38.0% 9.5% -0.8% 8.1% -0.1% -26.1% 0.0% Biens 29.9% 9.6% -3.5% 4.3% 4.5% -24.9% -0.1% Services 101.9% 9.4% 13.0% 24.6% -16.8% -31.7% 0.8%

12 Tableau 11: Contribution à la croissance des emplois du PIB Produit Interieur Brut Consommation finale Menages Autoconsommation Commercialisee Administrations publiques Investissement Formation brute de capital fixe Privee Publique Variation des stocks Exportations nettes Exportations Biens Services Importations Biens Services Tableau 12: Variation du déflateur des emplois du PIB (%) Produit Interieur Brut 4.4% 12.5% -2.5% 3.0% 13.1% 2.9% 6.7% Consommation finale 3.1% 9.6% 3.6% 0.4% 6.4% 11.2% 6.2% Menages 2.9% 9.7% 4.4% 0.4% 6.8% 12.2% 7.6% Autoconsommation 6.7% 24.9% 6.6% 7.8% 5.4% 9.5% 11.2% Commercialisee 2.7% 8.7% 4.4% -0.1% 7.0% 12.2% 7.2% Administrations publiques 3.7% 9.2% -1.5% 0.0% 3.6% 3.9% -7.2% Investissement -6.2% 10.5% -6.6% 3.5% 2.7% 4.7% 1.7% Formation brute de capital fixe -1.8% 0.8% -1.9% 3.5% 2.6% 3.3% 2.9% Privee -1.8% 0.8% -1.9% 3.5% 2.6% 3.3% 2.9% Publique -1.8% 0.8% -1.9% 3.5% 2.6% 3.3% 2.9% Variation des stocks Exportations nettes -10.8% -6.5% 48.9% -14.8% -57.6% 196.5% -3.9% Exportations 0.8% 9.4% -13.4% 12.4% 44.8% -19.7% 11.8% Biens -3.1% 8.8% -14.7% 12.5% 59.0% -23.2% 13.4% Services 4.6% 9.7% -2.0% 5.4% 1.4% 1.2% 2.2% Importations -5.9% 2.6% 8.2% 0.4% 8.4% 9.5% 4.9% Biens -8.2% 1.2% 10.4% -1.8% 11.5% 11.3% 5.4% Services 4.4% 9.1% -1.9% 5.5% 0.7% 2.3% 2.3%

13 Tableau 13: Evolution de la consommation finale des ménages, par type de produit (Millions de F CFA courants) Produits alimentaires 252, , , , , , ,496 Textiles et habillement 2,943 2,561 3,408 4,009 5,151 6,002 4,745 Autres produits manufactures 22,666 22,407 20,362 21,129 33,926 26,336 25,706 Energie et eau ,351 5,561 4,294 Transport et communication 4,412 5,151 4,790 4,316 11,860 8,633 8,980 Education 8,099 8,559 8,132 8,726 11,115 11,403 8,249 Sante 2,939 3,151 2,698 4,024 3,807 4,697 3,437 Autres services 9,629 19,463 11,029 12,730 14,047 12,533 13,333 Ensemble 303, , , , , , ,240 Tableau 14: Evolution de la consommation finale des ménages, par type de produit (Millions de F CFA de 2005) Produits alimentaires 256, , , , , , ,914 Textiles et habillement 2,460 2,615 3,199 3,503 4,300 4,760 3,681 Autres produits manufactures 14,768 17,629 17,256 16,760 25,698 19,723 18,484 Energie et eau 583 1, ,408 5,602 4,221 Transport et communication 4,381 8,676 5,449 4,678 13,643 9,820 9,634 Education 7,556 7,857 7,513 7,565 9,465 9,617 7,120 Sante 2,708 2,744 2,389 3,511 3,171 3,816 2,827 Autres services 8,668 7,086 9,272 10,454 10,952 9,542 9,792 Ensemble 297, , , , , , ,673 Tableau 15: Evolution de la consommation finale des ménages, en volume (%) Produits alimentaires 4.1% 9.9% -3.7% 2.8% -2.3% -1.8% 3.5% Textiles et habillement 26.1% 6.3% 22.3% 9.5% 22.8% 10.7% -22.7% Autres produits manufactures -22.7% 19.4% -2.1% -2.9% 53.3% -23.3% -6.3% Energie et eau -47.0% 78.9% -26.0% 10.5% 768.5% -24.4% -24.7% Transport et communication -0.6% 98.0% -37.2% -14.1% 191.6% -28.0% -1.9% Education -2.0% 4.0% -4.4% 0.7% 25.1% 1.6% -26.0% Sante -16.2% 1.3% -12.9% 47.0% -9.7% 20.3% -25.9% Autres services -17.3% -18.2% 30.9% 12.7% 4.8% -12.9% 2.6% Ensemble 1.1% 10.8% -3.7% 2.9% 6.4% -4.8% 0.7%

14 Tableau 16: Structure de la dépense de consommation finale des ménages (prix courants) (%) Produits alimentaires 86.5% 78.2% 80.3% 79.5% 83.1% 82.7% 86.1% 85.8% 80.4% 84.2% 86.7% Textiles et habillement 0.9% 1.0% 1.1% 0.9% 1.0% 0.7% 0.9% 1.0% 1.2% 1.3% 0.9% Autres produits manufactures 5.6% 9.3% 8.4% 8.8% 7.5% 6.3% 5.5% 5.4% 7.6% 5.5% 5.0% Energie et eau 0.3% 0.6% 0.5% 0.5% 0.2% 0.2% 0.2% 0.2% 1.7% 1.2% 0.8% Transport et communication 1.2% 3.2% 2.7% 2.3% 1.5% 1.4% 1.3% 1.1% 2.7% 1.8% 1.7% Education 2.2% 2.7% 2.9% 2.8% 2.7% 2.4% 2.2% 2.2% 2.5% 2.4% 1.6% Sante 0.7% 1.0% 1.2% 1.2% 1.0% 0.9% 0.7% 1.0% 0.9% 1.0% 0.7% Autres services 2.5% 4.0% 2.8% 4.0% 3.2% 5.4% 3.0% 3.2% 3.2% 2.6% 2.6% Ensemble % % % % % % % % % % % Tableau 17: Variation du Déflateur de la consommation finale (%) Produits alimentaires 6.5% 6.4% 11.9% 2.8% 8.9% 14.1% 7.7% Textiles et habillement -4.9% -18.1% 8.8% 7.4% 4.7% 5.3% 2.2% Autres produits manufactures 16.6% -17.2% -7.2% 6.8% 4.7% 1.1% 4.2% Energie et eau -15.6% -34.5% 52.7% 0.0% -0.8% 0.0% 2.5% Transport et communication -33.2% -41.0% 48.1% 5.0% -5.8% 1.1% 6.0% Education 1.5% 1.6% -0.6% 6.6% 1.8% 1.0% -2.3% Sante 3.0% 5.8% -1.7% 1.5% 4.8% 2.5% -1.2% Autres services 0.4% 147.3% -56.7% 2.4% 5.3% 2.4% 3.7% Ensemble 4.9% 6.2% 7.4% 3.2% 6.6% 12.4% 7.6%

15 Tableau 18: Evolution de la FBCF, par type de produit (Millions de F CFA courants) Betail sur pieds ,094 1,385 1,090 Batiment et Travaux-Publics 11,662 8,268 8,709 12,438 6,592 7,200 12,146 Machines 5,957 4,124 4,913 4,727 6,606 8,795 8,799 Materiels de transport 4,722 7,108 5,913 5,820 8,572 11,905 12,438 Autres produits 2,711 2,998 2,956 3,191 4,567 4,080 4,256 Ensemble 25,777 23,251 23,229 27,169 27,431 33,365 38,729 Tableau 19 Evolution de la FBCF, par type de produit (Millions de F CFA de 2005) Betail sur pieds , Batiment et Travaux-Publics 12,658 8,450 9,013 12,626 6,744 7,366 12,120 Machines 5,782 4,564 5,442 5,093 7,005 9,290 9,178 Materiels de transport 4,688 7,012 6,112 5,671 8,000 10,363 10,067 Autres produits 2,889 3,131 3,057 3,194 4,360 3,744 3,742 Ensemble 26,695 23,886 24,336 27,504 27,059 31,848 35,913 Tableau 20: Structure de la FBCF, par type de produit (prix courants) (%) Betail sur pieds 2.8% 3.2% 3.2% 3.7% 4.0% 4.2% 2.8% Batiment et Travaux-Publics 45.2% 35.6% 37.5% 45.8% 24.0% 21.6% 31.4% Machines 23.1% 17.7% 21.2% 17.4% 24.1% 26.4% 22.7% Materiels de transport 18.3% 30.6% 25.5% 21.4% 31.2% 35.7% 32.1% Autres produits 10.5% 12.9% 12.7% 11.7% 16.6% 12.2% 11.0% Ensemble 100.0% 100.0% 100.0% 100.0% 100.0% 100.0% 100.0% Tableau 21 Taux de croissance réelle de la FBCF par produit (%) Betail sur pieds 2.4% 7.5% -2.3% 29.2% 3.3% 14.2% -25.7% Batiment et Travaux-Publics 86.4% -33.2% 6.7% 40.1% -46.6% 9.2% 64.5% Machines 28.1% -21.1% 19.2% -6.4% 37.5% 32.6% -1.2% Materiels de transport -35.8% 49.6% -12.8% -7.2% 41.1% 29.5% -2.9% Autres produits 9.4% 8.4% -2.4% 4.5% 36.5% -14.1% -0.1% Ensemble 21.9% -10.5% 1.9% 13.0% -1.6% 17.7% 12.8%

16 Tableau 22: Evolution des exportations, par type de produit (Millions de F CFA courants) Noix de cajou 41,037 46,195 45,800 48, ,619 64,404 82,066 Autres produits agricoles Produits d'extraction Autres biens 10,174 11,156 11,627 14,499 9,939 2,355 4,739 Services 15,970 19,606 15,639 21,041 23,168 11,071 11,123 Ensemble 67,267 76,978 73,076 83, ,392 78,595 98,070 Tableau 23: Evolution des exportations, par type de produit, aux prix de 2005 Noix de cajou 44,157 43,632 52,995 47,121 69,528 58,355 64,703 Autres produits agricoles Produits d'extraction Autres biens 14,516 16,733 17,882 21,662 10,598 2,076 4,106 Services 14,945 16,729 13,613 17,384 18,870 8,910 8,760 Ensemble 73,685 77,110 84,496 86,172 99,039 69,558 77,653 Tableau 24: Structure des exportations, par type de produit (%) Noix de cajou 82% 87% 89% 86% 61% 60% 63% 58% 76% 82% 84% Autres produits agricoles 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 1% 0% Produits d'extraction 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% 0% Autres biens 9% 4% 5% 10% 15% 14% 16% 17% 7% 3% 5% Services 8% 9% 5% 4% 24% 25% 21% 25% 17% 14% 11% Ensemble 100% 100% 100% 100% 100% 100% 100% 100% 100% 100% 100%

17 Tableau 25: Evolution des importations, par type de produit (Millions de F CFA courants) Riz 14,894 16,679 17,231 17,656 20,563 18,139 19,095 Farine de ble 3,928 4,448 5,501 5,312 5,056 6,694 7,287 Sucre 3,720 4,737 6,751 6,807 7,373 3,700 3,852 Boissons 4,007 4,144 3,893 3,989 4,646 5,722 6,023 Autres produits alimentaires 10,113 9,583 11,224 11,957 14,823 14,286 16,271 Produits petroliers raffines 22,370 28,709 29,400 30,125 35,085 19,368 20,388 Materiaux de construction 4,047 4,398 5,551 5,688 6,625 2,596 2,733 Materiels de transport 4,788 6,476 6,251 6,405 7,460 10,697 11,261 Machines 6,081 3,823 4,770 4,888 5,693 7,758 8,167 Autres biens 17,794 18,674 17,657 18,074 21,840 19,027 18,605 Services 21,406 25,543 28,334 37,272 31,245 21,830 22,505 Ensemble 113, , , , , , ,187 Tableau 26: Structure des importations, par type de produit (Millions de F CFA de 2005) Riz 28,812 37,396 27,774 34,682 29,219 16,161 17,557 Farine de ble 3,680 3,501 4,330 3,670 3,273 3,943 3,876 Sucre 3,351 4,740 6,349 4,830 4,901 2,238 2,104 Boissons 3,764 3,681 3,463 3,507 4,155 5,096 5,252 Autres produits alimentaires 9,889 8,026 9,919 10,096 11,945 10,605 10,852 Produits petroliers raffines 18,369 19,538 19,898 19,467 22,129 11,540 11,375 Materiaux de construction 4,191 4,211 5,412 5,281 6,157 2,397 2,454 Materiels de transport 4,788 6,449 6,585 6,527 7,321 9,690 9,404 Machines 5,944 4,270 5,385 5,503 6,345 8,528 8,787 Autres biens 18,560 19,225 17,993 18,148 21,295 17,491 15,943 Services 20,060 21,949 24,808 30,920 25,731 17,574 17,708 Ensemble 121, , , , , , ,312 Tableau 27: Structure des importations à prix courants (%) Riz 13% 13% 13% 12% 13% 14% 14% Farine de ble 3% 3% 4% 4% 3% 5% 5% Sucre 3% 4% 5% 5% 5% 3% 3% Boissons 4% 3% 3% 3% 3% 4% 4% Autres produits alimentaires 9% 8% 8% 8% 9% 11% 12% Produits petroliers raffines 20% 23% 22% 20% 22% 15% 15% Materiaux de construction 4% 3% 4% 4% 4% 2% 2% Materiels de transport 4% 5% 5% 4% 5% 8% 8% Machines 5% 3% 3% 3% 4% 6% 6% Autres biens 16% 15% 13% 12% 14% 15% 14% Services 19% 20% 21% 25% 19% 17% 17% Ensemble 100% 100% 100% 100% 100% 100% 100%

18 Annexe 2 : Données sectorielles Tableau 28 : Informations de base sur les produits agricole (quantité en tonne) Riz 131, , , , , , ,717 Maïs 13,907 9,590 6,562 5,819 5,819 7,195 7,321 Sorgho 14,633 12,520 18,959 20,223 18,993 23,547 26,871 Mil 26,169 22,850 12,281 15,004 13,971 16,954 18,058 Fonio Céréales sèches SAB 1,575 1,570 1,500 1,500 1,300 2,000 2,000 Total cereales 56,613 47,010 39,834 43,070 40,608 50,276 54,972 Igname 802 2,938 2,706 2,353 2,000 2,177 2,369 Patate Douce 11,391 26,195 34,000 36,909 34,778 36,909 37,355 Manioc 43,397 47,737 45,000 48,869 49,670 50,236 52,571 Haricot sec 469 2,682 3,475 3,249 3,000 3,249 3,288 Arachide coque 24,709 46,460 30,696 36,177 35,431 45,214 45,760 Noix de cajou 129, , , , , , ,600 Noix de coco 45,500 45,500 46,326 46,326 46,739 47,152 47,359 Noix de palme 80,000 80,000 80,000 80,000 80,000 80,000 80,000 Canne à sucre 5,500 6,000 6,000 6,250 6,500 6,625 6,875 Graines de coton 5,500 5,848 4,509 5,183 4,688 4,355 4,444 Bananes 5,200 5,200 7,206 7,306 8,309 9,362 9,914 Citrons et limes 3,700 3,700 4,141 4,191 4,412 4,657 4,792 Mangues 5,300 5,300 6,098 6,248 6,647 7,121 7,396 Oranges 6,000 6,000 6,715 7,215 7,573 8,180 8,609 Papaye 2,200 2,200 2,550 2,750 2,925 3,200 3,388 Ananas Plantain 40,000 40,000 44,032 44,532 46,548 48,814 50,072 Fruits, autres nd nd nd nd nd nd nd Source : Ministère de l agriculture et estimations INE Tableau 29: Elevage, effectif des espèces en fin de période (par tête) Bovins 343, , , , , , ,515 Ovins-caprins 336, , , , , , ,449 Porcins 238, , , , , , ,154 Volailles 1,077,332 1,131,199 1,187,759 1,247,147 1,309,504 1,374,980 1,443,729 Source : Estimations INE Tableau 30: Production d'eau et d'électricité Electricite (Bissau) en MWH 5,850 6,450 7,409 8,592 57,741 42,786 34,501 Eau (Bissau) en 1000m3 3,207 2,781 3,899 4,529 4,581 3,666 3,704 Source : EAGB

19 Tableau 31: Tableau des Operations Financières de l Etat (Millions de F CFA courants) Recettes totales 50,086 49,574 77,818 55,816 65,025 74,080 63,798 Recettes courantes 26,143 33,154 35,368 44,604 52,602 46,024 41,146 Recettes fiscales 20,915 20,915 20,915 20,915 20,915 20,915 20,915 Recettes non fiscales 12,239 12,239 12,239 12,239 12,239 12,239 12,239 Autres recettes Dons 23,943 16,420 42,450 11,212 12,423 28,056 22,652 Depenses totales et prets nets 54,443 49,266 61,658 83,517 83,493 86,993 76,618 Depenses courantes 41,125 45,967 45,593 50,120 54,650 62,732 50,051 Salaires 19,729 20,139 20,083 26,224 28,815 24,341 24,380 Achats de biens et services 7,924 9,024 6,770 8,619 7,500 12,316 8,913 Transferts 9,436 10,889 11,577 6,778 7,197 16,527 12,945 Autres depenses courantes 2,560 4,125 6,163 7,375 11,073 9,128 3,626 Interets 1,476 1,790 1,000 1, Depenses en capital 11,991 1,731 15,360 33,247 28,598 21,650 26,117 Autres depenses 1,358 1, Prets nets ,500 0 Solde global -4, ,160-27,701-18,468-12,913-12,819 Source : DGCP Tableau 32: Exécution du programme d'investissement public, par source de financement (Millions de F CFA courants) Financement exterieur 26,128 17,180 34,638 32,782 28,229 21,055 23,419 dons 21,605 17,151 33,602 27,867 21,196 15,945 17,516 emprunts 4, ,036 4,915 7,033 5,110 5,903 Financement interieur 1, , ,648 Total 27,310 17,364 35,704 32,782 28,407 21,055 26,067 Source : Ministère des finances Tableau 33: Dépenses courantes des administrations publiques Budget de fonctionnement 21,862 23,391 21,419 27,612 27,683 27,581 27,135 Salaires 14,808 15,012 15,136 19,665 21,081 16,224 18,771 Biens et services 7,054 8,379 6,283 7,947 6,602 11,357 8,364 Budget d'investissement 9,981 3,836 18,670 14,707 15,340 10,805 10,342 Salaires 1, ,754 5,529 5,295 1,853 2,301 Biens et services 8,311 3,187 12,916 9,178 10,045 8,952 8,041 Autres organismes de l'etat 2,168 2,226 2,118 2,118 4,904 5,193 3,263 Salaires Biens et services Sécurité sociale Salaires Biens et services Consommation de capital fixe (Amortizações) hors INSS (*) 16,404 16,533 18,158 18,538 19,361 19,480 11,805 CCF INSP(*) Source : Ministère des finances et INSS (*) Estimation de la consommation de capital fixe (CCF) et amortissement pour l INSS

20 Tableau 34: Balance des paiements résumée (Millions de F CFA courants) Balance commerciale -29,171-31,640-38,097-34,655-1,046-25,732-11,064 Exportations FOB 51,299 57,377 57,438 62, ,301 67,062 86,947 dont noix de cajou Importations FOB -80,470-89,017-95,535-97, ,347-92,794-98,011 Balance des services -16,693-18,541-25,378-29,003-25,879-25,947-29,235 Dont fret -11,272-12,653-12,698-13,584-15,754-14,807-15,200 Balance des revenus -4,669-6,577-5,197-1,144-8,734-16,864-16,216 Dont interets de la dette publique -4,772-6,318-5, Balance des transferts courants 35,929 43,883 46,251 29,752 29,129 26,045 34,551 Prives 18,929 15,183 15,095 15,544 11,815 14,134 14,550 Dont transferts des migrants Publics 17,000 28,700 31,156 14,208 17,314 11,911 20,001 Dont aide budgetaire Dont licences de peche Balance des transactions courantes -14,604-12,875-22,421-35,050-6,530-42,497-21,964 Compte de capital 15,389 16,468 33, ,580 26,958 15,863 12,300 Administrations publiques 15,352 16,410 32, ,600 25,700 15,900 12,000 Transferts de capital Remises de dette Autres secteurs , #DIV/0! Compte des operations financieres 13,260 10,257 7, ,233 8,671-1,689 13,464 Investissements directs 8,905 2,673 8,287 13,724 11,403 3,458 8,069 Investissements de portefeuille Autres investissements 4,355 7, ,913-2,716-5,147 5,395 Publics Prives Erreurs et omissions nettes -1, ,452-2,117-2,262-4,877 0 Solde global 12,087 14,665 13,743 12,180 26,770-33,200 10,000 Source : BCEAO

21 Tableau 35: Indice harmonise des prix a la consommation (Base=2008) INDICE GLOBAL Produtos alimentares Pão e cereais Carne Peixe Frutas Legumes Frescos Bebidas e Tabaco Vestuário e Calçado Habitação, Agua, Electricidade, Mobiliário, equipamentos domésticos Serviços de Saúde Transportes Communicacao Lazer, recreio e Cultura Educação Restaurantes e Hotéis Bens e Serviços diversos Source : INE Tableau 36: Statistique sur les noix de cajou Douanes Quantité(en tonne) Valeur(millions de F CFA) Prix unitaire (F CFA/kg) Bdp (millions de F CFA) Source : ANCA (en tonne) Producttion Noix de cajou Exports officielles Exports clando Transformation Stock Prix producteur (F CFA/Kg)

22 PUBLICATION DES COMPTES NATIONAUX DE 2011 ET 2012 INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE Reproduction autorisée avec l indication de source DIRECTION Carlos Mendes da Costa - Directeur Général Roberto Vieira Directeur de Service des Statistiques Economique et Financière Suande Camará Directeur du Service des Statistiques Démographiques et Social Braima Manafá Directeur du Service de Planification, Contrôle et Coopération Simão Semedo Directeur du Service de l Informatique António Fernandes Directeur du Service des Affaires Administratives et Financières LES TECHNICIENS DES COMPTES NATIONAUX Jaime Mango Isabel Mendes Naluak Chef de Département des Comptes Nationaux Chef de Département de Nomenclature Berzélio Rofino C. G. O. Minceu Technicien chargée des Statistiques des Administrations Publiques et des Entreprise Idílio Marciano Sousa Cordeiro - Technicien chargée des Statistiques du Commerce Extérieur et de la Balance des Paiements Baten Biague - Technicien chargée des Statistiques du secteur primaire, de l électricité et de l eau Abel Nancassa - Technicien chargée des Statistiques minières Fiche Technique Titre Les Comptes Nationaux 2011 et 2012 Editor Desenho Graphique Institut National de La Statistique Av. Amilcar Cabral N 37, CP n 6 Bissau Tel.: (+245) Web : www,stat-guinebissau,com Tirage 1 er Edition 200 exemplaire Assistance Technique AFRITAC de l Ouest

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de

Plus en détail

Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008

Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la

Plus en détail

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans

Plus en détail

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1. Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu

Plus en détail

Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC

Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des

Plus en détail

Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC

Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des

Plus en détail

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite

Plus en détail

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie

Plus en détail

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente

Plus en détail

Table des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1

Table des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle

Plus en détail

Impact économique du secteur des coopératives. George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University

Impact économique du secteur des coopératives. George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University Impact économique du secteur des coopératives George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University Tendances Les coopératives au Canada 350 300 250 200 150 100 50 0 Les coopératives en Nouvelle- Écosse

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements

La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses

Plus en détail

REPUBLIQUE DU BENIN. Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@

REPUBLIQUE DU BENIN. Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@ REPUBLIQUE DU BENIN Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@ DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES ECONOMIQUES -@@@ DIRECTION DE LA PREVISION

Plus en détail

ATELIER COMMERCE, INVESTISSEMENT ET DEVELOPPEMENT AU SENEGAL

ATELIER COMMERCE, INVESTISSEMENT ET DEVELOPPEMENT AU SENEGAL République du Sénégal Ministère de l Economie et des Finances 1 ATELIER COMMERCE, INVESTISSEMENT ET DEVELOPPEMENT AU SENEGAL Nature des interactions entre le commerce international et les IDE (complémentarité

Plus en détail

Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008

Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-

Plus en détail

Par Akoété Ega AGBODJI FASEG/Université de Lomé

Par Akoété Ega AGBODJI FASEG/Université de Lomé CSI- Afrique Renforcement des interventions dans le domaine de la politique économique et sociale Atelier de développement des compétences des chercheurs des syndicaux Session 6 Les méthodes et procédures

Plus en détail

RELEVÉ DES TRANSACTIONS ÉCONOMIQUES AVEC DES NON-RÉSIDENTS RTE

RELEVÉ DES TRANSACTIONS ÉCONOMIQUES AVEC DES NON-RÉSIDENTS RTE RELEVÉ DES S ÉCONOMIQUES AVEC DES NON-RÉSIDENTS RTE Nomenclature générale des codes de transactions à produire par les Déclarants Directs Généraux Pour application à compter du 1 er juillet 2012 15 décembre

Plus en détail

Comment utilisons-nous notre argent?

Comment utilisons-nous notre argent? Comment utilisons-nous notre argent? L'alimentation et le logement constituent les deux dépenses les plus importantes des ménages antillo-guyanais. C'est pour leur logement que les ménages dépensent le

Plus en détail

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire

Plus en détail

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC Le 2 décembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Introduction Mesures de relance économique Mesures visant l atteinte et le maintien de l équilibre budgétaire

Plus en détail

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE TOMINIAN

PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE TOMINIAN PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI ---------------------- Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ----------------------- Projet de Mobilisation des Initiatives

Plus en détail

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN

Plus en détail

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque

Plus en détail

REGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE DES RESSOURCES PPTE ET DES DONS BUDGETAIRES

REGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE DES RESSOURCES PPTE ET DES DONS BUDGETAIRES UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------------- LE CONSEIL DES MINISTRES REGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE

Plus en détail

TABLEAUX STATISTIQUES

TABLEAUX STATISTIQUES Continentalisation Cahier de recherche 9-9 Décembre 199 ----------------------------- COMMERCE, CROISSANCE ET EMPLOI : LE CAS DU MEXIQUE TABLEAUX STATISTIQUES Afef Benessaieh et Christian Deblock Groupe

Plus en détail

LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014

LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014 LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014 en quelques chiffres (Loi de finances initiale) Évaluation des recettes perçues par l État en 2014 (art. 60 de la loi de finances initiale pour 2014) RECETTES FISCALES

Plus en détail

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un

Plus en détail

Définition des variables présentées dans le RICA

Définition des variables présentées dans le RICA Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ Mars 2014 Table des matières Sigles et abréviations...3 Avant-propos...6 1. INTRODUCTION...9 2. METHODOLOGIE... 10

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du

Plus en détail

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1 Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada

Plus en détail

TD n 1 : la Balance des Paiements

TD n 1 : la Balance des Paiements TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.

Plus en détail

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier. Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage

Plus en détail

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation

Plus en détail

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture

Plus en détail

PERSPECTIVES ECONOMIQUES DES ETATS DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE EN 2010

PERSPECTIVES ECONOMIQUES DES ETATS DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE EN 2010 PERSPECTIVES ECONOMIQUES DES ETATS DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE EN 2010 VULNERABILITE DES COMPTES COURANTS DANS LE CONTEXTE DE LA CRISE FINANCIERE INTERNATIONALE TABLE DES MATIERES

Plus en détail

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Panorama élaboré à partir d une étude Ernst & Young pour la MDER mai 2004 Sommaire Organisation de la filière en PACA p. 3 Chiffres clés p. 4 Productions

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

Les opérations et autres flux

Les opérations et autres flux Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1

Plus en détail

Les aliments qui guerissent

Les aliments qui guerissent pomme Protège le abricot artichaut Aide la avocat banane Protège le fève betterave Contrôle la bleuet Le aliments qui guerissent Les aliments qui guerissent Contrôle la Combat la diarrhée capacité des

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à

Plus en détail

Ak k a Ai t El Mekki. E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s

Ak k a Ai t El Mekki. E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s Les Monographies du CIHEAM Edition 2008 L agriculture, l agro-alimentaire, la pêche et le développement rural Ak k a Ai t El Mekki E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s Cette

Plus en détail

Réduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009?

Réduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009? Note expresse N 61 juin 2009 Réduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009? Moteur essentiel du dynamisme économique réunionnais, la commande publique a contribué

Plus en détail

CONSOMMATION FINALE. Matérialité de l usage. Productivité de l usage. Effet de l usage. Satisfaction. Usage d un bien SANS effet productif ultérieur

CONSOMMATION FINALE. Matérialité de l usage. Productivité de l usage. Effet de l usage. Satisfaction. Usage d un bien SANS effet productif ultérieur CONSOMMATION FINALE Matérialité de l usage Productivité de l usage Effet de l usage Usure d un bien Usage d un bien SANS effet productif ultérieur Satisfaction Gaspillage Champagne School of Management

Plus en détail

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine 1 SOMMAIRE I. INTRODUCTION... 3 1.1 Les indicateurs de la santé financière d'une

Plus en détail

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3 Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE Juin 2014 1 TABLE DES MATIERES Résumé... 5 INTRODUCTION...

Plus en détail

Pour une meilleure adéquation emploi / formation dans le secteur agroalimentaire au Burkina Faso

Pour une meilleure adéquation emploi / formation dans le secteur agroalimentaire au Burkina Faso MINISTERE DES ENSEIGNEMENTS SECONDAIRE ET SUPERIEUR BURKINA FASO -------------------------- Unité - Progrès - Justice Pour une meilleure adéquation emploi / formation dans le secteur agroalimentaire au

Plus en détail

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010 75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en

Plus en détail

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget

Plus en détail

3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques

3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques 3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par

Plus en détail

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique

Plus en détail

du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI

du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste

Plus en détail

Plan comptable 1 et 2 Comptes de Bilan. 3 à 7 Comptes d Exploitation

Plan comptable 1 et 2 Comptes de Bilan. 3 à 7 Comptes d Exploitation Cours 4 (STS, J.-M. Schwab) Plan comptable 1 et 2 Comptes de Bilan 1 Actifs 10 Actifs mobilisés 11 Actifs immobilisés 15 Comptes de régulation de l actif (Actifs transitoires) 2 Passifs 20 Capital étranger

Plus en détail

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité. Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes

Plus en détail

Royaume du Maroc المرجع :

Royaume du Maroc المرجع : المملكة المغربية Royaume du Maroc المرجع : a présente note méthodologique reprend les nouvelles recommandations internationales mises en œuvre par le Maroc, pour l établissement de la balance des paiements

Plus en détail

RÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015

RÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015 LE RÉSEAU DES SERVICES DE COMPTABILITÉ ET DE FISCALITÉ DE L'UPA RÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015 AVIS Prenez note que les mesures fiscales du budget du Québec ne sont pas

Plus en détail

Les comptes nationaux et le SEC 2010

Les comptes nationaux et le SEC 2010 Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets

Plus en détail

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite) Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,

Plus en détail

L industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014

L industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014 L industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014 Introduction L économie canadienne est tributaire des exportations, en particulier dans les secteurs agricoles et

Plus en détail

PRODUITS D EXPLOITATION

PRODUITS D EXPLOITATION RESULTATS FINANCIERS Les principaux résultats financiers de l exercice 2012 ont enregistré une nette augmentation par rapport à l année 2011 due essentiellement à la hausse du prix de vente moyen du brut

Plus en détail

LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS

LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

Inventaires des méthodes d estimation du PIB suisse

Inventaires des méthodes d estimation du PIB suisse Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS Economie 04 Comptes nationaux Mars 2013 Inventaires des méthodes d estimation du PIB suisse Renseignements: Fabrice Jacolet,

Plus en détail

Plan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion

Plan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion Plan I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion 2 I)Mise en contexte Les politiques de développement axées sur la réduction

Plus en détail

Banque de la République d Haïti. Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000

Banque de la République d Haïti. Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000 Banque de la République d Haïti Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000 Table des matières Avertissement...5 I- Statistiques monétaires et financières Tableau 1.1 Principaux indicateurs monétaires...10

Plus en détail

NOTE TRIMESTRIELLE SUR LES STATISTIQUES DU COMMERCE EXTÉRIEUR

NOTE TRIMESTRIELLE SUR LES STATISTIQUES DU COMMERCE EXTÉRIEUR Institut National de la Statistique et de la Démographie NOTE TRIMESTRIELLE SUR LES STATISTIQUES DU COMMERCE EXTÉRIEUR Deuxième trimestre 2014 Août 2014 INSD, Avenue Pascal ZAGRE, Ouaga 2000, 01 BP 374

Plus en détail

Trébeurden Synthèse financière

Trébeurden Synthèse financière Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,

Plus en détail

Les Politiques macro-économiques

Les Politiques macro-économiques Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à

Plus en détail

DEVOIR N 1 économie générale

DEVOIR N 1 économie générale PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le

Plus en détail

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIEME LEGISLATURE. Déposée le 18 février 2013 PROPOSITION DE LOI

ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIEME LEGISLATURE. Déposée le 18 février 2013 PROPOSITION DE LOI ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIEME LEGISLATURE Déposée le 18 février 2013 PROPOSITION DE LOI visant à rendre obligatoire l indication du pays d origine pour les produits agricoles

Plus en détail

Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo

Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE Secrétariat Général PROGRAMME NATIONAL DES COMPTES NATIONAUX DE LA SANTE «PNCNS» Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo Pr ELOKO

Plus en détail

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2005-2009) SICTOBA. Mai 2010

ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2005-2009) SICTOBA. Mai 2010 ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE () SICTOBA Mai 2010 Pascal HEYMES Stratorial Finances Agence de Montpellier 2, rue des Arbousiers 34070 MONTPELLIER Tél. : 04 99 61 47 05 - Fax : 04 99 61 47 09 www.stratorial-finances.fr

Plus en détail

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des

Plus en détail

Hausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques

Hausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques Bureau fédéral du Plan Avenue des Arts 47-49, 1000 Bruxelles http://www.plan.be WORKING PAPER 11-09 Hausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques

Plus en détail

diffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique

diffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique les services d'orange pour l agriculture en Afrique ce catalogue a pour objectif d éclairer sur les méthodes développées par Orange pour améliorer la productivité dans le monde rural 2 sommaire 1 2 3 l'apport

Plus en détail

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Jean-Christophe BERGE Tél : 01 55 34 40 13 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : jcberge@fcl.fr Ville de Gisors 24 juin 2014 87 rue St-Lazare

Plus en détail

PLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE

PLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE

Plus en détail

REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION

REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET

Plus en détail

Accès au financement pour la mise en valeur de cultures de diversification dans les régions de caféiculture CFC/ICO/30 (AEP : FGCCC/OCIBU)

Accès au financement pour la mise en valeur de cultures de diversification dans les régions de caféiculture CFC/ICO/30 (AEP : FGCCC/OCIBU) PJ 39/12 Add. 1 (F) 21 septembre 2012 Original: anglais F Comité des projets Conseil international du Café 24 28 septembre 2012 Londres, Royaume Uni Résumé du rapport de situation soumis par les Agences

Plus en détail

Un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner!

Un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre des petits chefs : un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre

Plus en détail