LA GROSSESSE EXTRA-UTERINE
|
|
- Mathilde Laperrière
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA GROSSESSE EXTRA-UTERINE Dr Amouri.H, DR Ben Ali I, Pr Ag Guermazi M Service de gynécologie obstétrique de Sfax Année universitaire :
2 LA GROSSESSE EXTRA UTERINE GEU Public cible Étudiants 4ème année médecine Les élèves sage femme Les objectifs éducationnels Définir une GEU Réunir les facteurs de risque de la GEU Décrire les signes évocateurs d une GEU non compliquée Diagnostiquer une GEU rompue Exposer les différents moyens thérapeutiques et leurs indications respectifs Assurer les premiers gestes d urgence devant une suspicion d une GEU 2
3 I/ INTRODUCTION - DEFINITION - Définition : La GEU est l'implantation, hors de la cavité utérine du trophoblaste. - C est une urgence diagnostique et de prise en charge - Augmentation de sa fréquence: lié à l'augmentation des salpingites, des infections sexuellement transmissibles des méthodes de procréation médicalement assistée. - GRAVE : première cause de mortalité maternelle au premier trimestre dans les pays en voie de développement (rupture de la GEU) - Toujours à évoquer devant des métrorragies ou algies pelviennes chez la femme en période d activité génitale - Apparition de nouveaux moyens de diagnostic : l'échographie vaginale et le dosage plasmatique des βhcg permettant un diagnostic précoce, évitant les formes cataclysmiques menaçant le pronostic vital. - Traitement : chirurgical en premier lieu, mais possibilité d'un traitement médical dans les formes précoces - la GEU joue un rôle important dans l infertilité de la femme. II/ EPIDEMIOLOGIE 1) Fréquence La GEU représente 1 à 2 % des grossesses Sfax : 0,43% des accouchement en 2005 Séries tunisiennes : 0,3-0,6% des accouchements 2) Facteurs de risque -Séquelles inflammatoires d'infection génitale haute (chlamydiae trachomatis ou de tuberculose). - Une endométriose tubaire. - Malformation congénitale tubaire. - Chirurgie abdomino-pelvienne et plastie tubaire - ATCD de GEU. - Les progestatifs microdosés en prise continue augmentent le risque de GEU en raison de leur action inhibitrice sur les contactions musculaires tubaires. - Les DIU multiplient par 10 le risque de GEU (lésions de salpingites) 3
4 - Induction de l'ovulation : 3 % de GEU - La FIV : 5-10 % des GEU - L'âge avancé - Le tabagisme En pratique il faut distinguer 2 groupes de GEU * La GEU maladie, qui survient dans le cadre des lésions tubaires chez la femme âgée dés la première grossesse, ou ayant des difficultés à concevoir. Elle est de mauvaise pronostic. La récidive est fréquente et les chances de maternité sont minimes. * La GEU «accident» survient chez une femme qui a déjà des enfants, qui ne présente apparemment aucune cause ou lésion et qui garde intacte ses possibilités de procréation. III/ PHYSIOPATHOLOGIE La GEU résulte d'un * Retard de captation embryonnaire : la fécondation ait lieu dans le cul de sac de douglas par défaut de captation de l' ovocyte au moment de l'ovulation expliquant les GEU non tubaires : ovariennes ou abdominales. * Retard de migration : la trompe n'assure pas son rôle de transport de façon correcte de tel sorte qu'au 4 à 5 J après l'ovulation, l'oeuf est toujours dans la trompe. * Reflux tubaire : le blastocyste après avoir atteint la cavité utérine est rejeté dans les trompes, soit par suite d'anomalies hormonales, soit lors des FIV. IV/ ANATOMOPATHOLOGIE 1) Localisation la localisation tubaire est la plus fréquente (98 %) - 70 % : ampullaire, la rupture est tardive et précédée de signes cliniques % : pavillon, son évolution se fait vers l'avortement tubo-abdominle et parfois la guérison. 4
5 - 25 % : Isthme, l'évolution se fait rapidement vers la rupture hémorragique. - Les autres localisations sont rares : interstitielle ou intra murale, l'évolution vers la rupture très hémorragique de la corne responsable. infandibulaire, l'évolution se fait vers la guérison spontanée ou avortement tubo-abdominal. La nidation peut avoir lieu sur un ovaire (0.7 %), dans l'abdomen, ou exceptionnellement sur le col : 2) Aspect a) Macroscopie: Elle réalise une voussure ovoïde, rouge, foncée, violacée, siégeant sur la trompe. 5
6 b) microscopie : le processus de nidation est le même au niveau de la trompe qu'au niveau de l'utérus. la musculature est amincie, érosion des vaisseaux de la membrane qui nourrissent l'œuf. L'utérus grossit peu et sa muqueuse subit une transformation déciduale V) ETUDE CLINIQUE Le diagnostic clinique de la GEU reste difficile, car absence de parallélisme anatomo-clinique. C `est une pathologie polymorphe et trompeuse. TDD : Hématosalpix à son stade de début 1) Signes cliniques a) Signes fonctionnels - Retard des règles (aménorrhée dans 63% des cas) - Douleurs hypogastriques basses, volontiers unilatérales à type de colique ou de torsion, accompagnées de lipothymie (96%). - Des métrorragies (83%) peu abondantes faites de sang noirâtres sépia. - Signes sympathiques de grossesse : inconstant b) L'interrogatoire : précise - Les ATCD - La date des dernières règles - les facteurs de risque : ATCD d'ivg, traitement pour stérilité, GEU antérieur.. - Les signes fonctionnels. c) L'examen - Spéculum : col rarement violacé, mou, le saignement ayant pour origine l' endocol. - Le TV : apprécie le volume utérin, habituellement plus petit que ne le voudrait l'âge gestationnel. On recherche une masse latéro utérine mobile, électivement douloureuse. La masse latéro utérine est rarement mise en évidence dans cette forme de début, il faudra donc s'attacher à rechercher une perte de la souplesse ou une sensibilité d'un CDS vaginal. - Le ventre respire bien, la palpation est légèrement douloureuse, mais sans défense. 6
7 2) Les examens complémentaires a) Les HCG En cas de GEU, le taux est toujours positif et disparate. Le taux d'hcg n'a de valeur que s'il est négatif : le diagnostic de GEU est à priori exclu. S'il est positif, il confirme la présence de trophoblaste sans pouvoir préciser sa localisation ni son âge, ni son évolutivité ou non b) L'échographie * * les signes utérines dans la GEU l'utérus ne contient pas de sac ovulaire et les parois antérieurs et postérieurs de l'utérus sont accolées. Cependant, l'utérus peut contenir des échos intra-utérine qui peuvent correspondre à des caillots plus des débris de caduque. On peut voir aussi une image liquidienne très ronde sans épaississement qui peut être un pseudo sac, formé par le décollement de la caduque. * * les signes latéro-utérines il est parfois possible de voir un sac latéro utérin. Parfois l'embryon est visible avec une activité cardiaque + le diagnostic est alors certains. Souvent on ne voit qu'une masse inhomogène latéro utérine de tonalité voisine de l'utérus, ** les signes péritonéaux l'épanchement liquidien dans le CDS de douglas n'est pas constant mais s'il est présent, il est évocateur de diagnostic. Sac gestationnel( ) extra utérin( ) 7
8 c) La ponction du douglas faite sous anesthésie générale. N'a de valeur que s'elle est positive et ramène une seringue de sang incoagulable, franchement positive. d) La coelioscopie Elle à un rôle diagnostique en montrant la GEU mais aussi pronostique et thérapeutique. e) La NFS + GsRh et RAI Retentissement du saignement, nécessité de transfusion?, bilan d'opérabilité VI) FORMES CLINIQUES 1) Forme d'extrême urgence : l'inondation péritonéale il s'agit d'une extrême urgence diagnostique et thérapeutique. Le plus souvent il s'agit d'une femme jeune qui a ressenti une douleur hypogastrique brutale, atroce, rapidement suivie d'épisodes de syncopes. L'examen général met en évidence un état de choc en rapport avec l'anémie aigue. L'abdomen est parfois ballonnée, à la palpation on perçoit une défense pariétale et la percussion peut mettre en évidence une matité des flancs. Le TV provoque le cris de douglas. L'échographie met en évidence un hémopéritoine abondant, rarement la grossesse ectopique. Immédiatement : hospitalisation, GS Rh, bilan standard, réanimation et transfusion et laparotomie en urgence (en parallèle) 8
9 GEU droite rompue GEU droite rompue Cris du douglas 2) L'hématocèle enkysté C'est une forme rare. Elle est le résultat d'une évolution longue. La patiente se présente avec un abdomen douloureux et une défense modérée limitée à la zone ombilicale. Les touchés pelviens déclenchent le cris de douglas et retrouvent un douglas qui bombe dans le vagin. L'échographie confirme la présence d'un épanchement liquidien ou d'une masse mal limitée dans le douglas. L'intervention s'impose. 3) Formes atypiques 9
10 a) formes pauci-symptomatiques la triade classique douleurs, métrorragies, masse annexielle n'est alors retrouvé que dans 45 % des cas. les métrorragies manquent 1/5. le retard des règles fait défaut 1/3 Les métrorragies peuvent survenir au moment des règles même plus tôt. La perception de la masse latéro-utérine manque une fois sur 2. b) formes pseudo-abortives le diagnostic peut être évoqué devant un avortement peu hémorragique, à col fermé avec aspect de pseudosac. c) formes pseudo-inféctieuses syndrome douloureux et fébrile du pelvis + métrorragies Le diagnostic repose sur les HCG + coelioscopie d) association grossesse extra et intrautérine appelée grossesse hétérotopique se voit surtout après traitement par inducteurs de l'ovulation (1/ grossesse) e) GEU après IVG après l'aspiration, la femme ressent des douleurs pelviens et des métrorragies Le diagnostic repose sur le dosage des HCG qui sont très positives, l échographie et la coelioscopie f) grossesse abdominale au delà du 5 mois - Douleurs abdominale lors des mouvements foetaux - Les métrorragies sont possibles - L'examen est peu concluant : la palpation perçoit directement le foetus sous la peau sans interposition du myométre. Au TV : masse ronde ferme contractile ( l'utérus est non gravide) - l'écho peut montrer un foetus vivant, au milieu des anses grêles et un utérus vide. Dans ce cas la laparotomie s impose. VII DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS 1- Devant des BHCG positives 10
11 Fausse couche spontanée Grossesse intra utérine débutante 2- Devant des BHCG négatives Rupture héorragique du corps jaune Salpingite Torsion d annexes Toutes les causes d algies pelviennes ou de métrorragies chez la femme en activité génitale VIII) TRAITEMENT : c'est une urgence Il à beaucoup évolué, les objectifs du traitement sont: supprimer la GEU, préserver la fertilité, limiter les risques de récidives et réduire au maximum la morbidité thérapeutique C'est une urgence diagnostique et thérapeutique 1 ) Les méthodes a) la chirurgie conventionnelle - Traitement radical par salpingectomie (on enlève toute la trompe) - Traitement conservateur par expression tubaire ou par césarienne tubaire. GEU traitée radicalement par laparotomie b) la coeliochirurgie 11
12 est actuellement le traitement habituel - Soit conservateur : césarienne tubaire : incision de la trompe, extraction de la GEU et toilette péritonéale - Soit radical : salpingectomie ces techniques facilitent les suites opératoires, diminuent les adhérences post opératoires et abrégent la durée d'hospitalisation. Traitemnt conservateur par coelioscopie c) les traitements médicaux permettent d éviter les risques liés à l anesthésie et à la chirurgie nous utilisons le Méthotrexate* par voie générale : cet antimitotique bloque le développement du trophoblaste qui se résorbe spontanément. Le protocole du service est une injection unique en IM de 1 mg/kg avec dosage des BHCG à j4 et J7 IL y a échec du traitement médical si βhcg n ont pas de 15% à j7 par rapport à J4, et dans ce cas 2ème injection la chute puis la négativation du taux des HCG confirme la guérison. * le Méthotréxate peut être injecter dans le sac ovulaire ectopique (injection in situ) d) l'abstention thérapeutique peut se justifier chez une femme très coopérante qui se fait suivre et si le taux des βhcg est inférieur à 500UI/ml et décroît spontanément car une proportion des GEU guérissent spontanément. 2) Les indications 12
13 a) la laparotomie garde encore certaines indications * la rupture cataclysmique de GEU avec état de choc hémorragique * Les femmes très obèses ou avec pelvis très adhérentiel. * L'absence de matériel adéquat ou de pratique de la coeliochirurgie b) la coeliochirurgie est dans les pays développés le traitement habituel de 95 % des GEU. En cas de traitement conservateur: une surveillance post opératoire du taux d'hcg est indispensable. Ce taux doit franchement baisser à 48h. La salpingectomie est indiquée quand l'hématosalpinx fait plus de 6 cm, l'état tubaire est très mauvais et laisse penser qu'il aura une récidive et si l'hémostase est impossible. c) le traitement par Méthotréxate par voie locale ou générale prend de plus en plus de place. Il peut être proposé si certaines conditions sont présent (le diagnostic ne fait aucun doute, le sac est bien visible en échographie < 3cm, la patiente accepte à se soumettre à une surveillance stricte..) d) l'abstention thérapeutique peut être proposée dans certains cas à conditions que le taux des HCG soitt inférieur à 500UI/ml. La surveillance se fera par la clinique, échographie, dosage des HCG plasmatiques/3à 4j jusqu'à négativation 3) Après l'intervention Proposer une contraception efficace par oestro- progestatifs pendant quelques mois. Le DIU et les microprogestatifs sont contre indiqués Echographie précoce lors de la grossesse ultérieure à la recherche de récidive. IX) PRONOSTIC La GEU reste encore une cause de mort maternelle. L'avenir obstétrical des femmes opérées pour GEU peut être compromis : problème de stérilité et de récidve 50 % restent stériles involontairement 30 % auront des enfants 15 % seconde GEU 13
14 Après chirurgie conservatrice, le taux de grossesse est de 35%, le taux de récidive est de 9%. X- CONCLUSION Penser à la GEU devant dés métrorragies et/ou douleurs pelviennes chez toute femme en âge de procréation. Urgence diagnostique et thérapeutique Trépied diagnostic:clinique, BHCG et écho Coelioscopie: traitement de référence EVALUATION Quelles sont les méthodes contraceptives contre indiquées en cas d'antécédent de grossesse extra utérine A. La pilule minidosée B. La pilule normodosée C. Le stérilet en cuivre D. La pilule microdosée E. Le préservatif masculin Réponse: C-D Les signes échographiques en faveur d une G.E.U sont A. Un utérus vide B. L absence de corps jaune C. Une masse annexielle hétérogène D. Une petite lame d épanchement dans le douglas E. Un écho intra-utérin sans sac 14
15 Réponse: A-C-D-E Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui constituent des facteurs de risque de la GEU A. La fécondation in vitro. B. La contraception par oestro-progestatifs. C. L antécédent d infection génitale haute. D. Le tabagisme. E. L antécédent de chirurgie abdominale ou pelvienne Réponse: A-C-D-E Parmi les théories physiopathologiques de la GEU, on retient: A. Retard de fécondation. B. Retard de captation embryonnaire. C. Retard de migration. D. Retard de nidation. E. Reflux tubaire Réponse: B-C-E La grossesse extra-utérine est A. L implantation du trophoblaste en dehors de la cavité utérine B. Souvent asymptomatique C. Une prolifération anormale du trophoblaste D. De localisation tubaire dans la majorité des cas E. Une grossesse qui peut évoluer à terme Réponse: A-D 15
Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailinfo ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane
Roaccutane isotrétinoïne Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane info ROACCUTANE RM SM MANAGEMENT Programme de prévention de la grossesse SOMMAIRE 3.
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailLa planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule
La planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule Fistula Care à EngenderHealth 440 Ninth Avenue, 13th Floor New York, NY, USA 10001 Tel: 212-561-8000 E-mail: fistulacare@engenderhealth.org
Plus en détailTraiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir
Traiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir Ce pamphlet contient des informations générales que vous devriez connaître avant de traiter une fausse couche avec du misoprostol. Quand
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailcomprimé pelliculé? Si votre médecin vous a informée d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament.
Désogestrel Biogaran 75 µg, comprimé pelliculé. Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si
Plus en détailETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION
ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION INTRODUCTION Autrefois, l'avortement était prohibé par l'apanage des familles nombreuses et par l'influence de l'église qui classaient la contraception au rang de délit.
Plus en détailMais pourquoi je ne suis pas enceinte?
Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailCONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE
CONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE Présenté par JAOUEN Léna DIU Suivi gynécologique LE SCANFF Ghislaine DIU Périnalité Addictions Contraception du post-partum Une constatation: 5 % des
Plus en détailIl importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au
Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement
Plus en détailLa mienne est. La mienne est. en comprimés
La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est sans ordonnance La mienne dure 3 ans La mienne n est pas contraignante La mienne est remboursée La mienne est en
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailda Vinci Pontage gastrique
da Vinci Pontage gastrique Une nouvelle approche de la chirurgie bariatrique Êtes-vous intéressé par la dernière option de traitement de l'obésité? Votre docteur peut vous proposer une nouvelle procédure
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailLes cancers de l appareil génital féminin
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009
Plus en détailCet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance
Faut-il coelioscoper les adolescentes? Patrick Madélénat Juin 2008 La difficulté de vivre avec une endométriose est admise de toutes celles qui en souffrent. En parallèle la difficulté de son traitement
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailCet article a été transmis par le Pr Madélénat à l association EndoFrance pour une utilisation qui lui réservée
PRISE EN CHARGE DE L'ENDOMETRIOSE Patrick Madélénat Hôpital Bichat Juin 2007 L'endométriose est une maladie difficile. Avant tout elle est difficile à vivre pour celles qui en souffrent, mais elle est
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailBienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons
Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Le centre hospitalier Ambroise Paré collabore depuis de nombreuses années avec les Cliniques Universitaires de Bruxelles Hôpital Erasme pour vous permettre
Plus en détailLes maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)
Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui
Plus en détailGONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailItem 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailL endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes
L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailInterruption volontaire de grossesse
Interruption volontaire de grossesse Dossier - guide La loi - les principales dispositions Avant l IVG : les démarches à entreprendre L interruption de la grossesse La contraception après une IVG Sommaire
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailSERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE
1 TABLE DES MATIERES 1. Un petit mot d introduction 2. En quoi consiste le don d ovocyte? 3. A qui s adresse le don d'ovocyte? 4. Les différents types de don d ovocyte A. Le don anonyme B. Le don dirigé
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailPourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?
Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»
Plus en détailIncontinence urinaire : trop souvent taboue
Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :
Plus en détailJFM. 7èmes journées franco-marocaines de. Gynécologie, Obstétrique et Fertilité. Marrakech. 17, 18 et 19 mai 2012. www.lesjfm.com
JFM 2012 7èmes journées franco-marocaines de Gynécologie, Obstétrique et Fertilité Marrakech 17, 18 et 19 mai 2012 Président des 7 èmes jfm : Pr. Léon Boubli (Marseille) Coordination scientifique et organisation
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détailQUESTIONNAIRE MÈRE AYANT UN BÉBÉ MOINS DE 6 MOIS
QUESTIONNAIRE MÈRE AYANT UN BÉBÉ MOINS DE 6 MOIS Numéro questionnaire : Région : District : Commune /quartier : Nom de l enquêteur : Date de l enquête : Signature : I. INTRODUCTION: Je vais vous poser
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailLa mienne est. en comprimés
La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est La mienne sans ordonnance dure 3 ans La mienne n est La mienne est pas contraignante hebdomadaire La mienne est
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailwww.drfadisleilati.com
www.drfadisleilati.com Plan Les produits de comblements Les accidents Inflammatoires/Infectieux Granulomes/Suppurations Hypothèses pathogéniques Traitement Prévention Conclusions Les Produits de Comblement
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détailLa grossesse. UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions. Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014
La grossesse UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014 Plan La fécondation Le diagnostique de la grossesse La vie embryonnaire et foetale
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailLITHIASE URINAIRE USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091. Uroscan. Rx abdominal
USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091 Catégorie de personnes visées : usager pour lequel un diagnostic clinique de lithiase urinaire a été évoqué par son médecin traitant Indication : répondre
Plus en détailP.S.E. 1 ère situation d évaluation
Lycée X Ville Session 201 P.S.E. 1 ère situation d évaluation Première Bac Professionnel Spécialité du diplôme Académie de Nancy-Metz Durée : 55 minutes NOM :. Prénom :. NOTE : / 18 NOTE : / 09 FOLIO :
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailGyselle 20/30 SPIRIG HEALTHCARE
Gyselle 20/30 SPIRIG HEALTHCARE OEMéd Qu est-ce que Gyselle 20/Gyselle 30 et quand doit-il être utilisé? Gyselle 20/Gyselle 30 est un médicament anticonceptionnel hormonal, appelé contraceptif oral ou
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailLE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport
LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détail