LE RISQUE INFECTIEUX : INFORMER

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1 Bienvenue à tous! 1

2 LE RISQUE INFECTIEUX : INFORMER POUR PRÉVENIR Nicole JEZEQUEL : Cadre Supérieur de Santé, Hygiéniste Centre hospitalier Le Valmont Nathalie ARMAND : Pharmacien Hygiéniste Centre Hospitalier de Valence 2

3 Infections nosocomiales en France faits et chiffres 15 millions d hospitalisation / an Évènements indésirables patient sur 10 50% évitable Infections nosocomiales 7% des hospitalisations 4000 décès / an Augmentation des coûts : 460 millions d Directs : durée de séjours, charge en soins, examens de laboratoires, traitements Indirects : perte de productivité et de revenus, invalidité, conditions d existence Frais d assurance : établissements et professionnels 3

4 Infection Nosocomiale (IN) / Infection Associée aux Soins (IAS) Infection associée à la prise en charge d un patient Ni présente ni en incubation lors de la prise en charge Facteurs favorisants : environnement, acte de soins, état pathologique Si statut infectieux inconnu, délai d' au moins 48 h après début de prise en charge Peut se déclarer après la sortie Concerne : patient, professionnel, visiteur = évènement indésirable associé aux soins 4

5 Infection Nosocomiale (IN) / Infection Associée aux Soins (IAS) IAS IAS EHPAD IAS soins infirmiers domicile IAS cabinet Dentaire Médical IN ES de santé HAD 5

6 Chaîne de transmission source ou réservoir agent infectieux X porte de sortie transmission directe ou indirecte vecteur X porte d entrée prévention possible à tous les niveaux de la chaîne épidémiologique hôte

7 Le réservoir le plus important : Le réservoir humain! le malade lui même: réservoir endogène son entourage: réservoir exogène

8 Mais aussi l environnement air, eau, aliments, plantes, surfaces Dispositifs médicaux Malades Soignants, visiteurs

9 Hôte réceptif Caractéristiques de l hôte Etat immunitaire altéré du à : L âge La maladie, l immunodépression, les antécédents d hospitalisation, la dénutrition ou l obésité Les traitements Pathologie lourde Présence d une porte d entrée liée à : Acte invasif (SAD, cathéter, intubation ) Blessure, lésion intervention chirurgicale

10 Principale voie de transmission 10

11 Mais aussi Diapositive empruntée à JC Cêtre 11

12 12

13 Indicateurs Mesurer des actions et des résultats dans le domaine de la Lutte contre les IAS Nationaux Tableau de Bord : ICALIN, ICSHA, ICATB, SURVISO, SARM (score agrégé: 40%ICALIN, 30%ICSHA, 20%ICATB, 10%SURVISO) Internes Résultats de surveillance, de signalement, de consommation, AES, professionnels formés

14 Instance de consultation et de suivi Comité de lutte contre les infections associées aux soins (CLIN) Coordination et animation des actions des professionnels de santé Programme d'actions et indicateurs Rapport d'activité annuel Composition adaptée à chaque secteur de soins Participation des représentants des usagers 1x/an Remplacé par la SCQSS (Sous commission de la CME)

15 Equipe Opérationnelle d'hygiène Aide à la définition du programme Mise en oeuvre du programme Élaboration et mise en application des protocoles (soins et environnement) Formation et mise en place d'un réseau de correspondants Surveillance des IAS Infectiovigilance au quotidien Gestion des alertes sanitaires, environnementales Evaluation des actions : visites de risques, audits ciblés sur pratiques

16 Programme Prévention du Risque Infectieux EHPAD Pilote Équipe mobile d hygiène EHPAD non rattachés à un établissement de santé Drôme Ardèche Nord et centre Règlementation non développée en matière de PRI Missions État des lieux Plan d actions Organisation Prévention Formation / information Évaluation Surveillance Gestion d alertes sanitaires et / ou environnementales Tutorat Évaluations annuelles Extension du programme Sud des départements Poursuite du financement 16

17 Charols Charols Allan Allan Tulette Tulette EHPAD en convention - Ardèche et Drôme

18 Programme EHPAD Coordination: groupe des médecins coordonnateurs Rédaction de protocoles d antibiothérapie Réflexion sur la vaccination Formations : résistance des bactéries, bonnes pratiques de prescriptions antibiotiques Bilans d activité Tableau de bord : ICALIN, ICSHA, taux de vaccination Satisfaction des EHPAD 18

19

20 Épidémies en EHPAD Une réalité 20

21 21

22 Norovirus : carte d identité Virus non enveloppé - 20 à +60 C 10 ppm de Cl ph 5 souches 3 humaines (GI, GII, GIV) Pour chaque souche, des mutations de l ARN viral Survie dans l environnement Dose infectante faible 10 à 20 particules 22

23 Immunité Présence d anti-corps exposition fréquente à la même souche de 8 semaines à 6 mois Susceptibilité génétique Portage sain 23

24 GEA à norovirus Incubation courte 12 à 48 h Populations cibles <5 ans >65 ans Durée des signes cliniques fonction de l âge 1 à 3 j adulte sain 4 à 6 j jeunes enfants, personnes âgées 24

25 Transmission Personne à personne oro-fécale : aérosols issus des vomissements exposition indirecte à l environnement Surfaces contaminées Alimentaire professionnel : toxi-infections alimentaires collectives déchets humains (huîtres, fraises) Eau fuites fosses sceptiques ou eaux usées ; rupture de chloration eaux de loisirs ou de consommation 25

26 26

27 Quelques chiffres (norovirus) France 2012 (InVS) 207 foyers de GEA signalés 73,4% des prélèvements positif à norovirus EHPAD Année Episodes (norovirus) 3 5 (4) 6 (1) 11(2) Résidents Taux (décès) d attaque de 4% 40 à 56,1% chez les 120 résidents 90 (1) 284 (3) Professionnels Taux d attaque de 12% à 70% chez les résidents (tous épisodes confondus) 27

28 Quelques chiffres France 2012 (InVS) 2,5 millions de personnes, 4000 à 6000 DC / an Les plus de 65 ans 50% des cas graves admis en réanimation 90% décès liés à la grippe 944 foyers d IRA signalés en collectivités de personnes âgées 37% des prélèvements positifs pour la grippe EHPAD Année Episodes IRA (grippe) 1(1) (5) Résidents (décès) Professionnels 13 0 Taux d attaque de 8% à 50% chez les résidents en (6) 27 28

29 29

30 30

31 Myxovirus influenzae : Carte d identité Virus enveloppé Fragile: dessication, chaleur, détergents Survie dans l environnement 3 types Au moins 35 j à basse température 6j à 37 C A : pandémique, réservoir humain et animal B : épidémique, réservoir humain C : cas sporadiques, réservoir humain Fréquentes mutations génétiques du virus 31

32 Grippe Incubation 1 à 3 jours (jusqu à 7j) Contagiosité Veille des signes cliniques jusqu à J7 Maximale à J+3 Symptômes d apparition brutale Fièvre Fatigue Courbatures Maux de tête, toux rhinorrhée 3 à 7 j Risque de complications chez la personne âgée Surinfections bactériennes 32

33 UN EXEMPLE DE TRANSMISSION 1098 CID 2003:37 (15 October) HEALTHCARE EPIDEMIOLOGY 33

34 34

35 Transmission Diapositive empruntée à JC Cêtre 35

36 Nous vous demanderons donc: 36

37 C est l histoire de Roger, ancien SDF qui habite l EHPAD du village, Roger fréquente assidûment le bar du village et Josette une autre résidente. Depuis toujours, il se gratte mais un peu plus ces derniers temps; surtout le soir. Lundi, en sortant du bar, il glisse et se fracture le col du fémur. Hospitalisé, il est montré au dermatologue qui diagnostique? A votre avis??? 37

38 Sarcoptes scabiei var hominis, 38 38

39 D ailleurs le médecin coordonnateur immédiatement averti par son collègue informe l infirmière coordinatrice qui trouve justement que Josette était très agressive les soirs et présentait des lésions cutanées.. Un peu comme ça 39

40 La gale : images 40

41 La gale : le réservoir Réservoir exclusif : l homme Environnement : Sarcopte adulte = 1 à 4 jours ; Larves = 5 jours ; Œufs = 10 jours Cycle parasitaire 10 à 15 jours Incubation et contagiosité : 1 à 6 semaines 41 41

42 La gale : la transmission Contact direct étroit ( 15 à 20mn) Vie en collectivité, cohabitation d un grand nombre de personnes dans un espace restreint, soins Infection Sexuellement Transmissible Contact indirect Vêtements, linge, literie, fauteuils Maladie professionnelle +++ si gale hyperkératosique 42

43 Lésions cutanées Sillon teinté encre de chine Nodule scabieux 43

44 Lésions cutanées Vésicules perlées 44

45 La gale : images 45

46 La gale : images 46

47 47

48 Gestion d une épidémie Protéger Prévenir - Surveiller Protocoles Mesures préventives Identifier - Alerter Mesures barrières : Contact - Air - Gouttelettes Mesures environnementales Mesures organisationnelles Résidents Professionnels Familles Traiter Signaler Investiguer Suivre 48

49 Protéger : Mesures organisationnelles Gestion des résidents Maintenir en chambre Repas en chambre Arrêt des activités Pratiquer une hygiène des mains Eviter les déplacements des cas Transferts de chambre, d unités Suspendre les examens et ou consultations programmés Réfléchir aux admissions de nouveaux résidents (contexte d épidémie locale) Arrêt des animations 49

50 Protéger : Mesures organisationnelles Gestion des visiteurs Informer Présence d une épidémie Précautions à respecter Hygiène des mains et port du masque à l entrée si grippe Pas de visite si symptomatique Eventuellement réduire le nombre de visites Eviter l exposition des moins de 15 ans 50

51 Respecter les affichages Lavez-vous les mains en entrant et en sortant de l établissement Réfléchissez à l opportunité de vous vacciner contre la grippe 51

52 52

53 53

54 54

55 55

56 Vaccination Personnes âgées de plus de 65 ans Personnes séjournant en établissement de moyen et de long séjour Personnes atteintes de certaines maladies chroniques Personnes en contact Professionnels de santé ou professionnel en contact régulier Entourage 56

57 Quelques bonnes raisons de se faire vacciner

58 Début de la vaccination

59 Nous comptons sur vous 59

60 Merci de votre écoute 60

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