Une solution collective pour le traitement des effluents phytosanitaires

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1 Une solution collective pour le traitement des effluents phytosanitaires Exemple de la plateforme de la coopérative COOPTAIN à Tain l Hermitage Projet réalisé avec le soutien financier de Contact : COOPTAIN Z.A. Les Lots BP Cedex Tel : Fax : accueil@cooptain.com

2 Historique du projet Un véritable projet de territoire La gestion inadaptée des effluents phytosanitaires peut être à l origine de pollutions ponctuelles des eaux par les produits phytosanitaires qui se répercutent très rapidement sur les eaux de surface. Sur le territoire où la viticulture et l arboriculture dominent, les modalités de rinçage au champ sont souvent difficiles à mettre en œuvre et la mise en place d aires de remplissage-lavage sécurisées avec traitement des effluents s impose pour réduire fortement les risques de pollution. Implantée au cœur des vergers et des vignobles de la vallée du Rhône depuis près d un siècle, la coopérative a su évoluer en privilégiant sa proximité avec les producteurs en développant un ensemble de moyens lui permet aujourd hui d être réactive et souple et de proposer à ses adhérents un conseil responsable, des outils techniques adaptés et des services ciblés. Le projet de traitement collectif des effluents phytosanitaires est ainsi né d une réflexion entre la communauté de communes du pays de l Hermitage, l agence de l eau Rhône Méditerranée Corse, la chambre d agriculture de la Drôme et la coopérative COOPTAIN.

3 Une démarche de longue haleine 2008 Avril Première discussion sur le traitement des effluents suite à la demande de la communauté de commune Pays de l'hermitage Formulation de différentes hypothèses sur la manière de retraiter les effluents, l'aspect collectif est émerge fin Janvier La coopérative COOPTAIN décide de se lancer dans le projet à condition de trouver une solution pour le rejet des eaux traitée Aout Décembre Les choix techniques sont validés (système de traitement) Premiers accords verbaux sur le taux prévisionnel des aides financières qui pourront être mobilisées sur le projet (80%) 2010 Février Réunion d information à Chanos, à l initiative de la communauté de commune pour présenter à l'ensemble des agriculteurs les solutions envisagées pour le retraitement des effluents phytosanitaires Mars Avril Décembre Montage du dossier (volets techniques et règlementaires, et volet administratif et financier) afin d'être opérationnel fin 2010 Attente de la confirmation du niveau d'aide pour les aires de lavage sur les exploitations agricoles du territoire Dépôt définitif du dossier auprès des financeurs et attente de l accord pour débuter les travaux 2011 Avril Obtention de l accord écrit pour une partie du financement mais il manque l'accord du FEADER 2012 Février Obtention de l accord FEADER mais l installation doit faire l objet d une demande d'autorisation au titre des Installations Classées pour la Protection de l Environnement (ICPE) Mars Novembre Démarrage des travaux pour des premiers tests prévus en juin/juillet et signature du contrat de déversement avec la SAUR Fin des travaux sur le site 2013 Janvier Premier dépôt du dossier de demande d autorisation ICPE Avril Décembre Fin du dépôt du dossier de demande d autorisation ICPE suite à de multiples demandes de documents complémentaires Démarrage de la procédure d enquête publique 2014 Avril Fin de l enquête publique et attente du passage Conseil Départemental de l Environnement et des Risques Sanitaires et Technologiques (CODERST) Septembre Novembre Présentation du rapport sur la demande d'autorisation au CODERST et avis favorable Publication de l'arrêté préfectoral d'autorisation 2015 Février Inauguration de l installation

4 Fonctionnement de la station de traitement La gestion des effluents phytosanitaires mise en place par la coopérative COOPTAIN repose sur : - un réseau de plates-formes de remplissage et lavage situées sur les exploitations agricoles - une installation unique de traitement des effluents située sur le site de la coopérative. Chaque exploitation dispose ainsi de sa propre aire et sécurise les étapes de lavage et remplissage des pulvérisateurs en évitant les risques de pollution ponctuelle. Les effluents (issus des eaux de lavage, vidanges de fonds de cuves, débordements éventuels, etc ) sont stockés sur les exploitations agricoles grâce à une cuve de stockage en sortie de l aire de lavage. Deux fois par an (après les vendanges sur les mois de novembre et décembre puis en juin/juillet), les effluents seront pompés par COOPTAIN et transportés sur le site de la coopérative. Le transport des effluents phytosanitaires est soumis à la règlementation du transport des matières dangereuse, il s effectue donc dans des conteneurs plastiques agréés de 700 L et les chauffeurs de la coopérative disposent du permis transport de marchandises dangereuses par route. Sur le site de la coopérative, une aire de lavage a été aménagée afin de manipuler les effluents en toute sécurité. Les effluents sont ainsi transférés dans deux cuves de stockage enterrées (2 cuves de 30 m 3 à double paroi) puis traités au fur et à mesure grâce au procédé Phytopur. La station traite environ 10 m 3 d effluents par jour (pour une capacité annuelle de 500 m 3 d effluents phytosanitaires). Les déchets générés par la station (boues de décantation et charbons actifs usagés) sont traités dans des filières agrées. Les effluents épurés sont rejetés dans la station communale (COOPTAIN dispose d une convention de déversement avec la commune et l exploitant de la station d épuration) et un dispositif de contrôle des rejets (débitmètre + préleveur asservie au débit) a été mis en place à la sortie de la station de traitement. Début 2015, on compte 30 exploitations engagées dans cette démarche, sachant que la contractualisation avec COOPTAIN pour le traitement collectif des effluents n est pas réservée aux seuls adhérents de la coopérative, mais ouverte à tous les agriculteurs. L apport moyen par exploitation se situe autour de 3 m 3 par an. Le prix facturé au producteur est de 84 / m 3 et il est calculé en fonction du volume exact d effluent apporté à l année.

5 Installation sur le site de la coopérative Exemple d installation sur le siège d une exploitation agricole

6 Zoom sur le système de traitement Phytopur Le procédé est basé sur la séparation physique des molécules grâce à une membrane semi-perméable laissant passer l eau mais retenant les petites molécules telles que les résidus de produits phytosanitaires. Système Phytopur installé à Cooptain Le procédé se décompose en 3 phases : 1. Clarification de l effluent par coagulation floculation un agent coagulant est introduit dans la cuve de stockage, il assure la formation d agglomérats de particules qui vont piéger l ensemble des matières en suspension. Après décantation, on obtient un surnageant clarifié et des boues au fond de la cuve. Ces boues seront récupérées et éliminées dans un centre agréé. 2. Filtration membranaire par osmose inverse Avant de réaliser l osmose inverse, les effluents clarifiés sont filtrés pour éliminer les particules non décantées. L osmose est ensuite réalisée sur des membranes organiques, qui ont comme propriété de ne laisser passer que les molécules d eau et de retenir les molécules phytosanitaires. 3. Traitement de finition sur filtre à charbon actif En sortie d osmoseur, le passage sur un filtre à charbon actif retient par adsorption les micropolluants qui n auraient pas été stoppés par l étape osmose. A la suite du traitement, 2 types de produits sont obtenus et gérés différemment : l effluent traité est rejeté dans le réseau collectif de la zone après un passage dans un préleveur qui sélectionne des échantillons en vue d analyse qualité du rejet (accord et gestion avec la société d exploitation de la station d épuration de la ville) les déchets résultants du traitement (boues de floculation et consommables) sont traités par un centre agréé (2Kg de boues par M3 traité)

7 Intérêt de la gestion collective Dès les premières réflexions engagées en concertation sur le territoire, le projet s est orienté vers un système de gestion collective. Mais ce choix n a pas nécessairement été le plus simple à mettre en œuvre. En effet, contrairement aux dispositifs individuels de collecte et de traitement des effluents qui ne sont pas soumis au régime des ICPE, l installation de COOPTAIN est passée sous le régime d autorisation : une procédure longue et complexe qui a généré des retards et des couts supplémentaires. Malgré tout, aujourd hui, la gestion collective mise en place permet de disposer d un système simple, peu contraignant et d une grande sécurité pour les agriculteurs, qui n ont à investir sur un système de traitement. Seule l installation d une cuve de stockage des effluents en aval de l aire de remplissage et de lavage des pulvérisateurs est nécessaire. Le projet permet de mutualiser les couts de traitement ; l investissement de départ, les couts de fonctionnement et l entretien étant pris en charge par la coopérative. Le système est par ailleurs d une grande sécurité pour l environnement (installation récente et aux normes, transport agréé, prise en charge et élimination des déchets en filière agréée ) Pour la coopérative et ses adhérents, ce projet est l aboutissement d une démarche de gestion globale du dossier phytosanitaire (conseil, vente, gestion des déchets EVPP et PPNU, gestion effluents) et consolide l engagement responsable de COOPTAIN vis à vis de l environnement. Facteurs de réussite du projet COOPTAIN a été confronté de multiples difficultés, notamment liée au classement ICPE de l installation, qui a entrainé des retards et des couts supplémentaires. Pour permettre à ce projet d aboutir, l implication de l ensemble des acteurs du territoire a été un élément clé. La communauté de commune de l Hermitage et la Chambre d agriculture de la Drôme ont largement contribué à la sensibilisation des agriculteurs sur les enjeux liés à la gestion des produits phytosanitaires. La mise en place d aire de remplissage et de rinçage sur les exploitations a été accompagnée par les conseillers de la Chambre, notamment à travers la réalisation de diagnostics techniques pour faire le point sur ses installations et évaluer la quantité d effluents rejetés. Les syndicats viticoles, coopératives et groupements de producteurs voisins, ont aussi été partie prenante du projet et ont contribué à communiquer auprès de l ensemble des agriculteurs du territoire. La densité d exploitation sur le territoire est aussi un des facteurs qui a permis à un tel projet de de voir le jour. Cela permet d avoir des volumes d effluents suffisants pour envisager un investissement dans une stations collective, tout en travaillant sur un périmètre de collecte des effluents relativement restreint et donc en minimisant les contraintes logistiques et les risques. Le financement des aires de lavage et de remplissage des pulvérisateurs de produits phytosanitaires à travers le Plan Végétal Environnement a également eu un effet levier important sur l ensemble du territoire. Couplé au soutien financier de l Agence de l eau RMC et du FEADER sur les investissements portés par COOPTAIN, cela a permis de proposer à tous les agriculteurs du territoire une solution simple et sûre pour le traitement de leurs effluents phytosanitaires.

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