Les ondes de choc SANS collision :! apport de la Simulation numérique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les ondes de choc SANS collision :! apport de la Simulation numérique"

Transcription

1 :! apport de la Simulation numérique Philippe Savoini

2 Les ondes de choc origine écoulement supersonique obstacle cône de Mach mur du son Ondes sonores (Vfluide > Vinformation) (Vfluide = Vinformation) (Vfluide < Vinformation) régime supersonique onde de choc régime trans-sonique régime sub-sonique subsonic flow subsonic flow

3 Les ondes de choc origine écoulement supersonique obstacle cône de Mach mur du son Ondes sonores (Vfluide > Vinformation) (Vfluide = Vinformation) (Vfluide < Vinformation) régime supersonique régime trans-sonique régime sub-sonique onde de choc accumulation des particules devant l obstacle formation d un front (chasse-neige...) compression irréversible du milieu n, P, T entropie (phénomènes irréversibles)

4 Les ondes de choc nature Onde de choc usuelle Cône de Mach Onde de choc SANS collision onde de choc avion supersonique Onde de choc Dchoc ~ llpm ~ 10-9 m D choc ~ ( m) << llpm ~ 15 Mécanismes de dissipation : les collisions écoulement supersonique m Exemple : choc en amont de la Terre Mécanismes de dissipation : Interactions champs-particules Effet de dispersion

5 existence Les ondes de choc à notre porte Venus, Mars CME Mercure, Terre, Jupiter, Saturne Héliosphère

6 existence milieu interstellaire choc terminal queue solaire Héliopause choc interstellaire

7 existence LL Ori Supernova : SN1006 ondes de choc Les ondes de choc lointaines Image crédit: Hubble (NASA) Nébuleuse d Orion Stellar jets [Rothenflug et al., 2004] accretion disk Chocs radiatifs Radiative Shocks ESO / Spitzer / NASA / JPL / S. Kraus Vue d artiste étoile jeune

8 propriétés asymptotics amont aval nature Etat du plasma de part et d autre du choc : Equations de Rankine-Hugoniot n T P transfert de masse (amont -> aval) compression du champ Bt Vincident S Possible SANS collision? Propriétés intrinsèques de l onde de choc??

9 résultat de 3 processus distincts Onde de choc gradient dispersion effets dispersifs => évacuation des l formation de trains d ondes amont-aval raidissement NON LINEAIRE d un gradient (propagation idéale) => excitation des petites l onde non linéaireformation fort gradient gradient +(! u!r)! u ]=µr 2! u! rp

10 résultat de 3 processus distincts Onde de choc raidissement NON LINEAIRE d un gradient (propagation idéale) => excitation des petites l gradient gradient onde non linéaireformation fort gradient gradient dispersion dissipation effets dispersifs => évacuation des l effets dissipatifs => amortissement des λ résistivité! «anormale» amont viscosité! «anormal» Soliton+dissipation +(! u!r)! u ]=µr 2! u! rp aval

11 résultat de 3 processus distincts Onde de choc un problème multi-échelles!! convertisseur d énergie dirigée thermique accélération

12 Un exemple naturel très proche : l onde de choc terrestre!! banlieue proche : mesures in-situ (AMPTE, ISEE,..., CLUSTER-II,...) onde de choc Terre Bo [Tsurutani and Rodriguez, 1981]

13 Structure multi-échelles : Bo Terre onde de choc [Tsurutani and Rodriguez, 1981] petites échelles : échelles dissipatives (Nombre de Mach énergie à dissiper) Nombre de Mach Alfvénique : MA=Vvent solaire/va une valeur critique : MA * ~ 3! MA < MA * chocs sous-critiques échelles résistives (instabilités)! MA > MA * chocs supercritiques échelles «visqueuses»

14 Echelles dissipatives : dissipation «résistive» résistivité «anormale» Forts courants Forts courants(gradi Instabilités δe, δb Elargissement du front d onde Diffusion dans onde de choc l espace des phases (heating)

15 Echelles dissipatives : dissipation «résistive» Forts courants région du front de choc onde de choc De nombreuses possibilités [Wu et al., 1984]

16 Echelles dissipatives : dissipation «résistive» Forts courants SANS dissipation «résistive» AVEC dissipation «résistive» onde de choc De nombreuses possibilités Instabilité hybride basse dans le front d onde

17 aval E amont création d une charge d espace: effet d inertie barrière de potentiel Df réflexion de certains ions Echelles dissipatives : dissipation «visqueuse» vent solaire x m i(u 2 aval 2q u 2 amont) survaleur magnétique aval rampe pied magnétique choc Q^ MA>MA * amont MA~ 4 qq c pe ci x

18 aval E amont création d une charge d espace: effet d inertie barrière de potentiel Df réflexion de certains ions Echelles dissipatives : dissipation «visqueuse» vent solaire x m i(u 2 aval 2q u 2 amont) dissipation «visqueuse» v espace des phases aval amont onde de choc x

19 Structure multi-échelles : Bo Terre onde de choc [Tsurutani and Rodriguez, 1981] petites échelles : échelles dissipatives (Nombre de Mach énergie à dissiper) Nombre de Mach Alfvénique : MA=Vvent solaire/va une valeur critique : MA * ~ 3! MA < MA * chocs sous-critiques échelles résistives (instabilités)! MA > MA * chocs supercritiques échelles «visqueuses»

20 Structure multi-échelles : onde de choc petites échelles : échelles dissipatives (Nombre de Mach énergie à dissiper) amont Terre onde de choc : structure interne aval Bo [Tsurutani and Rodriguez, 1981] [Treuman et Jaroschek, 2009]

21 Données CLUSTER-II onde de choc QBn ~ 20 Domaine Quasi-// QBn = 45 Domaine Quasi-^ Bo QBn=0 QBn=90 [Lucek et al., 2008] Terre onde de choc [Tsurutani and Rodriguez, 1981] onde de choc Structure multi-échelles : petites échelles : échelles dissipatives (Nombre de Mach énergie à dissiper) meso-échelles : effets de courbure angle de propagation QBn QBn ~ 87 [Moullard et al., 2006] Interplanetary magnetic field (IMF) Shock normal Θ Bn

22 Données CLUSTER-II onde de choc QBn ~ 20 Domaine Quasi-// QBn = 45 Domaine Quasi-^ Bo QBn=0 QBn=90 [Lucek et al., 2008] Terre onde de choc [Tsurutani and Rodriguez, 1981] onde de choc Structure multi-échelles : petites échelles : échelles dissipatives (Nombre de Mach énergie à dissiper) meso-échelles : QBn ~ 87 Sketch of the Earth s bow shock [Greenstadt et Fredericks, 1979] effets de courbure angle de propagation QBn [Moullard et al., 2006] Interplanetary magnetic field (IMF) Shock normal 0 Θ Bn 45 propagation quasi-// 45 Θ Bn 90 propagation quasi-^ Θ Bn Solar wind

23 Structure multi-échelles : pré-choc électronique pré-choc ionique petites échelles : échelles dissipatives (Nombre de Mach énergie à dissiper) onde de choc meso-échelles : effets de courbure angle de propagation QBn Terre grandes échelles : pré-choc électronique pré-choc ionique Bo [Tsurutani and Rodriguez, 1981] approche multi-échelles impossible avec les satellites!!! apport de la simulation numérique

24 pré-choc électronique pré-choc ionique QBn=0 onde de choc Terre Quelques exemples de résultats obtenus via la simulation numérique Simulation Données Petites échelles : la non-stationarité du choc Données Simulation Meso échelles : accélération des électrons Grandes échelles : dynamique des ions Bo QBn=90 [Tsurutani and Rodriguez, 1981] Domaine Quasi-perpendiculaire 0 Θ Bn Θ Bn 90 Vent solaire

25 Simulation données Petites échelles : la non-stationarité du choc référentiel de l onde de choc QBn = 90 Btz rampe survaleur magnétique amont aval Y X pied magnétique

26 Simulation données Petites échelles : la non-stationarité du choc référentiel de l onde de choc QBn = 90 Btz rampe Données survaleur simulations magnétique [Savoini et Lembège, 1993] amont aval Y X pied magnétique - auto-reformation périodique du front - T~ 1 tci

27 Simulation données Petites échelles : la non-stationarité du choc référentiel de l onde de choc QBn = 90 Btz rampe Données survaleur simulations magnétique [Savoini et Lembège, 1993] Y amont Données expérimentales aval X pied magnétique amont [Horbury et al., 2001] aval Cluster II : une flotte de 4 satellites

28 Simulation données Btz auto-reformation Petites échelles : la non-stationarité du choc aval origin : reflected ions nreflected ions pied magnétique aval amont amont référentiel du vent solaire référentiel du vent solaire Processus d auto-reformation : pas si simple!!!! existence d autres mécanismes déclencheurs existence aussi de mécanismes stabilisateurs

29 choc AVEC collisions un horizon shock wave supersonic flow subsonic flow Aucune propagation en amont!! pas de particules pas d ondes sonores

30 meso-échelles : accélération des particules pré-choc électronique Q =0 pré-choc Bn ionique onde de choc Terre Bo [Tsurutani and Rodriguez, 1981]

31 Champ E mécanismes d accélération de base (transfert d énergie via les champs E et B) inertie des particules champ de charge d espace E = o mouvement des particules champ de convection E = u B [Treuman et Jaroschek, 2008] Gain d énergie (accélération) B Champ B miroir magnétique Fermi d ordre 1 («effet» raquette de tennis) collisions stochastiques Fermi d ordre 2 "mur" magnétique V

32 Données Simulation faisceau meso-échelles : accélération des électrons Bo bow shock faisceau Earth [Tsurutani and Rodriguez, 1981]

33 Données Simulation meso-échelles : accélération des électrons 2 populations distinctes faisceau

34 Données Simulation meso-échelles : accélération des électrons 2 populations distinctes Signature «cone de perte» : réflexion miroir faisceau

35 Données Simulation meso-échelles : accélération des électrons 2 populations distinctes Signature «cone de perte» : réflexion miroir faisceau

36 Données Simulation meso-échelles : accélération des électrons 2 populations distinctes Signature «cone de perte» : réflexion miroir Aucune signature caractéristique : autres mécanismes?? faisceau

37 Données Simulation meso-échelles : accélération des électrons Champ B : un exemple v V Accélération de Fermi (ordre 1) mirror reflection v - 2V échantillon d électrons réfléchis [Savoini et al., 2010]

38 Données Simulation meso-échelles : accélération des électrons Champ B : un autre exemple (en aval : db/b ~0.5-1) Electrons de fuite réflexions miroirs multiples V v V v + 2V échantillon d électrons réfléchis [Savoini et al., 2010]

39 Données Simulation meso-échelles : accélération des électrons Champ E : un exemple Accélération électrostatique (piégeage) piégeage électrostatique 1 P // 0 échantillon d électrons réfléchis [Savoini et al., 2010] d //

40 meso-échelles : accélération des ions Spectre d énergie (~ 1 UA) (Heliospheric particles) E -1.1 [Mewaldt et al., 2005] E Loi de puissance!! E -1 dj de / E exp( E ) E o Spectre faible énergie( qq MeV) tacceleration 10 s données de ACE, SAMPEX et GOES-11

41 accélération de dérive! E convection =! u sw! B IMF meso-échelles : accélération des ions Spectre d énergie (~ 1 UA) (Heliospheric particles) [Mewaldt et al., 2005] ion 1 ion 2 E E -1.1 ω Référentiel : vent solaire λ Efinal 10 Einitiale E upstream downstream ions accélérés Time E données de ACE, SAMPEX et GOES-11 Space [Lee et et al., al., 2004] 2004]

42 Données Simulation meso-échelles : accélération des ions accélération résonante («surf») Spectre d énergie (~ 1 UA) (Heliospheric particles) [Mewaldt et al., 2005] accélération très efficace : DE 1000 Ei espace des phases des ions [Giacalone, 2003] E -1.1 E [Sagdeev, 1966; Lee et al., 1996, Zank et al., 1996] données de ACE, SAMPEX et GOES-11 Choc Quasi-perpendiculaire : Ec MeV en 3 minutes

43 accélération diffusive meso-échelles : accélération des ions Spectre d énergie (~ 1 UA) (Heliospheric particles) E -1.1 [Mewaldt et al., 2005] E Loi de puissance E-2 ~ (-3) Spectre de haute énergie (>> MeV) Energy spectra Cosmic rays E -2.7 Processus d accélération universel Les ondes de choc!!! données de ACE, SAMPEX et GOES-11

44 meso-échelles : accélération des ions accélération diffusive upstream frame Vup Vup- Vd collision with the shock Dv=Vup-Vd > 0 gain Bmain Onde de choc upstream downstream downstream isotropisation particule downstream frame Vup - Vd collision with the shock Dv=Vup-Vd > 0 gain U amont U aval Vup upstream down stream upstream isotropisation Aller-retour equivalent Sketch amont Référentiel aval Accélération de Fermi!! du choc Dv Dv

45 accélération diffusive meso-échelles : accélération des ions Spectre d énergie (~ 1 UA) (Heliospheric particles) E -1.1 [Mewaldt et al., 2005] E Accélération diffusive Loi de puissance: dj de E ( = +2 1) loi de puissance universelle : quand MA>10, 4 alors 2 dj/de a E -2 bon accord avec le spectre NON thermique tacc réduit : DE en secondes (ou semaines) plus de problème d accélération initiale données de ACE, SAMPEX et GOES-11

46 meso-échelles : accélération des ions Accélération «surf» Accélération de dérive Q^ E field Q^ Accélération diffusive Q^ B field Q// [Giacalone et Jokipii, 2006] [Zank et al., 1996] très efficace pour Q^ même avec des centres diffuseurs faibles: if (db/b~0.3) tacc (Q^) < tacc (Q//)

47 Données Simulation grande-échelles : le pré-choc ionique solitons (SLAMS) ions diffus Faisceaux alignés [Kucharek et al., 2008]

48 Données Simulation solitons (SLAMS) grande-échelles : le pré-choc ionique Evidence of d ions réfléchisions - FAB: Faisceaux alignés diffus FAB Faisceaux alignés f(α) V^2 CLUSTER mission observations Velocity Distribution a) Bupstream B α V^1 0 [Meziane et al., 2007] Pitch angle: α - GPB: Faisceaux NON gyrotropique GPB V^2 f(α) B Velocity Distribution Bupstream b) α [Kucharek et al., 2008] V^1 [Mazelle et al., 2005] 0 Pitch angle: α

49 Données Simulation solitons (SLAMS) Faisceaux alignés grande-échelles : le pré-choc ionique Evidence of d ions réfléchisions - FAB: Faisceaux alignés - diffus Réflexion spéculaire avec m =cte ou m cte [Sonnerup, 1969; Schwartz et Burgess, 1984; Gosling et al., 1982] CLUSTER mission observations - Ions de fuite (magnétogaine) [Tanaka et al., 1983; Thomsen et al.] - Diffusion des ions réfléchis par des fluctuations amont [Giacalone et al., 1994] par des fluctuation dans la rampe [Meziane et al., 2007] [Kucharek et al., 2004; Bale et al., 2005] - GPB: Faisceaux NON gyrotropique - gyrating ions at the ramp [Gurgiolo et al., 1981, 1983] - Wave synchronisation [Mazelle et al., 2003; Hamza et al., 2006] - Beam-plasma Instability [Kucharek et al., 2008] [Hoshino and Terasawa, 1985] [Mazelle et al., 2005]

50 Données Simulation grande-échelles : le pré-choc ionique XY enlarged view FAB V^ plane Accélération de dérive multiple rebonds temps d interaction long f(α) 3000 "FAB" Zoom effect α [Savoini et al., 2010] Ion foreshock density XY enlarged view GPB V^ plane Rebond sur le front + Et un seul rebond temps d interaction court f(α) "GPB"

51 Données Simulation solitons (SLAMS) Faisceaux alignés grande-échelles : le pré-choc ionique Evidence of d ions réfléchisions - FAB: Faisceaux alignés - diffus Réflexion spéculaire avec m =cte ou m cte [Sonnerup, 1969; Schwartz et Burgess, 1984; Gosling et al., 1982] CLUSTER mission observations - Ions de fuite (magnétogaine) [Tanaka et al., 1983; Thomsen et al.] - Diffusion des ions réfléchis par des fluctuations amont [Giacalone et al., 1994] par des fluctuation dans la rampe [Meziane et al., 2007] [Kucharek et al., 2004; Bale et al., 2005] - GPB: Faisceaux NON gyrotropique - gyrating ions at the ramp [Gurgiolo et al., 1981, 1983] - Wave synchronisation [Mazelle et al., 2003; Hamza et al., 2006] - Beam-plasma Instability [Kucharek et al., 2008] [Hoshino and Terasawa, 1985] [Mazelle et al., 2005]

52 FIN

Accélération du vent solaire: revue des modèles exosphériques

Accélération du vent solaire: revue des modèles exosphériques Accélération du vent solaire: revue des modèles exosphériques Yannis Zouganelis 1 & M. Maksimovic 1, N. Meyer-Vernet 1, S. Landi 2, F. Pantellini 1, K. Issautier 1, H. Lamy 3 (1) LESIA - Observatoire de

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

UNIVERSITE PARIS VI OBSERVATOIRE DE PARIS THESE. Olga ALEXANDROVA

UNIVERSITE PARIS VI OBSERVATOIRE DE PARIS THESE. Olga ALEXANDROVA UNIVERSITE PARIS VI OBSERVATOIRE DE PARIS THESE Spécialité Physique des plasmas Présentée par Olga ALEXANDROVA Pour obtenir le grade de DOCTEUR de l UNIVERSITE PARIS VI Turbulence MHD dans la magnétogaine

Plus en détail

Panorama de l astronomie

Panorama de l astronomie Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement

Plus en détail

Les rayons cosmiques primaires chargés

Les rayons cosmiques primaires chargés Les rayons cosmiques primaires chargés Historique de leur découverte Spectre en énergie Composition: abondance Electrons/positons Muons Antiprotons Processus d accélération Expériences Ballons (BESS) Satellites

Plus en détail

Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB. Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris

Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB. Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB Zakaria Meliani Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris Janvier 2007 Les grandes lignes de la présentation Les propriétés

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Figure 3.1- Lancement du Gambit

Figure 3.1- Lancement du Gambit 3.1. Introduction Le logiciel Gambit est un mailleur 2D/3D; pré-processeur qui permet de mailler des domaines de géométrie d un problème de CFD (Computational Fluid Dynamics).Il génère des fichiers*.msh

Plus en détail

Module HVAC - fonctionnalités

Module HVAC - fonctionnalités Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également

Plus en détail

Le nouveau programme en quelques mots :

Le nouveau programme en quelques mots : Le nouveau programme en quelques mots : Généralités Le programme est constituéde trois thèmes qui doivent tous être traités. L ordre de traitement des trois thèmes est libre, tout en respectant une introduction

Plus en détail

Centre de Données de la Physique des Plasmas CDPP

Centre de Données de la Physique des Plasmas CDPP Centre de Données de la Physique des Plasmas CDPP Les objectifs du CDPP Le CDPP créé par accord cadre INSU/CNES, 1998 - archivage pérenne des données obtenues par des expériences à participation françaises

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

- Le LPC2E et les Bases de Données Spatiales - Valorisation des bases de données ondes

- Le LPC2E et les Bases de Données Spatiales - Valorisation des bases de données ondes - Le LPC2E et les Bases de Données Spatiales - Valorisation des bases de données ondes Equipe Plasmas Spatiaux du LPC2E Plan de la présentation Le LPC2E et les BdD spatiales Les projets spatiaux auxquels

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Étude et modélisation des étoiles

Étude et modélisation des étoiles Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur

Plus en détail

Lindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT

Lindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT lindab poutres Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT Eco-énergétique Applications Tertiaires (bureaux, hôpitaux, hôtels...) Modularité et design Neuf et rénovation Simplicité de montage

Plus en détail

CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE

CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE I Chaine énergétique a- Les différentes formes d énergie L énergie se mesure en Joules, elle peut prendre différentes formes : chimique,

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h)

1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Problèmes IPhO 2012 1 NOM : PRENOM : LYCEE : 1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Nous souhaitons dans ce problème aborder quelques aspects de la conception d un avion solaire autonome. Les

Plus en détail

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS Rev. Energ. Ren. : Chemss 2000 39-44 La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS D.K. Mohamed, A. Midoun et F. Safia Département

Plus en détail

Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments

Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments Alexandre Nassiopoulos et al. Journée d inauguration de Sense-City, 23/03/2015 Croissance de la demande énergétique et

Plus en détail

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles

Plus en détail

Lumière zodiacale et nuage zodiacal

Lumière zodiacale et nuage zodiacal Lumière zodiacale et nuage zodiacal La Silla, Chile, sept. 2009 ESO Y. Beletsky, / Y. Beletsky ESO A.-Chantal Levasseur-Regourd UPMC (Univ. P. & M. Curie) / LATMOS-CNRS aclr@latmos.ipsl.fr Lumière zodiacale

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue

Plus en détail

Etude numérique et expérimentale du processus de recompression le long d un éjecteur supersonique

Etude numérique et expérimentale du processus de recompression le long d un éjecteur supersonique Etude numérique et expérimentale du processus de recompression le long d un éjecteur supersonique A. BOUHANGUEL, P. DESEVAUX, E. GAVIGNET Institut FEMTO-ST, Département ENISYS, Parc Technologique, 2 Avenue

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les

Plus en détail

INTRODUCTION A LA FUSION THERMONUCLEAIRE

INTRODUCTION A LA FUSION THERMONUCLEAIRE INTRODUCTION A LA FUSION THERMONUCLEAIRE I) PRINCIPE Considérons l'énergie de liaison par nucléons pour différents noyaux (Fig. I.1). En examinant la figure I-1, nous constatons que deux types de réactions

Plus en détail

Si la source se rapproche alors v<0 Donc λ- λo <0. La longueur d onde perçue est donc plus petite que si la source était immobile

Si la source se rapproche alors v<0 Donc λ- λo <0. La longueur d onde perçue est donc plus petite que si la source était immobile Red shift or blue shift, that is the question. a) Quand une source d onde se rapproche d un observateur immobile, la longueur d onde λ perçue par l observateur est-elle plus grande ou plus petite que λo

Plus en détail

Gestion optimale des unités de production dans un réseau compte tenu de la dynamique de la température des lignes

Gestion optimale des unités de production dans un réseau compte tenu de la dynamique de la température des lignes Gestion optimale des unités de production dans un réseau compte tenu de la dynamique de la température des lignes M. Nick, R. Cherkaoui, M. Paolone «Le réseau électrique de demain» - EPFL, 21.05.2015 Table

Plus en détail

Les très grandes souffleries de l ONERA 2014

Les très grandes souffleries de l ONERA 2014 La grande soufflerie S1 de Modane, et les autres Avant de comprendre comment fonctionne une soufflerie, il est nécessaire de rappeler qu il n existe pas une, mais des souffleries. En effet, il est essentiel

Plus en détail

Audit type de datacenter réalisé par la société EduWatt

Audit type de datacenter réalisé par la société EduWatt Audit type de datacenter réalisé par la société EduWatt 1. Instrumentation mise en œuvre : Analyseur de réseau : Chauvin Arnoux 8334, 8230 Pinces ampèremétriques : C.A. M 93, Ampflex Oscilloscope : Fluke

Plus en détail

1 Démarrer... 3 1.1 L écran Isis...3 1.2 La boite à outils...3 1.2.1 Mode principal... 4 1.2.2 Mode gadget...4 1.2.3 Mode graphique...

1 Démarrer... 3 1.1 L écran Isis...3 1.2 La boite à outils...3 1.2.1 Mode principal... 4 1.2.2 Mode gadget...4 1.2.3 Mode graphique... 1 Démarrer... 3 1.1 L écran Isis...3 1.2 La boite à outils...3 1.2.1 Mode principal... 4 1.2.2 Mode gadget...4 1.2.3 Mode graphique... 4 2 Quelques actions... 5 2.1 Ouvrir un document existant...5 2.2

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur

Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur PROJET JANUS Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur Contact : alain.gaboriaud@cnes.fr OBJECTIFS Satellites Etudiants

Plus en détail

La (les) mesure(s) GPS

La (les) mesure(s) GPS La (les) mesure(s) GPS I. Le principe de la mesure II. Equation de mesure GPS III. Combinaisons de mesures (ionosphère, horloges) IV. Doubles différences et corrélation des mesures V. Doubles différences

Plus en détail

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement

Plus en détail

ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES

ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES P.E. LOISEL, J. SCHAGUENE, O. BERTRAND, C. GUILBAUD ARTELIA EAU ET ENVIRONNEMENT Symposium du CFBR

Plus en détail

Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire.

Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Patrick DUPEYRAT 1,2*, Yu BAI 3,4, Gérald KWIATKOWSKI 5, Gilles FRAISSE 3 Christophe MENEZO 2,3 et

Plus en détail

PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE

PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Préambule Objectifs La culture scientifique et technique acquise au collège doit permettre à l élève d avoir une première représentation

Plus en détail

Equation LIDAR : exp 2 Equation RADAR :

Equation LIDAR : exp 2 Equation RADAR : Contexte scientifique Systèmes LIDAR/RADAR Equation LIDAR : exp Equation RADAR : p (r) : puissance rétrodiffusée r : altitude ou profondeur. C : constante instrumentale. β : coefficient de rétrodiffusion

Plus en détail

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du

Plus en détail

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs.

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. H. ZAÏDI a, S. FOHANNO a, R. TAÏAR b, G. POLIDORI a a Laboratoire

Plus en détail

MOND avec ou sans matière noire

MOND avec ou sans matière noire MOND avec ou sans matière noire Luc Blanchet Institut d Astrophysique de Paris, GRECO, 98 bis boulevard Arago, 75014 Paris, France Françoise Combes Observatoire de Paris, LERMA, 61 avenue de l Observatoire,

Plus en détail

PROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo

PROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo PROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo I - La transformation de Lorentz Dans tout ce qui suit, R(O, x, y, z, t) et R (O, x, y, z, t ) sont deux référentiels galiléens dont les axes

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

TOUT CE QUE VOUS AVEZ VOULU SAVOIR SUR MERCURE

TOUT CE QUE VOUS AVEZ VOULU SAVOIR SUR MERCURE TOUT CE QUE VOUS AVEZ VOULU SAVOIR SUR MERCURE Par Jean-Pierre MARTIN jpm.astro astro@wanadoo.fr ASSOCIATION D ASTRONOMIE VÉGA PLAISIR 78370 Les animations ne sont visibles que sous Power Point NASA 1

Plus en détail

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008 GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température

Plus en détail

Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE

Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE Gomez Thomas Institut Jean Le Rond d Alembert Caractériser et classifier les écoulements turbulents. Introduire les outils mathématiques. Introduire

Plus en détail

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif -

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif - POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif - 70 Chapitre 8 : Champ de gravitation - Satellites I. Loi de gravitation universelle : (

Plus en détail

FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE)

FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE) FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE) Pierre Chastenay astronome Planétarium de Montréal Source : nia.ecsu.edu/onr/ocean/teampages/rs/daynight.jpg

Plus en détail

4.2 Unités d enseignement du M1

4.2 Unités d enseignement du M1 88 CHAPITRE 4. DESCRIPTION DES UNITÉS D ENSEIGNEMENT 4.2 Unités d enseignement du M1 Tous les cours sont de 6 ECTS. Modélisation, optimisation et complexité des algorithmes (code RCP106) Objectif : Présenter

Plus en détail

document proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015

document proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015 BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0

Plus en détail

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation

Plus en détail

ROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite. Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0

ROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite. Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0 ROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0 Nouvelle solution eau chaude solaire auto-vidangeable estampillée NF CESI et Bleu Ciel

Plus en détail

MESURE DE LA MASSE DE LA TERRE

MESURE DE LA MASSE DE LA TERRE MESURE DE LA MASSE DE LA TERRE Pour déterminer la masse de la Terre, inutile d essayer de la faire monter sur une balance, mais on peut la déterminer à l aide des lois de NEWTON et des lois de KEPLER.

Plus en détail

ETUDE DES PERFORMANCES D UN SYSTEME EOLIEN. APPLICATION POUR DES SITES ALGERIENS

ETUDE DES PERFORMANCES D UN SYSTEME EOLIEN. APPLICATION POUR DES SITES ALGERIENS èmes Journées Internationales de Thermique ETUDE DES PERFORMANES D UN SYSTEME EOLIEN. APPLIATION POUR DES SITES ALGERIENS Rachid MAOUEDJ*, Souad BOUSALEM** et Boumedien BENYOUEF ** * Unité de Recherche

Plus en détail

CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DU PHÉNOMÈNE DE LATCHUP INDUIT DANS LES CIRCUITS INTÉGRÉS EMBARQUÉS DANS UN ENVIRONNEMENT RADIATIF SPATIAL

CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DU PHÉNOMÈNE DE LATCHUP INDUIT DANS LES CIRCUITS INTÉGRÉS EMBARQUÉS DANS UN ENVIRONNEMENT RADIATIF SPATIAL APPLIED PHYSICS CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DU PHÉNOMÈNE DE LATCHUP INDUIT DANS LES CIRCUITS INTÉGRÉS EMBARQUÉS DANS UN ENVIRONNEMENT RADIATIF SPATIAL NADJIM MERABTINE, DJAOUIDA SADAOUI, MALEK BENSLAMA Laboratoire

Plus en détail

La magnitude des étoiles

La magnitude des étoiles La magnitude des étoiles 1.a. L'éclat d'une étoile L'éclat d'une étoile, noté E, est la quantité d'énergie arrivant par unité de temps et par unité de surface perpendiculaire au rayonnement. Son unité

Plus en détail

8/10/10. Les réactions nucléaires

8/10/10. Les réactions nucléaires Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que

Plus en détail

5. Les conducteurs électriques

5. Les conducteurs électriques 5. Les conducteurs électriques 5.1. Introduction Un conducteur électrique est un milieu dans lequel des charges électriques sont libres de se déplacer. Ces charges sont des électrons ou des ions. Les métaux,

Plus en détail

Dynamique des protéines, simulation moléculaire et physique statistique

Dynamique des protéines, simulation moléculaire et physique statistique Dynamique des protéines, simulation moléculaire et physique statistique Gerald R. Kneller kneller@llb.saclay.cea.fr, kneller@cnrs-orleans.fr Université d Orléans Laboratoire Léon Brillouin, CEA Saclay

Plus en détail

Vie et mort des étoiles. Céline Reylé Observatoire de Besançon

Vie et mort des étoiles. Céline Reylé Observatoire de Besançon Vie et mort des étoiles Céline Reylé Observatoire de Besançon Qu est-ce qu une étoile? Sphère de gaz hydrogène (¾) hélium (¼) pèse sur le centre qui est alors chauffé E. Beaudoin Sphère de gaz hydrogène

Plus en détail

L'astrophotographie au Cercle

L'astrophotographie au Cercle L'astrophotographie au Cercle Introduction générale à l'astrophotographie Le matériel Les différents domaines: imagerie sur trépied, du ciel profond... Réaliser des images sur trépied Réaliser des images

Plus en détail

Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014

Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014 Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO 20 mars 2014 La phonétique acoustique La phonétique acoustique étudie les propriétés physiques du signal

Plus en détail

CURRICULUM VITAE Anne de Bouard

CURRICULUM VITAE Anne de Bouard CURRICULUM VITAE Anne de Bouard née le 1er mai 1965 à Caen (14) Mariée, 2 enfants Nationalité : Française http://www.cmap.polytechnique.fr/~debouard debouard@cmap.polytechnique.fr CMAP, Ecole Polytechnique

Plus en détail

«L apport des réseaux électriques intelligents»

«L apport des réseaux électriques intelligents» ENR et intermittence : l intégration dans les réseaux de distribution en France 18 avril 2013 Michèle Bellon, Présidente du directoire d ERDF «L apport des réseaux électriques intelligents» Les réseaux

Plus en détail

TD 9 Problème à deux corps

TD 9 Problème à deux corps PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile

Plus en détail

LA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile?

LA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? LA PUISSANCE DES MOTEURS Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? Chaque modèle y est décliné en plusieurs versions, les différences portant essentiellement sur la puissance

Plus en détail

Actions de réduction de bruit sur un moteur poids lourd

Actions de réduction de bruit sur un moteur poids lourd 10 Actions de réduction de bruit sur un moteur poids lourd Laurent Moulin, Renault VI, 99, route de Lyon, 69802 Saint Priest, e-mail : laurent.moulin@renaultvi.com D epuis 1974 à aujourd hui, la réglementation

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail

Avis et communications

Avis et communications Avis et communications AVIS DIVERS COMMISSION GÉNÉRALE DE TERMINOLOGIE ET DE NÉOLOGIE Vocabulaire de l ingénierie nucléaire (liste de termes, expressions et définitions adoptés) NOR : CTNX1329843K I. Termes

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt

Plus en détail

Synthèse des convertisseurs statiques DC/AC pour les systèmes photovoltaïques

Synthèse des convertisseurs statiques DC/AC pour les systèmes photovoltaïques Revue des Energies Renouvelables ICESD 11 Adrar (2011) 101 112 Synthèse des convertisseurs statiques DC/AC pour les systèmes photovoltaïques M. Meddah *, M. Bourahla et N. Bouchetata Faculté de Génie Electrique,

Plus en détail

8 Ensemble grand-canonique

8 Ensemble grand-canonique Physique Statistique I, 007-008 8 Ensemble grand-canonique 8.1 Calcul de la densité de probabilité On adopte la même approche par laquelle on a établi la densité de probabilité de l ensemble canonique,

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

Qui Sommes nous? Vertexi l ingénierie, l informatique industrielle Technologies de l Information

Qui Sommes nous? Vertexi l ingénierie, l informatique industrielle Technologies de l Information Présentation Qui Sommes nous? Fondée en 2005, Vertexi se consacre entièrement dans le secteur de l industrie, dans les domaines de l ingénierie, de l informatique industrielle et des Technologies de l

Plus en détail

Centre de tournage. et de fraisage CNC TNX65/42

Centre de tournage. et de fraisage CNC TNX65/42 Centre de tournage et de fraisage CNC TNX65/42 Le tour TRAUB TNX65/42 pose de nouveaux jalons dans l'usinage à haute performance. Le concept de machine futuriste avec l'incomparable nouvelle unité de fraisage

Plus en détail

PRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I.

PRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I. PRECISION - REJET DE PERTURBATIONS T.D. G.E.I.I.. Donner les erreurs en position, en vitesse et en accélération d un système de transfert F BO = N(p) D(p) (transfert en boucle ouverte) bouclé par retour

Plus en détail

Introduction aux plasmas. Magneto-hydrodynamique

Introduction aux plasmas. Magneto-hydrodynamique Master 1 de Physique 2ème année de Magistère de Physique Université Joseph Fourier Introduction aux plasmas magnétisés Magneto-hydrodynamique Jonathan Ferreira IPAG- Institut de Planétologie et d Astrophysique

Plus en détail

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand Quelques liens entre l'infiniment petit et l'infiniment grand Séminaire sur «les 2» au CNPE (Centre Nucléaire de Production d'électricité) de Golfech Sophie Kerhoas-Cavata - Irfu, CEA Saclay, 91191 Gif

Plus en détail

BICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech

BICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech BICNanoCat Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech ANR BICNanoCat DAS Concerné : Énergie Environnement Appel à projets : réduction des émissions

Plus en détail

Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité

Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité numérique Jérôme Novak LUTH : Laboratoire de l Univers et de ses THéories CNRS / Université Paris 7 / Observatoire de Paris F-92195 Meudon Cedex,

Plus en détail