POSSÉDÉS << PAÏENS >> ET POSSÉDÉS CHRÉTIENS
|
|
- Sylvie Pellerin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 POSSÉDÉS << PAÏENS >> ET POSSÉDÉS CHRÉTENS Marc-Éric GRUÉNAS (ORSTOM) La transe de possession est une des manifestations les plus spectaculaires de la communication entre les vivants et des entités religieuses de toute nature (génies, Dieu, démons, esprits, etc.) ; elle est observable aussi bien dans les rituels des cultes de possession <<païens >> (le bori Hawsa, le vaudou) qu au cours des séances de prière organisées par les églises indépendantes africaines. Les nombreux travaux sur les cultes de possession n omettent jamais de mentionner également l existence de << crises extatiques >> (L. de Heusch, Lewis) dans des univers chrétiens. Cependant, dès qu il s agit d établir un parallèle entre les manifestations de la possession dans les cultes de possession africains contemporains, par exemple, et celles observables dans des contextes christianisés, le seul rapprochement pertinent qui semble pouvoir être fait est celui entre les premières et des expériences mystiques de la chrétienté occidentale, telle celle de Thérèse d Avila ou des possédés de Loudun. Mais ces mêmes cultes de posses- Je reprends ici une terminologie plutôt propre aux travaux anglo-saxons (on trouve notamment cette expression par exemple dans l ouvrage pionnier de B. Sundkler, 1961) pour désigner tous les nouveaux mouvements religieux (messianiques, prophétiques, c( sectes D protestantes, etc,) qui puisent à des degrés divers dans le christianisme. *
2 1 Marc-Éric Gruénais sion sont souvent soigneusement mis à distance des transes de possession des rituels des Eglises indépendantes africaines, alors même qu ici les deux phénomènes relèvent de contextes culturels et historiques beaucoup plus proches. L exemple le plus éclairant, d une part, du rapprochement entre culte de possession et expériences mystiques de la chrétienté occidentale, et d autre part de l éloignement entre cultes de possession et transes des christianismes africains, se trouve dans deux articles de L. de Heusch. La conclusion d un de ces articles porte sur Saint-Jean de la Croix, Thérèse d Avila et Bernadette de Lisieux, et on peut y lire : << La figure du diable et la mystique entretiennent dans le message chrétien des rapports dialectiques qui ne sont pas sans évoquer ceux de la POSsession et du chamanisme >> (1971 b : 281, souligné par moi). En revanche, dans la conclusion de l autre article, Heusch évoque des christianismes africains dans lesquels les états de possession observables sont qualifiés d << ambigus >> et sont opposés à une << possession authentique >> (celle des cultes de possession et du chamanisme) ; L. de Heusch précise également dans ce même article que <<l n y a guère d espoir que le christianisme africain puisse absorber purement et simplement les techniques dionysiaques, théâtrales des cultes de possession traditionnels >> (1971 a : 243). Est-ce à dire que des analogies entre différentes manifestations de la possession ne peuvent être établies que pour autant qu elles se rapportent à des univers totalement distincts? Même les auteurs qui proposent d analyser conjointement cultes de possession et cultes christianisés, finissent par établir une frontière entre les deux. Ainsi, J-.P. Olivier de Sardan, qui analyse conjointement cultes de possession et << Eglises ou sectes >>, tous deux proposant des innovations qui contribuent à la construction de nouvelles identités, n en conclut pas moins à leur différence de nature : << La ressemblance s arrête là : car ce sont les génies qui recrutent, personne n adhère à un culte de possession, il n y a ni conversion ni prosélytisme, toute profession de foi y est inconnue D (1993 : 206). On ne peut que convenir en effet d une différence importante entre les deux types de phénomènes étant donné l institutionnalisation de la. l transe d où 1 différt de PO: tes dif 1 distinc quant des CU ceux n est SOUV~ termir penda tiens r n en E ceux-c 1 païenr culte ( nie qc génie l entitc vivant et idei dans 1( ( dis tinc << inspi dans 1 gé de force en le c quent 38
3 Possédés N païens s et possédés chrétiens Jossesqu ici ; beau- t entre xidentranses L. de de la : <<La irétien a DOSrevaniristia- :s sont :ique >>,récise que le techinels D ns de ippor-?osent és, fiier de ;es ou cons- :rence lui remver- 993 : entre de la transe de possession chrétienne dans le contexte-d une Eglise africaine, d où la nécessité de l adhésion et de la conversion. Mais, sans nier les différences, ne peut-on simplement considérer qu il y a toujours transe de possession dans les deux cas et traiter son expression dans ces contextes différents comme deux réalisations d un même phénomène? Lewis (1977) est sans doute un des rares à ne pas vouloir établir de distinction entre les deux types de manifestation de la possession. Evoquant les << religions des opprimés >> de Lanternari qu il met en regard des cultes de possession, il écrit : << La frontière entre ces mouvements et ceux que nous avons précédemment étudiés [les cultes de possession] n est pas infranchissable. Elle reste mal définie et mouvante, et il est souvent très difficile de bien préciser la place exacte d un exemple déterminé dans son cadre temporel et social >> (1977 : 139). 1 est vrai cependant que même si Lewis évoque régulièrement les mouvements chrétiens non occidentaux dans son analyse des << expériences extatiques D, il n en propose guère d analyse approfondie, d autant moins qu il range ceux-ci dans la catégorie des << cultes périphériques >>. La différence la plus souvent soulignée entre manifestations païenne et chrétienne de la possession réside dans le fait que, dans le culte de possession, l individualité du possédé disparaît au profit du génie qui est alors le seul identifiable par l assistance, le possédé est le génie ; alors que le chrétien en transe ne serait que l intermédiaire entre l entité religieuse << possédante >> (Esprit saint, apôfres, génie, etc.) et les vivants, la personne du chrétien en transe étant toujours présente, visible et identifiable par la communauté des adeptes. Dès lors, s il y a transe dans les deux cas, il ne s agirait pas de la même. C est sans doute G. Rouget (1980) qui systématise le mieux cette distinction lorsqu il établit la distinction entre << possession >> et <<inspiration>>. Dans la possession, le possédé est le génie, alors que dans l inspiration : << le sujet en transe est vu non pas comme ayant changé de personnalité, mais comme étant investi par la divinité ou par une force émanant d elle, celle-ci coexistant en quelque sorte avec lui, mais en le dominant et le faisant agir ou parler en son nom. Le cas le plus fréquent de cette relation est celle qui s observe dans les transes attribuées 39
4 Marc-Éric Gruénais , ) au Saint Esprit >> (Rouget, 1980 : 56). 1 qualifie plus loin cette transe de << non identificatoire B, transe caractéristique de l islam, de la chrétienté et du judaïsme, << autrement dit [... liée à la logique des religions de la transcendance >> (1980 : 58). Là encore, transe païenne des cultes de possession et transe chrétienne liée aux religions du Livre sont distinguées. A accorder toute l importance nécessaire aux interprétations émi- 7 ques -, il m apparaît que les distinctions de nature souvent établies entre les deux réalisation des transes de possession ne sont cependant peut-être pas aussi importantes qu on a bien voulu l écrire. Du point de vue de la << structure de l extase D (Bastide, 1958) il y a peu de différence entre la manikre dont est << gérée B une transe de possession païenne et son homologue chrétien : dans les deux cas, la transe peut avoir des fonctions thérapeutiques et/ou de divination, elle fait l objet d un apprentissage et d un contrôle ; elle est orchestrée par des musiciens qui, eux, n entrent pas en transe, et par un chef de culte, un prophète, un pasteur, qui est aussi le maître de la transe 3. Rouget avait évoqué ces similitudes. Mais surtout, l interprétation émique de la transe dans certains cultes christianisés ou néo-traditionnels pourrait tendre à montrer qu il n est pas toujours aisé d affirmer que celui ou celle qui est en transe dans une église n est pas l entité religieuse qui le possède, qu il reste un individu identifiable comme médiateur. Dans un travail d une grande précision sur une église prophétique congolaise, le Mvulusi, F. Hagenbucher-Sacripanti ( 1992) analyse les Qui, selon Olivier de Sardan (1993, 1994), permettent d éviter les surinterprétations politiques et thérapeutiques, notamment des cultes de possession. A cet égard, il peut paraître abusif de parler de transe en général. l y a en effet toutes sortes de transes, depuis celle du néophyte qui ne maîtrise pas ses gestes et ne sait donner un sens à son comportement, jusqu à celle du maître de la transe, le chef de culte, qui parfois n esquisse qu un comportement à peine différent de celui qu il adopte habituellement et qui maîtrise bien évidemment parfaitement les significations des transes de ses adeptes ; c est ainsi qu au sein de l assemblée une véritable hiérarchie s établit selon le degré de maîtrise de la transe. Par ailleurs, dans les mouvements religieux chrétiens, on distingue les transes à fonction thérapeutique, les transes à fonction prophétique, les transes qui peuvent être inspirées par le G démon D, celles qui expriment la réaction de l adepte face aux nouveaux pouvoirs auquel il est confronté, etc. 40
5 transe de hrétienté ins de la s de posiguées. ons émiies entre peut-être k58), il y : de posla transe elle fait par des :ulte, un get avait certains rer qu il nse dans.e un in- )hétique lyse les prétations rfet toutes lit donner :, qui paruellement adeptes ; degré de distingue anses qui lepte face Possédés N païens >) et possédés chrétiens. modalités de réorganisation et de hiérarchisation des entités religieuses traditionnelles de l univers Vili-Yombe opérées par ce mouvement qualifié de << néo-traditionnel >>. L auteur fait notamment remarquer qu une innovation majeure introduite par ce mouvement est l instauration d une relation spécifique de << proximité individuelle D entre un individu et son << génie de naissance dont le nom ghérique (nkisi si) renvoie à l univers des ancêtres des matriclans. Ce génie de naissance se manifeste à l occasion d un épisode pathologique et/ou lors d une transe non maîtrisée par l adepte. Le rôle du leader de cet << hôpital des génies >> qu est le Mvulusi, comme l appelle Hagenbucher-Sacripanti, sera de favoriser l identification du génie qui a ainsi << possédé D l adepte et de parvenir à établir des relations harmonieuses entre ce génie et l individu <<possédé B. Dans cette opération, la transe est considérée comme le moment où << le corps est envahi par un hôte invisible où << la divinité >> devient << la cause efficiente de la transe >> ; lors de la transe, i< Lorsque la danseuse vêtue de rouge révèle de manière expressive l identité et la volonté de son génie, on dit que celui-ci est monté sur la femme [possédée] >> (1992 : 102). Certes, ici, l auteur n affirme pas explicitement que le ou la possédé(e) est le génie, mais les expressions employées (le génie est << monté sur la femme D) et la reconnaissance d une relation particulière entre un génie de naissance et un individu à l occasion d une transe, opération qualifiée i< d innovation religieuse >> en regard du cadre cosmologique ancestral, autorisent à envisager davantage qu une analogie entre le traitement de la transe dans les culte de possession et dans les mouvements prophétiques et christianisés. Dans étude que je mène sur un autre mouvement religieux congolais qui relève d une aire culturelle différente du précédent, le rapprochement entre manifestations de la possession dans l univers traditionnel et dans l église est parfaitement explicite, de même que la coïncidence entre l entité << possédante >> et le possédé, comme en témoigne ces pro- pos d une des responsables de 1 Eglise : (( Dans la tradition, la transe existait ; elle s appelait its- Wè. Lorsque les féticheurs travaillaient, ils pouvaient entrer en transes ; mais il n y avait que les [devins- 41
6 ~~ Marc-Éric Gruénais guérisseurs] qui entraient en. transes et non les malades. Dans la transe [qui se manifeste h 1 ;glise], c est 1 Esprit saint qui est en contact avec une personne. Pavois, c est l esprit du prophète lui-même ou encore l esprit des Envoyés. On vous voit, mais c est l esprit qui est en train de travaillerà travers vous >>. Dans les cultes de possession, lorsque le génie incorpore le possédé, ne pourrait-on pas également dire que l assistance voit le possédé, tout en sachant que c est en fait le génie qui << travaille >)? Les possédés des cultes des nouveaux mouvements religieux sont-ils toujours considérés comme étant non identifiables à l Esprit qui les possède? Sans nier, encore une fois, les nuances importantes entre les deux contextes de manifestation de la transe de possession, et sans oublier que toutes les églises prophétiques n opèrent pas, loin s en faut, le même traitement de la transe de possession, il me semble qu à analyser le rapport entre possession païenne et chrétienne en Afrique à l aune de la nature du lien qui unit l entité possédante et le possédé, la différence peut parfois être extrêmement ténue. Ne pas établir a priori de solution de continuité entre cultes de possession et cultes des Eglises christianisées permet dans un second temps de mieux appréhender les possibilités du passage des adeptes de l un à l autre et de mieux comprendre les processus de conversion. C est du moins ce que montre un article à paraître de V. Boyer sur le pentecôtisme brésilien. L auteur montre en effet comment le traitement de la transe par les mouvements pentecôtistes au Brésil contribue à constituer d une manière générale la possession par les esprits comme une des caractéristiques des systèmes religieux quels qu ils soient, facilitant dès lors le passage des adeptes des terreiros au pentecôtisme. Dès lors, à vouloir établir des distinctions trop nettes entre possessions païennes et possessions chrétiennes on se prive peut-être d une avancée supplémentaire dans la compréhension du religieux en général 42
7 Possédés c( païens )>. BBLOGRAPHE BASTDE Roger 1958, Le candomblé de Bahia, Paris, Mouton. et possédés chrétiens BOYER Véronique (à paraître) <( Possession et exorcisme dans une église pentecôtiste au Brésil >>, Cahiers des Sciences Humaines. HAGENBUCHER-SACRPANT1 Frank 1992, Santé et rédemption par les génies au Congo, Paris, Publisud 312 p. HEUSCH de Luc 197 1, (a) << Possession et chamanisme >>, in Pourquoi épouser?, Paris, Gallimard, 1971 : , (b) << La folie des dieux et la raison des hommes B, in Pourquoi 1 épouser?, Paris, Gallimard, : LEWS.M. 1977, Les religions de l extase, Paris, PUF, 1977 : 232 p. OLVER DE SARDAN Jean-Pierre 1993, << La surinterprétation politique : les cultes de possession hawka du Niger >>, in J.-F. Bayart (ed.), Religion et modernité politique en Afrique noire, Paris, Karthala : , << Possession, affliction et folie : les ruses de la thérapisation D, L Homme, 131, XXXV (3) : i ès lors, à iiennes et pplémen- ROUGET Gilbert 1980, La inusigue et la transe, Paris, Gallimard : 494 p. SUNDKLER B.G.M. 1961, Bantu prophets in South Africa, Londres, Oxford University Press (2ème ed.), octobre 1995 : 381 p. 43
8 FL& JOURNAL DES ANTHROPOLOGUES DOSSER EN JEUX DU REL[GPEUX no 63 Hiver
9 !.. T SOMMARE ssian et lui nous issocia- rcspon- \ T i > f i c HOMMAGES.b; pa f--.[b,l? - \ Catherine QUMNAL et Monique SÉLM mages d elle LL,-Cl fi- Jq Marc AUGÉ LJ Paroles DOSSER ENJEUX DU RELGEUX Marc-Henri PAULT A propos de religiosité André MARY, -. Pour une anthropologie des formes contemporaines du christianisme africain Marc-Éric GRUÉNAS Possédés (< païens )) et possédés chrétiens... Jean-Pierre DOZON 37 &2+ L ethnologue et le prophète... 45,O Pierre BONTE Hommage à Nicole Échard. Le mythe du Sarif BÛ Bazzûl Notes sur la possession féminine dans la société berbère Edmond BERNUS Thèmes croisés... Monique GADANT Les femmes algériennes, quel enjeu? Martine HOVANESSAN Les enjeux identitaires du religieux : le lien - (( nation et religion )) i? q 61 0 rc)_x i -.- t 7
OLIVIER BOBINEAU : L APPROCHE SOCIOLOGIQUE DES RELIGIONS
OLIVIERBOBINEAU:L APPROCHESOCIOLOGIQUEDESRELIGIONS Nousestimerionsquenosrecherchesneméritentpasune heuredepeinesiellesnedevaientavoirqu unintérêt spéculatif Durkheim,LaDivisionduTravailSocial,Introduction(1895).
Plus en détailPrésentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue
Santé Communautaire et accès aux soins en contexte tropical Présentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue Introduction Principes des recherches qualitatives Les étapes
Plus en détailECOLE SAINTE ANNE PROJET PEDAGOGIQUE ECOLE PRIMAIRE CATHOLIQUE HORS CONTRAT
ECOLE SAINTE ANNE PROJET PEDAGOGIQUE ECOLE PRIMAIRE CATHOLIQUE HORS CONTRAT L école Sainte-Anne a été fondée dans le souci de transmettre à nos enfants un enseignement complet intégrant l intelligence
Plus en détailMais revenons à ces deux textes du sermon sur la montagne dans l évangile de Matthieu.
«AIMER SES ENNEMIS» «Qui veut prendre ta tunique, laisse lui aussi ton manteau». Si quelqu un te force à faire mille pas, fais-en deux mille avec lui». «Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent»
Plus en détailCOMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION
Stephen Wang COMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION Mariage, sacerdoce, vie consacrée, diaconat permanent, célibat «Petits Traités Spirituels» Série III «Bonheur chrétien» éditions des Béatitudes Ava n t-p r o
Plus en détailLe Baptême des petits enfants en 25 questions
Le Baptême des petits enfants en 25 questions 1. Les parents doivent-ils être baptisés pour demander le baptême de leur Non, puisque c est la personne qui va recevoir le baptême qui est concernée. Tous
Plus en détailPrésentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques
Présentation du programme Éthique et culture religieuse Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Repères historiques 1964 1995 1996 1998 1999 1999 2000 2005 Création du ministère
Plus en détailAlain Souchon : Et si en plus y'a personne
Alain Souchon : Et si en plus y'a personne Paroles et musique : Alain Souchon et Laurent Voulzy Virgin / Emi Thèmes La religion, La guerre, Le fanatisme religieux. Objectifs Objectifs communicatifs : Exprimer
Plus en détailNATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques
NATIONS UNIES Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques www2.ohchr.org/english/issues/minorities Droits des minorités Introduction
Plus en détailRencontre avec un singe remarquable
Rencontre avec un singe remarquable Ce spectacle, inspiré du Kathakali, est une invitation au voyage, à la découverte d une culture aux multiples couleurs pour un récit plein de rêve et de magie Spectacle
Plus en détailprogramme connect Mars 2015 ICF-Léman
programme connect Mars 2015 ICF-Léman Déroulement des soirées 19:00-19:30 Accueil 19:30-20:00 Repas 20:00-20:05 Fin de repas / nettoyages 20:05-20:15 Annonces / infos 20:15-20:45 Programme vidéo ou étude
Plus en détailMylène a besoin d aide!
ER ER Cahier de l élève Mylène a besoin d aide! Enseignement religieux 5 e année Nom de l élève 5 e année 1 Mylène a besoin d aide Description de tâche Dans cette tâche, tu examineras la situation de Mylène
Plus en détailVisita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin
N. 0311 Lunedì 27.04.2015 Visita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin Il Santo Padre Francesco ha ricevuto questa mattina in Udienza i Vescovi della Conferenza Episcopale
Plus en détailLes ministères dans l église Ephésiens 4.11-16
1 Les ministères dans l église Ephésiens 4.11-16 Introduction : Pour qu une église puisse se développer harmonieusement il faut que chaque membre trouve sa place et remplisse sa fonction. Voila pourquoi
Plus en détail«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.
«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour
Plus en détailQue fait l Église pour le monde?
Leçon 7 Que fait l Église pour le monde? Dans notre dernière leçon, nous avons vu que les croyants ont des responsabilités vis-à-vis des autres croyants. Tous font partie de la famille de Dieu. Les chrétiens
Plus en détailMonsieur l Adjoint délégué à la Culture et à la Tauromachie,
Prise de Parole de Monsieur Jean-Paul FOURNIER Sénateur du Gard - Maire de Nîmes - Président de Nîmes Métropole Inauguration d une plaque dans le cadre du 450 ème anniversaire de la création de l Eglise
Plus en détailNous avons besoin de passeurs
1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailPOURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? Masson Alexis - www.epistheo.com
POURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? 1 Pourquoi Dieu permet-il le mal? Brève initiation au problème du mal MASSON Alexis Philosophie de la Religion www.epistheo.com 2 Première Partie UN SERIEUX PROBLEME 3 1
Plus en détailPourquoi enseigner le fait religieux à l école?
L ART AU MOYEN AGE LE FAIT RELIGIEUX BRIGITTE MORAND IUFM DE MONTPELLIER Pourquoi enseigner le fait religieux à l école? Il était une fois la mosquée de Cordoue, le codex de l apocalypse, la Sainte Chapelle,
Plus en détailLE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand
LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il
Plus en détailFaculté des Sciences Juridiques et Economiques de la Guadeloupe. Campus de Fouillole. Pour mieux vous aider A choisir vos matières
Faculté des Sciences Juridiques et Economiques de la Guadeloupe Campus de Fouillole 9757 Pointe-à-Pitre Pitre Cédex Pour mieux vous aider A choisir vos matières SOMMAIRE Page Schéma des études 3 Maquette
Plus en détailPrésentation du programme de danse Questions-réponses
Présentation du programme de danse Questions-réponses Description du programme Le DEC préuniversitaire en Danse du Cégep de Rimouski offre une formation collégiale préparatoire à la poursuite d études
Plus en détailCommunauté de travail des Églises chrétiennes en Suisse CTEC: Signature de la déclaration relative à la reconnaissance mutuelle du baptême
8 Assemblée des délégués du 16 au 18 juin 2013 à Filzbach Communauté de travail des Églises chrétiennes en Suisse CTEC: Signature de la déclaration relative à la reconnaissance mutuelle du baptême Proposition
Plus en détailCultiver l esprit d équipe
Cultiver l esprit d équipe Les objectifs : Promouvoir une prise de conscience de la nécessité de travailler en équipe et de cultiver les liens entre les personnes pour consolider l esprit d équipe Fournir
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Droit d accès
111 GUIDE PRATIQUE Droit d accès QU EST-CE QUE LE DROIT D ACCÈS? page 2 COMMENT EXERCER SON DROIT D ACCÈS? page 3 POUR ACCÉDER A QUOI? page 5 QUELLE RÉPONSE ATTENDRE? page 6 QUAND ET COMMENT SAISIR LA
Plus en détailEléments de débat ACPR. Vous trouverez dans ce document :
Eléments de débat ACPR Vous trouverez dans ce document : 1. Le courrier de l ACP (Autorité de Contrôle Prudentiel) qui fournit un premier cadre en vue d une reconnaissance légale (ou non) de nos projets
Plus en détailJe viens vous préparer à cet évènement : L illumination des consciences
Je viens vous préparer à cet évènement : L illumination des consciences Cette révélation est donnée en français à Sulema, une femme née en 1954 au Salvador. Depuis plus de 30 ans, elle vit au Canada avec
Plus en détailPROGRAMME DES COURS DE LICENCE
PROGRAMME DES COURS DE LICENCE DROIT PROCESSUEL (1 ère partie) ENSEIGNEMENTS ANNÉE C Abbé Bernard du PUY-MONTBRUN Ce cours sera consacré à l étude des procès canoniques. Après une introduction à l aide
Plus en détailQu est-ce qu une probabilité?
Chapitre 1 Qu est-ce qu une probabilité? 1 Modéliser une expérience dont on ne peut prédire le résultat 1.1 Ensemble fondamental d une expérience aléatoire Une expérience aléatoire est une expérience dont
Plus en détail1) Il n'y a pas d'apprentissage sans projet
HISTOIRE DES DOCTRINES PÉDAGOGIQUES SÉANCE N 6 : La "ruse" avec le désir de l'autre... ou... la pédagogie aux prises avec le "projet" PLAN Introduction : "comment faire aimer les mathématiques à une jeune
Plus en détailDISCOURS DIRECT ET INDIRECT
DISCOURS DIRECT ET INDIRECT Si vous voulez rapporter les paroles de quelqu un, vous pouvez utiliser le discours direct ou le discours indirect (nous n aborderons pas ici le style indirect libre, qui relève
Plus en détailCHANT AVEC TOI NOUS IRONS AU DÉSERT (G 229)
CHANT AVEC TOI NOUS IRONS AU DÉSERT (G 229) 1 Seigneur, avec toi nous irons au désert, Poussés comme toi par l Esprit (bis). Et nous mangerons la parole de Dieu Et nous choisirons notre Dieu Et nous fêterons
Plus en détailQu est-ce qu une tâche?
Qu est-ce qu une tâche? «Tâches», «Perspective actionnelle», «activités centrées sur le sens» Ce sont des concepts dont on entend beaucoup parler dans notre profession, mais que signifient-ils exactement?
Plus en détailL AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises
Communiqué de presse L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Objectif : Aider les managers à gérer la diversité religieuse au quotidien Alors que la question de l expression religieuse
Plus en détailTapori France ATD Quart Monde 2014 1/5
1/5 Les enfants, acteurs essentiels du combat contre les idées reçues. Prendre en compte leur parole et les actes concrets qu ils posent. Réfléchir et débattre ensemble PROPOSER UN DEBAT PHILO Il s'agit
Plus en détailPROCES-VERBAL de la séance ordinaire du Conseil communal du 13 décembre 2012
PROCES-VERBAL de la séance ordinaire du Conseil communal du 13 décembre 2012 Lieu : à 19 h. 30 en sa salle Présidence : M. René Ansermet Le Président, M. René Ansermet, remercie les conseillères et conseillers
Plus en détailHaïlé Sélassié et le rastafarisme
Un empereur nommé Jah Haïlé Sélassié et le rastafarisme Le rastafarisme est une religion personnelle qui met l accent sur la dignité personnelle et le profond amour de Dieu. Lion de la tribu de Juda Hailé
Plus en détailLivret de d Ma M gi g e
Livret de Magie La magie La magie est une arme tout aussi efficace qu'une épée ou qu'une hache voire plus dévastatrice si elle est correctement utilisée! Il est recommandé au magicien de tous niveaux de
Plus en détailDES FEMMES GUINENNES BENEFICIENT D UNE FORMATION EN LEADERSHIP TRANSFORMATIONNEL DANS LE CADRE D UN PROGRAMME ELABORE A CET EFFET
DES FEMMES GUINENNES BENEFICIENT D UNE FORMATION EN LEADERSHIP TRANSFORMATIONNEL DANS LE CADRE D UN PROGRAMME ELABORE A CET EFFET «Ce programme est très bénéfique pour les femmes guinéennes car il développe
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détail«POUR NOUS IL L A FAIT PÉCHÉ» Sur II Corinthiens V, 20 - VI, 2
«POUR NOUS IL L A FAIT PÉCHÉ» Sur II Corinthiens V, 20 - VI, 2 (V, 20) C est pour Christ que nous sommes en ambassade, puisque c est Dieu qui appelle par nous. Nous vous (le) demandons pour Christ, réconciliez-vous
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailEntraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions?
Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Il est clair que la finalité principale d une démarche d investigation est de faire acquérir des connaissances aux élèves.
Plus en détail«Santé maternelle et infantile et planification familiale» «Le post-partum dans le Cambodge contemporain une superposition de savoirs et de pratiques»
Département EHS Séminaire 2014-2016 «Le développement à l épreuve des cultures et des religions» Séance du 13 janvier 2015 Intervenants : Dr Catherine Bonnaud Mme Clémence Schantz Inguenault Compte - rendu
Plus en détailelle devrait bientôt débarquer en Belgique.
Vendue à bas prix, dès la fin de ce mois, la Way-C est la première tablette conçue sur le continent noir. Selon son concepteur congolais (Brazzaville), elle devrait bientôt débarquer en Belgique. C est
Plus en détailPréface de Germain Duclos
je suis capable! i, Moi auss Marie-Francine Hébert Marie-Claude Favreau Préface de Germain Duclos Moi aussi je suis capable! Texte : Marie-Francine Hébert Illustrations : Marie-Claude Favreau Préface
Plus en détailTétanisés par la spirale de la violence? Non!
MERCREDI DES CENDRES B Frère Antoine-Emmanuel Jl 2, 12-18 ; Ps 50 2 Co 5, 20 6,2 ; Mt 6, 1-6.16-18 18 février 2015 Sanctuaire du Saint Sacrement, Montréal Tétanisés par la spirale de la violence? Non!
Plus en détailRÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle
RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le
Plus en détailUniversité d été du LASDEL
LASDEL Laboratoire d études et recherches sur les dynamiques sociales et le développement local BP 12 901, Niamey, Niger tél. (227) 20 72 37 80 BP 1 383, Parakou, Bénin tél. (229) 23 10 10 50 Université
Plus en détailQU EST-CE QUE TRAVAILLER EN ÎLOTS BONIFIÉS?
Travailler en îlots bonifés selon la méthode pédagogique créée par Marie Rivoire. par Catherine Manesse et Anne Dauvergne IPR Langues vivantes Académie de Dijon Cette façon de travailler, dont on entend
Plus en détailGrande Loge Féminine de France
... La transformation du monde commence par la construction de soi... Grande Loge Féminine de France DOSSIER DE PRESSE Contact presse : 33(0)1 71 04 58 14 courriel : communication@glff.org Site : www.glff.org
Plus en détailL Enseignement religieux au Luxembourg. Sondage TNS-ILRES Juillet 08 N 11
L Enseignement religieux au Luxembourg Sondage TNS-ILRES Juillet 08 11 5 av. Marie Thérèse L-2132 Luxembourg tél.: 44743-501 sesopi-ci@sesopi-ci.lu www.sesopi-ci.lu 978-2-9599806-3-3 Documentation Etude
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailQui est dupe du coaching?
Qui est dupe du coaching? Dans la rubrique «comprendre» du numéro 165, Sciences Humaines consacre quelques pages à une analyse du coaching en entreprise, abordé aussi dans le numéro 158 qui décrivait les
Plus en détailLà où vont nos pères1
Là où vont nos pères1 Ces pages ne cherchent pas à servir de guide d interprétation pour cet album sans paroles. Chacun y cherchera et y trouvera des significations personnelles, des situations familières
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailMASTER EN SCIENCES SOCIALES DES RELIGIONS
MASTER EN SCIENCES SOCIALES DES RELIGIONS UFR CRAC CENTRE D ETUDE DES RELIGIONS Table des matières I. Contexte... 2 II. Offre de formation... 2 III. Présentation des débouchés... 2 IV. Organisation...
Plus en détailERIC FRECHON. La cuisine pour un vélo, cela semble bien surprenant. Et pourtant, c est bien pour cela qu Eric Frechon est arrivé aux fourneaux.
Roméo Balancourt Roméo Balancourt ERIC FRECHON Portrait d un homme Portrait d un Chef La cuisine pour un vélo, cela semble bien surprenant. Et pourtant, c est bien pour cela qu Eric Frechon est arrivé
Plus en détailPREVENIR LA CORRUPTION
PREVENIR LA CORRUPTION APPLICATION DE LA CONVENTION DES NATIONS UNIES CONTRE LA CORRUPTION TUNIS SEPTEMBRE 2012 Dr. JEAN PIERRE BUEB EXPERT INTERNATIONAL 1 - QUELLE CORRUPTION? Bien préciser de quoi l
Plus en détailAVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com
AVERTISSEMENT Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com Ce texte est protégé par les droits d auteur. En conséquence avant son exploitation vous devez obtenir l autorisation
Plus en détailQu est-ce que la laïcité à la française? par Pierre Bréchon
Laïcité française et rôle des religions dans l espace public par Pierre Bréchon Professeur de science politique, Institut d études politiques de Grenoble, Centre d informatisation des données socio-politiques
Plus en détailBMW Wallonie Moto Club ASBL
Adresse siège social : Rue du Coron 87 - B7070 VILLE-SUR-HAINE N d entreprise : 888.949.768 AXA : 751-2029472-78 Mobile : +32(0)496.24.06.98 Fax : +32(0)65.87.39.54 Site internet : http://www.moto-club-bmw-wallonie.be
Plus en détailQuelques exemples de croyants célibataires
Périodique de matière biblique pour les jeunes - Août 2013 - Numéro 16 Quelques exemples de croyants célibataires La situation du chrétien En 1 Corinthiens 7, Paul aborde le sujet du chrétien célibataire.
Plus en détailLe Baptême de notre enfant
Le Baptême de notre enfant Baptême de notre enfant : Le à l église de Ce même jour, ils ont également reçu le baptême 1 Chers parents, Déroulement de la célébration (p 3-8) 1. Accueil et entrée dans l
Plus en détailGuide pratique : Je maitrise mon image sur les médias sociaux!
Guide pratique : Je maitrise mon image sur les médias sociaux! Ce guide, dédié aux étudiants de l université de Bourgogne a pour objec f de donner des conseils et des bonnes pra ques pour u liser au mieux
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailIl n est ordinairement attribué
Les 39 degrés de la Franc-Maçonnerie Plan du fonctionnemt de la Maçonnerie et détail des degrés supérieurs Ci dessus, symbole maçonnique sur le dollar américain Il n est ordinairement attribué que 33 degré
Plus en détailEpithète. Person a. i!(mouton de vapeur) i! Epithète. et Person a
Epithète et Person a Marionnettes habitées et déshabitées. Epithète et Person a i!(mouton de vapeur) i! -Jeux de masque sur, dans, avec, contre le masque! -Corps qui «fait face»! -Personnages échappés
Plus en détailDon d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007.
Don d organes Donner ses organes et ses tissus à son décès est un geste généreux qui permet de sauver la vie de plusieurs personnes et d en aider de nombreuses autres à recouvrer la santé. La transplantation
Plus en détailLa technologie de la voix sur réseau IP (VoIP) fait son chemin
Shutterstock La technologie de la voix sur réseau IP (VoIP) fait son chemin Au cours des dix dernières années, poussés par la croissance des réseaux large bande et la réduction des coûts, les services
Plus en détailPour un principe matérialiste fort. Jean-Paul Baquiast
Pour un principe matérialiste fort Jean-Paul Baquiast Plan détaillé :. Pour un matérialisme fort Le retour en force du dogmatisme religieux Nécessité d un renouvellement du matérialisme Que sont les nouvelles
Plus en détailREPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880
REPUBLIQUE ET FAIT RELIGIEUX DEPUIS 1880 «La grande idée, la notion fondamentale de l Etat laïque, c est-àdire la délimitation profonde entre le temporel et le spirituel, est entrée dans nos mœurs de manière
Plus en détailS organiser autrement
S organiser autrement Dominique Tibéri enseignant en cycle 3 et formateur à l IUFM Nancy (54) propose ici une alternative à la préparation de classe telle qu elle est demandée par l Institution. Préparer
Plus en détailVies consacrées, 78 (2006-3), 182-186
Vies consacrées, 78 (2006-3), 182-186 Le célibat consacré, le célibat non choisi: Epousailles ou naissance d en-haut? La consécration du corps au Christ est un élément essentiel dans la vie de tout baptisé.
Plus en détailCONDITIONS PARTICULIÈRES
1 CONDITIONS PARTICULIÈRES DE PARTICIPATION AU PROGRAMME BONUS SURPRIZE just for you 2 3 1. Termes est un programme bonus développé par Viseca Card Services SA qui offre de nombreux avantages. Il est ainsi
Plus en détailSOMMAIRE. > Notre premier concurrent. > Notre second concurrent.
SOMMAIRE I. Etude de marché. > Le marché du chocolat en France. > La marque. > Les points forts de la marque. > Les différents produits de la marque. > Les action menées par la marque. II. Etude de la
Plus en détailI. FAIR-PLAY, D OÙ VIENS-TU? QUI ES-TU?
I. FAIR-PLAY, D OÙ VIENS-TU? QUI ES-TU? Le fair-play est une notion bien souvent employée à tort et à travers. Associée surtout au vocabulaire sportif, elle s applique aujourd hui à de multiples situations,
Plus en détailMÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART. première partie
MÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART première partie Alessandra Guerra En France il y a des jugements sur la question psychothérapiepsychanalyse J ai entendu
Plus en détailVOTRE PROCHE A FAIT DON DE SON CORPS. Ecole de Chirurgie ou Faculté de Médecine
VOTRE PROCHE A FAIT DON DE SON CORPS Ecole de Chirurgie ou Faculté de Médecine Que devient son corps? Quelle cérémonie envisager? Quel lieu de mémoire? Comment vivre ce deuil? Quels accompagnements sont
Plus en détail13 Quelle est l église du Nouveau Testament?
DU NOUVEAU TESTAMENT? 169 13 Quelle est l église du Nouveau Testament? Ainsi, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ et nous sommes tous membres les uns des autres (Rm 12.5). Par
Plus en détailLIVRET DE FORMATION JEUNE JUGE JEUNE ARBITRE. www.ugsel.org
LIVRET DE FORMATION JEUNE JUGE JEUNE ARBITRE www.ugsel.org RÔLE DU LIVRET DE FORMATION MISSIONS DU JEUNE ARBITRE I JEUNE JUGE Ce livret guidera l élève engagé dans la formation. Aussi il témoigne de l
Plus en détailPréparation de la visite. Visite symbolique et spirituelle Groupes: 6 e, 5 e, 4 e et 3 e (collège) Visites éducatives de la Sagrada Família
Visites éducatives de la Sagrada Família Préparation de la visite. Visite et spirituelle Groupes: 6 e, 5 e, 4 e et 3 e () 1 0. À la découverte de l église La Sagrada Família ouvre ses portes au regard
Plus en détailAnnie Claude Sortant-Delanoë. L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir
Annie Claude Sortant-Delanoë L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir À sa naissance, l enfant est un organisme dont le cri exprime un besoin. Ce cri n a aucune intention de signification.
Plus en détailVISUAL STUDIO ET LES ANCIENS ETUDIANTS DE L IAI
VISUAL STUDIO ET LES ANCIENS ETUDIANTS DE L IAI HISTORIQUE L INSTITUT AFRICAIN D INFORMTIQUE (IAI) est une institut de formation Africaine renommée dans la Programmation des applications informatiques.au
Plus en détailFACULTE DE DROIT. 1. Premier Graduat I. CYCLE DE GRADUAT. 2. Deuxième Graduat
FACULTE DE DROIT I. CYCLE DE GRADUAT 1. Premier Graduat 1. l éducation à la citoyenneté 30 30 2. l anglais 30 15 45 3. l introduction générale à l étude du droit (droit privé 60 30 90 et droit public 4.
Plus en détailEDITORIAL ECOLE DE L INITIATION EN LA LANGUE MATERNE, A LA CULTURE, A LA TRADITION ET AUX COUTUMES BAPA
EDITORIAL ECOLE DE L INITIATION EN LA LANGUE MATERNE, A LA CULTURE, A LA TRADITION ET AUX COUTUMES BAPA A Bapa, nous avons déjà réalisé plusieurs projets fondateurs et déterminants pour notre village à
Plus en détailTrouver sa façon de flotter : quelle est la mienne?
Trouver sa façon de flotter : quelle est la mienne? Le bain flottant est un espace libre de toute stimulation et contrainte au corps et à l esprit. À l intérieur, il n y a que vous sans les distractions
Plus en détailCours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»
«LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du
Plus en détailDonner, léguer... pour la vie et les projets de l Église Réformée à Lyon. Parlons-en!
Donner, léguer... pour la vie et les projets de l Église Réformée à Lyon Parlons-en! 2 Les dons dons classiques dons «ISF» L unique ressource financière de l Église, c est le don. Dans un monde qui a tendance
Plus en détaild utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel
www.doctrinesocialeeglise.org 1 Voir - Juger - Agir Méthode de réflexion r et d utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel Pour aller plus loin dans le détaild merci de se reporter au livre : «Construire
Plus en détailPrésentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes
Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes par Dominique Folscheid et Brice de Malherbe, co-directeurs du département d Ethique biomédicale,
Plus en détailLes Francs-maçons et leur religion Publibook
Jacques Duchenne Les Francs-maçons et leur religion Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook est protégé
Plus en détailCamus l a joliment formulé : le seul. introduction
introduction Camus l a joliment formulé : le seul choix qui s offre à nous, aujourd hui, est d être soit un pessimiste qui rit, soit un optimiste qui pleure. L optimiste croit que tout va bien. Dans La
Plus en détailSi j étais né ailleurs, seraisje différent?
Si j étais né ailleurs, seraisje différent? Compétence ou problématique abordée : Identifier ce qui m a conditionné, ce qui m a construit : - au plan éducatif - au plan social - au plan culturel Concepts
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailCompte rendu de la formation
Compte rendu de la formation «Expertise de vos pratiques en Méthode Naturelle de la Lecture et de l Ecriture (MNLE)» Animée par Sybille Grandamy Le 10 mars 2015 BILAN QUALITATIF ET QUANTITATIF 9 participant(e)s
Plus en détailQu est-ce que le pansori? Je voudrais pour commencer interroger les raisons qui m ont amenée à me poser cette question, et à me la poser en français
AVANT-PROPOS Qu est-ce que le pansori? Je voudrais pour commencer interroger les raisons qui m ont amenée à me poser cette question, et à me la poser en français dans le cadre d une recherche avancée.
Plus en détail