Médecine générale et soins spécialisés: Comment améliorer les partenariats?
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- Lucien Perrot
- il y a 8 ans
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1 Médecine générale et soins spécialisés: Comment améliorer les partenariats? Docteur Philippe CASTERA Maître de conférences associé de médecine générale (Université de Bordeaux) Coordinateur du réseau addictions Gironde-Aquitaine (AGIR 33 Aquitaine) «Les ACTEURS de TERRAIN aux côtés du PATIENT» Mars 2015 Maison internationale, Paris
2 Plan 1. Le contexte 2. Les obstacles et leurs solutions 3. L annuaire en ligne 4. La visite de santé publique 5. Le e-learning et les tutoriels
3 Plan 1. Le contexte 2. Les obstacles et leurs solutions 3. L annuaire en ligne 4. La visite de santé publique 5. Le e-learning et les tutoriels
4 La médecine générale et ses missions Proximité 1er contact médical avec le système de soins Proximité humaine et géographique Continuité Jusqu au domicile A toutes heures Toute la vie Coordination Synthétiser les informations Coordonner les intervenants Partager les informations Impliquer le patient dans ses soins S articuler avec le social Orientation Orienter le patient dans le système de santé L aider à construire son parcours de santé et de soins Le motiver et l amener à concrétiser ses orientations Spécificités de la médecine générale
5 Les atouts du médecin généraliste Il connait bien la personne: Son entourage Ses conditions de vie et de travail Beaucoup de ses valeurs et de ses difficultés Souvent dans la durée Dans la répétition des rencontres Il en partage le territoire Il bénéficie de sa confiance
6 Point clé 1 Les soins spécialisés ont besoin du MG : Pour sa connaissance du patient et du contexte Pour favoriser la proximité et la continuité des soins Pour une meilleure coordination autour du patient.
7 Les addictions souvent mal connues en MG MG MG Doit aborder la question En dehors du motif de Cs Rémunéré à l acte Intérêt des actes courts complexité Cas général complexité Vient pour un autre motif N a pas de demande Connait bien son MG Veut préserver son image Patient
8 Point clé 2 La position du MG implique une plus grande complexité: Aborder la question en l absence de demande et en plus du motif de consultation Alors que la rémunération à l acte favorise les actes courts pour une rentabilité du cabinet Et que le patient peut avoir du mal à montrer ses faiblesses à son médecin Cette complexité explique pour partie le sous-diagnostic des addictions en soins primaires
9 La prise en charge globale = une nécessité La maladie somatique? La maladie mentale? Les addictions? Le travail? Le logement? Les droits sociaux? L entourage? La précarité? L incurie? La prise en charge globale = une difficulté
10 Point clé 3 Le MG a besoin des soins spécialisés : Pour compléter son diagnostic Pour faciliter la PEC globale Pour bénéficier de l expertise Pour avoir du soutien Sous la condition d un partenariat avec échanges
11 Plan 1. Le contexte 2. Les obstacles et leurs solutions 3. L annuaire en ligne 4. La visite de santé publique 5. Le e-learning et les tutoriels
12 Les obstacles au partenariat Vécu ou représentations Je ne sais pas vers qui orienter Je n ai pas de soutien Je ne sais pas quoi faire Ca prend trop de temps Je n ai aucun retour Solutions Annuaires en ligne Visites de santé publique Réseaux Microstructures Tutoriels et e-learning Avis/intervisions Faciliter les contacts Contacts personnalisés Diminuer les délais de RV Favoriser les échanges
13 Point clé 4 Améliorer le partenariat c est un ensemble de mesures Concertées (décidées ensemble) Cohérentes (logiques entre elles) Congruentes (s articulant naturellement) Coordonnées (articulations organisées) Favorisant les relais MG soins spécialisés
14 Deux types de solutions A grande échelle Annuaires en ligne Visites de santé publique Tutoriels et e-learning Portées par des structures régionales comme certains réseaux En proximité Microstructures Avis spécialisés Contacts/intervisions Portées par des structures de proximité comme les CSAPA ou certains réseaux
15 Point clé 5 Associer les actions A grande échelle et En proximité Pour optimiser les partenariats Favoriser à la fois L autonomie et Le soutien Pour répondre aux différents besoins
16 Plan 1. Le contexte 2. Les obstacles et leurs solutions 3. L annuaire en ligne 4. La visite de santé publique 5. Le e-learning et les tutoriels
17 Pourquoi un annuaire en ligne? GOURLAT N. Développement du site recherche-action en médecine générale pour faciliter l accès aux ressources en addictologie sur les territoires d Aquitaine [Thèse Médecine]. Bordeaux, 2014.
18 Internet, un outil maîtrisé 1. Aquitaine Europe Communication. Diagnostic 2004 de la société de l information en Aquitaine : Haute Autorité de Santé (HAS). Le patient internaute. Revue de la littérature :24-57.
19 Une absence de site Web adapté pour la MG Actualisation possible en régional
20 Un annuaire dès la page d accueil Conçu à partir des besoins des médecins, des patients et de leur entourage suite à deux focus groupes Construit selon les recommandations de l HAS et de l US Department of Health and Human Services Incluant les associations de patients Centré sur les consultations de 1er accueil Actualisé en continu Avec un résultat pertinent en 10 s en moyenne
21 On obtient une liste de ressources
22 On clique sur un nom pour obtenir la fiche
23 Plan 1. Le contexte 2. Les obstacles et leurs solutions 3. L annuaire en ligne 4. La visite de santé publique 5. Le e-learning et les tutoriels
24 Pourquoi une visite de santé publique? Une des méthodes les plus efficaces pour obtenir les modifications de comportements professionnels des médecins (Revue de Davis et al. 1995). Un outil distribué au cours d une visite est plus et mieux utilisé qu un outil adressé par courrier (Revue de Thomson et al. 1997). Ayant démontré sa faisabilité et son utilité (Castera et al. RESP 2013)
25 Les objectifs Changer les représentations sur les usagers, leurs conduites addictives, sur les structures spécialisées, Lever certains obstacles concrets à l implication, Favoriser la connaissance des ressources, Favoriser la coordination autour du patient. La Déléguée Santé Prévention (DSP) Financement ARS Aquitaine
26 La DSP les points forts Le DSP : les points forts Moyen unique d accès à la majorité des MG Entretien motivationnel à partir de leurs représentations, de leur stade de changement Informations «territorialisées», «personnalisées» Documents remis en main propre, expliqués. Permet un diagnostic local par les MG du secteur. Partenariat entre structures et majorité des MG Plus de 70% des MG visités, chaque année
27 Plan 1. Le contexte 2. Les obstacles et leurs solutions 3. L annuaire en ligne 4. La visite de santé publique 5. Le e-learning et les tutoriels
28 Pourquoi le e-learning? Des informations: Facilement accessibles, à tout moment Economiques (temps, argent, investissement) Sur mesure, selon les besoins et les choix Validées Territorialisées Faciles à diffuser Faciles à actualiser
29 Comment le e-learning? Des tutoriels : 2-3 minutes au maximum Sur des points précis pouvant poser problème Sur la pratique en soins primaires Tenant compte des particularités territoriales Pour des MG non addictologues Des vidéos pour illustrer des attitudes Un site d e-learning médiatisé, facile d accès, en lien avec l annuaire en ligne et promu par la DSP.
30 Point clé 6 - conclusion Des actions d autant plus efficaces qu elles existent toutes sur le même territoire. Des actions facilitées par des échanges de savoir-faire entre les différents territoires Des actions pouvant bénéficier à tous, et non à une minorité ciblée Mais des actions nécessitant un financement pérenne et stable. Merci pour votre attention!
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