Galan Briceño Juana, Bonvin Grégoire, Origa Magali, Osini Stéphanie
|
|
- Stéphanie Clermont
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ANALYSE DE PROTEINES DANS LA LEVURE. I. But : Le but de ce TP est l analyse quantitative d une protéine de levure, l hexokinase, qui joue un rôle essentiel dans le mécanisme de la glycolyse. Nous utiliserons pour ce faire des techniques couramment utilisées pour ce type d analyses. II. Introduction partie théorique : L analyse d une protéine en particulier demande un certain nombre de manipulations dont les principes, découlant de techniques mises au point il y a de ça plusieurs décennies, sont restées pratiquement inchangées. La première étape, l extraction des protéines, se fait en lysant les levures par un moyen mécanique (billes de verres) tout en préservant les protéines de la dégradation, puis en isolant les protéines en les précipitant. Les concentrations des protéines des échantillons ainsi obtenues peuvent être déterminées par la méthode de Lowry, une méthode ancienne et encore largement utilisée car elle est très sensible et assez constante d une protéine à une autre. Cette méthode a pour principe le fait que sous conditions alcalines, les ions Cu 2+ forment un complexe avec les liaisons peptidiques des protéines, ce qui permet la liaison du réactif de Folin-Ciocalteus sur les protéines. Cette liaison est réduite en hétéropolymobyldène bleu par l oxydation catalysée par le cuivre des acides aromatiques. Cette réaction provoque un changement de couleur de jaune à bleu qui peut être mesurée par un spectrophotomètre. Ainsi, on peut déterminer la concentration des protéines en solution dans un échantillon donné en se basant sur une courbe étalon faite à partir d un standard de BSA (bovine serum albumin). Des résultats plus précis peuvent être obtenu en faisant une courbe standard pour la protéine d intérêt mais ce n est pas toujours possible. Puis, la séparation des protéines selon leur poids moléculaire est typiquement réalisée par la méthode de SDS-PAGE. Le SDS est un détergent ionique qui établit en présence de protéines de fortes liaisons hydrophobes avec toutes les chaînes polypeptidiques, formant des complexes caractérisés par un rapport constant SDS:protéines (environ 1,4:1 en masse) de la forme de bâtonnets (à la condition que les éventuels ponts disulfures aient été préalablement réduit, par du 2- mercaptoéthanol par exemple). A ph neutre ou alcalin, le détergent est chargé négativement et les sous-unités dénaturées possèdent toutes la même densité de charge. Lors de l application d une tension électrique à un gel de polyacrylamide contenant du SDS et des échantillons de protéines, la vitesse de migration de ces dernières ne sera fonction que de leurs tailles respectives (telles qu elles interagiront avec la porosité du gel). On évalue le poids moléculaire de chaque espèce en comparant sa migration à celle de chaîne polypeptidique étalons placées dans le même gel. Finalement, la technique de western blotting (aussi appelé immunotransfert) permet d identifier des protéines après transfert du résultat du gel SDS-PAGE sur une membrane de nitrocellulose par réaction avec les anticorps 1
2 appropriés. Les anticorps dits primaires sont spécifiques pour telle ou telle protéine transférée, alors que les anticorps dits secondaires sont dirigés contre la région constante des anticorps primaire. De plus, les anticorps secondaires sont couplés à une enzyme comme l horseradish peroxydase (HRP), qui catalyse l oxydation du luminol en conditions alcaline. Ainsi excité, le luminol revient à son état fondamental en émettant une fluorescence qui est détectée par une courte exposition sur un film autoradiographique. III. Résultats : Purification et détermination de la quantité de protéines dans nos échantillons : Après purification de nos protéines, nous avons obtenus trois tubes : deux contenants l extrait brut (= «crude extract», séparé dans les deux tubes) et un contenant le culot obtenu après les dernières centrifugation. On a ensuite préparé 2*10 échantillons (duplicata) pour la détermination de la concentration de protéines dans nos échantillons d extrait brut. Les sept premiers tubes contenaient nos concentrations étalons de protéines BSA et les trois derniers (tubes 8, 9 et 10) contenaient différents volumes de nos échantillons venant d un de nos tubes d extrait brut. Puis on a mesuré l absorbance de nos deux séries de duplicata avant de tracer le graphe de l absorbance A 750 en fonction de la concentration en protéines (en µg/µl) ( voir graphe, page annexe 1) en prenant les moyennes des deux valeurs obtenues à chaque duplicata de 1 à 7, sauf pour les points 4 et 6 car leurs valeurs divergeaient trop. On trace ensuite une droite de régression en ignorant les dernières valeurs qui s éloignent de la linéarité (limites de la loi de Lambert-Beer) et on se sert de cette droite pour obtenir les concentrations des tubes 8 à 10 à partir de leur absorbance. table des absorbances tubes BSA µl / / / protein extract µl / / / / / / / NS solution µl / A750 nm 1er A750 nm 2ème moyenne Pour le tube 8, on a ainsi une concentration de 0.59µg/µL, ce qui correspond à : 0.59µg/µL * 10µL = 5.9µg de protéines dans notre échantillon. Pour le tube 9, on a ainsi une concentration de 0.84µg/µL, ce qui correspond à : 0.84µg/µL * 20µL = 16.8µg de protéines dans notre échantillon. La valeur d absorbance du tube 10 étant très grande, on peut considérer qu on est au-delà des limites de la loi de Lambert-Beer et on n en tient pas compte. 2
3 Pour les calculs suivants on a pris comme valeur celle du tube 8, la plus appropriée car au milieu de nos valeurs standard. C'est-à-dire qu on estime avoir 5.9µg de protéines dans notre échantillon. SDS-PAGE et rouge Ponceau : 15 échantillons sont préparés selon la «tableau pour charger les gels» tableau pour charger les gels sample volume µl sample buffer µl 1 sample buffer x molecular weight stand yeast extract 0.5 µg yeast extract 1.0 µg yeast extract 2.0 µg yeast extract 4.0 µg yeast extract 8.0 µg 20.8 / 8 pellet 20.8 / 9 molecular weight stand purified yeast hexokin ng purified yeast hexokin ng purified yeast hexokin. 25 ng purified yeast hexokin. 50 ng purified yeast hexokin. 100 ng sample buffer x Ces solutions sont chargées sur le gel SDS. A la suite de l électrophorèse sur gel SDS-PAGE, le gel est coloré avec du rouge ponceau pour mettre en évidence la présence de protéines puis est rapidement photocopié ( c.f photocopie du gel SDS-PAGE révélé au rouge Ponceau, page annexe 2). Cette photocopie sert principalement de repère pour la suite des opérations, et permet également de vérifier que la migration a bien fonctionné (mais étant donné que nos standards de poids moléculaires sont déjà colorés, cette étape a surtout lieu juste pour la forme ). Western blotting : La révélation des protéines par le luminol puis la photographie de notre gel après transfert sur nitrocellulose nous permet de déterminer le poids moléculaire de l hexokinase ainsi que la quantité d hexokinase dans notre extrait de levure ( c.f film autoradiographique page annexe 3). Pour rappel et selon le tableau préparé pour charger les gels: Les colonnes n 2 et n 9 représentent les molecular weight sandard. Les colonnes n 3 à n 7 représentent différentes quantités d extrait de levure, la n 8 est notre culot et les colonnes n 10 à 14 représentent différentes quantités d hexokinase purifié. 3
4 Poids moléculaires standard (n 2 et 9 ): On calcule à partir de la ligne du haut (c.f annexe 4), le nombre de millimètres jusqu aux protéines standard dont le poids moléculaire est déjà déterminé (c.f p.16 protocole). Ceci nous permet de tracer sur un graphique logarithmique une droite. Puis pour déterminer le poids moléculaire de l hexokinase, on mesure le nombre de millimètre jusqu a l hexokinase (colonne n 11) et on y reporte sur notre graphique. D après nos résultats le poids moléculaires de l hexokinase est de 45 kda (c.f graphique poids moléculaire de l hexokinase page annexe 4). Selon la théorie, le poids moléculaire de l hexokinase est de 49 kda. Culot (n 8) : la photographie nous montre qu il reste de l hexokinase dans notre culot. Les protéines n ont donc pas été extraites de façon optimale. Quantité d hexokinase dans un extrait de levure : Selon les intensités des colonnes n 3 à 7 comparées à celles des colonnes n 10 à 14, on détermine 50 ng d hexokinase (n 13) dans 2 µg d extrait de levure (n 5). IV. Réponses aux questions 1. Quantité d extrait de levure choisie : 2 µg Quantité d hexokinase purifiée choisie : 50 ng Concentration de protéine dans 1ml d extrait de levure : 5.9 µg/ µl = 5900 µg /ml 0. 5[ µ g] 5900[ µ g / ml] = 1475[ ug / ml] = [ mg / ml] 2[ µ g] 2. 1DO 600 = 1.2*10 7 cellules/ml 10.6 DO 600 = 1.3*10 8 cellules/ml Quantité d hexokinase par cellule levure : 1475[ g / ml] = [ cellules / ml] µ 5 [ µ g / cellules] Quantité totale de protéines Concentration de protéine dans 1ml d extrait de levure : 5.9 µg/ µl Volume prélevé : 0.5 ml = 500 µl 5. 9[ µ g / µ L] 500[ µ L] = 2950[ µ g] 3. masse d hexokinase par cellule : µg / cellules Masse de protéine:2950 µg [ µ g / cellules] 7 % hexokinase par protéines totales : 100 = 4 10 % µ 2950[ 4. poids moléculaire hexokinase= 45 kda Pour 1.16*10-11 g d hexokinase par cellule on a : * [ g ]* = molécules d hexokinase par cellules. g] 4
5 5. Il existe d autres moyens physiques (préférables à des moyens chimiques qui pourraient ensuite s attaquer aux composants de la cellule) pour désintégrer la membrane plasmique des levures, comme la sonication d une suspension de cellules par des ultrasons. On peut aussi déchirer les membranes dans un homogénéiseur sous pression qui lamine les cellules en les poussant dans l interstice étroit formé entre un piston et la paroi de son cylindre. Parfois, on profite du flux osmotique pour faire éclater les cellules ; il suffit de les suspendre dans une solution hypotonique, c'est-à-dire dont la concentration saline est inférieure à celle du milieu extérieur, car la membrane plasmique est tout à fait perméable à l eau mais peu aux sels et autres molécules les solutés du cytosol. L eau passe donc de sa solution diluée extracellulaire à la solution de concentration normale (isotonique) intracellulaire, provoquant le gonflement puis l éclatement de la cellule. 6. Le TCA aide à précipiter les protéines afin des les isoler du reste des composants. L acétone élimine l excès de TCA pour que la suspension ait lieu et qu ainsi les protéines se redissolvent. 7. La méthode de Lowry est basée sur la réduction du Cu 2+ en Cu +, puis le Cu + est utilisé pour réduire le réactif de Folin. Cette méthode est sensible à l EDTA, le DTT, le β-mercapto, l'hepes, le Tris, le triton X-100, le NP-40. Un réactif capable de réagir avec le Cu + empêcherait ce dernier de réagir avec le réactif de Folin. D autres méthodes peuvent être utilisées : Bradford, biuret. [3] 8. Le bleu de Coomassie est un révélateur utilisé dans l électrofocalisation à la place du SDS. Cette méthode est appelée blue native electrophoresis.[3] 9. L électrofocalisation basée sur les proportions respectives des protéines en résidus acides ou basiques permet également de les séparer. Chaque protéine migrera jusqu au ph ou sa charge globale est égale à 0 c'est-à-dire jusqu à son point isoélectrique. 10. Les protéines collées à la membrane de nitrocellulose par interactions hydrophobes sont beaucoup plus accessibles et plus stables. 11. L analyse du culot permet de vérifier si il contient toujours de l hexokinase. V. Discussion L expérience s est bien passée, nous avons pu déterminer la proportion d hexokinase dans notre extrait de levure ainsi que son poids moléculaire. Cette expérience nous a permis de comprendre l électrophorèse sur gel SDS-page ainsi que le Western blotting d un point de vue pratique. 5
6 Bibliographie : [1] Aide-mémoire de biochimie et de biologie moléculaire, 2 ième édition, Wildmer et Beffa, Editions TEC & DOC, p230, 267 [2] Biologie moléculaire de la cellule, Lodish & cie, traduction de la troisième édition, DeBeock Université, p92-94, 164 [3] 6
Biochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailTD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT
TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT Daniela LENER IBMC Texte conseillé pour consultation : Biochimie, Voet & Voet, ed. De Boeck. Dosage des protéines Pendant une purification
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détail2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences
2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences Jean-Etienne Poirrier Centre de Neurobiologie Cellulaire et Moléculaire Centre de Recherches du Cyclotron Université de
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détailProduction d une protéine recombinante
99 Production d une protéine recombinante Lic. B. PIRSON Lic. J-M. SERONT ISICHt - Mons Production de la protéine recombinante GFP (Green Fluorescent Protein d Aequoria victoria) par une bactérie ( E.
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailβ-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)
bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détailSpectrophotomètre double faisceau modèle 6800
Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight
Plus en détailFiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson
Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses
Plus en détail33-Dosage des composés phénoliques
33-Dosage des composés phénoliques Attention : cette manip a été utilisée et mise au point pour un diplôme (Kayumba A., 2001) et n a plus été utilisée depuis au sein du labo. I. Principes Les composés
Plus en détailSVE 222 & PCL-442. Fascicule de Travaux Pratiques
SVE 222 & PCL-442 Fascicule de Travaux Pratiques 2014-2015 Institut Supérieur de l Education et de la Formation Continue Bassem Jamoussi & Radhouane Chakroun 1 Sommaire PCL 442/SVE222 - TP N 1 : Etude
Plus en détailCorrection TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu
Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi
Plus en détailHRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2
! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailKIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2
KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous
Plus en détailIsolement automatisé d ADN génomique à partir de culots de cellules sanguines à l aide de l appareil Tecan Freedom EVO -HSM Workstation
PROTOCOLE AUTOMATISÉ Isolement automatisé d ADN génomique à partir de culots de cellules sanguines à l aide de l appareil Tecan Freedom EVO -HSM Workstation Mode d emploi des produits A1751 et A2751 Réservé
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailR 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21.
0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE INSTITUT NATIONAL DE LA. PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE 0 N de publication : 2 615 623 là n'utiliser que pour les commendes de reproduction) N d'enregistrement national : 87 07263 PARIS
Plus en détailATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :
Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailExemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014
Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailColorimètres et spectrophotomètres UV-Visible
Colorimètres et spectrophotomètres UV-Visible WPA, Biochrom Ltd Et la Spectrophotométrie UV/Visible L acquisition de WPA par Biochrom Ltd en 2002 a permis d étendre la gamme des spectrophotomètres UV-Visible
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailFormavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...
Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailUne nouvelle technique d'analyse : La spectrophotométrie
Une nouvelle technique d'analyse : La spectrophotométrie Par spectrophotométrie on peut : - déterminer la concentration d'une espèce chimique colorée en solution à partir de l'absorbance. - suivre la cinétique
Plus en détailMetrohm. ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781. Un nouveau concept qui fait référence. Analyse des ions
Metrohm Analyse des ions ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781 Un nouveau concept qui fait référence Des fonctions multiples faciles à utiliser Le ph-mètre 780 et le ph-/ionomètre 781 associent la qualité Metrohm
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailAVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. LIENS
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailTPG 12 - Spectrophotométrie
TPG 12 - Spectrophotométrie Travail par binôme Objectif : découvrir les conditions de validité et les utilisations possibles de la loi de Beer-Lambert I- Tracé de la rosace des couleurs Choisir un des
Plus en détail1. Laboratoire National de métrologie et d Essais (LNE) 1rue Gaston Boissier 75724 Paris Cedex sebastien.sannac@lne.fr
IMPORTANCE DE LA PREPARATION DE L ECHANTILLON POUR UNE ANALYSE DE SPECIATION DU SELENIUM PAR HPLC-ID-ICP-MS. DETERMINATION D INCERTITUDES DU RENDEMENT D EXTRACTION AU RESULTAT SUR LA SELENOMETHIONINE.
Plus en détailVisite à l ICV. En 2009, la création du GIE ICV-VVS permet de franchir un cap en regroupant toutes les ressources disponibles aux filiales ICV et VVS.
Visite à l ICV Cette entreprise analyse les échantillons que les viticulteurs leur transmettent de toute la région PACA (départements 13, 83, 84 et un peu du 06, ce sont en général des coopératives viticoles
Plus en détailgénomique - protéomique acides nucléiques protéines microbiologie instrumentation
génomique - protéomique acides nucléiques protéines microbiologie instrumentation Génomique, protéomique - Acides nucléiques Extraction d acides nucléiques ADN... Kit de filtration par colonnes... ADN
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailIdentification des protéines de pois indigestibles au niveau iléal chez le porc en croissance, effet variétal et technologique
2003. Journées Recherche Porcine, 35, 121-126. Identification des protéines de pois indigestibles au niveau iléal chez le porc en croissance, effet variétal et technologique Maud LE GALL (1, 2), Paulo
Plus en détailRôle de la PTOX dans la tolérance au stress lumineux chez les plantes alpines Etude d écotypes alpins chez Arabidopsis thaliana
Rapport de stage 1 ère année de Master Environnement Spécialité Ecologie, Biodiversité, Evolution (EBE) Valérie GUITTET Soutenance : 7-8 juin 2010 Rôle de la PTOX dans la tolérance au stress lumineux chez
Plus en détailThèse de Doctorat de l université Paris VI
Thèse de Doctorat de l université Paris VI École doctorale de Chimie Physique et Chimie Analytique de Paris-Centre Présentée par : Julie GÖRGE pour obtenir le grade de Docteur de l Université Paris VI
Plus en détailPLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION
PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION Dr. Mohamed SENNOUR Responsable de la plate-forme JOURNÉE PLATES-FORMES EVRY, GÉNOCENTRE 25 juin 2013 Contexte et historique 2000 : constitution du
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailTITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes
TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles
Plus en détailBurette TITRONIC Titrateurs TitroLine
Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailMesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre
Kourou Novembre 2010. MANGOTECHNO Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Frédéric BOUCHAR (TENUM Toulouse) Version 1.0 Table des matières 1.Introduction...3 2.Qu'est-ce que la salinité?...3
Plus en détailA chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.
CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailMesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.
Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailAnalyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés
Analyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés Module 4 Extraction et purification de l ADN M. Somma WORLD HEALTH ORGANIZATION REGIONAL OFFICE FOR EUROPE ORGANISATION
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailSi la source se rapproche alors v<0 Donc λ- λo <0. La longueur d onde perçue est donc plus petite que si la source était immobile
Red shift or blue shift, that is the question. a) Quand une source d onde se rapproche d un observateur immobile, la longueur d onde λ perçue par l observateur est-elle plus grande ou plus petite que λo
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détail1.3 Recherche de contaminants au cours de la production de Saccharomyces boulardii
Série STL Biochimie génie biologique EPREUVE PRATIQUE 1. CONTROLE MICROBIOLOGIQUE DE PROBIOTIQUES Les préparations de probiotiques sont utilisées préventivement comme additifs dans l alimentation humaine
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailSCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures. L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. CHIMIE
Banque «Agro-Véto» Technologie et Biologie AT - 0310 SCIECES PYSIQUES Durée : 3 heures L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. Si, au cours de l épreuve, un candidat repère ce qui lui
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailComment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4
Afin d optimiser leurs procédés, les industries chimiques doivent contrôler le bon déroulement de la réaction de synthèse menant aux espèces voulues. Comment suivre l évolution d une transformation chimique?
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailBleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation
TP Bleu comme un Schtroumpf Démarche d investigation Règles de sécurité Blouse, lunettes de protection, pas de lentilles de contact, cheveux longs attachés. Toutes les solutions aqueuses seront jetées
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailT.P. 7 : Définir et contrôler un système d allumage statique
T.P. 7 : Définir et contrôler un système d allumage statique Nom : Prénom : Classe : Date : Durée : 6 heures Zone de travail : Classe de cours et atelier Objectif du T.P. : - Être capable d identifier
Plus en détail