FORMER DES RÉÉDUCATEURS :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "FORMER DES RÉÉDUCATEURS :"

Transcription

1 Réflexion FORMER DES RÉÉDUCATEURS : TRANSFERT DE TECHNIQUES OU APPRENTISSAGE DE L AUTONOMIE? Éric MARTIN* C est sur la notion de travail en équipe et de qualité de la relation humaine qu il nous semble pertinent de construire la pratique professionnelle du cadre de Santé INTRODUCTION De par la nature même de sa fonction, la posture de formateur s accompagne d un cortège d interrogations. L une d entre elles est de régulièrement questionner l existence d un lien entre les buts annoncés d une formation et les résultats obtenus sur le terrain. Mon engagement comme volontaire pour l Association Kinésithérapeutes du monde (KDM) a motivé ce besoin d une plus grande objectivité dans mes évaluations. Aussi, l année d études effectuée à l Institut de formation des cadres de Santé 1 m a donné le temps et les outils pour me mettre à distance d une trop grande implication. Mon objectif ici est de montrer la place de l évaluation, et plus particulièrement de l autoévaluation, comme pivot de l autonomie d un professionnel. MOTS CLÉS Autonomie Évaluation Formation Maîtrise des techniques Pays en voie de développement Dans un premier temps, il apparaît nécessaire de définir de façon globale le milieu dans lequel s est effectuée cette recherche. Ainsi, le questionnement que soulève ce travail portera plus spécifiquement sur la formation de professionnels de la rééducation dans des pays en voie de développement. C est donc sur une présentation générale des associations responsables des actions de développement que débute mon étude. ORGANISATIONS NON GOUVERNEMENTALES (ONG) : valeurs et évolutions Les actions dites à but humanitaire étaient historiquement chargées de valeurs caritatives du fait de l origine religieuse des organisations responsables de leur mise en place. L acception laïque de l action humanitaire a vu le jour avec le siècle des Lumières, la Charte * Kinésithérapeute cadre de Santé Service d orthopédie infantile INR-B Hôpital national de Saint-Maurice (94) Formateur à l IFMK ASSAS, Paris 1 École des cadres de Santé rééducation de la Croix-Rouge Rue de Berri, Paris 39

2 FORMER DES RÉÉDUCATEURS : TRANSFERT DE TECHNIQUES OU APPRENTISSAGE DE L AUTONOMIE? des droits de l Homme et sa concrétisation dans l action par la création de la Croix-Rouge en 1863 que l on peut considérer comme la pionnière des ONG. Ces dernières, essentiellement basées dans le monde occidental, voient leur nombre croître de façon exponentielle depuis une cinquantaine d années. Un recensement effectué par l ONU 2 en 1950 en décompte environ 700. En 2002, plus de d entre elles étaient recensées. Dans cette nébuleuse, le cadre législatif est très variable suivant le pays d installation de l organisation. Cependant, une valeur semblait être commune à toutes, la notion d humanité [1]. Actuellement, la critique de l universalité de cette valeur amène avec elle une évolution des mentalités et une remise en cause de plus en plus fréquente de la légitimité des actions menées. L action des ONG n ayant pas de reconnaissance universelle tant sur le plan législatif que sur le plan des valeurs, nous pouvons préjuger que l opinion sur l action menée et sur celle théoriquement idéale n est pas la même suivant le contexte dont l une des composantes est la différence culturelle. Afin de recentrer ces problématiques sur des actions particulières, la présentation d une association française permettra de donner des exemples concrets pour interroger ce lien entre objectifs de formation et résultats sur le terrain. KDM : une réponse aux attentes La vocation de cette association est de permettre aux enfants handicapés d obtenir des soins de rééducation pour une meilleure insertion sociale. Cet objectif est réalisé grâce à la formation technique d équipes d aiderééducateurs constituées de personnel local. Pour la mise en place d une mission, une demande d intervention émane d instances gouvernementales ou associatives étrangères. La finalité de ces missions de formation est, suivant les membres même de KDM, de permettre l autonomie technique des personnels locaux. maintenant utile de se pencher sur la notion de réalité et de sa relativité. LA RÉALITÉ : une représentation sociale Chaque groupe d individus appréhende la réalité suivant un angle qui lui est propre et qui est influencé par autant de facteurs que la culture, la religion, la catégorie socioprofessionnelle... Cette vision consensuelle de la réalité que se fait un groupe d individus [2] aide le groupe à tirer des significations, des règles de conduite et de pensée face à des situations nouvelles. La communication est biaisée par les représentations que se font les différents groupes en présence sur le sujet et sur la forme même de la communication. Dans le milieu de l aide au développement, nous pouvons légitimement penser que la représentation de l aide n est pas la même suivant le regard que l on y porte. Ainsi, les attentes et l évaluation de cette aide ne seront pas communes à tous les acteurs. Questionner ce concept d évaluation m est alors apparu comme central dans ma démarche de recherche. L ÉVALUATION : entre jugement personnel et critères objectifs Je présenterai en premier l évaluation diagnostique. Faite en préambule d une cession de formation, il est selon Hadji [3] intéressant de la voir en négatif par rapport à ce qui doit être acquis mais aussi en positif pour mettre en valeur les compétences existantes. La multiplicité des acteurs de l aide au développement montre autant de réponses qu il y a d actions. Il semble 40 2 Organisation des Nations Unies. 3 REY A. Dictionnaire historique de la langue française. Paris : Le Robert, 1998 : p

3 Si la nature de l évaluation est dans une action d appréciation intégrée au processus de formation, elle sert alors à faire progresser en donnant des notions d objectifs à atteindre. Sa fonction est dans le progrès, l évolution. Une évaluation formative va donc essayer de donner de la valeur à.... C est une aide à l appropriation qui consiste à laisser au sujet la possibilité de transformer ce qu il prend. Enfin, si sa nature est dans une action de mesure du résultat par rapport à une norme préétablie, elle a alors plus principalement une fonction de contrôle. C est suivant Mialaret (1984) une évaluation sommative. L évaluation est comprise ici dans le sens de donner la valeur de L évaluation sommative est décrite par Hadji [3] comme une évaluation récapitulative, se faisant à la fin d un processus, servant à apprécier après coup celui-ci : c est un bilan, une somme, le plus souvent ponctuelle et normée. L évaluation est une pratique centrale dans la profession de cadre. Dans son rôle de cadre-formateur, il est confronté à l obligation de donner aux institutions des notes, des bilans, des diplômes justifiant, si ce n est de la compétence, tout du moins de la capacité qu ont les étudiants à se conformer aux comportements et aux savoirs attendus. Conscient de sa subjectivité et pour ne pas reproduire l erreur disant que l évaluation n évaluerait que l évaluateur, il se construit des grilles, des règles, des normes. Pour mieux se dégager des habitudes de la profession, il choisit même de proposer à ces étudiants des dispositifs d auto-évaluation [4]. La stratégie étudiante, visant à juste titre à obtenir le fameux quitus lui ouvrant les portes de la profession, cherchera certainement à deviner la perception qu a leur formateur de leur production. Il met en avant deux possibilités : soit le formateur est sensé détenir la vérité dans sa matière et alors se conforter à ses attentes c est être dans le juste, soit tout simplement parce que les enjeux liés à son pouvoir exercent une certaine contrainte [4]. Nous pouvons facilement imaginer ici le pouvoir et les contraintes. Comme les concepts d évaluation ou de représentations sociales, celui d autonomie est éminemment polysémique. La représentation de l autonomie que se font les membres de KDM n est certainement pas la même de celle que se font nos partenaires locaux. L étude du concept qu il sous-tend peut permettre d éviter des confusions de sens. AUTONOMIE OU INDÉPENDANCE? Il est possible de traduire littéralement l autonomie par se donner à soi-même ses propres normes en s appuyant sur les racines grecques du mot [5]. Dans le champ des professions de la rééducation, on peut remarquer que les ergothérapeutes semblent être ceux qui ce sont le plus penchés sur la définition de ce concept. N. Turlan par exemple [6], montre toute l ampleur de la tâche quand il s agit de conscientiser la notion d autonomie pour améliorer les pratiques. Pour lui, le gain d autonomie est une finalité existentielle de l être humain. Ainsi, si l environnement reste stable, il est d autant plus facile à l individu d être autonome en ne maîtrisant que sa tâche. Dans son approche philosophique du concept, il relie tout d abord l autonomie au processus par lequel on se différencie, on devient autre. En ce sens, l autonomie existe avant l indépendance. D un point de vue cognitif, la première difficulté pour devenir autonome serait d avoir conscience de nos difficultés, et donc faire de l auto-évaluation, seul moyen pour entraîner un désir de modification. Turlan [6] tend à montrer que l être humain n est pas autonome mais qu il a les capacités de le devenir tous les jours un peu plus. M.-A. Hoffmans [7] mène sa réflexion en ce sens où, selon elle, il n y a pas d autonomie sans socialisation. D une confrontation avec l environnement l autonomie devient lieu de projection, espace de valeur. Tout en créant cet espace personnel, l environnement nous le délimite car d après Hoffmans, nous ne pouvons être autonomes qu enserrés dans un système de lois, qu aspirés par une dynamique. Nous pouvons également nous appuyer sur deux définitions qui mettent elles aussi l autonomie en nécessaire rapport avec l environnement. Celle de M. Schwarz 4 selon qui l autonomie véritable se manifeste dans la capacité de 3 REY A. Dictionnaire historique de la langue française. Paris : Le Robert, 1998 : p SCHWARZ M. Autonomie : buts thérapeutique, professionnel, personnel. Journal d Ergothérapie 1991;13:

4 FORMER DES RÉÉDUCATEURS : TRANSFERT DE TECHNIQUES OU APPRENTISSAGE DE L AUTONOMIE? juger ses propres compétences en jeu dans les rapports sociaux, de se rendre sérieusement compte de ses actions, et de prendre en charge le développement de sa personnalité selon ses propres valeurs. Là encore, l auto-évaluation est mise en avant. Également, celle donnée par J.-P. Guihard 5 énonçant que l autonomie d autrui implique que celui-ci puisse être responsable de ses choix de vie, de gérer ses dépendances. Pour tenter de positionner maintenant le concept dépendance/indépendance avec la notion d autonomie, nous pouvons utiliser la présentation faite par MM. Le Gall et Ruet [8]. Être indépendant c est être en capacité de..., que nous pourrions synthétiser par l expression pouvoir faire. En revanche, l autonomie est selon eux la liberté d un sujet à se gouverner soi-même, de maîtriser ou gérer l ensemble des situations de vie quotidienne dans lesquelles l individu évolue régulièrement. Nous pourrions ici utiliser l expression vouloir agir. Pour donner un exemple classique de la variation entre indépendance et autonomie, le mythe d Antigone de Sophocle s impose à nous. En effet, cette jeune femme est dépendante des règles de le cité au point d en perdre la vie mais elle a l autonomie de les transgresser, elle s autorise à passer outre, ses règles morales envers son frère lui paraissant plus importantes. Nous pouvons synthétiser ces deux notions en présentant l autonomie comme un désir et une volonté entraînant une liberté de choix, alors que l indépendance est dans le champ de la capacité matérielle. Pour résumer, un aide-kinésithérapeute pourra devenir autonome dans sa profession non seulement en regard de formateurs de KDM mais également en regard de ses collaborateurs et de ses employeurs. Je souhaite insister sur le fait que l autonomie est un processus, une volonté en perpétuelle modification car se positionnant en regard d un environnement. C est en se dégageant d un modèle que l on arrive à se construire soimême : nous ne rendons pas les autres autonomes, ce sont les autres qui prennent leur autonomie. En synthétisant ces différents concepts et problématiques, il m a semblé possible de reformuler ma question de départ en essayant de savoir si KDM avait permis à ses partenaires locaux de prendre leur autonomie grâce au type de formation qu elle assure. Pour tenter de répondre à cette question, j ai mis en place une recherche visant à interroger le terrain en partant d une hypothèse simple : la maîtrise des techniques du métier influence l autonomie du professionnel. HYPOTHÈSE ET OBJECTIFS DE KDM : concordance dans l analyse? Avant de tester cette hypothèse auprès des bénéficiaire de la formation, il semble légitime d en questionner les termes mêmes auprès des membres de KDM afin de s assurer qu elle correspond 42 5 GUIHARD J.-P. Cadre conceptuel : autonomie. Ergothérapie : guide des pratiques. Paris : TMS, 2000.

5 effectivement aux objectifs de la formation dispensée. C est avec le souci de ne pas travestir la volonté de cette association que cette pré-étude est menée. Elle a permis également de me dégager de la posture d acteur engagé et subjectif pour prendre celle de l observateur, plus neutre. Cette pré-recherche s est appuyée sur des entretiens semi-directifs menés auprès des membres de KDM. Le choix de ce type d entretien s est fait afin de laisser parler librement les acteurs de cette formation et de ne pas les orienter vers des réponses consensuelles. Grâce à la méthode présentée par L. Bardin [9], l analyse de ces entretiens montre bien la supposition faite par les responsables de KDM d une relation de cause à effet entre la formation technique d agent de rééducation et leur prise d autonomie. Cette association part du principe que l autonomie du professionnel se développe d autant que sa maîtrise des techniques et des savoirs nécessaires à son métier est grande, même si ce professionnel n est pas à l origine de la construction de ce savoir. En ce sens, cette analyse conforte les termes de l hypothèse posée ci-dessus et permet maintenant de tester sa validité plus sereinement. RECHERCHE : l hypothèse est testée auprès d une association indienne C est auprès de Howrah South Point (HSP), dont la formation d aide-kinésithérapeutes s est terminée voilà maintenant dix ans, que la recherche a été menée. L utilisation d une méthode expérimentale s est imposée d elle-même du fait du type de l hypothèse mettant en relation deux variables, de mes aspirations propres ainsi que du temps limité mis à ma disposition pour le recueil des données. Parti trois semaines à Calcutta 6 et dans sa région, c est grâce à l utilisation d entretiens directifs auprès de ces 6 Capitale du Bengale occidental, Inde. aide-kinésithérapeutes que j ai pu recueillir les données nécessaires à mon travail. Cependant, il est bon de remarquer que le nombre de personnes interviewées (40) reste limité et donc que les conclusions tirées de cette recherche ne sont entièrement valides que dans ce contexte particulier. De plus, l utilisation de l anglais pour notre communication a pu s avérer être un écueil du fait de nos limites respectives à la compréhension de cette langue étrangère à tous. Après le dépouillement des entretiens et la classification des résultats par variable, la recherche d un lien de causalité entre ces variables a été effectué grâce à l utilisation d un outil statistique, le 2 (prononcé Ki 2). Le résultat des calculs donne une validation de l hypothèse. Je peux en déduire que l hypothèse est vérifiée avec un pourcentage d erreur possible inférieur à 1 %. Il existe donc bien un lien de causalité entre les deux variables Maîtrise technique et Autonomie au pourcentage d erreur près. En terme plus clair et toujours en restant dans le champ limité de cette étude, nous pouvons maintenant affirmer que la maîtrise des techniques propres au métier influence l autonomie du professionnel. 43

6 FORMER DES RÉÉDUCATEURS : TRANSFERT DE TECHNIQUES OU APPRENTISSAGE DE L AUTONOMIE? DISCUSSION MENÉE SUR LA RECHERCHE ET SUR LES RÉSULTATS Cette discussion ne vise en aucune manière à remettre en cause la nécessité de l évaluation et de la notation. Mais avoir conscience des écueils peut permettre de prendre de la distance par rapport à une pratique d évaluateur. L une des missions du cadre de santé pourrait donc être de savoir allier les différentes formes d évaluation suivant les contextes. Le recueil des données sur le terrain permet également de rapprocher le sentiment d autonomie qu éprouvent les aides-rééducateurs indiens dans leur profession et la notion d autonomie facilitée pour l individu quand son environnement est stable. Les professionnels interviewés en Inde ont tous fait part d une déstabilisation plus ou moins importante suivant les individus devant la recrudescence des cas d enfants IMC. La rééducation des enfants porteurs de ce handicap nécessite le recrutement de compétences différentes que celles nécessaires pour le traitement des séquelles de la poliomyélite. Bien que formés à la masso-kinésithérapie nécessaire aux enfants IMC, les partenaires indiens se retrouvent démunis devant les besoins en ergothérapie, orthophonie, éducation spécialisée... Ainsi, devant cet environnement instable, leur sentiment d autonomie, la confiance qu ils ont dans leur compétence et dans la qualité des soins qu ils apportent aux enfants est remise en cause. Dans le sens de la problématique de KDM sur la pérennité de son action, il semble encore ici nécessaire de se poser la question de l action menée et de la méthode employée. Il apparaît en regard de cette évolution de l environnement que l habitude prise à construire soi-même son propre savoir permettrait une meilleure adaptabilité du personnel formé. BILAN PERSONNEL En m apportant des bases théoriques sur l apprentissage, l évaluation et les méthodologies de recherche, ce travail de mémoire ainsi que cette année de formation m ont permis de réfléchir sur les mécanismes d appropriation des savoirs et leur transformation en connaissances, de regarder un même objet d étude sous plusieurs angles d approche. Il m apparaît maintenant plus clairement qu il est impossible de parler d autonomie professionnelle quand il n y a pas de transfert de compétences acquises face à de nouvelles situations. Ce travail m a également montré qu il est facile de tomber dans la reproduction d un modèle avec un maître expert quand on se trouve dans l apprentissage d un savoir-faire. C est à mon avis un frein à la fois pour l autonomie du nouveau professionnel mais également pour la progression de la profession. 44

7 PERSPECTIVES Il me semble maintenant utile de mettre en place les conditions d un questionnement auprès des membres de KDM. Ceci afin de peut-être encore mieux répondre aux attentes de nos partenaires locaux et à l objectif principal de l association. En proposant par exemple de laisser les étudiants construire euxmême leur propre acquis, cela pourrait ne pas cristalliser des savoirs qui ne seraient qu apportés mais aussi permettre de gérer l imprévisibilité, l instabilité. Rentrer dans la démarche de projet, avoir une méthodologie peut amener à un autoquestionnement nécessaire. Il n en reste pas moins que les savoirs de base restent indispensables dans une formation et que des obligations de temps et des impératifs d efficacité à court terme donnent toute leur légitimité aux apports externes. Pour un cadre de Santé, avoir pris conscience de cet aller et retour constant entre implication et mise à distance me permettra sans doute une plus grande objectivité dans mon rôle d évaluateur. CONCLUSION Cet article n a pas pour vocation d être un point final et définitif à la discussion mais plutôt une façon de se recentrer sur le travail effectué. Outre l éclairage donné sur les différentes notions théoriques et sur une certaine adéquation entre les moyens mis en œuvre par KDM et les objectifs affichés, cette étude a permis de conscientiser les inévitables différences existant dans les représentations propres à chaque individu. L exercice de la fonction de cadre de Santé ne peut a priori que s enrichir d une telle mise à distance. Cette distance permet de ne pas évaluer l autre, son opinion, son travail, sans prendre en compte le contexte, la situation et ainsi d avoir une vision plus globale de la réalité. Cette notion de prise en compte des demandes et des attentes d une équipe ou d un partenaire de travail semble être centrale dans l atteinte des objectifs d un projet commun. Le cadre ne devrait peut-être pas uniquement faire des choix suivant ses seules convictions et ses seules compétences, mais également savoir reconnaître la singularité des individus. L exclusive fatalité, l unique tare qui puissent affliger un groupe humain et l empêcher de réaliser pleinement sa nature, c est d être seul. [1 : p. 73]. C est sur cette notion de travail en équipe et de qualité de la relation humaine qu il me semble pertinent de construire la pratique professionnelle du cadre de Santé. Indexation Internet : Évaluation Formation Humanitaire Bibliographie et annexes pages suivantes 45

8 FORMER DES RÉÉDUCATEURS : TRANSFERT DE TECHNIQUES OU APPRENTISSAGE DE L AUTONOMIE? Bibliographie 1. LEVI-STRAUSS C. Race et histoire. Paris : UNESCO, 1952 (réédition 1987). 2. JODELET D. Les représentations sociales. Paris : PUF, HADJI C. L évaluation, règles du jeu : des intentions aux outils. Paris : ESF, De KETELE J.-M. Balade au pays de l auto-évaluation. Enjeux 1991:n REY A. Dictionnaire historique de la langue française. Paris : Le Robert, TURLAN N. L autonomie : approche conceptuelle pour une meilleure pratique. Journal d Ergothérapie HOFFMANS-GOSSET M.-A. Apprendre l autonomie, apprendre la socialisation. Paris : Chronique Sociale, Le GALL M., RUET J. Évaluation et analyse de l autonomie. Encyclopédie Médico-Chirurgicale Paris : Elsevier (kinésithérapie-rééducation fonctionnelle, A-10). 9. BARDIN L. L analyse de contenu. Paris : PUF, 1977 (10 e édition, 2001.) 46

9 ANNEXE 1 GUIDE D ENTRETIEN DIRECTIF POUR HOWRAH SOUTH POINT (HSP) Maîtrise des techniques du métier Critères Indicateurs Formation 1- Réussite à l examen - examen échoué : Non - examen réussi : Oui 2- Promotion - pas nommé formateur : Non - nommé formateur : Oui Expérience 1- Nombre d années - moins de 8 ans : Non - plus de 8 ans : Oui 2- Temps de travail - temps partiel : Non - temps plein : Oui Auto-évaluation 1- Sentiment personnel de maîtrise technique - inexistant : Non - faible : Non - moyen : Non - fort : Oui - complet : Oui Satisfaction des patients externes 1- Respect des rendez-vous - ne reviennent jamais : Non - reviennent rarement : Non - épisodiquement : Non - vienne régulièrement : Oui - à chaque rendez-vous : Oui Évaluation des pratiques 1- Expert 1 - pratique mauvaise : Non par des experts - pratique médiocre : Non - pratique moyenne : Non - pratique bonne : Oui - pratique excellente : Oui 2- Expert 2 - pratique mauvaise : Non - pratique médiocre : Non - pratique moyenne : Non - pratique bonne : Oui - pratique excellente : Oui Volontariat 1- Suivre la formation - imposé : Non - choix personnel : Oui DÉCOMPTE : /9 réponses Autonomie dans la profession Critères Indicateurs Prise de décision 1- De manière individuelle - jamais : Non - rarement : Non - quelquefois : Non - souvent : Oui - constamment : Oui 47

10 FORMER DES RÉÉDUCATEURS : TRANSFERT DE TECHNIQUES OU APPRENTISSAGE DE L AUTONOMIE? Représentation personnelle 1- Sentiment d autonomie dans la profession - inexistant : Non - faible : Non - moyen : Non - fort : Oui - complet : Oui 2- Sentiment d appartenance à la profession - inexistant : Non - faible : Non - moyen : Non - fort : Oui - complet : Oui Dépasser la formation initiale 1- Formations complémentaires - inexistant : Non - faible : Non - moyen : Non - fort : Oui - complet : Oui Engagement 1- Estimation par supérieur hiérarchique - inexistant : Non - faible : Non - moyen : Non - fort : Oui - total : Oui Positionnement au regard 1- Conflit sur un point technique - soumission : Non du pouvoir 1- avec la hiérarchie - mutisme : Non - résignation : Non - position marquée : Oui - conflit ouvert : Oui 2- Poste dans la hiérarchie - sans responsabilités : Non - avec responsabilités : Oui DÉCOMPTE : /7 réponses ANNEXE 2 GUIDE D ENTRETIEN HSP 48 Ce guide d entretien a pour but de laisser parler le plus librement possible les personnes interrogées sur leur ressenti quant à la formation dispensée et ses résultats. Le but final est de tirer des paroles de chacun des critères et des indicateurs sur leur maîtrise technique et leur autonomie. 1. Pouvez-vous décrire les rôles, fonctions et actions qu a eu KDM 5. Pour vous, qu est-ce qu est exactement un masseur-kinésithérapeute? auprès de votre Association? Qu est-ce que cela veut dire être masseur-kinésithérapeute? 2. Qu est-ce que cela a changé pour vous? De votre point de vue, 6. Pensez-vous être autonome dans votre travail? quelle charge de travail supplémentaire cela a-t-il amené? 7. D un point de vue général comme dans une activité professionnelle, 3. Pensez-vous que cette action était légitime? Utile? Souhaitée? qu est-ce qu être autonome veut dire pour vous? À quoi cela vous Croyez-vous en l efficacité d une telle action? fait-il penser? 4. En dehors des données matérielles, techniques et pratiques, KDM a- 8. Pour vous, qu est-ce que veut dire être handicapé? t-elle apporté autre chose? Plus que des techniques, KDM a-t-elle partagé d autres choses avec vous?

Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?

Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Manuel de recherche en sciences sociales

Manuel de recherche en sciences sociales Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales

Plus en détail

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont

Plus en détail

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs. MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.

Plus en détail

Charte de la laïcité à l École Charte commentée

Charte de la laïcité à l École Charte commentée Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales

Plus en détail

Conseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat

Conseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat Conseil Municipal des Enfants à Thionville Livret de l électeur et du candidat Elections du vendredi 18 novembre 2011 Mot du Maire Le Conseil Municipal des Enfants fait sa rentrée. Il joue un rôle essentiel

Plus en détail

Formation à la systémique pour consultants et personnels RH

Formation à la systémique pour consultants et personnels RH J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre

Plus en détail

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la

Plus en détail

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l

Plus en détail

Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) ISBN 0-7711-3999-9

Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) ISBN 0-7711-3999-9 Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) 371.9 Un travail collectif : Renseignements aux parents d élèves ayant des besoins spéciaux ISBN 0-7711-3999-9 1. Éducation

Plus en détail

Description du marché de l interim management

Description du marché de l interim management Description du marché de l interim management en Belgique Etude réalisée à la demande de a division of Septembre 2008 Market Probe Europe guy.morre@askbmi.com Sommaire 1. Objectifs de l étude 2. Méthodologie

Plus en détail

Clément ALBRIEUX (69)

Clément ALBRIEUX (69) Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet

Plus en détail

Réingénierie du Diplôme de Masseur Kinésithérapeute. Point d étape Organisations professionnelles COPIL Journée UIPARM 3 octobre 2014

Réingénierie du Diplôme de Masseur Kinésithérapeute. Point d étape Organisations professionnelles COPIL Journée UIPARM 3 octobre 2014 Réingénierie du Diplôme de Masseur Kinésithérapeute Point d étape Organisations professionnelles COPIL Journée UIPARM 3 octobre 2014 Commencée en fin 2007 -Rappel historique- Groupe de travail: initié

Plus en détail

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction

Plus en détail

Agile Learning Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse

Agile Learning Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse Introduction Le monde du travail est plus que familier avec la notion de changement. Synonyme d innovation

Plus en détail

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Cet outil offre aux conseillers en orientation professionnelle : un processus étape par étape pour réaliser une évaluation informelle

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1 LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre

Plus en détail

GUIDE DU BENEVOLE. Mai 2011

GUIDE DU BENEVOLE. Mai 2011 Mai 2011 GUIDE DU BENEVOLE Le présent document précise les engagements de tout adhérent 1 à Electriciens sans frontières. Ces engagements déclinent de manière opérationnelle les valeurs et principes énoncées

Plus en détail

Bibliothèque des Compétences clés

Bibliothèque des Compétences clés Bibliothèque des Compétences clés Modules Jours Heures S exprimer oralement 3 21 S exprimer à l écrit 4 28 Manipuler les chiffres et les ordres de grandeur 5 35 Utiliser les principaux outils bureautiques

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

Commission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons

Commission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons Commission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons Projet d action d animation visant à développer des pratiques collectives d écoute et de participation

Plus en détail

FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR

FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR Enquête sur la responsabilité sociale du scientifique Résultats détaillés Février 2007 Annexes La publication des données qui fondent

Plus en détail

Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE

Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison

Plus en détail

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société

Plus en détail

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction

Plus en détail

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1 Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...

Plus en détail

Pratiques psychologiques Le psychologue du travail. Licence 1. Psychologie

Pratiques psychologiques Le psychologue du travail. Licence 1. Psychologie Pratiques psychologiques Le psychologue du travail Licence 1. Psychologie Nadra Achour-2014 ISSHT-Université Tunis-El Manar Introduction Qu est ce qu un psychologue du travail? Ses champs d intervention?

Plus en détail

Introduction. Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise.

Introduction. Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise. Introduction Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise. Recruter présente un enjeu stratégique et sociétal pour l entreprise en termes de 2 : 1. Productivité : le choix

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE

Plus en détail

QU EST-CE QUE TRAVAILLER EN ÎLOTS BONIFIÉS?

QU EST-CE QUE TRAVAILLER EN ÎLOTS BONIFIÉS? Travailler en îlots bonifés selon la méthode pédagogique créée par Marie Rivoire. par Catherine Manesse et Anne Dauvergne IPR Langues vivantes Académie de Dijon Cette façon de travailler, dont on entend

Plus en détail

Les stratégies de prévention du tabagisme développées par les structures qui encadrent les jeunes

Les stratégies de prévention du tabagisme développées par les structures qui encadrent les jeunes Le réseau régional d Education Pour la Santé Membre du réseau de l'institut National de Prévention et d'education pour la Santé et l Institut Rhône-Alpes de Tabacologie Les stratégies de prévention du

Plus en détail

Projet éducatif vacances enfants et adolescents

Projet éducatif vacances enfants et adolescents Projet éducatif vacances enfants et adolescents SOMMAIRE 1- Présentation du mouvement 2- Valeurs et finalités 3- Nos objectifs 4- Nos orientations éducatives 5- L équipe d encadrement 6- Les activités

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Management Interculturel

Management Interculturel Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.

Plus en détail

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive

Plus en détail

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive. L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:

Plus en détail

Primaire. analyse a priori. Lucie Passaplan et Sébastien Toninato 1

Primaire. analyse a priori. Lucie Passaplan et Sébastien Toninato 1 Primaire l ESCALIER Une activité sur les multiples et diviseurs en fin de primaire Lucie Passaplan et Sébastien Toninato 1 Dans le but d observer les stratégies usitées dans la résolution d un problème

Plus en détail

L humain et ses données, le «quantified self»

L humain et ses données, le «quantified self» Chapitre 1 L humain et ses données, le «quantified self» L explosion de la quantité des données disponibles et le perfectionnement de nos capacités d analyse bouleversent les rapports que l Homme entretient

Plus en détail

Transformez votre relation au monde!

Transformez votre relation au monde! Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années

Plus en détail

Tableau synthèse de la situation d apprentissage et d évaluation

Tableau synthèse de la situation d apprentissage et d évaluation Tableau synthèse de la situation d apprentissage et d évaluation Comment l action humaine est essentielle à la reconnaissance et à la garantie des droits et libertés aujourd hui comme à l époque de la

Plus en détail

Grande Loge Féminine de France

Grande Loge Féminine de France ... La transformation du monde commence par la construction de soi... Grande Loge Féminine de France DOSSIER DE PRESSE Contact presse : 33(0)1 71 04 58 14 courriel : communication@glff.org Site : www.glff.org

Plus en détail

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays

Plus en détail

Évaluation et recommandations

Évaluation et recommandations ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne

Plus en détail

Parcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching?

Parcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Parcours de formation Coach Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Dans un monde qui va de plus en plus vite Nous entendons parler chaque jour de stress, de mal-être

Plus en détail

FICHE 9 TECHNIQUE DU CHANGEMENT LE PLUS SIGNIFICATIF

FICHE 9 TECHNIQUE DU CHANGEMENT LE PLUS SIGNIFICATIF FICHE 9 TECHNIQUE DU CHANGEMENT LE PLUS SIGNIFICATIF COTA asbl 7, rue de la révolution 1000 Bruxelles www.cota.be COTA asbl Fiche 9 - Technique du changement le plus significatif Cette fiche s inscrit

Plus en détail

Le projet collaboratif 2.0

Le projet collaboratif 2.0 Florence Gicquel et Aref Jdey En collaboration avec Alpha Diallo Le projet collaboratif 2.0 Pour mobiliser la Documentation au service de l entreprise é d i t i o n s Les Editions de l ADBS publient des

Plus en détail

Formation certifiante au métier de coach scolaire

Formation certifiante au métier de coach scolaire Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont

Plus en détail

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie

Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie Partie I : Séries statistiques descriptives univariées (SSDU) A Introduction Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie et tous sont organisés selon le même

Plus en détail

APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP

APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP Résumé du rapport de recherche destiné au Centre Alain Savary, INRP APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP Martine Méheut, Olivier Prézeau INRP, Centre Alain Savary Apprendre la chimie en ZEP Résumé 1 Dans une perspective

Plus en détail

OBJECTIF FORMATION ANIMATION QUALITE

OBJECTIF FORMATION ANIMATION QUALITE OBJECTIF FORMATION ANIMATION QUALITE Des animations de qualité pour les enfants 10 Allée du Cortil La Vacherie 74230 THÔNES Téléphone : 04 50 63 10 64 Messagerie : ofaq@aliceadsl.com Formations continues

Plus en détail

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités

Plus en détail

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session

Plus en détail

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale

Plus en détail

«Les essentiels du coaching» «Le Coaching existentiel»

«Les essentiels du coaching» «Le Coaching existentiel» SARL METASOPHIA Organisme de formation professionnelle, 20 rue Théodore de Banville 06100 NICE Immatriculé au registre de commerce de Nice : N 450 630 363 00023 N de formateur : 93060567606 R.C.S. NICE

Plus en détail

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche

Plus en détail

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Vienne, 2010 Résolutions

Plus en détail

Notre modèle d engagement

Notre modèle d engagement Notre modèle d engagement 1. EVALUER L évaluation des compétences que vous souhaitez améliorer implique un vrai échange entre nos deux équipes, et une étude plus approfondie des écarts et des actions préalablement

Plus en détail

PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL

PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Actualisation 07/2009 PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Partie 1 : LE CADRE GENERAL I. OBJECTIFS DE L INSTITUTION DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Participer à l effort

Plus en détail

Les 7 Principes fondamentaux

Les 7 Principes fondamentaux Les 7 Principes fondamentaux Les 7 Principes fondamentaux de la Croix-Rouge Humanité Impartialité Neutralité Indépendance Volontariat Unité Universalité La Croix-Rouge trouve son origine dans la solidarité

Plus en détail

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE

Plus en détail

Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs?

Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Problématique : La difficulté lorsque vous vous trouvez face à un tel sujet est de confondre le thème avec le problème du sujet. Ici le thème était

Plus en détail

MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs,

MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs, MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs, Je vous remercie de votre présence aujourd hui et de l attention que vous avez bien voulu porter à mon travail. Je remercie particulièrement Francis

Plus en détail

LES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg

LES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg LES DROITS CULTURELS Déclaration de Fribourg Les droits culturels, Déclaration de Fribourg, page 2 considérants 1 principes fondamentaux 2 définitions justifications principes et définitions 3 identité

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

NATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques

NATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques NATIONS UNIES Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques www2.ohchr.org/english/issues/minorities Droits des minorités Introduction

Plus en détail

Formations de formateurs

Formations de formateurs Formations de formateurs Document élaboré lors du séminaire en ingénierie de la formation au CREFECO (10-14 octobre 2011) animé par Michel Boiron, directeur du CAVILAM Alliance française Contenu Définition

Plus en détail

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,

Plus en détail

Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème

Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème Année scolaire 2014 2015 Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème STAGE 3 ème Du 02/02/2015 au 06/02/2015 Nom et prénom de l élève : Classe de : Projet d orientation : Nom

Plus en détail

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire?

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas

Plus en détail

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE

Plus en détail

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions

Plus en détail

Rédiger et administrer un questionnaire

Rédiger et administrer un questionnaire Rédiger et administrer un questionnaire Ce document constitue une adaptation, en traduction libre, de deux brochures distinctes : l une produite par l American Statistical Association (Designing a Questionnaire),

Plus en détail

LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE

LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE Clémence Gauvin et Émilienne Laforge, professeures Module travail social Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue 2004-2005, modification mai 2006 Introduction La formation

Plus en détail

LE CONCOURS D ENTREE DANS LES ECOLES DE MASSEUR KINESITHERAPEUTE

LE CONCOURS D ENTREE DANS LES ECOLES DE MASSEUR KINESITHERAPEUTE LA PROFESSION DE MASSEUR-KINESITHERAPEUTE Le masseur-kinésithérapeute est le praticien diplômé qui exécute des actes médicaux de massage, de gymnastique médicale et de rééducation fonctionnelle et motrice.

Plus en détail

La réforme : une opportunité pour la fonction formation

La réforme : une opportunité pour la fonction formation Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon

Plus en détail

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,

Plus en détail

www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts

www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts Sommaire Préface...p.3 Définition et types de conflit d intérêts...p.4 Comment identifier un conflit d intérêts...p.6 Exemples

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes

CAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes CAHIER DES CHARGES Thématique de l appel à projets 2014 Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes Fondation Alsace Personnes Agées 4 rue de la Houblonnière 68000 COLMAR

Plus en détail

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION NOVEMBRE 2010 PRÉAMBULE L agrément des programmes constitue un exercice important qui permet non

Plus en détail

LES BASES DU COACHING SPORTIF

LES BASES DU COACHING SPORTIF LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE

Plus en détail

Mode d emploi de l outil de classification des collaborateurs soumis à la convention collective de travail dans le secteur social parapublic vaudois

Mode d emploi de l outil de classification des collaborateurs soumis à la convention collective de travail dans le secteur social parapublic vaudois Mode d emploi de l outil de classification des collaborateurs soumis à la convention collective de travail dans le secteur social parapublic vaudois Av. de la Vallombreuse 51 1004 Lausanne Tél. 021 621

Plus en détail

Les Principes fondamentaux

Les Principes fondamentaux Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du

Plus en détail

Après quatre tests d évaluation passés dans des pays différents (USA et Amérique latine), la norme SA 8000 a été validée et diffusée.

Après quatre tests d évaluation passés dans des pays différents (USA et Amérique latine), la norme SA 8000 a été validée et diffusée. LA NORME SA 8000 Les origines de la norme SA 8000 La norme SA 8000 est le résultat, entre autre, du constat de la multiplication des normes et des standards existants sur le marché. C est en octobre 1997

Plus en détail

catégorie - développement rh

catégorie - développement rh Mise en œuvre d un outil de développement des compétences 360 Feedback au sein de l Université du Courrier du Groupe La Poste Marion TREMINTIN Diplômée d un DESS Gestion Stratégique des Ressources Humaines

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système

Plus en détail

COUR DES COMPTES. Synthèse. du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique

COUR DES COMPTES. Synthèse. du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique COUR DES COMPTES Synthèse du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique Janvier 2011 L emploi des fonds collectés par les associations en faveur des victimes du Tsunami du 26 décembre

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail