LES ORGANES DES SENS. Anne Briançon Marjollet TIS 5, Octobre 2011

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES ORGANES DES SENS. Anne Briançon Marjollet TIS 5, Octobre 2011"

Transcription

1 LES ORGANES DES SENS Anne Briançon Marjollet TIS 5, Octobre 2011

2 Plan Gustation Olfaction Audition Equilibre Visioni

3 Plan Gustation Olfaction Audition Equilibre Vision

4 Les Sens Chimiques Gustation et olfaction: Sens chimiques Détection de molécules chimiques dans l environnement Comprend d autres sens plus ou moins conscients: substances chimiques irritantes sur la peau, chémorécepteurs carotidiens (O2 et CO2), chémorécepteurs sensibles à l aciditédans dans les muscles (sensation de brûlure), Mais sens différents car Récepteurs de structure et fonctionnement cto e tdifférents Voies sensorielles et intégration corticale distinctes Influence différente sur le comportement Sens en rapport avec nos besoins fondamentaux: faim, soif, émotion, désir sexuel,.

5 LA GUSTATION : la langue Muscles: Extrinsèques / Intrinsèques Muqueuse portant les papilles: Caliciformes (=circumvallées), Foliées, Filiformes, Fungiformes

6 LA GUSTATION : la langue Mise en évidence des papilles par des colorants:

7 LA GUSTATION : la langue En l absence de sensation olfactives, les saveurs se décomposent en quatre goûts fondamentaux: Salé Acide Amer Sucré Umami au Japon Les récepteurs gustatifs sensibles à chaque saveur fondamentale sont situés en plus grand nombre dansdes des régions différentes de la langue

8 LA GUSTATION : les bourgeons du gout Chaque papille présente de une à plusieurs centaines de bourgeons gustatifs. Dans chaque bourgeon se trouvent 50 à Dans chaque bourgeon se trouvent 50 à 150 cellules réceptrices de goût (cellules gustatives).

9 LA GUSTATION : la neurotransmission

10 LA GUSTATION : les voies sensorielles afférentes Via les nerfs crâniens Facial (VII) Glossopharyngien (IX) Vague (X) Relais dans le tronc cérébral Relais dans le thalamus Arrive au cortex gustatif primaire i

11 Rappel: les 12 nerfs crâniens SNC Mixte SNP autonome et somatique SNP somatique I: N. Olfactif II: N. Optique III: N. Oculomoteur IV: N. Trochléaire V: N. Trijumeau VI: N. Abducens VII: N. Facial VIII: N. Vestibulaire et auditif IX: N. Glossopharyngien X: N. Vague XI: N. Spinal accessoire XII: N. Hypoglosse

12 LA GUSTATION : implication des autres sens D autres sens sont impliqués dans la perception des goûts, permettant de diversifier lapalette degoûts perçus : L olfaction: le bouquet des vins, l'arôme du café, une substance avariée, Les sensations tactiles: til les saveurs farineuses, la différence de consistance it entre une glace au chocolat et un gâteau au chocolat,. L audition: les saveurs croustillantes et gazeuses Les sensations thermiques: glace vs gâteau au chocolat Le sens du goût s'affine avec l'habitude et avec l'âge Il s'affaiblit par l'abus de mets épicés, d'alcool et de tabac, dans certaines circonstances (médicaments, mycose de la bouche, rhume,etc...) Il augmente avec certaines substances telles le glutamate qui, ajouté à certains aliments abaisse le seuil d'excitabilité dexcitabilité des récepteurs gustatifs.

13 Plan Gustation Olfaction Audition Equilibre Visioni

14 L OLFACTION Se combine au goût pour reconnaître les aliments et accroître le plaisir de les déguster Avertit de dangers (substance avariée, odeur de fumée, ) Mode de communication: phéromones. Vrai surtout chez les animaux, mais aussi chez l humain On pourrait percevoir plusieurs centaines de milliers d odeurs Seulement 20% correspondent à des odeurs agréables L expérience renforce les capacités olfactives: ex parfumeurs ou fabricants de whisky qui peuvent différencier odeurs

15 L OLFACTION: Le nez L épithélium Lépithélium olfactif, fine couche de cellules recouverte de mucus, tapisse la partie supérieure de la cavité nasale Les axones de récepteurs passent à travers la plaque cribiforme de l os ethmoïde Ils forment le nerf olfactif, allant projeter dans le bulbe olfactif Du bulbe part le tractus olfactif, qui transmet les informations au cerveau

16 L OLFACTION: Le nez

17 L OLFACTION: L épithélium olfactif Les neurones olfactifs ne vivent que 2 mois environ: les cellules basales permettent leur renouvellement constant 30 millions de cellules olfactives ciliées dans l épithélium à l aide desquelles nous pouvons discerner ~ 1000 groupes différents de molécules odorantes Les cellules réceptrices sont assez peu sélectives pour leurs stimulus

18 L OLFACTION: La transduction du signal Contrairement au goût: un seul type de voie de transduction Passe P par RCPG Rôle essentiel de l AMPc

19 L OLFACTION: Les voies centrales Neurones olfactifs de second ordre organisés en glomérules (cellules mitrales) Chaque glomérule reçoit les informations provenant de cellules exprimant le même sous type de récepteur olfactif Directement vers le système limbique et le cortex: pas de relais li thalamique

20 Plan Gustation Olfaction Audition Equilibre Visioni

21 LE SON Le son est une variation de la pression de l air engendrée par les vibrations des objets, comme les cordes vocales ou la membrane d un haut parleur Cette variation déclenche un mouvement de molécules d air appelé ondes sonores La fréquence est le nombre d ondes sonores par seconde. Elle détermine la hauteur du son. Plus une corde vocale vibre rapidement,,plus la voix est haute. L oreille humaine réagit aux sons de 15 à hertz (langage : de 500 à 3000 hertz) L amplitude correspond à la hauteur de l onde. Elle détermine l intensité des sons, laquelle se mesure en décibels

22 LE SON Exposition répétée et/ou prolongée au delà de 90dB: possibilité de dommages définitifs Au delà de 120dB: danger immédiat

23 L AUDITION: L oreille Oreille externe: Pavillon : aide à la conduction du son Conduit auditif externe (3cm): poils, glandes sébacées et cérumineuses Tympan: membrane qui limite l oreille externe / moyenne Oreille moyenne: les osselets La trompe d Eustache Relie l oreille au pharynx Oreille interne: Oreille interne: Canaux semi circulaires et vestibule: équilibre Cochlée: audition

24 L AUDITION: L oreille moyenne Osselets = les + petits os du corps Marteau: en lien avec le tympan Enclume Etrier: au contact de la fenêtre ovale = trou des os du crâne, recouvert d une membrane, derrière lequel se trouve la cochlée

25 L AUDITION: L oreille interne Egalement appelée labyrinthe Labyrinthe osseux dans l os temporal Comprenant 3 cavités: Canaux semi circulaires et vestibule: équilibre Cochlée: audition Remplie de liquide

26 L AUDITION: La cochlée RV CC RT MB Tube osseux creux, contenant un triple canal enroulé en colimaçon (2 tours ½): Rampe vestibulaire Canal cochléaire (contient les récepteurs de l audition) Rampe tympanique Rempli de liquide: endolymphe dans le canal cochléaire périlymphe dans les rampes vestibulaire et tympanique

27 L AUDITION: Trajet des ondes sonores Semicircular canal Stapes tympan Oval window osselets Incus Malleus Auditory nerve Membrane de la fenêtre ovale Liquide de la cochlée Round window Cochlea Membrane basilaire Sound Ear drum (tympanic membrane) Ear canal Eustachian tube Réponse des neurones sensoriels

28 L AUDITION: L organe de Corti Vue de la membrane tectoriale de dessus Zoom sur une cellule ciliée externe Membranes basilaire (plancher) et tectoriale (toit) Cellules sensitives ciliées internes et externes: responsables de la conversion de l énergie lénergie mécanique en influxnerveux: nerveux: ce sont des mécanorécepteurs Les cellules ciliées font des synapses avec les neurones des ganglions spiraux, dont les axones forment le nerf auditif.

29 L AUDITION: Fonctionnement des mécanorécepteurs

30 L AUDITION: Voies centrales Nerf vestibulo cochléaire (Nerf crânien VIII) Tronc cérébral : noyau cochléaire, mésencéphale (Colliculus inférieur) Thalamus (CGM) Cortex auditif

31 Rappel: les 12 nerfs crâniens SNC Mixte SNP autonome et somatique SNP somatique I: N. Olfactif II: N. Optique III: N. Oculomoteur IV: N. Trochléaire V: N. Trijumeau VI: N. Abducens VII: N. Facial VIII: N. Vestibulaire et auditif IX: N. Glossopharyngien X: N. Vague XI: N. Spinal accessoire XII: N. Hypoglosse

32 L AUDITION: Intégration et organisation tonotopique La fréquence de vibration de la membrane basilaire est spécifique de la distance parcourue par les ondes (de la base à l apex) Les projections sur le noyau cochléaire puis le cortex auditif respectent cette organisation tonotopique

33 L AUDITION: Intégration Localisation du son: délai interaural

34 L AUDITION: Surdités Rarement dues à des lésions du cortex auditif: fonction auditive normale mais difficultés à localiser le son Surdité de conduction: lésions des osselets, excès de cérumen, tympan percé, otites Membrane tympanique normale Membrane tympanique percée Otite moyenne

35 L AUDITION: Surdités Surdité nerveuse: perte des neurones du nerf auditif (ex: méningite) altération lé i des cellules l ciliées de la cochlée (quinine, i antibiotiques, i sons trop forts) Normale Lésions duesaubruit

36 Plan Gustation Olfaction Audition Equilibre Visioni

37 L EQUILIBRE: le système vestibulaire Le système vestibulaire Informe l organisme de la position et des déplacements de la tête Fonctionnement inconscient Dysfonctionnement: vertiges, nausées, pertesd équilibres équilibres, mouvements des yeux incontrôlables

38 L EQUILIBRE: le système vestibulaire Semicircular canals 3Canaux semi circulaires 2 vésicules: saccule et utricule =organes à otolithes Utricle Saccule Organes à otolithes

39 L EQUILIBRE: le système vestibulaire Les canaux semi circulaires sont sensibles aux rotations de la tête: équilibre dynamique Les 3 canaux sont à peu près orthogonaux les uns aux autres Les organes à otolithes sont sensibles à la force de gravité, à l accélération linéaire (inclinaisons et translations de la tête): équilibre statique

40 L EQUILIBRE: le système vestibulaire Ce sont des organes remplis de liquide, dans lesquels on retrouve des cellules ciliées ayant un rôle de mécanorécepteur, localisées dans: La macula dans saccule et utricule (épithélium sensoriel) La crista dans les ampoules des canaux semi circulaires

41 L EQUILIBRE: les organes à otolithes Macula : épithélium sensoriel comprenant Des cellules ciliées: stéréocils et kinocil Recouvertes d une couche gélatineuse otolithes: cristaux de CaCO 3, 1 5µm

42 L EQUILIBRE: les organes à otolithes Les otolithes sont plus denses que l endolymphe qui les entoure Inclinaison de la tête > force exercée sur les otolithes > mouvements des cils Le sens d inclinaison est détecté: dépolarisation ou hyperpolarisation, selon si stéréocils vont vers le kinocil ou l inverse

43 L EQUILIBRE: les organes à otolithes Les maculas sont perpendiculaires l une à l autre: saccule: verticale uticule: horizontale Permet de couvrir toutes les directions

44 L EQUILIBRE: les canaux semi-circulaires Organe sensoriel= la crista: Dans une protubérance des canaux semi circulaires= l ampoule Cellules ciliées = mécanorécepteurs Enchâssée dans une capsule gélatineuse = la cupule

45 L EQUILIBRE: les canaux semi-circulaires Rotation de la tête: l inertie de l endolymphe provoque une inclinaison de la cupule Les 3 canaux sont orthogonaux: cela permet de couvrir toutes les directions de l espace

46 L EQUILIBRE: voies centrales Nerf vestibulo cochléaire (nerf VIII) Tronc cérébral (noyau vestibulaire) Cervelet Moelle épinière: maintien posture Motoneurones M t (mouvement yeux, muscles cou, ) Thalamus Cortex Réflexe vestibulo oculaire : Maintien du regard, indépendamment des mouvements du corps (ex: danse, route défoncée) é Cela permet une image nette sur la rétine

47 L EQUILIBRE: pathologies Lésions vestibulaires: difficultés à maintenir le regard lors de mouvements aussi faibles que les pulsations carotidiennes Le syndrome de Ménière: troubles de l audition (acouphènes, baisse de l audition) et de l équilibre (vertiges) avec excès d endolymphe d dans le vestibule Le maldestransports: Résulte d une contradiction apparente, auniveaudu cerveau, entre les informations reçues par les yeux, l oreille interne et les propriocepteurs musculaires

48 Plan Gustation Olfaction Audition Equilibre Visioni

49 LA VISION: l œil et la lumière Onde électromagnétique: amplitude et fréquence La couleur dépend de la longueur d onde nm nm nm L œil va donc capter les ondes et les discriminer selon leur longueur d onde 70% des récepteurs sensoriels sont retrouvés dans l œil 40% du cortex cérébral est dédié au traitement de l information visuelle

50 LA VISION: l œil pupille Humeur aqueuse L enveloppe Lenveloppe de l œil lœil est formé de 3 enveloppes concentriques: La tunique fibreuse, externe, composée de la cornée (à l avant) et la sclère (à l arrière) La tunique moyenne, composée de la choroïde odeàà l arrière le corps ciliaire à l avant l iris percé en son centre par la pupille (rôle de diaphragme) La tunique interne sensorielle, qui correspond à la rétine =tache aveugle Cavité antérieure = humeur aqueuse Cavité postérieure = corps vitré

51 LA VISION: le réflexe pupillaire Lumière Obscurité (myosis) (mydriase) Variation en fonction de l humeur et de l état d excitation également: Les pupilles surdilatées paraissent + attirantes

52 LA VISION: la rétine lumière Cellules bipolaires Épithélium pigmentaire i : riche en mélanine, minimise i i la réflexion de la lumière à l intérieur i de l oeil

53 LA VISION: les photorécepteurs: cônes et les bâtonnets Cellules bipolaires: axone + dendrite Dendrite: segment interne + segment externe renfermant les disques membraneux contenant la rhodopsine. Bâtonnets : vision de nuit Cônes : vision des détails et des couleurs

54 LA VISION: adaptations Adaptation à l obscurité : augmentation de la sensibilité des bâtonnets au cours du passage de la clarté à l obscurité Les bâtonnets prennent la relève des cônes (la sensibilité maximale est atteinte après une demi heure) Adaptation à la lumière : diminution de la sensibilité des bâtonnets au cours du passage de l obscurité à la clarté Les cônes se mettent au travail : ce phénomène dure environ sept minutes

55 LA VISION: phototransduction dans les bâtonnets A l obscurité: inactivité i itéde la rhodopsine maintien d une concentration de GMPc élevée Na+ entre dans la cellule, potentiel de membrane autour de 30mV. Rhodopsine Rhodopsine active A la lumière: la rhodopsine est «décolorée» diminution du GMPc fermeture des canaux Na + hyperpolarisation diminution de la libération de neurotransmetteur.

56 LA VISION: vision des couleurs Ilexiste des cônes spécifiques des couleurs primaires vert/bleu/rouge L activation Lactivation simultanée destrois types de cônes conduit à la vision de la lumière banche La nuit, les cônes sont inactifs et les bâtonnets actifs, mais les bâtonnets ne présentent qu un seul type de photopigment > difficulté à voir les couleurs

57 LA VISION: vision des couleurs Anomalies de certains cônes => daltonisme

58 LA VISION: notion de champ récepteur Transmission de l information dans la rétine: Voie directe photorécepteur Voie indirecte photorécepteur Cellule horizontale (inhibitrice) Cellule bipolaire (ganglionnaire)

59 LA VISION: vision des contrastes Rôle des cellules bipolaires La notion de champ récepteur centre périphérie souligne les contrastes entre zones éclairées et obscures

60 LA VISION: voies centrales Photorécepteurs Nerf optique Chiasma optique Tractus optique Thalamus (CGL) Cortex visuel : lobe occipital Cortex visuel primaire

61 LA VISION: formation de l image par l oeil Cornée Cristallin Fovéa (densité maximale de cônes) Tache aveugle (absence de photorécepteurs) rs) Fovea: la lumière frappe directement la couche de photorécepteurs Réfraction par la cornée: permet de faire converger les rayons vers la fovéa En général: 42 dioptries soit convergence à 1/42m= 2,4cm derrière la cornée = distance cornée rétine Réflexe pupillaire: augmente la profondeur de champ > rend nets les objets éloignés

62 LA VISION: formation de l image par l oeil Accommodation par le cristallin: pour les objets proches, elle compense le fait que les rayons entrants ne soient pas parallèles mais divergents: réfraction + forte (env. 12 dioptries de plus) Atténuation avec l âge: presbytie

63 LA VISION: pathologies Myopie Hypermétropie Astigmatisme : Défaut de la courbure de la cornée (ou du cristallin) qui dénature la vision Astigmatisme : Défaut de la courbure de la cornée (ou du cristallin) qui dénature la vision. L'astigmate voit de façon médiocre de près comme de loin, il confond souvent des lettres proches comme le H et M : vision déformée des objets.

64 LA VISION: pathologies Dégénerescence maculaire liée à l âge (DMLA) Fond d œilnormal dœil Forme sèche (80% cas) Forme humide Macula: tache jaunâtre Absence relative de vaisseaux sanguins Permet la vision centrale DMLA: disparition progressive des cellules de l épithélium pigmentaire Baisse de l acuité visuelle centrale

65 LA VISION: pathologies Simulation de DMLA

66 LA VISION: pathologies Rétinopathie diabétique Fragilisation des vaisseaux: hémorragies et cécité

67 LA VISION: illusions d optique Ce sont des interprétations fausses (par le cerveau) de sensationsréellement perçues ( hallucinations visuelles)

68 LA VISION: illusions d optique

69 LA VISION: illusions d optique Gris de A et de B sont identiques!

Le sens du goût. Une infinité de saveurs.

Le sens du goût. Une infinité de saveurs. Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on

Plus en détail

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,

Plus en détail

Séquence 8. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision

Séquence 8. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision Séquence 8 De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision Sommaire Pour s interroger 1. La vision : de la lumière au message nerveux 2. La vision : la perception visuelle, une construction cérébrale

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

Bien voir pour bien conduire

Bien voir pour bien conduire Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Vous disiez? Dossier d enseignement sur le bruit et les lésions de ľouïe Exercices de consolidation 120 minutes, moyen 2009-0303

Vous disiez? Dossier d enseignement sur le bruit et les lésions de ľouïe Exercices de consolidation 120 minutes, moyen 2009-0303 =1 Vous disiez? Dossier d enseignement sur le bruit et les lésions de ľouïe Exercices de consolidation 120 minutes, moyen Objectif Permettre aux apprenants d approfondir des connaissances essentielles

Plus en détail

La Perception Auditive

La Perception Auditive La Perception Auditive (cours P.A.M.U.) Alain Goyé Janvier 2002 Département TSI Ecole Nationale Supérieure des Télécommunications TABLE PHYSIOLOGIE ET PERCEPTION DE L INTENSITÉ SONORE 3 1. Acoustique et

Plus en détail

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous

Plus en détail

Activité scientifique et recherche :

Activité scientifique et recherche : L INSTITUT DE L ŒIL Notre Mission: L Institut de l Œil de Montréal a pour mission d offrir à chaque patient, une évaluation individuelle de l état de santé de ses yeux, qui tient compte de l ensemble de

Plus en détail

Les bases de l optique

Les bases de l optique Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter

Plus en détail

GUIDE POUR AMÉLIORER LE CONFORT AU TRAVAIL Travail à l écran en imprimerie

GUIDE POUR AMÉLIORER LE CONFORT AU TRAVAIL Travail à l écran en imprimerie GUIDE POUR AMÉLIORER LE CONFORT AU TRAVAIL Travail à l écran en imprimerie Mise en garde Le rôle de l Association paritaire de santé et de sécurité du travail, secteur imprimerie et activités connexes

Plus en détail

PRÉSERVEZ DES MAINTENANT VOTRE AUDITION!

PRÉSERVEZ DES MAINTENANT VOTRE AUDITION! Par leur durée et leur intensité, les sons de la nature ne constituent pas un danger pour notre audition. Mais l'homme a créé des sources sonores capables de détruire l'oreille. Ainsi, la musique écoutée

Plus en détail

Les vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés

Les vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés Les vers marins A partir des vers marins, les animaux se complexifient dans l organisation de leur tissus. Nous avons vu qu avec les coraux, les organismes possédaient deux feuillets séparés d une gelée.

Plus en détail

LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS

LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DOCUMENT ÉTABLI PAR LA COMMISSION PARITAIRE SANTÉ ET PRÉVENTION DES RISQUES DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE CONTEXTE Quel que soit le secteur d activité,

Plus en détail

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire : La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la

Plus en détail

4. Dangers principaux

4. Dangers principaux 4. Dangers principaux Toutes machines fixes ou portatives et appareils représentent un danger plus ou moins important si toutes les dispositions concernant la sécurité du travailleur ne sont pas prises

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Cours n 2 d Energétique SON, COULEUR ET ONDES DE FORME. Toute reproduction partielle ou totale est interdite sans autorisation écrite des auteurs.

Cours n 2 d Energétique SON, COULEUR ET ONDES DE FORME. Toute reproduction partielle ou totale est interdite sans autorisation écrite des auteurs. Cours n 2 d Energétique SON, COULEUR ET ONDES DE FORME Toute reproduction partielle ou totale est interdite sans autorisation écrite des auteurs. SOMMAIRE I LA COULEUR... 2 1.1 Le spectre de la lumière

Plus en détail

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication

Plus en détail

& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT

& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Ergonomie & écrans de visualisation

Ergonomie & écrans de visualisation Ergonomie & écrans de visualisation Christophe Janssens, Kinésithérapeute CP Ergonome - Empreva SECURA 2013 Vendredi 22 mars 2013 EMPREVA & Structure fédérale de la prévention SCPPT Comité de Gestion SIPPT

Plus en détail

Fonctions non ventilatoires

Fonctions non ventilatoires UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008

LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008 LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres

Plus en détail

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

PROPRIÉTÉS D'UN LASER PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)

Plus en détail

Prévenir... les accidents des yeux

Prévenir... les accidents des yeux Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident

Plus en détail

Manuel de l ergonomie au bureau

Manuel de l ergonomie au bureau Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres

Plus en détail

La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie

La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou

Plus en détail

Le son est une vibration aérienne, une onde, qui se caractérise par sa hauteur (aigu ou grave) et son intensité (son fort, son faible).

Le son est une vibration aérienne, une onde, qui se caractérise par sa hauteur (aigu ou grave) et son intensité (son fort, son faible). «À force d écouter la musique trop fort, on finit par l entendre à moitié» Dossier de presse octobre 2008 1 Sommaire Les jeunes de plus en plus exposés aux risques auditifs... p.3 Le fonctionnement de

Plus en détail

La perception des couleurs par l'œil

La perception des couleurs par l'œil Travaux Personnels Encadrés Thème: Images La perception des couleurs par l'œil Haïba Lekhal Per Einar Ellefsen 1 ère S 3 2001-2002 Lycée Français Jean Monnet La perception des couleurs par l'oeil par Haïba

Plus en détail

Enseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales

Enseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales Enseigner la prévention des risques professionnels Éclairage et vision Fiches principales EV 1 OBJECTIF : Identifier les caractéristiques physiques de la lumière et de l environnement lumineux de travail

Plus en détail

Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil

Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil Annexe I Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil NORME EN 60825-1 (C 43-805) DE JUILLET 1994 - CONSIDERATIONS

Plus en détail

Le système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE -

Le système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE - 1 Le système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE - Par Isabelle Simonetto, Dr en Neurosciences Introduction Le yoga considère depuis toujours le ventre, et plus particulièrement l estomac

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : memoires@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : memoires@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle

Plus en détail

Manuel d'utilisation de la maquette

Manuel d'utilisation de la maquette Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie

Plus en détail

Rapport d acoustique : La hauteur d un son

Rapport d acoustique : La hauteur d un son Rapport d acoustique : La hauteur d un son Sylvain Daudé Magistère de mathématiques et applications 2 ème année Juin 2000 Responsable : M. Yann Malécot Introduction Un son est déterminé par sa hauteur,

Plus en détail

L univers vivant De la cellule à l être humain

L univers vivant De la cellule à l être humain L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

Le syndrome de Usher CENTRE DE RESSOURCES POUR ENFANTS ET ADULTES SOURDS-AVEUGLES ET SOURDS-MALVOYANTS

Le syndrome de Usher CENTRE DE RESSOURCES POUR ENFANTS ET ADULTES SOURDS-AVEUGLES ET SOURDS-MALVOYANTS Le syndrome de Usher CENTRE DE RESSOURCES POUR ENFANTS ET ADULTES SOURDS-AVEUGLES ET SOURDS-MALVOYANTS Sommaire Le syndrome de Usher... 3 I - Audition et équilibre... 5 1) Les différents types de surdité...

Plus en détail

ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS

ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Matériel : Logiciel winoscillo Logiciel synchronie Microphone Amplificateur Alimentation -15 +15 V (1) (2) (3) (4) (5) (6) ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Connaissances et savoir-faire

Plus en détail

LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes

LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes

Plus en détail

L opération de la cataracte. Des réponses à vos questions

L opération de la cataracte. Des réponses à vos questions L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition

Plus en détail

Notions d acoustique contexte réglementaire et solutions de prévention

Notions d acoustique contexte réglementaire et solutions de prévention Réduire le bruit au travail : des solutions de prévention 29 octobre 2008 Notions d acoustique contexte réglementaire et solutions de prévention Hubert FINCK Ingénieur Conseil Les enjeux Le bruit concerne

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Exposition temporaire «Très toucher»

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Exposition temporaire «Très toucher» COMMUNIQUÉ DE PRESSE Exposition temporaire «Très toucher» Du 7 juillet au 7 décembre 2012 à L Arche des Métiers L ARCHE DES MÉTIERS - CCSTI de l Ardèche Place des Tanneurs BP 55-07160 LE CHEYLARD Tél.

Plus en détail

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler

Plus en détail

LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43

LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43 LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation

Plus en détail

Version du 17 octobre 2011. Le bruit

Version du 17 octobre 2011. Le bruit Version du 17 octobre 2011 Le bruit Bruit et BTP Etat des lieux Surdité professionnelle : handicap irréversible SUMMER 2003 : 25% des salariés victimes du bruit Maladies professionnelles (tableau N 42)

Plus en détail

C EST QUOI LE STRESS?

C EST QUOI LE STRESS? C EST QUOI LE STRESS? Une réaction d adaptation «Le stress est la réponse non spécifique de l organisme à toute demande d adaptation qui lui est faite». Hans Selye Une réaction d adaptation Par exemple,

Plus en détail

Monsieur Renaudie Vincent

Monsieur Renaudie Vincent Monsieur Renaudie Vincent Masseur- Kinésithérapeute Année 2008/2009 N 9102709 UFR DE MEDECINE PIERRE ET MARIE CURIE D.I.U. REEDUCATION FONCTIONNELLE DE L EQUILIBRE AMARINAGE DU PLONGEUR SOUS-MARIN EN INTERSAISON

Plus en détail

Mieux informé sur la maladie de reflux

Mieux informé sur la maladie de reflux Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de

Plus en détail

L'ORDINATEUR ET LA VUE

L'ORDINATEUR ET LA VUE 45 L'ORDINATEUR ET LA VUE On parle beaucoup des troubles liés au travail devant écran d'ordinateur. Qu'en est-il des recherches dans ce domaine? On peut dire que les problèmes de la vision sur écran en

Plus en détail

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 50

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 50 ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 50 SANTÉ ET SÉCURITÉ AOUT 2014 Francis MINIER Inspecteur santé et sécurité au travail Secrétariat : Brigitte BARRIER poste 46 73 Fax : 02 38 79 42 34 ou 02

Plus en détail

La fonction respiratoire

La fonction respiratoire La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur

Plus en détail

LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE. Comment se déroule la chirurgie de la cataracte?

LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE. Comment se déroule la chirurgie de la cataracte? LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE Comment se déroule la chirurgie de la cataracte? Une intervention de routine En France, plus de 500 000 chirurgies de la cataracte sont réalisées chaque année. L intervention

Plus en détail

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.

Plus en détail

A healthy decision LA DOULEUR

A healthy decision LA DOULEUR A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur

Plus en détail

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction

Plus en détail

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les

Plus en détail

Item 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher.

Item 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher. Item 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher. I. INTRODUCTION II. MECANISME DES FRACTURES DU ROCHER III. TABLEAU CLINIQUE

Plus en détail

Lucie. - Taille : 1 m 36 - Poids : 24, 5 kg - Cheveux : bruns - Yeux : verts - Caractère : têtue, mais gentille.

Lucie. - Taille : 1 m 36 - Poids : 24, 5 kg - Cheveux : bruns - Yeux : verts - Caractère : têtue, mais gentille. Description d Alban - taille : 1m 56 - poids : 36 kg - peau : bronzée - cheveux : noirs, bouclés - yeux : noirs - oreilles : grandes - visage : ovale - pieds : grands (39-40) - tache de naissance : blanche

Plus en détail

Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE

Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Vous vous souvenez que tout est constitué d atomes, non? Une pierre, un stylo, un jeu vidéo, une télévision, un chien et vous également; tout est fait d atomes.

Plus en détail

Traitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale

Traitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative

Plus en détail

ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS

ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Qu est ce que l ergonomie d un poste de travail? ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Un poste de travail ergonomique est un poste qui offre un environnement et des équipements permettant de créer

Plus en détail

Mémento à l usage du personnel des laboratoires

Mémento à l usage du personnel des laboratoires Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l

Plus en détail

Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014

Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014 Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO 20 mars 2014 La phonétique acoustique La phonétique acoustique étudie les propriétés physiques du signal

Plus en détail

DOMAINES MOTEUR ET SENSORIEL

DOMAINES MOTEUR ET SENSORIEL DOMAINES MOTEUR ET SENSORIEL Page 1 sur 12 OBJECTIF GÉNÉRAL : 1. AMÉLIORER LES HABILETÉS MOTRICES GLOBALES 1.1 L élève développera des stratégies pour coordonner ses mouvements. 1. Appliquer les recommandations

Plus en détail

Le logiciel EduAnatomist.

Le logiciel EduAnatomist. Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,

Plus en détail

Consulter le Modèle d Accessibilité de référence. Le modèle a considéré quatre types de diversité fonctionnelle :

Consulter le Modèle d Accessibilité de référence. Le modèle a considéré quatre types de diversité fonctionnelle : Consulter le Modèle d Accessibilité de référence. Le modèle a considéré quatre types de diversité fonctionnelle : Personnes ayant une diversité fonctionnelle physique Personnes ayant une diversité fonctionnelle

Plus en détail

Ergonomie dans les services publics Expérience du service Empreva. Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva

Ergonomie dans les services publics Expérience du service Empreva. Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva Ergonomie dans les services publics Expérience du service Empreva Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva SICPPT fédéral AFFILIES Comité de gestion SIPPT 1 SIPPT SIPPT n 2 EMPREVA Management Office

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?

Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Ensemble de symptômes et d atteintes qui touchent principalement : nerfs ligaments tendons vaisseaux sanguins articulations disques intervertébraux muscles

Plus en détail

Normes techniques d'accessibilité

Normes techniques d'accessibilité Normes techniques d'accessibilité Informations tirées du site de la CRIPH (Cellule de Recrutement et d Insertion des Personnes Handicapées) La notion d accessibilité intègre plusieurs composantes : l accès

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Le bien - être connecté enfin accessible à tous

Le bien - être connecté enfin accessible à tous INFORMATION PRESSE NOUVEAU Le bien - être connecté enfin accessible à tous Surveiller sa forme et son activité physique, améliorer son sommeil ou apprendre à gérer son stress sont autant de préoccupations

Plus en détail

Lunettes et Maquillage TECHNIQUE MAQUILLAGE

Lunettes et Maquillage TECHNIQUE MAQUILLAGE TECHNIQUE MAQUILLAGE 20 Lunettes et Maquillage Comment se maquiller quand on porte des lunettes ou des lentilles? Quelle monture privilégier en fonction de sa forme de visage? Quelles couleurs choisir?

Plus en détail

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?

Plus en détail

Activités de bureau. Travail avec l outil informatique. C.Chrétien - 09/12/2014 1

Activités de bureau. Travail avec l outil informatique. C.Chrétien - 09/12/2014 1 Activités de bureau Travail avec l outil informatique 1 Pourquoi cette information? Enquête DARES, 2007 : Environ 1 salarié sur 5 travaille plus de 4 heures par jour sur écran Evolution dans toutes les

Plus en détail

Marie Lébely. Le large dans les poubelles

Marie Lébely. Le large dans les poubelles Marie Lébely Le large dans les poubelles Prologue «La vitesse de conduction des fibres postganglionnaires est-elle du même ordre que celle des fibres nerveuses motrices du système nerveux somatique?» C

Plus en détail

Dégénérescence maculaire liée à l âge

Dégénérescence maculaire liée à l âge Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et

Plus en détail

Ceinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)

Ceinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus) Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

étiquetage des produits chimiques

étiquetage des produits chimiques Le nouveau règlementr GHS / CLP pour l él étiquetage des produits chimiques Carlo Erba RéactifsR actifs-sds Brigitte Coulange Les systèmes de classification existants au niveau mondial LE TOLUENE Au Canada,

Plus en détail

Athénée Royal d Evere

Athénée Royal d Evere Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement

Plus en détail

UE11 Phonétique appliquée

UE11 Phonétique appliquée UE11 Phonétique appliquée Christelle DODANE Permanence : mercredi de 11h15 à 12h15, H211 Tel. : 04-67-14-26-37 Courriel : christelle.dodane@univ-montp3.fr Bibliographie succinte 1. GUIMBRETIERE E., Phonétique

Plus en détail

Qu'est-ce que l'écoute?

Qu'est-ce que l'écoute? École maternelle Imaginer sentir créer Qu'est-ce que l'écoute? Août 2007 eduscol.education.fr/ecole L ÉCOUTE «L oreille a deux portes : le tympan et l oreille interne. Cette dernière seule est porteuse

Plus en détail

Caractéristiques : Le Grand Éléphant. Le Grand Éléphant

Caractéristiques : Le Grand Éléphant. Le Grand Éléphant Sorti de l atelier de la compagnie La Machine le 1 er juillet 2007, l Éléphant a transporté en 4 ans et demi 250 000 passagers. Des centaines de milliers de visiteurs ont suivi ses déplacements au centre

Plus en détail

Cours d Acoustique. Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité

Cours d Acoustique. Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité 1 Cours d Acoustique Techniciens Supérieurs Son Ière année Aurélie Boudier, Emmanuelle Guibert 2006-2007 Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité 1 La puissance acoustique Définition La puissance

Plus en détail

Q U E S T I O N S. 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie

Q U E S T I O N S. 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie 1 Q U E S T I O N S 1/ Le soleil est : Une étoile Une planète 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie 3/ Le soleil tourne-t-il

Plus en détail

La douleur est une mauvaise habitude.

La douleur est une mauvaise habitude. La douleur est une mauvaise habitude. Vous pourriez avoir envie de dire : "non, c'est impossible! Je ne peux pas me faire du mal à moi-même!" et vous auriez en partie raison. Comme exemple de douleurs

Plus en détail

Test d immunofluorescence (IF)

Test d immunofluorescence (IF) Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit

Plus en détail

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,

Plus en détail

Répondre à vos besoins en matière de surveillance extérieure. Des solutions de caméras réseau hautes performances pour toutes les conditions

Répondre à vos besoins en matière de surveillance extérieure. Des solutions de caméras réseau hautes performances pour toutes les conditions Répondre à vos besoins en matière de surveillance extérieure. Des solutions de caméras réseau hautes performances pour toutes les conditions extérieures. Lorsque les conditions sont rudes... Les villes,

Plus en détail

Concertation relative à la mise en place du compte personnel de prévention de la pénibilité Michel de Virville

Concertation relative à la mise en place du compte personnel de prévention de la pénibilité Michel de Virville Concertation relative à la mise en place du compte personnel de prévention de la pénibilité Michel de Virville Préconisations établies par M de Virville au terme de la deuxième étape de la concertation

Plus en détail

Panneau solaire ALDEN

Panneau solaire ALDEN SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition

Plus en détail

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme

Plus en détail

La mécanique sous le capot

La mécanique sous le capot La mécanique sous le capot L ergonomie Comment éviter et diminuer les TMS aux membres supérieurs Pourquoi vos articulations vous font-elles souffrir? De nombreux travailleurs souffrent de troubles musculo-squelettiques

Plus en détail

Examen neurologique de l enfant

Examen neurologique de l enfant Examen neurologique de l enfant 2 SYSTÈMES ANATOMIQUEMENT DISTINCTS différents dans la chronologie de leur maturation Système SOUS CORTICOSPINAL Issu du Tronc cérébral Archaïque Maintient de la posture

Plus en détail