RAPPORT DE L ATELIER DE RESTITUTION ET DE VALIDATION DE LA FEUILLE DE ROUTE POUR LA MISE EN
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- Jean-Claude Martel
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1 RÉPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix-Travail-Patrie MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIVISION DES ETUDES ET DES PROJETS CELLULE DES INFORMATIONS SANITAIRES REPUBLIC OF CAMEROON Peace-Work-Fatherland MINISTRY OF PUBLIC HEALTH SECRETARIAT GENERAL STUDIES AND PROJECTS DIVISION HEALTH INFORMATIONS UNIT N /R /MINSANTE/SG/DEP/CIS/TFC Yaoundé, le RAPPORT DE L ATELIER DE RESTITUTION ET DE VALIDATION DE LA FEUILLE DE ROUTE POUR LA MISE EN ŒUVRE DES RECOMMANDATIONS DE LA COMMISSION DE L'INFORMATION ET DE LA REDEVABILITE EN FAVEUR DE LA SANTE DE LA FEMME ET DE L'ENFANT AU CAMEROUN NKOLANDOM, OCTOBRE 2012.
2 Page 2 sur 11 INTRODUCTION L an deux mille douze, du 23 au 26 octobre s est tenu au Centre Touristique de Nkolandom sis à Ebolowa, l atelier de restitution et de validation de la feuille de route pour la mise en œuvre des recommandations de la Commission de l'information et de la Redevabilité pour la santé de la femme et de l'enfant. Le présent rapport relate jour après jours les grandes lignes desdits travaux et se termine par les recommandations formulées par les participants. La liste de ces derniers est présentée en annexe. I. JOURNEE DU 23 OCTOBRE 2012 La première journée s est ouverte par une phase introductive et administrative ponctuée par les points ci après : - Le mot d ouverture de l atelier ; - La présentation des objectifs et résultats attendus ; - La présentation des modalités pratiques de l atelier ; - L amendement du projet d agenda Cette phase a été suivie par quatre présentations dont l objectif était d asseoir la compréhension des concepts et recommandations autour de la redevabilité en faveur de la santé de la mère et de l enfant. Les travaux de groupe ont clôturé la journée. 1. Mot d ouverture de l atelier Dans sont mot d ouverture, le Chef de la Division des Etudes et des Projets du MINSANTE, en sa qualité de représentant du Ministre de la Santé Publique empêché, a tout d abord souhaité la bienvenue aux participants au Centre Touristique de Nkolandom ensuite, a situé le contexte des travaux qui font suite à l atelier multi pays tenu du 18 au 23 juin 2012 à Ouagadougou sur le thème : «Initiation aux Comptes Nationaux de la Santé ; renforcement du suivi des résultats et de la redevabilité pour la santé de la mère et de l enfant en particulier et, du secteur santé dans l ensemble». La principale recommandation de ce denier avait été la tenue des ateliers nationaux en vue de la finalisation des feuilles de route pays pour la mise en œuvre des recommandations de la Commission de l Information pour la redevabilité en faveur de la santé de la mère et de l enfant. Il a également mis un accent sur la nécessité d un travail sérieux de la part des participants pour l obtention d un document de très haute facture. Il s en est suivi l amendement du projet d agenda et la désignation des rapporteurs journaliers. L agenda adopté est présenté en annexe de ce rapport. 2. Objectifs de l atelier L objectif général de l atelier était de procéder à la restitution des conclusions de l atelier sur la redevabilité de la femme et de l enfant à toutes les parties prenantes clés du secteur de la santé et, de développer et valider la feuille de route pays pour l'amélioration des résultats et de la redevabilité pour la santé de femme et de l'enfant en particulier et du secteur de la santé dans son ensemble. Les objectifs spécifiques étaient les suivants :
3 Page 3 sur 11 - Informer les participants sur le contexte et les implications des recommandations de la Commission de l'information et de la redevabilité pour la Santé de la Femme et de l'enfant; - Faire l'évaluation de la situation actuelle du pays, en terme de progrès et de plans, d'opportunités et d'enjeux pour la mise en œuvre des recommandations et identifier les actions prioritaires; - En s'appuyant sur les plans et cadres nationaux existants déjà, finaliser et valider la feuille de route pays budgétisée pour l'amélioration de la redevabilité, pour les 04 années à venir ; - Etablir une compréhension commune du travail requis et définir les rôles et responsabilités de chaque partenaire dans la mise en œuvre de la feuille de route. 3. Résultats attendus de l atelier Les principaux résultats attendus à l issue de cet atelier étaient les suivants: - Une compréhension commune par les participants des recommandations de la Commission ainsi que, les opportunités/enjeux pour la mise en œuvre nationale ; - Une feuille de route budgétisée et validée mettant en exergue les actions prioritaires, identifiant les rôles et les responsabilités des partenaires et acteurs du secteur de la santé. 4. Présentation des recommandations de la Commission de l Information et de la Redevabilité en Santé de la Femme et de l Enfant L on a pu retenir de cette présentation que, le Secrétaire Général des Nations Unies a lancé la Stratégie Mondiale pour la Santé de la Femme et de l Enfant en Septembre Au moins 40 pays et partenaires ont répondu à l'appel du Secrétaire général pour la prise d'actions avec des déclarations spécifiques d'engagement en Mai A la demande du Secrétaire Général, l'oms a établi une Commission de l'information et de la redevabilité pour la Santé de la Femme et de l'enfant qui a pour but d'encourager de différentes manières les pays ainsi que leurs partenaires a être plus redevables envers la santé de la femme et de l'enfant. En Mai 2011, la Commission de l'information et de la redevabilité pour la santé de la femme et de l'enfant a présenté ses 10 recommandations pour renforcer la redevabilité des ressources et des résultats. Le travail de la Commission s'appuie sur l'approche de suivi et évaluation développée par IHP+, et adopte les principes du leadership national et de la possession des résultats, renforçant ainsi les capacités nationales en suivi, évaluation et revue et réduisant le poids de la production de rapports divers. La redevabilité a été définie par la Commission comme un processus cyclique de suivi, évaluation et action en liant la redevabilité des ressources aux résultats. Un processus rassemblant toutes les parties prenantes, notamment une consultation en Juillet 2011, a abouti à la traduction de ces recommandations en un plan stratégique de travail commun. Le plan de travail identifie plusieurs domaines d'actions prioritaires pour le renforcement de la redevabilité des pays basées sur ces 10 recommandations clés. Celles-ci comprennent: - Le suivi des résultats - Le renforcement de l'utilisation des TIC - Le suivi des ressources - L enregistrement des naissances et des décès - La revue et la surveillance du décès maternel
4 Page 4 sur 11 - Les mécanismes nationaux pour les revues et la redevabilité - Le plaidoyer/action Les pays définissent leurs priorités parmi celles-ci mais peuvent en identifier d'autres. Il est généralement proposé qu'une feuille de route pour le renforcement de la redevabilité soit développée pour 4 ans et budgétisée permettant des actions catalytiques dans le pays. Le but est de bâtir sur les activités en cours, les mécanismes et processus nationaux existants, suivant l'approche IHP+ pour l'harmonisation et l'alignement. Les points suivants ont été débattus durant les discussions qui ont suivi cette présentation : - Les mesures prises pour assurer l enregistrement des naissances et des décès. A cet effet, des activités de plaidoyer et sensibilisation seront entreprises à l endroit des principales parties prenantes pour garantir l implication de tous. L on apprendra que l étude diagnostic sur le système de l état civil au Cameroun est achevée et qu un projet de modernisation est en cours. Il est prévu dans ce cadre la création du bureau national de l état civil. La conférence internationale tenue à Durban sur le sujet, est revenue sur la nécessité de la numérisation de l état civil, l harmonisation des procédures dans la sous région africaine. - L utilisation rationnelle des financements reçus qui a permis de relever l importance des compacts et circuits de financement, le concept de transparence, le suivi des ressources, la planification et les mécanismes de gestion/évaluation établis entre les partenaires et les gouvernements. 5. Liens et perspectives avec le processus de planification sanitaire nationale Le processus soutenu par la Commission sur l'information et la redevabilité n est pas un processus de plus, au contraires il s'inscrit et est complémentaire aux processus de planification sanitaire nationaux. Et plusieurs causes justifient cette position à savoir : la multiplicité des initiatives et des partenaires au sein des systèmes de santé ; la complexité des interventions ; la complexité des processus de planification et de politique sanitaire au niveau des pays. Cette situation nécessite donc: - la mise en œuvre des mécanismes d'alignement, d'harmonisation (IHP +, Compact national, JANS, HHA, ) ; - des processus participatifs (Revues, CHPP, S&E, aux différents niveaux, ) ; - une meilleure information (qualité, communication avec les parties prenantes, ) ; - des revues périodiques (tant sectorielles que programmatiques) annuelles. Les discussions qui ont suivi cette présentation ont porté sur: - La place de l approche participative et des actions de planification globale et sectorielles ; - La complexité des interventions, les rôles et obligations des partenaires. Dans ce sens, il est important que les Gouvernements fassent valoir leur leadership et, renforcent leur participation lors de la négociation des contrats et qu il y est une prise de conscience des partenaires au développement. 6. Le Renforcement du suivi des résultats
5 Page 5 sur 11 L objectif visé est de renforcer le suivi et l'évaluation des pratiques et des systèmes nationaux afin d'informer des revues régulières et les processus de redevabilité. Les principaux éléments clés étant : - Un plan de suivi et évaluation (SE), solide et détaillé/complet ; - Une coordination nationale du SE ; - Des Indicateurs clés avec cibles et valeurs de base ; - Le renforcement des sources de données (SNIS, enquêtes, état civil, ressources humaines, etc.) ; - La Vérification de la qualité de données (ex. Données du système de routine) ; - L analyse des progrès et performances (y compris analyse d'équité) ; - Les Capacités analytique et institutionnelle ; - L accessibilité/transparence des données. Des échanges et discussions ayant suivi cette présentation, ont porté sur: - La nécessité de disposer d un plan de suivi et évaluation des activités élaboré en droite ligne avec le plan directeur global et définissant les modalités de mise en œuvre des opérations de suivi et d évaluation des activités ; - Les indicateurs de suivi et l arbitrage dans le choix des indicateurs lors de l élaboration du plan de suivi et évaluation. Les indicateurs à retenir étant fonction de ce que le pays a retenu dans sa vision. - L explication des concepts de planification, suivi-évaluation et revue. Les revues étant des évaluation globales des stratégies, rapports, activités et évaluations effectuées. - La complexité du processus de planification actuel au Cameroun : la budgétisation et la programmation des activités se fait à la base et par secteurs à travers les budgets programmes où les ministères proposent leurs priorités qui nécessitent un arbitrage pour s assurer de la prise en compte réelle des besoins et priorités nationales. - La place du District de Santé (DS) dans la mise en œuvre et la planification des activités : importance de la participation des DS dans la prise des décisions et la redevabilité. Le processus étant participatif, les DS devraient intervenir dans la programmation des activités à travers les plans et stratégies sectorielles du MINSANTE. - La nécessité de disposer de données du système des informations sanitaires comme base pour nos interventions. 7. Renforcement de l innovation à travers les Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication Les NTIC sont des technologies utiles pour la collecte, le stockage, la récupération, le traitement, l'analyse, la transmission et la réception de données et d'information. La question centrale étant la contribution des NTIC au renforcement des systèmes de santé. Les actions suivantes ont été proposées : - Identifier les problèmes et défis au niveau national ; - Développer et implémenter les politiques en la matière; - Renforcer le leadership et la coordination ; - Promouvoir et renforcer l engagement politique national et la prise en compte des NTIC et la cybersanté ;
6 Page 6 sur 11 - Construire les infrastructures des services et établissements de cyber santé ; - Développer les capacités des ressources humaines en cybersanté (e-health) ; - Mobiliser les ressources financières pour la cybersanté ; - Suivre et évaluer la mise en œuvre des plan nationaux et cadres de l informatique sanitaire. Les points suivants ont été débattus durant les discussions qui ont suivi cette présentation : - L utilisation des NTIC pour répondre aux problèmes de santé : nécessité d intégrer les NTIC dans l élaboration des programmes, à l exemple du projet SURVAC, de la flotte téléphonique mise en place par l OMS pour la transmission des informations sanitaires et des données de surveillance, le besoin de pérennisation des activités. - Le circuit des informations et organisation des activités de riposte face aux évènements sanitaires. 8. Première session des Travaux de groupe En introduction aux travaux de groupe, l outil d auto-évaluation proposé par l OMS pour l élaboration des feuilles de route a été présenté. Le contenu des différents onglets et le travail préliminaire effectué par la délégation camerounaise à Ouagadougou au sujet de la feuille de route ont également été présentés. A cet effet, les participants ont été répartis en deux groupes pour la suite de l atelier. Il s agissait pour chacun des groupes travaillant sur un item bien précis de : - enrichir l analyse de situation (forces, faiblesses, lacunes) ; - donner un score caractérisant la situation actuelle ; - proposer des actions possibles pour corriger/changer la situation ; - dégager des actions prioritaires ; - décrire pour chaque action proposée, l approche (les activités) ; - Coster et programmer chaque activité sur les quatre prochaines années ; - Identifier les responsables de la mise en œuvre de ces activités ; Cette première session de travaux en groupe a porté sur : le suivi des résultats et l innovation à travers l utilisation des NTIC. Cette première journée de travail s est achevée par la restitution des travaux de groupe et l intégration des amendements et améliorations à l outil d auto-évaluation. Pour des questions de temps les deux groupes n ont pas effectué le costing des actions. II. JOURNEE DU 24 OCTOBRE 2012 Les travaux de la deuxième journée de l atelier de restitution et de validation de la feuille de route pour la mise en œuvre des recommandations de la commission de l information et de la redevabilité pour la santé de la femme et de l enfant ont débuté par la lecture et amendements du rapport de la première journée. L ordre du jour prévoyait deux exposés, des séances de travaux de groupe et une restitution en plénière.
7 Page 7 sur Exposé sur le renforcement des systèmes d enregistrement de l état civil et des statistiques démographiques L on retiendra de l exposé que les données d état civil englobent généralement les naissances, décès, causes de décès et autres faits d état civil (mariages, divorces, etc.). La plus part des pays de la région ont un système peu fonctionnel: Le niveau d enregistrement des naissances et décès est globalement faible. Il y a très peu de statistiques démographiques générées à partir du système d enregistrement d état civil. Les informations sur les causes de décès ne sont pas disponibles ou sont de mauvaise qualité (très peu utilise la Classification Internationale des Maladies). Nombreux rapports de causes de décès sont incrustés d erreurs. Il est recommandé pour le renforcement des systèmes d enregistrement de l état civil : - L évaluation des systèmes d enregistrement de l état civil (SEEC) ; - L élaboration du plan de renforcement du SEEC ; - La définition des mécanismes de Coordination ; - L engagement des gouvernements ; - Le reporting hospitalier en utilisant la CIM-10 ; - Le reporting communautaire (méthodes innovantes) ; - L enregistrement des statistiques démographiques ; - Des enquêtes locales pour le suivi des progrès. Les discussions qui ont suivi cette présentation ont permis de revenir sur les points suivants : - Le rôle catalyseur des TIC dans l amélioration des performances des SEEC; - La modernisation du système d état civil au Cameroun : un comité interministériel impliquant plusieurs parties prenantes a été créé à cet effet depuis près de 06 ans. Un plaidoyer est effectué sur le terrain pour l abolition des faits d état civil établis par les tribunaux et pour rendre l établissement de ces faits gratuits. Il est à noter une faible utilisation des services de santé et le besoin de renforcement du système d information au niveau communautaire. 2. Exposé sur la revue des décès maternels et évaluation de la qualité des soins SMNI Au Cameroun, le taux de mortalité maternelle est de 669 décès pour naissances vivantes. Les points suivants doivent être pris en compte lors de l évaluation des décès maternels et de la qualité des soins en santé maternelle, néonatale et infantile: - Connaître le niveau de mortalité maternelle n est pas suffisant. Nous devons comprendre les causes sous-jacentes et les déterminants ; - Chaque décès maternel a une histoire à raconter et peut donner des informations nécessaires pour aborder le problème ; - Une volonté d agir sur la base des résultats de l analyse est un prérequis indispensable pour le succès ; - Il est essentiel que les personnes pouvant promouvoir les changements nécessaires et agir soient associées au processus dès son origine; - La qualité des informations écrites disponibles sur chaque cas (dossier clinique) est un facteur important pour permettre une analyse permettant de formuler des recommandations;
8 Page 8 sur 11 - Toutes les approches sont basées sur le cycle de surveillance de la mortalité maternelle ; Les discussions qui ont suivi cet exposé ont porté sur : - Les enquêtes confidentielles au niveau des formations sanitaires qui visent à garantir la sécurité des personnes auditées ; - L intérêt de cette présentation qui était la notification et la surveillance des décès maternels et infantiles. 3. Deuxième session des travaux de groupes Les travaux de groupe ont repris selon l organisation et les dispositions de la journée précédente. Les groupes ont procédé à la relecture et l amendement des volets relevant de la surveillance des décès maternels et l évaluation de la qualité des soins ; et des systèmes d enregistrement et statistiques d état civil. Cette première phase des travaux de groupe s est achevée par une restitution en séance plénière et l introduction des amendements dans l outil d auto-évaluation. 4. Suivi des ressources financières Il est ressorti de cette présentation que les dépenses en santé de la région africaine ont doublé entre 1995 et Les systèmes de santé africains continuent d être financés par des partenaires (entre 10% et 70%). Les fonds alloués aux dépenses en santé maternelle et infantile représentent près de 30% de la dépense totale en santé. Le suivi des ressources financières très est important dans la gestion des systèmes de santé. Parmi les outils de suivi de ressources, les Comptes Nationaux de la Santé se distinguent. D où l encouragement de l OMS et des Partenaires aux pays à produire et institutionnaliser l élaboration des Comptes Nationaux de la santé dans leur pays. Il est recommandé : - d assurer le suivi des ressources en utilisant au moins deux indicateurs (données de dépense totale et de dépense en santé maternelle et infantile tous les ans par source) ; - la signature de pactes entre gouvernements et principaux partenaires du développement pour fournir des données des engagements et dépenses en santé ; - L évaluation et l analyse des dépenses : capacité d examiner régulièrement les dépenses en santé et vérifier leur conformité aux problématiques : de genre, droits de l homme, et équité. Les discussions qui ont suivi cette présentation ont porté sur : - Les capacités d analyse des dépenses en fonction du genre ; - Les contributions financières par les acteurs du système de santé : ONG, OSC, ménages, sociétés et autres à l élaboration des comptes nationaux de santé. 5. Mécanismes nationaux de revue et d action Au cours de cette présentation, une série de questions essentielles ont été posées pour l évaluation et la prise en compte des besoins dans la réalisation des revues des stratégies nationales. Ces questions portaient sur :
9 Page 9 sur 11 - Les réunions de revue ; - La participation des partenaires au développement et des OSC ; - Les synthèses de données produites pour les revues; - La disponibilité des données du niveau infranational ; - L utilisation des résultats des revues dans le processus de planification ; - L alignement des revues de programme spécifique (par ex. revues de la SMNI) sur la revue sectorielle annuelle ; - Le lien entre le processus de revue et l'allocation du Budget. Des discussions ayant eu lieu après l exposé, l on a convenu de suggérer la tenue des revues sectorielles au moins tous les deux ans pour être réaliste. 6. Troisième session des travaux de groupes La troisième séance des travaux de groupe a permis aux participants de procéder à la relecture et l amendement des volets portant sur le suivi des ressources financières, des comptes nationaux de santé et des mécanismes de revue des stratégies et performances nationales. La deuxième journée de travail s est achevée par ces travaux de groupes III. JOURNEE DU 25 OCTOBRE 2012 Les travaux de la troisième journée ont débuté par la lecture du rapport de la journée précédente suivie d une présentation sur les activités de plaidoyer. 1. Présentation sur la sensibilisation et le plaidoyer La présentation s est appesantie sur l implication et le rôle des médias et de la société civile dans le cadre. Les activités de plaidoyer et de sensibilisation ont été présentées en s appuyant sur l exemple du Burkina Faso. Les discussions qui ont suivi cette présentation ont porté sur : les autres techniques de communication pour le développement. Ces techniques sont adaptables en fonction des objectifs visés, il faudrait procéder à une éducation des parties prenantes ; le plaidoyer doit être mené à différents niveaux pour garantir le succès. 2. Quatrième session des travaux de groupe Cette session a permis aux différents groupes de poursuivre les travaux sur les items entamés la veille ainsi que sur le plaidoyer et la sensibilisation. C est après la pause déjeuner que s est déroulée la restitution en plénière des travaux en groupe sur les items sus évoqués : (i) suivi des ressources ; (ii) processus de revue ; (iii) plaidoyer et sensibilisation. Après cette restitution en groupe et la prise en compte de tous les amendements apportés au cours des deux premiers jours, la feuille de route générée automatiquement a été présentée.
10 Page 10 sur 11 Les deux groupes se sont remis au travail, cette fois pour la priorisation, le costing des activités et l identification des parties prenantes responsables. C est sur ces travaux de costing que s est achevée la troisième journée de l atelier. IV. JOURNEE DU 26 OCTOBRE 2012 La quatrième et dernière journée a débuté par le résumé des travaux de la veille et s est poursuivie immédiatement par la suite des travaux de groupe sur la priorisation, le costing des activités et l identification des rôles. Après la pause déjeuner, chaque groupe a présenté remis son travail. Les participants ont formulés les recommandations suivantes. - Suggérer la tenue des revues sectorielles deux fois par an et qu un canevas des revues soit élaboré et distribué aux programmes qui devront s y conformer. - L actualisation du plan stratégique de renforcement du SIS - La mobilisation des ressources additionnelles pour la production des Comptes Nationaux de la Santé ; - La restitution des travaux de cet atelier cette feuille de route au cours de la réunion de coordination du Ministère de la Santé Publique le lundi 29 octobre La présentation de la feuille de route pays au cours d une grande réunion du Ministère de la Santé Publique réunissant plus d acteurs. C est sur ces recommandations que le Chef de la Division des Etudes et Projets a remercié les participants pour leur engouement durant les quatre jours passés à Nkolandom et clôturé les travaux du présent atelier. Fait à Nkolandom le 26 octobre LES RAPPORTEURS LE PRESIDENT Mr. TALLA Cyrille, Cadre CIS/ DEP; Mr. OLINGA ONDOA Jean Paul Dr ONAMBELE Paul Marie, ONSP; Dr MEFOUG Sévérin, CSSD Ebolowa.
11 Page 11 sur 11 V. ANNEXES LA LISTE DES PARTICIPANTS N Noms & prénoms Structure Téléphone 1 M. OLINGA ONDOA Jean Paul DEP jpoondoa@yahoo.fr 2 Dr AKWE Samuel DOSTS akwe_samuel@yahoo.fr 3 Mme Damaris MOUNLOM ONG FESADE damounlom@yahoo.fr 4 Mme MPOT MIMBANG Mathilde SIST/DLM mimbangmathilde@yahoo.fr 5 NYASSOLE Judith SE/DLM Nyass_djo@yahoo.fr 6 Dr NISSACK Françoise OMS nissackf@cm.afro.who.int 7 M. Jean Marie MENGUELE CRTV Sud jrmenguele@gmail.com 8 Dr MEFOUG Sévérin CSSD Ebolowa mefoug7severin@yahoo.fr 9 Dr MOUSSI Charlotte CSSD Efoulan 10 M. KAMENI LELE Benjamin CIS/DEP kamenielele@yahoo.fr 11 Dr ONAMBELE Paul Marie ONSP onapaul@yahoo.fr 12 Mme EKANI NGONO Géneviève DLM lenegeny@yahoo.fr 13 Mme MBONGO O Rodrigue Liliane DLM rodrigalioum@yahoo.fr 14 M. BANGUE Bernard PAISS bangueben@yahoo.fr 15 M. LISSOUCK Marcel Paulin USWAp mplissouck@yahoo.fr 16 M. ESSOBE John CEPCA essobej@yahoo.fr 17 M. MOUSSIMA Jeannot Personne ressource jeannotmouss@yahoo.fr 18 M. MPACTSE NGADE Jean CIS/DEP jeanricardmpactse@yahoo.fr 19 Dr MANGA Engelbert DCOOP engemanga@gmail.com 20 Dr DOAW MENKANDA DRSP SUD dpsp_sud@yahoo.fr 21 Mme TOUGORDI Marie MINPROFF tougordimc@yahoo.fr 22 M. MOAZAMB Georges CIS/DEP moazamb74@yahoo.fr 23 M. ALHADJI ALABASS DSF sultanfils@yahoo.fr 24 M. TALLA Cyrille CIS/DEP cyfongang@yahoo.fr 25 M. EBOLO Georges Eric DRFP gerbole2000@yahoo.fr 26 Mme DONGMO TEMGOUA Carolle DROS/MINSANTE carolletemgoua@yahoo.fr 27 Mme FOLEFACK Nadine INS nguimdovoufo@yahoo.fr 28 M. NDJONDO S. NINO MINEPAT 29 M. MPAH Julien DAJC
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