121 CONTROLE DE GESTION
|
|
- Emma Labbé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche INSTITUT NATIONAL DES TECHNIQUES ECONOMIQUES ET COMPTABLES APPLICATIONS - COURS ORAUX DE PARIS 121 CONTROLE DE GESTION N de repère 1211AS0110 Séances 1 à 4 Application Application de la série 01 du cours à distance Le contrôle de gestion : outil de décision Auteurs : Stéphanie Chatelain-Ponroy, Bernard Moisy, Marc Riquin, Olivier Vidal Institut National des Techniques Économiques et Comptables 40, rue des Jeûneurs PARIS htpp://intec.cnam.fr Accueil pédagogique :
2 SOMMAIRE Séance 1 : De la comptabilité financière à la comptabilité analytique Séance 2 : Coûts complets selon la méthode des centres d analyse Séance 3 : Coûts complets selon la méthode des centres d analyse : approfondissements Séance 4 : Imputation rationnelle des charges fixes Remarque : Les applications et les cours du jour ne suffisent pas pour préparer l examen. L étude attentive du cours par correspondance est nécessaire. Il convient de s exercer sur les exercices auto-corrigés présents en fin du polycopié de cours, ainsi que sur les devoirs, les tests d auto-évaluation, et les exercices auto-corrigés téléchargeables sur le site Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 2 sur 30
3 Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche INSTITUT NATIONAL DES TECHNIQUES ECONOMIQUES ET COMPTABLES APPLICATIONS - COURS ORAUX DE PARIS Séance 1 Le contrôle de gestion : outil de décision De la comptabilité financière à la comptabilité analytique Auteurs : Stéphanie Chatelain-Ponroy, Bernard Moisy et Marc Riquin, Olivier Vidal Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 3 sur 30
4 CHOIX D UN COUT Le choix d un modèle de calcul est lié à l organisation et aux objectifs du décideur, à savoir le type d information qu il entend privilégier. Cette contingence fait que la comptabilité de gestion ne peut être normée, d où l exclusion du volet analytique dans le Plan comptable actuel. Toutefois, du fait de la réécriture à droit constant, il est possible de retenir qu un coût est «la somme des charges relatives à un élément défini au sein du réseau comptable» (PCG 1982) Cette définition très large laisse entendre qu en fonction des besoins de la gestion il est possible de calculer des coûts obéissant à des logiques différentes. Le choix d un coût repose sur sa pertinence, c est-à-dire sa capacité à répondre à un besoin particulier d information. Le PCG 1982 propose une typologie des coûts en fonction de trois caractéristiques indépendantes les unes des autres : Coût constaté Fonction économique Coût variable Coût direct Coût complet Contenu Coût préétabli Champ d application Moyen d exploitation Activité d exploitation Responsabilité Autres champs D après PCG 1982 EXERCICE 1 : LE COUT DE REVIENT (Stéphanie Chatelain Ponroy) En préface au document édité par la CEGOS en 1937, Une méthode uniforme de calcul des «prix» de revient, pourquoi? Comment? Auguste Detœuf, ancien élève de l'école polytechnique (1902), ingénieur du corps des Ponts, présidentdirecteur général fondateur d'alsthom et président de la CEGOS, présentait un apologue resté célèbre que nous avons utilisé (et un peu transformé) pour cet exercice. Le prix 1 de revient? Tout le monde en parle. Personne ne sait ce que c'est. Personne ne peut savoir ce que c'est. Sans doute, sur l'ensemble d'une fabrication suivie pendant un temps suffisamment long, on peut (à la condition que les variables économiques soient restées provisoirement constantes) définir un prix de 1 Ou plus exactement «coût» de revient selon le PCG 1982 qui indique que le terme «prix» fait référence à un marché (prix de vente) alors que le coût est une donnée interne. Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 4 sur 30
5 revient global. Mais il est absolument impossible de calculer sérieusement un prix de revient unitaire. Mais, précisément parce que le prix de revient est un mythe, quelque chose comme un de ces termes métaphysiques qui ont pour chaque philosophe un contenu personnel, il importe, si l'on veut se comprendre, si l'on veut tirer quelque conséquence des valeurs qu'on lui attribue, si l'on veut éviter de parler pour ne rien dire, si l'on veut renoncer à se tromper les uns les autres, qu'on donne du prix de revient une définition aussi précise et aussi générale que possible. Il importe que de ce mythe on fasse une réalité. Il faut que ce dieu s'incarne. Qu'est-ce que le prix de revient? C'est ce qu'une chose a coûté ; c'est l'ensemble des dépenses qu'on a faites pour la mettre en l'état d'être vendue. Or, ces dépenses sont en partie indiscernables. Je vais au marché acheter des choux mais j'achète finalement 5 kg de choux pour 10 francs et 5 kg de carottes pour 20 francs. Je dépense, à l'aller et au retour, 3 francs d'autobus. Quel est le prix de revient de mes kg de carottes ; quel est celui de mes kg de choux? Maintenant, nous sommes deux, Pierre et moi à avoir fait les mêmes opérations, en vue de revendre nos choux et nos carottes, avec un bénéfice de 10 %. Mais nous avons choisi chacun une méthode différente pour calculer nos coûts de revient. Quels prix de vente allons-nous proposer? Que vont faire nos clients qui veulent acheter 10 kg de choux et 10 kg de carottes? Quelles seront les conséquences sur nos bénéfices? Et si Pierre et moi avions adopté la même méthode de calcul des coûts de revient? Je décide finalement de me spécialiser sur les choux qui me semblent avoir le plus de potentiel commercial. Mais c est également sur ce marché que s affronte la concurrence la plus vive et celle-ci porte principalement sur les prix de vente qui ont été fixés par le marché à 2 F 30. Je suis en mesure de porter à moi seul 15 kg de choux mais, au-delà, je dois demander à un ami de m accompagner pour m aider à porter la charge. En imaginant que les coûts d achat restent identiques à ceux précédemment observés, le marché actuel qui s élève à 10 kg de choux estil rentable? Ai-je intérêt à accepter la proposition d un nouveau client qui propose de m acheter 15 kg de choux à 2 F 25 le kilo? Ou bien ai-je intérêt à accepter plutôt la proposition d un autre client qui offre de m acheter 17 kg de choux à 2 F 25 le kilo? Travail à faire 1- Comment calculer le coût de revient des carottes et des choux? 2- Quels prix de vente allons-nous proposer? Que vont faire nos clients qui veulent acheter 10 kg de choux et 10 kg de carottes? Quelles seront les conséquences sur nos bénéfices? Et si Pierre et moi avions adopté la même méthode de calcul des coûts de revient 3- Le marché actuel qui s élève à 10 kg de choux est-il rentable? Ai-je intérêt à accepter la proposition d un nouveau client qui propose de m acheter 15 kg de choux à 2 F 25 le kilo? Ou bien ai-je intérêt à accepter plutôt la proposition d un autre client qui offre de m acheter 17 kg de choux à 2 F 25 le kilo? 4- Quel peut être l intérêt de vouloir normaliser la comptabilité analytique (et les techniques de calcul de coût de revient)? Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 5 sur 30
6 LES CHARGES ET LES PRODUITS INCORPORES La comptabilité financière produit une information normalisée par la réglementation et à destination des tiers. Aussi, le gestionnaire est amené à corriger certaines données afin d obtenir «une meilleure expression économique des coûts» (PCG 1982). Les différences entre les montants incorporés au calcul des coûts et ceux de la comptabilité financière représentent des différences d incorporation. Charges incorporées en comptabilité de gestion Comptabilité financière Charges supplétives Charges incorporées Charges d exploitation Charges incorporables : - Exploitation - Financières à analyser Charges financières Différences d incorporation : - Abonnement - Charges de substitution Charges exceptionnelles Charges non incorporables EXERCICE 2 : COMPTABILITE FINANCIERE ET COMPTABILITE DE GESTION (Bernard Moisy, Marc Riquin, Olivier Vidal) La société BIL fabrique du mobilier de bureau sur deux sites : une usine spécialisée dans les meubles en bois, et une usine spécialisée dans les meubles métalliques. Les deux usines commercialisent leurs produits par l intermédiaire d un même bureau commercial. Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 6 sur 30
7 La direction générale dispose du compte de résultat de la société pour le mois d octobre N (en ) : DÉBIT Montants ( ) CRÉDIT Montants ( ) Achats de matières premières Ventes de produits finis Variation des stocks de MP Production stockée Services extérieurs Produits financiers (gains de change) Autres services extérieurs Produits exceptionnels Frais de personnel Frais financiers (escomptes commerciaux accordés) Pertes exceptionnelles Dotations aux amortissements d'exploitation IS Résultat Totaux Totaux Le gérant s octroie une rémunération annuelle de Travail à faire Question 1 : Le directeur souhaite savoir si les trois centres (usine bois, usine métal, bureau de vente) sont rentables. Il souhaite instaurer une prime pour les commerciaux calculée sur les variations des ventes par catégorie de produit. Il souhaite savoir si les charges du service administratif ont évolué depuis la restructuration et la redéfinition des postes qu il a mises en place. Il souhaite également connaître le coût de revient du nouveau modèle de chaise ergonomique que son bureau d études vient de mettre au point, et dont la production est prévue pour décembre. Enfin, plusieurs clients s étant plaints des délais de livraison jugés trop longs, le directeur aimerait savoir si les délais se sont réduits en octobre, et si la satisfaction des clients s est améliorée. Pouvez-vous aider le directeur à répondre à toutes (ou certaines de) ces questions à partir du compte de résultat qui vous est communiqué? Expliquez. Que faudrait-il faire pour répondre davantage? Question 2 : Définir puis chiffrer les charges incorporables, les charges non incorporables, les charges supplétives, les charges incorporées, les produits non incorporés en comptabilité de gestion (ou comptabilité analytique). Calculer le résultat analytique. Question 3 : Effectuer la concordance entre le résultat de la comptabilité de gestion et le résultat de la comptabilité financière. EXERCICE 3 : TYPOLOGIE DES COUTS (Olivier Vidal) Monsieur Boa était informaticien, salarié d une grande entreprise. Ayant bénéficié d un héritage, il est tenté de réaliser un ancien rêve : se mettre à son propre compte. Il démissionne donc de son ancienne entreprise et décide de racheter une petite entreprise de pose de carrelage et de faïence dans le nivernais, sa province natale. Pour financer son acquisition, il vide son compte d épargne principal qui lui rapportait 4% par an. Monsieur Boa utilise un atelier transformé en studio attenant à sa maison pour administrer cette nouvelle activité. Ce studio était inoccupé, mais il aurait pu être loué. Le stockage des Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 7 sur 30
8 outils, du matériel, et du véhicule se fait dans un grand atelier faisant parti du fonds de commerce. Cet atelier est en location. L entreprise emploie deux salariés. L activité nécessite l achat de carreaux de faïence (les stocks sont faibles car les achats sont spécifiques à chaque chantier), divers outils, et des consommables (plâtre, joints..). Monsieur Boa envisage l achat d une camionnette pour remplacer l ancienne. Le nouveau modèle, plus grand, consommera davantage de carburant, mais permettra d accepter de plus gros chantiers. Pour l aider dans sa gestion administrative (tenue de la comptabilité, paie, déclarations fiscales ), Monsieur Boa fait appel à un expert-comptable qui lui facture ses services selon un tarif forfaitaire dont le barème par tranche dépend de son chiffre d affaires annuel. Enfin, Monsieur Boa envisage pour lancer son activité de financer une campagne de publicité locale par voie d affichage durant deux mois environ. Travail à faire Question 1 : Lister les principaux coûts générés par l activité de l entreprise. Question 2 : Préciser pour chacun des coûts identifiés, la (ou les) catégorie (s) à laquelle (auxquelles) il peut être rattaché (coût variable, coût fixe, coût d opportunité, coût perdu, coût direct, coût indirect, coût opérationnel, coût de structure ). EXERCICE 4 : L EVALUATION DES SORTIES DES COMPTES DE STOCKS (Bernard Moisy et Marc Riquin) Vous êtes chargé(e) de tenir les fiches de stocks pour le mois de mars. 1/03 : stock initial de boites à 2 /pièce 15/03 : achat de boites à 1,80 /pièce ; frais d achat : /03 : sortie de boites pour la production 28/03 : achat de boites à 1,90 /pièce ; frais d'achat : Travail à faire 1- Présentez les fiches de stocks (annexes à compléter) selon les méthodes PEPS (ou FIFO), puis DEPS (ou LIFO), CMUP après chaque entrée et CMUP de fin de période. 2- Citer d autres valorisations possibles. Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 8 sur 30
9 Annexes à compléter Entrées Sorties Stocks Q CU Montant Q CU Montant Q CU Montant Entrées Sorties Stocks Q CU Montant Q CU Montant Q CU Montant Entrées Sorties Stocks Q CU Montant Q CU Montant Q CU Montant LES MOTS CLEFS A CONNAITRE Testez vos connaissances : pouvez-vous donner, pour chacun des termes ci-dessous, une définition, ou soulever un problème de gestion lié à ce terme? Comptabilité Comptabilité analytique / Comptabilité de gestion Comptabilité financière / Comptabilité générale Produit / Charge Prix / Coût Charge directe / Charge indirecte Charge fixe / Charge variable Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 9 sur 30
10 Charge de structure / Charge opérationnelle Charge supplétive / Charge non incorporable Rémunération des capitaux propres / Rémunération du travail de l exploitant Contrôle / vérification / incitation Contrôle de gestion / Contrôleur de gestion Contrôle interne Coût d opportunité / coût perdu / coût discrétionnaire Marge / Résultat Profit / Bénéfice / Perte / Déficit Résultat analytique Cybernétique / Rétroaction Normalisation QCM SUR LA COMPTABILITE ANALYTIQUE Question 1 - Un coût a. est une opinion. b. est une somme de charges. c. est pénalisant pour les entreprises. Question 2 - Un coût direct... a. peut être variable. b. peut être indirect. c. peut être fixe. Question 3 - Un coût variable... a. est un coût complet. b. est un coût discrétionnaire. c. est un coût perdu. Question 4 - Une charge non incorporable... a. n apparaît pas en comptabilité financière. b. n apparaît pas en comptabilité analytique. c. n apparaît pas en comptabilité générale. Question 5 - La comptabilité analytique est un outil utile... a. à la comptabilité financière. b. au contrôle de gestion. c. à la comptabilité nationale. Question 6 - La comptabilité analytique... a. ne s intéresse qu à des informations quantifiables en unité monétaire. b. n a de comptable que le nom. c. se confond avec le contrôle de gestion. Question 7 - Les deux dimensions du contrôle sont... a. la modélisation et la motivation. b. la planification et la prévision. c. la vérification et l incitation. Question 8 - Un coût direct... a. est un coût de direction. b. est attribuable à un objet de coût sans difficulté. c. est variable. (Olivier Vidal) Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 10 sur 30
11 Question 9 - Un coût fixe... a. varie par paliers. b. est toujours indirect. c. est inclus dans le coût de production. Question 10 - Un coût d approvisionnement... a. est un coût de production. b. est un coût complet. c. est un coût de revient. Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 11 sur 30
12 Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche INSTITUT NATIONAL DES TECHNIQUES ECONOMIQUES ET COMPTABLES APPLICATIONS - COURS ORAUX DE PARIS Séance 2 Le contrôle de gestion : outil de décision Coûts complets selon la méthode des centres d analyse Auteurs : Bernard MOISY et Marc RIQUIN EXERCICE 1 : REPARTITION DES CHARGES INDIRECTES (METHODE DES CENTRES D ANALYSE) (Bernard Moisy et Marc Riquin) La Société Montalbanaise de Textile fabrique des vestes et des pantalons à partir de tissus coupés dans un atelier de coupage (unité d'œuvre : m 2 de tissu utilisé) puis cousus dans un atelier de couture (unité d'œuvre : heure de main-d'œuvre directe) et enfin terminés dans un atelier de finition (unité d'œuvre : veste et pantalon terminés) ; assiette de frais de la distribution : l euro de vente. Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 12 sur 30
13 Répartition des charges indirectes : Totaux Centres Auxiliaires Centres principaux Administration Entretien Achats Coupage Couture Finition Distribution Totaux primaires Administration 10 % 20 % 20 % 20 % 20 % 10 % Entretien 10 % 20 % 40 % 20 % 10 % Stocks initiaux : néant Achats : m 2 de tissu à 15 le m 2. Consommations : m 2 de tissu ( pour les vestes et pour les pantalons). Il est cousu : vestes (2 m 2 de tissu par veste), pantalons (1,8 m 2 de tissu par pantalon). Il est fini vestes et pantalons. Main-d œuvre directe : 360 heures de coupage à 8 /HMO réparties proportionnellement aux m 2 coupés, heures de couture à 10 /HMO (12 minutes par veste et 6 minutes par pantalon), heures de finition à 8 /HMO (12 minutes par veste et 6 minutes par pantalon). Ventes : vestes à 60 l'unité et pantalons à 50 l'unité. Travail à faire 1- Achever le tableau de répartition des charges indirectes en complétant l annexe suivante : Totaux Centres Auxiliaires Centres principaux Administration Entretien Achats Coupage Couture Finition Distribution Totaux primaires Administration Entretien Totaux secondaires Unités - d œuvre Nombre d UO Coût d une UO 2- Déterminer les coûts pour chacune des étapes de la production ainsi que les résultats analytiques par produit. Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 13 sur 30
14 3- Établir le compte de résultat de la comptabilité financière en complétant l annexe suivante : DÉBIT Montants CRÉDIT Montants Prix des achats Ventes vestes stocks tissus (1) Ventes pantalons Charges indirectes Production stockée : Charges directes : - tissu coupé (2) - coupage - vestes cousues (3) - couture - pantalons cousus (4) - finition - vestes finies (5) Résultat - pantalons finis (6) Total Total EXERCICE 2 : PRESTATIONS RECIPROQUES (Bernard Moisy et Marc Riquin) Établir le tableau de répartition des charges indirectes (annexes à compléter) ainsi que le coût des unités d œuvre de la SOMAG connaissant les éléments suivants : Centres auxiliaires : Énergie : ; l'unité d œuvre de ce centre est le KWH ce centre en a fourni au total, dont : au centre entretien aux approvisionnements à l 'atelier de préparation à l 'atelier de finition à la distribution Entretien : ; l'unité d œuvre est l 'heure de MOD; ce centre en a fourni au total, dont : 900 au centre énergie 600 aux approvisionnements à l'atelier de préparation à la finition 300 à la distribution Centres principaux : totaux primaires : approvisionnement : ; U.O : KG de matière achetée ; Nombre d'uo : atelier de préparation : ; UO : HMOD de l 'atelier ; Nombre d'uo : atelier de finition : ; UO : heure de machine ; Nombre d'uo : distribution : euros ; UO : 100 euros de CA ; Le CA est : Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 14 sur 30
15 Totaux primaires Énergie Entretien Annexes à compléter A- Calcul préalable des pourcentages de transfert : Totaux Centres auxiliaires Centres principaux Énergie Entretien Approvisionnements Préparation Finition Distribution B- Répartition secondaire et calcul du coût des unités d œuvre Totaux Centres auxiliaires Centres principaux Totaux après répart. primaire Énergie Entretien Totaux après répart. secondaire Unités d œuvre Nombre d'uo Coût UO EXERCICE 3 : UNITES D ŒUVRE (Bernard Moisy et Marc Riquin) Le montant des charges du centre approvisionnement et les unités d œuvre envisageables sont exprimés dans le tableau suivant : Années N-5 N-4 N-3 N-2 N-1 Charges indirectes d approvisionnement (euros) Tonnes consommées Prix d achat (euros) Nombre de commandes Travail à faire Justifier l unité d œuvre à retenir pour le centre gestion des approvisionnements. EXERCICE 4 : EN COURS DE PRODUCTION (Bernard Moisy et Marc Riquin) Période P-1 Période P Période P+1 Charges de la période P EC début P Produits achevés (dont ECI) EC fin P Coût des produits achevés pendant la période P Coût des produits achevés pendant P = Charges période P+ Coût EC initial Coût EC final Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 15 sur 30
16 Une entreprise fabrique des banquettes de bois et désire analyser ses coûts pour le mois de Janvier N. Pour cette période, les renseignements suivants sont communiqués : Stocks au 1/1/N : Bois : KG à 7 /KG Banquettes : 35 pour au total Fournitures diverses : En-cours initiaux : Stocks au 31/1/N : En-cours finaux : Coût des achats : bois : KG à 7,8 /KG fournitures diverses : Consommations : KG de bois de fournitures Main-d œuvre directe : Frais d 'atelier : Frais de distribution : 5 % du CA. Fabrication terminée de la période : 650 banquettes. Les sorties de stocks évaluées au coût moyen unitaire pondéré. Vente de 600 banquettes à 500 euros/pièce. Travail à faire 1- Établir les coûts de production et de revient ainsi que le résultat analytique. 2- Établir le compte de résultat de la comptabilité financière en complétant l annexe suivante : Débit Montants Crédit Montants Achats : Ventes Production stockée Variation des stocks Frais de personnel Frais d'atelier et de distribution Résultat Totaux Totaux Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 16 sur 30
17 LES MOTS CLEFS A CONNAITRE Testez vos connaissances : pouvez-vous donner, pour chacun des termes ci-dessous, une définition, ou soulever un problème de gestion lié à ce terme? Coût complet / Coût de revient Méthode des sections homogènes Affectation / Imputation / Répartition Répartition primaire / Répartition secondaire / Tableau de répartition Centre homogène / Centre d'analyse Centre auxiliaire / Centre principal Prestations réciproques Coûts de distribution / Coûts de production / Coûts de revient / Coût d approvisionnement Clé de répartition / Unité d œuvre Taux de frais Ajustement linéaire / Coefficient de corrélation linéaire Écart type / Variance Inventaire permanent DEPS / LIFO / CUMP / FIFO / PEPS / NIFO / Valeur de remplacement Produit principal / Produit-joint / Co-produit / sous-produit Rebuts / Déchet / Chute En-cours de production QCM SUR LES CENTRES D ANALYSE (Marc Riquin et Olivier Vidal) Question 1 - Le contrôle se limite aux actions de surveillance ou de vérification. a. Vrai b. Faux Question 2 - Le "système Sloan-Brown" est le nom donné au système classique de contrôle à distance par les chiffres développé dans les grandes entreprises nord-américaines dans les années 30. a. Vrai b. Faux Question 3 - Il existe en France une longue tradition de réflexion originale en matière de comptabilité de gestion, illustrée par exemple par les travaux de Rimailho. a. Vrai b. Faux Question 4 - On assiste actuellement à l'émergence d'une normalisation des outils du contrôle de gestion. a. Vrai b. Faux Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 17 sur 30
18 Question 5 - Une stratégie de diversification suppose un système de contrôle par centres de profit. a. Vrai b. Faux Question 6 - Les "facteurs-clés de succès" pris en compte dans la définition des indicateurs d'un tableau de bord sont liés a. à la stratégie générique (au sens de Porter) suivie par l'entreprise. b. au résultat d exploitation (au sens du PCG) publié par l entreprise. c. aux coûts de revient (au sens de Detoeuf) calculés par l entreprise. Question 7 - Un système cybernétique est un système a. construit à partir de composants électronique. b. possédant un mécanisme de "feed-back". c. capable d'atteindre un objectif. Question 8 - Le contrôle budgétaire a. est un outil de benchmarking. b. est un instrument cybernétique. c. est une finalité du contrôle de gestion. Question 9 - L'approche "contingente" consiste à affirmer l'existence d'un "one best way" unique. a. Vrai b. Faux Question 10 - "Contrôle interne" et "contrôle de gestion" désignent les mêmes procédures. a. Vrai b. Faux Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 18 sur 30
19 Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche INSTITUT NATIONAL DES TECHNIQUES ECONOMIQUES ET COMPTABLES APPLICATIONS - COURS ORAUX DE PARIS Séance 3 Le contrôle de gestion : outil de décision Coûts complets selon la méthode des centres d analyse : approfondissements Auteur : Bernard Moisy Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 19 sur 30
20 EXERCICE 1 : COUT COMPLET CENTRES D ANALYSE CAS R.S. L entreprise R.S. fabrique un produit unique R et un sous - produit S. (Bernard Moisy) L'atelier A traite la matière première M pour obtenir le produit semi-fini P, qui ne fait pas l'objet de stockage ; il est livré immédiatement à l 'atelier B ; d 'autre part on obtient un sous-produit S qui est, quant à lui, livré immédiatement à un atelier C. L'atelier B adjoint la matière première N à P pour obtenir R. L'atelier C transforme S pour le rendre commercialisable à euros/tonne ; ce prix sera également retenu pour les entrées et les sorties de stock de S. Charges indirectes : dont pour les charges incorporées, de charges supplétives et de matières consommables. Elles se répartissent comme suit : - Approvisionnement et magasin : ,5 (25 % pour chacune des matières premières et 50 % au coût de production des produits finis) - Atelier A : Atelier B : ,5 - Atelier C : 8 962,5 - Distribution : ,5 Stocks initiaux : Achats : - M : 10 tonnes à /tonne - N : 25 tonnes à 762 /tonne - Matières consommables : Produit fini R : 5 tonnes à /tonne - Sous-produit S : 1 tonne à /tonne - En-cours initiaux : ( atelier A ) - M : 110 tonnes à /tonne - N : 130 tonnes à 787,5 /tonne - Matières consommables : Matières consommées : - M : 90 tonnes - N : 140 tonnes Main-d œuvre directe : - Atelier A : Atelier B : Atelier C : 1 441,5 En-cours finaux : Productions : - Atelier A : Atelier B : Atelier A : 75 tonnes de P et 10 tonnes de S - Atelier B : 200 tonnes de R - Atelier C : intégralité de la production de S fournit par l'atelier A ; il est obtenu 9 tonnes commercialisables. Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 20 sur 30
21 Ventes : tonnes de R à /tonne - 8 tonnes de S. Les sous-produits S ne supportent pas de frais de distribution. Toutes les sorties de stocks sont évaluées au coût moyen unitaire pondéré. Travail à faire 1) Calculez (avec trois décimales) les coûts successifs. Coûts d'achats : Matière première M Matière première N Achats Frais d'approvisionnement Comptes de stock : Stock initial Achats Matière M Sorties Stock final Stock initial Achats Matière N Sorties Stock final Matière première M Main-d œuvre directe Frais d'atelier A Charges de la période En-cours initiaux En cours finaux Coût de production de S ( 1) Coût de production de P Coût de production de P : Coût de production de R : Coût de production de P Matière N Main-d œuvre directe Frais d'atelier B Charges de la période En-cours finaux Magasin Coût de production de R ,884 Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 21 sur 30
22 Stock initial Achats Stock R Sorties Stock final Coût de revient et résultat sur R : Coût de la production vendue Frais de distribution Coût de revient Chiffre d'affaires Résultat 2) Quel sera le résultat de la comptabilité financière? 3) Présentez le compte de résultat de la comptabilité financière en justifiant les montants de l annexe suivante : Achats ,00 Chiffre d'affaires ,00 Variation des stocks : ,78 Production stockée 6 255,67 R ,19 750,00 S 1 500,00 Main-d œuvre directe ,50 EC ,00 Charges indirectes ,00 Résultat ,80 Total ,19 Total ,19 EXERCICE 2 : COUT COMPLET CENTRES D ANALYSE CAS MAÏKY L entreprise Maïky fabrique 2 catégories de chaussures : Chaussures courantes : dessus en cuir et semelles en plastiques ; Chaussures de luxe : dessus en cuir et semelles en cuir. Il vous est demandé d étudier la situation du mois de mars. Stocks au 01/03/N : cuir pour les dessus: m 2 à 8 /M 2 ; semelles cuir : semelles à 3,50 pièce ; semelles plastique : semelles à 1,50 pièce; en cours atelier découpage : ; en cours atelier finition : pour les chaussures courantes, pour les chaussures de luxe ; chaussures courantes : paires à 28 pièce ; chaussures de luxe : paires à 34 pièce. Toutes les sorties de stock sont évaluées selon la méthode PEPS. (Bernard Moisy) Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 22 sur 30
23 Achats du mois : cuir : M 2 à 7,50 /M 2 ; semelles cuir : semelles à 3,20 pièce ; semelles plastique : semelles à 1,40 pièce. Production : Le cuir est découpé dans un atelier de découpage ; les pièces sont cousues pour faire des dessus dans un atelier de montage ; 1 M 2 de cuir permet de faire 4 dessus de chaussure. Ceux-ci ne se sont pas stockés et passent directement à la finition. Il est consommé M 2 de cuir à raison de 60 % pour les chaussures courantes et 40 % pour les chaussures de luxe. L atelier de finition colle les semelles. Stocks au 31/03 : cuir : M 2 ; semelles cuir : semelles ; semelles plastique : semelles ; chaussures courantes : paires ; chaussures de luxe : paires ; en cours atelier découpage : ; en cours atelier de finition : pour les chaussures courantes, pour les chaussures de luxe. Main-d œuvre directe : atelier de coupage : 50 heures à 60 /heure ; atelier de montage : 120 heures à 60 /heure ; atelier de finition : 180 heures à 70 /heure. La moitié de la main-d œuvre de l atelier de finition concerne les chaussures de luxe et l autre moitié les chaussures courantes. Ventes : paires de chaussures de luxe à 45 pièce ; paires de chaussures courantes à 32 pièce. Charges indirectes : Administration Entretien Achats Découpage Montage Finition Distribution Totaux primaires Administration % 10 % 20 % 10 % 10 % 30 % 20 % Entretien 20 % % 20 % 30 % 30 % Unités d œuvre m 2 découpé Dessus Chaussure 100 de CA Les charges indirectes d achat se répartissent comme suit : 50 % aux achats de cuir ; 25 % aux semelles de cuir ; 25 % aux semelles de plastique. Il est inclus dans les charges indirectes la rémunération de l exploitant calculée sur la base de /an ; par ailleurs les charges non incorporables se montent à pour le mois. Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 23 sur 30
24 Travail à faire : 1. Poser et résoudre le système qui permet d obtenir le tableau de répartition des charges indirectes après répartition secondaire (annexe 1). 2. Calculez les coûts successifs (annexe 2 A : stocks à compléter) et le résultat analytique (annexe 2 B). 3. Quel sera le résultat de la comptabilité financière? 4. Présentez le compte de résultat de la comptabilité financière en justifiant les montants de l annexe 3 : ANNEXE 1 : tableau de répartition des charges indirectes après répartition secondaire. administration entretien achats découpage montage finition distribution Totaux primaires Administration Entretien Totaux secondaires Nombre d 'UO Coût UO ANNEXE 2 A- Comptes de stocks Cuir Stock initial Achats Consommations Stock final Total Semelles cuir Stock initial Achats Total Semelles plastique Total Consommations Stock final Total Stock initial , Consommations (1) , Achats , , Stock final , Total (1) 60% * = Chaussures de luxe Stock initial Ventes Production , , Stock final , Total Total Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 24 sur 30
25 Chaussures courantes Stock initial Ventes Production , , Stock final , Total Total B- Coûts de revient et résultats Chaussures luxe Chaussures courantes Qtés PU Total Qtés PU Total Coût de production Coût de distribution Coût de revient , , Chiffres d'affaires Résultats , , Résultat total : = ANNEXE 3 Débit Montants Crédit Montants Achats Chiffre d'affaires Variation des stocks Production Main - d'œuvre directe Charges indirectes Résultat Total Total LES MOTS CLEFS A CONNAITRE Testez vos connaissances : pouvez-vous donner, pour chacun des termes ci-dessous, une définition, ou soulever un problème de gestion lié à ce terme? Théorie de droits de propriété Théorie de l agence Théorie des coûts de transaction Système d information Contingence Audit / Audit interne / Audit externe Benchmark / Benchmarking externe / Benchmarking interne Contrôle organisationnel / Contrôle social Gestion / Management / Sciences de gestion Management control / Manager Pertinence Économie d échelle Efficacité / Efficience Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 25 sur 30
26 QCM SUR LES CENTRES D ANALYSE (APPROFONDISSEMENTS) (Marc Riquin et Olivier Vidal) Question 1 - Quand un sous-produit est récupéré et vendu a. on peut calculer le coût du sous-produit forfaitairement. b. on peut considérer le produit de la vente comme venant minorer le coût de production du produit principal. c. on peut estimer le coût de revient du sous-produit à son coût de production. Question 2 - On peut écrire : Valeur de l encours initial + Charges de la période = a. = Coût de production de la période + Coût de distribution de la période. b. = Coût de production des produits terminés - valeur de l encours final. c. = Coût de production des produits terminés + valeur de l encours final. Question 3 - La méthode classique des sections homogènes d. vise à calculer un coût complet. e. vise à calculer un prix de vente. f. vise à calculer la valeur des stocks. Question 4 - Les comptes réfléchis permettent d'articuler la comptabilité générale et la comptabilité analytique. c. Vrai d. Faux Question 5 - Si un centre n est pas homogène, on peut... a. tenter de trouver une nouvelle unité d œuvre. b. tenter d appliquer un taux de frais. c. tenter de subdiviser ce centre en plusieurs sections homogènes. Question 6 - La structure du calcul de la méthode des sections homogènes a. est particulièrement adaptée aux entreprises industrielles ayant des stocks de matières premières, et des stocks de produits finis. b. est particulièrement adaptée aux entreprises de service. c. est particulièrement adaptée aux entreprises dont les modes de production sont en permanente évolution. Question 7 - La méthode des sections homogènes... a. peut également s appeler méthode du PCG 82. b. peut également s appeler méthode des centres d analyse. c. peut également s appeler méthode de l imputation rationnelle. Question 8 - Les "différences de traitement comptables" sont enregistrées dans le compte 97. a. Vrai b. Faux Question 9 - L'informatisation pousse a. à l exploitation de la comptabilité analytique par l Etat dans le cadre de la comptabilité nationale. b. à l'intégration de la comptabilité générale et de la comptabilité analytique, avec une saisie unique dans une seule base de données. c. à la standardisation des comptabilités analytiques dans toutes les entreprises. Question 10 - Dans certains systèmes comptables informatisés en partie multiple, le Trébit désigne l'imputation analytique. a. Vrai b. Faux Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 26 sur 30
27 Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche INSTITUT NATIONAL DES TECHNIQUES ECONOMIQUES ET COMPTABLES APPLICATIONS - COURS ORAUX DE PARIS Séance 4 Le contrôle de gestion : outil de décision Imputation rationnelle des charges fixes Auteurs : Bernard MOISY et Marc RIQUIN Coefficient d imputation rationnelle = Si < 1 mali de sous-activité > 1 boni de suractivité Remarque: ne pas confondre activité et production. Activité réelle Activité normale Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 27 sur 30
28 EXERCICE 1 : IRCF SOCIETE X (Bernard Moisy et Marc Riquin) La société X produit et commercialise un produit unique. Son activité est exprimée en produits, et les données suivantes sont communiquées : Période Janvier Février Mars Activité (unités d œuvre) Coût complet (1) Coût unitaire , Chiffre d affaires Résultat Résultat unitaire 30 43,33 10 (1) Dont charges de structure mensuelles = L activité normale est de unités d œuvre. Travail à faire 1- Les variations du résultat traduisent-elles une dégradation des conditions de production? Pour répondre à cette question, les tableaux suivants seront utilisés : A- Exprimer sous forme d équation la relation entre coût complet total et activité, et la relation entre coût complet unitaire et activité: Période Janvier Février Mars Activité Charges variables Charges de structure Coût complet Coût unitaire Dont variable Dont fixe Chiffre d affaires Résultat Résultat unitaire B- Exprimer sous forme d équation la relation entre coût complet unitaire avec IRCF et activité. Période Janvier Février Mars Activité Coefficient d imputation rationnelle Charges variables Charges de structure imputées Coût avec imputation rationnelle Coût unitaire Dont variable Dont fixe Chiffre d affaires Résultat avec imputation rationnelle Résultat unitaire Différence d imputation rationnelle Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 28 sur 30
29 2- Mettre en évidence : a. Le lien entre coût complet avec IRCF, coût complet et différence d imputation. b. Le lien entre résultat avec IRCF, résultat sans IRCF et différence d imputation 3- Présenter sur un même graphique les équations du coût complet et du coût d imputation rationnelle. EXERCICE 2 : COUT COMPLET AVEC ET SANS IRCF CAS PIPZ (Bernard Moisy et Marc Riquin) L entreprise PIPZ fabrique 2 produits P1 et P2 à partir de 2 matières premières MP1 et MP2 ; il faut 2 KG de MP1 et 1 KG de MP2 pour fabriquer P1 et 3 KG de MP1 et 2 KG de MP2 pour fabriquer P2 dans un atelier de production. Chaque produit P1 demande 1 heure-machine et chaque produit P2 1,5 heure. Stocks initiaux : néant. Achats de la période : KG de MP1 à 10 /KG KG de MP2 à 15 /KG Production : 900 P1 600 P2 Ventes : 810 P1 à 160 pièce 540 P2 à 250 pièce Soit le tableau de répartition des charges indirectes (intégralement fixes) suivant pour le mois de mars N : Approvisionnements Production Distribution Totaux secondaires Unités d œuvre KG de matière achetée heure-machine produit vendu Nombre d unités d œuvre Coût d unité d œuvre Charges fixes spécifiques de production : pour P pour P2 Travail à faire : 1- Calculez les coûts et résultats complets sans imputation rationnelle. Présentez le compte de résultat de la comptabilité financière. 2- Calculez les coûts et résultats complets avec imputation rationnelle, sachant que : - la quantité d achat normale se monte à KG. - le nombre d heure-machine normal se monte à les productions et ventes normales se montent à P1 et 700 P2. Présentez le compte de résultat de la comptabilité financière. 3- Quelle solution retenir en comptabilité financière? Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 29 sur 30
30 LES MOTS CLEFS A CONNAITRE Testez vos connaissances : pouvez-vous donner, pour chacun des termes ci-dessous, une définition, ou soulever un problème de gestion lié à ce terme? Coefficient d activité Coefficient d imputation rationnelle Différence d imputation rationnelle (DIR) Niveau d activité / Sous-activité / Suractivité Imputation rationnelle et évaluation des stocks Adhocratie Bureaucratie mécaniste / Bureaucratie professionnelle Structure «hybride» / Structure divisionnalisée LES AUTEURS A CONNAITRE Pouvez-vous rattacher chacun de ces auteurs à une théorie ou un concept important ayant des conséquences en contrôle de gestion? - Alchian & Demetz - Coase - Jensen & Meckling - Maslow - Mayo - McGregor - Mintzberg - Williamson Document de travail réservé aux élèves de l Intec ; Toute reproduction sans autorisation est interdite ; page 30 sur 30
CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE
CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 T E C H N I Q U E C O M P T A B L E DOSSIER I : COMPTABILITE ANALYTIQUE La société K fabrique deux produits P 1 et P 2 et un sous
Plus en détailwww.btsag.com 31 Coûts complets
www.btsag.com 31 Coûts complets Claude Terrier btsag.com 1/24 11/10/2010 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre
Plus en détailLES COUTS PARTIELS...
Sommaire LES COUTS PARTIELS... 2 EXERCICE 1... 2 EXERCICE 2... 2 EXERCICE 3... 2 EXERCICE 4... 3 EXERCICE 5... 3 LES COUTS COMPLETS... 5 EXERCICE 1... 5 EXERCICE 2... 6 EXERCICE 3... 7 EXERCICE 4... 10
Plus en détailAnalyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts
Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement
Plus en détailModule 02 - Leçon 04 : Evaluation des stocks
Module 02 - Leçon 04 : Evaluation des stocks L'article L 123-12 du Code de commerce oblige toute personne physique ou morale ayant la qualité de commerçant de réaliser au moins une fois tous les 12 mois
Plus en détailLES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX
7 LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX 1. LES PRINCIPES 196 2. L ÉLABORATION DES COÛTS PRÉÉTABLIS 198 3. MODÈLE GÉNÉRAL D ANALYSE DES ÉCARTS 202 4. LES ÉCARTS TOTAUX 203 5. PREMIÈRE ANALYSE DES ÉCARTS
Plus en détail- la mise en place du contrôle budgétaire est souvent mal vécue, car perçue comme une sanction par le personnel de l entreprise.
C H A P I T R E 7 Le contrôle budgétaire Objectifs Le contrôle budgétaire permet de comparer les réalisations avec les prévisions. Déceler les écarts significatifs, les analyser et prendre des mesures
Plus en détailLES STOCKS DEFINITION ET TYPOLOGIE DES STOCKS
LES STOCKS DEFINITION ET TYPOLOGIE DES STOCKS Définition des stocks Typologie LA GESTION DES STOCKS Les indicateurs de gestion des stocks Les documents de gestion des stocks Les méthodes de gestion des
Plus en détailCHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC
COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC CHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS CORINNE ZAMBOTTO - COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE IUT SENART-FONTAINEBLEAU 1 I. LA PLACE DES STOCKS DANS LE CYCLE
Plus en détailElaboration et Suivi des Budgets
Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire
Plus en détailLE CONCEPT VADWAY et le «CONTRÔLE DE GESTION»
Le concept de VAD (Valeur Ajoutée Directe), est à la base de nos missions portant sur le «Contrôle de gestion», appliqué aux PME. 1. LE CONCEPT LA VALEUR AJOUTEE DIRECTE (VAD) Rappel : L entreprise achète,
Plus en détailL entreprise A.B.C est une société anonyme au capital de 1 200 000 DH.
Concours d accès en troisième année Programme Grande Ecole Session de Septembre 2011 Epreuve de Comptabilité Générale & Analytique Durée : 3 heures -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA
ANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA Sommaire Partie 1 : Analyse des documents de synthèse Cours 1 - Soldes Intermédiaires de Gestion... 3 Cas 1-1 : Marie (SIG sans retraitement)...
Plus en détail1 Qu appelle-t-on «marge»? Résumé
1 Qu appelle-t-on «marge»? Résumé Il convient tout d abord de s entendre sur le vocabulaire et de s assurer que l on parle de la même chose. Le terme «marge» est ambigu. Couramment utilisé dans le langage
Plus en détailSOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE
SOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE 1 Factures de doit p. 9 Processus 1 2 Réductions sur factures de doit p. 11 Processus 1 3 Frais accessoires sur factures p. 13 Processus 1 4 Comptabilisation
Plus en détailModule 02 - Leçon 02 : Classification des charges et des produits
Module 02 - Leçon 02 : Classification des charges et des produits En comptabilité générale les charges et les produits sont classés par nature (par exemple pour les charges : 60 Achat, 61 Services extérieurs,
Plus en détailMarketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu
Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes
Plus en détailFormation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation)
Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les businesstools, aller sous www.banquecoop.ch/business
Plus en détailChapitre 4 : les stocks
Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également
Plus en détailIV - DETERMINATION DES COUTS
Cterrier.com 1/6 06/01/2005 Initiation à la gestion Quantitative d une entreprise Auteur : C. Terrier ; mailto:webmaster@cterrier.com ; http://www.cterrier.com Utilisation : Reproduction libre pour des
Plus en détailCahier Technique Différences Batigest Standard/Evolution. Apibâtiment. Documentation technique
Cahier Technique Différences Batigest Standard/Evolution Apibâtiment Documentation technique Sommaire Sommaire I. Préambule... 3 II. Différences Batigest Standard/Evolution... 4 1. Eléments... 4 2. Devis
Plus en détailQUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT. Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise
QUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT MISE A NIVEAU DE L ENTREPRISE PAR LE GENIE INDUSTRIEL Pré-audit réalisé le... Rédacteur(s). Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise Renseignements généraux - Identité de
Plus en détail32 Coûts fixes, coûts variables
cterrier.com 1/14 24/09/2012 32 Coûts fixes, coûts variables Variabilité des charges cterrier cterrier.com 2/14 24/09/2012 32 Coût fixes, coûts variables Concepts clés Définitions Charges fixes : charges
Plus en détailCOURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE
COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE F. ENGEL Mars 2005 F. KLETZ 2 3 SOMMAIRE AVERTISSEMENT AU LECTEUR...5 INTRODUCTION GENERALE...6 Chapitre I : INTRODUCTION DES MODELES DIFFERENTS POUR DES USAGES DISTINCTS...9
Plus en détailCHAPITRE 2 L ACQUISITION D IMMOBILISATIONS
CHAPITRE 2 L ACQUISITION D IMMOBILISATIONS Il s agit d une révision rapide d un cours de première afin de mieux aborder le cours sur les amortissements. Ne seront pas vus l acquisition d immobilisations
Plus en détailQuelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente?
Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Approvisionnement et gestion des stocks : des quantités vendues dans un Du stock initial, final et des livraisons, des commandes
Plus en détailDOSSIER DE GESTION. Sommaire
102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation
Plus en détailREGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière
REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière Ce document a pour objet de décrire l ensemble des règles d imputation des dépenses et de préciser les biens pouvant être considérés comme des
Plus en détailFORMULES DE CALCUL. Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA
FORMULES DE CALCUL Le prix : Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA Ex : PV TTC = 250 x 1,196 = 299. TVA = 250 x 19,6 % = 49. PV HT = 299 = 250.
Plus en détailRÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Août 2000
A Hydro-Québec Requête R-3401-98 RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Original : 2000-11-21 HQT-13, Document 1.1.2 (En liasse) 1 1. PRINCIPES ET RÈGLES DE FACTURATION INTERNE
Plus en détailLES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP
LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP 2006 1 Généralités Terminologie Les solutions pour le client Les marchés La prestation L évaluation des postes Les entreprises Durée
Plus en détailDOSSIER N 4: LES COUTS FIXES ET VARIABLES EN LOGISTIQUE
BAC PRO LOGISTIQUE: GESTION QUANTITATIVE DOSSIER N 4: LES COUTS IXES ET VARIABLES EN LOGISTIQUE Objectif : Calcul et appréciation des différents coûts logistiques.(rappels) Dans l optique de la réalisation
Plus en détailTSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES
TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES Coût de revient du produit + Marge du fabricant = Prix de vente HT au distributeur Prix d'achat HT du distributeur + Marge du distributeur =
Plus en détailExercices en comptabilité générale
Exercices en comptabilité générale Exercice 1 : Cas Eval : immobilisation acquise par voie d échange Au mois de mars, le président d Eval a déjeuné avec le dirigeant de la société Moineau, entreprise voisine
Plus en détailAUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3. Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts
AUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3 Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts 1 PLAN DE LA LEÇON : 1.De la comptabilité générale à la comptabilité
Plus en détailExposé d étude : Sage 100 gestion commerciale
Exposé d étude : Sage 100 gestion commerciale Présenté par : Demb Cheickysoul 1 INTRODUCTION Parfaitement adapté à l organisation de l entreprise par sa puissance de paramétrage, Sage 100 Gestion Commerciale
Plus en détailLeçon 10. Procédures d inventaire et valorisation des stocks
CANEGE Leçon 10 Procédures d inventaire et valorisation des stocks Objectif : A l'issue de la leçon l'étudiant doit être capable : d'appréhender les différentes techniques de valorisation des stocks et
Plus en détail2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable;
Le plan financier (Pacioli N 87) 1. Le Tableau de financement Le tableau de financement est un outil conçu spécialement pour assurer l équilibre "besoins-ressources" de l entreprise pour une politique
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité
Plus en détail672ZA Auxiliaires d'assurances
STATISTIQUES PROFESSIONNELLES 23 672ZA Auxiliaires d'assurances EVOLUTION ANNEES 23 / 22 / 21 23 22 21 CHIFFRE D'AFFAIRES 88 62 Nombre d'entreprises 53 8 Ratios Ratios Ratios CHIFFRE D'AFFAIRES 1,, 1,
Plus en détailNORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS
NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détail4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés.
4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés. C est un droit et non une obligation. L acheteur d une option
Plus en détailÉLÉMENTS INDICATIFS DE CORRIGÉ. BARÈME GLOBAL sur 140 points
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SESSION 2011 SÉRIE : SCIENCES ET TECHNOLOGIES DE LA GESTION ÉPREUVE ÉCRITE DE SPÉCIALITÉ : COMPTABILITÉ ET FINANCE D'ENTREPRISE ÉLÉMENTS INDICATIFS DE CORRIGÉ Ce dossier comporte
Plus en détailPérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion
btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique
Plus en détailLivret du joueur KEY FLASH. Montage et commercialisation de clés USB originales. Sommaire
Livret du joueur KEY FLASH Montage et commercialisation de clés USB originales Sommaire Préambule page approvisionnement page 4 production page 6 marketing page 10 administration finance page 1 Partenaires
Plus en détailLeçon 5. Systèmes de gestion à recomplétement périodique et stock de sécurité
CANEGE Leçon 5 Systèmes de gestion à recomplétement périodique et stock Objectif : A l'issue de la leçon l'étudiant doit être capable : dans le cadre des calendriers d approvisionnement à recomplètement
Plus en détailCOMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS
1 sur 9 COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS (L'article intégral est paru dans Gestions Hospitalières n 357 de juin-juillet 1996) Pour plus d'informations concernant
Plus en détailSimplifier la gestion de l'entreprise
Présentation de la solution SAP s SAP pour les PME SAP Business One Objectifs Simplifier la gestion de l'entreprise Optimiser la gestion et assurer la croissance de votre PME Optimiser la gestion et assurer
Plus en détailDEFINTIONS ET FORMULES
DEFINTIONS ET FORMULES Comptabilité financière (I) BILAN COMPTABLE : Photographie à un moment t de la situation financière. tableau à 2 colonnes : Actif (emploi des ressources disponibles) et Passif (ressources,
Plus en détailCoût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2)
Etude de cas 1 : La société Lebreton fabrique un produit A dont la nomenclature est la suivante (les chiffres entre parenthèses indiquent le nombre de composants dans un composé de niveau immédiatement
Plus en détailEstimer le coût de revient d un produit agroalimentaire : la méthode du coût direct simplifié
GRET agridoc Estimer le coût de revient d un produit agroalimentaire : la méthode du coût direct simplifié Date(s) de l expérience 2000-2004 Mise en œuvre Gret Zone géographique Global - Afrique Mots clés
Plus en détailGuide de déclaration
Enquête unifiée auprès des entreprises Enquête annuelle de 2012 auprès des sièges sociaux If you would prefer receiving this document in English, please call us toll-free at: 1-800-972-9692 Guide de déclaration
Plus en détailConférence IDC Information Management
Conférence IDC Information Management Managed Print Services : Comment baisser les investissements IT? Franck Nassah Consulting Manager IDC France www.idc.fr Copyright 2009 IDC. Reproduction is forbidden
Plus en détailPrincipales Fonctionnalités - Version 8
Principales Fonctionnalités - Version 8 Cleansoft PRH Option Achats et Fournisseurs Ouverture du produit Personnalisation possible des éditions des pièces de ventes Personnalisation possible des éditions
Plus en détailCOMPTABILITE. Fait par Christophe Lemaigre. Principes de base
Fait par Christophe Lemaigre. COMPTABILITE Principes de base Le bilan est une photographie du patrimoine de l'entreprise. Il est formé de l'actif et du passif. Actif : utilisations, emplois de l'entreprise.
Plus en détailCOMPTABILITÉ APPROFONDIE. DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT
COMPTABILITÉ APPROFONDIE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT 1. Expliquer les raisons pour lesquelles la société YPREMIUM ne peut
Plus en détailLES OPÉRATIONS EXCEPTIONNELLES
LES OPÉRATIONS EXCEPTIONNELLES I. Les achats d immobilisations Les immobilisations sont des biens matériels et immatériels qui sont achetés par l entreprise afin de servir de façon durable à son exploitation
Plus en détailDCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER
DCG session 2008 UE6 Finance d entreprise Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires
Plus en détailWEBANALYTICS Sur le chemin de l excellence
WEBANALYTICS Sur le chemin de l excellence Une démarche centrée sur l évaluation de sa propre performance! 2004-2008 Philippe FLOC H Strategic Consulting Tous droits réservés Reproduction interdite WEBMETRICS
Plus en détailCOMPTABILITÉ DE GESTION
COMPTABILITÉ DE GESTION Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : septembre 1997 Réédité par la Direction
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détailCONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITE Note de présentation Avis n 2004-15 du 23 juin 2004
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITE Note de présentation Avis n 2004-15 du 23 juin 2004 relatif à la définition, la comptabilisation et à l évaluation des actifs Sommaire Avant propos 1 - Champ d application
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailGESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION
GESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION Votre contact : Pierre Larchères 06 30 35 96 46 18, rue de la Semm - 68000 COLMAR p.larcheres@agelis.fr PRESENTATION GENERALE LES PROGICIELS
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailDOCUMENTS DE DECOUVERTE CHAPITRE 1 L ORGANISATION DE LA COMPTABILITE DANS L ENTREPRISE
DOCUMENTS DE DECOUVERTE CHAPITRE 1 L ORGANISATION DE LA COMPTABILITE DANS L ENTREPRISE I. LA FONCTION COMPTABLE DANS L ENTREPRISE 1. Définir la comptabilité. A quoi sert la comptabilité? 2. Quelles sont
Plus en détailGESTION Articles en Dépôt et des Articles rachetés en occasion:
Page 1 sur 5 Droits d'auteur N 00044246 Tel : 01-61-39-18-12 AVANT PROPOS : Tous les logiciels que nous présentons sur notre site ont été créés et sont maintenus par notre service Etudes et Développements.
Plus en détailMAISONS MOBILES, MODULAIRES ET PRÉFABRIQUÉES
BULLETIN N O 053 Publié en octobre 2008 Révisé en juillet 2013 LOI DE LA TAXE SUR LES VENTES AU DÉTAIL MAISONS MOBILES, MODULAIRES ET PRÉFABRIQUÉES Le présent bulletin explique comment la taxe sur les
Plus en détailVISUAL GESATEL. La gestion commerciale n a jamais été aussi facile!
La gestion commerciale n a jamais été aussi facile! LES AVANTAGES Transformation de tous vos documents au format PDF, HTML, WORD, EXCEL. Envoi direct de tous vos documents via Internet. Récupérez sans
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie
CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS
Plus en détailInitiation à la Comptabilité
Bertrand LEMAIRE http://www.bertrandlemaire.com Initiation à la Comptabilité Document sous licence Creative Commons L auteur autorise l impression et l utilisation gratuites de ce document dans un cadre
Plus en détailLes corrigés des examens DPECF - DECF
48h après l examen sur www.comptalia.com 1 ère Ecole en ligne des professions comptables Spécialiste des préparations à l'expertise Comptable et des formations en compta-gestion via Internet Les corrigés
Plus en détailUne implantation nationale Grâce à un réseau de 3 agences (Caen, Tours, Lyon), vous bénéficiez ou conservez un interlocuteur de proximité.
Logiciel de Gestion DL NÉGOCE Le spécialiste du Négoce Une expérience de plus 20 ans DL NÉGOCE, forte d une expérience de plus de 20 ans (issue des sociétés historiques du groupe), a conçu et développé
Plus en détailSage 100. Multi Devis Entreprise. L ERP 100% gestion dédié aux entreprises du BTP
Sage 100 Multi Devis Entreprise L ERP 100% gestion dédié aux entreprises du BTP Sage 100 Multi Devis Entreprise L ERP 100% gestion dédié aux entreprises du BTP Sage 100 Multi Devis Entreprise, centralise
Plus en détailAnnexe A de la norme 110
Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet
Plus en détailSage 100. Multi Devis Entreprise. L ERP 100% gestion dédié aux entreprises du BTP
Sage 100 Multi Devis Entreprise L ERP 100% gestion dédié aux entreprises du BTP Entrez dans le monde Sage Le choix d une solution de gestion est un acte impliquant pour l entreprise. La capacité à prendre
Plus en détailEURASIA GROUPE Comptes consolidés au 31 décembre 2010
1 EURASIA GROUPE Comptes consolidés au 31 décembre 2010 S O M M A I R E COMPTES CONSOLIDES Bilan consolidé...4 Compte de résultat consolidé...6 Tableau de flux de trésorerie consolidé...7 NOTES ANNEXES
Plus en détailC e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications
Paris, le 14 février 2014 8h Information réglementée C e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications Indicateurs clés : Loyers IFRS à 43,3 M (+12,1%)
Plus en détailChapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA
Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs
Plus en détailBesoin d approfondissement des méthodologies d évaluation Le cas de la voiture électrique
Besoin d approfondissement des méthodologies d évaluation Le cas de la voiture électrique Fabien Leurent, Elisabeth Windisch Laboratoire Ville Mobilité Transport (LVMT) Ecole des Ponts, ParisTech Journée
Plus en détail2 Programme de formations ERP... 7
DOP-Gestion SA Rue du Château 43 CP 431 2520 La Neuveville CH Tél. +41 32 341 89 31 Fax: +41 32 345 15 01 info@dop-gestion.ch http://www.dop-gestion.ch 1 Prestations de service ERP... 3 1.1 Conditions
Plus en détailLe pilotage d'un parc informatique par le TCO
Le pilotage d'un parc informatique par le TCO Propriétés Intitulé long Intitulé court Formation concernée Matière Description Exonet sur la gestion financière d'un parc informatique et plus particulièrement
Plus en détailLE LEAN MANUFACTURING
LE LEAN MANUFACTURING LEAN signifie littéralement : «maigre», «sans gras». On le traduit parfois par «gestion sans gaspillage» ou par «au plus juste». LEAN est un qualificatif donné par une équipe de chercheurs
Plus en détailLes SCPI. François Longin 1 www.longin.fr
Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire i «L investissement t immobilier» Les SCPI François Longin 1 www.longin.fr Généralités sur les SCPI SCPI Borloo Plan Processus d investissement (sélection
Plus en détailLA SOLUTION DE GESTION D'AFFAIRES
LA SOLUTION DE GESTION D'AFFAIRES DES PRESTATAIRES DE SERVICES INDUSTRIELS Sous-traitance & Maintenance Industrielle Ingénierie, Etudes Techniques Energies Nouvelles Fabrication d'équipements «NaviOne
Plus en détailMODULE DE FORMATION SUR LA GESTION FINANCIERE & GESTION DES CREDITS
UGAMA/Centre de Services aux Coopératives Tél : (00250)562096/562097 Fax : (00250)562251 E-mail :ugamacsc@rwanda1.com MODULE DE FORMATION SUR LA GESTION FINANCIERE & GESTION DES CREDITS Projet commun CSC/UGAMA-WBI-UNDP
Plus en détailOPÉRATIONS HÔTELIÈRES
OPÉRATIONS HÔTELIÈRES GESTION DES COÛTS & MARGES DE PROFITS FASCICULE 2 Gestions Hôtelières AJC inc Jo-Anne Sauvé-Taylor & André J. Côté, cha Novembre 2013 DÉFINITION DE LA GESTION DES COÛTS La gestion
Plus en détailLa logistique. Contenu
La logistique La logistique est définie comme la planification, l'organisation, le contrôle et la gestion du matériel et des flux de produits et des services avec le flux d'informations associées. La logistique
Plus en détailLe logiciel de gestion intégré conçu pour les Promoteurs Immobilier
Le logiciel de gestion intégré conçu pour les Promoteurs Immobilier Solution globale et intégrée qui couvre l'ensemble des principaux aspects de la gestion des projets immobiliers. Depuis l'étude d'une
Plus en détailLes obligations juridiques et fiscales des entreprises étrangères réalisant des opérations en France
Les obligations juridiques et fiscales des entreprises étrangères réalisant des opérations en France Opérations réalisées en France par l intermédiaire d un établissement stable Définition de l Établissement
Plus en détailLES CRÉANCES ET LES DETTES
LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un
Plus en détailCOMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis 132/7 - Comptabilisation et valorisation des stocks
COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis 132/7 - Comptabilisation et valorisation des stocks I. Introduction générale A. Notion de «stock» B. Optique générale de l'arrêté royal du 30 janvier 2001 portant
Plus en détailVotre coach en gestion des opérations avec l'approche Lean
Votre coach en gestion des opérations avec l'approche Lean Complice de votre succès! Serge Bouchard, ASC, C.Dir. serge@bouchard.com 819-473-4248 Coach de gestion & Formateur agréé Emploi-Québec 052793
Plus en détailPlan comptable marocain www.lacompta.org
Plan comptable marocain www.lacompta.org Comptabilité pour étudiants et professionnels Raccourcies : cliquez sur un compte pour afficher ses sous comptes CLASSE 1 : COMPTES DE FINANCEMENT PERMANENT 11
Plus en détailCréer son institut de Beauté Esthétique à domicile
Créer son institut de Beauté Esthétique à domicile Vous souhaitez créer votre institut ou devenir indépendante en réalisant des soins à domicile? Vous ne savez pas quelles démarches entreprendre et quelles
Plus en détailComptes Consolidés Logic Instrument au 31 décembre 2011 1
GROUPE Comptes consolidés Au 31 décembre 2011 1 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 BILAN CONSOLIDE... 3 COMPTE DE RESULTAT... 4 TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE... 5 PRINCIPES ET METHODES... 6 PRINCIPES ET MÉTHODES
Plus en détailParc des Bois de Grasse - 1 rue Louison Bobet - 06130 GRASSE
OPERATIONS DE FIN D EXERCICE COMPTABLE Sommaire L INVENTAIRE... 2 LA DETERMINATION DES CHARGES ET DES PROVISIONS... 3 LES IMMOBILISATIONS... 3 LES AMORTISSEMENTS... 4 LES PROVISIONS POUR DEPRECIATION...
Plus en détailLA COMPTABILITE MATIERE
INFORMATIONS CONSEIL ET ASSISTANCE AUX E.P.L.E. DE LA GUADELOUPE LA COMPTABILITE MATIERE S O M M A I R E 1 - Rappel des dispositions réglementaires page 2 2 - Modalités de mise en œuvre de la comptabilité
Plus en détail_DÉVELOPPEMENT D UNE COMMANDE
_PROFIL TECHNIQUE Une équipe qualifiée et efficiente d experts se tient à l appui des designers, des architectes et des ingénieurs pour réaliser leurs idées créatives, en travaillant sur grande échelle
Plus en détailCOMPTE RENDU. Atelier-débat avec les futurs clients éligibles. 25 septembre 2002
Paris, le 17 octobre 2002 COMPTE RENDU Atelier-débat avec les futurs clients éligibles 25 septembre 2002 *** I La fourniture d électricité... 2 Les clients éligibles peuvent-ils acheter leur électricité
Plus en détail