L addiction au tabac: Jack E. Henningfield, PhD
|
|
- Estelle Bertrand
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Terminologie de l addiction Addiction : Terme général employé pour désigner un comportement compulsif qui pousse un individu à se procurer de la drogue Selon l American Psychiatric Association (Association de psychiatrie américaine) et l'organisation Mondiale de la Santé (OMS), équivalent de «dépendance» L addiction au tabac Dépendance : L APA parle de «nicotine» alors que l OMS parle de quantité de «tabac» délivrée à la personne Dr. Jack E. Heningfield Johns Hopkins School of Medicine Pinney Associates 2007 École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 2007 École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 2 Terminologie de l addiction Symptômes de manque : Les symptômes transitoires qui apparaissent après une période d abstinence lorsqu il existe une dépendance physique (la neuroadaptation) Les cigarettes font partie des drogues les plus toxicomanogènes Lerisqued addictionenfonctiondelaconsommation et de l addiction chez les fumeurs actuels : Cigarettes > Cocaïne > Opioïdes > Alcool Tolérance : La diminution de la réaction du corps à des doses répétées La dépendance, les symptômes de manque et la tolérance peuvent survenir indépendamment Les symptômes de manque ainsi que la tolérance ne sont ni nécessaires ni suffisants pour créer la dépendance Crédit photographique : adapté par le CTLT à partir de la National Academy of Science américaine, Institution of Medicine. (1999) École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 4 Trajectoire de la consommation du tabac Décèsliésau tabac 2007 École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 6
2 Fumerpourlanicotine,mouriràcausedelafumée Tous les produits du tabac peuvent entraîner la mort et l'addiction «Fumer pour la nicotine, mourir à cause de la fumée» - Michael A.H. Russell Crédit photographique : Institute for Global Tobacco Control École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 8 À propos de la fumée de tabac Citations La plupart des cigarettes ont une teneur en nicotine de 10 mg environ La biodisponibilité : La dose classique de 10 à 40 % s'élève de 1 à 3 mg de nicotine par cigarette, qu elle porte la mention «light»ou «classique» Le goudron (ou TPM) provient de la combustion (pyrolyse) du tabac, les particules de la fumée pénètrent selon leur taille (inférieure à 1 micron) dans le poumon Le CO est un produit de pyrolyse, sa demi-vie varie en fonction de la fréquence respiratoire mais elle est généralement de 4 à 7 heures dans l'air expiré ou les tests de COHb «La nicotine libre est absorbée plus rapidement par le fumeur que ne l est la nicotine liée» RJR, Rodgman (1980) «Au fur et à mesure que le ph augmente, la nicotine change de forme chimique, si bien qu'elle est absorbée plus rapidement par l'organisme et donne plus vite une «sensation de plaisir» au fumeur» McKenzie (1976) ; Pièce à conviction «L'AT (technologie de l ammoniaque) est la solution pour entrer en compétition avec PM (Philip Morris) dans le monde, en matière de qualité de fumée» B&W, Johnson (1989) 2007 École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 10 Citations Les cigarettes à faible teneur en goudrons «Offrent un choix aux fumeurs mais aussi une raison de ne pas arrêter» - Brown & Williamson (1979) «le passage à des cigarettes légères a pour effet non pas de diminuer mais d augmenter les risques du tabagisme» - BAT, Lee (1979) Les cigarettes légères Les cigarettes légères sont plus ventilées et permettent donc un tabagisme compensatoire Orifices de ventilation 2007 École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 12
3 Les cigarettes légères au menthol Le cocktail chimique «ultime» La conception du produit et les composants (menthol) permettent un tabagisme plus doux et plus frais Le stratagème marketing employé est trompeur et mortel puisque les cigarettes sont tout aussi toxiques que les cigarettes plein arôme La nicotine libérée par le tabac La drogue la plus toxicomanogène La drogue la plus toxique La libération est extrêmement rapide La taille des particules est optimale pour se déposer dans le poumon Le ph est contrôlé L «optimisation» sensorielle Le cocktail chimique est destiné à rendre dépendant Augmentation de l ammoniac dans la dose La synergie de l acétaldéhyde Le menthol rafraîchissant Les effets inhibiteurs MAO (monoamine-oxydase) Crédit photographique : Tobacco Documents Online. Autorisation accordée à des fins éducatives École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 14 La neurobiologie de la nicotine et d autres drogues Comme les autres drogues dont on abuse, la nicotine stimule les circuits de récompense et augmente la dopamine dans le noyau accumbens du cerveau Les effets dans le cerveau renforcent le comportement, altèrent les humeurs et créent un besoin biologique qui n existait pas avant l exposition à la drogue Les autres effets qui contribuent à la consommation de tabac Réduit l anxiété et diminue le stress et l ennui Améliore les performances et l'attention ou annule au moins les déficits de dépendance Réduit l appétit Aide à la conduite et à répondre au téléphone? L association omniprésente du tabagisme à la vie quotidienne améliore les conditions comportementales 2007 École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 16 La concentration en nicotine dans le sang Leseffetsnocifsdutabac Les niveaux de nicotine varient beaucoup, très bas au lever ils augmentent au fur et à mesure de la journée La nicotine dans le cerveau entraîne la dépendance Le réveil s'accompagne des premiers signes de manque, avec des situation de manque plus importantes chez les plus dépendants 2007 École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 18
4 Les effets de quatre drogues sur les niveaux de dopamine La modulation des récepteurs nicotiniques La modulation des récepteurs nicotiniques produit des effets de cascade via les neurohormones Crédits photographiques : adapté par le CTLT à partir (de haut en bas et de gauche à droite) Ponberi, F.E., et al. (1996) ; Melega et al. (1995) ; Tanda et al. (1997) École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 20 La régulation à la hausse des récepteurs nicotiniques Augmentation des récepteurs La régulation à la hausse des récepteurs nicotiniques : la réversibilité chez les fumeurs chroniques n est pas manifeste Augmentation des récepteurs liés à la tolérance et à la dépendance 2007 École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 22 Le cerveau des non-fumeurs - Le cerveau des fumeurs Les symptômes de manque de nicotine et le dysfonctionnement du cerveau Desétudesd autopsies pour comparer les fumeurs aux non-fumeurs ont révélé une augmentation de plus de 400 % des récepteurs nicotiniques dans le cerveau Non-fumeur Cortex préfrontal Lessymptômesdemanque de nicotine sont liés à un dysfonctionnement au niveau du cerveau et des performances, mais ils ne peuvent être traités Il existe des substituts nicotiniques et d autres médicaments La réversibilité, le délai et la variabilité ne sont pas manifestes Cortex temporal Source du texte : Perry, D., et al. (1999 ) ; Crédit photographique : Journal of Pharmacology and Experimental Therapeutics. (1999). Fumeur Hippocampe 2007 École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 24
5 Les symptômes de manque de nicotine peuvent être traités Les médicaments (2006) Les TSN (traitements substitutifs à la nicotine) Les gommes Les pastilles Les patchs ou timbres (différents types) Les vaporisateurs nasaux Les «inhalateurs»oraux Les médicaments nicotiniques La varénicline Source : adapté par le CTLT à partir de Synder, F. et Henningfield, J. (1998) 2007 École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 26 Les médicaments (2006) La publicité En cours de développement Le rimonabant Les vaccins Des nouveaux substituts nicotiniques (TSN) Des nouveaux médicaments Crédit photographique : Tobacco Documents Online (TobaccoDocuments.org). Autorisation accordée à des fins éducatives École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 28 Imageries du cerveau Le tabagisme, les symptômes de manque et les états de besoin évoqués nuisent à la fonction cérébrale, comme l ont démontré les techniques d imagerie, notamment la TEP et l IRMF Résumé La nicotine est extrêmement toxicomanogène et elle l est encore plus lorsqu elle est libérée sous forme de produits du tabac La nicotine affecte les récepteurs dans le cerveau et entraîne la dépendance Les personnes qui tentent d arrêter de consommer du tabac luttent contre la biologie Le débit sanguin cérébral régional (DSCR) IRMf : Étude BOLD : La sévérité de la dépendance à la nicotine modifie l activité cérébrale face aux stimuli dans les régions concernées par l imagerie et la préparation motrice. Psychopharmacologie. Crédit photographique : Zubieta, et al. (2005) ; Smolka, et al. (2005). Aucune autorisation accordée. Les professionnels de la santé doivent s atteler à l aspect physique de l addiction Le traitement de l addiction et la prévention du tabagisme sont indissociables 2007 École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg École de Santé Publique John Hopkins Bloomberg 30
UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!
UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire
Plus en détailLa cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac?
La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Dubois G, Goullé JP, Costentin J Au nom de la Commission VI (Addictions) Académie Nationale de Médecine Introduction Le tabac tue un
Plus en détailSmoke Without Fire. De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD
Smoke Without Fire De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD 10/07/2013 CIGARETTE ELECTRONIQUE L OUTIL CARACTÉRISTIQUES DIFFÉRENTS MODÈLES LES ENJEUX ET
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailEn 1949, Camel, une marque de
L arrêt tabagique Claude Patry, M.D. En 1949, Camel, une marque de cigarettes, produisait une publicité télé montrant un médecin fort occupé à faire ses visites à domicile. De retour à son bureau, il s
Plus en détailLes drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailLes cyberaddictions. Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE. Service d addictologie
Les cyberaddictions Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE Centre collaborateur OMS pour la recherche sur les addictions Agenda C est quoi une addiction? L addiction
Plus en détailRAPPORT La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Is the e-cigarette a way away from tobacco in the society?
ACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, rue Bonaparte - 75272 PARIS CEDEX 06 Tél. : 01 42 34 57 86 RAPPORT La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Is the e-cigarette a way away
Plus en détailLES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11
LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détailSTRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière
STRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière Service évaluation économique et santé publique 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis
Plus en détailSITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME
I. Tabac-info-service.fr SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME I. TABAC-INFO-SERVICE.FR http://www.tabac-info-service.fr/ Site du Ministère de la Santé et de l Inpes (Institut national de prévention et d
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailQuand le stress nous rend malade
Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors
Plus en détailL addictologue et la cigarette électronique
L addictologue et la cigarette électronique Dr Anne BORGNE Groupe HUPSSD RESPADD THS 2013 Biarritz UN PRODUIT Fonctionnement du «vapoteur personnel» Evolution des matériels Les e-liquides Liquide vaporisé
Plus en détailVous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire.
Vous voulez vous libérer du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Bénéfices de l abandon du tabac pour la santé buccodentaire Les effets néfastes du tabagisme sur la santé buccodentaire
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailPour les personnes qui ne veulent pas cesser de fumer. Une étape à la fois
Pour les personnes qui ne veulent pas cesser de fumer Une étape à la fois Brochures imprimées Une étape à la fois Brochure 1 Pour les personnes qui veulent cesser de fumer Cette brochure a pour but de
Plus en détailPaternité - Pas d'utilisation Commerciale - Partage des Conditions Initiales à l'identique : http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.
1 juin 2013 Paternité - Pas d'utilisation Commerciale - Partage des Conditions Initiales à l'identique : http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/ Table des matières Introduction I - Qu'est-ce
Plus en détailBPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année...
BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. *Bronchopneumopathie chronique obstructive. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... Fondation
Plus en détailExposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles
Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé
Plus en détailLE Module 04 : SOMMEIL Module 04 :
Module 04 : le sommeil Module 04 : le sommeil Ce module comprend les sections suivantes : Messages clés Problèmes de sommeil courants Les médicaments et le sommeil Conseils provenant de familles sur les
Plus en détailCe guide peut vous aider!
Vous aidez une personne qui souhaite cesser de fumer? Ce guide peut vous aider! Guide de mieux-être Accompagnateurs de renoncement au tabac Si vous souhaitez parler à quelqu un pour vous préparer à arrêter
Plus en détailLE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011
LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon
Plus en détailProgramme national tabac 2008 2012
Programme national tabac 2008 2012 Programme national tabac 2008 2012 1 Sommaire Avant-propos 3 Résumé 4 1 Contexte 8 1.1 Consommation de tabac en Suisse 8 1.2 Effets de la consommation de tabac sur la
Plus en détailPUBLICITE ET PROMOTION DES
PUBLICITE ET PROMOTION DES CIGARETTES ELECTRONIQUES Résumé des résultats Septembre 2014 L Observatoire des stratégies marketing pour les produits du tabac est la première étude ayant documenté et analysé
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailCritères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique
Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Dépendance de la victime à une illusion, un fantasme Ces critères ont été élaborés par Goodman
Plus en détailFonctionnement de l organisme et besoin en énergie
Partie 2 Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie Y Cette partie doit permettre à l élève d appréhender quelques aspects généraux concernant le fonctionnement du corps humain. Il s agit principalement
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailLe guide pratique pour y parvenir
Le guide pratique pour y parvenir 1 2 3 4 Il n est pas facile d arrêter de fumer. Il s agit de renoncer à une habitude quotidienne solidement installée, de changer de comportement Cela prend du temps et
Plus en détaill Objectif général : Analyser les principales stratégies marketing utilisées par les cigarettiers.
Fiche pédagogique Thème : Tabac Niveau : CM2, collège, lycée Durée : 30 Tabac et manipulation : quand les industries mettent le paquet Personnes ressources : Enseignants, Infirmier scolaire, CESC l Référence
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détail"La santé des étudiants en 2013"
1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de
Plus en détailENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine Lyon 1
DIU de Tabacologie et d aide au sevrage tabagique SITES INTERNET ET SEVRAGE TABAGIQUE ENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine
Plus en détailAider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Documents imprimés Une étape à la fois 1 2 Pour les personnes qui ne veulent pas cesser
Plus en détailPREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION
PREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION La présente demande d assurance comprend deux formulaires : Preuve d assurabilité Description de la protection et Questionnaire relatif aux renseignements
Plus en détailAddictologie. Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes
Addictologie Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes Définition addiction Conduites de consommation de substances psychoactives Physiopathologie simplifiée Les différents produits Définition de
Plus en détailTABAGISME. Les organisations responsables de la prévention & Les moyens mis à disposition des fumeurs pour arrêter
FACULTE DE MEDECINE Troisième année Université de Genève Unité Immersion en Communauté TABAGISME Les organisations responsables de la prévention & Les moyens mis à disposition des fumeurs pour arrêter
Plus en détail"La santé des étudiants en 2015"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes
Plus en détailProjet Fonds Assuétudes 2007
Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens Projet Fonds Assuétudes 2007 Phn G. Guillaume - Apr J. Saevels Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens APB = Association
Plus en détailDifférents facteurs impliqués dans l addiction
Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité
Plus en détailSommaire. Séquence 5. Les dangers des combustions. Séance 1. Séance 2. Séance 3. Séance 4 Je fais le point sur la séquence 5
Sommaire Les dangers des combustions Séance 1 Les combustions incomplètes Séance 2 Les risques d explosion Séance 3 Les risques du tabac Séance 4 Je fais le point sur la séquence 5 100 Cned, Physique -
Plus en détailSemer pour récolter. la santé. Favoriser la promotion des saines habitudes de vie dans la pratique clinique
Semer pour récolter la santé Favoriser la promotion des saines habitudes de vie dans la pratique clinique Dans le but de répondre aux orientations régionales et nationales, de même qu à la responsabilité
Plus en détailLa fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008
La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à
Plus en détailPrévention du tabagisme en milieu scolaire: agir plutôt sur les comportements ou sur le contexte sociopolitique?
MARS 2013 Edition speciale «Seminaire de l AT 2012» Prévention du tabagisme en milieu scolaire: agir plutôt sur les comportements ou sur le contexte sociopolitique? Dans ce débat qui agite la prévention
Plus en détailGrossesse et tabagisme. Observatoire des perceptions et comportements de la femme enceinte face au tabac sur les forums internet
Observatoire des perceptions et comportements de la femme enceinte face au tabac sur les forums internet Grossesse et tabagisme Les points clés d une étude inédite Grossesse et tabagisme : un risque trop
Plus en détailConférence de presse du 24 février. Présentation du Programme cantonal de prévention du tabagisme 2014-2017 (PCT II) Fonds de prévention du tabagisme
Conférence de presse du 24 février Présentation du Programme cantonal de prévention du tabagisme 2014-2017 (PCT II) Fonds de prévention du tabagisme Plan de la présentation Thèmes présentés Les besoins
Plus en détailA S S U R A N C E V I E 5 0+ GUIDE. de distribution. Assurance vie 50+ est un produit individuel d assurance
A S S U R A N C E V I E 5 0+ GUIDE de distribution Assurance vie 50+ est un produit individuel d assurance 1 Avis émis par l Autorité des marchés financiers L Autorité des marchés financiers ne s est pas
Plus en détailMaryse Bouchard, PhD Chercheure, CHU Sainte-Justine Département de santé environnementale et santé au travail, Université de Montréal Professeure
Maryse Bouchard, PhD Chercheure, CHU Sainte-Justine Département de santé environnementale et santé au travail, Université de Montréal Professeure associée, CINBIOSE, UQAM 4 ième métal le plus utilisé dans
Plus en détailGUIDE POUR UNE POLITIQUE EN MATIÈRE DE TABAGISME DANS L ENTREPRISE
GUIDE POUR UNE POLITIQUE EN MATIÈRE DE TABAGISME DANS L ENTREPRISE SOMMAIRE 1 Pourquoi mettre en place une politique relative au tabac dans l entreprise? 4 1.1 Qu est-ce que le tabagisme passif? 4 1.2
Plus en détailTABAC, TABAGISME & DESACCOUTUMANCE AU TABAC. Module 1 FORDD 2013-2014
TABAC, TABAGISME & DESACCOUTUMANCE AU TABAC Module 1 FORDD 2013-2014 Dr. J-P. Humair Service de Médecine de 1 er recours Hôpitaux Universitaires de Genève Objectifs d apprentissage Connaître les risques
Plus en détailTout ce qu on sait. Réflexions d un bloggeur. Profil et comportement. Les mutations des marchés. Le point de vue de l État / 14
Santé, réduction des risques et usages de drogues N o 74 / 1 er trimestre 2014 Réflexions d un bloggeur qui connaît le risque et la santé / 2 Que savons-nous vraiment de la toxicité de la nicotine? / 4
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détailAnne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs
La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailREHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes
REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes Dr BAJON-THERY Dr COURJARET Dr SURET Dr DEWITTE Dr MICHOT Surveillance médico-professionnelle
Plus en détailOnde P50 dans la schizophrénie
37-285-A-14 Onde P50 dans la schizophrénie E. Houy, F. Thibaut Certains troubles cognitifs présentés par les patients schizophrènes sont interprétables en termes de dysfonctionnement du traitement de l
Plus en détailLES CIGARETTES LÉGÈRES SONT-ELLES MOINS NOCIVES?
LS IGATTS LÉGÈS SONT-LLS MOINS NOIVS? Journaliste : M. D. Duterte VM productions, 1999 Durée : 01 min 9 s Ainsi donc, les fumeurs qui se donnaient bonne conscience en fumant des cigarettes légères ont
Plus en détailTABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse
TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20
Plus en détailProtégez-vous des risques liés aux fumées de soudage. Information prévention. Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie?
Réseaux de veille et de prévention des risques professionnels en PACA Information prévention agir pour votre santé au travail Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie? Protégez-vous des risques
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailBien-être et information sur la santé
( Bien-être et santé sont indissociablement liés. Des enquêtes qualitatives menées auprès des jeunes rapportent le stress et la fatigue parmi les principaux problèmes de santé. L ennui est aussi souvent
Plus en détailComment bien soigner votre budget santé? 14 astuces pour soigner vos dépenses santé
Comment bien soigner votre budget santé? 14 astuces pour soigner vos dépenses santé 89% des Français pensent que se soigner devient trop cher.* Alors qu est-ce que l on fait? Sogarep a décidé de réagir
Plus en détailChaque comprimé à sucer contient 2 mg de nicotine (sous forme de résinate de nicotine). Pour une liste complète des excipients, voir la rubrique 6.1.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT Nicorette Freshmint 2 mg comprimés à sucer 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque comprimé à sucer contient 2 mg de nicotine
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailPour les personnes qui veulent cesser de fumer
Pour les personnes qui veulent cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Documents imprimés Une étape à la fois 1 Pour les personnes qui ne veulent
Plus en détailLa contribution des pères au développement de leur enfant
Activité 1 La contribution des pères au développement de leur enfant Le père: Un rôle en évolution Théorie de l évolution Question de survie! Homme Animaux Christine Gervais, Ph. D., Professeur au département
Plus en détailLe sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détailRecommandation de Bonne Pratique LES STRATEGIES THERAPEUTIQUES MEDICAMENTEUSES ET NON MEDICAMENTEUSES DE L'AIDE A L'ARRET DU TABAC ARGUMENTAIRE
Recommandation de Bonne Pratique LES STRATEGIES THERAPEUTIQUES MEDICAMENTEUSES ET NON-MEDICAMENTEUSES DE L'AIDE A L'ARRET DU TABAC ARGUMENTAIRE AGENCE FRANÇAISE DE SECURITE SANITAIRE DES PRODUITS DE SANTE
Plus en détailAgence de la santé et des services sociaux de Montréal. Des professionnels actifs pour traiter le tabagisme et sa dépendance
Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Des professionnels actifs pour traiter le tabagisme et sa dépendance Une réalisation du secteur Services préventifs en milieu clinique Direction de
Plus en détailGUIDE. de distribution. Assurance vie 50+ est un produit individuel d assurance
ASSURANCE VIE 50+ GUIDE de distribution Assurance vie 50+ est un produit individuel d assurance Desjardins Assurances désigne Desjardins Sécurité financière, compagnie d assurance vie. 1 Avis émis par
Plus en détailLa relation mutuelle avec nos proches: une voie de prévention. COLLOQUE SANTÉ DES MÉDECINS «UN VIRAGE VERS LE CHANGEMENT» 1er et 2 octobre 2009
La relation mutuelle avec nos proches: une voie de prévention COLLOQUE SANTÉ DES MÉDECINS «UN VIRAGE VERS LE CHANGEMENT» 1er et 2 octobre 2009 1 PRÉSENTATIONS Christine Motheron, md, UMF Maizerets et CHUQ,
Plus en détailAider une personne à cesser de fumer. Une étape à la fois
Aider une personne à cesser de fumer Une étape à la fois Brochures imprimées Une étape à la fois Brochure 1 Pour les personnes qui veulent cesser de fumer Cette brochure a pour but de soutenir les fumeurs
Plus en détailL expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté
L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans
Plus en détailLe cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack,
Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack, 2003), et c est la seule sorte de muscle qui peut se contracter régulièrement sans fatigue; tandis que les autres
Plus en détailEXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE
EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE Une demande au syndicat de copropriété pour entreprendre les démarches nécessaires afin de réduire ou d'éliminer le problème d'infiltration de fumée de tabac secondaire. Cette
Plus en détailLa maladie de Huntington, une maladie du cerveau
Actualités à propos de la recherche sur la maladie de Huntington. Expliqué simplement. Écrit par des scientifiques. Pour la communauté mondiale HD. La greffe de moelle osseuse dans la maladie de Huntington
Plus en détailPrésentation d un projet de collaboration autour d une forme de vulnérabilité : tabac et alcool
Forum PSLA - 6 mars 2014 Présentation d un projet de collaboration autour d une forme de vulnérabilité : tabac et alcool Karin Zürcher, Claudia Véron Chargées de projet CIPRET-Vaud Ligues de la santé Un
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailpromotion santé Arrêter de fumer C'est possible!
promotion santé Arrêter de fumer C'est possible! Une publication des Mutualités Libres Rue Saint-Hubert, 19-1150 Bruxelles T 02 778 92 11 promotionsante@mloz.be www.mloz.be > Coordination : Pascale Janssens
Plus en détailPlan de la présentation Introduction présentation La réalité virtuelle pour le jeu pathologique
Le monde virtuel au service de la prévention de la rechute du jeu pathologique Stéphane Bouchard, Ph.D., Lucie Laniel, Lynda Poirier Isabelle e Cyr, Josée Dostie, Geneviève e emorency oe cyet Cathy Tétreault
Plus en détailChauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve
Chauffage au bois ATTENTION à la qualité de l AIR Vallée de l Arve Tous acteurs de la qualité de l air! Sommaire Chauffage au bois, un enjeu important pour la qualité de l'air... 3 Le chauffage au bois,
Plus en détailArrêter de fumer C est possible!
Conseil santé Arrêter de fumer C est possible! www.omnimut.be 1 www.omnimut.be Arrêter de fumer C est possible! arrêter de fumer c est possible! Arrêter de fumer est une décision personnelle importante.
Plus en détailDr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013
Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus
Plus en détailTests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE
Chapitre 5 UE4 : Biostatistiques Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailANNEXE A : CERTIFICAT D ASSURANCE
ANNEXE A : CERTIFICAT D ASSURANCE Assurance maladie grave collective en vertu de la Police collective 90341 POLICE COLLECTIVE : 90341 émise à Services le Choix du Président inc. RÉDUCTIONS EN RAISON DE
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailLA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME
LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME Dr Karoly HORVATH, M.D., Ph.D. Diapo 1 : Mesdames et messieurs : c est un plaisir d être ici et de présenter notre expérience dans le traitement des
Plus en détailComprendre la mort cérébrale
Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse
Plus en détailL abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois
L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,
Plus en détail