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1 Département de l Eure-et-Loir 18 rue de la Gare La Loupe SIPEPREL CONSTRUCTION D UNE STATION DE TRAITEMENT D EAU POTABLE SIEGE 6, Rue Grolée LYON Cédex 02 Téléphone : Télécopie : cabinet-merlin@cabinet-merlin.fr IMPLANTATION REGIONALE Agence d Orléans 810 rue Leonard de Vinci Semoy Téléphone : Télécopie : cm-orleans@cabinet-merlin.fr GROUPE MERLIN/Réf doc : N DCE - DC Ind Etabli par Approuvé par Date Objet de la révision A N. GOUPIL L. MARTIN 15/04/2012

2 SOMMAIRE 1 CONTROLES, EPREUVES ET ESSAIS EN COURS DE TRAVAUX CONTROLE DE LA QUALITE DES MATERIAUX ET PRODUITS DEFINITIONS ESSAIS DE CONVENANCE ESSAIS DE CONTROLE SYSTEMATIQUE ET DE CONTROLE STATISTIQUE ESSAIS DES BETONS ÉPREUVE DES OUVRAGES RECEPTION DES MATERIELS EN USINE ÉPREUVES D ETANCHEITE DES OUVRAGES ET CANALISATIONS ÉPREUVES D ETANCHEITE A L EAU DES CUVES ET DES BASSINS CANALISATIONS A ECOULEMENT GRAVITAIRE CANALISATIONS SOUS PRESSION ACHEVEMENT DE LA CONSTRUCTION, MISE EN ROUTE DE L INSTALLATION : PERIODE DE MISE AU POINT, DE MISE EN REGIME ET D OBSERVATIONS- DATE D ACHEVEMENT DES TRAVAUX ; RECEPTION CONSISTANCE ET MODALITES D'EXECUTION DES ESSAIS DE GARANTIES PRINCIPE DES ESSAIS DE GARANTIE VERIFICATION DES DEBITMETRES ET DES APPAREILS DE MESURE VERIFICATION DE LA QUALITE DE TRAITEMENT ECHANTILLONS ANALYSES VERIFICATION DES CONSOMMATIONS DE REACTIFS RELEVE DE PARAMETRES CARACTERISTIQUES CONTROLE DE L INSTALLATION ELECTRIQUE BILAN DES PUISSANCES ELECTRIQUES VERIFICATION DES CONSOMMATIONS ELECTRIQUES BILAN DES NIVEAUX SONORES MESURES DE BRUITS EN LIMITE DE PROPRIETE MESURES DE BRUITS A L INTERIEUR DES LOCAUX CONTROLE DE LA SECURITE QUANTITE ET QUALITE DES EAUX SALES PRODUITES MESURES SUR LES BOUES TEMPERATURE DANS LES LOCAUX CONTROLE DES EQUIPEMENTS ELECTROMECANIQUES CONTROLE DES CARACTERISTIQUES DES GROUPES ELECTROPOMPES CONTROLE DES ANTIBELIERS MESURE DES NIVEAUX VIBRATOIRES CONSOMMATION D ENERGIE REACTIVE, REGIMES TRANSITOIRES HYDRAULIQUES, RESISTANCE DES PRISES DE TERRE AUTRES ESSAIS POSSIBLES...11 GROUPE MERLIN/Réf doc : N DCE - DC Ind A. Le 15/04/2012 Page 2/11

3 1 CONTROLES, EPREUVES ET ESSAIS EN COURS DE TRAVAUX Les contrôles, épreuves et essais ont pour but la vérification des caractéristiques techniques des différents matériaux, matériels et équipements telles qu elles sont définies par le marché et les spécifications qui ont été remises par l Entrepreneur. Ils portent notamment sur : le contrôle de la qualité des matériaux et produits, la résistance, l étanchéité et la stabilité des ouvrages et des canalisations, la réception des matériels en usine. Tous les ouvrages et tous les équipements doivent faire l objet de contrôles et d essais. L Entrepreneur constitue, tient à jour et soumet au visa du Maître d œuvre les programmes des contrôles et essais par catégorie de travaux de génie-civil ou d équipement. 1.1 CONTROLE DE LA QUALITE DES MATERIAUX ET PRODUITS DEFINITIONS Tous les matériaux font l objet d essais de convenance, (appelés aussi «contrôles préliminaires») avant leur emploi et d essais de contrôle («contrôle systématique» et «contrôle statistique») pendant la période d utilisation et après leur mise en place ESSAIS DE CONVENANCE Les essais de convenance ont pour objet de vérifier que le matériau est utilisable avant toute exploitation et de suivre sa préparation éventuelle (séchage ou humidification des matériaux granulosableux par exemple). Les prélèvements ayant conduit à des résultats inacceptables ne sont pas compris dans les cadences de prélèvement indiquées par les spécifications générales. L Entrepreneur doit informer le maître d œuvre, en temps utile, de la réalisation des essais afin de permettre à celui-ci d y assister s il le juge opportun. Les résultats des essais lui sont systématiquement communiqués. L Entrepreneur doit définir les dispositions qu il a prises pour distinguer les matériaux acceptés et ceux en cours d essais. Il doit évacuer immédiatement hors du chantier les matériaux qui sont refusés. Il prend toutes les précautions utiles pour que cette évacuation soit effectuée sans nuisance pour l environnement ESSAIS DE CONTROLE SYSTEMATIQUE ET DE CONTROLE STATISTIQUE Au cours de l utilisation et après la mise en place des matériaux, l Entrepreneur vérifie que ceux-ci possèdent bien les caractéristiques requises. Elle fait exécuter à cet effet des essais de contrôle systématique et statistique qui sont réalisés par un laboratoire d essais des matériaux agrée par le Maître d œuvre. GROUPE MERLIN/Réf doc : N DCE - DC Ind A. Le 15/04/2012 Page 3/11

4 Les prélèvements et le conditionnement des échantillons nécessaires ainsi que leur transport sont effectués par l Entrepreneur sous son contrôle. 1.2 ESSAIS DES BETONS Les essais des bétons réalisés en cours d exécution doivent faire apparaître des résultats au moins égaux à ceux prévus par les règlements en vigueur, aux résistances prises en compte pour les calculs et aux résistances annoncées sur les documents d exécution ainsi qu aux exigences définies dans les spécifications générales. Le programme d essais de la centrale de fourniture du béton et des prélèvements sur le site est soumis au visa du maître d œuvre et du contrôleur technique. Il est conforme au programme défini dans la spécification générale 110-GEN-SG Gros Oeuvre. 1.3 ÉPREUVE DES OUVRAGES Dans le cas où les essais de béton ne sont pas satisfaisants, il est procédé à une auscultation dynamique de l ouvrage en cause ou à des essais de chargement si l Entrepreneur ne démolit pas la partie incriminée. Ces essais et contrôles sont à la charge de l Entrepreneur. 1.4 RECEPTION DES MATERIELS EN USINE Le Maître d œuvre peut assister ou se faire représenter aux essais effectués en usine. A cet effet, l Entrepreneur doit informer le Maître d œuvre de la date de ces essais, avec un préavis minimal de 15 (quinze) jours. Le programme des opérations de fabrication et de contrôle est tenu à jour et soumis au visa du maître d œuvre. Les matériels suivants font obligatoirement l objet d essais en usine : les groupes électropompes (voir la spécification générale 102-DCE-SG concernant les équipements mécaniques et hydrauliques des installations de pompage d eaux non-chargées), les réservoirs sous-pression (essais sous pression conformément aux procédures fixées par le service des mines - voir la spécification générale 102-DCE-SG concernant les équipements mécaniques et hydrauliques des installations de pompage d eaux non-chargées) ; les turbo-compresseurs et les surpresseurs (caractéristiques aérauliques, niveau vibratoire), les armoires électriques (par type), le système de contrôle-commande (voir la spécification générale 104-GEN-SG Installations de contrôle-commande, système d automates et de supervision), Les contrôles portent, au moins, sur les aspects dimensionnels, les revêtements protections, le fonctionnement à sec ou en eau claire, les performances en eau claire, les organes de sécurité. L Entrepreneur doit remettre au Maître d œuvre les procès verbaux de tous les essais effectués en usine. Ces procès verbaux doivent préciser les conditions d essais, les méthodes et les appareils de mesures utilisés, les résultats de mesure et de calcul et les courbes d essais. GROUPE MERLIN/Réf doc : N DCE - DC Ind A. Le 15/04/2012 Page 4/11

5 1.5 ÉPREUVES D ETANCHEITE DES OUVRAGES ET CANALISATIONS ÉPREUVES D ETANCHEITE A L EAU DES CUVES ET DES BASSINS Se reporter à la spécification générale 110-GEN-SG Gros Œuvre. Contrôle de la stabilité des cuves et des bassins après remplissage Ce contrôle est effectué pour tous les bassins et cuves. Des relevés altimétriques de points singuliers sont effectués avant et après l essai en eau propre pour contrôler les déformations ou le tassement des ouvrages CANALISATIONS A ECOULEMENT GRAVITAIRE Lors des essais d étanchéité, la canalisation doit reposer sur une couche de sable stabilisé. Elle ne doit pas être remblayée et les joints doivent être visibles sur toute la circonférence. Chaque essai d étanchéité fait l objet d un procès-verbal. L Entrepreneur effectue tous les aménagements et réparations sur la canalisation (remplacement d anneaux d étanchéité ou de tuyaux) jusqu à ce que l essai donne entière satisfaction. Les essais sur les canalisations à écoulement gravitaire sont réalisés à l air ou à l eau selon les prescriptions de la spécification générale 110-GEN-SG Terrassements - VRD. Concernant les canalisations de renvoi des eaux sales vers le réseau d assainissement, des essais seront réalisés par une entreprise désignée par le Maître d'ouvrage et ne font pas partie du présent marché. Toutefois ces essais n ont pas vocation à remplacer les essais d autocontrôle de l Entreprise. Procédure Trois semaines avant de procéder aux essais décrits ci-dessus, l Entrepreneur transmet au maître d œuvre, le descriptif des essais prévus, la localisation du tronçon soumis au contrôle d étanchéité et la date retenue. Il procède préalablement à ce contrôle à toutes les mesures préparatoires nécessaires à son parfait déroulement CANALISATIONS SOUS PRESSION Se reporter à la spécification générale 110-GEN-SG Gros Œuvre. Concernant les canalisations de renvoi des eaux sales vers le réseau d assainissement, des essais seront réalisés par une entreprise désignée par le Maître d'ouvrage et ne font pas partie du présent marché. Toutefois ces essais n ont pas vocation à remplacer les essais d autocontrôle de l Entreprise. GROUPE MERLIN/Réf doc : N DCE - DC Ind A. Le 15/04/2012 Page 5/11

6 2 ACHEVEMENT DE LA CONSTRUCTION, MISE EN ROUTE DE L INSTALLATION : PERIODE DE MISE AU POINT, DE MISE EN REGIME ET D OBSERVATIONS- DATE D ACHEVEMENT DES TRAVAUX ; RECEPTION. Pendant la période de mise en régime, la campagne réalisée sur 3 jours consécutifs comporte la réalisation des analyses suivantes : 1 er jour : analyse RS sur eau brute en entrée d usine échantillon ponctuel analyse P1 + P2 sur eau traitée échantillon ponctuel 2 e et 3 e jour : analyse des pesticides et nitrites sur eau brute en entrée d usine échantillon moyen journalier analyse des pesticides (selon P2) et nitrites (selon P1) sur eau traitée au point de mise en distribution échantillon moyen journalier analyse bactériologique (selon P1) sur eau traitée au point de mise en distribution échantillon ponctuel Ces analyses sont à la charge de l Entrepreneur. L eau n est pas distribuée tant que la mise en service n est pas satisfaisante, y compris les résultats des analyses. Les modalités de renvoi de cette eau dans le réseau d eaux pluviales durant cette mise en service sont à préciser par l Entrepreneur. 3 CONSISTANCE ET MODALITES D'EXECUTION DES ESSAIS DE GARANTIES 3.1 PRINCIPE DES ESSAIS DE GARANTIE Les essais de garantie ont pour but de déterminer la capacité et la qualité de traitement ainsi que les consommations et les rendements des différents appareils dans les conditions de marche normale. Les modalités d exécution de détail des essais de garantie sont arrêtées par le Maître d œuvre en accord avec l Entrepreneur et conformément aux dispositions ci-après. Pour mémoire : les essais doivent être réalisés par un organisme de contrôle et sont à la charge du Maître d Ouvrage. Leur durée est de 5 jours. les essais de garantie comprennent : les essais et épreuves permettant de vérifier les garanties techniques prévues au marché, notamment les puissances absorbées, les consommations d'énergie et de produits, les débits, les rendements des divers matériels les essais et épreuves permettant de vérifier le fonctionnement des dispositifs de commande, de contrôle... la détermination des performances de l'ensemble des ouvrages de traitement des eaux. des essais partiels portant sur certains ouvrages (éventuellement) tous autres essais prévus par le marché GROUPE MERLIN/Réf doc : N DCE - DC Ind A. Le 15/04/2012 Page 6/11

7 3.2 VERIFICATION DES DEBITMETRES ET DES APPAREILS DE MESURE Avant de procéder aux bilans proprement dits, il y a lieu de contrôler le réglage et la mise en œuvre de comptage, des seuils jaugeurs, des débitmètres électromagnétiques (emplacement des capteurs, longueurs de tranquilisation amont et aval disponibles ) et de s assurer que l étalonnage des débitmètres enregistreurs a été réalisé pour des gammes de mesures représentatives des évènements observables sur l installation (contrôle du zéro, sensibilité des enregistreurs totalisateurs ). Un certain nombre de capteurs sont mis en place sur les ouvrages et les équipements afin de visualiser en continu les valeurs des paramètres nécessaires au contrôle du fonctionnement de l usine. La vérification de l étalonnage et de la validité des résultats fournis est réalisée sur tous les capteurs de l installation avant la réalisation des bilans. 3.3 VERIFICATION DE LA QUALITE DE TRAITEMENT Avant tout essai, une vérification (et éventuellement un réglage) des débitmètres sera effectuée ECHANTILLONS Les échantillons moyens journaliers seront constitués par prélèvement automatique proportionnel au débit et/ou au temps (4 à 6 par jour) ANALYSES Il est réalisé les analyses suivantes : 1 er jour : analyse RS sur eau brute en entrée d usine échantillon ponctuel analyse P1 + P2 sur eau traitée échantillon ponctuel 2 e au 5 e jour : analyse des pesticides et nitrites sur eau brute en entrée d usine échantillon moyen journalier analyse des pesticides (selon P2) et nitrites (selon P1) sur eau traitée au point de mise en distribution échantillon moyen journalier analyse bactériologique (selon P1) sur eau traitée au point de mise en distribution échantillon ponctuel Un lavage des filtres doit avoir lieu entre les 4 e et 5 e jours VERIFICATION DES CONSOMMATIONS DE REACTIFS Au cours des essais, les quantités de réactifs consommés sont notées et les consommations par quantité traitée (m³ d'eau) calculées et comparées aux valeurs indiquées au marché. Nota : Pour les consommations de réactifs aucune tolérance n'est appliquée à chaque mesure, mais la tolérance de 10 % est appliquée à la consommation globale prévue dans le marché. GROUPE MERLIN/Réf doc : N DCE - DC Ind A. Le 15/04/2012 Page 7/11

8 3.3.4 RELEVE DE PARAMETRES CARACTERISTIQUES Pendant toute la durée des essais de garanties, les paramètres qui peuvent être suivis en continu grâce à la présence d analyseurs sont enregistrés. Les équipements permettant ces enregistrements devront être vérifiés au préalable. 3.4 CONTROLE DE L INSTALLATION ELECTRIQUE Avant la mise sous tension de l'installation électrique, l'entrepreneur doit présenter une attestation de conformité de cette installation conformément aux règlements et normes de sécurité en vigueur. Pour l'obtention de cette attestation, l'entrepreneur devra soumettre l'installation au contrôle d'un organisme agréé. Il sera tenu de remédier dans les meilleurs délais à tous les défauts constatés au cours de ce contrôle et d'adresser au Maître d Ouvrage, deux exemplaires du rapport de visite de l'installation dressé par cet organisme et, s'il y a lieu, de constat postérieur de mise en conformité. Les frais auxquels donnent lieu le contrôle de l'installation et l'obtention de l'attestation de conformité sont à la charge de l'entrepreneur. Les frais relatifs à un nouveau contrôle par un organisme agréé seront également à sa charge. En cas de non conformité, il appartiendra à l'entreprise d'y apporter, à ses frais, toutes modifications. Un certificat du CONSUEL est aussi demandé à la charge de l Entrepreneur BILAN DES PUISSANCES ELECTRIQUES Les contrôles portent sur : des mesures de tension, de courants et de cos ϕ sont effectuées sur chaque TGBT et TBT afin de déterminer les puissances demandées lorsque tous les équipements raccordés sont en fonctionnement, VERIFICATION DES CONSOMMATIONS ELECTRIQUES Durant la période d'essais, les consommations électriques des différentes parties de l'installation seront relevées au niveau des TGBT et des TBTF. La consommation énergétique totale sera également relevée (y compris l énergie réactive). Au début et à la fin de chaque essai, la valeur indiquée par les compteurs électriques doit être notée pour chaque appareil concerné par l'essai. Les consommations par m³ d'eau traitée sont calculées et comparées aux valeurs indiquées dans le marché. GROUPE MERLIN/Réf doc : N DCE - DC Ind A. Le 15/04/2012 Page 8/11

9 3.5 BILAN DES NIVEAUX SONORES Cette campagne de mesures comprend une journée de mesures dans les conditions définies cidessous MESURES DE BRUITS EN LIMITE DE PROPRIETE Les niveaux sonores des installations sont mesurés en limite de propriété aux mêmes endroits que lors de l établissement de l état initial, et que lors de la campagne de mesure réalisée en période de mise en régime. Les mesures visent à vérifier le respect des garanties souscrites par l Entrepreneur conformément à la réglementation en vigueur. Pour la mesure du niveau de bruit ambiant en période diurne ou en période nocturne, il est : soit procédé à des mesures de bruit, usine à l arrêt. Dans ce cas, l arrêt est réalisé en concertation avec l exploitant et sous la responsabilité de l Entrepreneur, soit par une ou plusieurs mesures de bruit réalisées en continu permettant de mesurer le niveau du bruit résiduel MESURES DE BRUITS A L INTERIEUR DES LOCAUX Dans le cadre de la protection des travailleurs contre le bruit, des mesures de niveaux sonores à l intérieur des locaux, sont également réalisées. Chaque local fait l objet de plusieurs mesures réalisées sur la même journée. 3.6 CONTROLE DE LA SECURITE L'Entrepreneur devra présenter au Maître d Ouvrage deux exemplaires du rapport de visite de l'installation dressé par la Caisse Régionale d'assurance Maladie. Si ce rapport constate des défauts ou insuffisances, l'entrepreneur sera tenu d'y remédier dans les meilleurs délais. Un constat postérieur de mise en conformité devra alors être établi et deux exemplaires seront transmis au Maître d Ouvrage. Les frais auxquels donnent lieu ces contrôles et les éventuelles mises en conformité qui en découleraient sont à la charge de l'entrepreneur. 3.7 QUANTITE ET QUALITE DES EAUX SALES PRODUITES Pendant toute la durée de la campagne, il est effectué au moins un lavage de chaque filtre (dont un entre le 4 e et le 5 e jour des essais). Pour chaque lavage de filtre, il est réalisé un prélèvement moyen représentatif sur les eaux sales. Les analyses des échantillons portent sur la détermination de la concentration en matières sèches (g MS/l). Les débits en eaux sales sont enregistrés en continu. GROUPE MERLIN/Réf doc : N DCE - DC Ind A. Le 15/04/2012 Page 9/11

10 3.8 MESURES SUR LES BOUES Sans objet 3.9 TEMPERATURE DANS LES LOCAUX Ce bilan est effectué en continu sur une journée. Dans chaque local, une mesure de température est réalisée et enregistrée en continu. Une mesure de température à l extérieur est également installée. Son emplacement est déterminé en concertation avec le maître d œuvre. Ladite mesure est enregistrée en continu CONTROLE DES EQUIPEMENTS ELECTROMECANIQUES Les essais portent essentiellement sur les points suivants : Contrôle des caractéristiques des groupes électropompes Mesure des niveaux vibratoires des machines Contrôle des consommations d'énergie réactive Contrôle des régimes transitoires hydrauliques Mesure de la résistance des prises et terre. Les appareils de mesure nécessaires pour ces essais sont fournis et installés par l'entrepreneur. Le Maître d'oeuvre peut, à titre de contrôle, utiliser son propre matériel d'essai CONTROLE DES CARACTERISTIQUES DES GROUPES ELECTROPOMPES Le contrôle porte sur : les débits, hauteurs, rendements, facteur de puissance à la vitesse nominale et dans la plage d'utilisation des machines. Le débit est mesuré par le débitmètre de l'installation ou par "dépotage" dans une bâche, un puisard, ou un réservoir. La puissance absorbée est mesurée par la méthode des deux wattmètres par des appareils de classe I. Les manomètres, voltmètres, ampèremètres, transformateurs d'intensité, sont au moins de classe I. Les "erreurs limites" tolérées pour la pompe et la puissance maximale absorbée sont les mêmes que pour les essais en usine. Les "erreurs limites" au sens donné à ce terme par le 9-4 de la norme X ne devront pas excéder, au point nominal contractuel : 7 % pour le débit (XQ), 4 % pour la Hmt (XH), 5 % pour le rendement, 3 % pour le facteur de puissance des moteurs d'entraînement. GROUPE MERLIN/Réf doc : N DCE - DC Ind A. Le 15/04/2012 Page 10/11

11 CONTROLE DES ANTIBELIERS Suivant CCTG fascicule MESURE DES NIVEAUX VIBRATOIRES Les vibrations des paliers des machines tournantes mesurées en valeur maximale de l'amplitude de déplacement en microns, ne devront pas excéder les valeurs suivantes : Amplitude (simple) maximale de déplacement Vitesse Hauteur d'axe = H 80 < H < < H < 225 H > tr/mn tr/mn tr/mn Les mesures sont réalisées conformément à la norme NFE CONSOMMATION D ENERGIE REACTIVE, REGIMES TRANSITOIRES HYDRAULIQUES, RESISTANCE DES PRISES DE TERRE Les valeurs relevées ne devront pas excéder les valeurs limites imposées AUTRES ESSAIS POSSIBLES Les essais et mesures n'ayant pas de relation directe avec l'interprétation des rendements de traitement pourront être faits avant ou après les essais de garanties de traitement : Exemple : niveaux lumineux A Lyon, le par le CABINET MERLIN L'Entrepreneur, GROUPE MERLIN/Réf doc : N DCE - DC Ind A. Le 15/04/2012 Page 11/11