LE CONDITIONNEMENT D'AIR
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- Georgette Dubé
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1 LE CONDIIONNEMEN D'AIR 1 Définition - généralité 2 Rappel de calcul ur diagrae de l'air huide 3 Bilan énergétique d'un local cliatié 4 Etude d'un ytèe tout air 5 Etude d'un ytèe tout eau 6 Etude d'un ytèe ixte 1.1 DÉFINIION DU CONDIIONNEMEN D'AIR Conditionner l air d'un local conite à préparer et introduire de façon continue dan le local une certaine quantité d'air dont le caractéritique ont telle que le condition d'abiance du local ont réaliée. Ce condition portent ur : - la tepérature de l'air - on huidité. - on renouvelleent - a pureté L'objectif et de réalier un icro-cliat intérieur confortable quelle que oient le condition étéorologique extérieure et le apport de chaleur interne au local. Ce condition étéorologique et ce apport interne définient le charge que doit équilibrer le ytèe de cliatiation. Suivant la période pour laquelle et conçu ce ytèe, on parle de cliatiation d'hiver, d'été ou annuelle. Rappelon que le chauffage central tel qu'il a été défini dan le chapitre précédent ne peret pa de conditionner l'air d'un logeent puiqu'il n'aure pa le contrôle de l'huidité intérieure. 1.2 UILIÉ DU CONDIIONNEMEN D'AIR Le conditionneent d'air 'avère néceaire pour le locaux oui à de forte variation de charge qui peuvent être due à - de condition cliatique évère (cliat chaud et huide en particulier) - de apport de chaleur interne iportant et variable dan le tep (alle de pectacle par exeple) la conception architecturale (nobreue baie vitrée au ud, utiliation de atériaux de contruction trè léger conduiant à une trè faible inertie de la contruction) 1.3 CONDIIONS D AMBIANCE A REALISER epérature intérieure i : elle doit être inférieure ou égale à 19 C en hiver quelle que oit la tepérature extérieure ext. En été, il et coneillé de repecter l'inégalité : ext - i 6K. De plu, pour éviter de écart iportant de tepérature de l'air dan le local cliatié, il et recoandé de liiter l'écart de oufflage (écart de tepérature entre l'air oufflé et l'air intérieur i ) aux valeur uivante : - i < 16K en hiver
2 - i < 8K en été (ce valeur pouvant être ajorée i l'air et diffué dan la pièce ur de grande urface; ex: plafond diffuant) Huidité intérieure : Le critère de confort conduient à retenir une huidité relative intérieure ψ i dan l'intervalle uivant : 40% < ψ i < 60% Renouvelleent d air neuf : le débit de renouvelleent d'air neuf dépend du type de local Quelque exeple : 4 l//per 5 l//per 7 l//per 8 l//per 10 l//per 10 l//per Débit d'air oufflé : école habitation, bureaux, alle de conférence(avec interdiction de fuer) bureaux (avec periion de fuer), atelier avec travail édentaire alle de conférence (avec periion de fuer) atelier avec travail non édentaire alle de bain Pour éviter de turbulence déagréable dan le local, il faut liiter ce débit en fonction du volue de ce local. On définit à cet effet le taux de braage t tel que : 3 débit d'air oufflé (.h) 3 volue du local ( ) t = < 10 vol.h 1 4 CHARGES DE CLIMAISAION -1 On a déjà vu que le charge de cliatiation repréentent la puiance que doit fournir le ytèe de cliatiation pour aintenir l'abiance confortable. On définit deux type de charge : le charge enible qui, en l abence de cliatiation, entraînent une odification de la tepérature intérieure i ; ce ont oit de apport enible qui élèveraient i, [cliatique (air extérieur en été, rayonneent olaire ur le paroi) et intérieur (peronne, éclairage, achine)] oit de perte enible qui baieraient i (air extérieur en hiver). On ditingue le charge intantanée qui agient iédiateent ur i (rayonneent olaire ur une vitre, renouvelleent d'air extérieur) et le charge différée qui agient avec un certain retard (charge cliatique au traver de paroi plu ou oin inerte, charge interne). II faut alor prendre en copte un coefficient d'aortieent c qui et le rapport entre l apport en puiance réel de la ource à l'intant t dan le local et la puiance de la ource. Ce coefficient c et fonction de la nature de la ource aini que de la tructure du bâtient et et donné par de abaque. A titre d'exeple, nou donnon ci-aprè le variation de c correpondant à un apport enible agiant entre l'intant t =0 et l'intant t = t. On notera que la charge différée e fait égaleent entir pendant un certain tep, êe aprè arrêt de la ource. c 100% t t
3 le charge latente qui, en l abence de cliatiation, entraînent une odification de l huidité intérieure. Ce ont oit de perte (air extérieur d'hiver trop ec introduit à l'intérieur pour le renouvelleent d'air), oit de apport (air extérieur huide dan le pay équatoriaux, le peronne ou le achine à l intérieur). Connaiant à chaque intant le différente charge auxquelle chaque local et oui, on additionne le courbe repréentative de ce charge en fonction du tep pour déteriner la charge axiale H ax (pour laquelle era dienionné le ytèe de cliatiation) : H ax et la valeur axiale atteinte par la courbe "oe de charge" et non pa la oe de charge axiale atteinte par chaque type de charge (puique celle-ci n'ont généraleent pa lieu au êe intant) : cf. figure. 1.5 LES DIFFÉRENS SYSÈMES DE CLIMAISAION On ditingue le ytèe uivant : - le cliatieur individuel (non étudié ici : cf. cour de 1 ère année) - le ytèe tout air (avec réeau de gaine d'air chaud ou froid) - le ytèe tout eau (ventilo-convecteur) - le ytèe ixte (réeau d'air et réeau d'eau : éjecto - convecteur ) 2- Rappel ur le diagrae de l air huide 2.1 LE DIAGRAMME DE L'AIR HUMIDE Le diagrae de l'air huide donne à la preion atophérique l'état de l'air huide, caractérié par a tepérature et la quantité de vapeur d'eau qu il contient par unité de ae d'air ec appelée huidité pécifique Il définit égaleent en fonction de la tepérature la quantité axiale de vapeur d'eau adiible au delà de laquelle l'équilibre diphaique air/vapeur d'eau et ipoible. 2.2 VARIAIONS D'ENHALPIE DE L'AIR HUMIDE Sauf ca trè particulier que l'on étudiera par la uite, toute odification de caractéritique de l'air huide (tepérature et huidité) 'accopagne oit d'un dégageent de puiance (ca où l'on abaie la tepérature ou l'huidité), oit d'une aborption de puiance (ca où l'on élève la tepérature ou l'huidité). Coe on travaille à preion P contante : p = p at, ce variation de puiance correpondent à de variation d'enthalpie par unité de tep. On ditingue deux variation poible d'enthalpie : - variation d'enthalpie enible par iple variation de tepérature (r = cte) - variation d'enthalpie latente par iple variation de l'huidité pécifique r" ( = cte) Pour une variation iultanée de tepérature et d'huidité, il et toujour poible d'additionner le variation d'enthalpie enible et d'enthalpie latente., II et poible de définir ce variation d'enthalpie par rapport à un air huide de référence correpondant à un air fictif parfaiteent ec (r = 0 kg eau.kg -1 air ec) à 0 C. Dan ce condition, chaque point du diagrae peut être défini par on enthalpie pécifique : enible h en, latente h lat et totale h = h en + h lat
4 chacune de ce enthalpie correpondant à la variation d'enthalpie néceaire pour paer de l'air huide de référence à l'air huide conidéré, le calcul étant effectué ur 1 kg d'air ec. D'où : ( ) h = c 0 = 1,02 en kj.kg -1 en pair, air ec avec en C c p,air = 1,02 kj.kg -1.K -1 Chaleur aique de l'air ec à p contant ( ) h = L r 0 = 2500 r en kj.kg -1 air ec lat avec : r en kg vap d'eau.kg air ec L = kj.kg -1 d'eau Chaleur latente de vaporiation de l eau h = h + h = 1, r en kj.kg -1 air ec en lat Pour chaque point repréentatif de l'air huide, on peut lire ur le diagrae la valeur de h (cf. diagrae). Pour paer d un état d'air l à un état d'air 2, il faut donc fournir ou aborber l'énergie uivante par unité de ae d'air ec : ( 2 1) ( 2 1 ) h = h + h = 1, r r en lat On notera que l'on peut avoir h = 0 lorque : h en = - h lat ; ce qui correpond au ca où l on augente l'huidité de l'air par injection de gouttelette d'eau qui, en e vaporiant, aborbent de l'énergie enible à l'air et donc réduient a tepérature. La variation de puiance P u correpondant à h e déduit facileent : Pu = a h en kw avec a = débit d air ec en kg air ec MÉLANGE D'AIRS HUMIDES Conidéron le élange de deux air huide l et 2 dont le caractéritique ont connue : 1 ; r 1 ; h en,1 ; h lat,1 ; h 1 ; a,1 pour l air dan l état 1 2 ; r 2 ; h en,2 ; h lat,2 ; h 2 ; a,2 pour l'air dan l état 2. L'air de élange et défini par le caractéritique recherchée : ; r ; h en, ; h lat, ; h ; a, pour le élange La loi de élange appliquée à l'air ec donne iédiateent : a, = a,1 + a,2 La loi de élange appliquée à la vapeur d'eau tranportée donne : e, = e,1 + e,2 avec : e,1 = débit de vapeur d'eau -tranportée par l'air l: = r e,1 a,1 1 e,2 = débit de vapeur d'eau tranportée par l'air 2: = r e,2 a,2 2 e, = débit de vapeur d'eau tranportée par l'air de élange : = r,, D'où l'équation : e a
5 r = r + r qui 'écrit : a, a,1 1 a,2 2 Le bilan de puiance enible 'écrit : a, en, a,1 en,1 a,2 en,2 r + r a,1 1 a,2 2 = a,1 + a,2 h = h + h ou encore : ( 1,02 ) ( 1,02 ) ( 1,02 ) = + qui 'écrit : a, a,1 1 a,2 2 r + = + a,1 1 a,2 2 a,1 a,2 Le point M, repréentatif de l'air de élange et donc le barycentre de point l et 2 repréentatif de air l et 2 avec le coefficient a,1 et a,2. Le point M e trouve donc ur le egent [12], de telle orte que : [ M 2 ] a,1 = 12 + [ ] a,1 a,2 M et plu prè du point correpondant à un débit plu grand. L'enthalpie pécifique h obtient par le bilan de puiance totale; ce qui donne : h h + h a,1 1 a,2 2 = a,1 + a,2 3 BILAN ENERGEIQUE D'UN LOCAL CLIMAISE 3.1 BILAN SENSIBLE P u,lat air oufflé, r local cliatié i, r i P u,en air extrait débit = a Soit P u,en le charge enible auxquelle le local et oui ( > 0 en été et < 0 en hiver) ; on prendra la valeur axiale de P u,en en été et (ou) en hiver pour dienionner le ytèe de cliatiation pour le condition le plu défavorable (cf. principe de calcul au l). En tenant copte de la puiance enible apportée par l'air oufflé (cf. Fig) et de la puiance enible perdue avec l'air rejeté à l extérieur (dont le caractéritique ont celle de l'air intérieur), le bilan de puiance enible au niveau du local écrit : h + P = h ou encore : a, en, uen, a, eni, 1,02 + P = 1,02 a, uen, a, i On en déduit l'écart de oufflage ( i - ) en fonction du débit d'air oufflé et de charge enible P u :
6 Puen, i = 1,02 a avec : ( i ) >0 en été puique P u,en > 0 dan ce ca ( i ) <0 en hiver puique P u,en < 0 dan ce ca Dan cette équation ubitent deux inconnue : et a. Pour réoudre le problèe, il faut e fixer une de ce deux inconnue (par exeple a légèreent upérieur au débit de renouvelleent d'air régleentaire, ai tel que l'on ne dépae pa le taux de braage liite acceptable :cf. l ). On en déduit alor, avec l équation ci-deu, l'autre inconnue qui doit repecter la régleentation (par exeple, i a a été fixé, on calcule i qui ne doit pa dépaer le valeur liite préciée au l). 3.2 BILAN LAEN Soit P u,lat le charge latente auxquelle et oui le local. Coe pour le bilan enible, on écrit le bilan latent du local : h + P = h ou encore : a, lat, ulat, a, lati, 2500 r + P = 2500 r a, ulat, a, i On en déduit r puique a, a été déteriné au paragraphe précédent : r P = r 2500 ulat, i a, 4 EUDE D'UN SYSEME OU AIR 4.1 DÉFINIION La cliatiation et réaliée entièreent par introduction d'air chaud ou frai (uivant le aion) dan le locaux. Cet air et préparé dan une centrale de cliatiation (cf. fig) où l on traite un élange d air en provenance de l extérieur (air neuf pour aurer le renouvelleent d'air) et de locaux eux-êe (le débit de cet air repri et défini en fonction du débit d'air oufflé néceaire a, calculé au paragraphe précédent) : il erait en effet "anti-éconoique" de traiter dan la centrale de l air provenant uniqueent de l extérieur. air neuf ext, r ext air élange, r air oufflé, r local i, r i air repri : i, r i 4.2 LES ÉLÉMENS D'UNE CENRALE DE CLIMAISAION Une centrale de cliatiation doit pouvoir aurer le fonction uivante : - chauffage de l'air - refroidieent de l'air
7 - huidification de l'air - déhuidification de l'air Ce fonction ont aurée à l'aide de éléent uivant : l. batterie chaude L'air circule au contact d'un échangeur où circule de l'eau chaude. L'air 'échauffe à ce contact (augentation de a tepérature) an odification de on huidité : on a ipleent augentation de l'enthalpie enible de l'air. Si, ur le diagrae de l'air huide, le point repréentatif de l'air à l'entrée de la batterie et le point l, le point 2 repréentatif de l'air à la ortie doit donc être tel que le egent [12] et horizontal (cf. Fig). r Batterie froide L air circule au contact d un échangeur où circule de l eau froide. L'air e refroidit à ce contact (diinution de a tepérature) et peut aui e déhuidifier i, ur une partie de la urface de ailette de l'échangeur, la tepérature et inférieure à la tepérature de roée de l'air : II y a en effet condenation d'une partie de la vapeur d'eau contenue dan l'air. Dan ce ca, quai-général, on a égaleent diinution de l'huidité pécifique de l'air qui ubit alor une diinution de on enthalpie enible et de on enthalpie latente : on définit aini une batterie froide huide. Dan un échangeur "parfait", la tepérature de ortie d'air et égale à la tepérature de urface de ailette. S'il y a déhuidification, le point repréentatif 0 de cet air ur le diagrae de l'air huide doit e trouver ur la courbe de aturation. En général ce point 0 n'et pa atteint puique l échange n et pa parfait. Si le point repréentatif de l'air à l entrée de la batterie et le point l, le point 2 repréentatif de l'air à la ortie de cette batterie e itue forcéent ur le egent de droite [l0]. On définit aini l efficacité ε de la batterie froide : [ 12] [ 10] ε = (cf. fig), avec ε = 100% pour un échangeur "parfait". 1 r 0 2
8 Lorque la tepérature de urface de ailette et en tout point de la batterie upérieure à celle de l'air, il n'y a pa condenation; le point l et 2 e ituent alor ur une êe horizontale : on parle de batterie froide èche. 3.huidificateur adiabatique On pulvérie de gouttelette d'eau dan l'air. Ce gouttelette e élangent à l'air huide aprè vaporiation; l énergie néceaire à cette vaporiation et prie à l'air qui voit donc a tepérature baier en êe tep que on huidité pécifique augenter. C'et, le ca déjà abordé au paragraphe 2.2 où le gain d enthalpie latente et obtenu par une perte égale d'enthalpie enible; la tranforation ubie par l'air et donc adiabatique : il n'y a pa de odification de l'enthalpie totale de l'air au cour de on paage dan l'huidificateur. D'où le tere d'huidificateur adiabatique. Le egent [12] repréentatif de la tranforation l? 2 ur le diagrae de l air huide (l et 2 étant le point repréentatif de l'état de l'air repectiveent à l entrée et à la ortie de l huidificateur) e trouve donc ur une droite d'enthalpie contante. Le point 2 peut e trouver à la liite ur la courbe de aturation, oit confondu avec le point 0 de la figure ci-deou. Dan ce ca, on a vaporié la quantité axiale poible de gouttelette dan l'air. On peut aini définir l efficacité de l'huidificateur de la êe façon que celle d'une batterie froide : ε = [ 12] [ 10] r Huidification par vapeur On injecte directeent de la vapeur d eau dan l air; ce qui peret d augenter l huidité pécifique de l'air avec une odification trè peu enible de la tepérature : on ne fait qu augenter l'enthalpie latente de l'air. La tranforation l? 2 correpondante et alor repréentée ur le diagrae de l'air huide par un egent vertical (cf. Fig). 2 r 1
9 4.3 PRINCIPE DE DÉERMINAION D'UNE CENRALE DE CLIMAISAION I.Ca de l'hiver Poition du problèe: en général, en hiver, l air extérieur et plutôt froid et ec. Aui, le point de élange (cf. fig du 4.1), caractéritique de l'air à l entrée de la centrale, et défini par une tepérature et une huidité plu petite que celle qui définient le point de oufflage S}à la ortie de la centrale. La centrale, qui doit perettre le paage de M à S, doit donc chauffer et huidifier l'air. Il exite pour ce faire deux poibilité : - 1ère poibilité : on utilie une batterie chaude et une injection de vapeur. La batterie chaude réchauffe l'air an odifier S (tranforation? c) et l injection de vapeur huidifie an changer la tepérature (tranforation C? S). E M BC C S I vapeur local h c h r h S M C D aprè le paragraphe 2.2, on peut définir le caractéritique de éléent de la centrale : Puiance de la batterie chaude : ( ) 1,02 ( ) P = h h = en kw i a, en kg. -1 BC a, c a, Débit de vapeur injectée : ( ) = r r en kg. -1 i a, en kg. -1 v a,
10 2èe poibilité : on utilie deux batterie chaude et un huidificateur adiabatique entre le deux batterie; on utilie rareent une eule batterie car on atteindrait dan ce ca de tepérature trop élevée à la ortie de cette batterie. De plu, nou verron que l'une de deux batterie peut ervir pour la cliatiation d'été. E M BC 1 C 1 HA C 2 BC 1 S I local h r h h c C 3 BC 2 S C 2 HA BC 1 M C 1 Caractéritique de la centrale : Puiance de la 1ère batterie chaude BC1 : P = ( h h ) = 1,02 ( ) BC1 a, c1 a, c1 Puiance de la 2èe batterie chaude BC2 : P = ( h h ) = 1,02 ( ) BC2 a, c2 a, c2 Quantité d'eau injectée e et efficacité de l'huidificateur: e = a, ( r r) [ 1 2] [ ] CC r r ε = = CC r r 1 3 c3 On notera que le point C 1 et C 2 peuvent être déteriné avec le hypothèe uivante : r = r c1 horizontale r = r c2 horizontale h c1 = h c2 [C 1,C 2 ] = droite d enthalpie contante Une dernière hypothèe et néceaire : elle portera ur la puiance de la batterie chaude BC2 i celle-ci et utiliée pour la cliatiation d'été (ce qui ipoe la poition du point C ) ou bien ur l efficacité de l huidificateur ipoée par le contructeur (ce qui ipoe le CC 1 2 CC ) rapport : [ ] [ ] 1 3
11 2. Ca de l été Poition du problèe : cette foi ci, le point de élange et généraleent caractérié par une tepérature et une huidité plu élevée que celle du point de oufflage. Il faut donc utilier une batterie froide qui refroidit et déhuidifie. On a vu au paragraphe 4.2 que la tranforation? par batterie froide huide n'et, poible que i la droite [MS] coupe la courbe de aturation. D'où le deux ca à enviager : - 1er ca : [MS] coupe la courbe de aturation. Une batterie froide huide peut donc uffire. Elle et définie par a puiance P BF, et on efficacité ε : ( ) 1,02 ( ) 2500 ( ) P = h h = + r r BF a, a, a, [ ] [ ] MS r r ε = = = MO r r o o h r h o O h S BF M o e BF i - 2ëe ca : i [MS] ne coupe pa la courbe de aturation. Il et alor néceaire d ajouter une batterie chaude à la batterie froide huide pour atteindre le point S (cf. fig). Pour liiter la puiance de deux batterie, on a intérêt à poitionner le point C repréentatif de l'air à la ortie de la batterie froide de telle orte que la droite [ME] oit tangente à la courbe de aturation; ce qui définit un eul choix poible de deux batterie : batterie froide : ( ) 1,02 ( ) 2500 ( ) P = h h = + r r BF a, a, c a, c [ ] [ ] MC r r ε = = = MO r r c c o o
12 Batterie chaude : ( ) 1,02 ( ) P = h h = BC a, c a, c h r h BF M h c h o O C BC S o e BF c BC i 4.4 SYSÈMES PERMEAN D'ADAPER L'AIR SOUFFLÉ À DES CHARGES DIFFERENES Pour cliatier avec la êe centrale de locaux de charge différente, il et néceaire d'adapter la qualité de l'air oufflé à chaque local. Le principale éthode utiliée ont le uivante : Le ytèe le plu iple conite à faire varier le débit de l'air oufflé à l'entrée de chaque local à l'aide d'une bouche d ouverture réglable. L inconvénient de ce procédé et de perturber l équilibrage de l eneble du réeau aéraulique lorqu'on agit ur une eule bouche; ce qui odifie le débit de l'air oufflé par le autre bouche an contrôle poible. Il faut donc utilier ce procédé avec précaution pour uage retreint (ex : alle de conférence peu utiliée). 2- Le deuxièe procédé conite à déplacer la deuxièe batterie chaude de la centrale (utiliée l'hiver avec l'huidificateur adiabatique : cf 4.3) et à la placer à l entrée de chaque local en régulant on fonctionneent ur la tepérature abiante du local correpondant. Ce procédé peret de aintenir l équilibre aéraulique du réeau ai ne peret pa d aurer iultanéent le confort de locaux dont l aplitude de variation de charge et trè iportante. Il a cependant l'avantagé de reter iple ur le plan du réeau.
13 e centrale i BC1 local 1 BC2 local 2 3- Pour de locaux dont le charge varient de façon iportante (ex : bureaux à façade trè enoleillée à cliatier en êe tep que de bureaux orienté au nord), il et néceaire de concevoir un réeau à deux conduit (air chaud et air froid : cf. chéa) Le élange de l'air chaud et de l'air froid e fait à l entrée de chaque local, la vanne de élange étant régulée ur la tepérature abiante du local. L inconvénient de ce procédé réide dan l obligation de doubler le réeau d air (coût et encobreent). BF conduit froid e i BC1 HA BC2 BM1 conduit chaud BM2 local 1 local 2 BCI : preière batterie chaude HA : huidificateur adiabatique BF : batterie froide BC2 : deuxièe batterie chaude BM1 : boîte de élange du local l BM2 : boîte de élange du local DÉFINIION Un ytèe tout eau et un ytèe de cliatiation où l'air et traité dan chaque local par paage dan un ventilo-convecteur. Le ventilo-convecteur et un échangeur dynaique (échange par convection forcée) air/eau où l eau introduite (chaude en hiver, froide en été) provient oit d'une chaudière en hiver, oit d une centrale de préparation d'eau glacée en été. On notera qu'un convecteur claique utilié pour le chauffage uniqueent (convection naturelle de l'air) ne peut pa fonctionner convenableent pour le refroidieent d'été car
14 l air frai fabriqué reterait au niveau du plancher du fait de a ae voluique plu élevée que celle de l'air abiant : la zone de confort de la pièce ne erait donc pa cliatiée. D'où l'uage indipenable d'un ventilateur qui puie l air frai dan cette zone de confort. De là vient l appellation "ventilo-convecteur". 5.2 FONCIONNEMEN D'UN VENILO-CONVECEUR air oufflé arrivée d eau (chaude ou froide) retour d eau (ontage bitube) régulation ur extérieur air intérieur air extérieur dalle Sur le chéa ci-deu, on oberve qu'un élange d'air intérieur repri et d'air extérieur (pour le renouvelleent d'air) et apiré par un ventilateur pour circuler dan une batterie chaude ou froide (uivant qu'elle et alientée en eau chaude ou froide) avant d'être oufflé dan le local à cliatier. Le ontage repréenté, dit bi-tube, (un tube aller, un tube retour pour l'eau) poe problèe lorqu'il faut iultanéent chauffer un local et en refroidir un autre (ipoibilité de véhiculer en êe tep de l'eau chaude et froide) ou lorqu'on a de bruque variation de charge (période de tranition entre une période de chauffage et une période de refroidieent). Pour un eilleur confort, il et donc intéreant d'avoir une double alientation en eau chaude et froide et dipoer d'une vanne élangeue à l'entrée de chaque ventilo-convecteur; le retour étant alor coun, on a dan ce ca un ontage troi-tube. L'inconvénient de ce ontage et de retourner ver la chaudière et la centrale de préparation d'eau glacée une eau à la êe tepérature; ce qui n'et pa éconoique. Le ytèe le plu coplet et donc obtenu avec le ontage quatre-tube où le réeaux d'eau chaude et d'eau froide ont coplèteent éparé. Au niveau de chaque ventiloconvecteur, un piquage et réalié ur chaque réeau de anière à faire circuler au contact de l'air à traiter un débit variable (fonction de charge) d'eau chaude et d'eau froide (cf. chéa). arrivée d eau chaude et froide retour d eau chaude et froide ventiloconvecteur
15 L inconvénient de ce ontage et alor la lourdeur du réeau d'eau et on encobreent (qui rete cependant largeent inférieur à l encobreent de gaine d'air d'un réeau tout air). Quelque oit le ontage, il faut pener à : - Intaller un réeau de récupération de condenat, inévitable en été dan chaque ventilo-convecteur. - Ioler le conduite d'eau, en particulier le conduit d'eau froide ur lequel il y a rique de condenation de la vapeur d'eau de l'air abiant. On notera que le ytèe tout eau n'et pa un véritable ytèe de cliatiation au en défini au paragraphe l puiqu'il n'y a pa de contrôle poible de l'huidité de l'air abiant. Son avantage et de perettre un contrôle de tepérature abiante hiver coe été an l'encobreent de gaine du ytèe tout air. 6 Sytèe air-eau 6.1 DÉFINIION C'et, un ytèe qui néceite un prétraiteent de l'air oufflé dan une centrale et un eneble de préparation d'eau chaude et d'eau glacée pour adapter l'état de l'air oufflé aux condition de charge de chaque local. Le élange de l'air prétraité en centrale (ou air priaire) et de l'air recyclé traité localeent dan une batterie chaude ou froide (ou air econdaire) 'effectue dan un éjecto-convecteur. Ce procédé de cliatiation et, coparativeent aux procédé décrit dan le paragraphe précédent, celui qui aure la plu grande ouplee d'utiliation. 6.2 Fonctionneent d un éjecto-convecteur air priaire traité en centrale circuit d eau à tepérature régulée air oufflé dan le local air econdaire repri dan le local batterie chaude ou froide L'air priaire injecté dan l'éjecto-convecteur entraîne par induction une certaine quantité d'air econdaire en provenance du local. Avant d'être élangé à l'air priaire, cet air econdaire pae dan une batterie chaude ou froide (uivant qu'elle et alientée en eau chaude ou froide, et donc uivant le charge à copener) : cf. chéa. Coe pour le ventilo-convecteur, on peut utilier un ontage bi-tube, troi-tube ou quatre-tube (cf. précédent) uivant le ouplee de fonctionneent déirée; on notera cependant que le prétraiteent de l'air priaire aure déjà une certaine ouplee que nou n'avion pa avec le ytèe tout-eau. Une autre éthode conite à prévoir deux batterie (une chaude et une froide) au traver dequelle on fait paer à part égale le débit d'air econdaire. A la ortie de deux batterie, l'air et reélangé avec poibilité de régler la proportion d'air réchauffé et d'air refroidi par action ur un volet de réglage. Quelque oit le ytèe utilié, un bac de récupération de condenat et néceaire, coe dan le ventilo-convecteur.
16 Un éjecto-convecteur et caractérié par : - le taux d'induction i qui et le rapport entre le débit d'air econdaire et le débit d'air priaire. - la puiance de la batterie (chaude ou/et froide) L'avantage par rapport aux ventilo-convecteur et de perettre une véritable cliatiation avec contrôle de l huidité de locaux (obtenue par l'air priaire) et une eilleure ouplee d'utiliation. L' avantage par rapport au ytèe tout-air et de liiter la quantité d'air tranporté (on ne tranporte dan le réeau aéraulique que le débit de renouvelleent d'air, puique l'air recyclé et traité dan chaque éjecto-convecteur) ; cela peret un réeau aéraulique oin encobrant et plu éconoique. Le ytèe air/eau peret égaleent d aurer plu facileent la cliatiation de tou le locaux êe à charge trè différente et trè variable (en particulier pa de double gaine chaude et froide). Le eul inconvénient et le léger iffleent que l'on perçoit dû à l'accélération de l'air priaire à l'entrée de l'éjecto-convecteur néceaire pour entraîner l'air econdaire. Il rete que le confort apporté par le ytèe air/eau néceite une centrale de préparation d'air et une centrale de préparation d'eau (chaudière et préparation d'eau glacée).
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