Produire moins, manger mieux!
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- Marianne Guérard
- il y a 8 ans
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1 Raak doier d Alimentation : o Produire moin, manger mieux! Nou voulon une alimentation de qualité. Combien de foi n entendon-nou pa cette revendication, et à jute titre. Mai i tout le monde et d accord avec celle-ci, il et difficile de prétendre que tout le monde réclame la même choe. En effet, la notion de qualité alimentaire varie elon le peronne, le culture et le époque. Dan ce doier, nou nou pencheron ur la notion de qualité et on évolution dan le temp. Ce n et pa anodin i on parle aujourd hui «d alicament», contraction de aliment et médicament On demande à l alimentation de régler tou le problème de la vie an que cela nou coûte trop! Un coût en argent bien ûr, mai aui en énergie, comme l indique trè bien Marc Vandercammen, directeur du Crioc. Dan on uage quotidien de la nourriture, le conommateur cherche la facilité et la rapidité, tout en prétendant favorier la qualité, ce qui et ouvent incompatible vu notre mode de conommation. En effet, de quoi e nourrit l humain moyen aujourd hui? De pétrole! C et le CRIE de Liège qui fait cette analye 1 : il faut deux tonne de pétrole pour produire une tonne d engrai ; le machine, le chauffage de erre (qui permettent de manger de alade en hiver), la contruction et la maintenance de hall où ont élevé le animaux, etc Tout cela conomme de l énergie, an parler de plat préparé, de leur conervation, de leur tranport Et comme i cela ne uffiait pa, à cela ajoute l inadéquation de notre régime alimentaire : toujour elon le CRIE, nou mangeon trop de graie animale, de viande, de ucre, de el. Sachant qu il faut en moyenne ept calorie végétale pour produire une calorie animale, nou mangeon ou forme de viande le céréale qui auraient pu ervir à nourrir la population ur le lieu de production de céréale. Et c et là que l injutice et encore plu criante : quel et-il, ce lieu de production? Ce ont trè ouvent le pay pauvre qui produient ce céréale. Bref, tout n et pa roe dan le aiette, et le enjeux dépaent largement le cadre de no campagne et de no aiette. Manger n et pa qu un acte de urvie, mai c et aui un acte ocial : le choix de ce qu on mange et no habitude alimentaire ne ont pa neutre. Petit zoom ur no aiette. 1. CRIE : Centre Régional d Initiation à l Environnement de Liège. Natali N. et Philippot M., Devenon-nou de analphabète du goût?, mar 2003 i e r Contrate Novembre-Decembre
2 d oier d C et le conommateur qui fait le marché! o i e r De la qualité et de la diverité : ce ont le deux critère qui dominent le préoccupation actuelle en matière d alimentation. Et dan ce grand marché, c et le conommateur qui fait la loi. L avi de Marc Vandercammen, directeur du Crioc. Contrate : Sur le plan ociologique, qu et-ce qui influence no choix en matière de conommation alimentaire? Marc Vandercammen : Du point de vue pychologique d abord, il y a la motivation et la peronnalité de chacun. Pour certain, manger et avant tout un plaiir. Pour d autre au contraire, c et une néceité, une obligation vitale. Au-delà de cela, il y a toute le variable ociologique : la famille, la culture, la religion,... La famille et un vecteur de ocialiation puique c et là qu on entre en contact avec la nourriture, c et la famille qui détermine la manière dont on pae du lait maternel à la préparation culinaire. C et d autant plu important que c et ouvent à cet âge là que commence à e former le goût. Si on donne toujour le même aliment à un jeune enfant, il y a beaucoup de chance que e goût eront retreint à l âge adulte. L autre problème, c et qu on a tendance à paer du lait maternel à de produit quai excluivement ucré. On tend à développer le entiment de goût uniquement en retant dan la gamme du ucré. On lui donne donc l impreion qu il et important de manger ucré. A côté de la famille, il y a bien ûr l influence de groupe auxquel on choiit de identifier. On veut être perçu comme égaux par e pair. Par exemple, néceité pour le enfant et le jeune d avoir de vêtement identique, de manger de chip dan lequel il y a une toupie pour jouer à la récré... Bien ûr, la culture a une influence également. Une partie de la population alimente en fonction de on appartenance religieue : nourriture Kaher pour le juif, halal pour le muulman. Et même i la tradition du poion le vendredi chez le chrétien atténue fortement, on trouve toujour plu de poion dan le grande urface le jeudi que le autre jour. L alimentation et aui un vecteur d affirmation ociale. Depui longtemp, on ait que c et un rite de ocialiation, par exemple à l occaion de cérémonie religieue (baptême, communion, mariage)... Le repa et aocié à toute le fête. Au début du vingtième iècle, il n était pa rare d avoir 14 ervice dan un repa de communion! Evidemment, l argent influence énormément no habitude alimentaire, en achant cependant que la part du budget qui y et conacrée diminue contamment depui trente an. Aujourd hui, elle repréente moin de 16% de revenu de la famille alor qu en 1977, on était encore à 21%. Peut-on dire qu on et paé progreivement d une préoccupation quantitative à une préoccupation qualitative? Ce type d évolution ne e fait pa en quelque année mai en pluieur décennie. Avant, il y avait trè peu de diverité dan la nourriture. De nombreux produit qu on connaît aujourd hui ont été importé avec le GI S aprè la guerre. L offre et diverifiée, en même temp que e ont développé le ytème de conervation. En 1950, le frigo était encore un objet exceptionnel dan le ménage. Vingt 6 Contrate Novembre-Decembre 2004 M. Van Diern
3 M. Van Diern doier an plu tard, il était dan toute le cuiine. Ca change le mode de conervation mai ça augmente aui la gamme de choix. Aujourd hui, on conidère que troi produit ur quatre préent ur le marché n exitaient pa il y a dix an. Conéquence de cette offre plu importante : on peut davantage choiir et diverifier on alimentation. Et parallèlement à l augmentation de l offre, on connaît une baie de prix. Cela ignifie que davantage de gen peuvent offrir de nouveaux produit et aini teter d autre goût. L évolution et aui qualitative du point de vue de la compoition de aliment. Il faut avoir aui qu en 1940, le gen vivaient maximum 5 an aprè avoir arrêté de travailler. Aujourd hui, on vit facilement juque 85 an. Cette évolution fait que le gen ont de plu en plu préoccupé d avoir une forme permanente, en tout ca à refuer la mort et à vouloir la retarder de plu en plu. Le gen ont l impreion qu il vont vivre plu longtemp en contrôlant perpétuellement leur alimentation. Il y a quelque part une orte de mythe de la vie éternelle qu il n y avait pa avant. D où la préoccupation plu importante pour la qualité de la nourriture et donc une inquiétude par rapport aux «crie alimentaire» qui urviennent épiodiquement. En 1950, il n y avait pa de crie alimentaire puique peronne n était au courant que ça exitait et qu on n avait pa le moyen technique et cientifique qu on a aujourd hui pour le déceler. Aujourd hui, tout le monde et enible à ce apect. Donc l alimentation et de meilleure qualité qu avant (toute le étude le montrent) mai paradoxalement, le gen ont l impreion que «tout fout le camp» parce qu on e focalie ur ce problème. Il faut dire qu avant, quand chacun produiait dan on jardin, le rique d intoxication était limité au noyau familial. Maintenant, i une entreprie alimentaire fait la moindre erreur, ça touche un grand nombre de peronne. Il y a donc néceité d avoir de aliment plu ûr. Un autre problème culturel lié à l alimentation, c et celui de l anorexie. Il y a de ilhouette tandard auxquelle on veut e conformer. Aujourd hui, on conidère qu une jeune fille de poid normal a environ 15 à 18 kg de plu qu un mannequin qu on voit à la TV. Conéquence : le jeune fille ne e entent pa bien dan leur peau. L alimentation aine et le alicament contituent un de moteur de l innovation dan l indutrie. Tout ça n et donc qu une quetion de tratégie commerciale? Aujourd hui, le gen veulent de aliment plu fin, plu goûteux, plu varié. On mange de plu en plu avec le yeux. C et clair aujourd hui, on n et plu dan un marché d offre, où un producteur offrait a production à de gen qui achetaient par néceité de e nourrir. Aujourd hui, on et dan un marché de demande : ce ont le conommateur qui font le marché. Et comme il y a beaucoup trop de produit propoé, il faut adopter une tratégie commerciale efficace pour écouler le produit. On valorie de produit mondialement connu comme le coca. On uniformie le goût ver le ucré parce que c et ce que le gen demandent (le bière ont plu ucrée qu il y a 20 an). Le produit améliorent ur le plan diététique mai il ont aui de nouveaux goût, qui correpondent aux tendance actuelle. Le paradoxe c et donc qu il y a bien ûr une tratégie commerciale qui profite de ce créneaux. Mai c et le conommateur qui et demandeur de cette diverification de l offre. Où e trouve la voie d une alimentation équilibrée? Tout dépend comment on enviage l équilibre. Si on le voit du point de vue du développement durable, c et clair qu on et totalement en dééquilibre puiqu en Belgique, on conomme en moyenne troi planète (c et-à-dire qu on conomme troi foi plu que ce que le reource de la planète le permettent). Si on le voit en terme d équilibre alimentaire et nutritionnel, il e poe aui un autre problème ; à quelle condition, avec quel moyen produit-on et conomme-t-on? Il faudra an doute un jour arbitrer entre le plaiir et la néceité... Pour trouver cet équilibre, ne faut-il pa aui tenter de recréer un lien plu direct entre la production (le producteur) et la conommation (le conommateur)? Peut-être, mai il faut avoir que le ditributeur, (c et-àdire l intermédiaire) a comme fonction de réduire le lien, c et-à-dire de diminuer le coût de tranport, le temp de la livraion... Si cette fonction n exitait pa, il faudrait que quelqu un l aure. Qui va jouer le rôle de ditribution? Le conommateur euxmême, via la renaiance de coopérative? Je n y croi pa beaucoup. Le producteur? Il n ont pa le temp, ni la volonté ni la capacité de jouer ce rôle : produire et mettre on produit à la dipoition du conommateur, ce ont deux métier tout à fait différent. Si on veut un lien direct avec le producteur, on doit faire l effort de e déplacer et prendre le temp de nettoyer e carotte, d écoer le petit poi. Si on ne l accepte pa, il faut quelqu un pour faire de boîte de petit poi, pour aller cueillir le fruit pour faire la confiture Aujourd hui, le conommateur cherche avant tout la facilité. Cette facilité, il ne la trouve pa il n y a pa de tranformateur et de ditributeur. L idée que c et bon parce que c et prè de chez oi, c et pa toujour vrai (en terme de qualité et de Contrate Novembre-Decembre
4 d oier d o coût). Mai ça ne veut pa dire non plu que c et néceairement bon quand ça vient d ailleur. L équilibre era : qu et-ce qu on accepte, qu et-ce qu on n accepte pa, dan une économie rurale où il faut produire en groe quantité pour être rentable, et où on ait que ce n et pa le producteur qui touchent un maximum de gain ur la production, mai le intermédiaire. Savezvou lire une étiquette? M. Van Diern i e r L idée que le conommateur rencontrent et connaient le métier d agriculteur ou d éleveur, et an doute importante. Mai le conommateur et un peu chizophrène : il veut voir la vache vivante mai pa la vache qu on tue pour lui prendre un morceau de teak. Il veut de carotte propre et aine dan on aiette mai il ne veut pa le nettoyer lui-même. Aujourd hui, la plupart de aliment ont pré-emballé et donc le contact avec la nature n exite plu. Or, on ne ait pa aimer un produit i on ne le travaille pa un minimum. Il faut donc trouver un bon compromi entre la facilité et le plaiir de préparer et de manger de aliment ain. L alimentation ne remplacera jamai le plaiir de cultiver e légume ou d entretenir un poulailler (en achant cependant qu il y a parfoi plu de dioxine dan le oeuf de e propre poule que dan le oeuf de poule indutrielle). Renforcer le lien, oui. Mai le gen ont-il prêt à mettre le prix? Interview réaliée par Monique Van Dieren. 1. Centre de recherche et d information de organiation de conommateur. La réglementation européenne et trè claire en matière d obligation d information, mai il n en va pa de même de la liibilité de étiquette. Comprenez-vou tou le code repri ur le étiquette? Vou donnent-t-elle une information claire ur votre alimentation? Mai au fait, qu et-ce qui e trouve ur une étiquette? Un produit qui contient x vitamine ou un complément de fer doit forcément être meilleur. C et en ce terme que nou réfléchion, nou, le conommateur, et le a du marketing l ont bien compri. Il nou inondent d information ur le vertu uppoée ou réelle de leur produit, non eulement dan le publicité, mai aui ur le quelque centimètre carré de l étiquette. Mai au fait, qu et-ce qui figure ur une étiquette? La loi oblige le fabricant à indiquer la dénomination du produit, a compoition (éventuellement ou forme de tableau comparatif pour 100 gramme), a durabilité minimum (date de péremption), le nom du fabricant, le contenu (poid net) et le numéro du lot. Le tout doit obligatoirement être indiqué dan la langue du lieu où ce produit et vendu. Outre ce obligation, on trouve ouvent un codebarre, c et-à-dire de ligne verticale ou lequelle on retrouve une érie de chiffre. Le deux premier chiffre indiquent le pay du producteur ou du ditributeur! Bel exemple de tranparence. Aini, un code-barre qui commence par 54 indiquera la Belgique-Luxembourg comme pay d origine (ou de ditribution), 30 à 37 ignalera une production françaie, 87 hollandaie, 40 à 43 allemande. Dan ce codebarre, vient enuite le code de l entreprie en quetion. Enfin le code de l article, ce qui et pratique pour uivre un produit tout au long de a vie et accélère le paage à la caie (ô merci le lecteur optique). D autre indication peuvent apparaître ur l étiquette, tout aui illiible, par exemple la préence de matière animale (une lettre et un chiffre entouré d un ovale), an parler de additif dont on cite le nom pour ne pa citer le code européen qui fait peur : E- quelque choe. Enfin, et cela paraît un peu évident, toute ce information doivent être vraie. En Belgique par l Inpection Générale de Denrée Alimentaire qui effectue le contrôle. On et trè content de avoir tout cela, mai et-ce que cela nou donne une information claire ur no beoin nutritionnel? A moin d être un lecteur d étiquette averti, il et trè probable que non. C et le problème que le CRIOC ouhaite mettre en lumière dan on guide De étiquette facile à décoder 1. C et une de revendication de Equipe Populaire : que le conommateur oient clairement informé de contenu de denrée qu il achètent. 1. Je vou renvoie à on ite internet : 8 Contrate Novembre-Decembre 2004
5 doier Comprendre le label Meilleur pour l environnement, meilleur pour la anté, appellation d origine contrôlée... Quotidiennement, label et logo de toute orte nou vantent le mille et une qualité de produit que nou mangeon. Dan cette jungle d étiquette colorée, le conommateur ne ait pa toujour qui ou que croire. S agit-il d un proceu d agrément officiel ou d une initiative privée parfoi urfaite?... Trop ouvent, le conommateur n a d autre choix que de faire confiance aux étiquette, logo et pictogramme garniant le produit convoité. Un critère de qualité Pictogramme Emballage ou produit recyclable, ou contitué de matériaux recyclé. Démarche volontaire, et le contrôle ont difficile, voire même inexitant. C et dan le ecteur de l alimentation que le conommateur fait le plu appel aux igne de qualité. Selon une enquête réaliée par le CRIOC, un conommateur ur troi etime que la préence d un label ou d une certification et un critère important dan la élection d un produit (qu il oit alimentaire ou non). Le différente crie alimentaire que nou avon vécue ce dernière année, ont bien entendu fortement contribué au développement de aliment «labellié». C et principalement dan le ca de filière de production longue, où le produit ubient de nombreux déplacement, manipulation et tranformation que la demande d information fiable et la plu préente. (Exemple : la viande). Le ytème de label et baé ur un cahier de charge comprenant une érie de condition et procédure devant être repectée. Ce règle comprennent la production mai également la tranformation et le commerce. Producteur et commerçant engagent à repecter le obligation incrite dan le cahier de charge. Habituellement attribué par de organime du ecteur privé, le label ne bénéficient généralement Indique uniquement la participation financière de l entreprie à un ytème global de tri, collecte élective et recyclage de déchet d emballage ménager. pa d agrément officiel. A boire et à manger Il exite différente catégorie de label : Le label de certification e rapporte eentiellement aux ecteur de la production. Il garantit un certain proceu d élevage et de production agricole. Le label de qualité informe ur de qualité obervable. Le label d origine géographique garantit la provenance du produit. Il et parfoi combiné avec de critère de qualité. Le label biologique fait appel à de méthode de production écologique, banniant l uage de produit de forçage, hormone, peticide, engrai chimique... Le label éthique a pour but non pa d attirer l attention ur la qualité du produit mai de garantir un jute prix aux producteur du Tier Monde par exemple. Il ont créé par de ONG et propoé aux entreprie garantiant de relation équitable avec le producteur et le conommateur (un exemple : Max Havelaar). Il ne faut cependant pa accorder une confiance aveugle à tou le label. D abord parce que l abence de label ur un produit ne ignifie pa qu il et an garantie. Enuite parce que la préence de celui-ci ur un produit ne veut pa néceairement dire qu il agit d un bon produit (parfoi il ne porte que ur une qualité environnementale, garantie uniquement par le fabricant). Par ailleur, certain label n offrent rien de plu par rapport aux norme obligatoire de production. On comprend mieux la confuion que peut produire une telle diverité d information dan l eprit du conommateur. Patrick Doulié Source : lettre de l écoconommation n 22. Etiquetage obligatoire Étiquetage (parfoi ou forme graphique) qui e trouve ur le produit en vertu d une loi, donc obligatoire et non ur bae volontaire. Il et contrôlé par le pouvoir public. Le produit et écotaxé. Le produit et exonéré d écotaxe. Le produit et exempté d écotaxe car il et conigné. Contrate Novembre-Decembre
6 d oier De label à la pelle Le label ont préent ur preque tou le produit que nou acheton. Il ont cené nou apporter une information upplémentaire, mai ont parfoi trompeur Claification de label le plu utilié. Produit iu de l agriculture biologique, c et-àdire elon un procédé détaillé par un cahier de charge trict Label officiel Il reconnaient la qualité environnementale de produit, ont géré par le autorité publique et contrôlé par de organime externe et indépendant. Seul le producteur qui le ouhaitent propoent leur produit à la labelliation (donc un ytème volontaire ). Label privé individuel contrôlé Ce label de qualité écologique ont créé par un fabricant ou un ditributeur mai contrôlé par un organime externe et indépendant. Produit qui répondent à de critère de qualité établi par Carrefour portant principalement ur la traçabilité mai aui ur la qualité de produit. Ne dépae en général pa le obligation légale. Le produit répond à de critère environnementaux fixé au niveau européen. Produit oumi à un contrôle trict depui leur origine (traçabilité). Ce label met en valeur un label pécifique (Biogarantie, Meritu, ) ou un produit répondant à un cahier de charge établi par Delhaize Label privé collectif Ce label de qualité environnementale ont initié par un organe indépendant du fabricant. Le contrôle ont effectué par de organime externe, indépendant et généralement accrédité. Il agit de ytème volontaire. Produit iu de l agriculture biologique. Produit iu de l agriculture biologique et l agriculteur ou l éleveur repecte la charte de Nature et Progrè favoriant le lien producteur/conommateur et définiant le type de relation commerciale. Fruit cultivé en culture intégrée : utiliation raionnée de peticide. Produit iu de l agriculture wallonne, préentant une qualité différenciée définie par le autorité publique régionale. Il n et pa encore attribué, mai e met progreivement en place. Répond aux critère internationaux du commerce équitable ur le condition de production, le prix et certain critère environnementaux. Label privé individuel non contrôlé Source : Logo, Label, Pictogramme, Comment y retrouver?, CRIOC, 2 ème édition. Brochure gratuite diponible (081/ ) ou conultable ur le ite Ce label de qualité écologique ont créé par un fabricant ou un ditributeur et relèvent de leur eule reponabilité. Il n y a pa de contrôle externe et indépendant. Green Line et le nom d un programme d action de Colruyt, qui et doté d une politique de développement durable 10 Contrate Novembre-Decembre 2004
7 doier Qualité... Mai laquelle? Le ouci de qualité telle que nou la concevon aujourd hui et une invention relativement nouvelle. Un regard parmi d autre ur l évolution de cette préoccupation. Si l on retourne voir dan no propre archive, on voit que Contrate et déjà penché ur l alimentation il y a exactement cinq an. Michel Somville 1, interviewé pour l occaion, identifiait troi objectif pour l action politique. Il parlait de retaurer une alimentation de qualité, de redonner confiance aux conommateur et enfin d aurer la pérennité de nouvelle filière agro-alimentaire. Ce objectif étaient défini en pleine crie de la dioxine, qui a fait trembler ur e bae tout notre ytème d alimentation. On trouvait déjà dan ce propo l equie de ce que nou pourrion appeler la troiième ère de l hitoire alimentaire récente. Alimentation en quantité Aprè la econde guerre mondiale, la recontruction de l Europe était un enjeu important. La place de l alimentation était primordiale : il fallait trouver un moyen pour produire plu ur no terre diponible, afin de nourrir tout le monde. Le agronome ont donc réalié un énorme travail ur la productivité de culture : c et-à-dire qu on a réui à produire plu ur une même urface : on e trouve dan la première période analyée ici. Plu tard, lorque cette quetion a été uffiamment bien gérée, le génie biologique et penché ur la quetion de la diminution de coût de production, qui n ont effectivement ceé de chuter, grâce à l augmentation de la productivité et au changement de point de vue ur l alimentation. On éloigne de plu en plu de la nature pour produire plu. La méconnaiance de conéquence notamment en matière environnementale ou de anté publique (réidu, ) parallèlement à une amélioration de l hygiène ont donné une qualité hybride : on trouve en quantité de aliment dont l hygiène et mieux contrôlée, mai dont le qualité intrinèque ont parfoi diminué (moin de vitamine, plu de réidu ) De la qualité Dan la fin de année nonante, à caue de ce qui a été nommé «le crie alimentaire», le citoyen moyennement informé a pri concience du fait que l hygiène (maîtrier le bactérie) ne fait pa tout, et que la diminution de coût a entraîné de aberration quant à la qualité du produit fini (par exemple, l uage de farine animale était tout à fait anodin avant ledite crie). On commence à ditinguer la qualité anitaire (qui a bien ûr augmenté) de la qualité intrinèque dont on découvre qu elle n et pa an danger pour l humain. Le citoyen e poent de quetion, et exigent que leur alimentation oit de qualité, c et-à-dire à cette époque, exempte de dioxine, de réidu de peticide, etc. C et le début de la deuxième ère alimentaire : la anté et l environnement deviennent un facteur de choix dan l alimentation, reflétant une orientation de la ociété toute entière, et ce n et pa un haard i Ecolo a fait un i bon core électoral en De qualité! Enfin, depui peu, une nouvelle attitude voit le jour, de manière encore peu marquée. On entre tout doucement dan la troiième ère alimentaire. On parle toujour de qualité, mai alor qu au préalable on la définiait négativement (an ceci ou an cela), on la définit de plu en plu comme ayant certain attribut. Ceci a notamment pour conéquence d ouvrir de nouveaux créneaux ur le marché. Le développement du marché bio ne repréente qu une part de celui-ci : le alicament et autre complément naturel font leur apparition auprè du grand public. Tout ce qui porte le nom de naturel et crédité d une confiance an faille, allant même juqu à la confuion entre le nom et le label. Pour exemple, Danone qui propoe un yaourt nommé BIO, qui n et en rien un produit iu de l agriculture biologique. Ou encore, le huile eentielle qui ont perçue comme bonne puique naturelle. Or, certaine d entre elle ont hautement toxique à l ingetion On voit donc qu il y a confuion entre le genre. On en demande toujour plu à l alimentation, ce qui va dan le en de certain produit qui nou promettent mont et merveille, parfoi à grand renfort de publicité. Un autre marché mondial En même temp, une autre idée de l alimentation e développe, plu proche de la nature, mai pour d autre raion : le développement durable 2 fait on chemin. On ne peut pa continuer à conommer indéfiniment. Aini, de mouvement de conommateur ouhaitent retier le lien avec le producteur. Il redécouvrent aini la réalité qui et la ienne : on ne peut pa produire un aliment de qualité en repectant l environnement tout en le vendant au prix du marché traditionnel. Cette prie de concience e développe en parallèle avec le ouci grandiant Raak Contrate Novembre-Decembre
8 d oier de agriculteur qui veulent préerver leur outil de travail (la terre) mai qui ne peuvent pa recevoir un revenu digne de leur travail vu le condition du marché. Ce moment et concomitant avec le développement de nouveaux marché promouvant le circuit court entre producteur et conommateur qui rappelon-le, retent marginaux (Groupe d Achat, achat à la ferme, etc). Le EP ur le terrain de l alimentation Notre conommation alimentaire et loin d être durable, mai encore moin équitable. Le belge moyen mange trop de viande, au point de nuire à a anté. De plu, pour produire 100 calorie en viande, l animal mangé a dû ingérer en moyenne 700 calorie en céréale. Que voilà un rapport peu logique. Mai en plu, ce céréale ont trè ouvent importée de pay du tier-monde, là où le prix ont le plu ba, mai aui où la malnutrition et la ou-nutrition ont le plu importante. No vache mangent le céréale que le humain pourraient manger. Ce grande production e font en général au détriment de culture vivrière (pour manger quotidiennement), comme l analye la Plate-Forme pour la Souveraineté Alimentaire 3. Mai pourquoi diable ce pay continuent-il à produire de aliment dont il avent qu il erviront à nourrir le vache de riche plutôt qu eux-même, an apporter le revenu uffiant pour vivre? Notamment parce que le organe internationaux (FMI, Banque Mondiale, ) pouent le producteur de pay pauvre à cultiver de produit à exporter (notamment pour amener de devie étrangère dan le pay). Ce problème et encore aggravé par le dumping, c et-à-dire le aide financière donnée aux producteur du Nord pour écouler leur produit dan le Sud à de prix inférieur au marché local. Le Equipe Populaire ont active dan le domaine de l alimentation, et mettent en œuvre dan leur travail quotidien le revendication que le mouvement et donné. Ce revendication ont : - Garantir le droit à l information par un étiquetage adéquat, liible et compréhenible de donnée nutritionnelle mai urtout de la compoition et de l origine de ingrédient. - Mettre en œuvre de campagne d information ur le rapport entre l alimentation et la anté qui permettent de modifier le chéma culturel alimentaire de la population, particulièrement auprè de jeune. C et un travail qui e retrouve notamment dan la création de groupe d achat commun (Huy, Vervier, Charleroi), dan la réflexion ur le étiquetage, dan le travail ur la tranparence de prix alimentaire et la jute rétribution du producteur (Liège et Vervier) ou encore dan l invetiement de Equipe Populaire dan l action Chef D œuvre en Péril (Liège), ou forme de enibiliation et pétition detinée à attirer l attention ur le règle d hygiène impoée pour le produit fermier, et qui aura pour conéquence de nombreue faillite de petit producteur. Pour toute information ur ce campagne, n héitez pa à contacter Cécile Cornet au 085/ ou Françoie Caudron 04/ Raak Comme nou le contaton, l alimentation ne e limite pa à une aiette, à de apport calorique, ni même à la convivialité d un repa de fête. Elle implique de choix de ociété qui ont une répercuion mondiale. Pourquoi conommon-nou de manière aui peu durable? Deux raion principale ont à noter : tout d abord le manque de revenu. On contate que le prix e dualient : le poulet à 2 le kilo voiine au rayon avec le poulet à 10 le kilo, avec toute le variante poible. Mai peut-on e contenter de contater la dualiation de prix? Et-il équitable que le revenu définie la qualité de l alimentation? Deuxième raion : un manque de enibiliation du conommateur. Si le choix de l alimentation doit lui être laié, il doit être le fruit d un acte réfléchi et critique, et ne pa être conditionné uniquement par la groeur du portefeuille. Retournon le problème : pourquoi le conommateur doit-il payer pour obtenir un produit qui n offre même pa toute le garantie? Et comment accepter qu un produit légal ou toute le couture puie préenter de vice de qualité? Revendication En tant que mouvement populaire, nou refuon que le revenu définie la qualité de l alimentation diponible, même i ce ne ont pa néceairement le peronne ayant un faible revenu qui conomment le aliment de moin bonne qualité, bien ûr. Un faible revenu n et pa un obtacle à l alimentation de qualité, mai ce erait an compter l apect ocial de l alimentation, l impact de la publicité, etc Et c et d autant plu intéreant de faire ce contat que nou ne omme pa dan une fatalité de revenu, mai bien dan un choix ouvent librement conenti. C et pour cela qu il faut aui réclamer une meilleure qualité intrinèque de produit. Le Equipe Populaire e poitionnent réolument dan une dynamique de meilleure éducation à l alimentation. Il exite de alternative pour manger moin cher, par exemple en mangeant moin de viande ou en utiliant de légume peu valorié. Se rendre critique, olidaire de producteur (ce ne ont pa le petite ferme qui font le meilleur bénéfice) et olidaire de faible revenu : ne pa accepter la dualiation de l alimentation. Car même i manger ne e réume certainement pa à aborber de calorie, rien ne ert de conommer autant, il faut conommer mieux! Cécile Cornet 1. Michel Somville et membre du CEFE (centre d étude et de formation en écologie) 2. Développement durable : qui tient compte de critère économique, mai aui ociaux et environnementaux. 3. Souveraineté alimentaire et organiation mondiale du commerce, un doier de la Plate-Forme pour la Souveraineté Alimentaire, diponible au CNCD. 12 Contrate Novembre-Decembre 2004
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