/H FRPPLVVDLUH 6ROEHV SUpVHQWH /pfrqrplh GH O8QLRQELODQGH

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "/H FRPPLVVDLUH 6ROEHV SUpVHQWH /pfrqrplh GH O8QLRQELODQGH"

Transcription

1 ,3 Bruxelles, le 29 novembre 2000 /H FRPPLVVDLUH 6ROEHV SUpVHQWH /pfrqrplh GH O8QLRQELODQGH &RPPH OpFRQRPLH GH O8( DERUGH XQH SpULRGH LPSRUWDQWH SDU OHV WUDQVIRUPDWLRQVUDGLFDOHVTXLYRQWVRSpUHUOHWKqPHPDMHXUGH/pFRQRPLH GH O8QLRQ ELODQ GH HVW FHWWH DQQpH OD YLDELOLWp GH OD FURLVVDQFH pfrqrpltxh j PR\HQ WHUPH 6XU OD EDVH GHV SUpYLVLRQV GDXWRPQH GH OD &RPPLVVLRQ SXEOLpHV OD VHPDLQH GHUQLqUH OH ELODQ SURFqGH j XQH DQDO\VH DSSURIRQGLH GHV SHUVSHFWLYHV HW GHV GpILV TXL VH SUpVHQWHURQW SRXU OpFRQRPLH GH O8( HQ JpQpUDO HW OD ]RQH HXUR HQ SDUWLFXOLHU,O H[DPLQH HQ RXWUH TXDWUH TXHVWLRQV FOpV TXL GHYURQW UHWHQLU ODWWHQWLRQ GHV GpFLGHXUV L OD YLDELOLWp GH OD UHSULVH GDQV OD ]RQH HXUR LL OLPSDFW GH OD QRXYHOOH pfrqrplh VXU OpFRQRPLH HXURSpHQQH LLL OD UHODWLRQ HQWUH OD FURLVVDQFH pfrqrpltxhhwodspuhqqlwpghohqylurqqhphqwhwlyodfrqyhujhqfhuphooh HWOHUDWWUDSDJHGHVUpJLRQVPRLQVGpYHORSSpHVGHO8( Lors de la présentation du rapport établi par la direction générale des Affaires économiques et financières, le commissaire Solbes a mis en lumière le fait que OD VLWXDWLRQpFRQRPLTXHGDQVO8(pWDLWODPHLOOHXUHGHSXLVXQHGpFHQQLH%LHQTXHOH UHQFKpULVVHPHQW GX SpWUROH VRLW GH QDWXUH j DIIDLEOLU TXHOTXH SHX OLPSXOVLRQ GH FURLVVDQFH ODFWLYLWp pfrqrpltxh GHYUDLW FRQWLQXHU j VH GpYHORSSHU DX U\WKPH VRXWHQX GHQYLURQ GXUDQW OHV SURFKDLQHV DQQpHV 'DQV FH FOLPDW OD SROLWLTXH pfrqrpltxhghyudlwrwuhd[phvxuodplvhhqsodfhgxqhuhsulvhvrxwhqxhgxudeoh HWWLUpHSDUODGHPDQGHLQWpULHXUH&HWWHRULHQWDWLRQ HVW LQGLVSHQVDEOH SRXUUpDOLVHU XQ WDX[ GHPSORL pohyp j PR\HQ WHUPH SRXU UDPHQHU OH WDX[ GH FK{PDJH j XQ QLYHDX DFFHSWDEOH HW SOXV JpQpUDOHPHQW SRXU FRQWULEXHU DX UppTXLOLEUDJH GHV VWUXFWXUHV LQpJDOHV GH OD GHPDQGH JOREDOH,O VHUD HVVHQWLHO GH FRQGXLUH GHV SROLWLTXHVYLVDQWjDFFURvWUHODFDSDFLWpGHSURGXFWLRQGHOpFRQRPLHGHO8(GHVRUWH TXHORIIUHSXLVVHFRQWLQXHUjVDWLVIDLUHXQHIRUWHGHPDQGHLQWpULHXUH6LOHVWYUDLTXH ODQRXYHOOHpFRQRPLHGHYUDLWFRQFRXULUjODUpDOLVDWLRQGHFHWREMHFWLIXQHXWLOLVDWLRQ DFFUXH GH OD PDLQG XYUH HW ODXJPHQWDWLRQ GH OLQYHVWLVVHPHQW MRXHURQW XQ U{OH GpWHUPLQDQW /8( SRXUUD GDXWDQW SOXV IDFLOHPHQW UHOHYHU OHV GpILV SRVpV SDU OHQYLURQQHPHQWHWOD FRQYHUJHQFH UpHOOH TXHOOH DXUD UpXVVL j VLWXHU VRQ pfrqrplh VXUXQHWUDMHFWRLUHGHFURLVVDQFHpOHYpHHWVRXWHQXH &RQGLWLRQVSURSLFHVjXQHFURLVVDQFHYLJRXUHXVHHWVRXWHQXHGDQVOD ]RQHHXUR Le bilan de 2000 se fonde sur les prévisions d'automne de la Commission, qui ont été rendues publiques la semaine dernière et dont il ressort que l'expansion économique restera vigoureuse en 2000 et au-delà. L'économie de la zone euro est entrée dans une nouvelle phase de forte croissance, avec la perspective d'une progression du PIB réel dans la zone euro d'environ 3 % au cours des deux années à venir.

2 L'expansion demeurera vive, étant donné les effets conjugués d'une évolution favorable de l'emploi, d'une confiance solide et d'un environnement extérieur propice. L'inflation de base est restée faible, reflétant à la fois la persistance de la modération salariale et l'amélioration du fonctionnement des marchés de produits et de services. Au cours des deux dernières années, la demande intérieure a été le principal moteur de la croissance économique et il est essentiel qu'elle conserve sa fermeté afin de permettre une reprise soutenue et non inflationniste. Le bilan de 2000 examine trois risques qui pourraient faire obstacle à une forte expansion économique dans la zone euro au cours des années à venir: la hausse des prix du pétrole, les déséquilibres économiques et financiers mondiaux et une croissance insuffisante du potentiel productif. - Une comparaison analytique avec les crises pétrolières précédentes donne à penser que la forte hausse des prix du pétrole ne va pas compromettre la reprise. Il est probable que son impact sur l'offre demeure modeste et que les effets sensibles de la détérioration des termes de l'échange sur la demande ne soient que transitoires, à condition de maintenir un dosage équilibré des politiques macroéconomiques. - La solidité de la demande intérieure et la forte croissance de l'emploi devraient permettre à la zone euro de faire face à un ajustement ordonné des déséquilibres économiques et financiers mondiaux qui se sont accumulés depuis plusieurs années. Une correction abrupte et désordonnée pourrait toutefois compromettre la durabilité de l'expansion dans la zone euro. Dans ce contexte, la faiblesse prolongée de l'euro est préoccupante. - Pour que la zone euro puisse enregistrer une croissance de 3 % (ou plus) sans créer des tensions inflationnistes à moyen terme, il lui faudra améliorer son potentiel productif. La mobilisation croissante de la main-d'œuvre, les perspectives favorables concernant l'investissement, et l'amélioration de la productivité rendue possible par le progrès technique dans le domaine des TIC sont autant d'éléments qui portent à considérer que la capacité de production au sein de la zone euro a augmenté et pourrait continuer dans cette voie, permettant ainsi à l'offre de suivre globalement la croissance de la demande. À la lumière de l'expérience de la fin des années 1980, où un dosage macroéconomique inapproprié avait prématurément étouffé la reprise, deux éléments suscitent des inquiétudes quant au dosage actuel et futur. Premièrement, les conditions monétaires sont restées accommodantes, le relèvement des taux d'intérêt ayant été contrebalancé par par la faiblesse persistante de l'euro. Cela risque de créer une structure de croissance déséquilibrée, dans laquelle les exportations, et non la demande intérieure, seraient la composante la plus dynamique de la demande finale. Deuxièmement, la plupart des États membres ont communiqué leur intention de procéder à des allégements fiscaux et à des réformes de leurs systèmes d'imposition en Il s'agit de réformes bienvenues, car une réduction significative de la charge fiscale est un aspect essentiel d'une stratégie économique visant à développer le potentiel de production. Néanmoins, puisque ces réductions d'impôt ne sont pas accompagnées de réformes significatives des systèmes de prestations ni de mesures de maîtrise des dépenses, elles pourraient être perçues comme étant temporaires et comme accentuant une orientation procyclique de la politique budgétaire à un moment où la croissance de la demande est déjà relativement robuste. 2

3 /HV SUHPLHUV VLJQHV GH OpPHUJHQFH GXQH QRXYHOOH pfrqrplh GDQV O8(VHPDQLIHVWHQW Ces dernières années, le dynamisme de l'économie de l'union a conduit à se demander si la reprise ne sera pas calquée sur le phénomène de "nouvelle économie" que connaissent les États-Unis depuis le milieu des années Bien que l'on ne dispose que de peu d'indices d'une pénétration des TIC caractéristiques de la "nouvelle économie" dans l'union au niveau macroéconomique, il est permis de penser que celle-ci est imminente. Les forces motrices de la croissance de productivité, constatées dans l'économie américaine, sont également à l'œuvre dans l'ue, et plus encore dans certains États membres, dont, plus particulièrement, l'irlande, la Finlande et la Suède. Les dépenses concernant les TIC augmentent régulièrement et l'exercice de chiffrage effectué dans le chapitre 3 du bilan de 2000 montre que la contribution des TIC à la croissance de la production a été d'environ 0,5 à 0,7 point pendant la seconde moitié des années Cela signifie que, du point de vue de la contribution macroéconomique des TIC au PIB, l'ue accuse un retard de près de la moitié d'une décennie sur les États-Unis. Bien que l'ue ait été distancée par les États-Unis pour le passage à la "nouvelle économie", le retard n'est pas tellement important et pourrait être rattrapé assez rapidement. À maints égards, les conditions préalables au développement de la nouvelle économie commencent à être réunies dans l'ue. Le passage progressif à une économie davantage fondée sur les services s'est accompagné d'un recours croissant aux TIC, renforçant lui-même la tendance. De plus, la pénétration des équipements TIC et leur emploi augmentent, du fait que l'acquisition d'équipements TIC à la fin de la décennie 1990 a absorbé une part des ressources de l'économie beaucoup plus importante qu'au début des années La qualification de la maind'œuvre s'est nettement améliorée au cours de deux dernières décennies. La capitalisation du marché des valeurs de haute technologie s'est sensiblement accrue et les investissements en capital-risque ont plus que triplé pendant les trois dernières années. Enfin, l'union bénéficie actuellement d'un facteur de dynamisme qui lui est propre, à savoir l'impact conjugué de la création du marché unique et de l'adoption de la monnaie unique. Pour accélérer l'adoption de nouvelles technologies, les responsables politiques doivent lever les obstacles existants et créer un environnement économique plus dynamique: encourager l'esprit d'entreprise, favoriser la concurrence, renforcer l'efficacité des marchés financiers, promouvoir des incitations en faveur de la R&D, assurer l'existence du capital humain nécessaire et d'une main-d'œuvre qualifiée et veiller à la flexibilité des marchés du travail. &URLVVDQFHpFRQRPLTXHHWSpUHQQLWpGHOHQYLURQQHPHQW Des politiques environnementales résolues ont permis de découpler dans une mesure appréciable la croissance économique et les pressions sur l'environnement. En effet, les craintes, qui ont été exprimées dans le passé, de voir le développement de l'activité économique provoquer un épuisement des ressources naturelles sont apparues non fondées. Par ailleurs, ces politiques ont permis de limiter l'intensité de pollution de la croissance. Un aspect tout à fait prioritaire de la politique de protection de l'environnement de l'union est constitué par les émissions croissantes de gaz à effet de serre et par leur impact sur les changements climatiques. 3

4 Puisque la lutte contre la pollution devient plus coûteuse, il importe d'envisager le recours à des instruments basés sur le marché, qui fixeraient un prix à la pollution ou qui comporteraient des incitations fiscales. Les instruments basés sur le marché devraient être également adoptés dans d'autres domaines où cela se justifie, notamment celui de la consommation d'énergie, car ils fournissent des moyens moins coûteux mais tout aussi efficaces d'assurer la protection de l'environnement. Une intégration appropriée des politiques économiques et environnementales au sein de l'ue est nécessaire pour assurer la complémentarité de la croissance économique et de la qualité de l'environnement. À cet égard, les politiques environnementales devraient mieux tenir compte de leur impact économique, tandis que les réformes économiques, notamment structurelles, ne devraient pas négliger les questions environnementales. Il conviendrait d'éviter les chocs perturbateurs, un gradualisme crédible étant la meilleure approche pour atteindre les objectifs économiques et environnementaux à long terme dans des conditions politiquement acceptables. &RQYHUJHQFHUpHOOHHWUDWWUDSDJHGXUHWDUGGDQVO8QLRQ Si le processus de rattrapage sur le long terme dans l'ue est clairement établi au niveau des États membres, la situation est moins nette au niveau régional. Les quatre pays de la cohésion sont parvenus à rapprocher leur revenu par habitant de la moyenne de l'ue, même si l'irlande et le Portugal ont obtenu de meilleurs résultats que l'espagne et la Grèce. Cependant les disparités régionales dans les pays de la cohésion se sont souvent accentuées, ce qui témoigne d'un arbitrage entre un fort taux de croissance nationale et une réduction des disparités interrégionales caractéristique des premiers stades du rattrapage, le processus tendant à être entraîné initialement par quelques pôles de croissance. Des études récentes sur la localisation géographique de l'activité économique dans l'ue ne confortent pas l'idée selon laquelle un renforcement de l'intégration économique contribue à accroître la spécialisation régionale et la concentration spatiale des industries. Les choses sont plus nuancées. Si un mouvement de concentration s'est produit dans les industries à forte intensité de main-d'œuvre non qualifiée en Europe méridionale, on a pu observer une dispersion dans certaines industries qui, initialement, étaient concentrées. En fait, le mouvement de concentration et de spécialisation dans l'industrie est un processus lent et cumulatif, dont l'impact sera limité par le phénomène structurel général que constitue le passage de l'industrie manufacturière aux services, et par l'importance croissante que revêtent l'accès au marché et les ressources humaines par rapport aux économies d'échelle. Les facteurs essentiels qui ont permis le processus de rattrapage sont la stabilité macroéconomique, les réformes structurelles et les dotations en équipements publics et en ressources humaines dans les régions en retard de développement. Ceci permet de tirer certaines leçons en ce qui concerne le rattrapage des pays d'europe centrale et orientale. 4

5 Ce rattrapage supposera la formulation de politiques et de conditions nationales permettant de supprimer les entraves à une allocation efficace des ressources et à leur accumulation. Il faudra par ailleurs donner la priorité aux ressources disponibles pour l'investissement public et veiller à ce qu'elles soient mises en œuvre en fonction notamment des deux grands objectifs que sont la convergence nationale et la réduction des disparités régionales, étant entendu que ce dernier devra vraisemblablement s'inscrire dans un effort à plus long terme. Le rapport sera disponible sur l'internet à l'adresse suivante : 5

0LFURVRIW&RUSRUDWLRQ7RXVGURLWVUpVHUYpV /HV LQIRUPDWLRQV FRQWHQXHV GDQV FH GRFXPHQW UHIOqWHQW OH SRLQW GH YXH GH OD VRFLpWp0LFURVRIWVXU OHVVXMHWV

0LFURVRIW&RUSRUDWLRQ7RXVGURLWVUpVHUYpV /HV LQIRUPDWLRQV FRQWHQXHV GDQV FH GRFXPHQW UHIOqWHQW OH SRLQW GH YXH GH OD VRFLpWp0LFURVRIWVXU OHVVXMHWV 0LFURVRIWVROXWLRQIRU6XSSOLHU(QDEOHPHQW &RPPHQWIDFLOLWHUO LQWpJUDWLRQGHVSDUWHQDLUHV &RPPHUFLDX[GDQVOHVpFKDQJHV%WR%" 0LFURVRIW6ROXWLRQIRU6XSSOLHU(QDEOHPHQWIDFLOLWHO LQWpJUDWLRQGHVSDUWHQDLUHV HWIRXUQLVVHXUVGHWRXWHVWDLOOHVDX[QRXYHDX[FDQDX[GHYHQWHpOHFWURQLTXHV

Plus en détail

3URSRVLWLRQ UHODWLYH j OD ILVFDOLWp GH O psdujqh TXHVWLRQVVRXYHQWSRVpHV (voir aussi IP/01/1026)

3URSRVLWLRQ UHODWLYH j OD ILVFDOLWp GH O psdujqh TXHVWLRQVVRXYHQWSRVpHV (voir aussi IP/01/1026) 0(02 Bruxelles, le 18 juillet 2001 3URSRVLWLRQ UHODWLYH j OD ILVFDOLWp GH O psdujqh TXHVWLRQVVRXYHQWSRVpHV (voir aussi IP/01/1026) 3RXUTXRL OD &RPPLVVLRQ DWHOOH SUpVHQWp FHWWH SURSRVLWLRQ PRGLILpH GH GLUHFWLYH

Plus en détail

/HV*,; *OREDO,QWHUQHWH;FKDQJH

/HV*,; *OREDO,QWHUQHWH;FKDQJH /HV*,; *OREDO,QWHUQHWH;FKDQJH +8$1*0DLUDHYD /285'5RGROSKH *, *, 6200$,5(,QWURGXFWLRQ 3UpVHQWDWLRQGHV*,; 4X HVWFHTX XQ*,;" 4XHOOHHVWO XWLOLWpG XQ*,;" +LVWRLUHGHV*,; )RQFWLRQQHPHQWHWLPSRUWDQFHGHV*,;GDQVOHVUpVHDX[,QWHUQHWOHUpVHDXGHVUpVHDX[,QWpUrWGX*,;

Plus en détail

Tarif Banque Populaire Loire et Lyonnais Ce document est une copie archivée par cbanque le 8 octobre 2014.

Tarif Banque Populaire Loire et Lyonnais Ce document est une copie archivée par cbanque le 8 octobre 2014. Tarif Banque Populaire Loire et Lyonnais Ce document est une copie archivée par cbanque le 8 octobre 2014. Voir tous les tarifs bancaires SOMMAIRE Pages EXTRAIT STANDARD DES TARIFS 4 OUVERTURE, FONCTIONNEMENT

Plus en détail

Perspectives Economiques Septembre 2015

Perspectives Economiques Septembre 2015 Perspectives Economiques Septembre 2015 Philippe WAECHTER Directeur de la Recherche Economique Compte Twitter: @phil_waechter ou http://twitter.com/phil_waechter Blog: http://philippewaechter.nam.natixis.com

Plus en détail

Guide de l approbateur de base

Guide de l approbateur de base File Routing & Collaboration Guide de l approbateur de base 5.0 V1 Date Modified 03/04/2014 Historique des révisions Date Version Description Auteur Feb. 19, 2014 1 Original Chris Olberding 2 1 re étape

Plus en détail

Etude de cas sur la politique régionale de l UE

Etude de cas sur la politique régionale de l UE Etude de cas sur la politique régionale de l UE Le développement des entreprises dans le Yorkshire et Humber Région, Royaume-Uni 1 Partie 1 - La création d'agences de développement régional en Angleterre

Plus en détail

Perspectives. Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud. Ediab Ali. que monétaire

Perspectives. Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud. Ediab Ali. que monétaire ARTICLE & ETUDE Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud Ediab Ali Le concept de la politi- Économiste que monétaire La politique monétaire est une des plus importants piliers

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 22 juin 2011 (OR. en) 11316/3/11 REV 3

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 22 juin 2011 (OR. en) 11316/3/11 REV 3 CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 22 juin 2011 (OR. en) 11316/3/11 REV 3 UEM 133 ECOFIN 353 SOC 500 COMPET 263 ENV 476 EDUC 143 RECH 179 ENER 180 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES INSTRUMENTS Objet:

Plus en détail

TIC. Panorama. L'industrie de l'information et de la communication la première industrie japonaise

TIC. Panorama. L'industrie de l'information et de la communication la première industrie japonaise TIC (Technologies de l'information et de la communication) Panorama L'industrie de l'information et de la communication la première industrie japonaise La taille du marché (en PIB réel) des technologies

Plus en détail

L'EXIGENCE D'UNE REFORME

L'EXIGENCE D'UNE REFORME REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et des Technologies de l'information et de la Communication Université de Carthage ECOLE POLYTECHNIQUE DE TUNISIE

Plus en détail

Les membres sont invités à prendre note des modifications proposées et à faire part de leurs observations éventuelles.

Les membres sont invités à prendre note des modifications proposées et à faire part de leurs observations éventuelles. COMMISSION EUROPÉENNE DG Marché intérieur INSTITUTIONS FINANCIÈRES Assurance MARKT/2519/02 FR Orig. EN Bruxelles, le 27 septembre 2002 MARKT/C2/MAAT D(2002) NOTE AUX MEMBRES DU SOUS-COMITE SOLVABILITE

Plus en détail

Résumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil?

Résumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Résumé de recherche : Affectation de crédit pour l'investissement, la stabilité et la croissance : Leçons tirées

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable

Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable COSEIL DE L'UIO EUROPÉEE Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable Conseil ÉDUCATIO, JEUESSE, CULTURE ET SPORT Bruxelles, 21 mai 2014 Le Conseil

Plus en détail

Enquête sur les perspectives des entreprises

Enquête sur les perspectives des entreprises Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,

Plus en détail

ANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015

ANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Direction de la Recherche Economique Auteur : Philippe Waechter L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Le premier point cette semaine porte sur la croissance modérée de la zone Euro au dernier

Plus en détail

Notions: déflation, récession, inflation, taux d'intérêt réel, BCE, credit crunch, taux de change

Notions: déflation, récession, inflation, taux d'intérêt réel, BCE, credit crunch, taux de change TRAVAILLER SUR UN TEXTE Faire un bilan collectif à partir d'un texte sur les acquis des chapitres sur la croissance (fluctuations et crises) et mondialisation et intégration européenne Notions: déflation,

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii

CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii Consolider les dettes publiques: un processus au long cours Les dysfonctionnements européens

Plus en détail

DES GOUVERNEMENTS DES ETATS MEMBRES Secrétariat CONF 3980/96

DES GOUVERNEMENTS DES ETATS MEMBRES Secrétariat CONF 3980/96 CONFERENCE DES REPRESENTANTS DES GOUVERNEMENTS DES ETATS MEMBRES Secrétariat CONF 3980/96 Bruxelles, l (OR.dk) LIMITE NOTE DE TRANSMISSION Objet : Protection des consommateurs Les délégations trouveront

Plus en détail

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir

Plus en détail

L'économie européenne se remet mais la reprise rencontre des risques majeurs

L'économie européenne se remet mais la reprise rencontre des risques majeurs L'économie européenne se remet mais la reprise rencontre des risques majeurs Les mesures d'austérité budgétaire prévues, ou en cours, entraînent les risques d'un nouveau déclin économique Genève, 18 janvier

Plus en détail

LIVRET FISCAL 2012 PRESSION FISCALE TOTALE FISCALITÉ DU TRAVAIL FISCALITÉ DU CAPITAL FISCALITÉ DE LA CONSOMMATION

LIVRET FISCAL 2012 PRESSION FISCALE TOTALE FISCALITÉ DU TRAVAIL FISCALITÉ DU CAPITAL FISCALITÉ DE LA CONSOMMATION LIVRET FISCAL 2012 PRESSION FISCALE TOTALE FISCALITÉ DU TRAVAIL FISCALITÉ DU CAPITAL FISCALITÉ DE LA CONSOMMATION FEB ASBL Rue Ravenstein 4, 1000 Bruxelles T + 32 2 515 08 11 F + 32 2 515 09 99 info@vbo-feb.be

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

Journal Officiel de la République Tunisienne - 29 Avril 1994

Journal Officiel de la République Tunisienne - 29 Avril 1994 N de position tarifaire Ex 96-18 Désignation des équipements - Tremplin - Mouton - Poutre d'équilibre - Barre fixe - Barres parallèles - Barre asymétriques - Cheval sautoir - Plinths - Champignon - Paires

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations

Plus en détail

Note de présentation générale. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Note de présentation générale. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 25 novembre 2009 à 9 h 30 «Préparation du rapport de janvier 2010 : Simulations de régimes en points et en comptes notionnels» Document N 1 Document

Plus en détail

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble

Plus en détail

Programme «Société et Avenir»

Programme «Société et Avenir» Programme «Société et Avenir» Rapport final volet «Synthèse de recherche» 1 CONTRAT DE RECHERCHE : TA/00/23 ACRONYME DU PROJET : REFBARIN TITRE : «RÉFORME DU MARCHÉ DES BIENS ET SERVICES, NÉGOCIATION SALARIALE

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.10.2012 SWD(2012) 291 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT accompagnant la proposition de règlement du Parlement européen

Plus en détail

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable

Plus en détail

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.

Plus en détail

Comité monétaire et financier international

Comité monétaire et financier international Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon

Plus en détail

Notice d'exploitation

Notice d'exploitation Notice d'exploitation Equipement de Contrôle et de Signalisation incendie ECS 80-4 ECS 80-4 C ECS 80-8 ECS 80-8 C Sommaire Introduction...3 Maintenance...4 Commandes et signalisations utilisateur...6 Commandes...7

Plus en détail

Discours de M. Christian NOYER Gouverneur de la Banque de France Bucarest, 2 septembre 2005

Discours de M. Christian NOYER Gouverneur de la Banque de France Bucarest, 2 septembre 2005 Discours de M. Christian NOYER Gouverneur de la Banque de France Bucarest, 2 septembre 2005 L EURO : UNE MONNAIE STABLE AU SERVICE D UNE ÉCONOMIE DYNAMIQUE Monsieur le Gouverneur, Monsieur le Ministre,

Plus en détail

41/128 Déclaration sur le droit au développement

41/128 Déclaration sur le droit au développement 41/128 Déclaration sur le droit au développement L'Assemblée générale, Ayant à l'esprit les buts et principes de la Charte des Nations Unies relatifs à la réalisation de la coopération internationale en

Plus en détail

Déclaration sur le droit au développement

Déclaration sur le droit au développement Déclaration sur le droit au développement Adoptée par l'assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution 41/128 du 4 décembre 1986 L'Assemblée générale, Ayant à l'esprit les buts et principes de

Plus en détail

Un plan d'investissement pour l'europe

Un plan d'investissement pour l'europe Un plan d'investissement pour l'europe Le «triangle vertueux» INVESTISSEMENT RÉFORMES STRUCTURELLES RESPONSABILITÉ BUDGÉTAIRE 1 Un plan d'investissement pour l'europe MOBILISATION DE FINANCEMENTS POUR

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

2014-2015 DS n 3 Chap 1-2h. Épreuve composée

2014-2015 DS n 3 Chap 1-2h. Épreuve composée Épreuve composée Pour la partie 3 (Raisonnement s appuyant sur un dossier documentaire), il est demandé au candidat de traiter le sujet : en développant un raisonnement ; en exploitant les documents du

Plus en détail

Quels sont les grands déséquilibres macroéconomiques? Durée : maximum 4h30

Quels sont les grands déséquilibres macroéconomiques? Durée : maximum 4h30 Quels sont les grands déséquilibres macroéconomiques? Durée : maximum 4h30 Raphaël Pradeau (Académie de Nice) et Julien Scolaro (Académie de Poitiers) Programme : NOTIONS : Demande globale, inflation,

Plus en détail

Comment détecter les risques psychosociaux en entreprise?

Comment détecter les risques psychosociaux en entreprise? Pourquoi identifier les risques psychosociaux en entreprise? Pour respecter l obligation de préserver la santé des salariés. Pour diminuer les accidents du travail, les maladies professionnelles, l absentéisme

Plus en détail

Une réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne

Une réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne Une réussite : Les prix de rachat garantis soutiennent les énergies renouvelables en Allemagne Ce document illustrera comment cette réussite est arrivée, il est composé des parties suivantes : 1. Qu'est

Plus en détail

Un cadre d action pour une croissance verte

Un cadre d action pour une croissance verte Nathalie Girouard est coordinatrice de la Stratégie croissance verte de l OCDE, et membre du Conseil économique pour le développement durable (CEDD). Un cadre d action pour une croissance verte Un cadre

Plus en détail

Les mécanismes de transmission de la politique monétaire

Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments

Plus en détail

Paris Europlace, Forum financier international à Tokyo 27 novembre 2007 --------------------------- «Mondialisation des marchés financiers»

Paris Europlace, Forum financier international à Tokyo 27 novembre 2007 --------------------------- «Mondialisation des marchés financiers» Paris Europlace, Forum financier international à Tokyo 27 novembre 2007 --------------------------- «Mondialisation des marchés financiers» Discours de Christian Noyer Gouverneur de la Banque de France

Plus en détail

8WLOLWpGpPRFUDWLHGpYHORSSHPHQWUHVVRXUFHV

8WLOLWpGpPRFUDWLHGpYHORSSHPHQWUHVVRXUFHV &2//Ê*(&223e5$7,)(1%5(7$*1( )2580'(35,17(036 -RXUQpHVGHOpFRQRPLHVRFLDOHHWVROLGDLUHGXSD\VGH5HQQHV (&2120,(62&,$/((762/,'$,5( 8WLOLWpGpPRFUDWLHGpYHORSSHPHQWUHVVRXUFHV ANNEE 2003 Recueil des communications

Plus en détail

Faut-il encourager les ménages à épargner?

Faut-il encourager les ménages à épargner? Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

5(/$7,) $/$'0,66,21$8;1(*2&,$7,216 685/ (852/,67' (8521(;73$5,66$ 685&2175$7$7(50(6853(752/(%587 %5(17ª %133$5,%$6$5%,75$*(61&

5(/$7,) $/$'0,66,21$8;1(*2&,$7,216 685/ (852/,67' (8521(;73$5,66$ 685&2175$7$7(50(6853(752/(%587 %5(17ª %133$5,%$6$5%,75$*(61& '2&80(17&203/(0(17$,5( En date du 31 mars 2005 %133$5,%$6$5%,75$*(,668$1&(%9 '2&80(17&203/(0(17$,5( 5(/$7,) $/$'0,66,21$8;1(*2&,$7,216 685/ (852/,67' (8521(;73$5,66$ '(%216'237,21 685&2175$7$7(50(6853(752/(%587

Plus en détail

UK Trade & Investment

UK Trade & Investment UK Trade & Investment Présentation avril 2011 Le Royaume-Uni et l Irlande à votre portée Un excellent dossier pour attirer les investissements directs à l'étranger Le «stock» cumulatif des IDE du R.-U.

Plus en détail

Le FMI et son rôle en Afrique

Le FMI et son rôle en Afrique Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle

Plus en détail

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude: RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les

Plus en détail

L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3)

L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3) L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3) Lors d'une précédente analyse, nous avions présenté deux outils d'appel public à l'épargne qui bénéficient d'un régime légal favorable

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

RAPPORT SUR LA STABILITÉ FINANCIÈRE DANS LE MONDE Avril 2015

RAPPORT SUR LA STABILITÉ FINANCIÈRE DANS LE MONDE Avril 2015 RAPPORT SUR LA STABILITÉ FINANCIÈRE DANS LE MONDE Avril 2015 RÉSUMÉ ANALYTIQUE Les chocs macroéconomiques mettent de nouveau à l épreuve les marchés mondiaux Durant ces six derniers mois, les événements

Plus en détail

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts

France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts Philippe Waechter Directeur de la recherche économique de Natixis AM L a dynamique de l'économie française est-elle franchement différente de celle

Plus en détail

la quête du Graal? Michel Aglietta Université Paris Ouest et Cepii

la quête du Graal? Michel Aglietta Université Paris Ouest et Cepii Finances publiques et croissance : la quête du Graal? Michel Aglietta Université Paris Ouest et Cepii Piège de croissance et impuissance de la politique économique 2 Pourquoi la crise est-elle plus grave

Plus en détail

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur. INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES

Plus en détail

Fiche d information 3 OÙ IRA L ARGENT?

Fiche d information 3 OÙ IRA L ARGENT? Fiche d information 3 OÙ IRA L ARGENT? Le plan d investissement pour l Europe sera constitué d un ensemble de mesures visant à libérer au moins 315 milliards d euros d investissements publics et privés

Plus en détail

Analyses Économiques 24 Janv. 2004

Analyses Économiques 24 Janv. 2004 DP N Analyses Économiques Janv. Une comparaison du comportement récent de la Réserve Fédérale et de la Banque Centrale Européenne Depuis, la politique monétaire semble avoir été plus accommodante aux Etats-Unis

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

Le pilotage et les outils du développement durable

Le pilotage et les outils du développement durable Le pilotage et les outils du développement durable ANCI Création mars 2010 PRESENTATION DU GROUPE Les 4 engagements Présentation du Groupe PRESENTATION DU GROUPE Les 4 engagements 4 engagements prioritaires

Plus en détail

5DSSRUWILQDO. 0LQLVWqUHGX/RJHPHQW 3ODQ&RQVWUXFWLRQHW$UFKLWHFWXUH 6,* &$2'$2 9HUVGHV6\VWqPHV G,QIRUPDWLRQGX 3DWULPRLQH

5DSSRUWILQDO. 0LQLVWqUHGX/RJHPHQW 3ODQ&RQVWUXFWLRQHW$UFKLWHFWXUH 6,* &$2'$2 9HUVGHV6\VWqPHV G,QIRUPDWLRQGX 3DWULPRLQH 0LQLVWqUHGX/RJHPHQW 3ODQ&RQVWUXFWLRQHW$UFKLWHFWXUH 6,* &$2'$2 9HUVGHV6\VWqPHV G,QIRUPDWLRQGX 3DWULPRLQH 5DSSRUWILQDO SIAGE - MIDIVALEUR INSA LYON - LABEO Composition de l'équipe 6,$*( (Mandataire commun)

Plus en détail

LA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT. Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec

LA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT. Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec LA SURVEILLANCE ET LE SUIVI DE L'ENVIRONNEMENT Pierre Guimont Conseiller en environnement Unité Environnement Division Équipement, Hydro-Québec Introduction L'un des principes directeurs de la politique

Plus en détail

MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE MEM. Avril 2014

MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE MEM. Avril 2014 MONITEUR DE LA BRANCHE INDUSTRIE Avril 2014 Éditeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Esteban Lanter Max Künnemann Adresse BAK Basel Economics AG Güterstrasse 82 CH-4053 Basel T +41 61 279 97 00 F +41

Plus en détail

Membre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services

Membre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services SPEECH/13/XXX Michel BARNIER Membre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services Dématérialisation de la commande publique : un levier de modernisation de l administration publique

Plus en détail

ÉCONOMIE THÈME 3: MONDIALISATION, FINANCE INTERNATIONALE ET INTÉGRATION EUROPÉENNE

ÉCONOMIE THÈME 3: MONDIALISATION, FINANCE INTERNATIONALE ET INTÉGRATION EUROPÉENNE ÉCONOMIE THÈME 3: MONDIALISATION, FINANCE INTERNATIONALE ET INTÉGRATION EUROPÉENNE Partie 3: Quelle est la place de l'union Européenne dans l'économie globale? Être capable de définir Notions à acquérir

Plus en détail

ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS

ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 9 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Plus en détail

Roussillon. L Édit. orial. NM a r s 02 0 31 5 Santé : «Espace vivre et bien vivre» des professionnels de santé à votre service

Roussillon. L Édit. orial. NM a r s 02 0 31 5 Santé : «Espace vivre et bien vivre» des professionnels de santé à votre service NM a r s 02 0 31 5 Santé : «Espace vivre et bien vivre» des professionnels de santé à votre service p. 5 Découvrons la caserne des pompiers p. 8 Ensemble, dessinons la Ville de demain p.17 orial L Édit

Plus en détail

LA FISCALITE ENVIRONNEMENTALE EN BELGIQUE

LA FISCALITE ENVIRONNEMENTALE EN BELGIQUE LA FISCALITE ENVIRONNEMENTALE EN BELGIQUE Vincent Sepulchre ( p. V s u larcier Table des matières Introduction. Les moyens et objectifs de la fiscalité environnementale 5 PARTIE I Les différents instruments

Plus en détail

Moniteur des branches Industrie MEM

Moniteur des branches Industrie MEM Moniteur des branches Industrie MEM Octobre 2014 Editeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Traduction Anne Fritsch, Verbanet GmbH, www.verbanet.ch Le texte allemand fait foi Adresse BAK Basel Economics

Plus en détail

Avec Gaël Callonnec (Ademe)

Avec Gaël Callonnec (Ademe) Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du

Plus en détail

Quepeut-ondiredelavolatilitédel euro?

Quepeut-ondiredelavolatilitédel euro? Virginie Coudert avril 2000 Quepeut-ondiredelavolatilitédel euro? Contribution au rapport du CNCT 2000 La création de l'euro et la disparition des monnaies sous-jacentes ont profondément modifié la structure

Plus en détail

Les économies française et allemande : un destin lié, des stratégies à rapprocher

Les économies française et allemande : un destin lié, des stratégies à rapprocher Les économies française et allemande : un destin lié, des stratégies à rapprocher Auteur : Jean-François Jamet, ancien élève de l Ecole Normale Supérieure et de l Université Harvard, est économiste et

Plus en détail

La fiscalité des revenus de l épargne

La fiscalité des revenus de l épargne CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Réunion plénière du 12 septembre 2002 «Retraite par répartition et compléments de retraite» Document n 9 La fiscalité des revenus de l épargne Conclusion du rapport

Plus en détail

Relocaliser la production industrielle, est-ce possible? Le retour du Made In France

Relocaliser la production industrielle, est-ce possible? Le retour du Made In France Relocaliser la production industrielle, est-ce possible? Le retour du Made In France Cycle Innovation & Connaissance 54 petit déjeuner Pr. Jacques COLIN 22 janvier 8h30-10h Grasse Animatrice : Valérie

Plus en détail

Crises financières et de la dette

Crises financières et de la dette Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières

Plus en détail

A. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT

A. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIERE D'AIDES D'ETAT Tableau de correspondance entre l'ancienne et la nouvelle numérotation des articles suite à l'entrée

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions 27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que

Plus en détail

Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?

Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de

Plus en détail

Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL

Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 12.9.2012 COM(2012) 512 final 2012/0244 (COD) Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL modifiant le règlement (UE) n 1093/2010 instituant une Autorité

Plus en détail

L assurance française : le bilan de l année 2012

L assurance française : le bilan de l année 2012 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance

Plus en détail

LES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :

LES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques : LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en

Plus en détail

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident

Plus en détail

Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe

Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe Page 1 NOTE DE SYNTHESE N 24 Réalisée par Djenno Ngoua Melissa Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe Le Traité d Abuja instituant en 1991 la Communauté

Plus en détail