Avantages du scannoguidage des infiltrations lombaires dans le traitement de la lombosciatique commune.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Avantages du scannoguidage des infiltrations lombaires dans le traitement de la lombosciatique commune."

Transcription

1 32 Disponible en ligne sur Avantages du scannoguidage des infiltrations lombaires dans le traitement de la lombosciatique commune. Benefits of CT-guided lumbar infiltration in the treatment of common sciatica. Sami Kouki 1, Leila Metoui 2, Khaoula Chemek 2, Rim Dhahri 2, Imen Gharssalah 2 1 Service de radiologie, Hôpital Militaire Principal d instruction de Tunis, 1008 Montfleury - Tunisie. 2 Service de médecine interne, Hôpital Militaire Principal d instruction de Tunis, 1008 Montfleury - Tunisie. Rev Mar Rhum 2014; 29: 32-6 Résumé Objectifs : Le but du travail est de démontrer les avantages du scannoguidage dans les infiltrations épidurales de corticoïdes dans les lomboradiculalgies par hernie discale résistantes au traitement médical. Patients et méthodes : C est une étude prospective comparative portant sur deux groupes de 20 patients chacun,34 hommes et 6 femmes, de 38.1 ans d âge moyen. G1 est le groupe ayant eu une infiltration épidurale scanno-guidée. G2 est le groupe dont l infiltration a été réalisée à l aveugle. L évaluation des résultats a été faite de manière comparative de la douleur à l aide de l échelle visuelle analogique (EVA), et l incapacité fonctionnelle en utilisant moyennant l Oswestry Disability Index (ODI) à J0, J7 et J90. Résultats : À J7, l EVA lombaire et radiculaire a baissé de 50% dans les deux groupes. 30% de G1 et 10% de G2 ont leur ODI< 30% à J7. A J90, on note la ré-ascension de la moyenne de l EVA lombaire dans le G2 comparée au G1 dont l EVA lombaire et radiculaire continue à s améliorer. L ODI a une valeur significative à J90 dans 40% de G1 et dans 10% de G2. Conclusion : Les infiltrations rachidiennes scannoguidées ont montré leur supériorité dans le soulagement de la douleur et l amélioration de la capacité fonctionnelle à moyen terme. Mots clés : Lomboradiculalgie; Infiltration; Hernie discale; Scannoguidage; Espace épidural. Abstract Objective : The aim of this study was to evaluate the efficacy of CT-guided epidural corticosteroid infiltration in treating low back pain by lumbar disc herniation when pharmacological treatment fails. Methods : AThis is a prospective comparative study of two groups of 20 patients each, 34 men and 6 women, 38.1 years on average. G1 is the group who had CT-guided epidural corticosteroid infiltration. G2 is the group that the infiltration was performed blindly. The evaluation of results was done on a comparative basis of pain using a visual analog scale (VAS), and functional disability using the Oswestry Disability Index (ODI) at D0, D7 and D90. Results : At D 7, the lumbar and radicular VAS fell 50% in both groups. 30% of G1 and 10% of G2 have their ODI <30% at day 7. At D90, there is the re-ascension of the lumbar VAS in G2 compared to G1 whose lumbar and radicular VAS continues to improve. ODI has significant value at J90 in 40% of G1 and in 10% of G2. Conclusion : Serial CT-guided spinal infiltration has shown their superiority in relieving pain and improving functional capacity in the medium term. Key words : Lumbar radicular pain; Disc herniation; CT; Guided epidural infiltration; epidural space. La lombosciatique commune représente une des principales causes d absentéisme et d arrêt de travail du fait du handicap et de l intensité de douleur qu elle entraine. Son traitement médical repose sur des mesures physiques et pharmacologiques y compris les infiltrations péridurales de corticoïdes. En effet, dans une enquête d opinion auprès de 84 services de rhumatologie français, les infiltrations de corticoïde font partie du traitement médical de base de la lombosciatique pour 65% des médecins interrogés(1). La technique d infiltration est sujet de controverse: ces dernières années de nombreux travaux se sont intéressé à comparer l efficacité et la durée de l effet antalgique des injections effectuées à l aveugle à celles réalisées sous guidage scannographique. Nous proposons d étaler les résultats de notre travail à ce sujet. Correspondance à adresser à : Dr S. Kouki koukisemi@yahoo.fr

2 Avantages du scannoguidage des infiltrations lombaires dans le traitement de la lombosciatique commune. 33 PATIENTS ET METHODES Nous avons réalisé une étude prospective ouverte sur 18 mois incluant 40 patients reçus dans le service de médecine interne de l hôpital militaire principal de Tunis pour infiltration rachidienne épidurale. Nous avons inclus tous les patients ayant une lomboradiculalgie mono radiculaire consécutive à un conflit radiculaire par hernie discale confirmée par une imagerie en coupes récente, soit une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Ces douleurs résistent obligatoirement au traitement médical bien conduit et évoluent depuis plus de 4 semaines. Nous avons écarté les radiculalgies symptomatiques ou celles relevant d un traitement chirurgical urgent ainsi que tous les patients présentant une contre-indication au geste. Nos patients étaient répartis en deux groupes de 20. Pour le premier groupe (G1), des infiltrations épidurales lombaires scannoguidées ont été réalisées (figure1) par un même radiologue habitué à ce geste. Chez le deuxième groupe (G2) des infiltrations rachidiennes à l aveugle ont été réalisées par un même rhumatologue habitué à ce geste. Nous avons recueillis les données inhérentes au statut socio-économique du patient, ses antécédents médico-chirurgicaux, la notion d allergie ainsi que les caractéristiques des doléances, les traitements reçus et les données de l examen physique. Pour chaque patient, il a été demandé, le jour de l infiltration et avant le geste, à j 7 et à j 90 de donner une cotation de sa radiculalgie et de sa lombalgie sur l échelle visuelle analogique (EVA) et de son incapacité fonctionnelle moyennant L Oswestry Disability Index (ODI) dans sa version arabe avec un score total établi en pourcentage de 0% à 100% (2,3). Les données ont été saisies au moyen du logiciel Excel et analysées au moyen du logiciel SPSS version Dans tous les tests statistiques, le seuil de signification a été fixé à 0,05. RESULTATS Notre population était formée de 34 hommes (85%) et de 6 femmes (15%) :18 hommes et 2 femmes dans le G1 et 16 hommes pour 4 femmes dans le G2. L âge moyen des patients était de 38,10± 10,42 ans (de 20 à 76 ans). La durée moyenne de l évolution des symptômes était de 39 mois (de 1mois à 22 ans). Les deux groupes se révélaient statistiquement comparables considérant tous les éléments cliniques et radiologiques cités à l exception des trois paramètres: radiculalgie, Lasègue et type de la hernie. Après ajustement des moyennes d EVA et d ODI obtenues selon un modèle linéaire généralisé, les écarts se sont révélés non significatifs et n affectent en rien nos résultats. Tous les patients de G2 avaient rapporté des lombalgies lors du premier interrogatoire, associées dans 65% des cas à une radiculalgie. Dans G1, 19 patients souffrent de lombalgies associées à une radiculalgie dans seulement 25% des cas (figure 2). Tous les patients de G2 et 95% de G1 ont un syndrome rachidien franc. Le Lasègue est positif chez 100% de G2 et 70% de G1. L examen neurologique était normal chez 80% des patients de G1 contre 75% de G2. Figure 1 : Coupe tomodensitométrique réalisée à l étage L5-S1 après opacification de l espace épidural postérieur et foraminal droit précédant l injection de corticoïde. Figure 2 : Caractéristiques cliniques des deux groupes de patients

3 34 S. Kouki et al. A l imagerie, 19 patients (9 de G1 et 10 de G2) avaient une hernie au niveau L4-L5 et 19 autres (11 de G1 et 8 de G21) ont une hernie discale en L5-S1. Deux patients de G2 avaient une hernie au niveau des deux étages. La hernie paramédiane vient en premier avec 25cas suivie par la hernie médiane (9 cas) et la hernie foraminale (6 cas) (figure3). A J90, on note la ré-ascension de la moyenne de l EVA lombaire dans le G2 comparée au G1 dont l EVA lombaire et radiculaire continue à s améliorer. Cette différence est significative pour le site lombaire (avec p = 0,035). La cinétique de l EVA radiculaire à J90 rejoint celle de l EVA lombaire à la même date (p= 0,07). En considérant l ODI à J90 on note que dans G2, on maintient les 10% des résultats satisfaisants mais dans G1 le pourcentage de résultats satisfaisants augmente pour atteindre les 40% avec une différence significative (p= 0,028). Les infiltrations rachidiennes de corticoïdes dans les lomboradiculalgies d origine discale étaient plus efficaces sur l amélioration de la capacité fonctionnelle quand elles étaient réalisées sous contrôle scannographique (tableau1). Tableau 1 : Comparaison des moyennes de l EVA lombaire et radiculaire avant l infiltration, à J7et à J90 au sein des deux groupes de l étude. groupe à l'aveugle G1 groupe Sous scanner G2 Total P Figure 3 : Répartition des patients selon le type de la hernie Evaluation avant infiltration La moyenne des ODI à J0 était de 62,75% dans G1 et de 67,38% dans G2. La moyenne des scores avant l infiltration dans toute la population était de 65,06%. La moyenne de l EVA lombaire avant infiltration était de 8,2 dans G1 et de 8,35 G2. La moyenne de l EVA radiculaire avant infiltration était de 8,4 dans G1 et de 8,45 dans G2. Evaluation après infiltration Il n y a pas de différence significative entre les deux groupes à J7 en matière d EVA lombaire (p = 0,476) ni d EVA radiculaire. On note une diminution globale d environ 50% par rapport à J0. Ainsi, les infiltrations rachidiennes de corticoïdes qu elles soient pratiquées à l aveugle ou non avaient un effet remarquable à court terme sur la sensation douloureuse lombaire et radiculaire chez les patients atteints de sciatique d origine discale. En évaluant la capacité fonctionnelle selon l ODI (un résultat est satisfaisant lorsqu on ramène l ODI à une valeur < 30%), on constate que 30% des patients du G1 avait un résultat satisfaisant à J7 contre 10% du G2.Quoique non significatif (p=0,11), ceci reste contributif du moment où on a 3 fois plus de bons résultats dans le G1 que dans le G2. lombaire avant infiltration lombaire à J7 lombaire à J90 radiculaire avant infiltration radiculaire à J7 radiculaire à J90 8, ,45 8,4 8,43 0,93 4,6 4,05 4,33 0,558 5,65 3,9 4,78 0,074 Parallèlement, le taux de consommation d AINS initialement à 85% a diminué de moitié à J7 de l infiltration qu elle soit guidée ou non. A J90, ce taux est inférieur de 10% dans G1 par rapport à celui de G2. 80% des patients de G1 ont pu regagner leur travail contre 84,2% de G2. Cette différence est pourtant non significative (p=0,73). Il est important de souligner le fait que 10,5% du G1 avait nécessité la chirurgie après échec des infiltrations de corticoïdes contre 15% du G2. Au cours de notre étude on n a pas eu de complications graves. Nous avons observé 2 cas de malaise vagal au décours immédiat des infiltrations à l aveugle, rapidement résolutifs.

4 Avantages du scannoguidage des infiltrations lombaires dans le traitement de la lombosciatique commune. 35 DISCUSSION Bien que les sciatiques communes soient habituellement liées à une compression radiculaire, des considérations physiopathologiques (4) justifient l utilisation des infiltrations locales de corticoïde : la sciatique par hernie discale régresse avec le traitement conservateur chez 70% des patients en un mois et environ 90% des patients sont améliorés après un an ; il y a de nombreux arguments pour penser que la douleur sciatique est liée à des facteurs inflammatoires locaux (5, 6, 7,8). L imagerie par résonance magnétique nucléaire a confirmé, par la prise de gadolinium, ces phénomènes inflammatoires locaux. Les infiltrations épidurales de corticoïde ont été bien étudiées dans la lombosciatique discale (9, 10). Outre le soulagement de la douleur, elles contribuent à empêcher le développement de modifications structurales et fonctionnelles nerveuses périphériques qui facilitent la pérennisation de la douleur (7, 11). Au terme de la première évaluation à J7, tout comme Thomas.E et ses collaborateurs, (12) on a obtenu une amélioration de la sensation douloureuse lombaire et radiculaire avec une diminution de l EVA d environ 50% sans qu il y ait une différence significative entre les deux techniques (scopique dans l étude réalisée par Thomas.E et tomodensitométrique dans la notre).de même, la capacité fonctionnelle jugée par l ODI dans notre étude et par le score de Rolland-Morris dans l étude de Thomas.E a présenté une réduction manifeste des moyennes des scores dans la population sans mettre en évidence la supériorité d une technique par rapport à l autre. A J90, l analyse de nos résultats a permis de conclure à l apport bénéfique significativement supérieur des infiltrations rachidiennes guidées par TDM en comparaison à celles réalisées à l aveugle. Ceci a été attesté tant sur le plan antalgique par l EVA lombaire (p=0,035) que sur le plan fonctionnel représenté par un nombre plus élevé d individus ayant des scores d ODI satisfaisants (p=0,028). Ceci concorde en gros avec les résultats trouvés par Thomas et collaborateurs mettant en évidence une supériorité significative de la technique sous scopie par rapport à celle à l aveugle concernant le soulagement de la douleur ainsi que l amélioration de la capacité fonctionnelle. D autre part, en se référant à la littérature en matière d infiltrations épidurales de corticoïdes réalisées à l aveugle, on trouve que son effet bénéfique à court terme, jugé faible à modéré par les auteurs, n a été mis en évidence que sur la sensation douloureuse (13,14).Une seule étude prospective contrôlée à double aveugle qu on a pu trouvée, réalisée par Arden et Coll. en 2001 (15) a démontré une efficacité assez importante à court terme des infiltrations épidurales réalisées à l aveugle dans l amélioration de la capacité fonctionnelle au cours de la sciatique herniaire. A l opposé de Mac.Donald, (16) Carette et Arden n ont pas pu mettre en évidence un effet bénéfique à moyen terme de ces infiltrations. Cependant, les trois auteurs s accordent sur l absence de bénéfice à long terme des infiltrations épidurales de corticoïdes dans la lomboradiculalgie quelque soit le paramètre considéré surtout le recours à la chirurgie. Du coté des infiltrations guidées par un contrôle tomodensitométrique ou fluoroscopique, on remarque que leur effet a été jugé au moins important à court et à moyen terme, aussi bien sur la sensation douloureuse (17--19) que sur la capacité fonctionnelle (20-24). Du fait que l objectif de notre étude était d évaluer l intérêt du radioguidage lors des infiltrations épidurales de corticoïdes dans les lomboradiculalgies par hernie discale à court et à moyen terme, le suivi de nos patients a été limité à 3 mois. De nombreuses études sur l efficacité des infiltrations réalisées sous contrôle scopique ont été menées à plus d une année de suivi (25,26) et ont permis de conclure à la dissipation de leur efficacité au fil du temps (27,28) rejoignant ainsi les résultats trouvés avec la technique dite à l aveugle. Toutefois, les résultats apportés par ces infiltrations demeurent positifs à long terme dans un nombre considérables d études. Notons, par contre que ces études, quoique randomisées ne sont ni contrôlées ni en simple ni en double aveugle. (29-32). Conclusion Au vu de nos résultats et de ceux retrouvés dans la littérature, on se permettra de dire que dans le traitement de la sciatique par hernie discale, l usage des infiltrations radioguidées de corticoïdes doit primer, dans les limites de la disponibilité et en l absence de contre-indications, sur celui des infiltrations dites à l aveugle. Ceci n est pas seulement argumenté par une différence sur le plan intensité et durée d efficacité sur la douleur et la fonctionnalité du patient en faveur de la technique contrôlée, mais aussi par une sécurité supplémentaire fournie par la visualisation du site de l injection. Déclaration d intérêt Les auteurs déclarent n avoir aucun conflit d intérêt. Références 1. Legrand E, Rozenberg S, Pascaretti C, et al. Le traitement de la

5 36 S. Kouki et al. lombosciatique en milieu hospitalier : résultats d une enquête d opinion auprès des rhumatologues français. Rev Rhum 1998; 65: Abdi S, Datta S, Tescot AM, et al. Epidural steroids in the management of chronic spinal pain: a systematic review. Pain Physician 2007; 10: Boulu P, Benoist M. Recent data on the pathophysiology of nerve root compression and pain. Rev Rhum Engl Ed 1996; 63: Anderson DG, Tannoury C. Molecular pathogenic factors in symptomatic disc degeneration. The spine journal: official journal of the North American Spine Society Nov 1;5(6):S260 S Weinstein SM, Herring SA. Lumbar epidural steroid injections. The spine journal: official journal of the North American Spine Society May 1;3(3): Benedetti EM, Siriwetchadarak R, Stanec J, Rosenquist RW. Epidural steroid injections: Complications and management. Techniques in Regional Anesthesia & Pain Management Oct 1;13(4): Rozenberg S, Dubourg G, Khalifa P, Paolozzi L, Maheu E, Ravaud P. Efficacy of epidural steroids in low back pain and sciatica. A critical appraisal by a French Task Force of randomized trials. Critical Analysis Group of the French Society for Rheumatology. Rev Rhum Engl Ed Feb; 66(2): Lutz GE, Vad VB, Wisneski RJ. Fluoroscopic transforaminal lumbar epidural steroids: An outcome study. Archives of physical medicine and rehabilitation Nov 1;79(11): Zennaro H, Dousset V, Viaud B et al. Periganglionic foraminal steroid injactions performed under CTcontrol. Am J Neuroradiol; 19: Sicard MA. Les injections médicamenteuses extra-durales par voie sacro-coccyigienne. CR Soc Biol. 1901;53: Evans W. Intrasacral epidural injection therapy in the treatment of sciatica. Lancet. 1930; 2: Lièvre JA, Bloch-Michel M,Péan G, Uro J. L hydrocortisone en injection locale.rev Rhum. 1953;4: Luchérini T. Premiers résultats sur l emploi de l hydrocortisone par la voie intrarachidienne. Rev Rhum Mal Osteoartic Dec;21(12): Jurmand SH. les injections péridurales de corticoïdes dans le traitement des lombalgies et des lombosciatiques d origine discale. Rev Rhum Mal Osteoartic Jun;40(6): Goebert HW Jr, Jallo SJ, Gardner WJ, Wasmuth CE. Painful radiculopathy treated with epidural injections of procaine and hydrocortisone acetate: Results in 113 patients. Anesth Analg Jan-Feb;40: Nelso DA, Landau WM. Intraspinal steroids: history, efficacy, accidentality, and controversy with review of United States:Food and Drug Administration reports. J Neurol Neurosurg Psychiatry Avril;70(4): Watanabe AT, Nishimura E, Garris J. Image-Guided Epidural Steroid Injections. Techniques in Vascular and Interventional Radiology 2002; 5(4): Maigne J.Y, Gourjon A, Maigne R. Taux de réussite des trois techniques d injection épidurale : Etude de l étalement d un contraste radio-opaque. Revue de Rhumatologie. Juill-Sep 1990 : Frantz J, Colimon Francisco J, Villalobos.Epidural steroid injections: Evidence and technical aspects.techniques in regional anesthesia and pain management 2010; 14: Guermazi M, Mezghani M, Ghroubi S, Elleuch M, Ould Sidi Med A, Poiraudeau A, Mrabet F, Dammak J, Fermanian J, Baklouti S, Sellami S, Revel M, Elleuch M. Traduction en arabe et validation de l indice d Oswestry dans une population de lombalgiques Nord- Africains. Annales de réadaptation et de médecine physique 2005 ; 48 : Arai Yasuhisa, Yasuma Tsuguo, Shitoto Katsuo, Yasuo Yamauchi Yasuo,suzuki Fujihiko. Immunohistological study of intervertebral disc herniation of lumbar spine.journal of Orthopaedic Science Volume 5, Number 3 (2000), Walter S. B, Stephen Z.G, William E.R. Incorrect Needle Position during Lumbar Epidural Steroid Administration: Inaccuracy of Loss of Air Pressure Resistance and Requirement of Fluoroscopy and Epidurography during Needle Insertion. AJNR Am J Neuroradiol 2005; 26: Stitz MY, Sommer HM. Accuracy of blind versus fluoroscopically guided caudal epidural injection. Spine 1999; 24(13): Fredman B, Nun M.B, Zohar E, Iraqi G, Shapiro M, Gepstein R, Jedeikin R. Epidural Steroids for Treating Failed Back Surgery Syndrome : Is Fluoroscopy Really Necessary? Anesth Analg 1999; 88: Price CM, Rogers PD, Prosser AS, Arden NK. Comparison of the caudal and lumbar approaches to the epidural space.ann Rheum Dis November; 59(11): Ann Rheum Dis Nov;59(11): Liu SS, Melmed AP, Klos JW, Innis CA. Prospective experience with a 20-gauge Tuohy needle for lumbar epidural steroid injections: Is confirmation with fluoroscopy necessary? Pain Med 2001;26(2): Wewalka M, Abdelrahimsai A, Wiesinger GF, Eva Uher M. CT-Guided Transforaminal Epidural Injections with Local Anesthetic, Steroid, and Tramadol for the Treatment of Persistent Lumbar Radicular Pain. Pain Physician 2012; 15: Ackerman WE, Ahmad M. The Efficacy of Lumbar Epidural Steroid Injections in Patients with Lumbar Disc Herniations. Anesthesia & analgesia 2007; 104(5): Gelalis I.D, Arnaoutoglou E, Pakos E.E, Politis A.N, Rapti M, Xenakis T.A, Papadopoulos G. Effect of Interlaminar Epidural Steroid Injection in Acute and SubacutePain Due to Lumbar Disk Herniation: A Randomized Comparison of 2 Different Protocols. The Open Orthopaedics Journal 2009; 3: Christopher G, Gharibo, Gerard P. Varlotta, Ellen E. Rhame, En-Chia James Liu, John A. Bendo, Michael D. Perloff. Interlaminar Versus Transforaminal Epidural Steroids for the Treatment of Subacute Lumbar Radicular Pain: A Randomized, Blinded,Prospective Outcome Study. Pain Physician 2011; 14: Carette S, Leclaire R, Marcoux S, Morin F, A. Blaise G, ST.-Pierre A, Truchon R, Parent F, Lévesque J, Bergeron V, Montminy P, Blanchette C. Epidural corticosteroid injections for sciatica due to herniated nucleus pulposus. N Engl J Med 1997; 336(23): Arden N. K., Price C., Reading I., Stubbing J., Hazelgrove J., Dunne C, Michel M., P. Rogers Cooper C. A multicentre randomized controlled trial of epidural corticosteroid injections for sciatica: the WEST study. Rheumatology 2005; 44:

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

La sciatique par hernie discale : traitement conservateur ou traitement radical? Disk herniation-induced sciatica: medical or surgical treatment?

La sciatique par hernie discale : traitement conservateur ou traitement radical? Disk herniation-induced sciatica: medical or surgical treatment? Revue du Rhumatisme 74 (2007) 927 932 Conférence d actualité La sciatique par hernie discale : traitement conservateur ou traitement radical? Disk herniation-induced sciatica: medical or surgical treatment?

Plus en détail

N oubliez pas de sauvegarder après avoir intégré ce fichier dans votre espace extranet!

N oubliez pas de sauvegarder après avoir intégré ce fichier dans votre espace extranet! FORMULAIRE PDF REMPLISSABLE POUR REPONSE PEDAGOGIQUE AAP 2015 DU Page 1 sur 14 Avant toute chose, rappelez ici : 1 - Le titre principal (anciennement titre long) de votre projet [90 caractères] Lombalgies

Plus en détail

Équivalence et Non-infériorité

Équivalence et Non-infériorité Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.

Plus en détail

Qu avez-vous appris pendant cet exposé?

Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux

Plus en détail

Jérôme OSTALIER Gabor SAGI INSTITUT McKENZIE FRANCE

Jérôme OSTALIER Gabor SAGI INSTITUT McKENZIE FRANCE Jérôme OSTALIER Gabor SAGI INSTITUT McKENZIE FRANCE IMPACT DE LA FLEXION ET DE L EXTENTION SUR LA DYNAMIQUE DISCALE: LE MODÈLE DISCAL LA FLEXION INDUIT UNE MIGRATION POSTÉRIEURE DU NUCLEUS L EXTENSION

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

Revue de la littérature

Revue de la littérature Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction

Plus en détail

Ozonothérapie dans le traitement des atteintes musculosquelettiques d origine spinale

Ozonothérapie dans le traitement des atteintes musculosquelettiques d origine spinale Direction de l évaluation des technologies et des modes d intervention en santé (DETMIS) Ozonothérapie dans le traitement des atteintes musculosquelettiques d origine spinale Document préparé par : Raouf

Plus en détail

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

dmt Lombalgies et travail : Pour une stratégie consensuelle La lombalgie en chiffres Paris, 18 janvier 2002 notes de congrès La fréquence

dmt Lombalgies et travail : Pour une stratégie consensuelle La lombalgie en chiffres Paris, 18 janvier 2002 notes de congrès La fréquence dmt 90 notes de congrès TD 118 Lombalgies et travail : Pour une stratégie consensuelle Paris, 18 janvier 2002 Cette journée, organisée conjointement par la Société française de médecine du travail et la

Plus en détail

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres

Plus en détail

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la

Plus en détail

Lombalgies et lombosciatalgies non déficitaires Quelle est la place de l activité physique dans la prise en charge?

Lombalgies et lombosciatalgies non déficitaires Quelle est la place de l activité physique dans la prise en charge? CURRICULUM Forum Med Suisse 2006;6:542 548 542 Lombalgies et lombosciatalgies non déficitaires Quelle est la place de l activité physique dans la prise en charge? Sandrine de Ribaupierre, Luca Regli Service

Plus en détail

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI? Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail

Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Yvan Campbell, B.Éd. M.Sc. SRDC Kinésiologue Campbell, Y. (2015). Les lésions musculo-squelettiques

Plus en détail

Avis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA

Avis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l

Plus en détail

Le Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa.

Le Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa. Le Centre de documentation du C.H.T Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa Horaires : Ouvert du lundi au Jeudi : 8h00-16h00 et le vendredi : 8h00-15h00 Pour

Plus en détail

La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien

La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et

Plus en détail

Faciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau

Faciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau Faciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau de soins palliatifs du Québec, Montréal Julia Sohi

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait

Plus en détail

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA. COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste

Plus en détail

Traitement de l hépatite C: données récentes

Traitement de l hépatite C: données récentes Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13 Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» «Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique

Plus en détail

fonctionnels du rachis

fonctionnels du rachis Thérapies manuelles «Chiropraxie, Ostéopathie, Médecine manuelle : du pareil au même?» Colloque MPR du 4 décembre 2013 Service de médecine de premier recours (DMCPRU/HUG) pour les toubes troubles fonctionnels

Plus en détail

Études. Coût de la chirurgie d une hernie discale

Études. Coût de la chirurgie d une hernie discale Études Coût de la chirurgie d une hernie discale 1 Table des matières 03 Objectif 04 Introduction 05 Données et méthodologie 06 Caractéristiques des hospitalisations 09 Profil de la population hospitalisée

Plus en détail

QUEL AVENIR POUR LA PHARMACIE HOSPITALIERE EN SUISSE?

QUEL AVENIR POUR LA PHARMACIE HOSPITALIERE EN SUISSE? QUEL AVENIR POUR LA PHARMACIE HOSPITALIERE EN SUISSE? Regard critique sur nos filières de formation Symposium GSASA, Berne, 12 mai 2009 André Pannatier 1 PLAN 1. Les filières de formation de base et postdiplôme

Plus en détail

Louis AUQUIER, Georges CRÉMER, Paul MALVY, Charles-Joël MENKÈS, Guy NICOLAS * (DEUXIEME PARTIE)

Louis AUQUIER, Georges CRÉMER, Paul MALVY, Charles-Joël MENKÈS, Guy NICOLAS * (DEUXIEME PARTIE) RAPPORT au nom d un Groupe de travail ** Ostéopathie et Chiropraxie Louis AUQUIER, Georges CRÉMER, Paul MALVY, Charles-Joël MENKÈS, Guy NICOLAS * (DEUXIEME PARTIE) PENSÉES PHILOSOPHIQUES SOUS-TENDANT LES

Plus en détail

A Rehabilitation-Oriented Approach In Health Insurance Medicine. Return to Work After Surgery For Lumbar Disk Herniation.

A Rehabilitation-Oriented Approach In Health Insurance Medicine. Return to Work After Surgery For Lumbar Disk Herniation. Étude originale Influence d une politique active du médecin-conseil sur la réintégration professionnelle. Incapacité de travail après cure chirurgicale pour hernie discale lombaire. A Rehabilitation-Oriented

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Liens avec la musculature

Liens avec la musculature Mal de dos et abdomen : plus qu une question de tour de taille. Feuillet 1 de 2 Présenté par le Dr Aroussen Laflamme, D.C. Now living in California!! Norba Racing machine!! C est bien connu, les gens ayant

Plus en détail

DISCECTOMIE ENDOSCOPIQUE SELECTIVE ET THERMO-ANNULOPLASTIE

DISCECTOMIE ENDOSCOPIQUE SELECTIVE ET THERMO-ANNULOPLASTIE DISCECTOMIE ENDOSCOPIQUE SELECTIVE ET THERMO-ANNULOPLASTIE Evolving methodology in treating discogenic back pain by selective endoscopic discectomy and thermal annuloplasty Anthony Yeung, M.D and Satishandra

Plus en détail

NATURE DU PROBLÈME (1) NATURE DU PROBLÈME (2) NATURE DU PROBLÈME (3) LA LOMBALGIE : Compilation diverses études internationales: EVOLUTION NATURELLE:

NATURE DU PROBLÈME (1) NATURE DU PROBLÈME (2) NATURE DU PROBLÈME (3) LA LOMBALGIE : Compilation diverses études internationales: EVOLUTION NATURELLE: Comment devenir un lombalgique chronique? Dr Pierre de Goumoëns Médecin associé, Unité Rachis, CHUV, Lausanne NATURE DU PROBLÈME (1) LA LOMBALGIE : Compilation diverses études internationales: prévalence

Plus en détail

Guide de pratique. Clinique. des Lombalgies. Interdisciplinaire. en Première ligne

Guide de pratique. Clinique. des Lombalgies. Interdisciplinaire. en Première ligne lip Clinique Guide de pratique des Lombalgies Interdisciplinaire en Première ligne 2006 lip Guide de pratique Clinique des Lombalgies Interdisciplinaire en Première ligne Introduction 3 Module 1 L évaluation

Plus en détail

La sciatique par hernie discale Description médicale :

La sciatique par hernie discale Description médicale : La sciatique par hernie discale Description médicale : Le terme hernie est utilisé pour décrire la saillie d un disque intervertébral le plus souvent au contact d une racine nerveuse. Entre chacune des

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

PAPPAAL 34. Protocole

PAPPAAL 34. Protocole PAPPAAL 34 Programme d'accompagnement Pluridisciplinaire Précoce des Assurés en Arrêt pour Lombalgies dans l Hérault Protocole Etude de faisabilité février-juillet 2013 Assurance Maladie : DRSM Languedoc-Roussillon

Plus en détail

Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX

Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX Douleurs rebelles en Soins palliatifs Fréquentes Souvent provoquées par des cancers Complexes associant : origine nociceptive

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Le mérite de Robin McKenzie est d avoir. Méthode McKenzie et hernie discale, pour une approche pragmatique RÉSUMÉ I SUMMARY MOTS CLÉS I KEYWORDS

Le mérite de Robin McKenzie est d avoir. Méthode McKenzie et hernie discale, pour une approche pragmatique RÉSUMÉ I SUMMARY MOTS CLÉS I KEYWORDS Méthode McKenzie et hernie discale, pour une approche pragmatique RÉSUMÉ I SUMMARY L'approche de la lombalgie d'origine discale s'appuie désormais essentiellement sur les principes techniques de la méthode

Plus en détail

AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON

AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON Douleurs neuropathiques périphériques de l adulte non diabétique : De l étiologie au rôle de l infirmier AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON La douleur neuropathique Définition [1] C est est une douleur

Plus en détail

L usage du questionnaire ÖMPQ afin de réduire le risque d invalidité prolongée chez les travailleurs blessés

L usage du questionnaire ÖMPQ afin de réduire le risque d invalidité prolongée chez les travailleurs blessés L usage du questionnaire ÖMPQ afin de réduire le risque d invalidité prolongée chez les travailleurs blessés International Forum on Disability Management Section de la santé mentale Le 21 septembre 2010

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante

Plus en détail

Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008

Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traiter un symptôme Position du problème Ampleur de la plainte Histoire naturelle Mode de prise en charge actuelle Règles hygiéniques Rééducation

Plus en détail

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients

Plus en détail

Etude de la prise en charge par acupuncture des troubles musculo-squelettiques. Cohorte observationnelle d évaluation des pratiques de soin

Etude de la prise en charge par acupuncture des troubles musculo-squelettiques. Cohorte observationnelle d évaluation des pratiques de soin 2012, 11 (3) 183 Annie Felten, Olivier Duhamel, Marie Koechlin, Thierry Noël et le GEAMT* Etude de la prise en charge par acupuncture des troubles musculo-squelettiques chroniques en milieu professionnel.

Plus en détail

Straumann Emdogain AVANT QU IL NE SOIT TROP TARD

Straumann Emdogain AVANT QU IL NE SOIT TROP TARD Straumann Emdogain AVANT QU IL NE SOIT TROP TARD PRÉSERVATION DES DENTS AVEC STRAUMANN EMDOGAIN Entre 5 et 15 % de la population souffre de parodontite sévère pouvant induire la perte de dents 1,2 Les

Plus en détail

Docteur Isabelle SUTTER.

Docteur Isabelle SUTTER. Docteur Isabelle SUTTER. EXAMEN CLINIQUE DU LOMBALGIQUE REUNION DU 12 FEVRIER 2003 I MODALITES DE L'EXAMEN CLINIQUE Interrogatoire Les six points clés Le siège de la douleur Le rythme de la douleur : mécanique,

Plus en détail

Etude de la place de la prise en charge des troubles musculo-squelettiques (TMS)chroniques par acupuncture en milieu hospitalier à l AP-HP

Etude de la place de la prise en charge des troubles musculo-squelettiques (TMS)chroniques par acupuncture en milieu hospitalier à l AP-HP Etude de la place de la prise en charge des troubles musculo-squelettiques (TMS)chroniques par acupuncture en milieu hospitalier à l AP-HP Dr Annie Felten, Dr Olivier Duhamel, Dr Marie Koechlinet Dr Thierry

Plus en détail

équilibre glycémique du diabétique insuliné

équilibre glycémique du diabétique insuliné La télésurveillance t des maladies chroniques à domicile Aide à la décision en diabétologie Docteur Pierre FONTAINE Service de diabétologie, CHRU de Lillle Faculté de médecine, m Université de Lille 2

Plus en détail

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux

Plus en détail

CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier

CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier P. PUECH, JF. LAHAYE, JC. FANTONI [2], L. LEMAITRE CHRU de Lille [1] Plateau commun d Imagerie médicale - Hôpital Claude Huriez

Plus en détail

TMS les données belges relatives à la lombalgie

TMS les données belges relatives à la lombalgie TMS les données belges relatives à la lombalgie Pr Philippe Mairiaux Université de Liège «Comment prévenir les TMS?», Bruxelles, 22 octobre 2007 Epidémiologie de la lombalgie en population générale (Inserm

Plus en détail

Item 279 : Radiculalgie et syndrome canalaire

Item 279 : Radiculalgie et syndrome canalaire Item 279 : Radiculalgie et syndrome canalaire Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Atteintes radiculaires des membres inférieurs... 1 1. 1 Lomboradiculalgies communes...1 1. 1. 1

Plus en détail

Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014

Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for

Plus en détail

Revision of hen1317-5: Technical improvements

Revision of hen1317-5: Technical improvements Revision of hen1317-5: Technical improvements Luca Felappi Franz M. Müller Project Leader Road Safety Consultant AC&CS-CRM Group GDTech S.A., Liège Science Park, rue des Chasseurs-Ardennais, 7, B-4031

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE

Plus en détail

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you.

The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you. General information 120426_CCD_EN_FR Dear Partner, The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you. To assist navigation

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

La formation interprofessionnelle pour les professions de la santé: L avenir C est dès maintenant!

La formation interprofessionnelle pour les professions de la santé: L avenir C est dès maintenant! 2 e Swiss Congress for Health Professions Winterthur 1 juin 2012 La formation interprofessionnelle pour les professions de la santé: L avenir C est dès maintenant! Prof. Diane Morin, Inf, PhD Plan de présentation

Plus en détail

Essais thérapeutiques d équivalence et de non infériorité

Essais thérapeutiques d équivalence et de non infériorité Essais thérapeutiques d équivalence et de non infériorité Sandra DAVID TCHOUDA Cellule innovation CHU Grenoble Plan Bref rappel sur l essai de supériorité Introduction aux essais de non inf. / équ. Calcul

Plus en détail

le traitement de la douleur

le traitement de la douleur le traitement de la douleur Chère patiente, cher patient Vous allez bientôt être admis dans l un des hôpitaux de jour de l az groeninge en vue d un traitement de la douleur. Dans cette brochure, vous trouverez

Plus en détail

LECTURE CRITIQUE 1 ER PAS

LECTURE CRITIQUE 1 ER PAS 1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre

Plus en détail

Gelsoft Plus LA SEULE PROTHESE VASCULAIRE AU MONDE EN POLYESTER A STRUCTURE TRICOTEE KOPER IMPREGNEE DE GELATINE, RESISTANT A LA DILATATION

Gelsoft Plus LA SEULE PROTHESE VASCULAIRE AU MONDE EN POLYESTER A STRUCTURE TRICOTEE KOPER IMPREGNEE DE GELATINE, RESISTANT A LA DILATATION Gelsoft Plus LA SEULE PROTHESE VASCULAIRE AU MONDE EN POLYESTER A STRUCTURE TRICOTEE KOPER IMPREGNEE DE GELATINE, RESISTANT A LA DILATATION Structure tricotée Köper exclusive offrant: - une dilatation

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

Evidence-based medicine en français

Evidence-based medicine en français Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes

Plus en détail

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie

Plus en détail

sur le réseau de distribution

sur le réseau de distribution EDF-R&D Département MIRE et Département EFESE 1, avenue du Général de Gaulle 92141 Clamart Impact qualité du site photovoltaïque "Association Soleil Marguerite" sur le réseau de distribution Responsable

Plus en détail

Quatre patients différents une même approche

Quatre patients différents une même approche L O M N I P R A T I C I E N E T L E P A T I E N T S O U F F R A N T D E L O M B A L G I E Quatre patients différents une même approche 2 par Alain Neveu et Claude Saucier Quel est votre diagnostic pour

Plus en détail

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix

Plus en détail

L ESPACE À TRAVERS LE REGARD DES FEMMES. European Economic and Social Committee Comité économique et social européen

L ESPACE À TRAVERS LE REGARD DES FEMMES. European Economic and Social Committee Comité économique et social européen L ESPACE À TRAVERS LE REGARD DES FEMMES 13 European Economic and Social Committee Comité économique et social européen 13 This publication is part of a series of catalogues published in the context of

Plus en détail

Lombalgies inflammatoires de l homme jeune

Lombalgies inflammatoires de l homme jeune Lombalgies inflammatoires de l homme jeune Auteur : Dr Éric TOUSSIROT, Besançon Comité éditorial : Dr Laure GOSSEC, Paris Dr Henri NATAF, Mantes-La-Jolie Relecteurs CFMR : Pr Bernard DUQUESNOY, Lille Pr

Plus en détail

Cure de Hernie discale lombaire

Cure de Hernie discale lombaire Cure de Hernie discale lombaire QU EST CE QUE LA HERNIE DISCALE ET LA SCIATIQUE Les vertèbres lombaires (L1 à L5) et le sacrum (S1) sont séparées par les disques intervertébraux qui jouent un rôle d'amortisseur.

Plus en détail

Utilisation péri-opératoire des filtres caves

Utilisation péri-opératoire des filtres caves Utilisation péri-opératoire des filtres caves Philippe Girard Département Thoracique. Institut Mutualiste Montsouris, 42 boulevard Jourdan, 75014 Paris, France. Email : philippe.girard@imm.fr Introduction

Plus en détail

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation

Plus en détail

Exemple PLS avec SAS

Exemple PLS avec SAS Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that

Plus en détail

ÉVALUATION DE L UTILISABILITÉ D UN SITE WEB : TESTS D UTILISABILITÉ VERSUS ÉVALUATION HEURISTIQUE

ÉVALUATION DE L UTILISABILITÉ D UN SITE WEB : TESTS D UTILISABILITÉ VERSUS ÉVALUATION HEURISTIQUE ÉVALUATION DE L UTILISABILITÉ D UN SITE WEB : TESTS D UTILISABILITÉ VERSUS ÉVALUATION HEURISTIQUE BOUTIN MARIO Centre de recherche informatique de Montréal (CRIM), 550, rue Sherbrooke Ouest, Bureau 100,

Plus en détail

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux

Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation

Plus en détail

Les formes cliniques. Maxime Breban

Les formes cliniques. Maxime Breban Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes

Plus en détail

*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters

*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des

Plus en détail

Guide de rédaction de références

Guide de rédaction de références Guide de rédaction de références Document préparé par: Susie Dallaire, pharmacienne Marie-Josée Demers, conseillère clinicienne à la DQSSER Nathalie Gauthier, conseillère clinicienne à la DQSSER Le 13

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité

Plus en détail

Les prestations des services de soins infirmiers à domicile sont-elles toujours conformes aux prescriptions médicales?

Les prestations des services de soins infirmiers à domicile sont-elles toujours conformes aux prescriptions médicales? Étude originale Les prestations des services de soins infirmiers à domicile sont-elles toujours conformes aux prescriptions médicales? Is the Care Given by the Home Nursing Care Service Always in Conformity

Plus en détail

THE LAW SOCIETY OF UPPER CANADA BY-LAW 19 [HANDLING OF MONEY AND OTHER PROPERTY] MOTION TO BE MOVED AT THE MEETING OF CONVOCATION ON JANUARY 24, 2002

THE LAW SOCIETY OF UPPER CANADA BY-LAW 19 [HANDLING OF MONEY AND OTHER PROPERTY] MOTION TO BE MOVED AT THE MEETING OF CONVOCATION ON JANUARY 24, 2002 2-aes THE LAW SOCIETY OF UPPER CANADA BY-LAW 19 [HANDLING OF MONEY AND OTHER PROPERTY] MOTION TO BE MOVED AT THE MEETING OF CONVOCATION ON JANUARY 24, 2002 MOVED BY SECONDED BY THAT By-Law 19 [Handling

Plus en détail

Radiculalgie et syndrome canalaire

Radiculalgie et syndrome canalaire 38 Item 279 Radiculalgie et syndrome canalaire Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Savoir diagnostiquer une radiculalgie et un syndrome canalaire. Identifier les situations d urgence et planifier

Plus en détail

Deadline(s): Assignment: in week 8 of block C Exam: in week 7 (oral exam) and in the exam week (written exam) of block D

Deadline(s): Assignment: in week 8 of block C Exam: in week 7 (oral exam) and in the exam week (written exam) of block D ICM STUDENT MANUAL French 2 JIC-FRE2.2V-12 Module Change Management and Media Research Study Year 2 1. Course overview Books: Français.com, niveau intermédiaire, livre d élève+ dvd- rom, 2ième édition,

Plus en détail

Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat

Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie

Plus en détail

Nouveautés dans Asthme & MPOC

Nouveautés dans Asthme & MPOC Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier

Plus en détail