Séminaire de créativité «A.M.O. Artisanat / Commerce» Compte-rendu de la réunion du 02 mai 2013

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1 Séminaire de créativité «A.M.O. Artisanat / Commerce» Compte-rendu de la réunion du 02 mai 2013 Etaient présents : M MARCAGGI (C.C. Monts de Flandre Plaine de la Lys), Mme DEWISME (C.C. Monts de Flandre Plaine de la Lys), Mme HAESEBROECK (Commune de Nieppe), M. RINGARD (C.C. Flandre-Lys), M. TIBERGHIEN (Commune d Hazebrouck), Mme VENEL (Commune d Hazebrouck), Mme LARRIDON (Commune d Hazebrouck), Mme POCHOLLE (Commune de Merville), M. BARTOSZAK (C.C.I. Grand Lille), M. ROGER (C.C.I. Grand Lille), M. MINE (C.C.I. Artois), Mme YVORRA (C.M.A. Région Nord-Pas-de-Calais), M. DECONINCK (C.M.A. Région Nord-Pas-de-Calais), Mme STREIFF (Conseil Régional Nord-Pas-de-Calais), M. LESTOUX (Cabinet «Cibles et Stratégies»), Mme MAMETZ (S.M.P.C.F.), M. SEGARD (S.M.P.C.F.), M. VANCAYZEELE (S.M.P.C.F.) Excusés : M. VERMEULEN (C.C. Monts de Flandre Plaine de la Lys), M. CAFFY (C.C. Monts de Flandre Plaine de la Lys), M. DENOEUD (C.C. Flandre-Lys), M. COTTIGNY (C.C. Flandre-Lys), Mme GANES (C.C. Flandre-Lys), Mme RICOUR (C.C. Rurale des Monts de Flandre), Mme VALLET (Commune de Bailleul), M. MEULEMANS (Conseil Régional Nord-Pas-de-Calais), Mme DEL LITTO (C.G. 59), M. VAN INGHELANDT (S.M.P.C.F.), M. REEBER (Conseil de Développement Pays Cœur de Flandre), Mme ADOU (S.M.P.C.F.), Mme VANDENBERGHE (S.M.P.C.F.) Ordre du jour : - Rappel sur les principaux enseignements du diagnostic territorial - Définition d une stratégie de territoire en matière d artisanat, de commerce et de services

2 1/ Introduction Mme Mametz accueille les participants à la réunion, et les remercie de leur présence. Elle excuse l absence de certains membres, dont M. Van Inghelandt, président de la commission «Développement économique» du S.M.P.C.F. Elle rappelle que cette A.M.O. s inscrit dans le processus de bilan et de révision du SCOT., et éventuellement pour préfigurer d un D.A.C. sur le territoire. L A.M.O. entre dans sa 2 ème phase : la définition d une stratégie de territoire, et la priorisation des enjeux sur les thématiques de l artisanat et du commerce. Elle insiste sur le besoin du S.M.P.C.F. de se doter d une méthodologie et souhaite que l A.M.O. puisse aboutir sur des actions innovantes, suite à la validation politique du diagnostic et des stratégies en Bureau puis en Comité Syndical. 2/ Rappel des principaux enseignements du diagnostic territorial Cf. doc annexe M. Lestoux prend la parole et revient sur les conclusions du diagnostic réalisé en 1 ère phase : Le nombre de commerces sur le territoire croît, mais à un rythme beaucoup plus faible que la population. En dépit de cette croissance de population, la densité commerciale reste faible. Le taux de diversité commerciale se réduit sur le territoire, malgré le développement du pôle commercial de Bailleul La part de la populahon qui vit dans un Hssu commercial de base (présence d une boulangerie, d une boucherie, d un commerce d alimentation générale) est importante, mais on peut se poser la question du maintien de ce taux élevé dans les années à venir La part des commerçants de plus de 55 ans est importante, surtout dans le nonalimentaire, ce qui pose la question de la transmission d entreprises La surface des G.M.S. s est accrue de 27 % (pôle bailleulois), mais le territoire ne se situe pas dans une situation de suréquipement. Il faut toutefois faire preuve de vigilance sur ce sujet et le D.A.C. peut représenter une réponse sur ce sujet. Le nombre de marchés non-sédentaires, qui structurent les centralités commerciales, est très important sur le territoire, mais la question de leur soutien se pose (beaucoup de «petits» marchés, conditions d accueil, etc.) Le territoire connaît un nombre très important d agriculteurs pratiquant la vente directe. C est à mettre en lien avec la faible diversité commerciale dans l alimentaire, et il est légitime de se poser la question de l équilibre entre ces 2 activités. Les commerces alimentaires doivent-ils devenir des distributeurs de produits agricoles locaux? Le Hssu arhsanal est en expansion ; toutefois, dans la majorité des cas, il s agit d auto-entrepreneurs qui sont passés au statut de l entreprise

3 L arhsanat de produchon représente une véritable richesse pour le territoire, mais ¼ des dirigeants ont plus de 55 ans, et il se pose la question de la transmission d entreprises de façon plus prégnante que pour les transmissions d activités commerciales La densité arhsanale est conforme à la moyenne régionale 3/ Définition d une stratégie de territoire Suite au dernier Comité de Suivi, 3 grands axes ont été relevés, chacun décliné en 3 enjeux. Sur l ensemble de ces enjeux, 5 ont été identifiés comme prioritaires (cf. doc. annexe les enjeux prioritaires sont dans les cases mauves). M. Lestoux sollicite l avis des personnes présentes sur cette première forme de priorisation. L ensemble du territoire ne subit pas les mêmes problématiques et c est pour cela que Mme Dewisme estime que tous les enjeux formulés sont à retenir. En l occurrence, à Bailleul ou à Nieppe, il existe de réelles difficultés sur l hébergement d entreprises : la question de l offre immobilière doit faire partie des priorités. Avant de créer de nouvelles zones pour l accueil d entreprises, il est important d identifier les possibilités existantes. Par exemple, les bâtis agricoles non utilisés et avec une «faible valeur patrimoniale» peuvent se révéler tout à fait adaptés aux besoins de certains artisans. Mme Mametz explique que le choix fait à Boëseghem a été d orienter les entreprises vers ces bâtiments existants plutôt que de créer une zone artisanale qui aurait engendré des prix de revient bien plus élevés (acquisition de terres agricoles, création de bâtiments à mettre aux normes, infrastructures routières, acheminement de l eau, de l électricité, etc.). Ainsi, les documents d urbanisme doivent identifier ces possibilités. La C.C. Flandre-Lys va d ailleurs prochainement entamer un travail allant dans ce sens (recensement des friches privées et publiques dans l idée de faire un «catalogue» détaillé facilement accessible pour les entrepreneurs). M. Lestoux propose d étendre ce dispositif à l échelle du Pays. La réalisation d un atlas de ce type, compilant des informations pratiques (surface, nature de l activité, etc.) permettra également d avoir une meilleure connaissance du territoire. Pour M. Tiberghien, c est une action qui devrait être portée par la future Agence de Développement Economique (A.D.E.). Les informations recueillies doivent venir abonder la cartographie des Z.A. du S.M.P.C.F. qui est actuellement insuffisante et inexploitée. M. Lestoux insiste sur la question de la gouvernance pour une telle action. M. Mine évoque le fait de ne pas déconnecter le commerce de proximité (qui fait l objet de cette A.M.O.) des enseignes nationales qui sont une réalité pour les territoires. M. Lestoux explique que ce n est pas incompatible : il est possible de faire un choix sur les enseignes que l on souhaite attirer. C est d ailleurs le cas sur la zone commerciale du Nouveau Monde de Bailleul qui n autorise pas les commerces alimentaires pour laisser la place à l équipement de la personne et de la maison. Cela a également eu pour conséquence d engendrer un double développement : - En périphérie pour ces activités - En centre-ville pour des activités commerciales complémentaires L objectif à se donner est de faire en sorte qu on n ait pas de déplacements des activités de type pharmacie, médecins, boulangeries, etc. vers les ronds-points ou les entrées de ville pour ne pas créer du commerce de flux. Si le modèle économique du commerce de flux n est pas mauvais, le modèle social d un tel développement pose question car il désertifie les centres-villes.

4 Certaines collectivités en France ont déjà travaillé dans ce sens : sur certains D.A.C., il est interdit aux commerces de moins de 300 m² de s installer en dehors des centralités commerciales identifiées par le pouvoir public. Mme Mametz explique que le SCOT de Flandre Intérieure ne prend pas en compte ces thématiques. L apport de l A.M.O. doit aller dans cette direction. La force du S.M.P.C.F., selon M. Lestoux, réside dans le lien entre SCOT et programme d actions : la structure apporte de la cohérence à ces stratégies. Dans le cadre du diagnostic réalisé, M. Lestoux pointe le problème des loyers de locaux commerciaux. Deux conséquences sur cette problématique : - l augmentation du nombre de friches commerciales : à Hazebrouck par exemple, les loyers pratiqués sont le double de ce qui est acceptable pour la pérennité d un commerce. Ne faut-il pas se poser la question d une intervention sur le sujet, en particulier entamer un travail de concertation et de négociation avec les différents propriétaires? - le risque de tertiairisation du territoire : certaines activités (banques, assurances ) tirent les loyers vers le haut. Ne pas leur permettre de s installer sur un bâtiment particulier ou sur un secteur particulier défini (rue, place ) aura pour conséquence directe de diminuer le coût des loyers Les documents d urbanisme sont l un des outils des collectivités : étant donné que celles-ci ne peuvent acheter tous les bâtiments, leurs PLU les autorisent à identifier des secteurs sur lesquels certains codes NAF sont exclus, au nom de la diversité commerciale et du service à la population (maintien d activités médicales, de commerces de base ). M. Lestoux ajoute qu il s agit bien d une intervention sur la nature de l activité qui est tolérée, pas sur le loyer, mais que ça nécessite une inscription dans le P.A.D.D. Cela suppose un positionnement courageux des collectivités selon Mme Yvorra, et surtout de définir une stratégie de territoire, car les zones de «protection» du commerce traditionnel sont à cartographier. Au niveau national, environ 30 P.L.U ou P.L.U.I. intègrent cette dimension. C est à articuler avec d autres outils comme la préemption, qui doit être vue comme un moyen de collecter de l information (dans le cadre d une cession, ça permet d activer un réseau pour continuer l exploitation) plutôt qu un outil de contrainte ou d interdiction. Mme Dewisme explique que les collectivités n ont aucune marge de manœuvre quand le bâtiment change d affectation. M. Marcaggi complète en expliquant que ça crée progressivement de la discontinuité commerciale, qui «casse» les centralités commerciales. M. Roger se demande si la diminution du nombre de commerces n est pas liée au développement des G.M.S. ; a priori, ce n est pas le cas, car le territoire n est pas suréquipé sur ce type d établissements. Le maintien de l économie de proximité et la transmission sont des enjeux majeurs aux yeux de M. Mine. L e-commerce, et plus généralement l évolution des comportements de consommation, sont des phénomènes à étudier de près. C est le cas aussi des commerces éphémères «d opportunité» qui s installent avec une vision à court terme : ces établissements surfent sur des modes qui leur permettent d être rapidement rentables, puis leurs activités cessent et ils laissent de nombreuses friches commerciales. Le S.M.P.C.F. s engage actuellement dans le dispositif du Conseil Régional ARCTIC 2, et le territoire connaît un réel besoin de modernisation. Mme Mametz propose l idée de développer l outil numérique à destination des commerçants, artisans et prestataires de services. M. Lestoux ajoute qu il est nécessaire que l outil numérique s adapte aussi aux nouveaux modes de consommation! M. Mine évoque le développement des «drives», phénomène exponentiel et difficile à maîtriser. Ce type de commerce n a pas vraiment de règles, présente un caractère éphémère et pose la question de la mobilité dans une société où la place de l automobile est remise en

5 cause. M. Lestoux pense que les drives n auront pas un caractère éphémère car les enquêtes de satisfaction atteignent des niveaux jamais vus auparavant. De plus, ce sont les G.M.S. qui développent les drives, pourtant, ce type de développement ne leur est que moyennement profitable car les clients n achètent plus par impulsivité. Si l e-commerce peut représenter une menace, il peut également être un atout. Mme Mametz prend l exemple d une cave à vins qui s est installée récemment à Boëseghem et qui n aurait pu se développer sans l e-commerce. En se projetant plus loin, il est possible de maintenir en milieu rural du personnel médical si on lui offre cette possibilité d être équipé numériquement, ce qui permettrait également de développer le télétravail sur le territoire. Quand c est possible, c est également à mettre en lien avec le développement d aires de covoiturage (ex du Super U de Nieppe). Le risque de ce mode de développement, explique M. Marcaggi, est de voir le trafic en périphérie atténuer le trafic en centre-ville, d autant comme l ajoute M. Bartoszak, que la part que les ménages consacrent à ces achats n est pas extensible : une densité commerciale ne peut représenter une stratégie viable. M. Lestoux résume le sujet de la façon suivante : si un commerce veut se développer, il se doit d avoir un développement multicanal. En termes d aménagements, sachant que la croissance récente des achats s est faite sur de l achat hors magasins, quel aménagements commerciaux les communes doivent-elles réaliser? Selon M. Lestoux, la différenciation se fera par l ambiance d achat qui règne dans un lieu, et les collectivités contribuent à la créer. La desserte de base dans les communes de moins de 1500 habitants est de bonne qualité sur le territoire du Pays Cœur de Flandre. M. Lestoux demande si l objectif est de travailler sur une politique volontariste pour maintenir cette qualité, sans quoi elle risquerait de s appauvrir. Le territoire doit-il aider à la diversification des produits commercialisés? Doit-il contribuer à la mise en commun des supérettes (SPAR, etc.), ce qui présenterait en plus l avantage de vois ces magasins communiquer sur le territoire en premier lieu, et non plus sur leurs enseignes respectives? Selon M. Mine, le commerce alimentaire de base doit évoluer vers d autres activités annexes pour continuer à assurer sa rentabilité. M. Marcaggi se pose la question de pérenniser certaines activités quand il existe des solutions de remplacement (commerce non-sédentaire). Ne vaut-il mieux pas travailler sur la mise en réseau? Les circuits de proximité peuvent être une véritable réponse : Mme Mametz propose de continuer à faire la promotion de ce réseau. Il est en plus possible d intégrer l abattoir dans ces mises en réseau. Il existe également des initiatives intéressantes de mutualisation comme le «Panier Flamand» à Hazebrouck, un groupement d agriculteurs qui assure de la vente directe de produits locaux. M. Deconinck explique que ça suppose de l adapter aux temps sociaux, et donc de réfléchir sur la disponibilité (horaires) de ce type de commerce. M. Lestoux propose de recentrer sur les marchés. Quels sont les besoins du territoire sur le sujet? Pour M. Marcaggi, le commerce non-sédentaire souffre d un manque de reconnaissance sur le territoire : son organisation pose problème, et les commerçants sont insuffisamment considérés au sein des unions commerciales, alors qu ils participent au dynamisme des villes. M. Tiberghien explique que le marché est une solution moderne, c est un levier de développement. A Hazebrouck, il contribue à la réouverture de certains commerces traditionnels le dimanche. Mme Mametz souhaite articuler le commerce non-sédentaire avec la problématique forte de la mobilité sur le territoire du SCOT : il est parfois difficile de regagner son domicile après

6 s être rendu sur le marché à proximité. Le territoire doit-il se munir d un ou plusieurs minibus «spécial marché»? Mme Mametz explique aux personnes présentes que le S.M.P.C.F. va prochainement développer un Programme d Intérêt Général «Habiter mieux» ; dans ce cadre, un lien doit être trouvé avec les artisans du bâtiment. Cela entre dans le cadre de l éco-construction, et donc, de programmes que le S.M.P.C.F. développe, à savoir le P.L.D.E. et le P.C.T. auxquels il convient d apporter de la cohérence. Aujourd hui, le territoire manque de réseaux et de stratégies sur ces thématiques. L artisanat de production représente également un vrai potentiel pour le territoire, selon M. Lestoux. Sa difficulté est qu il est très diffus sur le territoire, et que ce sont des activités que l on ne peut laisser dans le tissu urbain (activités à nuisances sonores, problématique de la transmission, etc.). M. Lestoux explique également que les clients des artisans de production ont besoin d une ambiance «industrielle», d où l importance d une localisation en Z.A. La vraie problématique de l artisanat de production est sa capacité à diversifier sa clientèle, car bien souvent, elle dépend fortement d une seule grosse entreprise. Un organisme, qui pourrait être l A.D.E. de Flandre Intérieure pour Mme Mametz, sachant coordonner une animation économique et réserver un stand commun sur un salon spécifique d envergure nationale ou internationale, sera très bénéfique pour ces artisans qui pourront développer fortement leurs carnets de commandes. Relevé des thématiques fortes à développer : L offre immobilière, l hébergement d entreprises (atlas des friches, l équilibre périphérie/centre-ville, diversité commerciale, l urbanisme commercial ) L adaptation du commerce aux nouveaux modes de consommation (e-commerce, développement numérique, commerce de flux, loyers des locaux commerciaux ) La desserte de base (circuits de proximité, mise en réseau, diversification...) L appui aux centralités (développement des marchés, aménagements...) L éco-construction (mise en cohérence avec le PLDE et le PCT) L artisanat de production (animation économique, aide à l installation en ZA...) La prochaine étape de cette A.M.O. est la mise en forme du cadre stratégique (sous 10 jours) et la définition d un programme d actions lors du prochain échange technique. Prochaine réunion : Comité de Suivi 20 juin h 30 Méteren (C.C. Rurale des Monts de Flandre)

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