Diagnostic du syndrome de l intestin irritable (SII) au quotidien

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Diagnostic du syndrome de l intestin irritable (SII) au quotidien"

Transcription

1 Diagnostic du syndrome de l intestin irritable (SII) au quotidien Diagnostic par excès ou diagnostic par défaut Wafaa. Hliwa CHU Ibn Rochd Casablanca

2 SII: Préoccupation de santé publique SII =Trouble fonctionnel digestif : > 20 % de la population générale, Ø Ø douleurs ou inconfort abdominal associé à une altération de la fréquence ou la consistance des selles: Ø SII-D; SII-C; SII-M Diagnostic: symptôme + absence de cause organique démontrable Lovell RM. meta-analysis. Clin Gastroenterol Hepatol 2012 Femme ** Motif fréquent de consultation: généraliste, gastro-enltérologue, gynécologue, psychiatre ::: Maladie Chronique; récurrente : Altère qualité de vie xx coûts sanitaires

3 Physiopathologie actuelle du SII: mul&factorielle Philippe Ducrott HEPATO-GASTRO et Oncologie digestive 751 vol. 20 n8 9, novembre 2013

4 SII au quotidien: Problèmes Patient Doute de la bénignité évidente pour corps médical Ø Qualité de vie Ø résolution symptomatique souvent incomplète Médecin maladie bénigne et fonctionnelle mais chronicité Physiopathologie Traitement Ø Ø L attente d informations semble souvent insatisfaite «médecin incompétent» sur le SII (3/4 des patients enquête APSSII) souhaite donc non seulement être écouté, mais également soutenu et informé sur le diagnostic et l évolution de son affection Diagnostic: basé sur les symptômes Pas de test diagnostic précis Symptômes variables et varient au cours de l évolution Soucieux: éliminer une pathologie organique à cours et à long terme

5 SII: difficulté diagnostique Affection chronique ü Possibilités d apparition d affections organiques: Quant faut il s inquiéter? ü SII associé à d autres pathologies ou IBS like-symptoms: MICI, cœliaque. Ø Risque d erreur diagnostique: ü diagnostic par excès: découverte d anomalies asymptomatiques ( HH, LV, kyste biliaire ü diagnostic par défaut (TFI et maladies organiques sous jacente ): cancer, polype, intolérance au lactose; maladies gynécologiques Ø Nécessité de savoir évoquer le diagnostic et de savoir le remettre en question: comment?

6 Quelle démarche diagnostique? En pratique: Aucun consensus admis par tous Évolution du mode de pensée Diagnostic d élimination Bilan d emblé Critères de ROME III Pas de bilan initial?

7

8 SII: classificabon basée sur les symptômes (Rome III) Douleurs abdominale chronique ou Inconfort au moins 3 jours par mois dans les 3 derniers mois associée avec au moins 2 des points suivants: 1. améliorabon avec la défécabon 2. début associé avec une modificabon De la fréquence des selles De l aspect (apparence) des selles Sous type SII : transit prédominant: SII- C, SII- D, SII Mixte, SII non classé Ancienneté : plus 6 mois

9 Critères diagnostiques de SII ROME III 1. Typologie de la douleur (2 critères sur 3) Ø Douleurs abdominales Ø améliorées par l exonération Ø avec changement de fréquence des selles Ø avec changement de consistance des selles 2. Durée d évolution de la douleur Rome I : depuis 3 mois Rome II : 3 mois non nécessairement consécutifs sur 1 an Rome III : > 3 jours / mois au cours des 3 mois avec évolution des symptômes > 6 mois

10 Pourquoi ces Critères diagnostiques? Quelle validité? Aider le médecin au diagnostic positif Restreindre examens complémentaires Ø Réduire les couts de la prise en charge Ø Rassurer le malade Mais Scores diagnostiques sous-utilisés en pratique quotidienne La validité reste discutable

11 Critères de ROME Concordance ROME II ROME III Médiocre 46% (coefficient kappa 0,19) Ersryd A, Aliment Pharmacol Ther Pris isolément sans prendre en considération les signes d alarme : Sensibilité 60% 88% spécificité 55% 71% M Delvaux GCB 2005 Poynar T European J Gastroenerol Hepatology

12 Critères de ROME Méta-analyses de 6 études: Am J Gastroenterology 2002 Prévalence des maladies organiques avec critères de ROME Ø MICI: 0.5-1% Ø Cancer colorectal:0-0.5% Ø Maladie coeliaque:4.7% Ø Infection GI:0-0.7% Ø Dysthyroidie: 6% Ø Intolerance au lactose22-26 %

13 ValidaBon of the Rome III Criteria for the Diagnosis of Irritable Bowel Syndrome in Secondary Care Alexander C. Ford, Gastroenterology 2013 Conclusions: ExisBng diagnosbc criteria perform modestly in disbnguishing IBS from organic disease. There appears to be litle difference in terms of accuracy. More accurate ways of diagnosing IBS, avoiding the need for invesbgabon, are required.

14 Au total : critères de Rome Peuvent porter le diagnostic de SII mais Validité insuffisante Ne prennent pas en compte Ø les comorbidités digestives ou extra-intestinales Aident au diagnostic Et repèrent les malades les plus sévères. Ø L évolution des symptômes digestifs (overlap sd)

15 Quelle démarche diagnostique? En pratique: Aucun consensus admis par tous Diagnostic d élimination Évolution du mode de pensée Bilan d emblé: coût Critères de ROME III Pas de bilan initial? 3 ème Démarche intermédiaire

16 Diagnostic SII Nécessité d une approche diagnostique : Simple, précise, et moins lourde pour le patient et le médecin Ø Connaitre les caractéristiques des symptômes du SII Ø Connaitre les différents profils évolutifs Ø Examen physique Ø Un bilan limité (sauf si signes d alarme) Ø Prévaloir le bon sens clinique Ø Ne pas hésiter à revoir ses positions lors des consultations ultérieures Ø Savoir: Ecouter Examiner Expliquer, Rassurer

17 Douleur abdominale Signe le plus fréquent Douleur plus ballonnement: motifs de consultation le plus fréquent Type: Contraction, spasme, tension intolérable Siège: Désine cadre colique Hypochondres (sd de l angle colique droit ou gauche) Fosse iliaque droite ou gauche ou ombilicale Irradiation: en arrière, cuisses, en barre(région ombilicale)

18 Douleur abdominale Horaire: Après repas matinale «douleur réveille matin» Nocturne: inhabituelle!!! Évolution Quelques heures à quelques jours Soulagée par Émission gaz, selles Détente, repos vacances Aggravée Repas copieux, graisses, alcool, Stress, anxiété, fatigue

19 Ballonnement abdominal Très fréquent (flatulence) Tout l abdomen ou un angle Gêne postprandiale (desserrer la ceinture) Distension douleureuse très violente Emission de gaz

20 Trouble du transit SII-C : Constipation Entrecoupées de fausses diarrhées (spontanées ou après prise de laxatifs) SII-D: Diarrhée Gêne: fréquence et caractère impérieux des selles Motrices, débris alimentaires, postprandiales Absence de malabsorption, et d amaigrissement Mucus xx SII-M: Alternance diarrhée/constipation

21 SII: signes extra-coliques Digestifs Extradigestifs Nausées, vomissements éructation, dyspepsie sensation de boule dans la gorge mauvaise haleine prurit anal proctagies fugaces Fatigue chronique migraine Cystalgies, nycturie dyspareunie palpitations Lombalgies Fibromyalgies ***

22 Comorbidités fonctionnelles aide au diagnostic Digestives: sd de chevauchement Extradigestives Troubles psychologiques Dyspepsie fonctionnelle : 20 % AGREUS Gastroenterology 1995 RGO : 20 a 25 % méta-analyse Ford et al 2012 Ø Aggravent la qualité de vie Ø l anxiéte, dépression ; somatisation Fibromyalgie : 32% Douleurs pelviennes chroniques :14% Troubles sexuels 40% Cystite interstitielle% Syndrome de fatigue chronique 50% Lackner J, Clin Gastroenterol Hepatol 2011 Sperber AD. J Neurogastroenterol Motil 2010

23 Dans tous les cas : Démarche initiale Interrogatoire XX ATCD personnels ou familiaux (cancer colorectal, TBK, MICI, maladie cœliaque ), médication antérieure, Abus de laxatifs, ATCD d infection intestinale SII post infectieux. Symptômes digestifs: type, chronicité, évolutivité Type d inconfort ou de la douleur abdominale et du trouble du transit Autres signes: ballonnement, distension, borborysmes, flatulences, signes extradigestifs Evaluation pshycologique (questionnaire): sévérité des symptômes, qualité de vie Signes d organicité (d alarme) ATCD: cancer, tuberculose, maladie ceoliaque, MICI Début après 50ans Début récent < 6 mois Douleurs nocturnes Amaigrissement, fièvre, syndrome anémique Rectorragies.

24 Dans tous les cas : Démarche initiale Examen clinique ** Ça rassure (le malade et le médecin) Abdominale et général Douleur provoquée (cadre colique ), Signes de distension: colon droit dilatée et douloureux), «Corde colique» gauche douleureuse, météorisme.. Regarder la région anale: Toucher rectal xx (normal, Selles (dyschésie rectale) Signes d alarme: masse, fièvre ; empatement; ADP.

25 SII: Bilan pourquoi? Eliminer une affection organique (cancer, TBK.. Reconnaître signes positifs peu spécifiques et explorer signes d alarme À ne pas renouveler que si modification de symptômes Orienter par symptômes

26 SII - Bilan : lequel? NFS, bilan biochimique, VS, CRP Examen copro-parasitologique des selles (œufs, parasites, leucocytes, sang occulte ) Echographie abdominale Sérologie maladie coeliaque: IBS-D and IBS-M (Grade 1B). Bilan thyroïdien Coloscopie An Evidence-Based Systematic Review on the Management of Irritable Bowel Syndrome: Am J Gastroenterol, Volume 104 Supplement 1 january 2009

27 Coloscopie **est- elle systématiques? âge > 50 ans (dépistage du cancer colorectal Signes d alarme (grade1c) Biopsie si IBS-D ( grade2-c) An Evidence-Based Systematic Review on the Management of Irritable Bowel Syndrome: Am J Gastroenterol, Volume 104 Supplement 1 january 2009

28 Autres examens selon contexte Biomarqueurs d inflammation (calprotectine**) Test respiratoire au lactose: persistance des symptômes malgré le régime diététique (Grade 2B). Examens morphologiques: Echo, scanner Fibroscopie avec biopsies duodénales Bilan homonal: gatrinémie, sérotonine, 5HIAA,

29 SII et calprotectine fécale En dehors de contexte de MICI: Ø Ducrotté (abstact 06.05) (Jfhod cas SII - Rome III (dont 80% SII-D) 14/45( 31%): calprotectine fécale:> 50 ug/g 18/45(45%): inflammation sur les biopsies dont 6/18 calprotectine normale Anti-inflammatoires( salicylés et budésonide 2 mois: Efficacité sur les douleurs: 100% si calprotectine élevée, 57% si calprotectine normale Ø Intérêt des anti-inflammatoires si calprotectine élevée SII-D

30 Diagnos3c différen3el MICI/SII 30 études ( 1992/2007), 5983 pa3ents (1210 MICI) Sensibilité Spécificté CRP 30 40% % VS 18 52% % Calprotec&ne (Cutoff < 50μg/g) 89% 81% CalprotecBne (Cutoff < 100μg/g) 98% 91% Von Roon et al. Am J Gastroenterol 2007 ECCO 2014 : calprotectine fécale : différencie entre IBS et maladie de crohn

31 Connaitre les profils évolu&fs: aide au diagnos&c 1- Le SII est une maladie qui fréquemment évolue par périodes de plus grande acbvité de durée variable, entrecoupe es de périodes peu ou pas symptomabques 2- Les périodes de plus grande acbvité sont rythmées par des crises symptomabques brèves d une durée de moins d une semaine 3- Au bout d un an, disparaissent : plus 1/3 des pabents 4 - Au bout d un an, de nouveaux symptômes : prés ¼ 5 - Au long cours, les symptômes tendent à disparaitre : 1/3 des pabents 6- Au cours du temps, les symptômes tendent a` devenir moins sévères : ½ des pabents 7- Une améliorabon des manifestabons cliniques au bout de quelques mois augmente les chances d améliorer les symptômes a` un an Stanislas Bruley des Varannes HEPATO-GASTRO et Oncologie digestive vol. 20 n8 supplement 4, decembre 2013

32 SII et diagnostic par défaut: Diagnostic différentiel Polype,Cancer colorectal Pancréatite chronique ou cancer du pancréas MICI (RCH, Crohn) Hypo ou hyperthyroidie Malabsoption Intolérance au lactose Maladie coeliaque Colonisation bactérienne Tuberculose pathologie rénale Urgence: Coliques hépatique Colique néphrétique Appendicite Sigmoïdite diverticulaire Pathologie ovarienne Douleurs pariétales

33 SII? ou maladie cœliaque? O Leary,AmJ gastro2002: maladie coeliaque avec IBS-type symptoms» - 20% des MC remplissent les critères de Rome - SII avec Maladie coeliaque : 0 32% Sabate et al. JFHOD 2008 Etude multicentrique française SII ROME III Ac anti-transglutaminase: 0/115 BiesiekierskiJR Am J Gastro2011 SII (34 patients) sans MC et soulagés par régime sans gluten.

34 SII? ou maladie cœliaque? Ø SII: Hypersensibilité au gluten en dehors de toute maladie coeliaque : une des avancées physiopathologiques récentes Verder EF,. Am J Gastoenterol 2009 ; Démonstration de l utilité d une réduction de l apport en gluten voir de son exclusion par certaines études ( effet objectif sur la perméabilité intestinale ) Biesiekierski JR, Am J Gastroenterol 2011 Vazquez-Roque MI, Gastroenterology 2013 Ø Doit on faire sérologie systématiquement? Ø Ø Région haute prévalence MC SII-Diarrhée, SII-Mixte

35 SII? ou MICI? IBS-like symptoms: peu ou pas d inflammation 60% Crohn / 30% RCH: Simren et coll Rome II IBS-like symptoms : MICI en remission 1/3 des 73 patients RCH 42% des 34 patients Crohn en remission Anxiété et durée maladie : facteurs prédictifs significatifs pour IBS like symptoms Minderhoud IM Dig Dis Sci Hypersensibilité viscérale ( changement postinflammatoire, dysrégulation centrale) Long et Drossman 2010

36 SII? Ou MICI? Michael Camilleri Managing symptoms of irritable bowel syndrome in patients with inflammatory bowel disease GUT 2011 Recommandations ECCO 2014 La calprotectine fécale peut aider à différencier la MC du syndrome de l intestin irritable [NP2] (Statement 4C).

37 SII: Diagnostic par défaut Ø SII ou intolérance alimentaire Ballonement, flatulence, diarrhée après ingestion de produits laitiers 24.3% SII vs 5.7% contrôles P < Bohmer EurJ Gastroenterol Hepatol 1996 et Régime d éviction? ou lactose breath hydrogen test? Ø SII ou allergie alimentaire: ü signes généraux d allergie( urticaire, prurit

38 SII :diagnostic par défaut Savoir remettre en question le diagnostic si Modification qualitative et alarmante des signes habituels Une douleur qui devient nocturne, préexistants Une douleur qui devient persistante non rythmée ni par repas ni par le stress. Une douleur qui devient obstructive Une diarrhée qui persiste longtemps une constipation trainante (±sd dysentérique) Ø Chercher : cancer, MICI, TBK, maladie coeliaque, thyroïde, colites microscopiques, parasitose.

39 SII Savoir remettre en question le diagnostic si Une résistance à une médication auparavant ± efficace Une douleur abdominales basse (douleurs pelvienne) cycliques (endométriose) ou non : pathologie gynécologique aigue ou chronique( annexes, Kc ovaire ( distension, miction impérieuses). Ø examen gynéco, écho pelvienne. ) Douleurs d allure pariétale, musculaire Aigue, bien localisée, aggravée par toux, mouvement( manœuvre de carnett, soulagée par injection d anesthésique locaux

40 Critères évolutifs: Savoir remettre en question le diagnostic si signes d alarme apparaissent ATCD : CCR, MICI, maladie coeliaque, tuberculose début des symptômes après 50 ans, Symptômes d apparition récente (moins de 6mois) Rectorragies Amaigrissement Symptômes nocturnes Syndrome anémique Fièvre Anomalie à l examen clinique TR compris (masse, tumeur lésion anopérinéale ) Bilan xxx Biologie standard Coloscopie xx Autres: écho, TDM, gastroscopie, biologie ciblée. Cancer ou polype digestif Crohn, RCH Tuberculose.

41 En conclusion: 1 ère consulta&on (généraliste ou gastroentérologue) Douleur abdominale récidivante, ballonnement Soulagée par la défécation Avec trouble de transit ( diarrhée ou constipation ou alternance Selles anormales(dures et défaites( montrer Bristol!) Interroger, examiner Signes d alarme ATCD: cancer MICI, maladie coeliaque début après 50 ans Symptômes < 6mois Rectorragies ;Amaigrissement Symptômes nocturnes Sd anémique; Fièvre Anomalie à l examen clinique TR compris(masse, tumeur ) Ø bilan orienté; coloscopie XX Signes évocateurs Symptôme depuis plus de 6mois Aggravation: stress, aliments Consultations fréquentes pour symptômes non gastrointestinaux Emission de mucus Association: anxiété, depression Signes extaracoliques

42 En conclusion: 1 ère consulta&on (généraliste ou gastroentérologue) Bilan 1 ère ligne NFS, VS,CRP, biochimie Echo abdominale?! Examen coproparasitologique des selles TSH, au cas par cas AC antitransglutaminases : SII-D, SII-M Si anomalies: Bilan 2 ème ligne orienté Si négatif Évoquer le diagnostic de SII Expliquer c est quoi SII traiter RDV de contrôle

43 En conclusion: consulta&on de contrôle (généraliste ou gastroentérologue) Ré-interroger, re-examiner signes d alarme symptôme nouveaux ou modification Ø Remettre en question le diagnostic Ø bilan 2 ème ligne Pas de signes d alarme ni nouveaux symptômes Ø Évaluer efficacité du traitement Ø À poursuivre ou à modifier Dans tous les cas Réassurer ( surtout si contexte anxieux Réinformer Écouter Bon sens clinique Attention au contre transfert négatif

44 Louis Pasteur «guérir parfois, soulager souvent, écouter toujours»

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac

Plus en détail

Conduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage. Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris

Conduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage. Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris Conduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris Troubles digestifs au retour de voyage Diarrhée (> 2 selles/j de consistance anormale)

Plus en détail

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement

Plus en détail

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de

Plus en détail

Institut WanXiang Historique de santé du patient

Institut WanXiang Historique de santé du patient Institut WanXiang Historique de santé du patient Merci de remplir ce questionnaire aussi complètement que possible et d indiquer les zones d incompréhension avec un point d'interrogation. En plus de toutes

Plus en détail

INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE

INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous

Plus en détail

DOULEURS ABDOMINALES CHRONIQUES ET SYNDROME DE L INTESTIN IRRITABLE

DOULEURS ABDOMINALES CHRONIQUES ET SYNDROME DE L INTESTIN IRRITABLE Département de médecine communautaire de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours DOULEURS ABDOMINALES CHRONIQUES ET SYNDROME DE L INTESTIN IRRITABLE SOMMAIRE PART I : DOULEURS

Plus en détail

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13 Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière

Plus en détail

«J ai mal au ventre» :

«J ai mal au ventre» : «J ai mal au ventre» : La douleur abdominale chronique Georges Ghattas, MD Présenté à la Journée d éducation médicale continue de l Université de Montréal, le 10 octobre 2003. Il n existe pas d algorithme

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

MI1:Métabolisme et Nutrition Séméiologie des troubles du transit Année universitaire 2007-2008

MI1:Métabolisme et Nutrition Séméiologie des troubles du transit Année universitaire 2007-2008 Introduction Séméiologie des troubles du transit Dans sociétés occidentales, où la quantité de fibres alimentaires est faible, le transit digestif normal se manifeste par : émission de selle de consistance

Plus en détail

MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN :

MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : DOSSIER 13 MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : ENTRE SOUFFRANCE ET TABOU Souvent dissimulées par les malades, parfois encore ignorées par la médecine de ville, les maladies inflammatoires chroniques

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

Informations sur le cancer de l intestin

Informations sur le cancer de l intestin Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Migraine et mal de tête : des "casse-tête"

Migraine et mal de tête : des casse-tête Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Prise en charge des symptômes gastro-intestinaux courants dans la communauté

Prise en charge des symptômes gastro-intestinaux courants dans la communauté World Gastroenterology Organisation Global Guidelines Prise en charge des symptômes gastro-intestinaux courants dans la communauté Perspective globale concernant les brûlures rétrosternales, la constipation,

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

Comment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?

Comment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va? Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Comprendre la COLITE ULCÉREUSE

Comprendre la COLITE ULCÉREUSE Comprendre la Qu est-ce que la colite ulcéreuse? La colite ulcéreuse est une affection chronique du gros intestin (côlon). L appareil digestif (y compris l estomac, les petit et gros intestins) transforme

Plus en détail

LE REFLUX ACIDE ET LE RGO

LE REFLUX ACIDE ET LE RGO LE REFLUX ACIDE ET LE RGO PATHOLOGIQUE : Une réalité troublante au Canada FAIT 1 SUR LE RGO PATHOLOGIQUE VOIR PAGE 8 Société canadienne sur la recherche intestinale En moyenne, les patients atteints de

Plus en détail

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé. RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Vivez votre féminité sans souffrir.

Vivez votre féminité sans souffrir. Vivez votre féminité sans souffrir. PERDOFEMINA (lysinate d ibuprofène) est un médicament pour les adultes et les enfants à partir de 12 ans. Pas d utilisation prolongée sans avis médical. Ne pas administrer

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

NOTICE. TRIMEBUTINE MYLAN CONSEIL 100 mg, comprimé

NOTICE. TRIMEBUTINE MYLAN CONSEIL 100 mg, comprimé NOTICE ANSM Mis à jour le : 15/07/2014 Dénomination du médicament Encadré TRIMEBUTINE MYLAN CONSEIL 100 mg, comprimé Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient

Plus en détail

Comprendre la MALADIE COELIAQUE

Comprendre la MALADIE COELIAQUE Comprendre la Qu est-ce que la maladie cœliaque? La maladie cœliaque est un trouble des intestins causé par une réaction à l ingestion de gluten, une protéine que l on retrouve dans le blé, le seigle et

Plus en détail

Lombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010

Lombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82

Plus en détail

Les Arbres décisionnels

Les Arbres décisionnels Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir

Plus en détail

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération

Plus en détail

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS)

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU

Plus en détail

Veloci Tea. Ce merveilleux Thé détoxifiant. Des personnes ont été traitées avec, pour des problèmes comme:

Veloci Tea. Ce merveilleux Thé détoxifiant. Des personnes ont été traitées avec, pour des problèmes comme: Ce merveilleux Thé détoxifiant VelociTea est un mélange unique de plantes médicinales avec la sécurité que tous les ingrédients sont 100% naturels, conçu pour nettoyer en douceur le système digestif et

Plus en détail

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,

Plus en détail

LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME

LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME Dr Karoly HORVATH, M.D., Ph.D. Diapo 1 : Mesdames et messieurs : c est un plaisir d être ici et de présenter notre expérience dans le traitement des

Plus en détail

Mieux informé sur la maladie de reflux

Mieux informé sur la maladie de reflux Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département

Plus en détail

Brûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager

Brûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac

Plus en détail

NOTICE. DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine

NOTICE. DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine NOTICE ANSM Mis à jour le : 08/06/2010 Dénomination du médicament DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine Encadré Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament.

Plus en détail

1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie

1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie 1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie C. Dubé Sections rédigées par : R.F. Bursey, M.C. Champion, J.M. Fardy, S. Grégoire, D.G. MacIntosh, D.G. Patel, A. Rostom, N. Saloojee, L.J. Scully,

Plus en détail

Maladies psychosomatiques Dr Yves ZERBIB Département de Médecine Générale UCBL1

Maladies psychosomatiques Dr Yves ZERBIB Département de Médecine Générale UCBL1 Maladies psychosomatiques Dr Yves ZERBIB Département de Médecine Générale UCBL1 Cas de Madame N. B. Mme N. B. vient vous voir. Elle a mal au dos, «comme d habitude, en bas du dos comme une barre dans les

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

Les formes cliniques. Maxime Breban

Les formes cliniques. Maxime Breban Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes

Plus en détail

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique

Plus en détail

La migraine : quelle prise de tête!

La migraine : quelle prise de tête! La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

Infections urinaires chez l enfant

Infections urinaires chez l enfant Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait

Plus en détail

Voyager avec sa mici.

Voyager avec sa mici. Voyager avec sa mici. Alors que vous pouvez confier certaines choses à vos voisins lorsque vous partez à l étranger, vous êtes bien obligés d emmener avec vous votre mici pour chacun de vos voyages. Tant

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences

Plus en détail

Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008

Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traiter un symptôme Position du problème Ampleur de la plainte Histoire naturelle Mode de prise en charge actuelle Règles hygiéniques Rééducation

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes

Plus en détail

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

Déclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.

Déclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat

Plus en détail

Vertiges et étourdissements :

Vertiges et étourdissements : : comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

La prise en charge de votre spondylarthrite

La prise en charge de votre spondylarthrite G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre spondylarthrite Vivre avec une spondylarthrite Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

Carnet de suivi Lithium

Carnet de suivi Lithium Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous

Plus en détail

DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :

DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement : DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La

Plus en détail

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,

Plus en détail

FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER

FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER Date d'effet : Échéance Annuelle : Périodicité : Annuelle Semestrielle Durée : 1. LE PROPOSANT (sera le preneur

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

HEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs

HEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème? Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte

Plus en détail

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol

Plus en détail

La constipation occasionnelle chez l adulte

La constipation occasionnelle chez l adulte Laconstipationoccasionnellechezl adulte Laconstipationsedéfinitparladiminutiondelafréquencedessellesendessousde3parsemaine. Cette définition ne constitue pas une règle absolue, la fréquence des selles

Plus en détail

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions

Plus en détail

Maladies neuromusculaires

Maladies neuromusculaires Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de

Plus en détail

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,

Plus en détail

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,

Plus en détail

N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20

N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20 RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail