DE L IBW Données 2014

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "DE L IBW 2015. Données 2014"

Transcription

1 DECLARATION ENVIRONNEMENTALE DE L IBW 215 La présente déclaration 215 est la mise à jour de la déclaration complète EMAS pour la période Elle se base sur les données de l année 214 Le document sera actualisé en 216 (données 215) 1

2 I. DECLARATION DE VALIDATION 215 2

3 TABLE DES MATIERES I. DECLARATION DE VALIDATION II. POLITIQUE ENVIRONNEMENTALE...4 III. ENREGISTREMENT EMAS ET CERTIFICATION ISO 14.1 EN IV. GENERALITES...6 LE PROGRAMME ENVIRONNEMENTAL...6 Les objectifs généraux...6 Les objectifs d amélioration de 214 :...6 La conformité réglementaire...9 Les contrôles...9 V. LES ACTIVITES LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE, AMENAGEMENT DU TERRITOIRE, PATRIMOINE, INFRASTRUCTURES ET CRÉMATORIUM L EPURATION DES EAUX USEES L assainissement-investissements L exploitation des ouvrages d'épuration LE TRAITEMENT DES DECHETS La valorisation énergétique : Usine de Virginal Le Centre de tri-broyage et de transfert de Mont-Saint-Guibert (CTR) La valorisation des matières (Valmat) LE SIEGE ADMINISTRATIF...51 VI. ADRESSES ET INFORMATIONS UTILES DES SITES EMAS / ISO 141:...54 VI. ADRESSES ET INFORMATIONS UTILES DES SITES EMAS / ISO 141:...54 Supprimé : 4 Supprimé : 5 Supprimé : 6 Supprimé : 6 Supprimé : 6 Supprimé : 6 Supprimé : 9 Supprimé : 9 Supprimé : 1 Supprimé : 1 Supprimé : 12 Supprimé : 12 Supprimé : 17 Supprimé : 33 Supprimé : 33 Supprimé : 39 Supprimé : 43 Supprimé : 51 Supprimé : 54 Supprimé : 54 3

4 II. POLITIQUE ENVIRONNEMENTALE 4

5 III. ENREGISTREMENT EMAS ET CERTIFICATION ISO 14.1 EN 215 Le SME couvre 55 sites, dont 54 sites EMAS + 1 site ISO 14.1 (le Crématorium) Trois nouvelles stations d épuration intègrent le SME en 215, la station de Bousval, de Bomal et de Villers-la-Ville. 1. Siège IBW à Nivelles, avec les services administratifs et les départements Economique et Aménagement du territoire, Assainissement des eaux et Déchets 2. Usine et plate-forme de compostage de Virginal 3. Centre de tri, broyage et transfert des déchets à Mont-Saint-Guibert 4. Crématorium du Champ de Court à Court-Saint-Etienne (ISO 14.1 uniquement) Stations d épuration 5. Bierghes à Rebecq 6. Bois-des-Nonnes à Ittre 7. Bomal nouvelle station mise en service en Bousval nouvelle station mise en service en Céroux à Ottignies 1. Chastre 11. Genappe 12. Grez-Doiceau 13. Hamme-Mille 14. Hélécine 15. Houtain-le-Val 16. Jodoigne 17. Ittre 18. La Bruyère à Beauvechain 19. Longueville 2. Lotissement 1815 à Villers-la-Ville 21. Louvain-la-Neuve 22. Nivelles 23. Orp-le-Grand 24. Perwez 25. Petite Bilande à Wavre Nord 26. Plancenoit à Lasne 27. Quenast à Rebecq 28. Rebecq 29. Saintes à Tubize 3. Sainte-Wivinne à Incourt 31. Sart-Dammes-Avelines 32. Sart-Messire-Guillaume 33. Tubize 34. Vallée de la Dyle à Basse-Wavre + Plate-forme de compostage 35. Vallée de la Lasne à Rosières 36. Vallée-du-Hain «Orchis» à Braine-le-Château 37. Villers-la-Ville nouvelle station mise en service en Waterloo Parcs à conteneurs 39. Braine-le-Château 4. Braine-le-Comte 41. Chaumont-Gistoux 42. Court-St-Etienne 5

6 43. Genappe 44. Incourt 45. Ittre 46. Jodoigne 47. Nivelles 48. Orp-Jauche 49. Perwez 5. Rebecq 51. Rixensart 52. Tubize 53. Villers-la-Ville 54. Walhain-Chastre 55. Wavre IV. GENERALITES INTRODUCTION La Déclaration environnementale est rédigée en version complète tous les trois ans, lors de chaque nouvelle certification. Une mise à jour des données est réalisée la deuxième et la troisième année de certification. La présente Déclaration est la mise à jour de la deuxième année de certification. Les impacts significatifs non réglementés ont été identifiés et répertoriés dans la version complète de 214. Des actions d amélioration sont en rapport avec ces impacts, chaque fois que la situation la permette. LE PROGRAMME ENVIRONNEMENTAL LES OBJECTIFS GENERAUX Les objectifs généraux, en adéquation avec la politique environnementale, sont présentés dans la Déclaration Environnementale complète. LES OBJECTIFS D AMELIORATION DE 214 : N Secteur Description de l'objectif 1 Step 2 PAC 3 Step 4 Step 5 Step Amélioration du chaulage des boues à la station de Waterloo. Cible : < d un arrêt de l installation par semaine Apports de déchets dans les parcs à conteneurs par remorques bâchées. Cible visée : 6% Diminution de la consommation de chlorure ferrique de 1% à la station d épuration de la Lasne Optimisation du fonctionnement du sécheur à Basse-Wavre Recyclage des poudres issues du traitement des boues à Basse-Wavre Délais prévu Etat d avancement Clôturé en 214. Cible atteinte. Action en continue 3% de remorques bâchées en 214. Objectif revu (FO 2bis) Changement de stratégie 216 Clôturé. Cible atteinte Clôturé en 215. Cible atteinte. Clôturé en 215. : filière d'élimination ; pellets valorisés en agriculture. Solutions techniques afin de réduire les 6

7 6 Step 7 Step 8 Step 9 Step 1 Step 11 Step 12 Step 13 Step 14 Step 15 Step 16 Step 17 ECO 18 ECO 19 Virginal 2 Valmat Compost 21 Virginal 22 Virginal 23 Virginal Former les pilotes du sécheur afin de valoriser au mieux le produit issu du sécheur des boues à Basse-Wavre Evaluation de la puissance des équipements sur les nouveaux ouvrages Mise en place de nouvelles mesures de prévention d inondation dans les step Dégager les pistes d optimisation énergétique ; Réalisation d un bilan énergétique de la filière boues Optimisation de la consommation d énergie sur certaines centrifugeuses ; réduction de 1% de la consommation d énergie Diminution des transports des boues par une optimisation de l épaississement des boues Valoriser les boues de la step de la Vallée de la Dyle Réduction et optimalisation des produits chimiques filières eau à la station de Nivelles. Diminuer de 5% les consommations de polychlorure d Aluminium et préférer l utilisation de chlorure ferrique à la station de Ways Diminuer de 1% les consommations de polychlorure d Aluminium et préférer l utilisation de chlorure ferrique à la station de Tubize Diminution de la consommation de réactifs, eau de ville et énergie en améliorant le fonctionnement de l unité de désodorisation et de ventilation Extension économique et écologique de la zone de Nivelles nord Accompagnement des entreprises pour la réduction des consommations électriques Projet pilote du Gouvernement wallon, Ores et les intercommunales wallonnes poudres. Clôturé en 215. Des procédures sur le sécheur ont été créées et mises à jour. Vérification dès la mise en fonction de l'installation. Listing des modifications à introduire pour les installations existantes. 216 Terminé en avril Etude terminée (avril 214). Bilan septembre 214. Retard de mise en place, suite à l'installation d'un débitmètre sur conduite de biogaz. En cours Etude à commencer sur Jodoigne et puis Grez- Doiceau. En cours un tableau a été transmis au chef de zone Clôturé en 215. Pré rapport en septembre 213. Identification des sources de rejet cuivre en cours En cours. Le traitement des boues de Nivelles devra être prochainement rénové. Actions 1 et 2 terminées en janvier 214 Action 3 en cours Changement réalisé en janvier 214 Vérification résultats en cours Etude réalisée en octobre 214 Essais en janvier 215 Rédaction d'un plan d'étude en mars 215 La réalisation des actions est en cours. 219 En cours 215 Augmentation de 3% de la production électrique en remplaçant le lait de chaux par le NaHCO Améliorer le PCI du refus de tamisage construction d un auvent Amélioration de l efficacité des aérocondenseurs en cas de fortes chaleurs Diminution de 5% le nombre des arrêts des lignes d incinération Diminution du charbon actif utilisé dans le traitement des fumées et donc des refioms Terminé ; objectif atteint. 13 entreprises participantes pendant un an. Audit, rapport final et recommandations d amélioration En cours ; essais nonconcluants en 214 Pas d augmentation d électricité / tonne déchets 215 Reporté pour Objectif atteint ; clôturé 214 Objectif atteint ; clôturé 214 Objectif non atteint : 2,7kg/t 7

8 24 Virginal 25 Virginal 26 Step 27 Step 28 Valmat PAC 29 Step produits. Arriver en 214 à 2 kg charbons actifs par tonne incinérée Diminution de la consommation de chaux vive. Arriver à 12 kg/t incinérée. Diminution du risque de pollution par HCl, NaOH et NH 4 OH lors du dépotage. Elaboration de nouvelles procédures et formation du personnel Houtain-le-Val : rejets conformes à 9%. Fiabilisation de l installation électrique Amélioration du traitement et valorisation des boues : réalisation d un plan stratégique boues (étude Valboue) Réduction du bruit : 1% enlèvement des conteneurs dans les plages horaires prévues dans le CSCh. Rixensart et Court-Saint-Etienne Optimalisation des produits chimiques filière eau à la station de Waterloo 214 Objectif atteint : 1,8kg/t Clôturé 214 Objectif atteint ; clôturé 216 En cours 216 En cours 216 En cours 217 Terminé. Objectif atteint Tableau des objectifs en cours, des programmes antérieurs : N fiche 47/21 Step Secteur L intitulé de l'objectif Waterloo : Traitement des eaux d orages débordant du bassin d orage Délai prévu 217 Etat d avancement Le dossier est étendu à la gestion globale des eaux de pluies. FO n 8 de 214 1/211 Step 2/211 Step 3/211 Step 12/211 Step 16/211 Step 31/212 Valmat 46/213 ECO 47/213 ECO 48/213 ECO 49/213 ECO Valorisation des sables à la Step de Nivelles Valorisation des sables à la Step de Tubize Amélioration prétraitement à la Step de Waterloo Fiabilisation des automates petites stations. Fiabilisation des automates des petites stations. Réalisé pour toutes les stations, sauf pour la step de Ways à Genappe Réduction des consommations énergétiques des stations Aménagement des espaces verts au PAC Chaumont-Gistoux de type Natagora + label «Réseau nature». Eclairage public PAE Saintes (Accord IBW/Commune/ORES : Voirie principale en éclairage normal, voirie secondaire en éclairage LED) Etude éclairage public hall relais Saintes (Intégration au CSCh.) Etude mobilité douce PAE Saintes (Travaux ± aout 214) Etude mobilité douce entre pistes PAE sud Nivelles et anc. PAE communal Nivelles (en phase conception) Les deux objectifs sont en attente d une décision quant à l'opportunité d'installer ou non un traitement des curures. Si le projet d'un centre de traitement des curures est supprimé, reprise de la rédaction d'un CSC. Repris dans un objectif plus général voir FO n 1 de 214 Clôturé en 215. Il reste la migration de la station d'épuration de Ways. La création des rapports de débit est reprise dans la fiche 6/213. En cours. Group de travail constitué. Inventaire + plan d'actions en débutant par une step (Nivelles) L aménagement réalisé n a pas donné les résultats escomptés, donc pas de label Etude terminée. Mise en œuvre prévue pour le 1 er semestre Etude terminée. Chantier en cours 214 Etude terminée. Travaux en cours 214 En attente de l accord de la ville de Nivelles (prise en charge de 2%) 8

9 53/213 Step Réseau eau de service Grez 216 En cours 55/213 Step 56/213 Step 57/213 Step 58/213 Step 6/213 Step Etude de l optimisation de la désodorisation de la step de Rosières et diminution des produits chimiques utilisés Aménagement des espaces verts de manière «différenciée» à la step de Nivelles Amélioration de la gestion des centrifugeuses Réaménagement de la zone forestière de Waterloo. Réalisation des rapports de débits des sites Clôturé en 215. Mise en place des actions et modifications à entreprendre via le rapport de la réunion de coordination. Projet en cours d'analyse. Une première zone autour du décanteur lamellaire a été rénovée et plantée avec des arbres fruitiers 216 Clôturé en Clôturé en En cours. LA CONFORMITE REGLEMENTAIRE Aucune non-conformité majeure identifiée en 214 LES CONTROLES Le point fait à la RD. Les contrôles sont réalisés par le biais des audits internes notamment. 34 audits ont été inscrits dans le programme de 214. Les non-conformités mineures constatées ont été résolues ou sont suivies à long terme. La Revue de direction, tenue en mai 215, a analysé l évolution du SME et a conclu qu il répond aux grandes lignes de la politique environnementale de l IBW. Il a été décidé à la revue d intégrer en EMAS les trois nouvelles stations d épuration de Bousval, de Bomal et de Villers-la-Ville. Le Crématorium reste toujours en ISO

10 V. LES ACTIVITES 1. LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE, AMENAGEMENT DU TERRITOIRE, PATRIMOINE, INFRASTRUCTURES ET CRÉMATORIUM Présentation de l organigramme : Service Aménagement du territoire Service Expansion économique Service Infrastructures Service Patrimoine Crématorium Objectifs 213 : Mobilité douce Nivelles sud Projet en Standby Mobilité douce Saintes Travaux en cours PAE Tubize/Saintes II Eclairage public LED Intégré au projet (Voirie principale en éclairage normal, voirie secondaire en éclairage LED) WH354 Eclairage bureau LED Intégré au projet Objectifs 214 : Smart Park : aider les entreprises à utiliser intelligemment l électricité dont elles ont réellement besoin. IBW coordonne Entreprises/PME et fournisseur (analyse des consommations, sensibilisation et recommandations). 13 entreprises sur 2 se sont inscrites à cette action. Nivelles nord PAE Orchidées, extension du PAE de Nivelles nord alliant le développement économique et le développement écologique Rénovation du bâtiment «Le Mazerin» suivant le principe du Cradle-to-Cradle: récupération des matériaux existants (cloisons, dalle de sol, châssis, etc.) utilisation de matériaux 1% recyclés (tapis de sol, isolant en liège, parevapeur végétal, etc.) Pour l économie d énergie, on a installé de l éclairage LED sur détecteur de présence dans les couloirs et de l éclairage basse consommation dans les bureaux Installation de panneaux solaires au centre d entreprise Einstein : 748 panneaux pour une production annuelle de ± 168 MWh Incidents Pas d incidents ni de plaintes enregistrés en 214. Toutes les plaintes de 213 ont été traitées et clôturées. Le dépôt de terre rue de la science à Nivelles-Sud survenu en 212 : sera résolu lors de la vente du terrain. Respect de la législation Gestion et suivi des contrôles légaux et mise en conformité de nos bâtiments : mise en place d une instruction de travail : amélioration de la gestion documentaire (classement des papiers et scans) et du tableau de suivi Objectifs environnementaux Étude d éclairage public moins énergivore pour l extension du parc d activité de Saintes II Etude terminée. Chantier en cours. 1

11 Étude de l éclairage bureau LED (WH354) pour le futur hall relais de Saintes II Etude terminée. Analyse des résultats de l étude, choix de l installation mieux adaptée et intégration au CSCh. Etude de la mobilité douce dans les PAE de Nivelles sud Création de pistes cyclo-piétonnes depuis l ancien PAE de Nivelles sud (géré par la ville de Nivelles) Projet en attente de la décision de la Commune qui doit débourser 2% du cout. Etude de la mobilité douce dans les PAE de Saintes Création de pistes cyclo-piétonnes dans le PAE de Saintes. Les travaux sont en cours. PAE Nivelles nord Orchidées Sauvegarde d une zone d intérêt écologique, accueillant des espèces protégées d orchidées. Un accord a été conclu avec le Département de la Nature et des Forêts pour protéger une zone de 5 hectares autour de l ancien bassin d orage. Panneaux photovoltaïques au centre d affaire Einstein Business Center Mise à disposition d une installation photovoltaïque par un tiers investisseur sur les toitures du centre d affaire Einstein Business Center situé à Louvain-la-Neuve. Mise en service de 748 panneaux photovoltaïques Production : 1/1/14 est de 14,1 MWh 1/1/15 est de 112,1 MWh La formule «tiers investisseurs» a été étudiée pour le centre champagne Landas et le Crématorium, mais le centre champagne consomme trop peu et le créma n a pas assez de surface de toiture pour cette formule de partenariat. 11

12 2. L EPURATION DES EAUX USEES 2.1 L ASSAINISSEMENT-INVESTISSEMENTS 6 chantiers de stations d épuration (Steps) en cours, pas moins de 4 steps ont été inaugurées courant de l année : Sart-Dames-Avelines, Villers-la-Ville, Hélécine et Bomal pour un nombre d équivalents-habitants supplémentaires de 2.6 EH. Le taux d équipements en step du Brabant Wallon passe à 97% et sort la Province du contentieux européen. Le taux d équipements de la Région Wallonne en step est de 89%. Les 15 chantiers de collecteurs en cours ont permis la construction de 12km supplémentaires et le passage à un taux de réalisation des collecteurs de 8%. 29 chantiers d égouttage étaient en cours en 214 au sein des 27 communes. STATIONS : Pas d adjudication en 214 Chantiers Rosières (mise à niveau) (finalisation mise en service) 1. EH Basse-Wavre (mise à niveau + extension) 21. EH Villers-la-Ville 8 EH Hélécine 6. EH 12

13 Bomal 3.7 EH Sart-Dames-Avelines 2.9 EH Villeroux 2.4 EH Bousval 4. EH COLLECTEURS : Adjudications Gette 3B (Jodoigne-Incourt) StPo du Manoir (Waterloo) StPo du Foyau (Braine-le-Château) Chaussée de Louvain (Hamme-Mille) 13

14 Chantiers Hain lot 5A (décompte final) Orp lot 1 + Lincent Coeurq lot 2 Bomal Ramillies Pisselet lot 2 Nil-St-Vincent (décompte final) Hamme-Mille lot 2 (décompte final) Ittre lot 1(décompte final) Hélécine lot 2 (décompte final) Pécrot (décompte final) Hain lot 4 (Lillois) (décompte final) Sart-Dames-Avelines Ry de Hèze (Grez-Doiceau) (décompte final) Bousval Hain lot 4 partie 2 et 3 (Lillois) Dyle lot 9 (Court-St-Etienne)(Décompe final) Villeroux Saint Gery Ry du Pré Delcourt (Chaumont-Gistoux) Baulers Est Orp lot 2 Bousval Village Oisquercq Derrière les Monts (Braine-le-Château) Séparation eaux claires parasites Ry St Jean (Jodoigne) 14

15 StPo la Justice (Braine-l'Alleud) EGOUTTAGE : 29 chantiers d égouttage en 213, dont : 18 où IBW est Maître d ouvrage: 11 où l IBW assiste les Communes qui sont Maître d ouvrage Km collecteurs existants BW = 29 km RW= 1994 km Km égouts existants BW = 215 km RW = km STATIONS D EPURATION INDIVIDUELLE (SEI) : (269 contrôles effectués sur demande depuis le début de l activité en 29) Evolution du nombre de SEI contrôlées : DEMANDE DES IMPETRANTS Plus de 15 demandes par jour ouvrable ont été reçues en 214. Le service développe une cartographie qui remplacera à termes les plans papiers «As Built» et permettra une certaine automatisation dans les réponses AUTORISATIONS DE DEVERSEMENT ET AVIS URBANISTIQUES : Le service remet un avis sur l autorisation de déversement d une entreprise ou sur les dispositions en matière de gestion des eaux usées et pluviales des projets immobiliers. Les demandes émanent des Communes, de la Région Wallonne, des promoteurs publics et privés, des architectes, des bureaux d études, Année Autorisations déversement Avis urbanistique Zones d immersion temporaire (ZIT) Dans le cadre de ses actions de lutte contre les inondations, l IBW s est vu confier en 213 par la commune de Tubize la mission d étudier deux zones d immersion temporaire (sur le Coeurq de 77.m³ et le Laubecq de 3.m³). La Province vient également de charger l IBW de 2 zones d extensions de crues (ZEC) sur Villers-la-Ville et Mont-Saint-Guibert. Reste à réaliser en Brabant Wallon 16 Steps pour 18. EH 7 km collecteur 3 km égouts Dans les années à venir le service investissement : 15

16 Va se diversifier dans différents services proposés aux communes et à la Province comme en matière d études et réalisations des ouvrages de lutte contre les inondations. Développer son propre bureau d études interne égouts/voiries afin de se maintenir, voir agrandir l activité égouttage. Un addendum à la convention de collaboration a été transmis aux communes. Ainsi, la commune qui décide de déléguer la maitrise d ouvrage d un dossier conjoint voiries/égouttages se voit proposer des taux d honoraires IBW réduits et se voit offrir la coordination sécurité et les frais de négociations des éventuelles emprises de terrains. Dans ce cadre, les communes peuvent également charger gratuitement l IBW de réaliser les fiches techniques voiries/égouts de leur programme d investissements communal (PIC). Quelques 1 membres du personnel ont obtenu leur diplôme de coordinateur sécurité études & chantiers (formation de 8h / personne). 2 communes sur 27 ont déjà signé l addendum. Diminuer l activité en matière de stations et de collecteurs car les stations des agglomérations de > 2 EH sont réalisées et la plupart des grands collecteurs sont construits. L assainissement des agglomérations de plus petites tailles, il n est malheureusement pas à l ordre du jour du budget actuel de la SPGE. 16

17 2.2 L EXPLOITATION DES OUVRAGES D'EPURATION Station de la Lasne à Rosières, après mise à niveau Situation en chiffres : Longueur du réseau de collecte des eaux usées : km ,94 345,19 Nombre de déversoirs d orage Nombre total de stations de pompage exploitées (collecteur) Nombre total de stations de pompage exploitées (service aux communes) Nombre total de stations d épuration en service Volume d eaux usées traitées m³ Volume d eaux usées pour lequel un traitement tertiaire a eu lieu m³ Charge polluante traitée T de DBO5 Gadoues de fosse septique m³ m³ Production de boues solides (à 35 % de matière sèche) T de matières fraîches T de matières sèches Production de boues solides séchées (pellets/poudres) T de matière fraîche à 95 % de matière sèche T de matière sèche T de matière fraîche en stock Volume de boues liquides des petites stations d épuration m³ Longueur de conduites inspectées dans le cadre du service aux communes : km , On constate une augmentation des paramètres liés à l activité d exploitation des ouvrages d assainissement, tels : le nombre de stations en service et implicitement des EH exploités, les km du réseau de collecte les stations de pompage et des déversoirs d orage la longueur de conduits inspectés 17

18 Evolution de la certification des installations d épuration Stations EMAS Stations non EMAS EH stations EMAS EH stations non EMAS Total EH exploités nouvelles stations entrent dans le scope EMAS lors de l audit 215 : - Villers-la-Ville (8. EH) - Bomal (3.7 EH) - Bousval (4. EH) Qualité des eaux traitées Volume traité (EH) ,5% 87,27% 92,7% EH Volume d'eau traitée Volume d'eau traitement tertiaire Malgré la reprise en exploitation de 4 stations d épuration, de 7 stations de pompage et d une quarantaine de kilomètres de collecteurs en 214, le volume d eau traité a globalement diminué durant l année 214. Cette diminution est essentiellement due à 3 stations d épuration : Station de la Dyle à Basse-Wavre : après avoir augmenté le volume d eau traitée sur la station en 213, nous sommes revenus à un volume normal de traitement en 214 Station de Waterloo : Suite à des procédures judiciaires et au respect strict du permis d exploiter, les eaux du bassin d orage sont envoyées directement vers le 18

19 milieu récepteur, sans aucun traitement. Cette modification importante est aussi visible au niveau des résultats annuels. Station de Jodoigne : éliminations des eaux claires arrivant à la station, suite à des travaux de rénovation des égouts de la ville de Jodoigne et la fermeture de la vanne qui dirigeait le ruisseau Saint-Jean vers nos installations. Ces 3 stations étant des stations d épuration tertiaires, ce changement joue également sur les volumes traités en azote et phosphore. 3. Volume traité (EH de DBO) EH Volume d'eau traité en EH de DBO Note : EH de DBO : Unité de mesure permettant d'évaluer la capacité d'une station d'épuration. Cette unité de mesure se base sur la quantité de pollution émise par personne et par jour. 1 EH = 6 g de DBO5/jour soit 21,6 kg de DBO5/an. La capacité d épuration des eaux usées a augmenté en 214 avec la reprise en exploitation de quatre nouvelles stations d épuration. A noter que la faible charge de ces stations ne contribue pas à l augmentation de la demande biologique réellement traitée sur nos installations. 19

20 Evolution du rendement épuratoire (%) DBO5 DCO MES Ntotal Ptotal Les rendements épuratoires sur les différents paramètres restent stables. L évolution apportée par la mise en route de station d épuration tertiaire continue à améliorer les rendements éliminatoires au niveau de l azote et en phosphore. La teneur en moyenne annuelle en DBO et MES : Moyenne annuelle de la teneur en DBO et en MES des effluents 153, mg/l DBO des stations > 2. EH DBO des stations < 2. EH MES des stations > 2. EH MES des stations < 2. EH Norme DBO (> 2.EH) Norme DBO (< 2.EH) Norme MES (> 2. EH) Norme MES (< 2. EH) L ensemble des stations d épuration enregistrées dans la certification EMAS-ISO 141 ont une moyenne de leur analyse DBO, DCO et MES en-dessous de leur norme de rejet. 2

21 Seul la station d épuration de Braine-le-Château-Foyau (8 EH) a une moyenne analytique de ses eaux de rejet au-dessus de cette moyenne. Cette station sera démontée en juin 215, nous pouvons donc dire qu aucune non-conformité majeure n est à signaler sur le rejet en 215. Le traitement du phosphore et de l azote total : Moyenne annuelle de la teneur en Nt et Pt des effluents des stations tertiaires mg/l VALLEE DE LA LASNE (ROSIERES) VALLEE DE LA DYLE (BASSE-WAVRE) LOUVAIN-LA-NEUVE STEP VALLEE DU HAIN WATERLOO NIVELLES WAYS JODOIGNE TUBIZE GREZ-DOICEAU CHASTRE STEP DE ORP-LE- GRAND STEP VILLERS-LA- VILLE STEP HELECINE HAMME-MILLE NT PT Norme Ntotal Norme Ptotal L ensemble des stations d épuration réalisant un traitement tertiaires sont conformes aux normes de rejets en azote et en phosphore total. Echantillonage et contrôle rejets (par 1 EH),12,12,9,8,6,7,4,5,4,3,2,2, Nombre d'échantillons hors-normes par 1 EH Nombre de rejets hors-normes par 1 EH Nombre de pollutions de l'influent par 1. EH 21

22 Le nombre de pollution de l influent et le nombre d échantillons hors-normes sont stables. La diminution des rejets hors-normes par EH est en réalité due à l augmentation des EH rapportée à des rejets non-conformes relativement stables. Les performances environnementales : Consommation de ressources : Consommation électrique (KWh par EH de DBO) Consommation matières par EH de DBO 2,1 2 1,47 1,1,1,5,4,2,3,2,2,1,11, ,47,16 Consommation eau de ville m³ Consommation gaz m³ Consommations mazout chauffage litres Consommations carburant véhicules de service +pompes l Papier feuilles par EH théorique 22

23 La diminution de la consommation de gaz de ville en rapport avec les EH de DBO est en réalité une augmentation des EH avec les nouvelles stations, qui ne consomment pas de gaz de ville. Les travaux sur l installation de chauffage effectués à la station d épuration de la Vallée du Hain ont contribués également à cette diminution. La consommation de mazout de chauffage et de roulage est stable sur nos installations. Une sensibilisation de nos agents à bien fermer leur porte et à faire attention à leur consommation est régulièrement réalisée. Suite aux efforts quotidiens du personnel, nous avons réduit notre consommation de papier. Les démarches administratives étant en constante augmentation (p. ex. modification réglementaire à signaler à la commune et à la DPC, incident à signaler à la commune et à la DPC, document de preuve à remettre avec l enquête intégrée), il nous sera difficile d aller au-delà de cette diminution. Consommation de produits chimiques en 214 : La consommation de polymère solide est stable, et la consommation de polymère en émulsion a diminué globalement. Nous attribuons cette diminution aux efforts constants de la Cellule auto surveillance dans le suivi de ces produits. Consommation produits par tonne de matière séche 12 11,88 1,52 8,21 6,6,8, Polymère cationique liquide litres Polymère cationique solide Kg 23

24 Consommation produits par tonne de matière séche 228, ,3 194,7 189, ,8 7,4 72, Neutralac litres Lait de chaux litres Chaux magnésienne kg Chaux magnésienne crue en Kg Chaux retardée (CaO) Kg La consommation de chaux magnésienne reste stable. Le suivi de la consommation du lait de chaux par tonne de MS de boues produites explique la diminution de la consommation. En 214, plusieurs types de chaux ont été testés sur les boues biologiques, d où l augmentation de la consommation de chaux retardée et de chaux magnésienne crue. La consommation de ces deux produits a été mise en relation avec la production de boues séchées valorisées issues de la station de la Dyle. 24

25 Consommation matières : polymère anionique, kg par 1 EH 25,4 22, , La diminution de consommation de polymère anionique est due à la diminution de la production des boues pâteuses en provenance du traitement tertiaire de la station de la Vallée de la Dyle à Basse-Wavre. Suite à une panne de la centrifugeuse, ces boues ont été traitées par la centrifugeuse traitant habituellement les boues biologiques du site et utilisant un polymère cationique en émulsion. Consommations de produits m³ par EH de DBO 5,3 4 3,9 4,2 3, 2 1,6, Chlorure ferrique m³ Polychlorure d aluminium m³ 25

26 La consommation de produits de déphosphatation des eaux a globalement diminué. Le polychlorure d aluminium a été remplacé par du chlorure ferrique et les dosages de ces produits ont été optimisé grâce une amélioration de suivi de boues. Production de déchets 214 : Production de boues par EH de DBO kg Boues totales kg produites par EH de DBO Les nouveaux sites mis en exploitation en 214 étant très peu chargés, leur production de boues a été très faible. 26

27 Destination des boues (en tonnes et % de valorisation) % 88% 91% 6 8 tonnes 4 6 % Boues totales en tonnes produites Boues pateuses incinérées (T/MS) Boues séchées stocké (T/MS) Boues pateuses valorisées (T/MS) Boues séchées incinéres (T/MS) Boues valorisées par boues produites Suite à une pollution de l influent par une eau potentiellement contaminée biologiquement, le volume des boues incinérées a augmenté. Le volume de boues séchées valorisées thermiquement a été réduit, suite à 2 objectifs visant la station d épuration de la Vallée de la Dyle à Basse-Wavre : - diminution du cuivre présent dans l influent de la station d épuration, et donc dans les boues ; - mise en place de filière de valorisation pour les boues séchées. Epandage des pellets sur champ 27

28 Production déchets tonnes % % 1. 26% Sables produits tonnes Sables valorisés tonnes Graisses et huiles produites kg Déchets de dégrillage kg Pourcentage sables valorisés Production déchets % tonnes % 1. 26% Sables produits tonnes Sables valorisés tonnes Graisses et huiles produites kg Déchets de dégrillage kg Pourcentage sables valorisés Au vu des faibles quantités produites, la variation des déchets de dégrillage, graisses et huiles enlevés est stable sur les stations d épuration. L augmentation de la production de sable lavé et non lavé est due à la mise en route des installations de dessablage des stations des 3 Vallées (Vallée de la Lasne à Rosières, Vallée de la Dyle à Basse-Wavre et Vallée du Hain à Braine-le-Château). 28

29 Déchets dangereux UM Déchets issus du traitement de déshydratation des boues Chiffons polymère Kg Kg Sacs de polymère ou polymère Kg Kg Cubitainers pièces Kg Déchets issus des laboratoires internes d auto surveillance Liquides labo Kg Kg Tubes usagés labo Kg Kg 7 8 Flacons et verrerie labo Kg Kg Chiffons polymère + labo Kg Kg 173 Déchets issus de la maintenance des installations Huiles de vidange Kg Kg Chiffons huileux Kg Kg Bidons et fûts vides Kg Kg Piles et batteries Kg Kg Tubes TL Kg Kg Toiles de filtre presse Kg Kg 18 Peinture Kg Kg Divers Kg Déchets issus des pollutions de l influent Hydrocarbures Kg Kg Les déchets spécifiques au laboratoire interne ne sont pas évacués chaque année, ce qui explique la différence entre 213 et 214. Le stockage d huiles usagées dans des cuves mobiles doubles parois allant de 45 à 1. litres rend possible le stockage de plusieurs années de production. L augmentation des pots de peinture évacués est due aux travaux de peinture des taques afin de distinguer le réseau des taques emmenant les eaux usées vers l entrée de la station d épuration et le réseau de taque rejetant les eaux directement à la rivière. 29

30 Pollutions, incidents et plaintes Nombre de pollutions de l'influent Nombre d accidents / incidents environnementaux Nombre de non-conformités Nombre de plaintes fondées Les accidents et incidents environnementaux ont augmenté en 214 suite à des évènements particuliers : L inondation à la Vallée du Hain (arrêt de la step) : mise en place d une procédure pour éviter les inondations techniques Surconsommation d eau de ville sur certains sites due à des interventions sur les conduites, fuites ou vannes ouvertes. Résolution des fuites. Arrêts des stations d épuration liés à des travaux sur les installations ou à des coupures sur le réseau d alimentation électrique, etc. Ces incidents ont été traités et des actions correctives ont été appliquées à l ensemble des sites. 3

31 Biodiversité Répartition des superficiees des stations (m²) Superficie totale stations Surface bétonnée Surface non réparties (chantier) Superficie prairie sauvage ou fleurie L augmentation des superficies totales et bétonnées est due à la réception de 4 nouvelles stations d épuration. La superficie de prairies sauvages ou fleurie s est agrandie par la mise en place d une nouvelle prairie fleurie à la station d épuration de la Vallée de la Lasne à Rosières Travaux d aménagement de prairies fleuries à la station d épuration de la Vallée de la Lasne Parterres de la station d épuration de Louvain-la-Neuve La station d épuration de Villers-la-Ville se trouve au cœur d un étang, ce qui nécessite une attention particulière afin de maintenir un certain équilibre au niveau de la flore et de la faune (gestion des plantes invasives, aménagement des berges et des ouvrages d alimentation, de rejet et régulation du débit). 31

32 Les nichoirs placés en 213 ont été adoptés par de nombreux locataires en 214. L activité n ayant pas été étendue à toutes les zones, des nichoirs vont être construits et placés sur les Zones Ouest et Est, avec l aide d étudiants estivaux. 32

33 3. LE TRAITEMENT DES DECHETS 3.1 LA VALORISATION ENERGETIQUE : USINE DE VIRGINAL L important chantier réalisé en 213 sur la ligne une a permis un fonctionnement plus stable des installations tonnes de déchets ont été traités en 214, soit environ 8% de plus que l année précédente. 923 tonnes de déchets seulement ont été transférés dans d autres usines de traitement, pour plus de 67 t en 213. Bilan déchets entrants/sortants en tonnes ,4% 72,26 % 72,54% 8 Tonnes pourcentage réduction Tonnage incinéré Tonnage traité à l'extérieur Mâchefers produits et valorisés Réfioms Ferrailles produites et valorisées Pourcentage de réduction déchets 33

34 Production électrique Tonnes incinérées Mwh Tonnes incinérées Electricité produite Quantité électricité injectée sur le réseau Electricité achetée La production d électricité a augmenté de 7%, par rapport à celle de 213 grâce à un meilleur fonctionnement de l usine et donc des tonnages incinérés. Bilan énergie : Kwh par tonne incinérée Quantité électricité produite Quantité électricité injectée sur le réseau Les 87 jours d arrêt du turbo alternateur 2 suite à un problème technique a malheureusement diminué la quantité d électricité produite d environ 5.MWh. 34

35 Environnement. L ensemble des contrôles légaux ont été réalisés et n ont pas révélés d impacts significatifs de l UVE, les différents paramètres contrôlés restant toujours dans les normes. Mesures des retombées atmosphériques (particules sédimentables Jauge OWEN - ISSEP). Mesures des particules en suspension dans l air ambiant («amont/aval» usine ISSEP). Les analyses de sols. Les analyses d eau. Mesures des rejets atmosphériques (EN1948) Deux comités d accompagnement se sont déroulés durant l année et une seule plainte pour bruit a été enregistrée suite à une vanne mal refermée. Il n y a pas eu de dépassements en dioxines et les émissions ont encore diminué par rapport à 213, suite à un fonctionnement plus stable de la ligne 1 : Les rejets atmosphériques :,3 Evolution du rejet de dioxines,2,26 ng/eqt/nm³ Démarrage après travaux, fonctionnement pendant 61 heures. ng/eqt/nm³,1, J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D Ligne 1 Ligne 2 Norme 35

36 Les rejets atmosphériques sont restés durant toute l année en deçà des normes régionales : Paramètres mesurés UM Norme Moyennes 214 SO2 mg/nm³ 5 1 HCl mg/nm³ 1 4,5 NOX mg/nm³ 1 74 CO mg/nm³ 1 2 COT mg/nm³ 2 1,22 Poussières mg/nm³ 1.9 Dioxines (AMESA) TEQ ng/nm³.1.15 Consommation ressources Consommation ressources par tonne incinérée 4,5 3,45 3,26 3,5 2,25 2,5 1,5,37,38,36,39,43, Consommation fuel de process L par tonne incinérée Consommation eau de ville m³ par tonne incinérée Consommation eau de la Sennette m³ par tonne incinérée De manière générale, les consommations sont stables, avec une légère diminution du fuel par tonne incinérée. Il est envisagé le remplacement de la grille de la ligne 2 (refroidie à l eau) par des barreaux refroidis par air afin de limiter les nombreuses interventions dues aux fuites. Une optimisation de l alimentation en air serait réalisée dans le même temps. Ces modifications amélioreraient la combustion sur cette ligne, ainsi que la consommation de fuel. 36

37 Consommation produits Consommations produits (en kg) par tonne incinérée 16, 14,59 12,89 12, 1,82 8, 4,85 5,8 6,31 4, 2,21 1,42 2,61 2,7 2,5 2,49,78,58,75,67,71,66, Chaux vive Chaux hydratée Charbon actif NaOH NH4OH (< 25%) HCl La consommation de chaux s est encore s améliorée en 214 grâce au remplacement de la turbine Niro de la ligne 1 par des injecteurs statiques Lechler. Elle a diminuée de 35% en quatre ans, tout en conservant les rejets dans les normes. L enjeu de la diminution des quantités de chaux utilisée est triple : gain au niveau de l achat de chaux diminution de la quantité de refioms à traiter diminution de la quantité de vapeur nécessaire pour relever la température des fumées avant la Denox (abattement des oxydes d azote) et augmenter ainsi la quantité de vapeur disponible pour produire de l électricité. Un premier essai de bicarbonate a été réalisé en collaboration avec Solvay sur la ligne2. Celui-ci étant injecté sec, la diminution de la température des fumées avant la Denox (abattement des oxydes d azote) serait moindre et permettrait d économiser de la vapeur Les nombreux arrêts de la ligne 2 et les difficultés de combustion sur cette ligne, ont contraint l exploitant à conserver une utilisation importante de charbon actif pour assurer des rejets en dioxines dans les normes. Cette consommation devrait diminuer en

38 Consommation produits (en kg) par tonne incinérée (suite),1,1,8,6,5,4,3,2,,1,2,2,1,1,1,,6,23, ,7 Huiles Cortrol Optisperse PQ WAC Graisses Les consommations enregistrées en 214 se situent dans les limites normales. Production de déchets (en kg) par tonne incinérée 213,7 223,2 224,6 2, 15, 1, 5, 47,5 48,6 45,2, 4,8 5,6 4, Mâchefers produits et valorisés Réfioms Ferrailles produites et valorisées A noter que les métaux sont récupérés à 1%, ce qui n est pas récupéré à l UVE est récupéré lors du traitement des mâchefers. Les mâchefers ont été valorisés par Valomac et les ferrailles par Sowarec ; les réfioms ont été repris par Revatec, Shanks et Indaver. 38

39 3.2 LE CENTRE DE TRI-BROYAGE ET DE TRANSFERT DE MONT-SAINT-GUIBERT (CTR) Le Centre de Tri affiche en 214 un bilan nettement amélioré par rapport à 213, en lien direct avec le meilleur fonctionnement de l usine de traitement de Virginal. La fosse du centre a pleinement assuré son rôle de zone de stockage tampon lors des arrêts techniques de l usine. Une partie du gisement de papier/carton, collecté tant en porte à porte que dans les parcs, transite par Mont-Saint-Guibert avant de partir vers Gand. Exceptionnellement, plus de 6 tonnes de PMC ont été manipulées au Centre (252 t en 213!). Le transfert des PMC, qui ne devrait être que temporaire, s est poursuivi durant toute l année, en cause la procédure en justice entre Valtris* et le fabriquant du centre de tri des PMC. Annuellement et pour au minimum les 5 prochaines années, plus de 1 tonnes de papiers-cartons seront manipulées par le Centre de tri-transfère. *Valtris, société publique chargée de la gestion d un centre de tri automatisé des PMC. Le travail de réparation ou d aménagement des conteneurs pour les parcs s est poursuivi comme toutes les manipulations consécutives au regroupement des bouchons de Liège, des verres plats et des pots de fleurs en plastique venant des parcs. Bilan matières DECHETS Unité ENTREES SORTIES OM T Encombrants T OM des bulles à verre évacués vers Virginal : évacués vers d autres UVE 5.517* 72 T Bois T ** 3.41 Verre plat T Pots de fleurs T Ferrailles T PMC T Papiers/cartons T Total : T

40 87 % d OM en moins qu en 213 ont été envoyées vers l extérieur. Dans une situation optimale de fonctionnement (de l usine de traitement de Virginal notamment), les tonnages évacués vers d autres usines de valorisation devraient arriver à zéro. ** stock important début 213 Destination des déchets sortants (tonnes) Tonnes Déchets sortants Déchéts valorisés en énergie électrique Déchets triés et valorisés dans les filières Le tonnage de déchets transité par le Centre a augmenté, vu la zone de transfère PMC et papier carton. Bilan camions entrants / sortants nombre de camions % 82% 76% Nombre de camions entrants Nombre de camions sortants Pourcentage de réduction déplacements 4

41 La légère diminution du bilan 214 est principalement due au rapport moins favorable (camion entrant par rapport aux camions sortants) pour les PMC qui affecte globalement le taux par rapport à 213. Du point de vue de la mobilité, le bilan entrées / sorties camions reste relativement stable, en moyenne 1 camion sortant pour 5-6 camions entrants. Bilan électricité (kwh) (2%) (,92%) (1,74%) Consommation électrique Production électrique panneuaux photovoltaïques Pourcentage production photovoltaique/consommation électrique La diminution de la consommation électrique est due à une meilleure utilisation de notre ligne de broyage ainsi qu à l arrêt quelques semaines de notre désodorisation pour des raisons techniques. La diminution de la consommation électrique ramène la production électrique des panneaux photovoltaïques à 2% par rapport à la consommation totale du Centre. 41

42 Consommation ressources Consommations mazout engins l Consommations carburant véhicules l Consommation eau de la nappe m³ L augmentation de la consommation du mazout est due à l utilisation plus importante du bull et de la grue, vu la zone de transfert PMC. Par contre la diminution de la consommation de carburant est due à la diminution des trajets effectués par notre camion. Faute de personnel, nous avons sous-traité les transports des métaux et de verre plat. Autres paramètres mesurés : Unité Consommation produits Graisses Kg 13 6 Huiles L Papier bureau + bons de pesée rames (5) Production de déchets Poussières big bag* Kg/tonne entrante 1,9,41,41 *1 big bag = 4 kg Pas de déchets de graisse ni d huiles évacués en 214. Il n y a pas de variations notables des consommations ou des déchets produits. Légère augmentation de la consommation de papier, due à un plus grand nombre de bons de pesée ( feuilles) 42

43 3.3 LA VALORISATION DES MATIERES (VALMAT) Parcs à conteneurs En 214 les 17 parcs, tous certifiés ISO14.1/EMAS, ont accueilli tonnes de déchets de 2 fractions différentes Destination des tonnages collectées dans les parcs à conteneurs ,2% 77,6% 76,6% ,3% 22% 22,9%,1%,4%,1%,4%,1%,4% tonnage total collecté tonnage recyclé tonnage valorisé en énergie tonnage valorisé spécifiquement tonnage mis en CET Les quantités collectées sur les parcs à conteneurs ont augmentées. Nous n avons pas d explication, mais plusieurs causes peuvent être à la base de cette augmentation, comme la reprise économique, l augmentation des entreprises qui se font passer pour des particuliers, les entrepreneurs qui s engagent à évacuer eux-mêmes les déchets résultant du chantier. 43

44 Poids moyen déchets collectés (kg/citoyen) ,1 58, Kg collectés 3 223,9 22, 235,2 55 Pourcentage 2 44% 43% 46% Poids moyen par habitant BW tout déchet confondu Poids moyen collecté dans les parcs Pourcentage déchets collectés parcs/bw Environ 46% des quantités de déchets (estimées) produites par les habitants du Brabant wallon sont collectés sur les parcs à conteneurs. Les consommations : Consommation électrique annuelle en KWh (moyenne par parc) Le prélèvement mensuel des compteurs, ainsi que la campagne de sensibilisation du personnel à la consommation eau / électricité, semble porter ses fruits. 44

45 47,36 Consommation annuelle d'eau (m³) (moyenne par parc) Aucun incident environnemental majeur n a été signalé en 214. Les non-conformités Les dépôts clandestins, illicites ou autres ne sont pas des non-conformités imputable à l IBW, ils ne sont pas comptabilisés comme tels. Les préposés ont enregistré et traité : 15 pertes d huile hydraulique/moteur (petites gouttes, 14x par des camions et une fois par un usager). 2 pertes d huile alimentaire par les usagers Les plaintes : 23 mails (16 en 213 les avancées de l informatique!) 14 d ordre général concernant les parcs (les garde-corps, communication, attitude personnel, respect horaire d enlèvement de conteneurs, fermeture pour grève). 9 relatives au règlement (5 en 213) (quantités, type de matières, demande d information pour bien trier, refus accès des professionnels, ) qu il faut cependant faire respecter Parmi les 23 plaintes, il faut comptabiliser seulement celles qui concernent : le respect de l horaire d enlèvement de conteneurs - les conteneurs pleins - 1 l attitude du personnel - 2 Les autres plaintes sont liées au règlement ou autres. 45

46 Compost Plus de tonnes ont été traitées en 214, contre 36 tonnes l an dernier. Les deux plates-formes ont frôlé la saturation à plusieurs reprises, raison pour laquelle 277 tonnes ont été traités chez Parmentier à Glimes. Une partie du tamisage a été sous-traitée à une société privée et un tamis a été loué durant les quelques jours où le tamis de l IBW était en panne. particuliers ou professionnels des jardins. Au total, nous avons livré près de 22 tonnes de composts au secteur agricole, 75 tonnes aux communes et 62 tonnes aux Parmi les 3 8 tonnes de refus de tamisage, 2252 t ont été utilisées comme combustible de substitution dans notre unité de valorisation énergétique de Virginal. Bilan déchets verts Tonnes Déchet vert collecté Compost valorisé Déchet vert traité ailleurs Refus / broyats Pas d incident ni de plainte en 214. Depuis l installation de la mini-station et l organisation du travail notamment le retournement - en fonction de la direction et l intensité des vents, aucune plainte relative au compost de Basse-Wavre n a été reçue en 214. L étude technico-financière envoyée au SPW pour demande de subside est à l arrêt pour une durée indéterminée suite à un moratoire du Ministre sur tous les subsides 46

47 La simplification des procédures relatives aux épandages sur les sols annoncée par la DPR ne s est pas encore concrétisée. Consommation mazout par tonne de déchets verts traités 1,5 1,31 1,23 1,16 1, Litres,5, Les déchets verts de l Est du Brabant wallon ont été confiés pour traitement chez Parmentier, tout comme le broyage de nos deux plates-formes. Collecte sélective en porte-à-porte La collecte sélective à été confiée aux opérateurs suivants : Sita pour les papiers/cartons et PMC Minérale pour le verre Dekeyser et Cemepre pour le déchet vert Sita, Shanks, Dekeyser et Cemepre pour les OM et l encombrant NOTE : L enlèvement d encombrants à domicile est fait par des agents IBW, à la demande et sur rendez-vous. Les quantités ainsi collectées ne sont pas comptabilisées dans les chiffres des graphiques ci-après et sont traitées séparément Les quantités collectées en porte-à-porte ne présentent pas de fluctuations notables, sauf une diminution des encombrants, collectés de plus en plus à la commande. 47

Projets et défis du développement économique en Brabant wallon. Baudouin le Hardÿ de Beaulieu Directeur général 19/09/2012

Projets et défis du développement économique en Brabant wallon. Baudouin le Hardÿ de Beaulieu Directeur général 19/09/2012 Projets et défis du développement économique en Brabant wallon Baudouin le Hardÿ de Beaulieu Directeur général 19/09/2012 Missions de l IBW (en matière de développement économique) création, aménagement

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets

Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs

Plus en détail

AVIS. Demande de permis unique pour le stockage et la distribution de mazout de chauffage et de diesel routier chez TAHON s.a. à BRUNEHAUT.

AVIS. Demande de permis unique pour le stockage et la distribution de mazout de chauffage et de diesel routier chez TAHON s.a. à BRUNEHAUT. AVIS Réf. : CWEDD/08/AV.1520 Liège, le 22 septembre 2008 Objet : Demande de permis unique pour le stockage et la distribution de mazout de chauffage et de diesel routier chez TAHON s.a. à BRUNEHAUT Avis

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

COMMISSION DE SUIVI DE SITE

COMMISSION DE SUIVI DE SITE COMMISSION DE SUIVI DE SITE Centre de traitement multi filière SYCTOM IVRY Paris XIII Centre de tri et déchèterie exploités par SITA IDF SOMMAIRE Bassins versants Présentation du Centre de tri Bilan d

Plus en détail

Energy Optimization System (EOS) Pour les stations d épurations

Energy Optimization System (EOS) Pour les stations d épurations Energy Optimization System (EOS) Pour les stations d épurations Water EOS par Schneider Electric Water EOS est une solution testée, validée et documentée. Elle est, dans cette version, dédiée et pré-définie

Plus en détail

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

La gestion durable du chantier en pratique

La gestion durable du chantier en pratique Formation Bâtiment Durable : La gestion durable du chantier en pratique Bruxelles Environnement Le coût de la gestion durable du chantier Marc Vanderick Les Entreprises Louis De Waele Le coût de la gestion

Plus en détail

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste De plus en plus, le traitement des biodéchets

Plus en détail

ESII. Une entreprise éco-citoyenne

ESII. Une entreprise éco-citoyenne ESII Une entreprise éco-citoyenne ESII s inscrit dans une politique de développement durable garantissant la mise en œuvre de pratiques sans danger pour l environnement ainsi que le respect des normes

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005 AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement

Plus en détail

Les principales obligations environnementales en Wallonie

Les principales obligations environnementales en Wallonie Les principales obligations environnementales en Wallonie Marjorie Bougelet Cellule des Conseillers en Environnement Frameries - 21 mars 2013 1 Sommaire Présentation de l UWE et de la CCE Les principales

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B

REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B Les déchetteries intercommunales de la CCVD s inscrivent dans le rôle des collectivités

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR

PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR 2014 ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique de nos 450 clients au travers

Plus en détail

Réduction de la pollution d un moteur diesel

Réduction de la pollution d un moteur diesel AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel

Plus en détail

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L

Plus en détail

Comment? chez le particulier ou en collectivité

Comment? chez le particulier ou en collectivité Actions Citoyennes pour une Transition Energétique Solidaire par René CHAYLA Président d AC ACTEnergieS Comment? chez le particulier ou en collectivité 1 LA TRANSITION ENERGETIQUE EN PRATIQUE DIMINUER

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre

Bilan des émissions de gaz à effet de serre Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de

Plus en détail

«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod. ECO GESTES AU QUOTIDIEN - Mercredi du Développement Durable

«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod. ECO GESTES AU QUOTIDIEN - Mercredi du Développement Durable «Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod «La terre n appartient pas à l homme, c est l homme qui appartient à la terre» Sitting Bull L habitat est le premier

Plus en détail

TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00

TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00 TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00 L entreprise Professionnel dans la collecte, le traitement et la valorisation de déchets industriels depuis plus de 80 ans

Plus en détail

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments) 15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70

Plus en détail

Catalogue de répartition frais entretien - investissements (Etat au 01.01.2010)

Catalogue de répartition frais entretien - investissements (Etat au 01.01.2010) Département des finances, des institutions et de la sécurité Service cantonal des contributions Section des personnes physiques Departement für Finanzen, Institutionen und Sicherheit Kantonale Steuerverwaltung

Plus en détail

Qu'est-ce que la biométhanisation?

Qu'est-ce que la biométhanisation? Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants

Plus en détail

Exemple du SATESE MAGE 42

Exemple du SATESE MAGE 42 LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux

Plus en détail

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009 Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du

Plus en détail

Partie C1 «Déchets de boues et autres déchets organiques non dangereux produits en 2008»

Partie C1 «Déchets de boues et autres déchets organiques non dangereux produits en 2008» - Centre de tri ou déchèterie : catégorie à utiliser seulement si la destination finale n'est pas connue. Il s'agit en pratique d'une étape intermédiaire de collecte des déchets. Cette catégorie comprend

Plus en détail

Le petit livre. des toilettes. Les égouts ne sont pas des poubelles!

Le petit livre. des toilettes. Les égouts ne sont pas des poubelles! Le petit livre des toilettes Les égouts ne sont pas des poubelles! Editeur responsable : B. ANTOINE AIVE Drève de l Arc-en-Ciel 98 6700 ARLON Tél. 063 23 18 11 www.aive.be infoligne@idelux-aive.be janvier

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

AVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006

AVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006 AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis

Plus en détail

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,

Plus en détail

boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable

boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable 1 boilers pompe à chaleur Midea est au niveau mondial un des plus important producteur de pompe à chaleur et de climatiseur

Plus en détail

déchets ménagers Collecte en apport aux colonnes Tél. 02 43 94 86 50 www.syndicatvaldeloir.fr

déchets ménagers Collecte en apport aux colonnes Tél. 02 43 94 86 50 www.syndicatvaldeloir.fr info service + Organisation de la collecte Demandez l autocollant «Stop pub»! Si vous ne souhaitez pas recevoir de publicités dans votre boîte à lettres, une seule solution : l autocollant «Stop pub»!

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

Table des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert.

Table des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Table des matières Table des matières... i Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des annexes... iv Liste des abréviations

Plus en détail

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 FICHE OPÉRATION INDUSTRIE Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 CAS PRATIQUE Activité : produits et service dans le domaine de la filtration

Plus en détail

La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues

La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues Sommaire 1. Etat des lieux 2. Un contexte favorable à une optimisation énergétique 3. Maximiser la production de biogaz 4. Quelques

Plus en détail

EXEMPLES D'ACTIONS EN MATIÈRE DE GESTION DE L'EAU EN ENTREPRISE

EXEMPLES D'ACTIONS EN MATIÈRE DE GESTION DE L'EAU EN ENTREPRISE EXEMPLES D'ACTIONS EN MATIÈRE DE GESTION DE L'EAU EN ENTREPRISE Dernière révision du document : août 2013 INTRODUCTION L'étape préalable nécessaire à la mise en place d'actions d'économies d'eau en entreprise

Plus en détail

COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles

COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles Rappel : Organisation de la collecte des déchets sur le secteur de SAINT-BRIEUC

Plus en détail

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide. Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal

Plus en détail

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception

Plus en détail

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire

Plus en détail

LE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3

LE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3 LE PERMIS D'ENVIRONNEMENT - CLASSE 3 Dernière révision du document : février 2013 Entré en vigueur le 1 er octobre 2002, le "Permis d Environnement" (créé par le décret du 11 mars 1999) peut être considéré

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

MUNICIPALITE DE GLAND

MUNICIPALITE DE GLAND MUNICIPALITE DE GLAND Préavis municipal n 56 relatif à l octroi d un crédit pour financer la rénovation des installations de chauffage des vestiaires sis au centre sportif "En Bord". Madame la présidente,

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

GLEIZE ENERGIE SERVICE

GLEIZE ENERGIE SERVICE GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...

Plus en détail

Permis unique pour un data center à VAUX-SUR-SÛRE. - Construction d un centre de données informatiques

Permis unique pour un data center à VAUX-SUR-SÛRE. - Construction d un centre de données informatiques AVIS Réf. : CWEDD/13/AV.343 Date : Permis unique pour un data center à VAUX-SUR-SÛRE 1. DONNEES DE BASE Demande : - Permis unique - Rubrique : 63.12.09.03.03 Projet : - Construction d un centre de données

Plus en détail

Valorisation matière (réutilisation, récupération, recyclage, compostage, biométhanisation)

Valorisation matière (réutilisation, récupération, recyclage, compostage, biométhanisation) GUIDE JURIDIQUE : LES PRINCIPALES RÉGLEMENTATIONS RELATIVES AUX DÉCHETS Dernière révision du document : février 2013 Ce guide propose une approche simplifiée des textes de lois relatifs aux déchets en

Plus en détail

Demande chimique en oxygène

Demande chimique en oxygène Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse

Plus en détail

Maison Modèle BIG BOX Altersmith

Maison Modèle BIG BOX Altersmith Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.

Plus en détail

LE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution

LE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution LE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution 11 octobre 2012 LES REGLES DU JEU : L ANCIEN ET LE NOUVEAU Introduction Le cadre légal et réglementaire Les principes généraux La liste des

Plus en détail

Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets

Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités

Plus en détail

Synthèse du bilan carbone

Synthèse du bilan carbone Synthèse du bilan carbone patrimoine et services ville de CANNES Ce projet est co-financé par l Union europénne. Projet sélectionné dans le cadre du programme opérationnel FEDER PACA 27-213. Année de référence

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise

Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise Page 1 sur 6 Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise Nom élève:.. Entreprise: Nom et fonction du professeur:. Dates de stage:.. Zone de compétence: Zone

Plus en détail

implifiezletri vous Ville de Bondy GUIDE DU TRI Quelle poubelle choisir? Bouteilles et flacons en plastique Boîtes métalliques, briques, cartons

implifiezletri vous Ville de Bondy GUIDE DU TRI Quelle poubelle choisir? Bouteilles et flacons en plastique Boîtes métalliques, briques, cartons S ( implifiezletri vous GUIDE DU TRI Ville de Bondy Quelle poubelle choisir? Les autres déchets Vos équipements Bouteilles et flacons en plastique Boîtes métalliques, briques, cartons Journaux, magazines

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

Formation Bâtiment Durable :

Formation Bâtiment Durable : Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et

Plus en détail

Les potagers Neerstalle

Les potagers Neerstalle Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service

Plus en détail

STOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie

STOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau

Plus en détail

Soyez. Pour un logement

Soyez. Pour un logement Soyez Pour un logement Sommaire LE CHAUFFAGE 2 LA VENTILATION 2 LES EQUIPEMENTS MENAGES 3 L ECLAIRAGE ET L ELECTRICITE 4 L EAU 4 TRIE DES DECHETS 5 LA CONSOMMATION DURABLE 6 LE TRANSPORT 7 Ce guide va

Plus en détail

Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents

Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents 1 Ce document a été rédigé fin 009, dans le cadre du groupe de travail ECOPULVI, animé par l Institut Français de

Plus en détail

BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP

BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP Sommaire 1/ DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE CONCERNÉE 2 2/ ANNÉE DE REPORTING DE L EXERCICE ET L ANNÉE DE RÉFÉRENCE 3 Utilisation d énergie sur

Plus en détail

Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011

Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Plan de la présentation Partie I Pourquoi le TMB? Partie II Variantes techniques Partie III Conclusions pour

Plus en détail

Système Management Environnemental

Système Management Environnemental Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme

Plus en détail

Métallerie / Serrurerie

Métallerie / Serrurerie Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité

Plus en détail

39 Imputations internes 200.00 400 0.00 3903000 Déchets - Taxe de base 200.00 400 0.00

39 Imputations internes 200.00 400 0.00 3903000 Déchets - Taxe de base 200.00 400 0.00 Total des charges 43,436,641.75 41,739,200 40,386,522.83 Total des revenus 21,062,582.30-21,511,270-20,088,936.61 - Charges/Revenus(-) 22,374,059.45 20,227,930 20,297,586.22 700 Administration des travaux

Plus en détail

2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2

2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 Renens Epalinges Gland Froideville Crissier 11 janvier 17 janvier 18 janvier 19 janvier 19 janvier 2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 tourisme des déchets Lausanne Région (29 communes, ~275 000 habitants) GEDREL

Plus en détail

Assainissement des campings. - 11 janvier 2011

Assainissement des campings. - 11 janvier 2011 Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres

Plus en détail

excellence environnementale fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts

excellence environnementale fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts excellence environnementale Des pratiques pour l'excellence environnementale en région Poitou-Charentes fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts A partir de l

Plus en détail

INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS,

INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS, INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS, les choix gagnants INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES PRÉVENIR ET VALORISER LES DÉCHETS UNE STRATÉGIE TRIPLEMENT RENTABLE

Plus en détail

Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC

Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Retour d expérience : Exemples concrets de mises en oeuvre de solutions suite à des audits énergétiques dont celui d une Pompe A Chaleur Haute Température

Plus en détail

L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel

L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014

Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Plan de l exposé Pourquoi du miscanthus? Chaudières polycombustibles : aspects techniques

Plus en détail

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget

Plus en détail

EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80

EPLEFPA LES SARDIERES 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES

Plus en détail

Whitepaper. La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur. Système de régulation. Réacteur. de température

Whitepaper. La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur. Système de régulation. Réacteur. de température Whitepaper Mettre en température économiquement La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur La mise en température de réacteur dans les laboratoires et les unités pilotes de l industrie

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE -

CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - Définition des enjeux - Disposer à la fin des grosses opérations de construction en cours (Tranche 1 et 2 du Plan Directeur MCO-Plateau Technique/Pôle

Plus en détail

BILAN CARBONE 2011. avril 13. Services Technologies Industries Pour l Environnement

BILAN CARBONE 2011. avril 13. Services Technologies Industries Pour l Environnement Services Technologies Industries Pour l Environnement BILAN CARBONE 2011 avril 13 STIPE SARL SIEGE SOCIAL : 842 RUE JEAN GIONO 83600 FREJUS TEL FAX 04 94 53 55 74 AGENCE IDF : 22 RUE SADI CARNOT 92000

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

2195257 ballons ECS vendus en France, en 2010

2195257 ballons ECS vendus en France, en 2010 SOLUTIONS D EAU CHAUDE SANITAIRE En 2010, le marché de l ECS en France représente 2 195 257 ballons ECS de différentes technologies. Dans ce marché global qui était en baisse de 1,8 %, les solutions ENR

Plus en détail

Présentation de la situation actuelle et projetée au niveau législatif, économique, incitant financier et imposition technique

Présentation de la situation actuelle et projetée au niveau législatif, économique, incitant financier et imposition technique Présentation de la situation actuelle et projetée au niveau législatif, économique, incitant financier et imposition technique Salon Best 19 octobre 2013 Situation en Région wallonne Coût d achat du courant

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

Réussir son installation domotique et multimédia

Réussir son installation domotique et multimédia La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7

Plus en détail

4. Conditionnement et conservation de l échantillon

4. Conditionnement et conservation de l échantillon 1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique

Plus en détail

CARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME

CARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME CARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME SOMMAIRE Comment fonctionne un système d'assainissement non collectif? A vérifier régulièrement Le planning d'entretien La vidange de la

Plus en détail

Cap2020 Déjeuner des décideurs 11 octobre 2013. Enseignements suite à la construction d un bâtiment passif

Cap2020 Déjeuner des décideurs 11 octobre 2013. Enseignements suite à la construction d un bâtiment passif Cap2020 Déjeuner des décideurs 11 octobre 2013 Enseignements suite à la construction d un bâtiment passif Le rôle de l architecte Par Alain Stevens, Chef de Service en maîtrise d ouvrage et construction

Plus en détail

La filière bois énergie en Bretagne

La filière bois énergie en Bretagne La filière bois énergie en Bretagne 2012 En Bretagne, une ressource àla fois abondante et limitée Total : 3.8 millions de tep la ressource en bois couvre entre 5 et 10% des besoins actuels en énergie :

Plus en détail

ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84

ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion

Plus en détail