Démarches et méthodes de communication interne au sein de l entreprise

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Démarches et méthodes de communication interne au sein de l entreprise"

Transcription

1 Démarches et méthodes de communication interne au sein de l entreprise Aujourd hui, la notion de communication est devenue nécessaire, caractérisée par publicité. Il faut COM-MU-NI-QUER. Les attentes de la com : il s agit d organiser, de structurer le management des hommes dans l entreprise. Comment il faut s occuper des hommes? Par la recherche de l excellence, grâce à une communication généralisée ou grâce à un management fondé sur l écoute. Les présupposés liés à la CI reposent sur l harmonie et un consensus, efficacité à créer pour dynamiser tous les membres de l entreprise. La communication n est pas un état mais suppose un contenu d informations qui passe par l échange et qui repose sur une relation interne individuelle : dans l entreprise, il s agit d «être en communication avec» selon des trajectoires descendantes ou ascendantes, ou des trajectoires globales ou latérales. Les progrès de l informatique : l informatique a multiplié et complexifié les moyens de com Partie 1 : L entreprise communicante On observe une évolution de l environnement quant au fonctionnement des entreprises et au changement des organisations. La CI, pour être efficace, doit mettre en œuvre des notions d ouvertures, d interactivités et de cohésion. I/ La communication interne (CI), pour quoi faire? La communication interne n est plus linéaire. On doit généraliser une relation d échanges en faisant du contenu un outil utilitaire et persuasif. La CI doit renforcer la réactivité individuelle comme la solidarité collective. 1. STIMULER LA REACTIVITE On est obligé de constater le caractère incertain et aléatoire de l environnement économique, donc les organisations doivent s orienter vers une plus grande autonomisation où chacun ait plus (+) de responsabilités, où chacun doit s inciter lui-même à réagir de manière pertinente et rapide. A. UN ENVIRONNEMENT DE PLUS EN PLUS COMPLEXE ET ALEATOIRE Les marchés sont de plus en plus ouverts mais aussi de plus en plus difficiles d accès, à cause de la mondialisation de la production, mais aussi des protectionnismes comme réaction de défense. Peut-on dégager des mesures éphémères ou durables? Comment chercher une voie de communication? La veille active, la vigilance sont les premières conditions pour permettre à chacun d être capable de réagir le plus vite possible à un événement «porteur d avenir». B. UNE ORGANISATION OU L AUTONOMIE SOIT DE PLUS EN PLUS IMPORTE La décentralisation de l entreprise diversifie et multiplie les situations de travail. Il faut répondre aux attentes des clients et de répondre aux fluctuations des marchés. L entreprise ainsi que chacun de répondre de façon appropriée au client dont je dois me sentir le plus proche. L écoute du client influencera sur la qualité de la réponse. On doit éviter face à la pression du marché le risque d isolement de l organisation. Faire face aux aléas du fonctionnement interne. - La réactivité de l individu a une place plus ou moins déterminante en fonction du degré d initiative personnel. La personne doit diagnostiquer, comprendre et maitriser les aléas. Il faut être capable d entrer en contact avec le bon interlocuteur. On doit être à la fois animateur, et coordonateur (il faut que je trouve ma place dans le projet)

2 - Aujourd hui, impérative de flexibilité : deux conséquences : on envisage plus (plu) d organisation planifiée et on demande des capacités d initiatives. - L efficacité est proportionnelle à la possibilité de mobilisation des ressources utilisées. 2. DEVELOPPER LA SOLIDARITE ET LA COHESION La taille des entreprises, les problèmes de décentralisation augmentent les distances au sein même des organisations. Il faut donc mémoriser la gestion, la cohérence et l efficacité A. L EFFICACITE DE L ORGANISATION POUR UNE MEILLEURE COLLABORATION ET UNE MEILLEURE SOLIDARITE Il faut favoriser des initiatives mais en même temps, éviter la dispersion. - Il s agit de repérer des fonctions, de les différencier mais aussi de les intégrer à un but commun. - Il s agit de favoriser des microdécisions pour nouer et améliorer des échanges avec l extérieur - Ces microdécisions, partielles, doivent entrer en synergie, de manière à donner la parole à tous les groupes de travail. - Il faut être capable de faire corps avec l entreprise pour être plus dynamique et efficace B. LA SOLIDARITE POUR RENDRE L ORGANISATION PLUS ACCEPTABLE. Il est nécessaire de créer un sentiment d appartenance pour soutenir l individu dans l entreprise en valorisant ses efforts. La communication interne poursuit deux objectifs : elle travaille sur un aspect individuel et collectif. L information doit circuler. Pour ceci, elle doit être fluide, pour qu individuellement, on soit les capacités d agir. Et pour faciliter l interaction RESUME DU I : Il s agit de créer une identité collective - un sentiment d appartenance. - Il faut susciter la motivation de chacun. - Il s agit d être efficace en améliorant les capacités d écoute pour susciter la meilleure réaction La communication est un langage - Elle est message de l entreprise sur elle-même - Elle doit transmettre une identité de l entreprise dans un souci de cohésion - Elle doit souder des énergies particulières pour que chacun se dispose dans les entités d une entité supérieure. II/ Les composantes de la CI L ouverture en CI s applique à 3 degrés : tout d abord l organisation par rapport à l extérieur la direction par rapport à la base l ensemble des salariés par rapport à leur propre activité La communication entre dans l interactivité pour assurer une meilleure coordination. Enfin, communiquer, c est être ensemble, cad, participer à une même réalité sociale, à une même identité. 1. L OUVERTURE Il s agit, pour l entreprise, d être ouverte à/sur l environnement pour que chacun comprenne la place de l entreprise dans le monde, et ce qui concerne sa propre fonction. A. LA COMMUNICATION PERMET LA COMPREHENSION DE LA TACHE La standardisation des tâches laisse la place à une meilleure maitrise des processus de production.

3 L ouverture suppose l écoute. Celui qui peut avoir besoin d information doit faire appel à celui qui détient le savoir. Il est important de maintenir dans l entreprise un équilibre entre les générations. B. LA COMMUNICATION FACILITE LA CONNAISSANCE DE L ORGANISATION La méconnaissance de l entreprise peut entrainer une forme de retrait et finalement aussi de frustration. Il est important de connaitre le contexte socio-économique pour l avenir de l entreprise et son propre avenir (le mien) dans l entreprise. Les limites de l ouverture. - L ouverture n est pas synonyme de transparence totale parce que tout n est pas significatif pour le salarié - Il est important d être informé des enjeux de l entreprise pour que le salarié soit plus attentif, pour que la réactivité de chacun soit meilleure. C. L OUVERTURE, C EST L ECOUTE L écoute dans l entreprise concerne tout le monde. Il faut comprendre la manière dont chaque salarié se situe dans l entreprise. - Perception de sa place - Son rôle dans l organisation, dans l entreprise. Connaitre les attentes qu on a de moi. Connaitre les inquiétudes et désirs de l employé Il faut aussi percevoir la différence. - Une des premières conditions de l ouverture, c est d accepter l idée que la réalité humaine n est pas homogène. - Le corps social de l entreprise n est pas indifférencié. - Le statut du salarié peut devenir atypique. Des enquêtes d opinion menées sur les rémunérations sur la politique de l entreprise. Ecoute et reconnaissance. La communication repose sur un aspect cognitif et affectif. Il est de l intérêt de l entreprise d avoir une bonne connaissance des types de sa population interne. Pour un salarié, il est important d être écouté : il a le sentiment d être pris en compte. Conclusion du C. : La dimension relationnelle est très importante. D. C EST QUOI L OUVERTURE Ouverture = vigilance. Il faut surveiller et anticiper sur les conditions de survie de l entreprise. L ouverture sur le monde extérieure doit concerner tout le monde parce que l attitude d un seul homme risque d être inopérante. La vigilance doit veiller à perdre le minimum d informations. Conclusion du 1. : Il faut améliorer cette vigilance externe pour être à l écoute des menaces ou des opportunités de l environnement économique, social, et politique. 2. L INTERACTIVITE Démarche plus dynamique p/r à l écoute. On atteint un résultat, vite. Doit permettre une meilleure coordination grâce à une meilleure circulation de l info grâce à des acteurs convaincus de la nécessité du dialogue. A. LA COMMUNICATION CREE DES CIRCUITS ET DES RESEAUX DE TRANSMISSION L électronique s est démultiplié et finalement, les réseaux de transmission aussi. La coordination humaine sera plus importante et en fait, l Homme doit se déplacer vers les aspects stratégiques et aléatoires aussi bien de l info que de l organisation Ces échanges entre personnes ont longtemps été démontrés par des structures figées au sein d une entreprise. Echanges et fonctions qui doivent être décloisonnées. Pour une meilleure circulation de l info, il faut décloisonner. Réunions d informations, de groupe de travail, au-delà de l affichage. B. L INTERACTIVITE SUPPOSE DES ACTEURS CONVAINCUS DE LA NECESSITE DU DIALOGUE.

4 On ne doit pas se contenter de la simple diffusion de l info. Pourquoi? Elle risque de supprimer la dimension relationnelle. Ce qu on recherche, c est l interactivité. Il faut veiller à limiter le risque de pertes de l information. C. LA COMMUNICATION DOIT LIBERER DES STRATEGIES INDIVIDUELLES Avant, la place de chacun était prévu et délimité. Aujourd hui, on demande que chacun libère ses potentialités. L introduction de la communication dans l entreprise sert à tester ses propres stratégies. La communication doit aboutir à un résultat en favorisant l implication et la coabitation de tous. 3. L IDENTIFICATION La communication d une organisation peut faciliter s il y a identification avec une réalité vécue. La communication interne à une dimension opératoire, affective et symbolique. Il faut donner à ce discours de communication une cohérence qui confortera l identification A. LA COMMUNICATION DOIT CONSTRUIRE UN PARTAGE DE REFERENCE COMMUNE Des repères physiques : dans l implantation des bureaux à tel ou tel étage. Des repères économiques : différence de travail entre entreprises. Des repères symboliques : au dela des structures et des fonctionnements d entreprises, le repère symbolique construit une idée que chacun se fait de l entreprise cad une référence commune. Communiquer consistera donc à expliquer, à dire les structures, les modalités de fonctionnement. Et à expliquer l image de l entreprise La communication doit avoir une fonction éclairante : tout doit être lisible. CAD le nom, l emblème, le logo et l architecture, ils doivent être reconnaissables. Avoir une identité, c est imposer sa marque de manière visuelle et répétitive. L identité donne un langage commun. B. L IDENTIFICATION FAVORISE LA COHESION L entreprise ne peut fonctionner avec des acteurs indifférenciés et juxtaposés. La communication doit trouver un message commun. L entreprise peut suppléer au vide provoqué par des défaillances sociales ou familiales ou religieuses. Pour beaucoup, l entreprise est un lien d implication ou chacun peut trouver une identité en participant à un collectif de travail qui le dépasse. Enfin, elles peuvent avoir un rôle structurant pour beaucoup de personnes. Le message de l entreprise sur elle-même doit favoriser l identification de l employé au groupe à l entreprise III/ Le paradoxe de la CI Qu est-ce qu une entreprise communicante? 1. LES PROGRES DES CAPACITES INDIVIDUELLES A. MULTIPLICITE DE L INFORMATION ET MEME SURINFORMATION Une société sans information qui manque de jugement ne développe pas ses capacités de jugements et de références. Une société dans laquelle l information prédomine sera plus exigeante. Mais le risque de la surinformation réside dans le manque d outils d analyse. B. D AUTRES OUTILS DE FORMATION DE L INDIVIDU L enseignement et la formation doivent développer une autonomie individuelle.

5 Dans l entreprise, le commerce avec autrui n est possible que s il n y a aucune crainte. L idéal serait donc une communication qui prendrait en compte vis-à-vis des uns et des autres. Mais l entreprise est cernée par les relations du marché qui régulent les rapports sociaux. 2. GENERALISATION DES RELATIONS DE MARCHE A. DEREGULATION ECONOMIQUE. La société souffre de plus en plus aux relations de marché au dépend des anciennes relations d appartenance. B. DES CONSEQUENCES DE LA DEREGULATION SOCIALE DANS L ENTREPRISE On demande aujourd hui une plus grande autonomie de chacun, une plus grande initiative personnelle. 3. ROLE DES NOUVELLES TECHNOLOGIES A. UN AUTRE UNIVERS AUJOURD HUI L entreprise sait aujourd hui que tout ne peut être ni prescrit, ni organisé. Les nouvelles technologies libèrent du temps pour l échange de l information dans un souci d amélioration. Les conditions de travail doivent être optimisées pour qu on puisse greffer une politique de communication. B. LA COMMUNICATION EST-ELLE SATISFAISANTE AUJOURD HUI Le premier enjeu de l entreprise est d ordre économique. La communication devra alors se doter d une dimension affective pour lutter contre le sentiment d isolement de la personne. 4. MENACE DE L ISOLEMENT A. SOLITUDE DE L HOMME MODERNE La prolifération de l information, la suppression des hiérarchies ont supprimé le sentiment de sécurité à cause de la politique d ouverture. L illusion d un contact a été créée par la multiplication de la communication des moyens mis à ma disposition et du manque de recul. B. IMPORTANCE D UNE VRAIE COMMUNICATION Dans la dimension interindividuelle, Dans la nécessité de : se connaitre soi-même, de se reconnaître, de s affirmer comme soimême. Partie 2 : La communication interne au cœur de l entreprise Elle s inscrit dans l identité de l entreprise. L entreprise a une histoire et a développé une culture. La com interne est inscrite dans cette histoire. Mais la culture d entreprise doit parfois changer de langage face au changement de mentalité de la société. 1. L ENTREPRISE COMME MOSAÏQUE CULTURELLE A. DEFINITION DE LA CULTURE D ENTREPRISE Les groupes de travail qui constituent le corps de la société se forge des représentations, des valeurs, des codes, des règles. Cette culture spécifique est plus ou moins conscientes, plus ou moins formalisées. Même informelle, elle existe. Formalisation de la culture d entreprise dans :

6 o Des croyances, des systèmes de valeur, idées, des comportements collectifs. o On raconte des anecdotes sur l origine de la création de l entreprise. Cette culture peut se traduire en mythes, en histoires. Récit de l épopée héroïque de la création de l entreprise. o Des pratiques rituelles dans l entreprise peuvent en scander la vie : des pots d anniversaire, la fête des vœux, des collectes pour des mariages et des deuils, des maladies, des naissances. Mais des sujets peuvent être tabous. La personne nouvellement embauchée doit s adapter très vite à cet environnement culturel pour éviter toute marginalisation. Il faut connaitre les codes de la maison. La culture d entreprise est un facteur d intégration, mais aussi de sécurisation collective. Elle est supposée motiver les salariés pour les inciter à agir individuellement et collectivement pour permettre d atteindre et de dépasser les objectifs de l entreprise. B. DES REMARQUES SUR LA CULTURE D ENTREPRISE Des groupes d influence peuvent exister dans l entreprise et se poser à l idéologie dominante. Ce sont des sous cultures, ou des contre cultures. L entreprise est constituée d une mosaïque de cultures aux interactions multiples. Mais ces différences affirment l identité de l entreprise qui a développé un patrimoine de signes, de codes et de symboles. 2. ASSUMER L HERITAGE ET GERER LA MODERNITE. A. CONFORTER L IDENTITE CULTURELLE DE L ENTREPRISE Un héritage à conserver et à valoriser. La communication interne doit se mouler dans la culture d entreprise pour en exprimer l identité B. AUJOURD HUI Il est important de modifier la perception qu ont les salariés de l identité de leur entreprise. La communication interne doit créer et valoriser cette nouvelle identité. C. Y A-T-IL HARMONIE ENTRE LA CULTURE D ENTREPRISE ET LES COMPORTEMENTS DES PERSONNES A L INTERIEUR DE L ENTREPRISE? Les individus doivent s approprier la mutation culturelle de l entreprise. Chacun doit être à l écoute des personnes des groupes et doit faire l apprentissage du changement. La communication est donc un problème de formation. La communication doit suivre le courant imposé par la culture d entreprise. Elle devient un élément important de la stratégie de l entreprise.

18 SEPTEMBRE 2014. E-réputation : une image positive pour une stratégie de conquête!

18 SEPTEMBRE 2014. E-réputation : une image positive pour une stratégie de conquête! 18 SEPTEMBRE 2014 E-réputation : une image positive pour une stratégie de conquête! Réputation : de quoi parle-t-on? «Ce que les gens disent ou pensent de moi» car ils l ont vu dans le journal, à

Plus en détail

Charte de la laïcité à l École Charte commentée

Charte de la laïcité à l École Charte commentée Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales

Plus en détail

Créez et Communiquez! Françoise TARDIVEL Agence Tatami Karine BAUDOUIN Conseil Relations Médias

Créez et Communiquez! Françoise TARDIVEL Agence Tatami Karine BAUDOUIN Conseil Relations Médias Créez et Communiquez! Françoise TARDIVEL Agence Tatami Karine BAUDOUIN Conseil Relations Médias Partie 1 : La communication Construire son image Introduction : Créer, c est déjà communiquer! Votre 1 er

Plus en détail

FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES

FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES 26, boulevard Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Téléphone : 01 42 47 90 00 - Télécopie : 01 42 47 93 11 - Internet : http://www.ffsa.fr 12 juillet 2007 Observations

Plus en détail

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE

Plus en détail

Le Profiling SwissNova

Le Profiling SwissNova Le Profiling SwissNova pour un coaching plus efficace Mme Jalila Ben Soltane, Business Coach Mme Rim Kassous, Professionnel Certified Coach PCC HR Expo Tunis, Palais des congrès, 2013 LE CONCEPT NOVA La

Plus en détail

Transformez votre relation au monde!

Transformez votre relation au monde! Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années

Plus en détail

Présentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques

Présentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Présentation du programme Éthique et culture religieuse Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Repères historiques 1964 1995 1996 1998 1999 1999 2000 2005 Création du ministère

Plus en détail

LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION

LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION Un texte d accompagnement au séminaire de la FORRES 2006 Guy Pelletier, Professeur Université de Sherbrooke Il n y a pas d ascension dans l exercice

Plus en détail

Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?

Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd

Plus en détail

LE CONSEILLER EN SEJOUR EN OFFICE DU TOURISME

LE CONSEILLER EN SEJOUR EN OFFICE DU TOURISME LE CONSEILLER EN SEJOUR EN OFFICE DU TOURISME Présentation : La notion de conseil et de prise en charge du visiteur s adressant à un office de tourisme a évolué en raison de plusieurs éléments : Prise

Plus en détail

PRENOM NOM DE L ENTREPRISE DATE DU STAGE METIER

PRENOM NOM DE L ENTREPRISE DATE DU STAGE METIER NOM DATE DU STAGE METIER PRENOM NOM DE L ENTREPRISE L ENTREPRISE L ENTREPRISE Dates du stage :... Nom de l entreprise :.. Adresse de l entreprise :...... Que fait-on dans cette entreprise?. Combien de

Plus en détail

Voici une demande qui revient régulièrement lors de mes rencontres avec les employeurs :

Voici une demande qui revient régulièrement lors de mes rencontres avec les employeurs : Logique dépannage La logique de dépannage dépend d une multitude d aspect, et un de ses aspects que j ai pu constater avec le temps en tant que formateur est que les techniciens industriels apprennent

Plus en détail

RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement

RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement La recherche à l Université Sainte-Anne L Université Sainte-Anne, par son emplacement géographique,

Plus en détail

Personal Financial Services Fonds de placement

Personal Financial Services Fonds de placement Personal Financial Services Fonds de placement Un investissement dans des fonds de placement, c est la promesse de rendements attractifs pour un risque contrôlé. Informez-vous ici sur le fonctionnement

Plus en détail

Les réseaux sociaux : un allié efficace pour votre entreprise?

Les réseaux sociaux : un allié efficace pour votre entreprise? Les réseaux sociaux : un allié efficace pour votre entreprise? 78 % des entreprises affirment que les réseaux sociaux sont essentiels à leur croissance 80 % des internautes préfèrent se connecter avec

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE

Plus en détail

Une offre performante, la clé du succès Techniques Marketing pour PME, TPE et Indépendant

Une offre performante, la clé du succès Techniques Marketing pour PME, TPE et Indépendant Les clés de la Réussite Une offre performante, la clé du succès Techniques Marketing pour PME, TPE et Indépendant E-learning 14 heures Tarif : 490 Le manque d approche Marketing pénalise les petites structures.

Plus en détail

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) 1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans

Plus en détail

Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA

Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA et HABEO) 1 RAPPEL Vieillesse ne signifie pas : - DEPENDANCE

Plus en détail

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr Attention Ce document est un travail d étudiant, il n a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr. En conséquence croisez vos

Plus en détail

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner

Plus en détail

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr Attention Ce document est un travail d étudiant, il n a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr. En conséquence croisez vos

Plus en détail

Les outils de communication

Les outils de communication FICHE DE SYNTHÈSE Module 8 Les outils de communication - MODULE SEMAINE 8 - SOMMAIRE : I) Les différents média de communication...2 II) Savoir tirer parti des réseaux sociaux...2 1/6 I) LES DIFFÉRENTS

Plus en détail

Position du CIGREF sur le Cloud computing

Position du CIGREF sur le Cloud computing Position du CIGREF sur le Cloud computing Septembre 2010 Cette position est le fruit d un groupe de réflexion ayant rassemblé les Directeurs des Systèmes d Information de grandes entreprises, au premier

Plus en détail

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon

Plus en détail

Etre societaire, pour vivre la banque autrement.

Etre societaire, pour vivre la banque autrement. PREAMBULE Se fondant tout particulièrement sur la notion de valeurs, les coopératives ont montré qu elles constituaient un modèle commercial, robuste et viable, susceptible de prospérer même pendant les

Plus en détail

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique.i. Les enjeux et domaines de la veille.ii. La mise en place d un processus de veille.iii. Illustration d une démarche

Plus en détail

LES BASES DU COACHING SPORTIF

LES BASES DU COACHING SPORTIF LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE

Plus en détail

Parcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching?

Parcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Parcours de formation Coach Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Dans un monde qui va de plus en plus vite Nous entendons parler chaque jour de stress, de mal-être

Plus en détail

LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT

LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT L investissement Pinel, un Investissement immobilier Le site est édité par un groupement de conseillers en gestion

Plus en détail

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient

Plus en détail

Les contrats : leur origine et leur type. M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Hiver 2013

Les contrats : leur origine et leur type. M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Hiver 2013 Les contrats : leur origine et leur type - M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Hiver 2013 Plan du cours Philosophie individualiste & libéralisme économique vs Code civile et théorie de l

Plus en détail

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP» «LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du

Plus en détail

Diginnove, Agence Conseil E-commerce, vous accompagne dans votre apprentissage du Marketing Digital

Diginnove, Agence Conseil E-commerce, vous accompagne dans votre apprentissage du Marketing Digital Diginnove, Agence Conseil E-commerce, vous accompagne dans votre apprentissage du Marketing Digital Des formations personnalisées sur-mesure pour appréhender facilement le Marketing Digital, développer

Plus en détail

Epargne longue : la nouvelle donne

Epargne longue : la nouvelle donne Epargne longue : la nouvelle donne Septembre 2008 Etude disponible le 1 er septembre 2008 Les objectifs Traiter les questions de fond -réglementation, fiscalité, taille et segmentation du marché, etc.-

Plus en détail

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.

Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale

Plus en détail

Prêts pour l avenir. A travers l épargne et le placement. Tout sur la planification de la prévoyance et du patrimoine.

Prêts pour l avenir. A travers l épargne et le placement. Tout sur la planification de la prévoyance et du patrimoine. Prêts pour l avenir. A travers l épargne et le placement. Tout sur la planification de la prévoyance et du patrimoine. Prêts pour l avenir. Et pour la réalisation de ses rêves. Avoir un but, c est bien.

Plus en détail

www.cyberactionjeunesse.ca

www.cyberactionjeunesse.ca www.cyberactionjeunesse.ca CyberAction Jeunesse Canada 2011 Présentation de l organisme Projet pilote Prévention (approche en amont) Mission Objectif CyberAction Jeunesse Canada 2011 Plan de la présentation

Plus en détail

Économie, organisation, hôpital

Économie, organisation, hôpital Séminaire DREES «Les modes incitatifs de rémunération des soins» Première session mardi 29 novembre 2011 Schéma de l intervention de Jean Claude Moisdon Économie, organisation, hôpital 1) On part de la

Plus en détail

Les baisses d'impôts annoncées par Nicolas Sarkozy : priorité juste ou mal choisie?

Les baisses d'impôts annoncées par Nicolas Sarkozy : priorité juste ou mal choisie? Page 1 sur 9 Les baisses d'impôts annoncées par Nicolas Sarkozy : priorité juste ou mal choisie? 2894 avis exprimés Question 1 : D'après ce que vous savez, les mesures contenues dans le "paquet fiscal"

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)

FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST

Plus en détail

Introduction des. comptes d épargne libre d impôt

Introduction des. comptes d épargne libre d impôt Introduction des comptes d épargne libre d impôt Comptes d épargne libre d impôt Une nouvelle façon d épargner Les comptes d épargne libre d impôt ont été introduits par le gouvernement fédéral dans le

Plus en détail

Fins d analyse T R A N S. Note: À partir du présent numéro, la revue paraît en hiver et en été. H I V E R 1 9 9 5

Fins d analyse T R A N S. Note: À partir du présent numéro, la revue paraît en hiver et en été. H I V E R 1 9 9 5 T R A N S R E V U E D E P S Y C H A N A L Y S E Fins d analyse Note: À partir du présent numéro, la revue paraît en hiver et en été. H I V E R 1 9 9 5 T R A N S C.P. 842, succ. Outremont, Montréal, (Québec)

Plus en détail

DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE

DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE MOT DE BIENVENUE Le temps des défis est aussi celui des opportunités Madame, Monsieur, J ai le plaisir de partager avec vous le lancement

Plus en détail

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE

APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE 1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir

Plus en détail

Gérer sa e-reputation

Gérer sa e-reputation Tutoriel n 5 Gérer sa e-reputation 1. Définition : Avis client : Un avis client est un ensemble d éléments d appréciation (commentaires, notes, étoiles ) porté sur un produit, service ou vendeur, sur un

Plus en détail

Les cinq premiers pas pour devenir vraiment agile à XP Day Suisse 2009 par Pascal Van Cauwenberghe et Portia Tung: La Rétrospective

Les cinq premiers pas pour devenir vraiment agile à XP Day Suisse 2009 par Pascal Van Cauwenberghe et Portia Tung: La Rétrospective Ce qui était bien Ce qui n était pas bien Questions J ai appris Bon résumé des valeurs Simplicité du format Présentateurs sympathiques et joie communicative Bonbons Utilisation réelle du feedback Présentation

Plus en détail

générale dans les différents pays, de la santé des populations et d équité dans les soins de santé.

générale dans les différents pays, de la santé des populations et d équité dans les soins de santé. Quel est le rôle du don dans le monde de la santé? Chapitre 3 de l Amour dans la Vérité Colette Raffoux Le don est-il nécessaire, quel rôle a-t-il dans l agir de la santé? Dans l encyclique Caritas Veritae,

Plus en détail

MODE OPERATOIRE CIEL GESTION COMMERCIALE VERSION EVOLUTION BTS PME PMI

MODE OPERATOIRE CIEL GESTION COMMERCIALE VERSION EVOLUTION BTS PME PMI MODE OPERATOIRE CIEL GESTION COMMERCIALE VERSION EVOLUTION BTS PME PMI BTS AGPME Ciel Gestion commerciale (mai 2005) Pierre TASSION 1 Table des matières D après le référentiel BTS PME PMI Présentation

Plus en détail

Module 5 Communication interne: Clés de succès, évaluation Présentations D. Lannel

Module 5 Communication interne: Clés de succès, évaluation Présentations D. Lannel Secrétariat d Etat auprès du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau et de l Environnement chargé de l Eau et de l Environnement Département de l Eau Module 5 Communication interne: Clés de succès,

Plus en détail

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction

Plus en détail

Vivre seul SUJETS DÉLICATS CONTEXTE

Vivre seul SUJETS DÉLICATS CONTEXTE Vivre seul CONTEXTE Un nombre croissant de personnes âgées vivent seules. Si elles sont atteintes de la maladie d Alzheimer ou de maladies apparentées, elles sont plus susceptibles d être diagnostiquées

Plus en détail

Réguler son enseignement : Pourquoi? Comment?

Réguler son enseignement : Pourquoi? Comment? Mon enseignement, je l évalue, il évolue Réguler son enseignement : Pourquoi? Comment? Lucie Mottier Lopez Université de Genève 13 mai 2013 IFRES, Liège lucie.mottier@unige.ch 1 Plan Un cadre pour penser

Plus en détail

Epargne : définitions, formes et finalités.

Epargne : définitions, formes et finalités. Epargne : définitions, formes et finalités. 1) Définitions de l épargne. Le dictionnaire Larousse définit l épargne comme une «fraction du revenu individuel ou national qui n est pas affectée à la consommation»,

Plus en détail

NUMÉRIQUE VALLÉE. Atelier n 2 : avis clients et e-réputation. Les ateliers numériques de l Office de Tourisme. Mardi 03 mars 2015

NUMÉRIQUE VALLÉE. Atelier n 2 : avis clients et e-réputation. Les ateliers numériques de l Office de Tourisme. Mardi 03 mars 2015 NUMÉRIQUE VALLÉE Les ateliers numériques de l Office de Tourisme Atelier n 2 : avis clients et e-réputation Mardi 03 mars 2015 Présentation Anaïs VERGER Agent d Accueil Numérique Elise CORRE-POYET Apprentie

Plus en détail

DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.

DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d

Plus en détail

Systèmes et réseaux d information et de communication

Systèmes et réseaux d information et de communication 233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques

Plus en détail

Guide manager pour l entretien professionnel

Guide manager pour l entretien professionnel - 1/14 - Guide manager pour l entretien professionnel Le présent guide a pour objet de faciliter la mise en œuvre de l entretien professionnel et, pour cela, de rappeler pour chacune des étapes les activités

Plus en détail

COMMENT AIDER UN ÉLÈVE QUI BÉGAIE?

COMMENT AIDER UN ÉLÈVE QUI BÉGAIE? 10 504, boulevard Saint-Laurent, local 1 Montréal, (Qc), H3L 2P4; 514.332.9593 www.cliniquebeausoleil.com COMMENT AIDER UN ÉLÈVE QUI BÉGAIE? QU'EST-CE QUE LE BÉGAIEMENT? à Trouble caractérisé par une fréquence

Plus en détail

- Dossier de presse -

- Dossier de presse - - Dossier de presse - Janvier 2014 Sommaire I. Valérie Moissonnier & l Institut du Selfcoaching 1. Valérie Moissonnier : son parcours et son blog RadioCoaching 2. L équipe de l Institut du Selfcoaching

Plus en détail

Comment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel???

Comment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel??? Comment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel??? GENERALI : Un acteur engagé et responsable FFSA 26/01/2010 " Le secteur de l assurance est concerné par tous les sujets

Plus en détail

Comprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement

Comprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Le financement des placements par emprunt consiste simplement à emprunter pour

Plus en détail

Phase 2 : Mettre en œuvre. Gestion des projets. Gestion documentaire. Gestion du changement. R Collomp - D Qualité D 2 Ges4on documentaire

Phase 2 : Mettre en œuvre. Gestion des projets. Gestion documentaire. Gestion du changement. R Collomp - D Qualité D 2 Ges4on documentaire Phase 2 : Mettre en œuvre Gestion des projets Gestion Gestion du changement Gestion Plusieurs documents dans un organisme : Documentation technique Documentation sociale Documentation commerciale Documentation

Plus en détail

DEMANDE D OUVERTURE DE COMPTE CONJOINT

DEMANDE D OUVERTURE DE COMPTE CONJOINT DEMANDE D OUVERTURE DE COMPTE CONJOINT 1 AVANT DE COMMENCER Informations et conseils importants à propos de la présente demande : 1. La présente demande ne vise que les résidants de la Colombie-Britannique,

Plus en détail

Guide Enseignant - Comment préparer une intervention d'un professionnel dans une classe de collège

Guide Enseignant - Comment préparer une intervention d'un professionnel dans une classe de collège Guide Enseignant - Comment préparer une intervention d'un professionnel dans une classe de collège Le professionnel qui va témoigner dans votre classe peut aussi bien être un chef d entreprise, un mécanicien,

Plus en détail

La Structuration pragmatique de l approche commerciale

La Structuration pragmatique de l approche commerciale La Structuration pragmatique de l approche commerciale «Augmenter durablement ses résultats en prospection, en vente et en réseautage» Connaissances Structure Fct Long terme Personne Entreprise Tous les

Plus en détail

LIVRET DE SUIVI DE STAGE

LIVRET DE SUIVI DE STAGE Lycée Professionnel Pierre MENDES FRANCE BRUAY BARLIN 3ième Préparatoire aux Formations Professionnelles PÉRIODES DE DECOUVERTE EN MILIEU PROFESSIONNEL LYCÉE PIERRE MENDES FRANCE Rue de Saint-OMER 62700

Plus en détail

Fonds Assurance Retraite du contrat BNP Paribas Avenir Retraite Données au 31 décembre 2014. Communication à caractère publicitaire

Fonds Assurance Retraite du contrat BNP Paribas Avenir Retraite Données au 31 décembre 2014. Communication à caractère publicitaire Fonds Assurance Retraite BNP Paribas Avenir Retraite Données au 31 décembre 2014 Communication à caractère publicitaire Le contrat BNP Paribas Avenir Retraite est géré par Cardif Assurance Vie avec un

Plus en détail

Il y a l'art et la maniere de se faire remarquer

Il y a l'art et la maniere de se faire remarquer se noyer dans la masse sortir du lot Votre partenaire marketing et communication Il y a l'art et la maniere de se faire remarquer Le monde de la communication a subi d importantes mutations ces dernières

Plus en détail

Solutions d assurance-vie pour les. propriétaires d entreprise

Solutions d assurance-vie pour les. propriétaires d entreprise Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Quel type d assurance-vie convient le mieux aux propriétaires d entreprise? Tout

Plus en détail

Introduction. Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise.

Introduction. Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise. Introduction Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise. Recruter présente un enjeu stratégique et sociétal pour l entreprise en termes de 2 : 1. Productivité : le choix

Plus en détail

Créateurs, repreneurs, une formation pour réussir. stage financé par le fonds social européen en et la DGCIS

Créateurs, repreneurs, une formation pour réussir. stage financé par le fonds social européen en et la DGCIS Créateurs, repreneurs, une formation pour réussir stage financé par le fonds social européen en et la DGCIS Une action de communication ne s engage pas n importe quand, n importe comment et à n importe

Plus en détail

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure

Plus en détail

Dans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)

Dans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris) 1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins

Plus en détail

La confiance en soi ça se développe. Créez le rapport de confiance!

La confiance en soi ça se développe. Créez le rapport de confiance! La confiance en soi ça se développe Créez le rapport de confiance! Rencontre Réseau EAF 23 septembre 2010 Esc Brest Introduction Installer son leadership, croire en ses capacités, en son produit/service,

Plus en détail

Lundi 10 décembre 2012 - Casino de Paris

Lundi 10 décembre 2012 - Casino de Paris Trophées Arseg 2011 3 Trophées Arseg des métiers de l environnement de travail Lundi 10 décembre 2012 - Casino de Paris Après le succès 2011 Vous étiez près de mille personnes à assister l année dernière

Plus en détail

Qu est-ce qu une tâche?

Qu est-ce qu une tâche? Qu est-ce qu une tâche? «Tâches», «Perspective actionnelle», «activités centrées sur le sens» Ce sont des concepts dont on entend beaucoup parler dans notre profession, mais que signifient-ils exactement?

Plus en détail

POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?

POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui

Plus en détail

Copyright Agirc-Arrco Mars 2012. 2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC)

Copyright Agirc-Arrco Mars 2012. 2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC) 2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC) SOMMAIRE (1/3) ENJEUX DE L INFORMATIQUE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE 1. Depuis quand un programme de convergence informatique

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale Banque de détail Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale L évolution de l environnement et les enjeux dans la Banque de détail CENTRES D'APPELS Intensification du

Plus en détail

Gestion d E-réputation. Management de marque

Gestion d E-réputation. Management de marque Renforcez votre présence sur Internet Stratégie Digitale Gestion d E-réputation Community Management Management de marque Web Marketing 0 www.forcinet.ma 1 Qui Sommes-Nous? Forcinet est une entreprise

Plus en détail

Tout dépend de ce qu on veut évaluer

Tout dépend de ce qu on veut évaluer Tout dépend de ce qu on veut évaluer François-Marie GERARD 1 Parent d élèves, je m interroge souvent lors de la remise d interrogations ou de bulletins. Mes enfants sont crédités d une «note» plus ou moins

Plus en détail

Formation des porteurs de projet d hébergement en milieu rural

Formation des porteurs de projet d hébergement en milieu rural Formation des porteurs de projet d hébergement en Cette formation a pour objectif de vous apporter les informations nécessaires à la réalisation de votre projet de gîte et/ou de chambre(s) d hôtes, et

Plus en détail

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Fonction émettrice Département des Ressources humaines Auteur/département émetteur

Plus en détail

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans

Plus en détail

AGENCE DE COMMUNICATION INTERACTIVE LES POSTES CLEFS EN AGENCE WEB

AGENCE DE COMMUNICATION INTERACTIVE LES POSTES CLEFS EN AGENCE WEB AGENCE DE COMMUNICATION INTERACTIVE LES POSTES CLEFS EN AGENCE WEB MM Création 32 Avenue de Wagram 75 008 Paris Tél : 01 45 74 76 00 Fax : 01 45 74 95 06 E-mail : info@mmcreation.com Site : www.mmcreation.com

Plus en détail

Architecte en Organisation

Architecte en Organisation AXE & SENS Qui je suis? - D où je viens? - Où je vais? C est le cœur de ce que je vais évoquer ici & maintenant! A propos du traitement de l information dans l entreprise Diapositive 1 AXE & SENS Le système

Plus en détail

Rencontres au Castelnau ou.. quand les auteurs s en vont au champ. Sandrine Trochet. Enseignante Castelnau Barbarens.

Rencontres au Castelnau ou.. quand les auteurs s en vont au champ. Sandrine Trochet. Enseignante Castelnau Barbarens. Rencontres au Castelnau ou.. quand les auteurs s en vont au champ Sandrine Trochet. Enseignante Castelnau Barbarens. 1,Un constat : Il existe de fortes inégalités entre les écoles quant à l accès à la

Plus en détail

Cultiver l esprit d équipe

Cultiver l esprit d équipe Cultiver l esprit d équipe Les objectifs : Promouvoir une prise de conscience de la nécessité de travailler en équipe et de cultiver les liens entre les personnes pour consolider l esprit d équipe Fournir

Plus en détail

Le markéting en ligne. Joanie Mailhot Agente aux communications chez Mon Réseau Plus

Le markéting en ligne. Joanie Mailhot Agente aux communications chez Mon Réseau Plus Le markéting en ligne Joanie Mailhot Agente aux communications chez Mon Réseau Plus Plan de la présentation Introduction Naissance des réseaux sociaux L influence des relations en ligne L importance d

Plus en détail

Liste des formations : Développement personnel

Liste des formations : Développement personnel Liste des formations : Développement personnel Gamme de formation 06 LES 5 OUTILS ESSENTIELS DE DEVELOPPEMENT PERSONNEL POUR... 7108 DEVELOPPER SA PRESENCE POUR MIEUX COMMUNIQUER http://www.cegos.fr/formation-ameliorer-ses-relationsprofessionnelles/p-0106-

Plus en détail

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

RAFFINEZ VOTRE STRATÉGIE DE PLACEMENT, SIMPLIFIEZ VOTRE VIE

RAFFINEZ VOTRE STRATÉGIE DE PLACEMENT, SIMPLIFIEZ VOTRE VIE RAFFINEZ VOTRE STRATÉGIE DE PLACEMENT, SIMPLIFIEZ VOTRE VIE Un seul investissement, tout le raffinement que vous recherchez Vous menez une vie active, riche de projets que vous souhaitez réaliser. Vous

Plus en détail

FICHES DE REVISIONS LITTERATURE

FICHES DE REVISIONS LITTERATURE Fiche n 1 : Les 4 types de texte Fiche n 2 : La situation d énonciation 1- Le texte narratif qui sert à raconter 2- Le texte descriptif qui sert à faire voir 3- Le texte explicatif qui sert à faire comprendre

Plus en détail

Un contrôle citoyen avec les entreprises

Un contrôle citoyen avec les entreprises Un contrôle citoyen avec les entreprises mai 2014 2 L objectif du plan d action La grande majorité des entreprises s inscrivent dans une démarche citoyenne et veillent à acquitter correctement leurs impôts.

Plus en détail