CHAPITRE 2 : DESEQUILIBRES ECONOMIQUES ET CRISES
|
|
- Gaspard Germain
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le phénomène inflationniste : CHAPITRE 2 : DESEQUILIBRES ECONOMIQUES ET CRISES Inflation : La hausse générale de la hausse des prix, tout les prix doivent augmenter. Cette hausse des pris doit être simultanée et cumulative. Cette hausse des prix doit être durable. Les économistes distinguent dans l inflation deux composantes : il y a l inflation globale (le taux qu on annonce) et parfois on distingue aussi l inflation sous jacente, c est le taux d inflation qu on va calculer en excluant du calcul l énergie et les produits saisonniers, c'est-à-dire l inflation structurelle, en dehors d événements saisonniers le pays a une inflation structurelle de tant. Aujourd hui le retour de l inflation est du à certains facteurs, exceptionnels, la question est de savoir si ils vont être durable ou pas. La première raison aujourd hui est la multiplication des catastrophe climatiques, cela a fait grimper certains prix, en particulier matières premières et produits agricoles. La hausse de la demande de bio carburants : les biocarburants sont crées a base des produits agricoles. La surface des terres exploitables a tendance à diminuer. 1) Controverse entre libéraux et keynésiens sur les causes de l inflation Ils sont très divergents sur les causes de l inflation. Quelles sont les causes de l inflation? Analyse libérale : Pour les libéraux et en particulier pour une partie de ces économistes (les monétaristes), pour eux l inflation n est qu un phénomène monétaire, cela veut dire qu il faut rechercher les causes de l inflation dans la sphère monétaire, dans la gestion de la masse monétaire. On doit cette phrase à milton friedman, qui inspire les politiques américaines. Ca se fonde sur une vision quantitativiste, c'est-à-dire qu on s intéresse surtout à la quantité de monnaie qui circule. La masse monétaire (surtout les crédit aujourd hui) progresse plus vite que la production réelle, ce décalage fait qu il y a trop de monnaie en circulation par rapport à l économie réelle. Si on cherche les causes de ce déséquilibre, soit c est du coté des ménages soit c est du coté des banques. Ce n est pas les ménages qui sont responsables, les vrais responsables de ce phénomène sont les banques qui alimentent l économie en monnaie de façon excessive. Une illustration très simple : l inflation en Chine qui est de 4-5%, elle est due à une cause principale : le laxisme des banques. La solution est de hausser les taux directeurs avec une réduction de la masse monétaire. Comment se propage l inflation? Le point de départ est un accroissement de la masse monétaire, des dépenses de l état excessives, un crédit trop abondant, une hausse des salaires inconsidéré..etc
2 La premières conséquence : la monnaie est donc plus abondante donc les taux d intérêts baissent, le taux d intérêt est en fait le prix de la monnaie, mécaniquement plus de monnaie en circulation donc monnaie moins rare et moins chère et baisse des taux d intérêts. La rémunération des placements diminuent, cette baisse des rendements va provoquer un report sur la consommation, cela rapporte tellement peu d épargner que on a plutôt préférence à consommer rapidement. Le premier problème c est que rien ne dit que ici les entreprises n ait augmenté leur capacité de production, ce n est pas parce qu il y a un report que les entreprises ont augmenté leur capacité de production. Les prix vont donc augmenter ; mise en place d une spirale inflationniste, au bout d un certain moment les salariés obtiennent un rattrapage salariale ( l indexation), il vont répercuter cette hausse de salaire sur leur prix de vente. On a ici une spirale inflationniste. La hausse des prix nourrit la hausse des salaires qui à son tour renourrit la hausse des prix et etc. Cette situation va a aboutir a la hausse des salaires dans un contexte ou l entreprise n aura pas augmenté son activité. C est ici simplement un phénomène monétaire. Ce phénomène se solde par une hausse des salaires sans hausse de la production. Il faut seulement que les autorités contrôlent la masse monétaire. Elle doivent fixer des normes de progression de la masse monétaire. La masse monétaire ne devrait pas augmenter plus vite que le PIB. Les analyses Keynésiennes Les approches keynésiennes sont un peu plus élargi et cherchent plus dans les causes réelles et un peu moins monétaires les causes de l inflation. Les Keynésiens font deux remarques particulières pour montrer que l inflation c est aussi un phénomène de société. La première remarque c est que les sociétés modernes sont des sociétés de conflit, le conflit social est permanent, les groupes sociaux sont en conflit permanent, ces conflits peuvent se résoudre de façon simple, c'est-à-dire céder aux revendications des différents acteurs. L inflation dans les sociétés modernes c est une façon de gérer les conflits, cest un outil de gestion sociale. L inflation est donc toujours le fruit d un rapport de force et c est un instrument officieux de régulation sociale. La seconde remarque est que nous vivons dans une société qui est une société de crédit généralisé, le crédit parceque tout simplement c est un mode financement devient aujourd hui un mode de vie, c est un système d organisation de la société ce qui est abérant, un financement d appoint devient ce autour de quoi tourne la consommation. Cette société de crédit fait que une partie de la masse monétaire échappe aux banques. Les approches keynésiennes vont déterminer 2 axes qui causent l inflation :
3 - L inflation par la demande - L inflation par les couts L inflation par la demande : l inflation se transmet par la demande qui va devenir excessive par rapport à l offre, que peut provoquer cette rupture entre l offre et la demande? une surconsommation des ménages L inflation par les couts L inflation est provoquée par les éléments de la demande globale 4 possibilités : - La surconsommation génère de l inflation, la hausse des prix. Pourquoi : hausse des revenus, mode de vie américanisé = surconsommation. - Sur investissement : trop acheter de machines ca fait grimper le prix de ces équipements. Or un investissement a besoin de mat 1ere pour fonctionner. or le suréquipement entraine hausse des mat 1eres. Ces 2 possibilités, c est ce qui se passe en chine : taux d inflation entre 4 a 5% et 9% d inflation. C est une inflation qu on peut qualifier de surchauffe inflationniste. Elle ne s accompagne pas de chômage comme en France. C un bon signe pour l économie. Mais ils doivent la combattre avec des mesures rigoureuses. - L inflation serait due à un excès de dépenses publiques. L état dépense trop donc il a un déficit et du coup ceci revient à injecter dans l économie un volume de monnaie qui est excessif : c est à la fois : inflation /dette / déficit. Comment peut-on réduire quand on est un état artificiellement une dette? En laissant se déprécier la monnaie et en laissant se développer l inflation. - Les Exportations : (ex la chine et l inde) les pays exportateurs de mat 1eres peuvent se trouver en rupture certaines fois. En conséquence, la très forte demande induite par l inflation conduit à une réduction de l offre. Dans certains pays le fait d exporter beaucoup est bon pour la balance. L inflation par les coûts (de production) : Idée générale= Des coûts de production parfois excessifs sont répercutés par l entreprise sur les prix de vente 2 types de coûts de production : - Les couts salariaux : Raymond Courbis : les 3 P : productivité, parité, pouvoir d achat. dans l économie, le salaire va être déconnecté du prix du marché. lorsque dans un secteur de l économie il y a des gains de productivité, il faut redistribuer. il est donc logique que ces gains de productivité soient redistribués dans les salaires. Dans certains pays ou les syndicats, les organes de revendication, sont forts, ces hausses de salaires
4 vont avoir tendance a se diffuser. L ensemble du secteur doit profiter si ya des hausses. dans d autres secteurs, il n y a pas les mêmes gains de productivité et l entreprise doit accepter l alignement salarial = parité. il y a un hétérogénéité des gains de productivité et on aboutit a une homogénéité des hausse de salaires. Pouvoir d achat : les salaires augmentent mais les entreprises qui n ont pas de gains de productivité suffisant, elles vont répercuter des hausses de salaires dans les prix de vente. Ya hausse des prix mais pas de la productivité. L augmentation des prix annule l augmentation des salaires précédents. Courbe de Phillips (faire des recherches) : quand le chômage est faible, la main d œuvre est assez rare et donc plus cher = ca gonfle les coûts salariaux et donc l inflation. Lorsque le chômage est faible le rapport de force est du cote des salariés. Il y a déflation quand la courbe devient négative. - Les coûts non salariaux : les entreprises ont un ensemble de cout autres que les salaires qui sont : transport, logistique, charge fiscale, charge sociale, assurance, transport, distribution Certaines entreprises peuvent avoir un comportement de marge c a d quelles adoptent un stratégie qui vise a maintenir les marges bénéficiaires alors même que le transport la logistique etc coute plus cher donc elles vont répercuter dans leurs prix ce cout afin de maintenir leur marge identique. Une polémique sur le rôle de la grande distribution en France : on accusait la grande distribution de propager l inflation. Leclerc accusait les autres de la propager. les marges arrières? la grande distribution obtient des rabais de ses fournisseurs mais une loi ancienne interdisait jusqu à l année dernière de répercuter ces remises sur le prix de vente. La grande distribution ne peut pas favoriser le prix des produits et donc de favoriser l inflation : a vérifier. La loi empêche les prix de baisser. Dans la réalité, les causes demande et cout se mélangent. 1.2) Les analyses structurelles de l inflation : l idée c est de trouver dans les structures de la société des causes qui sont dues a des comportements, des modes de vies sociaux. Les structures oligopolistiques : sont très fortes aujourd hui.un oligopole va toujours chercher a se protéger et a se reproduire. Ya quelques sociétés qui vont être concurrentes mais elles ont intérêt a maintenir l oligo pour rester autonome et indépendant des banques, pouvoirs publics pour le rester, la meilleure façon c est d avoir une assez grosse marge d autofinancement. il faut aussi rester indépendant du prix de l argent. Pour avoir une marge suffisante et s autofinancer : avoir un nivo de prix suffisamment élevé. En oligopole ils ont toute la liberté de fixer les prix. les membres de l oligopole cherchent a se préserver et ils fixent un nivo de marge bénéficiaire donné ensuite ils en déduisent un nivo de prix de vente suffisant = oligopole=principe du pricing power. C est ce pricing power qui est une des caractéristiques de l inflation moderne. Les membres de l oligopole sont insensibles à la hausse des taux, pas gênés dans leur activité mais ceci est néfaste pour l économie.
5 2 ème explication structurelle : c est le développement de la consommation ostentatoire : c est le fait que depuis 20 ans la population se porte sur des produits à très forte valeur ajoutée.or le prix de vente est largement supérieur au prix de production. on ne vend plus des produits mais des marques. La différence entre produit et marque : le produit c est ce que le producteur fabrique et la marque c est ce que le consommateur achète. Autre cause structurelle : la faiblesse ou l instabilité structurelle de certaines monnaies qui part définition propagent l inflation. L instabilité légendaire du dollars : quand il se déprécie les prix ont tendance à augmenter. 1.3 : les politiques anti-inflationnistes et les inflations. (comment doit on lutter contre l inflation : les remèdes) Pourquoi faut il lutter contre l inflation : 5 raisons : 1- Lutter contre l inflation rentre déjà dans une logique de justice sociale. L inflation introduit un élément évident d injustice car les premiers à souffrir des effets de l inflation sont les classes sociales défavorisées, les classes moyennes alors que les classes supérieurs ou aisées arrivent à s en préserver au mieux. Il y a une inégalité devant l inflation (donc devant le risque du chômage). Les classes aisées ont une plus grande facilité à négocier une hausse des salaires que un smicard non qualifié. Le type d épargne que ces classes choisissent est plus rentable. Les titulaires de revenus fixes souffrent le plus de l inflation. (les taux d intérêt des livrets d épargnes sont menacés par l inflation) 2- Les méngaes vont chercher à se protéger contre l inflation.les plus favorisés vont tenter d échapper à l inflation. Valeurs refuges : pour les très gros épargnant (ceux qui ont des capitaux à protéger), ils vont se reporter sur les matières premières, l immobilier, marchés financiers, métaux précieux et bijoux, vin, arts. Ce type d épargne qui échappe au circuit traditionnel, 3- La perte de pouvoir d achat pour les classes les plus moyennes fait que ces classes moyennes vont moins épargner sur les circuits classiques, elles font de la désépargne. Si l épargne des riches quitte les circuits traditionnels et l épargne des moins riches ponctionnée au final il y aura moins d épargne dans les circuits financiers donc les entreprises auront moins de ressources pour se financer. ce qui fait que l entreprise a plus de mal à investir. 4- Le crédit à la consommation ou à l investissement devient plus cher car l inflation déprécie la monnaie or les prêteurs vont exiger contre l inflation une prime de risque. Celle-ci renchérit le cout de l endettement. Les firmes les plus touchées par l inflation sont des PME car elles devront emprunter à des taux plus élevées mais elles ont la structure financière la plus fragile. Au niveau des firmes ya une injustice. Les firmes les plus fragiles vont emprunter le plus cher.
6 5- Globalement, en France ou le tissu industriel est constituée de petites entreprises, la rentabilité des entreprises et leur compétitivité se dégrade. Ceci va évidement avoir des répercussions sur l emploi. CONCL des 5 points : l inflation est préjudiciable à la consommation et à l épargne pour l investissement et l exportation. Elle est néfaste à la croissance et à l emploi. Depuis 20 ans, ya eu une lutte d avantage contre l inflation que contre le chômage.
CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS
CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,
Plus en détailINITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE
Comptabilité 155 INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Etre capable d assurer le suivi quotidien des opérations courantes dans une entreprise afin de faciliter les échanges avec son expert comptable. Assistante
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailEXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE
EXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE OLIVIER COLLIER Exercice 1 (2012) Une entreprise veut faire un prêt de S euros auprès d une banque au taux annuel composé r. Le remboursement sera effectué en n années par
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détailThème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie
Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie L activité économique repose sur trois rouages : Monnaie besoins production répartition consommation Échanges Marché 2 «La monnaie n
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailMesures évaluées 46 68 % 35 324 %
Niches fiscales et sociales Un inventaire à la Prévert Il a fallu un an au comité d évaluation (une douzaine de hauts fonctionnaires), au ministère du budget, pour sortir un très gros rapport qui inventorie
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailNote d actualité : Analyse de la loi de finances 2013
Note d actualité : Analyse de la loi de finances 2013 Les premières mesures gouvernementales en matière d imposition des revenus (IR) et d impôt de solidarité sur la fortune (ISF) sont désormais connues.
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailMARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES
MARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES Sommaire Introduction au marketing international Types de marketing international La stratégie d internationalisation La politique internationale du produit
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailOFFRE DE FINANCEMENT
OFFRE DE FINANCEMENT ENTREPRISES EN DEVELOPPEMENT P.3 Financement de la Balance Clients (en TTC) P.3 Financement en Invoice Discounting (en TTC) P.4 Financement des Créances Commerciales (en TTC) P.5 Financement
Plus en détailMesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013
Sources : Mesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013 Loi de finances 2014 : http://www.assembleenationale.fr/14/ta/ta0267.asp Loi de finances rectificatives
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailLES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012
LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012 FICHE N 1 UN COLLECTIF BUDGÉTAIRE POUR REDRESSER NOS FINANCES PUBLIQUES L e projet de loi de Finances
Plus en détailÀ quoi sert une banque?
À quoi sert une banque? Trois fonctions clés La banque remplit trois fonctions essentielles. Elle collecte, gère vos dépôts, et vous fournit des moyens de paiement (chéquier, carte bancaire, ordre de virement
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailCalcul et gestion de taux
Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4
Plus en détailI) L ouverture des économies à l international
L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailConseil Spécialisé Horticole
Conseil Spécialisé Horticole Observatoire économique et financier des exploitations horticoles et pépinières CER France 6 juin 2014 Observatoire économique des exploitations Horticoles et pépinières exercice
Plus en détailL économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions
L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes
Plus en détailChapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière
Chapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière Réponses aux Questions et problèmes 1. Actif Passif Actif immobilisé Capitaux propres Machines 46 000 Capital social
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. II. La théorie de la valeur... 20 A. Les notions de base de mathématiques financières... 20 B. Les annuités constantes...
TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 La valeur et le temps... 15 I. De la difficulté d estimer la valeur d un bien... 15 A. La valeur est une rente... 16 B. La valeur est un retour sur investissement... 18 II.
Plus en détailAUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3. Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts
AUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3 Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts 1 PLAN DE LA LEÇON : 1.De la comptabilité générale à la comptabilité
Plus en détailRÉSUMÉ POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC. Par : Service de fiscalité
RÉSUMÉ POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Par : Service de fiscalité PRÉSENTATION Veuillez prendre note qu'il ne s'agit pas d'un résumé exhaustif de toutes les mesures contenues
Plus en détailChapitre 4 Un besoin de financement du système de retraite qui s établirait à 4 points de PIB en 2040, à réglementation inchangée
Chapitre 4 Un besoin de financement du système de retraite qui s établirait à 4 points de PIB en 2040, à réglementation inchangée Le Conseil d orientation des retraites s est doté d outils de projection
Plus en détailMettez vos bénéfices non répartis à l œuvre
SERVICE FISCALITÉ, RETRAITE ET PLANIFICATION SUCCESSORALE STRATÉGIE PLACEMENTS ET FISCALITÉ N O 11 Mettez vos bénéfices non répartis à l œuvre De nombreux propriétaires d entreprise ont accumulé des sommes
Plus en détailOBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT
ACADEMIE DE CRETEIL OBJETS EN ECONOMIE-DROIT Liste de problématiques classées Enseignants en économie-gestion Tertiaire administratif 2012-2013 Ce document présente une liste de pistes de problématiques
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailAnalyse Financière Les ratios
Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent
Plus en détailCommission des Affaires économiques. «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues
Commission des Affaires économiques «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues La protection des épargnants «Le Gouvernement ne protège pas les petits épargnants comme
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailPoint d avancement Consultation du Comité Central d entreprise. Prime de Vacances
Point d avancement Consultation du Comité Central d entreprise Prime de Vacances 1 Ce que dit la Convention Syntec 2 Application Steria / Sopra 3 Analyse Impact 4 Solutions Envisageables 15/09/2014 Page
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailIndicateurs de résultats en Agriculture Durable
Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Formation «Mesures et indicateurs en agriculture durable» - 5 mars et 19 mai 2008- FNCIVAM Indicateurs clés socio-économiques Les indicateurs connus sont
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détailUne société de capital-risque, comment ça marche?
Première partie Une société de capital-risque, comment ça marche? L objet de cette première partie est de présenter le fonctionnement global d une société de capital-risque. L objectif est de permettre
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailLSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg
LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg Szabolcs Deák 1 - Lionel Fontagné 2 - Marco Maffezzoli 3 - Massimiliano Marcellino 4 Introduction Les modèles dynamiques stochastiques d équilibre
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailLogistique, Transports
Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,
Plus en détailPARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailL ÉCHO de GUSTAVE La Page d Economie du Lycée Gustave Eiffel de Budapest
L ÉCHO de GUSTAVE La Page d Economie du Lycée Gustave Eiffel de Budapest Atelier de la classe de premiere en Sciences Economiques & Sociales Revue de presse économique, politique et sociale française Janvier
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailElaboration et Suivi des Budgets
Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire
Plus en détailL euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité
L euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité Université citoyenne d Attac Toulouse, 22 août 2008 Jean-Marie Harribey et Dominique Plihon Les principes néolibéraux Théories de Hayek, Friedman
Plus en détailLivret du joueur KEY FLASH. Montage et commercialisation de clés USB originales. Sommaire
Livret du joueur KEY FLASH Montage et commercialisation de clés USB originales Sommaire Préambule page approvisionnement page 4 production page 6 marketing page 10 administration finance page 1 Partenaires
Plus en détailPrésentation Salle des marchés. Centrale Lille Octobre 2007. Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés
Présentation Salle des marchés Centrale Lille Octobre 2007 Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés Jérôme CHANE Sales Fixed Income Tel: 03.20.57.50.00 Email: prenom.nom@calyon.com
Plus en détailForum de l investissement Ateliers d Experts. 15 Octobre 2011. Les Dangers de l Assurance Vie
Forum de l investissement Ateliers d Experts 15 Octobre 2011 Les Dangers de l Assurance Vie L assurance vie c est quoi? Le placement préféré des français Environ 1 500 milliards d euros épargnés par les
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS
CET épargne salariale TOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS Sommaire Compte épargne temps 3 Historique 4 Mise en place 6 Alimentation 8 Utilisation 10 Optimiser le CET 14 COMPTE ÉPAR- GNE TEMPS Le Compte
Plus en détailQuels sont les grands déséquilibres macroéconomiques? Durée : maximum 4h30
Quels sont les grands déséquilibres macroéconomiques? Durée : maximum 4h30 Raphaël Pradeau (Académie de Nice) et Julien Scolaro (Académie de Poitiers) Programme : NOTIONS : Demande globale, inflation,
Plus en détailSOLUTIONS DE LA BANQUE MANUVIE POUR DES CONTRATS D ASSURANCE PERMANENTE DONNÉS EN GARANTIE D UN PRÊT. Aide-mémoire
SOLUTIONS DE LA BANQUE MANUVIE POUR DES CONTRATS D ASSURANCE PERMANENTE DONNÉS EN GARANTIE D UN PRÊT Aide-mémoire 1 Solutions de la Banque Manuvie pour des contrats d assurance permanente donnés en garantie
Plus en détailConsidérations sur la crise et le marché intérieur 1
Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.
Plus en détailMODULE 6 LA MODERNISATION DE LA SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE (1ÈRE PARTIE) DANS LES ANNÉES 1920 (ANNÉES FOLLES) > ÉCONOMIE CANADIENNE = PROSPÈRE :
MODULE 6 LA MODERNISATION DE LA SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE (1ÈRE PARTIE) 1ER - DE LA CRISE À LA GUERRE DE LA CRISE À LA GUERRE (1929-1945) L ÉCONOMIE EN CRISE DANS LES ANNÉES 1920 (ANNÉES FOLLES) > ÉCONOMIE CANADIENNE
Plus en détailCaractéristiques et Règlement du Régime
Caractéristiques et Règlement du Régime En tout temps, les dispositions du Régime ainsi que celles de la Loi ont préséance sur toute information contenue dans le présent document. Il vous est possible
Plus en détailThèmes et situations : Personnel et législation sociale dans l entreprise. Fiche pédagogique
Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : DFA1 Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Personnel et législation sociale
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détailFormation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation)
Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les businesstools, aller sous www.banquecoop.ch/business
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17
TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 Histoire, définition et rôle de la comptabilité... 17 I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17 A. Les origines antiques de la comptabilité...
Plus en détailMISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC
MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC Le 2 décembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Introduction Mesures de relance économique Mesures visant l atteinte et le maintien de l équilibre budgétaire
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailGUIDE PEDAGOGIQUE «Lire les états financiers»
GUIDE PEDAGOGIQUE «Lire les états financiers» Stéphane Lefrancq Version 1.0 janvier 2013 Sommaire 1. Présentation de la ressource... 3 1.1. Le module en ligne... 3 Objectifs pédagogiques... 3 Contenu...
Plus en détailEvolution des dépenses de fonctionnement en par habitant
Evolution des dépenses de fonctionnement en par habitant R1 Autres Intérêts Personnel 239 +8% 259 +130% 104 +157% 202 +6% 213 95 7 +90% 5 4 +509% 30 9% +28% 8 38 Depuis 2004, le conseil régional a considérablement
Plus en détailNouvellesperspectives politiqueset économiques en Europe
Nouvellesperspectives politiqueset économiques en Europe 11 mars 2015 Didier REYNDERS Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires étrangères et européennes - 1 - Table des matières I. Situation économique
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailEpargner en période de crise : le dilemme
Epargner en période de crise : le dilemme L épargne tient souvent l actualité en ce début d été 2013. Plusieurs chiffres laissent interrogateurs en cette période de très faible croissance (rappel : - 0.2%
Plus en détailL arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève
L arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève Introduction Document DU 1 REVENU : Du revenu PRIMAIRE primaire au AU revenu REVENU disponible DISPONIBLE SERVICES PUBLICS Education Santé
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailUn gain de temps et d argent pour vous
i00 Un gain de temps et d argent pour vous Description de la fonctionnalité Chaque année, lors de la vérification des états financiers de l entreprise, le comptable agréé a besoin d une confirmation bancaire
Plus en détailMobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite
Plus en détailLes instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions
Chapitre 9 Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Savoir utiliser son argent est un art et un art qui paie. Comme toutes les ressources, l argent peut être utilisé à bon ou
Plus en détailSage 100. pour les PME. Faites de votre gestion un levier de performance
Sage 100 pour les PME Faites de votre gestion un levier de performance À propos de Sage Leader des éditeurs de logiciels de gestion sur le marché des PME dans le monde* Plus de 6 millions d entreprises
Plus en détailSOLIRA Solaire investissement local Rhône Alpes. Solaire investissement local Rhône Alpes
Solaire investissement local Pourquoi? Face aux menaces sur la planète : bouleversements climatiques, tensions autour des ressources, fin programmée des énergies fossiles, accroissement des risques nucléaires...
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailWS32 Institutions du secteur financier
WS32 Institutions du secteur financier Session 1 La vision chinoise Modernisation du système financier chinois : fusion de différentes activités bancaires et financières, accès des ménages au marché des
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailIV. Les nécessités d une grande réforme : propositions pour une assurance générale de revenu. Ruth Gurny, Denknetz Traduction : Sabine Dormond
IV. Les nécessités d une grande réforme : propositions pour une assurance générale de revenu Ruth Gurny, Denknetz Traduction : Sabine Dormond Pour une protection solidaire et équitable : l assurance générale
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailREFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES
REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détail