ETUDE DES DIFFERENTES TECHNIQUES DE TRAITEMENT APPLICABLES AUX EAUX USEES DE CONSERVERIE A LA FERME

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1 ETUDE DES DIFFERENTES TECHNIQUES DE TRAITEMENT APPLICABLES AUX EAUX USEES DE CONSERVERIE A LA FERME L EAU DANS LES CONSERVERIES La transformation d un canard gras nécessite environ 90 l d eau (23 l pour l abattage et l éviscération, 7 l pour la découpe et 60 l pour la conserverie) Caractéristiques de l eau de conserverie : 126 g de D.C.O. et 43 g de S.E.C. par canard Cette eau doit être traitée avant d être évacuée dans l environnement. LA REGLEMENTATION La réglementation définit des normes de rejet mais les moyens d y parvenir ne sont pas développés et sont donc laissés au choix de l exploitant. Règlementation à appliquer Ateliers X = volume abattu ou transformé Réglementation à appliquer ICPE - RSD ICPE - Déclaration Autorisation Rubrique n 2210 Abattage d animaux X < 0,5 T/j 0,5 T/j < X 5 T/j X > 5 T/j Rubrique n 2221 Alimentaire (préparation ou conservation de produits) d origine animale par découpage, cuisson, appertisation, surgélation, congélation, lyophilisation, déshydratation, salage, séchage, saurage, enfumage, etc. : à l'exclusion des produits issus du lait et des corps gras, mais y compris les aliments pour les animaux de compagnie Normes de rejet Normes de rejet Dans le milieu naturel ICPE Cours d eau non Cours d eau pérennes et flux pérennes et flux de pollution de pollution faible important X < 0,5 T /j 0,5 T/j < X 2 T/j X > 2 T/j RSD Dans le réseau d assainissement collectif D.C.O. (mg/l) D.B.O. 5 (mg/l) M.E.S. (mg/l) S.E.C. (mg/l) ICPE : Installations Classées pour la Protection de l Environnement RSD : Règlement Sanitaire Départemental D.C.O. : Demande Chimique en Oxygène D.B.O. 5 : Demande Biologique en Oxygène à 5 jours M.E.S. : Matières En Suspension S.E.C. : Substances Extractibles au Chloroforme

2 LES SYSTEMES DE TRAITEMENT DES EAUX DE CONSERVERIE Pour chaque système : - schéma explicatif - avantages et inconvénients - simulation économique à partir de deux cas types Caractéristiques des deux cas types SAU Transformation E.H. : Equivalent Habitant. : Marge Brute Totale 20 ha (maïs non irrigué + triticale + parcours + gel) canards / an canards / an 23 bandes de 75 cd 22 bandes de 250 cd 1 E.H. 3 E.H : Excédent Brut d Exploitation UMO : Unité de Main d œuvre Simulation des crédits : 80% du montant de l investissement, taux 4,6% Durée de remboursement : 7 ans pour l exploitation 1 et 10 ans pour l exploitation 2 Les différents systèmes de pré-traitement des eaux de conserverie Les systèmes de pré-traitement des eaux usées Bac à graisses Le bac à graisses permet la séparation des graisses par flottaison naturelle. Il faut garantir un temps de séjour des effluents à l intérieur du bac qui soit suffisamment élevé, afin d avoir une bonne efficacité de retenue des graisses. Contrainte : nettoyage périodique pénible La fosse toutes eaux Une fosse toutes eaux est un appareil parfaitement étanche destiné à la collecte et à la liquéfaction de l ensemble des eaux usées domestiques d une habitation. Deux phénomènes interviennent :? Un phénomène physique de séparation permettant aux graisses plus légères de flotter en surface et aux particules lourdes de sédimenter et de s accumuler pour former les boues.? Un phénomène biologique de fermentation grâce à l action des bactéries très abondantes dans les eaux usées. Il en résulte une diminution des boues résiduelles et une liquéfaction partielle des graisses. Le dimensionnement des ouvrages dépend : - du volume d'eau consommé, - du débit, - de la température des effluents, - de la nature des détergents utilisés... On prend généralement : - bac à graisses : 1,5 x le volume d effluents - fosse toutes eaux : 2 à 3 x le volume d effluents Les différents systèmes de traitement des eaux de conserverie 2

3 Le lagunage naturel Les systèmes de traitement des eaux usées : cultures libres ou fixées sur supports fins Système adapté aux petites stations (<2000 E.H) ou réseau unitaire s faibles en investissement et exploitation Bonne intégration paysagère Bonne élimination des pathogènes (-99,7% sur les streptocoques fécaux et les coliformes), de N (-70%) et de P (-60%) Boues peu fermentescibles qui peuvent être épandues Emprise au sol importante Nature du sol et étanchéité Variation saisonnière de la qualité de l eau traitée, sensibilité aux flux septiques et concentrés Élimination incomplète de N et de P, nuisances en cas de défauts (odeurs, rongeurs, moustiques, ) Faucardage des roseaux tous les hivers (s il y en a) Désherbage obligatoire pour éviter une trop grande prolifération des algues Difficulté d extraction des boues Pas de réglage possible en exploitation L épandage souterrain Consommation énergétique nulle Exploitation facile Traitement et évacuation simultanés Bonne intégration paysagère Intéressant si le milieu récepteur est sensible ou s il est absent Nature du sol (perméabilité, hydromorphie) Emprise au sol relativement importante Horizontalité du fond des tranchées Aucune possibilité de mesurer les performances épuratoires environnementales (distances) Lagunage Epandage souterrain 10 m² 50 m² : trop petit ,80 /cd sur 1 an 10 m² 30 m² ,6 /cd sur 1 an 5,5 /cd sur 1 an 3

4 Les systèmes de traitement des eaux usées : cultures fixées sur supports fins L épandage sur prairie y compris en hiver Tuyau perforé Adapté aux petits volumes Installations de plusieurs tuyaux (gain de temps et surcoût faible) Déplacements très fréquents Intervention si le tuyau est bouché Ligne d asperseurs Si plusieurs lignes, gain de temps et surcoût faible 2ème ligne : poursuite de l épandage sans déplacement de la 1ère souillée Réglage de la pression avant chaque épandage Pièges à particules à nettoyer avant chaque épandage Intervention si buse(s) bouchée(s) Asperseur auto-tracté Différents modèles adaptés à des besoins de surface moyens à élevés Manipulations aisées d une parcelle à l autre Rusticité Entretien du matériel (graissage) Impossible d équiper plusieurs bandes d épandage L épandage sur parcelles plantées de saule Système «clé en main» Technique fiable, maîtrisée et confirmée Grande faculté d adaptation du saule Diversité des paysages et biodiversité Couverture pérenne (protection contre l érosion)? 24 ans Couverture importante (brise vent, densité de 17 à pieds/ha) Évapotranspiration importante Épuration efficace (N et P) Bonne production (? 36 T M.S/ha/3 ans) Exportation périodique (biocombustible, pâte à papier) Respect des normes Pas de boues produites à part dans le décanteur Nature du sol (le mieux : profond et bien pourvu en eau) s d exploitation élevés Plantation manuelle pour baisser les coûts Peu d entretien mais des interventions régulières Machines pour planter et récolter Système Système Epandage sur prairie Système Epandage sur parcelle plantée de saule Exploitation 1 Exploitation 2 Tuyau perforé ,91 /cd sur 1 an Ligne d asperseurs ,00 /cd sur 1 an Tuyau perforé ,95 /cd sur 1 an Ligne d asperseurs ,50 /cd sur 1 an Asperseur autotracté ,74 /cd sur 1 an 2 ha ,10 /cd sur 1 an 0,8 ha ,14 /cd sur 1 an 4

5 Les systèmes de traitement des eaux usées : cultures fixées sur supports fins Les filtres plantés de roseaux Le lit d infiltration-percolation Pour les stations inférieures à E.H Peu d emprise au sol par rapport au lagunage Faibles coûts d exploitation Peu de technicité requise Bonne intégration paysagère Adapté à de grandes variations de charges Bonne qualité du rejet (-90 à 95% M.O, M.E.S et NTK) Pas de nuisances (sonores, olfactives) Curage tous les 10 ans Pas de traitement des boues Emprise au sol limitée (par rapport au lagunage) Rusticité du procédé (pas de consommation d énergie si pentes) s d exploitation faibles Pas de technicité particulière requise Bonne intégration paysagère (si filtres enterrés) Bonne qualité de l eau traitée (-90 à 95% D.C.O, D.B.O5 et M.E.S) Élimination importante de l azote par nitrification Pré-traitement conseillé Régularité de l exploitation avec l alimentation des filtres par alternance Faucardage annuel des roseaux (en hiver) Protection des roseaux avec de la paille si gel excessif Besoin d une décantation primaire efficace Risques de colmatage Ne supporte pas bien les surcharges hydrauliques Faible élimination de l azote par dénitrification Filtre planté de roseaux Lit d infiltrationpercolation mini mini 0,25 m² 0,75 m² 10 m² ,50 m² 1,50 m² 5 m²

6 Les disques biologiques Les systèmes de traitement des eaux usées : cultures fixées sur supports grossiers Le lit bactérien Faible consommation d énergie Fonctionnement simple Faible sensibilité aux variations de charges Auto-régulation de la croissance du film Bonne décantabilité des boues s importants Personnel ayant des connaissances en électromécanique Sensibilité aux variations de températures (obligation de couverture) Sensibilité aux balourds suite à un arrêt de quelques heures sans vidange de l auge Boues putrescibles Peu de références s de fonctionnement faibles Faible consommation d énergie Fonctionnement simple, pas de technicité requise pour l exploitant Faible sensibilité aux variations de charges et aux toxiques (par rapport aux boues activées) Bonne décantabilité des boues s d investissement élevés Entretien fréquent Pré-traitements efficaces Sensibilités : au colmatage, au froid, aux variations de débit et de concentrations des effluents Boues fermentescibles Disques biologiques Lit bactérien SBR 95 m² ,84 /cd sur 1 an 15 m /cd sur 1 an 315 m² ,60 /cd sur 1 an 50 m ,30 /cd sur 1 an Etude réalisée par la Chambre d Agriculture des Landes 6

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