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1 IMPRIMERIE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L IMPRIMERIE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L IMPRIMERIE... 4 L'ACTIVITÉ DE L IMPRIMERIE... 6 LES POINTS DE VIGILANCE DE L IMPRIMERIE... 9 EN SAVOIR PLUS SUR CE SECTEUR

2 LE MARCHÉ DE L IMPRIMERIE Le secteur de l imprimerie connaît des difficultés. La demande est faible et les marchés clients subissent les effets d une conjoncture économique maussade, ce qui nuit au volume d activité du secteur sur les segments les plus porteurs (la publicité notamment). De plus, les évolutions technologiques et la recherche d économies d échelle conduisent les professionnels à de très lourds investissements, les plaçant en situation de surcapacité de production. Pour rentabiliser leurs investissements, les professionnels contractent leurs prix pour accroître leur volume de production, ce qui durcit considérablement les pressions concurrentielles déjà exacerbées par les donneurs d ordre qui imposent prix et délais. Pour subsister, les petites structures jouent la carte de la proximité et de la flexibilité et tentent d adapter leurs investissements aux conditions du marché afin d éviter le surendettement et la surcapacité de production. Tendances Le mouvement de concentration du secteur va s accélérer. L organisation du marché - La presse, qui comprend l impression de journaux périodiques ainsi que les livres de très grande série. - L imprimerie de labeur, qui concentre toutes les autres publications (brochures, catalogues, formulaires ). 2

3 L IMPRIMERIE NOMBRE D'ENTREPRISES DU SECTEUR (1) CHIFFRE D'AFFAIRES DU SECTEUR (en milliards d'euros) ,929 Md (2) ÉVOLUTION DU CHIFFRE D'AFFAIRES DU SECTEUR EN VALEUR (indice ICA base 100 en 2010) ,3 (3) 97,1 99,0 101,4 100,0 (1) Source : INSEE, démographie des entreprises et des établissements champs marchand non agricole, Stocks d'entreprise au 1er janvier (2) Source : INSEE, ESANE. (3) Source : INSEE, Bulletin statistique. 3

4 LA RÉGLEMENTATION DE L IMPRIMERIE Les aptitudes professionnelles Aucun diplôme n est exigé mais il est difficile d accéder à la profession sans suivre une des nombreuses filières : CAP, BTS et BAC professionnel industries graphiques, écoles d ingénieurs et autres écoles délivrant un diplôme de niveau supérieur en art graphique. La formation permanente revêt aussi une importance déterminante dans ce secteur. Le métier exige des qualités d organisation (délais souvent très courts) et de précision, assorties d une bonne culture générale et technique. Une aptitude à la communication et le sens commercial sont également requis en raison des contacts directs et variés avec la clientèle (administrations, grandes entreprises, PME, artisans-commerçants, particuliers, ). Le métier fait à présent appel à des connaissances techniques dépassant très largement le cadre strict de l imprimerie (informatique, ). L imprimeur doit également maîtriser tous les aspects en amont de l impression (matières premières, choix des supports, des formes, des couleurs, ) mais aussi en aval (conseil à la clientèle, sous-traitance reçue ou donnée, ). De ce fait, l ouverture d esprit, la curiosité ou le sens de l esthétique font partie intégrante de la profession. Une veille technologique apparaît désormais indispensable. L environnement réglementaire Les contraintes à l installation L ouverture d une imprimerie est soumise à la réglementation des installations classées pour la protection de l'environnement (loi du 19 juillet 1976). Le professionnel doit adresser sa demande à la Préfecture qui la transmettra à l Inspection des Installations Classées. Un rapport est présenté au Conseil départemental de l environnement et des risques sanitaires et technologiques 4

5 (CODERST). Le Préfet prend ensuite sa décision par voie d arrêté préfectoral fixant les dispositions techniques auxquelles l installation doit satisfaire. A noter, cette procédure prend en moyenne 10 à 12 mois. Les principaux points de la réglementation professionnelle Il existe une réglementation spécifique aux ouvrages imprimés (signature, dépôt légal, ). En outre, l imprimeur est responsable de ses déchets (loi du 16 juillet 1975) tandis que le matériel doit être conforme aux normes européennes (décrets et du 11 janvier 1993). La loi de modernisation de l économie (LME) du 4 août 2008 ( ) a débouché sur des mesures portant sur les délais de paiement aux fournisseurs. La LME plafonne les délais de paiement à 60 jours à compter de la date d émission de la facture (ou 45 jours fin de mois). Les sanctions en cas de dépassement de ces délais sont renforcées. Statut juridique et fiscal Rendez-vous dans notre rubrique Les guides pratiques / Mes impôts & taxes pour connaître le taux de TVA qui s applique à votre activité ainsi que le mode d imposition de vos bénéfices. Rendez-vous dans notre rubrique Les guides pratiques / Mon régime social pour connaître le montant des cotisations et des prestations de votre régime social obligatoire. 5

6 L'ACTIVITÉ DE L IMPRIMERIE L installation La création est le mode d installation le plus répandu. D anciens salariés recourent parfois à la reprise de leur entreprise. Les investissements Le taux moyen d utilisation des capacités de production étant d environ 60%, l imprimeur devra veiller à ne pas engager d investissements trop lourds ou à obsolescence trop rapide. La gestion Le suivi au quotidien Le professionnel doit suivre attentivement l évolution de son CA, aussi bien en volume qu en répartition, afin de planifier au mieux la fabrication et les différentes tâches et d éviter le sur-stockage des matières premières qui représentent une part importante des coûts de revient (de 30 à 70%). En outre, en période de forte activité, l imprimeur doit donner la priorité aux tâches à forte valeur ajoutée, en sous-traitant les petites séries ou les travaux à exécution trop courte. Les charges à surveiller Principale charge fixe, les frais de personnel (20% du CA HT) apparaissent nettement plus lourds que dans l ensemble de l industrie. Cette caractéristique s explique par l importance des tâches manuelles et le développement des nouvelles technologies qui exigent des qualifications plus élevées. Les frais de maintenance et d entretien constituent aussi une charge fixe non négligeable. 6

7 Parmi les charges variables, les achats de matières premières représentent environ 30% du CA, dont plus de la moitié pour les papiers et les cartons. La maîtrise du résultat Le taux de valeur ajoutée s établit à environ 50%, sous l effet conjoint des achats de matières premières et des autres charges externes, (principalement les charges de location de matériel et accessoirement les achats de sous-traitance). Du fait du poids élevé des frais de personnel, le taux de marge s inscrit très en deçà de l ensemble de l industrie. Dans ces conditions, le taux d épargne apparaît nettement insuffisant pour autofinancer les investissements. La gestion financière et les besoins en trésorerie Bien que limités, les fonds propres assurent la couverture des immobilisations en raison du recours fréquent à la location du matériel. Par voie de conséquence, le crédit bancaire est souvent sollicité pour le financement des besoins en fonds de roulement, car la bonne maîtrise des stocks est plus que compensée par un poste clients assez lourd. 7

8 L IMPRIMERIE EVOLUTION DU NOMBRE DE CRÉATION (1) Nc LES RATIOS DE GESTION CLEFS Chiffre d'affaires moyen Marge brute Excédent brut d'exploitation Rotation des stocks Crédit clients Crédits fournisseurs Besoin en fonds de roulement 229 K (2) 72,65 % du CA 24,47 % du CA 12 jours de CA 73 jours de CA 62 jours de CA 43 jours de CA (1) Source : Insee, Démographie des entreprises et des établissements - champ marchand non agricole, Créations d entreprises. (2) Source : Moyenne indicative élaborée à partir de données Insee "Données du compte de résultat et bilan pour les personnes physiques". Données exprimées en % et jours de chiffre d'affaires. 8

9 LES POINTS DE VIGILANCE DE L IMPRIMERIE Les principales difficultés du métier Les professionnels du secteur évoluent dans un contexte difficile en raison des fortes pressions concurrentielles, de la conjoncture économique peu porteuse et de la numérisation des flux. Les petites structures sont les plus vulnérables en raison de leur manque de diversification. La sous-capitalisation des entreprises : Du fait du poids déterminant des entreprises artisanales, les capitaux propres apparaissent nettement insuffisants en regard des investissements. Cette faiblesse structurelle s accompagne d une rentabilité médiocre qui limite les possibilités d un autofinancement partiel. La concurrence sur les prix : La conjoncture économique peu dynamique ainsi que la présence de nombreux intervenants renforcent les pressions concurrentielles, d autant que les entreprises cherchent à rentabiliser leurs investissements en proposant des prix attractifs pour accroître leur chiffre d affaires. L apparition de nouvelles technologies : Le développement des nouvelles technologies exerce une double contrainte pour la profession : les investissements sont de plus en plus onéreux et leur obsolescence de plus en plus rapide. 9

10 Le manque de diversification : La pérennité du chiffre d affaires ne peut être assurée que par une bonne diversification de l activité : particuliers, commerçants, collectivités, entreprises. Dans ce contexte, les entreprises qui réussissent sont celles qui savent proposer des valeurs ajoutées aux travaux d imprimerie (prépresse, packaging) en s équipant d un matériel évolutif adapté à leurs marchés. EVOLUTION DU NOMBRE DE DÉFAILLANCE DANS L'INDUSTRIE (1) TAUX DE SURVIE AU- DELÀ DES 5 PREMIÈRES ANNÉES Imprimerie de labeur Autres services Moyenne tous secteurs 55,4 % (2) 62,5 % 51,9 % (1) Source : Banque de France. (2) Source : Insee, Taux de Survie à 5 ans pour la génération

11 EN SAVOIR PLUS SUR CE SECTEUR Les principales organisations professionnelles UNIC Union Nationale de l Imprimerie et de la Communication 68 boulevard St-Marcel Paris Tel : CSNP Chambre Syndicale Nationale du pré-press 68 boulevard St- Marcel Paris Tel :

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